Informations belges

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s.n. 1917, 13 Septembre. Informations belges. Accès à 26 juin 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/pr7mp5023c/
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N" 454 13 Septembre 1917 INFORMATIONS BELGES Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en .certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de servioe : 53, rue des Gobelins, LE HWRE (Seine-Inférieure) France. Evacuation et réquisition de main-d'œuvre militaire derrière le front allemand de Flandre. — Il résulte de renseignements nouveaux que les Allemands continuent à vider les villes et les villages de Flandre de leurs populations civiles. Roulers est complètement évacué. A Courtrai 2,000 habitants au moins sont déjà partis et à Ostende l'exode continue. Un grand nombre d'habitants de Berlaere ont été enlevés et conduits de force à Tourcoing pour y travailler à des constructions de défense militaire et tous les hommes, sans distinction de rang ou de fortune, ont été réquisitionnés, à Sley linge, pour travailler à la construction de routes militaires.Sur le front belge. — Une belle victoire de l'aviateur Medaets. (En marge du communiqué). — C'est l'adjudant-aviateur Maurice Medaets qui a abattu, au cours d'un combat aérien, l'avion allemand venu s'écraser dans les lignes belges, le 11 septembre 1917. Chargé d'une mission de chasse, Medaets s'était élevé sur son Nieuport, vers midi, au-dessus de la région de Dixmude qu'il survolait à quelque 3,000 m. d'altitude. Aucun ennemi n'apparaissant à l'horizon, l'aviateur belge poursuit son ascension. Arrivé à 4,500 m. de hauteur, son attention est attirée par des shrapnells qui éclatent à 1,500 m. environ au-dessus de lui. Medaets n'hésite pas, monte à toute allure vers la zone de feu et aperçoit soudain un grand avion allemand qui cherche à se soustraire au tir des pièces antiaériennes belges. Grimpant toujours plus haut, il parvient à dominer son adversaire et l'attaque, aussitôt, au-dessus d'Oostkerke. Mais l'appareil ennemi n'accepte pas le combat et se replie vers ses lignes, poursuivi par l'aviateur belge jusqu'aux environs de Zarren. L'Allemand renonçant à la lutte ou cherchant à lui tendre un piège, Medaets se décide à ruser. Faisant demi-tour, il revient lentement vers les tranchées belges, voguant toujours à plus de 6,000 m. d'altitude. Il constate avec joie que l'avion allemand le suit. Se maintenant au-dessus de lui, Medaets continue à l'observer, puis, arrivé à hauteur de Dixmude, il fait brusquement volte-face et attaque à nouveau l'ennemi à coups de mitrailleuse. Il peut voir l'observateur, grièvement atteint, s'affaisser sur son siège, le haut du corps penché hors du fuselage, tandis que l'appareil est visiblement désemparé. Mais le Nieuport belge a foncé à une telle allure sur son adve'saire, que Medaets, à peine, a le temps de tirer quelques cartouches à bout portant et d'exécuter un périlleux renversement pour éviter la collision fatale. Quand l'avion bîlge eut repris sa position normale, l'aéronef ennemi avait disparu. Criblé de balles, il était venu s'écraser dans nos lignes ; le pilote et l'observateur, horriblement broyés, gisaient parmi les débris de leur appareil, un énorme Rumpler dernier modèle, portant le n° 2693, mis en service à Johannisthal le 9 août 1917, muni d'un moteur Mer-célès de 260 chevaux et armé de deux mitrailleuses. L'adjudant Medaets, sur son petit Nieuport de chassa, avait remporté une superbe victoire. Dans la province d'Anvers, les Allemands enlèvent la literie. — Les matelas en laine, les draps de lits et les couvertures ont été réquisitionnés par les Allemands à Puers, à Bornhem et à Willebroeck, dans la province d Anvers. La Situation à Bruxelles et en Belgique au début du mois d'août 1917 (D'après une lettre reçue du pays occupé). — 30 Belgês fusillés par mois. — L'union sacrée. — La disette. — Les œuvres d'assistance.— Le pillage allemand.— Aspect de la vie publique à Bruxelles. — Une lettre reçue de Belgique et datée de la première quinzaine d'août 1917, décrit comme suit la situation actuelle, spécialement à Bruxelles : « Les conditions d'existence en Belgique occupée sont relativement, bonnes, grâce au moral excellent qui ne cesse d'animer nos compatriotes opprimés. Ils souffrent beaucoup, certes, mais ne se laissent point abattre. Rien ne les encourage d'ailleurs comme de voir peu à peu tomber l'arrogance des officiers allemands et d'entendre les lamentations des soldats qui ne cessent de parler de leurs femmes, de leurs enfants et de la guerre qui n'en finit pas ! « Les refus d'obéissance dans l'armée allemande se multiplient malgré la discipline de fer du nouveau gouverneur. Car le général von Falkenhausen, successeur de von Bissing, est beaucoup plus sévère, plus brutal, plus strictement militaire que son prédécesseur. Sa dureté n'épargne pas la population civile et on peut évaluer à une moyenne de 30 par mois le nombre de Belges fusillés sur ses ordres ! 11 a fait de la prison de Charleroi la terreur du pays. Il y envoie pour les moindres faits des gens qui n'en

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Cet article est une édition du titre Informations belges appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Le Havre du 1916 au 1919.

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