La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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s.n. 1917, 14 Janvrier. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Accès à 27 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/tm71v5d258/
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mi AA à .. ■ : ..i PRIX DES ABONNEMENTS ADMINISTRATION ET RÉDACTION PetitfiS ...... to ^ fr. e.sc 1 mois (janvier), fr. 2.55 | 2 mois (janvier-fôvriar), fr. 5.10 si» Monta&ne-aux-Herbes- T'cta&ères, BFtTJX32LLES [ B«lamo avant le» annonce» . . — 1.23 3 mois (janviar-février-mars), fr. 7.65 bureaux : DE 9 17 HEURES ^ Corps du journal — 5.00 IES DEMANDES D'AfiONNEMEOT SONT REÇUES LKS RECLAMATIONS CONCERNANT LES ABOI*. DIRECTION ET ADMINISTHATION i I -1 1/B à 1S 1>B et de 1S1/S à 17 heuret. PRIX DES ANNONCES i Faits divers ....... . •— 3.7S EXCLUSIVEMENT PAK LES WEMENTS DOIVENT ETRE ADRESSEES —• I Nécrologie —. 2.50 BUREAUX ET LES FACTEURS DES POSTES. EXCLUSIVEMENT AUX BUREAUX DE POSTO JQS. MORESS LIE, DIRECTEUR 1 Coin des Eleveur» »— 1.00 Aujourd'hui : DOUZE, pages U GUERRE 895* jour de guerrs Le bilan do la semaine en Roumanie •'établit encore en faveur des Puissances centrales. Les A ustr o-ALiem a-nds sont en effet parvenus à s emparer de Focsani et de toat le seceeur avoisinant cette forteresse» de sorte que, finalement, grâce à leur pres-sian continue, c est 1e cours inférieur de la Suretti entre Foesani ©t Ualaiz qui trace maintenant la ligne de démaroatiinn antre les belligérants. Au nord de Focsani, l'ai Le gauche de la IXe armée austro-allemande n a pas seulement chassé ses adversaires du massif mon*«#ueux d'Odobesci, elle a en outre progreasé, dans la valide do la Putna, de manière inquiétante pour Les Russes. Plus au nord1, les troupes de l'archiduc Joseph., attaquant 6ans répit les Russo-Roumains dans les vais d'Oitoz, de Cassinu et Le Suchitsa, progressent sans arrêt en d-fpit de la vaillante et tenace résistance qui leu-r est emposée. L'extrémité méridionale du front ces liasses s'en, trouve sansi doute fert ébranlée; toutefois* il semble que leur ré-sisnance, bien loin qu'elle faiblisse, tendle à s'intensifier encore. Pour ce qui est de l'offensive de diversion qu'ils ont entreprise à l'autre extrémité de leur front, elle leur a valu tout, d'abord des succès au sud-ouiest de Rpga-, sur la rivière l'Aa, dans le secteur de Kalntzen, mais par la suite, au lieu de a» développer, les opérations se sont visiblement ralenties. Q faut dire du reste que les Pusses ne Sont pas actuellement en situation d'entre-yrerastoe des opérations de large envergure. Bn cas derniers mois, il leur a failu réparer Les p«rt«s suivies par les effectifs que le général (Brussilow avait mis en ligne tors de sa fonnidaèie offensive d« juin à octobre dteruUr : les évaluations publiées concernant ces partes ont varié entre un milllion eî 1',600,000 hommes. La faillite de La campagne de la Roumanie est venue ensuit» bouleverser complément les plans de l'état-major du Tsar. Alors que manâi«steflne«it Les Russes ne si'attentaient àk devoir intervenir dans les (Balkans qu'en y an venant upé armée de secours contre les Bulgares a travers la Pofrxroud-BQhfi», le© voici' qui sont maintenant obligés di'assurer eux-mêmes La défense des 600 kilomètres dont leur front, par suite de l'in-succte des ar*ie3 roumaines, s est prolongé au delà de la «Bucovine. Or, si l'on songe que la défense du front dans l'Ouest, alont là lenteur ce dépasse guère 600 kilomètres, otftige chacun dles partis bellijurants à y immobiliser au moins trois «allions d'hommes, on conçoit que pour tenir tête à ses adversaires en Moldavie, la Russie a dû, bien qu'elle fût prise à l'improviste, mettre en ligne des forces très considérables. Enfin, le rééquipement, le ravitaillement et la réorjpauisa.tLon complète des quelque 300,000 hommes, que la Roumanie peut encore mettre sur pied, incombent d sonnais aux Russes. Dépossédés de leurs bases principales d'opération, de leurs arsenaux et d'e leurs maLlleares installations industrielles, les Roumains ne sont plus en état d'assurer eux-mêmes cette réorganisation, qu;i, • comportant la création d'un cadre de 5,00*} officiera et de 20,000 sous^officiers, prendra en tout cais un temps1 assez long. La formation de ce cadre indispensable ne sera pas aisée. La Russie, ceites, dispose d'inépuisables réserve» df hommes, mais elle manque elle-môme die troupes instruites et df officiers compétents. D;autre part, la question du matériel nécessaire au rééquipement de l'armée roumame sera paçliou-■ l'èrement difficile à résoudre. Pour équiper 300,000 hommes, il faut 150,000 fusils, ; 50 raillions de cartouches, 4,000 mitr^ilileases, ' 800 pièces d'artillerie lourde et de campagne approvisionnées do munitions à suffi-j saucé, 1,G(X) voitures à munitions, 50,000 J chevaux et 10,000 attelages, sans compter les uniformes et tout le reste de l'équipe-' ment. L'industrie russe étant loin de pou-; voir satisfaire à elle seule aux besoins militaires de l'Empire, il faudra donc, main-( tenant que la réorganisation de l armée rou-i maine est tombée à sa charge, que la Russie ( demande à ses Alliés des quantité» plus grandes que ;amais de matériel et de munitions. La question se complique encore du fait qu'actuellement et pour de longs mois, son principal port d'importation!, Arkhan-gel, est bloqué par les glace», et que soi; ! réseau do chemins de fer est très surchargé. I Bref, logiquement, il ne semble pas' que dé grandes1 initiatives russes soient imminentes sur le front oriental. ! * * * Sur les autres grands théâtres; de la guerre, les troupes de l'Entente n'ont pas davantage entrepris jusqu'ici de manœwvrt s d'envergure ; toutefois, on a l'impression qu'elles sont à la veille d'un gTos efi'ort. ; Si l'Entente veut que La fa».ou dédh, -gneuse dont eire a aceueilli l'offre de paix des ['uissanoee Centrales s'explique et) se justifie, il faut qu'elle parvienne à bref délai à modifier en sa faveur La situation militaire.Les Centraux, du reste, «'attendent à voir leurs adversaires ne plus se contenter de mots et passer enfin aus: actes décisifs. Notamment la „Gazetto de Francfort" ne doute nullement que Les Français et les Anglais soient capables d)e commencer Sur le front dans l'Ouest — où ua, regain d'activité vient de se manifester en Picardie — ,,la nouvelle bataille gigantesque dont ilsi espèrent la victoire et la paix". L'organe allemand considère, il esir vrai, „comme faite, la preuvie que l'Aile, magtae et ses alliés sont invincibles et que ce nouved assaut échouera comme les précédents?'.I-Éi ,,Gazette die Francfort/" estimo au surplus qwe des mesures efficaces oui été prises pour rendre tous les fronts die la Qunrlniplice intangibles. Soit que les opérations de l'Entente visent à atteindre Con-•tantinopje ^«r 1 Asie-Mineure, sràt qu'elles •o développent en F,gvj^te - où l/« An.oilai^ Tiennes, de prendre l'avantage d&os Le sec- taur d'El Ilarisch—, soit qu'elles intéressecut la. Mésopotamie — où une action assez vive engagée par le» Anglais est finalement res-:ée sans résultat —, la „Gazette de Francfort" est (Favis qu'elles *e heurteront partout à des difficultés insurmontables. En attendant, que cette opinion soit vérifiée par les événements, elle constitue une indication de nature à faire croire que les Alliée ne surprendront ^pas les Centraux s ils viennent à passer à 1 exécution de leurs grands pro-3 jets militaires en Orient. Ces projets, qu'on dit avoir fait l'objeti do 1 exaimen de la Conférence de Rome avaient auparavant déjà fait le tour de la presse de l'Entente : cette presse, décidément ne comprendra jamais à quel point La discrétion est indispensable en matière militaire. errata Quatre légères erreurs se sont g*lis»ées dans le texte de la Note de réponse des Alliés au Président Wilson crans mis par l'Agence Ilavas et publié hier à notre première page. Nous estimons, étant donne l importance du document, qu'il s'impose de les rectifier. La phrase finale du sixième alinéa de la note porte : „Ils 6oni convaincus du désir de ce gouvernement d'éviter même l'apparence d'être moralement appuyé par l'auieur resiponsar-ble de la guerre.' ' Il faut lire : d'éviter même l'apparence d'appuyer moralement l'auteur." En tête de la troisième colonne du jbur-nfll, au milieu de l'alinéa commeniçant par les mots: ,,L'exécution de mis» Cavell, etc", se trouve la phrase suivante : „Mais le monde civilisé siait ce qu'eues contiennent nécessairement et en premier*-; ligne : la restauration de la Belgique, de la fcerbie et du Monténégro et les d' jdi ,mma-g-enients qui leur sont dasj la réorganisation de l'Europe, etc." Après les mots: ,,les dédommagements qui leur sont dus", il faut ajouter ■ ceux-ci : l'évacuation d-efi territoires occupes die la France, de la Russie et die la Roumanie aveo des dédommagements légitimes:" Cinq lignes plus loin, au li*u de : ainsi quef des concessions territoriales,"Il faut lire _ iiinsi que des coaiveniionlst territk>-riales,"L'alinéa, suivant commence par la pihrasia : „Ce qui'ils veident avant, tout, c ePt la ga^. rautie da La paix sur la base de la iih^rtié, do la justice et de la loyauté inviolable dont les Puissances centrales n'ont plus le souAi." La fin do cette phrase doit être rectifié© comme suit : „... de la justice et de la loyauté inviolable qui n'a cessé de guider les Etais-Unis." La note des Alliés ©t la l*rc ss© Rotterdam, 12 janvier : Commentant Lt réponse de l'Entente à M. ^Vilsoo, le ,,N!ieuwe Xîott'jrdamsche (Courant" écrit) : — Il n'est vraiment pas possible de découvrir dans cer.te note des dispositions pacifiques. L'Entente semble fermement déci- -tee à continuer la guerre jusqu'à extinction. Après les conditions ce paix que les Alliés ont assez clairement énoncées maintenant, il ne pourra saus doute pbus gnère ' tre question de paix tant que les opérations militaires resteront 03 qu'elles sont à présent. Il e^l devenu évident : 1" qu'à ' l'heure actuelle l'Allemagne ne peut obtenir la paix sans céder d importants terri- 1 oires; 2° qu'il s'agit pour l'Autriohô-HoiL- 1 ;rie et pour la Turquie d'être ou de ne pas tie. Cotte évidence amènera les trois puissances coalisées à s'unir plus étroitement et 'e combat deviendra encore plus acharné." ' » Cologne!, 13 janvier : La „ Gazette de Cologne" écrit ce qui »uit au erjj^t de la réponse de l'Entente à M. Wilson : — c>i on ne l'avait pas sous les yeutxv on 1 liauis&erait les épauiles et l'on dirait qu'il ,st impossible que de pareilles et grossières inep'fie» soient sérieusement débitées i1»' la. fiace tu monde. N'otis ignorons si M. Wilson1 a l'intention de répondre à des assertions dlè-'•isoires à ce point. Tl ne lui serait cependant pas difficile d'énoncer une série de contre-exigences, qjui, basses exactement sur les .principes affirmes par l'Entente, e^a>-;léreraient M. Lloyd George et ses amis. Qui pourrait Lui en vouloir si, se référant ' lu respect des nationalités proclamé pur la ■ iote des Alliée, il exigeait qme la Quadxaxple- ' Rrutente commenoât par donner le bon exemple et rende La liberté aux Irlandais, iux Boers, aux Indien», aux Egyptiens, auix Manœains, aux Tunisiens, autx Indochinois, aux Malgàehets, aux Italiens de Corse, à Malte et à Nice ajux Tripolitains, aux Finlandais, aux Baltes, aux Lebtois, uix Lithuaniens, aux Polonais, aux Juits ] iu.x haibitants de l'Ukraine, aux; Musul- f «uans russes, aux Géorgiens, aux Coiéeus. etc. 1 II pourrait plJut-être aussi se p©r- c rettre dé demander timidement s'il faut rvrévoir que l'Entente, après avoir libérô les Tschèques et d'autres peuples étrangers, s'occtriiera de la ,,libération]" di s Améri- ( cains rî'origine^ étrangère et si elle n'aura peut-être p^s rilntonfîâon die libérer les Philip- s "ins de ses a.mis las Japonais. On voit qu'il 3 suffit de tire/ quelques conséquences imimé- c liâtes des principes établi» par la note de 1 l'Enitente pou-q rendre les pnu/ples heureux r et pour s'apercevoir que ceuix qui l'ont lignée n'hésitent pas à passer outre aux t lois les plus él%nentaires de la formation d les Etats pour essayer de cacher la fidvo- e 'ité et la manque de conscience avec lesquels ids poussent da nouveau l'Europe^ à couips de fouet, dans les horreurs de la tu erre. L'histoire n'a jamais vu invoquer, -I , pour tenter d'excuser des crimes politiques, v les prétextes aussi futiles et aussi miséra. f Mes que ces notes destinées à expliquer, au v nom dm Droit et de l'Humanité, pourquoi r] i quelques démagogues conscient» de leux cul- 1 ecit pahilité et sans scrupules craignent la [paix ive et exigent que 1 humanité continue a maies- cher dans des flots de sang et à enjamber ne- de3 monceaux de cadavres." ar- a ^ En {Berlin, 12 janvier : sar Le „B»rliuor Tageblatt" écrit : ton — En énonçant des exigences que l'on no ' ne peut que qualifier de folles et d'insensée» et ! ejit qu'aucun Allemand ne peut niêma x>rfcULlXc > ro- un seul in»tanit en considération!, la réponds I de l'Entente à M. Wilson n'aggrave pas la dfi situation intérieure de l'Ai Lan îagne, mais ont ta détend1 au contraire. La note des Alliés . sse a mis fipd à tout travail d'interprétatiotoc, elle j ne a dissipé le* petits nuages roses de l'es- ; ion pérance. Chacun appréciera l'attitude à '1 adopter vis-à-vis des désirs formels de do-mination de l'Eiitente; quant au peuple allemand'^ il- sait ce qui lui reste à faire." Le ,,Lokal Anzeiger" écrit : — La note est un service que nojus rendes dent nos ennemis; il ne sera jamais apprêtes cié à sa ju6te valeur, car les souffrances >ar eu les privations auraien4, neut-ctre réussi à re- amenei, cans le centre da l'Fui ope et en mé ^Vsie, une tendance h «a faiblesse, l.a mite de anéantit le deinier :esfae des désirs d^ la !>aix s> b DANS LES BALKANS >u- Ere >a^ EN GRÈCE Paris1, 12 janvier : Commenitant l'acceptation de l'ultimatum ; rer de l'Entente ]^ar le gouvernementd'Athèms, ; toute la presse française publie une note • qu'on croit semil-officicuse. Ll y e-t dé- j J!r" clarô que, malgré tout, la méfiance de l'Eu- 1 tente envers la Grèce n'est pas dissipée, i. '' 1 étant donné que l'attitude qu'elle a obser- ? vée jusqu'à présent fait prévoir que les ; les exigences des Alliés no recevront pas en- ; itno tière satisfaction. de Les journaux sont d'avis que le gou- j ta- vernemeiLt hellénique continuera à chercher | >a- à gagner du temps pour essayer de se . ranger finalement quand môme du cOCédea j Lii Puissances centrales. die Londres, 1?} janvier : ia- D'après l'Agence Réfuter, la réponse de ■ la Grèce à l'ultimatum des Alliés est considérée, an substance, comme 1 acceplation j de leurs exigences, mais qu'étant donné la i ^ situation actuelle, elle manque die pr '«'sion \ : et de netteté.. Notaji me:»t, v.lù fait dloit à la . (lnjmadHlle d!e mise en liberté des véai/-. , 1 listes prisonniei-s, mais elle ne fixe pas de 1 délai pour certe libération, j . Les instructions' nécessaires ont déjà ét-, ■g^ télégraphiées à A thèmes à ce sujet. Le gou- 1 lié vernement grec a été avisé quo sa réponse 1 ;}a avait produit une impression satisfaisante, ' ]a mais que plus do précision était nécessaire. I (1 n'est pas question d'un délai de quinze ^ jours pour l'exécution- des exigences des Alliés, contrairement à ce que certains pré-3^ tendent;, et pas question davantage de lever le "blocus1 avant qu'il ait été fait; droit complètement aux exigences des Alliés. Une grande partie dé la colonie britan-niepue a déjà quitté Athènes, mais les re- -présentants diplomatiques de l'Entente sont ' toujours encore à leur poste. f Londres, 12 janvier : Ee corrô§i.ondant à Athènes du ,Oaily ( à Telegrapli -, accuellLeinent de passage à , u- Rome, télégraphie : — La coloaiie anglaise d'Athènes est ar-rivée anjcin-d'hui à .Brindisi et a continué o. immédiatement son voyage pour l'Angieteire. f :,j_ ^ l'exception des Italiens, les Anglais for- c c_ maienjt lo dernier groupe des sujets de L'Eu- [ es tente qui ont qjuitte la Grèce. Seules, Les j q- légations dies puissances alliées sont rastiées r re dans la baie de Keratsini, à bord d'un nia- c a- vira de transport anglais, à U existe en Grèce des stocks de farine et 'à de froment beaucoup plus considérables que e- ne le suppose l'Entente. Aveo un directauT 5 •i. fies services d-'alilmenitjaition et grâce aucc. r ^ carbas de pain, les stocks suffiront encore < i3 pour deux mois; c'est pourquoi 1«« germa- g s_ nopdûles restent provocants. Toutefois, ni le a 0t Roi ni son gouvernement n'ont L'intention u y de pousser les choses aussi loin que le v voudraient les adversaires de l'Entente." (: Milans, 13 janvier : [< à Le „Corriere délia Sera" annonce quo t. 21 niavLres d!o guerre des Alli-'s, viiont 3. d in croiseurs, ont jeté l'ancre devant le Pir^e. p il r ^ Berlin, 13 janvier : f ^ On mande de Zurich au ,,Benl:.ner Ta- a = ^ —- Dans sa répon«a à la note d'e M. Wil- ^ son demandant aux neutres de collaborer en laveur da la paix — réponse qui est arri- ' vée aujourd'hui à Rome — la Grèce se ir plaint de ce que, par suite dé la pression ç ^ dé l'Enitente> il ne lui a • pas été possible " die se mettre on rapport avec les puissances ^ centrales», ce qui l'a emprché de se rallier t à la démarche de M. Wilson. e1- c m ' i' s, EN ROUMANIE K s, Odessa, 13 janvier : f >- L7,,Odcska Listok" annonce quo des pa- 1' le trouilles dé cavalerie ennemie ont franchi 5, le Danube devant Reni. J, Galatiz, bomtardée de l'est et d!u su.di par des canons de gros calibre, est en \ 1- flammes à plusieurs endroits. 5 Dans la lagune du Danube, les troupes coalisées préparent le passage du flciuve. ît. e Milan, 13 janvier : ;, Le correspondant à Paris du ,,Corriere ' i- délia Sera" télégraphie : a — Les Russes ne parviendront pas à ré- >- sister longtemps près de Galatz; toute la \] il Moldavie devra sans doute ctro abandonnée v, i- et la retraite devra vraisemblablement être e poursuivie jusqu'au délà de la frontière x russo-roumaine. jt On ne s'explique pas en France les mo- " x tifs dé la décision grosse de conséquences n du haut commandement de l'armée russe et ul 1- elle provoque une certaine surprise. à, Pétrograd, 13 janvier : a La „Russieoï Wjedomosti" apprend de J :, .Tassy que l'élément russe domine dans cette 5, ville. Plusieurs administrations roumaines sont contrôlées par des Russes, l e nou. u veau ministre de Russie auprès du roi Fer- vi >i rlinand joue un grand rôle dans Les déjibé- d* l- ratiou» du gouvernement roumain. j ■ =- DÉPÊCHES DIVERSES , aber . pa.ris, 12 janvier : A la commraKion pour l'armée dé la ■ Cjombre,M. Renaudel, député sociatlisila, a j -laré que les événements ont démontré ne 1 'iue la loi instituant le service militaire ^ et ! d!e trois ans est inefficace. Immédiatement -,Jrc : ;,l'' ès la. conclusion de la paix, le parti so-i cialiete recommencera aa propagande en fa-•> la | ve?ir îles théories militaires die M. Jaurès, nais j M. Maginot, président de la commission, l'iic-s ■ a ivjpondu. que le se^-vice de trois ans n'est eue [>fis un dOgtme intangible, mais que ce n;e^t l'es- , [-s le moimeut de le discuter. 1 » * * * do- Paris, 12 janvier : ^ ai- Le projet de loi dont il a été question ; déjà comprend! 13 articles et prévoit 1 in-solution du service civil pour tous le» ren- Fivmçai» de 17 à 60 ans, qui ne ®out jJias pro- oiicore mobilisas, aces ^ ^ iôi à Paris, 12 janvier : an 1^, direction de l'armée française a dé-Q;'te cîdé que les ouvriers agricoles mobilisés, ia aussi bien ceux qui se trouvent au front •jue ceux qui sont employés en sea-vice in-'ôrieur, seront provisoirement libéras du S service actif, pour t-tre employés auis travaux agricoles. Cet te mesure est prise parce f/ue l'on craint que, sans elle, le récolte i-ïtochaine soit insuffistanija. * _ * * j Pans, 12 janvier : '*m ; Les journaux apprennent, que le gouver-r^v ' | '^emoat, français aurait décidé do mettre fin ' £ j aux grèves dans les fabriques de ou. • tion. -p" i i>ar l'institution d'un conseil d'arbitrage. "u" f Un espère ainsi eu éviter le retour. On ^ établirait des barème® de salaires, dont l'obvies nervation sera lemiue obligatoire pour les ; cmptoyeurs ainsi que pour Les ouvriers. 'OU- • 11 jarlvier*; ih ! D'après le ,,Nouvelliste", de Lyon, Mme s'e j Rose-Oamille Franoillard, ancienne modiste dès i 1 ^renoble, a été condamnée à mort pour . espionnage et fusillée sur les remparts de ! V mcQunes; elle avait deux entants. ♦ <3<-. | Berlin, 12 janvier : >on- 0" mande de Malmô au ,,Berliner Lokal Lloa | Anzeiger'' : la ! — D'après des informations dé «>uroa séu ,;0n rieuse venant de Rome, de grandes prepar t !a ' r iïifs se font actuellement dans les ports italiens de l'Adriatique. 11 est permis d en fiQ ' conclure que d'importants transports de trou- pes sont à la vep;lo d'être f ûts. ,Vo0 )A Bari, on attend' l'arrivée d'une com-;ou- 1 mission spéciale de la marine anglaise, di !llse rigée par 1;amiral TheodOr Bursby. On y □te, constate, en outre, la coucentij i.îion de va-iré. peurs de transports. [Vjo A Rome, on croit que l'Talie participera des pins largement à l'expédition des Balkans et >rè- on considère ce fait comme une victoire de iver MM. Briaud et Lloyd George. 3m- « * . Vienne, 12 janvier : ian- La ,,Reictispost'' apprend que le port à-re- énerve de Brind'isi a été fer m*'1 aune navires ont neutres. ELe a; ou te que la presse italienne fM'ime que cette mesura fait prf\«»-r «t importants événements militaires en Grèce D'après le MN'eues Wiener Journal'', lec troupes italiennes débarquées à Valona se-a taierit fortes de 60,000 hommes. * * *. ar; Rome, 12 janvier : 1rjé Le ,,Journal Ofîioiial" publie un avis du "tC- ministère des affaires étra.ngères annoinçant °1V que les traités da commerce avec le Japon, la Rnesie, la Roumanie, la Serbie, l'Es-les pagne et la Suisse ont éte dénonces et ées cessent d'être en vigueur à partir du 31 déu na- centre 1917. » * * 2». et Vienne, 11 janvier : lue On est généralement d'avis que le coa-3ur seil do guerre tenu à Rome a décidé œ "K- mettre fin à l'expédition des (Balkans do la °ro Qjuadruple-Entente et de se borner à toiir 1 na- Saloniique et Valona comme gages. D'un lé au'ire côtié, les Alliés commenceront une ion nouvelle campagne contre La Turquie, en le vue d'infliger un échec à la puissance de la Quadruplice considérée comme étant 1a plus faible. Il ne serait pas impossible nue les Dardlan-îflles soient de noniyeau attaquées: ■ [uo toutefois, il paraît plus vraisemblable que- ' 3. des trouipos alli'es seront débarquées en ce. «?vrie. Ainsi s'expliquerait, la présence d'ami- 1 rauix britanniques au conseil de guerre de Rome. » a- SUR MER ■ri- Londres, 12 janvier : 8e I^e vapeiur britannique „Hudlwoith", 4;au- , on, géant 3,678 tonnes, a été coulé. J Yimuiidlent, 12 janvier : ' r68 Le vapeur néerlandais „N»ptunus", _ren- • Icr tré le 12 à Ymuiden, a rapporté qu'il a rencontré, dans le golfe de Biscaye, l'épave du vapeur français ,,Omnium". L'équipage s'était sans doute sauvé dans^ les canot» f.e vapeur „,0imniuni" avait été construit en >a- 1915 et jaugeait environ 6,000 tonnes. k' Berlin, 12 janvier : 1 nfj Le 28 décembre, un do nos sous-mnrins -r en î, coulé, au large do Cherbourg, un vapeur u'e transport convoyé par des contre-torpil- 1 ^ leurs et jaugeant 8,000 tonnes. r ' ■Lowlres, 13 janivier : • Lloyr.s annonce que lo vapeur britannique z «Excellent" a vraisemblablement coulé, re c Lisbonne, 12 janvier : ' ré- L'équipage, d'il vapeur coulé ,,Ville du 'L la Havre" a Hé diébarqué à Lisbonne par le ée vapeur norvégien ,,Dalilac". J «re r Londres, 12 janvier : I Lloyd-. annonoe qme lo vapeur norvégien j ^ „CuW' a recueilli l'équipage ctu vapeur ^ danois „Fuil>org'', coulé le 10 janvier par t e. an sous-marin. Londres, 12 janvier : 1,1'ivd annonce que le schooner In'itanni-qne ,,F/lith" et le vapeur ^Mar^uerilo" ont fté abandonnés au sein d'unie mer orageuse. Ho ; ea Christiania, 13 janvier : m. Lus pertes de la marine marchande nor- e !r_ véprianno se sont flevées, depuis le iM>ut r )é. la rri'MTe, à »n total de 273 aavixos, e j,iu®âiiit 267,000 toiiiies. [t COMMUNIQUÉS OFFICIELS 1» Communiqués des Puissances Centrales, a • ^ Berlin-, 13 janvier. — Officiel de ce midi : mt Théâtre de la guerre à l'Ouest, so- Armées» du feldmaré.ohal prince héritier fa- Rupprecht de Bavière : Au nord de 1 Ancre, les .Anglais ont re-nouvélé aujourd1 hui leurs attaques contre esc Qerre; ils ont étô eu grande partie repous-ses d'une manière sanglante. L'ennemi s'est fixé dans une de nos positions avancées. Nous maintenons notre position pjrin- : cipale. 011 Théâtre de la gjuerre à l'Est. Ipa Front du feldimaréchal prince Léopold de | Bavière : Has . v Les opérations ont été peu importantes. Front du général-colonel archiduc Joseph : Gràoo à l'attaque fructueuse de troupes eS' allemandes, nous avons encore gagné du ?'Ilt terrain au nord! de la vallée de JSlanic. Y" Dans les positions que nous lui avons arra-(iu châcs, ronnemi a abandonné 1 mitrail-la" leuses, 7 lance-mines, de grandes quantités rQ® do munitions, do fusils et de grenades a 0 main. Quatre officiers et 170 hommes ont été faits prisonniers. Des doux côtés de la vallée a'Oitoz, de fontes attaques ennemies ont échoué devant la valeureuse défense de troupes allemandes m et austro-hongroises. Au cours de coups à ,r" corps acharnés, nous avons infligé de fontes =e* peines à 1:ennemi. L)n >'o- Armées du feldmaréchal von Mackensen : les Au confluent du Buzaul et oie la Seieth, les Bulgares ont occupé un couvent, dans lequel les Russes tenaient encore. Au nord-ouest de B ra«. lai, des troupes tu r-cne ques ont pris d'assaut la localité de Mi-ste halea. Quatre cents hommes des troupes ur russes quJJ occupaient cêttcr localité ont étj de faits prisonniers; le reste, cherchant ài s'échapper, s'est noyé dans la Sereth. Nous nous sommes emparés de 10 mitrailleuses. Par ailleurs, un fort brouillard couvrait :al les cliam£>s de batailla. FVont macédonien, j ar Des compagnies ennemies, s'avançant! à rts l'est de la Czeina contre Stravina, ont é^ft en repoussées. ►u- « * * Berlin, 13 janvier. — Officiel d hier soir: n- Des combats sont engagés aiu nord do li- l'Anére. • ' • a~ Berlin, 12 janvier. — Officiel : Lo 26 décembre 1916, un de nos eoius-™ marins a coulé, dans la Manche, un trans-? :x>rt d^environ 8,0^J0 tonnes, qui naviguait e sous l'escorté de contre-torpilleurs et à lumières éteintes. * * * d._ 'Berlin, 12 janvier. — Officiel î Au peuple allemand ! Nos ennemis ont laissé tomber le masque. Ils ont commencé par repousser avec mé-^ pris et, en. invoquant hypocritement leur ^ imour de la liberté et leurs sentiments d'humanité, l'offre de paix que loyalement nous leur, avions faite. Dans leur réponse aux Etats-Unis, reniant ces déclamations, ils ju ivouent à présent une soif de conquête, .■t liant l'infamie se trouve encore aggravée iar les considérations calomnieuses' émises s', pouir la justifier. «t Leur but est d'abattre l'Allemagne, de éu morceler Les' Puissances qui comba-ttient à nos côtés et< de soumettre la liberté de 'Europe et des mers à ce même joug que la Grèce, en grinçant des dents, est con-q- trainte eu c» moment à subir. •js Toutefois, ce qu'ils n'ont pu obtenir en la trente mois de combats des plus «angliants ir et d'une guerre économique des moins sorn-ui puleuses, ils ne le réaliseront pas plus à !e aucun momeiit futur. Nos glorieuses vic-toires et La volonté d'airain que notre poule pie a manifestée en supportant, aussi bien n jUica de l'ennemi que dans ses propres ie foyers, toutes les peines et toute» les mi-5: sères de la guerre, nous sonit une garantie ie_ de oe que, à, l'avenir encore, notre chère ^ Patrie n'aura rien à craindre. Une géné-i_ roa.se indignation et uné sainto colère ont \Q îoublé les forces de tout homme allemand, de toute femme allemande, que ces forces soient consacrées au combat, au travail ou à La résignation dévouée et prête à tous les sacrifices. Dieu, qui a versé ces nobles sentiments de liberté cans les cœurs de notra vaillant peuple, nous accordera, à nous et à nos alliés1 fidèles et éprouvés da.ms la tourmente, la victoire complète sur nos ennemis, mal-gré toute leur soif de domination et toute .7 leur fureur destructive. 0 Willielm I. R. :e * * * s Vienne, 13 janvier. —Officiel d'hier midi: ° Frout de l'Est. Dans le coude formé par l'embouchure de ■ la Sereth, les combats continuent à notre rs -avantage. r A l'aile sud du front des armées du co-l- lonel-général archiduc Joseph, des bataillons austro-hongrois et allemands faisant partie des troupes commandées par le général-ma- < jor GokîtUich ont, à la suite d'un! impétueux t ^ assaut, enlevé à l'ennemi plusieurs rangées ! de hauteurs au sud de la route de 1; Oitoz. i Outre de lourdes pertes sanglantes, ce com-u bat a coûté aux Russes 6 mitrailleuses et e 4- lance-mi ni3S qui sont restas outre nos mains en même temps qu'un officier et. 80 1 hommes. Los contres-attaques tentées par les ; Russes ont encore avorté, comme celles des n jours précédent». : r Partout ailleurs à l'Est, çur le front des .r troupes austro-hongroise», rien d'important. Front» italien et du S(ud-E»t. Rien à signaler. u Sur meir. { ^ Au cours do la nuit du 11 au 12- jan- ] 5* vier, une escaidrille d'hycroplanes a très efficacement bombardé la station d'avia/tion < ■- que la défense 'ennemie possède à Beligna. ! t nétrnite une première foi», tor» des attiques < exécutée» par nos aviateurs, le 14 novem- i t bre et k G décembre de l'année dierniére, l ;s. ce; te station a-vait été réorganisée. Les hiarau gam nouvellement construits viennent d' atteints en plein par plusieurs bombes. * * # SoTia, 12 janvier. — Officiel de l'état-1er ma. or : Front macédonien, re- Entre les lacs d) Ochrida et Prespa, le# tre troupes bulgares et alliées ont gta^Mé da iâ* lerraiu. Les aucits fronts, rien d importait mi à signaler, sauf en oeitains endroits, quel-i.n- ques faibles canonnades, in- „ rrout roumain. De? moni-or* ennemis ont caujonné TiA-cea. Cette ville, de môme que lsaccea, a aussi eaé bombardée par des aviareur» cmv-nemis. Des femmes et des enfants ont été tués à Tulcea. De nombreuses maisons jr lo- sont détruites. Devant lsaccea, nous avons coulé un M-;es morqueur ennemi à coups de canon, du • Communiqués des armées alHée* i il- - tes Paris, 12 janvier. — Officiel de 3 «1 à Nuit câlin» »ur tout le front, mt . • * Paris, 12 .'aïKvier. — Officiel d» 11 h. t do Dans les Vosges, à la suite d Une oojs-mt centra.t-ion de feu de notre artillerie, innjo les reconnaissance a pénétré dans les ir'Wiohéeji à ennemies, a réduit les défenseurs et ramené tes des prisonniers. Canonnade intermittente sur le reste du front. * A * " Londres, 11 janvier. — Officiel du soir i ' Hier soir, un certain nombre de petite® llly entreprises fructueuses ont eu un plein succès a lest ce Beaumont-Hamel. i>ur upa lrv front de trois-q.uarts de mille, une tranchée l" ennemie a été prise d'assaut et nous noua y sommes établis. Au cours de L'api'ès-midi, . . ' une contre-attaque ennemie a et' pr.se, ea^ terrain découvert, sous le feu d3 notre aas-'lbl tille rie; elle a échoué avec des pertes pou® , l'ennemi. Nous avons fait 176 prisonniers, 111 parmi lesquels quatre officier». Hier soir, nous avons pénétré dlans le» tranch es ennemies établies à l'est d'Arrneu-à tièrès; nous avons, en outre, inl'lig|é dé fuïu ^ tes |>ertes à l'ennemi au nord^esu d'Y pires. * * • Rome, 12 janvier. — Officiel da grand r: quartier général : dû sur le front du Trentin, activité modéré* de l'artillerie. Près d Aucfeaz (Cordevole supérieur),, des projoctiles ennemis ont touché une de nos ambulances portant visiblement ses signe» distinctifs; »l n'y -a pas eu ae victimes. biu' Le front des Alpes juliennes, l'action u -le l'artillerie a été plus violente de part et d'autre. Nos batteries ont provoqué un incendie sur le versant situé à l'arrière de* monioe Faiti (Karst) et ont dispersé des troupes en marche sur la route de Caiu ziam, dans la vallée de Wipipach, et dans 1 '1 e de Samt-Jean, au nord-est (kl Duino. s la nuit du 12 janvier, (une esca»-drille d'avions ennemis a lancé de non»-1 ' bre uses bombes sur la région d'Aquiletfa; UZi . explosions ont blessé 3 personnes et causé ^ quel'jucs dégâts. Un avion a été descendu s p:ir le feu de nos canons de défense; les f' aviateurs ont été Laits prisonniers. Dans Lemretemps, nos aviaUurs ont efiicacement l>'jni!».i;a< le cainp d av? ar on ennemi ét*£li , près de Brosecco, au nord-ouest ae Trioste, - et le camp d'hydroavions du port de TrieP»; 'nalgré le violent feu: de l'artillerie enma-mie, nos aviateurs sont rentrés indemnes. 16 * u- * * Borna, 12 janvier. — Officiel du mini», an tère de la marine : ts Les sérieux motifs d'ordre militaire qui ix- supposaient à la publication de cette in>-à formation ayant disparu, nous pouvons aim c- uoncer que dans la nuit du 11 décembre le u. vaisseau de guerre ,,Regina Marguerita" » ^ touché deux mines et a coulé. ^ îs La catastro[jhe a été consommée en quél-i_ ques secondes. La co<iue du bâtiment a'étan* je brisée, le navire a immédiatement coulé, et re la plupart des hommes ont „ été engloutis, é- Dos circonstances défavorables ont rend» rit très difficile le sauvetage des survivants ; Jf70 d'entre eux ont néanmoins pu être 2a sauvés. m Le commandant du navire et 14 officiera *3 sont au nombre des disparus. En dehors de la perte du ,,Regina Me*, ts guéri fa", nous n'avons pas d'autre pert» à signaler. En conséquence, les nouvellol )9 disant le contraire sont absolument iA--> exactes. i- . • • te Pétrograd, 12 an vier. — Officiel du gï-eni étaf-major général : Hier, d'importantes forces allennandlQB ont attaqué nos détachements à l'est du vidle^fc de Kalnsten. Nous les avons repoussées paar notre feu et par une contre-attaque. Au sud du village de Zubilno, entre» Via*, le 'l imiir-Voiinsiu et Luck, à 10 vers tes austorti e le Kiieselih, L'ennemi a lancé vers nos pot sitàoais un serpentin, dont il si'est servi >- projeter des liquides enflammés. Puis, n**a» ls avons perçu un sifflement de gaz.; cette .e nappe, d'abord de couleur jaune et verte, t- est devenue ensuite blamohe; avant d'atteint x dre nos tranchées, elle a été dispersée p»e ss le vent. L'attaque au gaz a duré deux w&-i. nutes et ne s'est pas renouvelée, i- Au cours d'un vol de reconnaissance Cfi» ït fectué dans les environs de la vallée <îa lii s Putna, un de nos aviateurs a rencontré dent 0 appareils ennemis; il a engagé le onanhat s avec l'un d'eux et l a forcé à atterrir. « Au sud de la rivière d'Oitos, lfennemi * attaqué nos détachements et les a Lé^çùj»-« ment refoulé». S. L'ennemi a attaqué les Roumains à l'ouest de Monastirka et de Casinul, sur la C*> sdim; il a été repoussé. Dans cette rég'ion^ les Roumains ont prÎ3 à leur tour Foffem-sive; sur les hauteurs, ils ont repoussé i- l'enïiiemi de deux verstes vers le sud. Tout aussi vaines sont restées d£a n ques ennemies dons la région situ** «e .. nofî'-ftst de Campurile, sur la Susita, ans»i s que près de Kofiumikhali, à 8 verste» M i- sud-e*t dje l'embouchuit du Buzm. Dimanche 14 Janvier 1917 JOURNAL QUOTIDIEN — Xjo JSTuméro t 15 Centimes —■ — I 111.1—iwqi.i. wiiiHiii 11w,i— II «mu.Dii— .111 i»,iwwi»uii.iiw., ii.iiu ■•«.■wr,taaMna 4' Année. — N* TTB -jiinuiuuL-nM)-

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Cet article est une édition du titre La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie appartenant à la catégorie Gecensureerde pers, parue à Bruxelles du 1914 au 1918.

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