FR!X DEii ABONNEMENTS AnMIîMïQTRATION FT RÉDACTION Petites annonces. . ..... te- lign», fie. fe»S$ » mois (janvier), fr. 2.55 | £ mois (janvier-février), fr. 5.18 „ ADMINia iKA HUN E1 KfcUA^ > ,f Eeelam» avant les annonce» . . 1.25 8 mois (janvier-férvrier-mars), fr. 7.65 S1» Montagne-aux-Kerl>es-l?otaçrères, MRXJS^L^ES > Ccrpg 4a jouiual ...... « ë.O* BUREAUX ■ CE 9 è 17 HEURES PEK CES ANNONCES Faits divers ........ <-* 3s7f Lu demande. d'»bonnemeni sont r.çusc ..^^ZZZZZ ^ Nécrologie. . - *.88 •xcluslvement JOS. MORESSËE, DlRECTEUB ° _ par Isa bureaux et les facteur, des psat.K . Com dca Eleveur» ~ t.06 Aujourd'hui : DOUZE pages' LA GUEfIRE S749 Jcui1 tis gusrfô 1/énergique mouvement offensif qus» le» français ont développé ao_ début & la f-e-«aine au nord dte Verdun n'a pas *a d!e knoicsnam, comme la réduction dsâi «miniur aiqués de Pairs nous l'avait d,u resta fait ■apposer lundi dernier. En fait, Uattaqu« qu'ils ont réussie 6iir Sa riVe droite de la Meuse rentre dans le cadre des opérations que les belligérants ont de p$rt vit d'autre assez fzvjquunuicnti poursuivies ce$e année sur le front dans F Ouest. Oe» opérations consistent à concentrer pendant des mois, devant une Rectum plus ou moins importante au. front de l'adversaire, des masses d'artillerie approvisionné de munitions en surabondance, puia de bouleverser par le feu des canon» urne série de tranchées et do positions en eznpô-chant simultanément l'ennemi, par un for-raidable t^r de barrage, d'y envoyer cM reinv-fort» et du ravitaillement. Chaque fois qu'une de tes opérations est! mianiieusement préparée, elle vaut £ l'assaillant un gtiin de terrain et un butin plias ou moins considérable. Lia difficulté n» commence que lorsqu'il ff'agit dfûimipili-fier ce gain... Allemands, Français et Anglais ont pu «'en convaincre ceite année, aussi bien. à Verdun que dans la Somme. Depuis février dernier, des luttes gigantesques ont été engouées dans ces deux secteurs et n'ont produit finalement qvs le résultat à pou près mul que njou» faisions prévoir dans not<r« ,,Jour (La guarré" du dimanche 15 octobre, dama les termes suivant» : — Si les opération^ rc changement pas bientôt afc radicalement d'allure, les -Alliés réussiraient tout au plus à reconquérir an Picardie, d'ici à la fin dto l'année, les quelque trois cents kilomètres carrés, de terrain que les Allemands leur ont pri# dans la région cîe Verdunt, et i>ac suite, malgré les etforts gigantesques dos belligérante, la situation sur le front d;ins l'Ouest resterait - la fin de 1916 identique à celle de la fin de 1915 • deux million s d'hommes pçr-.t être Iy auri rvt donc- été rois hors do ûontbtiten pure perte." Les Français ayant, (depuis ia fin d'octobre-, reconqtuis1 ou nord de Verdun une quarantaine de kilomètres carrés du terrain qui leur y avait été enlevé par l'armée tîn iCronprinz, on peut dire que nous nous trouvons trèvV approximativement devant 1a • situa lion décourageante que nous avions ainsi caractérisée. A juger les choses uniquement du point de vue militaire, il »'y a pas de» raison pour que cela finisse... • • * 1/allure beaucoup plus ©aime qu'an® prise depuis hait jours les opération»1 tsn Vala-ehie, montre qu'& tout le moins une première phase da la campagne de Roumanie efi* terminée. Sans doute la- plupart des critiques militaires sont d'avis que le maréchal von Mackensen ne tardera pas à mettre à profit!, les ^v&ntages «tratégiques Bèluiîjtîant) de l'apparition de ses armées à proximité éta la vallée du Sereth. De nombreux journaux; de l'Entente se préoccupent de la menace qui ptae de ce aôté sur l'erftrême aile gauche des Russes, et Insistent *nr \* eon-féquenees funestes qu'entraînerait le moindre reveis pour tout le front méridional rusee. ( Ces craintes!, certes, ne manquent point de fondement, mais on peut les tenir pour prématurées. Les Russes ont eu le ïenij-fi ^ s'établir solidement en Moldavie fcir la frontière austro-roumaine, et ils doivent en ^ outre «'être mis solidement sur la défend rive dan» la vallée du Ssreth et dan» leg secteurs de Foesajji • et de Galatz. D'autre parti, après l'jeffort gigantesque qu'il a «xig'é de ges armées pendant les {sois der-niors mois, le maréchal von Màck«aseu est sans doute plus préoccupé de consolider fies importantes conquêtes que de viser lmrné-diatement à les étendre encore. Quoi qu'il en soit, et «ans «e dissimuler que la situation' en Roumanie sodt encore giosst de surprises, on doit a&m«<ttre que les Pluii'ssSanc'as centrales y on* obtenu des ré«utts>ts d'ums importance telle qu'elle pourraient déjà aisément s'en déclarer ra-tkfairas. En effets, i% secteur die (Bttzeu avant été largement âlépass^, la ^utte ee trouvant transportée au delà dn Calmaini et_fe5 fisses étant, dans l'extr^Me nord de la Dobroudscha, acculé» au Danube, .sile» tiennent omtre leurs main» environ 1<QQ,000 i.ilomèAree .carré», soi! le» sept dirièmea ûu territoire roumain. On sait par ailleurs que tes riions qu'elle» occupent sont précisément à tons les points de vue le* plu» riches àte ta Roumanie» « En outrer l'occupation de IBucaiest et la posBeKsiotn de la majeure partie du réseau «s chemins de fer roumains lenr fournissent vie base d'oy^ration très avantageuse. Cdlja iîSSSl ^.p^^rement l'ensemble de leur . situation militaire dar.a- h? Falkan : elles il*». «« ^ ^ «ompromettre par un excès de précipitation. Une note du Président des Etats-Unis Par ordre fa Président Wi]«on, M. J C j Grow* chargé d'affaire* dies Etats-LTn'is ' ô jewJi aodr au secrétariat d'Etat dtii 1 affairas étrangères à Berlon ueo note dunt voici le texte : — J'ai l'honneur de Taire savoir à Votre Eroellence qu® le Président dc« Etats-Unis ma donné l'ordr. de proposer a a gouver-;nKn®ï allemand, par l'intermédiaire dia I • • E., une démarche relative h la pierre Ifrésente. Le Président eai-ire qu>* le gou-l^rBamcnt inypérial allemand eonaidéi«ra que jwteJjéknarche est faite dans le gantiœanto a» plus amicaux, non tealeincnt par un Ef» en«1°<!me ^P® r*r !e rspi*sen-dune natiho neutre dont le» fcté,êmont ^ .ériecugment affeeMs par !a «marre r. ' ^ dé4il de voir «a terminer prompte- msnt les hostilités s'Explique par 3e *a£i qu'elle serait fatalement, a ia sonflit per duraiit ptfus longtemps, forcée de prendire des mes ures pour la meilleure protection de sed intérêts. ' Le Président avait depuis longtemps songé à Caire la proposition que j'ai l'ordre de vous transmettre. Il ne le ûanï eu ce moment qu'avec une certaine hésitation, étant donné qu'on pourrait croire qu'il est mû par ïe désiir de jouer un' rôle en connexion avec la .*écente offre die paix dss Puissances Centrales En réalité il n'en est rien et le Président aurait a;tt«ndu^ pour feire sa proposition, qu'il eût» été r^ondu è. l'offre des Puissances Centrales, s'3 n'avait pensé que sa proposition ayant trait eilû aussi à la question! de la paix, on serait -à m urne de mieux discuter cetue-ci <ti F on en était saisi en môme temps. Le Président insiste pour que If on n'ap-^rr-'cia ea démarche qu en considération de «a valeur propre et de ia même manière qu'on l'eût appréciée en. d'autres circonstances. Le Présidions propose de saisir le plus tôt possible l'occasion: de connaître I» manière de voir des Etats belligérants concernant) les condi tions auxquelles la guerre pourrait 6tre terminée, et concernant les mes urée qu'on pourrait prendre en vue de se garantir sé-rieusoment dans l'avenir contre le reinou-vellemmt Od la gi£<iire on d'un conflit aim-logue quelconque : on aurait die la sorte la possibilité de oomjparer leurs oondâtioas. Le choix de: migrons à employer à cet effet sst indifférent au Président. Il disposé, en ce qui la concerne, à faire pour y parvenir ses offres de services de toute manière qu'on Jugerait convenable ou m fane à en prendre l'ic:- "^'îve; il n'entend pas fixer le moyen on la voie à suivre, mais agréera toutes les voies qu'on «ugg^cra «t qui seraient susceptibles de faire atteindre le but élevé qu'il^ poiursuit. Le Président prend la liberté die faire ressortir que les buts poursuivis- dans cette guérie par les: hommes d'Etat des deux partis belbgérants sont identique1? dans leur essence; ils les ont, en effet, fait connaître dans leurs lignes générales à leurs peuples où aui monde. I^es deux pai is désirent que les drodls et les liberté» des peuples faibles et des petits Etats soient garantis à l'avenir oontie l'oppression, aussi bien que les droits et les liberté» de» grand» et puissants Etats qui1 font la guerre en ce moment. Tous dcwtx désirent s® voir garantir à l'avenir, c© même eue toutes les autres nations et % tous ie* autres peuples, contre le renonvûfîetthent rVuce rj,ierre pareille à celle d'auOour^.;hni, adnsi que contre des attaques et des chicanes égoïstes de flous genres. Tous deux se croient le droit d'em-visaîer avec méfiance la constitution par leur adversaire dq groupements puàssamta qui créeraient une atmosphère de suspicion croissante et aboutiraient à un équilibre incertain des puissances, mais fis sont dtepcs5tf dn revanche à prendre en considération la constitution d'une ligne de nations capable l'assurer le règne de la paix et la ^.lytice dans le monde entier. Tous deiix estiment néanmoins qu'avant de «'occuper de cette ligue, il s'impose de donner une soluition autx problèmes soulevés par la guerre actuelle dans des oonditio'is garantissant de manière certaine ^l'indépendance et Fintégtdté ter^itoriaieîï, ainsi que la liberté politique et < .*xnocuique de» nations qui ont pris part à la guerre. Le peuple et le gouvernement de» Etats-Unis ont un imfcérct tout aussi urgent et direct que les gouvernement» des pa^ys actuellement en guerre, à voir prendre le» mesures capables d'assurer à l'avenir la pa^x an. monde* Leur intérêt dans les m - ures à prendre pour protéger les petits peuples et les faible® f^sm-fcre les jnjustioes et les violence» est tout aussi vif et aussi impérieutx que celui} de tout autre peuple ou da tout autre gouvernement quelconque. Le peuple et le gouvernement américains sont disposés et »e voient même forcés à travailler, après la fin de la guerre, par toutes lss influences et tous le« mo^-ens dont sis disposent!, à attedndre ce but; mais il fafct qu'au préalable la guerre «oit terminée. Lea Etais-Uni» se refusent à proposer les conjMti'ons sur la base desquel tes e51e doit se terminer, mais le Président considère de son droit et de «on devoir de faire ressortir l'intérêt qu'ont les Etats-Unis à l'apaisement du conflit mondial, cîe tfefle sorte qu'il ne soit pas trop tard pour atteindre les grands buts qui se révéleront après la fin de la guerre, que la situation des Etats neutres, qui. est dé;à maintenant axtreonement difficile, ne devienne pas complètement intolérable, et que surtout on ne-cause pas à la civilisation des dommages irréparables. Lo Président se sent à cet effet pleinement en droit de prendre l'initiative de provoquer un échange de vues concernant les connitions préalable» à la conclusion de la paix mondiale, conditions que chacun désire et aucoquélles les Eta ts neutres tout comme les Etats belligérants sent disposés à collaborer sans se soustraire aucunement aux responsabihtés. Si la guerre devait continuer jusqu'à ce qu'un lent épuisement v mette fie à une époque qu'on ne peint prévoir, jusqu'à ce que l'un ou l'autre des groupes belligérants soit usé ; si de» millions et encoie des miiUàkxng (J'hjomrnes devaient continuer à ûtre torturés; si de l'un ou de l'autre côté ou, dédiait de tout sacrifier, «'il venait à s'allumer une colère qu'il serait impossible do îalmer jamais et rai engendrerait un d^es-poir dont personne ne pourrait »o relever i'espoir de la paix s'envolerait) et la collaboration pacifique des peuples deviendrait m possible. La vie du mondé entifer est pxo-'ondément atteinte. Tous les membres de la grande famille humaine ont subi le poids et les horreurs d'une guerre jusqu'ici sans exemple. Il n'est pas dans le monde civilisé une seule nation que l'on puisse considérer 3omme sc trouvant réellement en dehors do l'influence de cette guerre ou à l'abri de son action perturbatrice. Cependant, les buts concret» pour 3e&-jjuels on fait la guerre n'ontfc jamais: été dé-îidtavement établi». Comme il ^ oi-lessus, les dirigeant» des diverses puissances belligérantes ne les ont fait connaître iue par des formules générale». Pria dans généralité», ces buts semblent £trç idfeiL-iques des deux cotés. Jusqu'à présent >orter£arola responsable* des dcoix partis Jt n'ont jamais Indiqué les buts précis! qui, av > s'ils éfcaienA atteints, donneraient satisfaedon tu ,s aux: dirigeants et lem ^ peuples à <el point qn 0 qu'on puisse dire que la guerre a «té effer- Cfx. tivement menée à bonne fin. Il» ont laissé au 1011 é monde le «oin de pressentir à quel résultat Pi a définitif, à quel échange effectif de giaran-j tâes, à quelles modifications,, à quels chan-é gçments politiques et territoriaux ou mémo a à quelles phases de succès militaire dloit if a aboutir la guerre. r. Peut-ctre la paix ^ïfc-ello plu» proche q^e pa X nous ne le croyons; peut-être les conditions ^ 5 que les deux parti» belligérants jugent né- 1 I ,! cessaire d'imposer ne eontj-elles pas si inoon- ao _ ciliables qu'on te craint; peut-^tre nn foa échange do vu» porarrait-iv au moins apla- iin nir la voie ver» une conférence; peut-être, i i a dans un avenir prochain, pourrait-on oares- go: ser l'espoir de voir les nations conclure un la accord durable et réaliser bientôt le concert co-~ des peuples. Le Président ne propose p«s la paix e>1' 1 n'offre m âme pas son intervention; il de- W. . mande seulemeni qnje l'on sonde le terrain ^ de terre sorte que les Etats neutres et bel- v* g ligérants cachent à quelle distance on pour-^ rfl.it s'être déjà rapproché de la paix que ^ l'humanité entière attend avec un ardent \rc ^ eî croissant désir. Le Président croit • que ^ reeprA dans lequel il f<arle et le bmt qu'il l^n ] pouraoïit seront compris par tous les mité- en. ^ ressés ; il espère avec confiance une réponse qui jettera une lumière nouvelle sur tes J, affaires du monde. ^ Je profite de cette occasion pour assurer r nouveau Votre Excellence de ma con- |!e " sidération distingué». I (s) GREW. et qju s A Son Excellence M. Zim-mermana, bea - ^crétaire d'Etat des affaires étrangère»;" erJ « tac La note de M. Wilson eî la presse sis , ' tes NefWMYorir, 22 d-écembre : ^ L'initiative du gouvernement améirioain a été très chaleureusement accuedillio par le / Congrès. ïous les membres républicains et J* démocrateH du Parlement ont, sans destine-tion de parti, acclamé avec joie le mouvement pacifiste amorcé par M. Wilson- De> personnes! compétentes soient qne les belli- , géivuU'ts se mettront d'accord, en ce sono qu'ils se déclareront prêts à s? r utnir ixm'r discuter provisoiremo.jt leurs- conditions de ai: paix. ,'Cte dlùlibératioas, senuent, d'après 5'p l'avis (dominant dans les milieux dii^loma- ''' tâoueflt de Was'hinigtonu conduite» par vi> i 1>!( collège de trois personnes : le gronpe des "J puissances de F Entente et le bloc de l'En- au ropd centrale déDôguerai&nt ch omi un rc- av présentant, tandis qu;un Américain ferait en quelque sorte fonction de conseiller in . r-partial. Les négociations de paix propres-ment dites seraient entamées ultérieurement, à moins que le triumvirat n'arrive à la conclusion qu'il n'evt pas possible de trou- ! ^ ver une base d'accord. | cy.. ^ Le ,,New-York World'7 écrit) qu'alleu i j des belligérants ne peut s'oppose^ à la pj 3 première dftnarche de Mu Wilson. C(.: Le corresponJcEant à Washington dlua,Dai\y aé Mail" annonce que M. Wilson a agi d'ac- -JlT1 uord et avec Paide d'autres1 nations neu- ro tresi qui avaient diémandô que le& I^ata-Unia mL prissent la parole pour tous. m & « New-York, 22 décembre : ^ La ,^Cw-York Tribune", j'ournal iéjpr- cai blicaiii très anglophile, regrette que le pré- au «ulent Wilson ait cru devoir*en ce moment Jyff faire des démarches en faveur de la pai).>, étant donné que quelque loyale» que soient ses intentions, elles sont de nature à compliquer encore davantage et à obscurcir la ^ situation'. . -1; Le „ New-York Herald" estime que les w forts de M. Wilson seront vains si l'on tente die jeter la suspicion sur ses inten- rx)] dons. Cologne, 22 décembre : Oni mande de Berlin à la ,, Gazette d>" Cologne" : — Personne ne méconnaîtra et personne ^ ne cherchera à affaiblir l'importance d(u geste / dia M. WilsOBU Le Président a déclaré que sa démarché n'avait aucun rapport avec l'offre dfe paix des Puissances centrales et cefàe> déclaration eet nettement confirmâe à Berlin. La proposition de la Quadrupliez sai a été spontanée et »'est procuile à fécaïc de toute influence quelconque, dlins le désir exclusif de mettre piati^ueimePXl en valtui- 1 sa situation militaire. sée La démarche de M. Wilson met uni terme aux tentativee faites par nos ennemis do \lr montrer dan» notre oitie une preuve de no- |aei tre fîiiblesse. Il faut attribuer une valeur *CI3 partioaliJère au fait que M1. Wilson n'offre 3 pis d'intervenir, mais désire simplement ] exercer une iofluenlda génléralo sur lei tflm- w diance» pacifiques; or, il est encore trop tôt SQl pour savoir si sa. note aura cet effet. Oefla dépend essentiellement du point de savoir p si elle est susceptible d'exercer une in- ' fluence but la réponse de l'Untent» àl la 1 note de la Quadruplice. Cette réponse n'é- ] tant pas encoie connue et personne ici ne bon sachant) même «i elle est rédigée, il est pré- lée maturé de- dire si l'ErfenJte cons^Sirn ou le non à se laisser, pour ea rédiactiom, inAnen-cer par la note de M. Wilson. T1 y aura lieu de revenir encore star les détails de certfie note. Mjaiai. dè»s maintenant, .; étanit donrué ce que le Président dae Etats- ^ Unis dit de la sécurité nécessailre aux pe- -tâts peuples, on est en droit de dire sans « vouloir aucunement rapetisser le point d*> ^ vue des droits des petits peuples, que la guerre mondiale intéresse le sort des gtran- ®1(. dés nations an moins touit a|u!tan4 sinon plus que le l«ufr. L'accord conclu entr^ le- aVi puissances d« l'Entente au sujet du: partage ] de la Turqni» montre clairement dans quebe ] mesure le 6ort des grandes nations est en n jeu. Nous n« discutterons pis le point de ' savoir »i M. Wilson n'en vis» pa,^ ia ] tuatien d'une manière trop optimiste. Dans « le» discour» de» ministres de l'Entente on der parle avec un tel acharneiment d'anéantir, ^ de châtier «t d'éliminer le militarisme aile- wi mand et l'on précise de telles conditions préalables^ qu'on en vient à douter qu'il existe dc.^ indteos cte rapprochement. On ne il saura s'il» existent que lorsque la réponse 1 officielle de fEntente à l'offre de la Qua- jau . connue. 11 faut donc attendre, bie ,vant d'émettre ujato appredaiioin! eer l'^vm-,uei eîïe^ 'ie La dlémarohe do iL Wilson, fa'il soit établi que la «t&onié da n<^ocier txiste. Ce» réserves n& «^Lveait vxzielois di-oiuuer en rien l'importance Ja note» du Résident des Etats-Unis." . m * s rl. Londres, 23 décembi-c : Du. ,,Daity Clironicla'' Kur la nota de i. Wilson : — Bien ne causera aux Anglais, et non sas à eux seulement mai» encore àtoiusles «prit» libéraux dan» fouefit et le »ud de 'Europe) une peine plus grande qwa la «te <te> M. Wilson^ gai se constitue au and qu'un: complément de la note de Serin... Qu'ont fait 1er Allié» pour mériter 'injnre constituée par le faim que M. Wil-on attribue aux promesses de 1;Allemagne a» même valeur qu'aux Sepr» f M. Wils^xn a ommis une gv^ndif; faune.'' I>u „ Daily Mail" ; — Il avait été répondu à la note de M. TilSon dès avant qu'elle eût été transmise. >s ooavEtiœis des Alliés sont connues die ont le monde. Il ««t impossible dte parler e paix, sous quelque forme -que co soib, -vant que les Allemands . aient rdpassé leurs routières. Les 'Etats-Unis ont) contracté vis-r.vis de la France, leur Répnblique-filvTnr, i ne dette immense qu'ils" ne peuvent, payer n lui conseillant une capitulation." Du îrDaily News" •. •— La note mérite d'être prise respeo-ueusement en considération. Tout lo' monde .pprécie l'intention'de M. Wilson. Toutefois, 3 Président est bien trop prudent pour as-umer le risque d'une intervention éventuelle t augmenter le nombre des peuples impli-jués en Europe dans une lutte pour la !i-erte plus violente que .celle que Lincoln ut jadis à soutenir en Amérique. Sa note m reste n'a pour but que de prendre con-aet. Le Président entend se retirer s'il con-tafie que l'eau devient trop profonde etafc-effidfre alorsi une occasion pilusi propice. Du lomanij que l'Allemagne ne consent pas en-oro à reconnaître qnol e&t Passaillant et piefl. est lo vaincu, il faut continuer à sa lattrei : dès lo»rs, on ne voit pas que l'inter-rention d'un tiei-si puisse se justifier,." w ♦ * "Londres1, 22 décembre : Le „Daily Grap'iic" "estime que la, note e M. Wilson montré que le président de-; ^ats-Unis ne »smble pas encore avoir saisi njourcVh ni la cause de la guerre. M. Wil-on parla comme un pion ordonnant à ses i KStes de cesser de se battre pour le sim-►!? motif que tapage l'incommode. Le jD nily Oraphic" ajor.te que le "Pré-sid'?nt •urait bien mieux fait de se renseigner vaut de parler. L'OFFRE'DE PAIX Ziurich, 22 décembre : Oml mande de La Haye à la „ N'eue Zur-her Zeitung" : —• Quoique la teneur de la réponse de 'Enltente à l'offre de paix des Puissants entralesi soit tenue secrète, on estime gé-léralement que son te^te ne conslitue pas m refus formel et que les Alliés demande ont à oonîmailire les conditions do l'Alle-aagne."• 4> 6 Londres, 23 décembre : Le „Daily Mail" affirme < qu'il existe des ïvergences de vue» au sein du nouveau abinet à propo» de la réponse à donner ux Puissiinces centrales au «ujeîi de leur' ffre de négocier la paix. *** Londres, 22 décembre • M. I/ees iSmith, députa libéral^, a déclaré 1 la Chambre des Communes, que les eol-ats sont tous d'avis qu'il fiant discuter ayalement la paix. M. (Bonar Law à ré-ondu à M. Smith en prononçant un dis-ours injurieux poux l'Allemagne. SURJ/ÎER Londres, 22 décembpa ! Lea vapeurs anglais „Bayhall" (2,534 tonv, «S) «t „Liverpoc»y (668 kanffi), ainsi que s vapeur norvégien „ra!i" oui é4é oouléa. ' Londres, 22 décembre : Le vapeur norvégien ^fodio" a touché ne mine et a coule. L'équipe#» a été j auvé. I Eorlii!', 22 décembre ! B'aiprèa d« nouvelles da eonree antari- 1 5e, «àze navires, jaugeant ao, tol.il 013,000 1 innra, ont été coulés pemîaat les «femiires ingitquatre heuire». Dix d'entre eus aippar- ' eunent au:; puissances en) guerre avec l'Air rnag-no. Paris, 22 décembre : Le „Petit Journal" jipprcmd de < u'on a remarquéi, oen jour' derniers, déuK '' ms-marius évoiuaut entre Gùwa, Nci-vi ov jienzano. Les vapeurs transatJanHiquea \ irrinoipe" et „Tonna" omit été couliis. Parie, 22 décembre : Le „,Peiit Journal" apprend fla Ohep-aurg que la goéiotia »,-Alerte" a été eour 1 e tandis que gon équipage fut sauvé par I vapeur „Ta,jo", eapendatU^ ^échoua 1 œ le brouillaiti, près dn cap Levi. 1 LomcPneS, 22 décembre : *" Llojds annonoe que le vapeur triton- » îque „Ma-res", jaugeant 3,564 tances, a 'i 1^ vraisemblablement ooalé. Le vapeur norvégien „Avona", jaugeant , ,896 tonnes, a été coulé. _Les éqiuipagts du vapeur danoie „Ghaa- ' ii. Maorskam" et <b va:peur anglais, ,Bav. i ail ' ont été aauvés ; i>s» dfeùi navire» vaioit été ooulé&;. Londres, 2J décembre : 1 Llojyds annonce qu* le vapsni anglais Honna" a coulé. S Paris, 22 décembre : j Suivant une information eorrov^e ^ îaui a» ,,Pe& Parifàen", phiàiefœm ttivi- mareh&nds ont été armés <3r oanons en 1 uie de se défendre eontr. l» «uaquea de ïus-ma.riine allemand». ' ' < ( [Batavia, 22 Sécemhre i | Le navire hollandais „vaœ Elsbroeek^', i ungcœnj 1,629 toione*, coras et i iena. . . COMMUNIQUÉS OFFICIELS xt, x r., / . j> i—» Communiqués des Puissances Ceairaies» t Berlin, 23 décembre. ►— Officiel de ce nidi : c Théâtre de la guerre à l'Ouest. r Armées du felldmatréchal duc Albrooht de Wurtemberg : c Iiiqr, dans la boucle d'Yjpre» et de Wyt- t: whaete, le duel d'artillerie est devenu très d dolent. Au! sud d'Ypres, dee détachements an- t ;lais ont passé à l'attaqaei} ils ont éfè re- 2 jouisses par notre feu et, à un seul en>- a boit, au cours d'un corps à corps. Au sud do (Bocsinglie, quelques-unes de f 10S patrouilles ont pénétré dans les tranr aiiéeJs ennemies et ont ramené des prison- u liers, des mitrailleuses et du butin!. 2 Armées du prince héritier allemand : Sur le front de la Champagne et de la kleuisie, faible activité de l'artillerie» Dans les Vosges, au nordK>uest de M*in- Ç iiter, des détachements df éclairerars aile-aands ont enleva un poste de sapes fran^ aises. ^ , . ,n., fi Près da Frappedle, à- l'est dé> SaintKUie., .u sud du canal du Bhin au Pvhône, nous | Lvous repoussé des détachements français lui ont attaqué après une forte préparation ^ l'artillerie. J Théâtre de 1a guerre à l'Est. c Front du feidmaréchal prince Léopold da 3a\ iora : ( Rien d'essentiel à signaler. ^ ® Front du générai-colonel archiduc Joseph: 't Dans les Carpathes, multiples entreprises le patrouilles au cours desquelles nous i\ i>ns fait dies prisonniers et cax>turé des nitrailleuses. . Au sud do Mustecanesci, des détachement? f uiRtrorhonjg'pois ont repris aux linsses une _ ositLon avancée réo^mment abandonnée. , Armées du feJdmar'chal von Macketnsen : . Dans la Dobroudscha, les Iroupes ooali- | /-e-: Oui i pris d'assaut plusieurs positions 1 usses d-arri; regardes et ont occup Tuilcea, 1 sur ie Danubs inféiionr. Le nombre de nos J ni>onniers s'élève maintenant à plu» die ;eize cents;, nous avons pris, en ouire, plu- ; ieuff» mitrailleuses. Front macédonien. Sur lo lac de Doiran, canomiade». Dans la' plaine de la ôtrousna, engage-nents enire avant-postes. / M * * Berlin, 23 décembre. — Officiel d'hier loir : A l'heure présente, aucun événement par-iculier n'a encore été—signalé dés djifio-:ents fronts. • » Sofia, 21 décembre. Officiol de l'état-najor : j Front mac éd: ( n ien : Ans environs de Bitolia, coups de ca-lon isolés de la part de l'ennemi; dans le x>Uk!e formé par la Cz€»:na, violente ca-îonnade. Une attaque tentée par l'ennetni lontre une hauteur à l'est du point 2050 a ité repoussée par des troupes allemandes à .'aide d)e feux die barragje et à coups de frenadas. A l'est de la Czerna, canonnade intense. Sur les deuix 'rives du Yardnr et sur le iont de la Belasitza, canonnades localisées e la part de l'ennemi. • Le long de la Strouma, canonnades et .encontre^ entre patrouilles. Des détache-nents d'infanterie ennetmie ont tenté do Drendre pied au sud de Sêrès; ils ont été Lispersés par notre feu. Front roumain : Dans la Dobrouctoc-ha, des combats «ntre patrouilles se sont engagé» sur toute la igné de front. Dans la Valachie orientale, rien de nouveau. y Constantinople, 22 décembre. — Ofiicuefi. ^ a grand quartier généra! : Front persan. Au nord d'IIamattan, le» Russes ont te(nté ^ 1 différentes reprises ^e nous adifaaqmer à 'improviste; ils ont été repous'sés et ont . ssuyé ces pertes. p Sur le front d» Fehalie et dan» les po- J ition? établie» au sud de Fehalie, les dnPls ^artillerie continuent. ^ Sur les autres fronts, rien d'inuportant à , ignalar. ^ p Communiqués des armées alliées < " n Paris, 32 décembre. — Officiejl de d heures : Action d'artillerie assei vive dan» la ré- ion de Louvemont (rive droite de la teuse) pendant une partie de la nuit. r Partout ailleurs, rien à signaler. • s, • * C Pari», 22 décembre, j— Officiel de Cj 1 heures : Au cours de la journée, la lutte d'artil-. !rie a été assez active dans la région) de ouvrage de Hardaumont, |de .Louvemont ei d os Chambrettes. g Plusieurs coups de main effectués par. nojs I l'est de Saint-Mihiel, dan» le bois do r 'éréchante, à la Chapelotlb (nord de Cel- G ss) et dans la vallée de la Pavé, nous ont g ermis de détruire des petits postas enno- li lis ef- de ramener des prisonniers. n Canonnade intermittente sur le redte du 6i 'ont. 1' **• . ° Pari1', 22 décembre. —• Officiel de l'ar- 01 lée d'Orient : Combats de patrouilles aur le front de la trouma. j, La lutte d'artillerie continue dans la réu c ion au nord de Monastir. * * * Lcndires, 21 décembre. ^ Offictel du n rand) quartier général : Pendant la nuit dernière, nn fort déta-hement emneçmi a tenté un' Coup de main ^ on tre no» ligne» de Lena. Un petit nom-re d'Allemands seulement ont réussi à pé- c tt»irer dan» no» tranchée». Il» en ont été r mmédiatement rejetés et se sonit retirés; r en* d/avoh» pa* vain da mte* «ePAUto. 1 ranchées alleimanides établies au «od-ouasi PAmuemtières. Au nord' -d'Arras1, au cours: du raid fi' jnalé hier, plus de 50 prisonnier» toai •ostée entre nos mains. L'artillerie a continué à être active pea [ant toute la journée, paitic-uLièrement ûu-re l'Ancre et la bomme eft dans la régiow ' Ypres. Nos aviateur» ont profité de TaméiLior»^ ion du temps et ont déve'oppé hier Wtf candie activité. Ils ont lancr- une tonne ^'explosifs à l'arrière du front ennemi è er^aàns endroits offrant de l'importance a^ K>int de vue militaire. Au cours de nombreux combats aériens^ in ap[pareil allemand a éjté descendu *t u» tutre, avarié, a été obligé à atterrir. Quatre de nos avions ne sonc pas xeiitrés, * • * Rome, 22. décembre. — Officiel du grand luartier général : Tout le long du front, activité locale <h 'artillerie. Sur le Karst, avançant par bonde succès* ifs, nôtre infanterie a occupé quelques po< litdons ennemies et les a immédiat^mcart ortifîées. Des aviateur 1 ennemis ont tenté quelque» aids à l'arrière de nos lignes; ils ont é*é •apàlement distpers'-s par le feu de nb» ;aaons de défense. Quelques grenades sont tombées sur'Gri^n». vallée de Sugana), suir Calalzo (Piave) et lur Yertoiba (sud-ouest de G<»rz) ; les explosions n'ont jias fait de victimes ni occ& kionné de dégâts. * * * Pétrograd, 22 décembre. — Of'iciel & *rand état-major général : Sur le Stochod, nos éclaireur3 ont prot îoiicé une reconnaissance heureuse à proxi-nité du1 village de Golenin; il» ont tait J Allemands prisonniers. Le 21' courant, notre c&pitii neraviatep^ RLozakof a descendu, vfér» 3 heiires 1 -P après-midi, un avion autrichien qui ,e-lait de survoler 'Luck. Lo pilote — tai îpusK)fficior — a été tué-, et l'observateur — un officier — a été blessé et fait pri^ àonnier. L'appareil est détruit. Au nord de la voie ferrée Zloczow-T**u lopol, après une violente canonnade, l'tn-aemi a attaqué nos détachements dans îf. région de Zwyzyn. Malgré notre fetH, i\ >'est emparé d'une partie détiiiite die notre ranchée. Ensuite, attaqué en flanc par ni-pagniet s-> trouvant à pjroximibé, il i ité repoussé. Sui* ia Bistritza, le feu de nos canon» a orcé à la retraite une compagnie ennemi» jui approchait de nos pjostes établis pré® lu village de Kriwitsj. En outre, notre^ ar-:illerie a dispersé une colonne ennemie fort» Fenviron deux compagnies, qui s'avançait par 1e sud contre le village de Klebkow. * Sur la rive gauche du Danube, de faibles entatives faites piar l'ennemi pour j^asseoc i l'offensive ont été enrayée» par notre fea. Dans La Dobroudscha, <fts troupe» onne« nies sup«'rieures en nombre ont attaqué no^ îétachements sur tout le front. Après avoir résisté, nous avons commencé à nous reti-:or vers le nord. Au cours d'une brillante attaque, Wj. dfe 20s régiments a rejeté sur une route étroite st maiNScageuse les Bulgares qui s'avançaient à l'est du lac de Babadag et qui dé-x)ucôiaient du village d'Enisala. La pln-Dort d'entre eux »e sont noyés. Nous avon# 'ait 115 prisonniers. DANS LES BALKANS EN GRÈCE Londres1, 22 décembre : On manda do Syra au „Timcs" i •— La situation à Athènes resta toujours . ibseure. Les ministres des puissances cUi 'Entente sont enoore au Pii^e. Los cîfel» n blocus se font sentir peu à peu. TJn agr-ain nombre de veniaelistes ont été mis cm iberté; d'autres restent emprisonnés. Li «ru militaire gagne toujours davantage Cf. erraim. Le trftnBJiort de» troupes dans le Pél<>-ïonèaa a commencé. La moitié du S5e r&« ^ment serait para pour le Sud. tl'outêfoia, 1 est urgent que les Alliés survcàlUint aouvom©nts. Les réservistes grecs essayent par too# îs moyens lie s'opposer au départ des trou*. es. L'éloignement de l'artillerie grecque, ui «Ht aussi urgent qu'important, rencons. re de grandea difficultés. D'apr^ las Jote-aux, les habitants de la ffhessalie ont t&atf * l'empêcher l'envoi de canon» vers Ui Soà» ! Copenhaguel, 22 décembre : Le ,,'Berlingske Tidende'' apprend Si TSa ; is que, d'après une dépêche arrivée du Pi. _ 6e dons la capitale françaisie, l'étei. de r anté du roi Constantin st. serait empiré > )n croit qu'une nouvelle opération aetra tffc essaira. Lonctaee, 22 décembre : D'apr.'a l'Agence Bsuiter, la nouvel]» nlofei e la Quadrupla-Entente au gouvernamcot rec a été transmise à ce dernier le 21. îlle exige principaiemelnit l'interdiction iîga éumions de réservistes dans la Vicilia- ' >rèoa,; le contrôle des poEtos ©1 dies raphes, la remise en liberté des venize- j istos omprisoniniés, la nioTnination dl'une ooen> . nissïoia miite chargée d'ouvrir une ejiqaôi» ' ur les événements qui se sont passé» lea î er et 2 décembre à Athènes. Le dulaà dw- , orUo à la Grèce pour répondre est teè* , ourt. i ! Taris, 22 décembre : Pour représenter, auprès du gonvcrnememi « rani nis glouivérnemant révolutionnatre Se , aloTiiqua, M. Vénizélos a envoyé ce Frata* 1. IJimède, qui est attaché depuis (las cai. ées à sa politique. Londire®, 21 dfjcetobre : On mande du Piréd au „Daily t'frl* ;raph" : — La Ligne deM réserviste* «t les ko» Bats cherchent à faire revenir le gonverafe. • nent greo sur sa cficisim d'accepter l'cfti-natum do l'Batente. La situation i ^ ' 24 D»e»rnW© f910 rWgfatligiyffiailiMJBiy ~r ti£*r&§îS&xea B* Année. — 760^

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