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s.n. 1918, 05 Octobre. L' illustration. Accès à 26 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/125q81571m/
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LES GRANDES HEURES LA CONTREFAÇON L'impudence allemande nous offre un perpétuel et puissant sujet de réflexions ; elle ne cesse de nous instruire et de nous perfectionner dans l'étude d'une mentalité unique au monde par son orgueil, son cynisme et sa platitude. Voilà cinquante ans que ce peuple se dit le plus grand, le plus fort, le plus éclairé, le plus sage, le peuple-élite et prédestiné, dépassant tous les autres de la hauteur incommensurable de son génie, multiple et tenace, les dominant et les absorbant par le poids et l'étendue de ses armes, de son commerce et de son industrie... n'ayant par conséquent ni besoin, ni peur de personne, le proclamait à tout propos, se vantant d'être le maître, souverain et instantané, de la paix et de la guerre, et ne quittant jamais, jusque dans la chanson de l'amitié, le ton de la menace. Il a tout pour lui, proclame-t-il insolemment, la marche et la force acquises, le nombre et les « matériels » de tout genre, l'esprit de suite et d'unité, d'ordre et de destruction, la poudre et le glaive, la machine et le canon, la caserne et l'université modèles, le professeur et le soldat types, l'espion rêvé, la discipline universelle... et le temps et l'espace. Enfin Dieu le soigne et se caresse en lui, l'Allemand, Dieu de qui même il ne prétend pas relever et dont l'aide et la protection ne sont à ses yeux qu'une charge, un commandement qu'il lui a plu de lui attribuer. Il a nommé Dieu grand maréchal de ses armées, et grand-croix avec glaives, mais uniquement pour que celui-ci soit aux ordres du kaiser quand il le sonne. N'est-ce pas lui, en effet, Guillaume II le haut et puissant Seigneur de la guerre ? Tant que Dieu sert donc l'Empereur ou paraît du moins lui déférer, il est le bon vieux, et on boit à sa santé dans les discours. Mais qu'il s'avise de se refroidir et de ne plus rendre... on 'e cassera, tout Dieu qu'il est. Il résultait d'un pareil système érigé en dogme que l'Allemagne n'avait pas lieu de se préoccuper d'autrui. Les peuples étrangers, voisins ou éloignés, faibles ou résistants, ne méritaient à son opinion que d'être méprisés, ou alors asservis, soit par la conquête brutale et longuement manigancée, soit par l'infiltration vénéneuse et lente. Elle ne mettait pas en doute leur successive réduction grâce à l'un ou T'autre de ces moyens; et consolidée dans une formidable puissance qu'elle exagérait et dissimulait tour à tour elle ne s'en remettait qu'à elle-même, à son génie d'astuce et de proie pour conquérir progressivement le monde. Elle feignait bien, en même temps, çà et là, d'amorcer des amitiés, de solliciter des ententes, mais ce n'était que des opérations illusoires destinées à mieux cacher son jeu secret et à endormir les soupçons des observateurs clairvoyants. Elle n'offrait que ce qu'elle savait inacceptable, ne s'engageant que dans les routes bouchées par elle à l'avance, où elle avait la certitude qu'il était impossible d'aboutir. Opposée par principe à toute alliance et à toute union, elle ne les proposait parfois avec tant de zèle qu'afin de les ruiner par en dessous irrémédiablement et pour se donner plus tard les honnêtes apparences de les avoir voulues. Ses paroles les plus mielleuses de concorde furent toujours prononcées par une bouche fausse et dictées par un esprit ami de la discorde et savant à la cultiver. Ah! Les aveugles qui préconisaient chez nous un rapprochement avec elle n'ont rien à regretter! Aujourd'hui plus que jamais il est permis de penser que, si nous avions pu accepter d'ouvrir toute grande la porte du « cordial oubli » qu'elle entre-bâillait à intervalles réguliers, nous n'aurions- eu qu'à nous en repentir dans le désespoir, le remords et la honte... Notre déloyal et implacable ennemi, après nous avoir désarmés et humiliés, ne nous eût même pas accordé le vil dédommagement d'une sécurité matérielle à laquelle nous aurions sacrifié l'honneur et l'indépendance. Il nous eût entraînés ensuite dans ses desseins monstrueux, dans son servage, dans ses guerres, nous réduisant — comme l'Autriche et la Bulgarie — au rôle de brillants seconds, ou troisièmes. Serions-nous même venus jusque-là? Non. Ne doutez pas qu'à mi-chemin de ses avances franchement admises par notre crédulité il n'eût trouvé le moyen au dernier moment de faire tout échouer soi-disant par notre faute et pour en retirer le casus belli qu'il préférait à tout, dont il avait besoin pour l'assouvissement personnel de sa haine et l'exécution de son immense et sinistre plan préparé depuis tant d'années, auquel il ne voulait — ni ne pouvait d'ailleurs — plus rien changer. Mieux encore que la paix avec nôus, ce qu'il fallait à l'empereur allemand, c'était la guerre, sa guerre de prédilection, sa guerre retentissante. Elle seule avait été l'objet soutenu de sa pensée, de ses soins, son moyen d'existence et son levier de gouvernement, son but éternel et profond; toutes les plus belles embrassades ne valaient pas et n'auraient pu remplacer pour lui le criminel dessein de ses ambitions démesurées. Ayant depuis toujours préparé la guerre, et « celle-là » spécialement, il devait la faire, il y était condamné jusqu'à son propre malheur et son futur châtiment: il en était le promoteur fatal et le forçat. Essayez un instant d'imaginer qu'au cours des préméditations si évidentes de son règne, alors que sous l'inquiétude ininterrompue que causaient à l'Europe entière l'augmentation effarante de ses armements et les éclats mal compris alors de sa belliqueuse humeur... une grande voix, si autorisée que vous puissiez la sùpposer, celle du tsar, du roi d'Angleterre, du chef d'une puissante démocratie, ou, au-dessus, la plus haute autorité morale, celle du Souverain Pontife, se fût élevée pour demander solennellement l'arrêt de ces préparatifs, la cessation de ces croissantes menaces, et pour susciter le projet d'une fraternisation des peuples^ d'un loyal essai de paix universelle et durable, d'une espèce d'entente entre les nations associées... pensez-vous que le kaiser se fût prêté à cette tentative, ou, s'il avait paru lui être favorable, qu 'il l'eût fait de bonne foi ? Non. De quels airs hautains et dédaigneux, ou avec'quel ombrage, ou encore quels sourires de pitié amusée il eût accueilli l'idée suspecte d'une Société des Nations, nous le voyons d'ici. La meilleure preuve qu'il devait repousser cette idée et lui être naturellement hostile, c 'est qu 'il ne l'a jamais eue ; ou du moins s'il l'a eue ce n'a été que pour la garder secrète, la craindre et agir contre elle par prévision. Comment eût-il pu l'agréer puisqu'elle s'inspirait avant tout du désir et de la recherche à tout prix de la paix des peuples dans le respect de leur liberté individuelle, tandis que lui ne poursuivait que la satisfaction de son impérialisme'et l'abaissement des peuples asservis à son autorité par la force brutale? Il est même d'autant plus coupable de n'avoir pas eu cette magnifique pensée qu'il était par sa position le seul alors qualifié, s'il l'avait voulu, pour en prendre avec autorité l'initiative et s'en donner — quel qu'en dût être le résultat — le mérite dans le présent et au jugement de l'avenir. Quelle place il se fût assurée dans l'Histoire si lui, l'apôtre de la guerre, s'était soudain révélé, en un grand revirement de conscience et une soudaine illumination du sens politique, le prophète résolu, le metteur en œuvre immédiat de la paix du monde! Il a manqué ainsi la plus belle occasion d'être béni par la Postérité, qui le maudira. Mais créé pour le mal jusqu'au bout, ce misérable ne méritait pas d'être l'ouvrier de la justice et du bonheur, s'appareillant à ces hommes de crime auxquels semble avoir été refusée d'avance la grâce du repentir. Or voici qu'après avoir mis la moitié de la terre à feu et à sang pour atteindre son but monstrueux il s'aperçoit que ce but lui échappe et que son immense effort aura été vain. Ses armées affaiblies reculent, son peuple est à bas, hébété de découragement, ses alliés n'attendent qu'une occasion de lui fausser compagnie, la fortune enfin l'abandonne. Il s'avise tout à coup qu'il est seul et que demain cette solitude sera plus grande encore. Et que voit-il? Qu'entend-il? Une Société des Nations en train de se former, se sentant juste et nécessaire, se cherchant et s'appliquant à naître avec la plus noble et la plus émouvante ardeur, proclamant sa résolution d'assurer désormais aux peuples qui la constitueront la paix, la liberté du travail, la prospérité permise, et la sécurité dans le droit... Dès lors il n'a plus qu'une idée: en être lui aussi, commencer par entrer dans cette Société bienheureuse ! Mais il se rend compte que pour l'instant tout l'en repousse et l'en éloigne, puisqu'elle ne se fonde précisément que pour parer dans l'avenir aux fléaux dont il est l'auteur, et que c'est le dessein bien arrêté qu'il a toujours eu de gêner et d'attaquer les peuples qui les pousse à s'unir et à s'organiser pour leur défense. « Eh bien, qu'à cela ne tienne ! Puisque Société des Nations il y a, que le mot et la chose, lancés d'abord par l'instinct de conservation publique et adoptés ensuite par Wilson sont devenus le programme de demain, va pour la Société des Nations ! Mais, tandis que les Alliés font la leur, faisons la nôtre, dit-il, nous aussi, prenons leur idée et démarquons-la, établissons dès à présent notre concurrence habituelle, la déloyale, et tâchons de cette façon, en troublant les esprits, de créer une équivoque. Selon notre méthode, commençons par la contrefaçon, demain nous auron-l'air d'être les inventeurs. » Et aussitôt Erzber ger a exécuté le mouvement prescrit. Pour la première fois l'Allemagne a parlé de la Société des Nations, en a reconnu, comme si c'était un de ses vieilles idées favorites, l'urgence et la beauté et s'est offerte avec la plus touchant obligeance à nous en montrer le fonctionne ment, toute prête à en assumer au besoin la direction... Tel est, entre beaucoup d'autres, un des faits les plus remarquables de ces temps « fertiles en miracles ». -k ** Maintenant, comment convient-il que nous jugions cette manœuvre — militaire encore —-de nos ennemis? Quel accueil doit-on lui ré- L' ILLUSTRATION

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