Informations belges

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s.n. 1918, 12 Janvrier. Informations belges. Accès à 27 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/f18sb4171j/
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N° 572 12 Janvier 1918 INFORMATIONS BELGES Observation importants Le» difficulté* inhérente» à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelle» de pre»»e concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il e»t seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publieation. On aura donc égard aux classifications ci-après : (*) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'* pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pa êtr# contrSlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse tu officielle belçe. Le» notes d'information directe tt personnelle ne »ont précédées d'aucun signe. Adressât- les oommunioatians de servioe : 20, rue Jacques-Louer, LE H A.V(»«ine-Iufarieure) France (xx) — Le salut de la Belgique est, pour toute conscience, une question d'honneur.— Discours de M. Oeschanel à la Chambre française. — M. Paul Deschanel, président de la Chambre française, a prononcé, le 10 janvier 1918, un éloquent discours au cours duquel il a dit, notamment : « Gloire à ceux qui, en luttant pour leur existence, s'efforcent de préparer une humanité plus haute : la Belgique, dont le salut est, pour toute conscience, une question d'honneur... » La presse parisienne signale que, presque tout de suite, les passages relatifs à l'Alsace et à la Belgique ont fait éclater les applaudissements. Une visite de médecins américains au front belge. — Ce qu'ils pensent des souverains, du peuple et des soldats belges. — (Front belge, janvier 1918). — Récemment, le capitaine Van Schaick, directeur du département pour la Belgique de la Croix-Rouge américaine, a visité de nouveau le front belge en compagnie du maior docteur Alexandre Lambert et du capitaine Corn, autres officiers médecins américains. Cette visite a été marquée par un charmant incident : Comme ils revenaient des tranchées, un matin, vers le temps de la Noël, ils rencontrèrent la reine Elisabeth qui s'en allait porter des douceurs et du tabac aux soldats. Le capitaine Van Schaick qui, déjà, précédemment, avait eu l'honneur d'être présenté à Sa Majesté, vit la souveraine s'arrêter pour lui parler ainsi qu'à ses compagnons de voyage. Ils eurent avec elle un long entretien. Le capitaine Van Schaick a résumé l'ensemble de ses impressions au front belge dans l'interview ci-après:« Chaque fois que je viens en Belgique, je suis frappé par la façon dont votre gouvernement, aussi bien civil que militaire, a organisé ses affaires, et par la patience, le courage, la force et le dévouement de votre peuple. « Il peut être vrai, que, comme vous me l'avez dit vous-même, vous ayez des défaitistes et des gens déloyaux, tout comme nous avons les nôtres aux Etats-Unis. Ils sont, cependant, en telle minorité, que le simple fait d'être en contact constant avec votre peuple a accru le respect et la sympathie que j'ai pour lui. « Je me suis trouvé, par hasard, l'autre jour, face à face avec Sa Majesté la Reine, dans un poste de secours avancé, à quelques mètres de votre première ligne. J'avais précédemment eu l'honneur de rencontrer Sa Majesté. Comme toujours, elle nous accueillit cordialement et s'entretint avec nous pendant quelques minutes. Elle représente l'idéal que les Américains se font de ce que doit être une reine. Elle est visiblement démocratique dans ses sympathies et a un amour intense pour l'humanité simplement parce qu'elle est l'humanité. Personne ne pourrait voir son noble visage et parler avec elle pendant dix minutes sans avoir la révélation de la force et du charme de son caractère, de son sens exalté du devoir et de l'attachement passionné qu'elle a pour son pays. Je n'oublierai pas de longtemps l'avoir vue parmi ses soldats, ayant pour eux des mots d'encouragement joyeux et des petits cadeaux de Noël. « L'Amérique n'a jamais varié, si peu que ce soit, dans ses sentiments vis-à-vis de votre roi et de votre reine. Nous n'aurons probablement jamais de souverains en Amérique, màis nous ne pourrons jamais ressentir de l'aversion à l'égard d'un roi et d'une reine comme vous en avez dans votre pays. « J'ai eu également le plaisir de revoir votre ministre de la guerre et plusieurs officiers de l'Etat-Major. Mon espoir le plus vif est que les officiers américains, se trouvant de ce côté-ci de l'Atlantique, puissent entrer au plus tôt en rapports intimes avec vos chefs, profiter de leur expérience, et avoir l'énorme avantage d'entretenir avec eux des relations personnelles et amicales. Dans ma propre tâche, ce m'est une aide considérable que d'avoir la direction, la coopération et l'amitié de ces hommes intelligents et intrépides. » (xx) — La manœuvre séparatiste allemande. — La résistance à Bruxelles.— Fermeture d'une école normale. — Le pseudo « Conseil de Flandre » vient de fermer l'école normale de jeunes filles de la rue de Berkendael, institution de l'Etat. A cet établissement sont adjointes une école primaire et une école gardienne Le motif invoqué par les autorités « aktivistes » et occupantes pour justifier cette mesure, c'est le refus du personnel et des élèves de proscrire le français de l'enseignement.

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Cet article est une édition du titre Informations belges appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Le Havre du 1916 au 1919.

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