La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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s.n. 1916, 14 Decembre. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Accès à 12 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/qf8jd4r699/5
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. Petites annonces. • . • » • • la ligne, fr. C.50 PRIX DES ABONNEMENTS ADMINISTRATION ET REDACTION f Kr clame avant les annonce* . « — 1.2j " . « ca 31» LZcniaffiiG-ciuiz-Herhes-T^otiig'ères, 33FiTTjl&XjIiHJ3 i Corps du journal — E.Q9 Un mois (décembre) . . . . .»*»»•. ». eukeaux , de 9 à u heures fUlX DES A"ÎÎ0NCSS { Fait, divers - =-7^ Le» demandas d'abonnement sont reçues f j^joiogie — 2.30 exclusivement Jos# MORESSEE( DIRECTEUR \ Coin Elev'eurS .... - 1-20 car los bureaux et les facteurs des postes Aujourd'hui : SIX pages. LA GUERRE 864' jeu.- de ruorra Les cfciniijros iniications griographiquas îcUUU.e» par leS C<J iii -il iXUl^.liMb Uitieiels COU- liraient que les J-ioamaais u ont pas réussi à iii^muair leurs advursiii'W derrière iJ Crieov. JFar de nouvelles et violuûtes at.a-quo5, la IXe armée austro»allemaude s e*st fra^e 1e chemin vers iî-iueoi ; elle a atteint à aii-euetnin entre Ploesti et Bu-u;J. 1.l *o-OaLté de Mizil simultanément a 06 kilo-nsetrets a a nopd de liuuu\fc>t, sur la rive gauche île la Jablo.nH/-a, sou aile droite a oocujk: Urziceni, station de Li voie ferrée qui réunit Pioesti à Tandarei. En se> fondant de retarder dans 1 e^t du sotflCiur de rloesti la marche dot» envahisseurs, los Kou/uiuins donnent le temps de baltro en retraite à leuirs troui*» et a ceiies de leurs ai lies rusées qui opèrent a l'as>t dlJ Bucarest entre le Danube et la .lablomitza. YiVeriient presses p^ir l'armée du Danube sous les ordies de von Mao-ken**:n, oos eÉteetiîs se rc-Uront avec preci pitotion vers ieN nordi, la menace que l'avanoa persistante de la IXe armée aas-tionaileaiando fait pe^er sur leur ligne de retraite ne leur lai.soa^it jkis le loisir dl opposer une resastanco 6orinu.se. Dans les Carpaihss hongroises et tran-sylvaiûe .aie®, les ituss.» attaquent toujours les A ustro-Allemands avec v loienco, «vans résultat marquant. Bien que dan» U secteur do Mouastir do fortes chutes dt n«iige soient ve.it «j residie Lis op'ratious dt plus on pins p -nililes, l'aile guuciiO de 1 ai* mi'o Sarrail i>ci>»iste cl ns son offensi.e, qui ao bute à une insistance acharné dus Ger-marwMBv» lgares. Sur les divers autre* fronts, c est le calme plat. Hoî3 ds i'^ii^mame an Sainî-3iog3 Dcrlinf 12 dfcœmbre : La d&murohe dai gouvernement impérial alleiuanti a ete poi*tée a Li comiaissiuiee -tii S. à. ie ijape iunt XV par ui.e t^^e i-e ciise p«r le minis-ro de l'ru^»3 aa c^rtliiai, Lxxi^ttri, «jûrcaire <1 Etat. Voici, pu i>-. r Lù ,,Ga^ he «le (j&ii îsoid . le teu'o do eete no'o : — Coîiformjme:.s a i'orC're <jue je» a rOyo, j îii l'honneur do fcr*u. 6moifcia a >vrctw Em.^:etuce U co^sio d u*y- dr-oiiu-otiom q. e .< couvernemei t «nipérial al-ein;UiC. a adk"doS-lujoiii^l'liui aux gou\er. taie ts di^ Lt-o ava3 lesquels 1 Empire ai ouiand so tivu\ 3ii état) de guerre, i^ir l e '..reiaii e dî^s puis o»ùiice> charg >"cs <!a lfi dofet i^e oOî into* t-alloii^ufe diiii:8 e> dits Etais. Ee gpaver aimpérial et royal ans ro-liot^r^is le gouvernci^ jt impérial oit»>nLJïi et g\/i-\ei%""'Lijjcsi<c ro>yal b ulgare ont f i1) eoo wiitre dut;» le-» mOmc» iei mes qu'i.s c-iiicti dis^me^s à onu.utier ^uruarlo^s die jusi. I^e' r£uiams «.pâ ont eumvRÔ Alietnagt.e c nie :vlli^> à lairJ oeUo J*ii,tivJie * nx, ne Wires. deox ans et remi, le envi nanti euroj.-een o^fe dév^Rô-i prr 'a g"t(> r D imiuCïiFeP tiv^-irs do civilisation ftiri aat<*ukist db vas.eô Xorrit »irc:S sont noyA dltuis le sang. J>o vaillnnts gnoirie:s sa tuinibôs par m ii lions sur las champs d bnt>iûlle; dms millions d'iuitres liront Krm ve^'ô-it rnaIndes ilane lonr-^ pe^y®; le chagT:. et le deuil ecn.plis»#ci.t i^re^lue chaîne mai sont. Non «niement chez; le^ bel i^%anl m^vs encore chea le^ ner.itre' les effets <V v;»3fcutiw.rs de oette lutte formiJably pèseï "l(n«r<V2#i!eit sur Les j*«i}xck. I-es affaire» p< n ^inent e«ch;i,nw»»4te6 f^jQd*uit les aiiort fie j*iix sont détruites et le me leur oL forces fions les divers paya est soustrait la créaâ»ni die valeurs uulos. L'Eurojte qi c<vu9iu5r*'t nagnAre ses efforts à l'exte;.a de la religion et <-e la oivi Uatioti et à \ solmioai (les proiiôètne> sociauix, qui lo lieu de rendez-vous de la eo pncc. dr-s n ri et du U*avail pacifique, eU auj vurd'hui \<z reille h mn camp de gi.erre où le^ aovus t.u»ns faites grâce au travail de nou\ba<ai. lustres sont vou«V.s à la de^uo^ion. L'AHranQgïie fa.it la ^'er e p«o> r S3 fen.Jre oort»ro le tnavaii tb de* rueti in .d ges ftaieuiis. Elle combat t>out la s curi1 do s«s l'r.i «i'Usrvri, pour .'issmer à s»n T^eu pie la liiwrty, le droit de déveio»*per la t< mon*., sai's entraves et avec de« droit égaux ceux d?- tous les autres Etits, s forces in tel Ict elles et ^ > u uniques, dan u"e sphère d'ftnuukKion1 pacifiste. De t ln« " jilus oîw*ii*,ement nos eunetnis on| dévoi leurs pr^jeV do omqnêtc, mais lea gif rieiwelB «rm^os d^? Tyiis^mces ooalis'es p. dressent inébranlables en avant des fron t»/-i«s de leur j^uirie, aveo la omfiance <\v jamais rcyunmu ne r6r.s>ira à y^'^er len rcn^irts iPairiin. Us savent qu'il 1 ai rière des lignes dio cotnJxit le peur4e tn e>iî ^r e>t 'ie iout^ anim<^ jvir l'amour de 1 pafrr?e, prH à se Racrifi'îr, d»'>cid6 à d) f^ dre jiusqu'am demier souffl- srv5 biprs ttk rauoc et raat^rw st un cr7anis ti>n ^oa et ohaque pouco (îu sol nadonal. Oor- soie de sa f.v-Oe inaj5 cnmi^rerwvnt pleincme ai-ssi q;:^l vwm^re avérer sera r^T- A l'Europe si la guerre diure plus longfcem] rf plein de compassion- j*>ur la misère n (Vf«Me et l-i d^tr^s*e fle ia ommunaivté h\ m^ine, l'Empiro ni emanH^ d'aeo >rd nvec ^ alliés, nonmivel'e s-mis iv. e forme so^emel la dt'clapiôon qu'il a fait} di^ il V a ' iur i*ir la l>onche du chane-^licr de î'Ei pire pmr clire qu'il e5t dispose à reidro poir l'h"maicifé e- jvwvnt au m'Kide question de sn-voir s'il n'y a pf*g m^^en ( trouver wq bi.se d'Vuer.te. ?a §ui .tet.6 l'ape, depuis le premier jour de son r*>i' fic.it, a a*;c.-»r'é «iajis _ la plus 1 >r e mea n fos sytn *i. hie> aux innom"-ra11 >s vin itm de La> guerre. Par ses soins de r ' vi s ) ^ s: re-, <vm ét^ (►"'"fi'ôi et le sort de m;; ie: db j^ers ^ines ; tteintee par La catastrophe r^n'^.i pins sutp^irrfah'e. En. ou're div l'esr^rit de sa ha^te nation, Sa Sainteté prnfî é flo tontes fos oeonsimis qui s'offraie d'un eT^rt destiné d un» l'intérêt de l'hinv nif^ «o'Tvfrintr, à meittre fin à cette lut sanplante. le ffonvemornent imj^ri 1 fr dona j>ouvcir nourrir l'espoir- que l'initi ♦i*e ^e-î quatre pnissrviecs trouvera uu ^ bienveillant auprès de Pa «f "■> so i i^iivre do paix peut compter surl'app précieux d«u Sii^e Apostolique." LES CATACOMBES DE LA SQrJ.IE | Les correspondants de guerre nous ont parle, à uiver-ses reprisas, d^s Cit»ioom ol des chamla-os souterraine® d»«»ooa\ c. u» incidemment sur touLe 1 éto^diie du front d-o la feoainie. Alors que les rafabjs ne f t uettoyuHint tout a la suiîaco, l'enncuii so leuait terré en sûreté, a plusieurs lucres do profouaieur, y etibl s-ait tes a m <ul n-Cei sans se soucier le mo ns dbv monaie des ieux do txirraçe les plus viuleuis. Les premières caUi^mbjs qui lui seiv valent uàs roiu.:;e aux enviroiu eo lVrouue, u"6oo'uvrirent pur un effet) du hatoUitJ. L>es soiaats, occufjes à croiLsvr des truu-ôiées, Sisutirent tout à coup le t*>J s'ef^on-(irer sous leurs piis et consiauireiit, non sans surprise, qu iis sa trouvaieuit unna un. immense souterrain voûté, s etondlaut a plusieurs ceïLiaines de mitres (kms toules les direction». Loi ivjeuïx habitante du pays, interroges nu sujet ue ces catacombes, reooanuitsnt ^ o letix cl\9\xïog ct ii ojaume, en eT:©., niai •ls n avaient qu une id-je fort approtviana-tive de leur étendue. Les coulons souterrains, que les i'ioai-dt» a,['p lient „muoties", relient entre eu-x les prinoipauix \i Liges, uou seiiUïiueut (Lis environs de Pérou.i«, mais ausii ceux de BapîLumo. Quant à leur origine ou loua- dwnitinaLiau, elle tient du domaine de la fable. 1-es uns y voient des couloirs reliant les vieux châteaux-forts e'u ia contrée, les autres assurent qu'i.s ser-vaioat de retire à dés brigands qui y amenaient leurs prisonniers et y accumulaient leur la.t:n. li est toutefois infiniment plus probable que, tout comme les catacombes do iiome, celles de IVromio et de Ba^iauime ont servi de refuge aux persécutés do touus io> é^A> pieis, depuis les vieux Gaulois j..siu'aux ilaguenots, aux victime» .les dragonnades et de la lJjvolution lranv-,aisc.La conformation générale d!o cette citô soutJîrtviinu, autorise au surplus cette inter-pr dation. Sur une grande allée centra"o s'embra< iche.it d'innombrables a Liées litera-!os, qui is«jiLt toutes à une chambre souterraine plus ou moins spneieuse, s'en-fonçant do plus en plus prol'ondiôment dan» le sol. Un c ut îspo .Jljiit, »j,;:i e t l'a, u lage de pouvoir visiter ces cat tcombe.-*, déclare qu'on ne saurait mieux les cornj>iu-rdr, qviajit à leur coufîormation, qu'à une grappe de raisin. La • h s tr ido pur io Oit- crois e dans lo schiste crayeas; m.us, aux er'.viivi'S où les rout<iS surplombent les soutearaiaia, dbs solides voûte® en hri jiuis. orn ™ '*ru;- ù.-îs. Ilusieurs (io ce» brigue? p r ont des ehiffrcçs roniaius et semblent remonter au moyeniiâge. Malgré que ceiiiiins couloirs i ^'(îiiïoiicont jusqu'à &•' i/>o mi tre» die pu'°£°ni- •ieur, l'air y est par f ai'émeut respirable. i IM'us l<» chambrtH qui ont servi d habi-tadon aux réfugias, dos si.gcs ont ététiil-j los (frais la paroi. Alalgré les lechei-clio^-, un n'a j>u trouver aucun objet a^ann ap-; >ir'Jtym aux trogJodj;.te» f^r .s ayant »»*-j >unié dans ces milieux. Au hont de l'ai ôe , -centrale s ouvre une grande a ile, do plus i de quatixi mèrraa de hauteur, avec un pla-• tond voûté en' ogd^e. On croit i?e trouver t .ici e.i pr'^ence d'ua e égl s.-. A quelo ejjorjue r montent ces oaticom-t !>e» t il serait a6.-eg di<" o ie de le dire. Ijct^ 1 le la oouqi»«sto ro^Lai- e le pay» étiitocc pé par les Nerviens, qui, a\^ai:t (7e com'.aitbre, <• mettaient en s>relé 1,» feminoe. les etifants v et les vie'llarde. Oés ir |var;tiend avoir ap s prts qu'ils les cachaient etitre dotiK graïuis t marais et qu'ils demer irai eut intpotuvables 0 malgré les plus vives ivchei-ches. A l'épo (jue. do l'incursion des Norma; «ls, îet? ab 1 buyea di Eau court et de ïv tint-Pierre, qui étaient en ràtl't^ des forteresses otftrint ui e re'u^e aux liabitiuiis aux lieu es d'alarme, étaieut Sans aucuai doute rei i es aurv ca a-L combes. Lo pays servit <ie ciuvrap de ba-L t.-:le durent tout 'e moyen fige; la guèr e à ne C«vt ans y s-i^vit diiuis U)i:te s n horrei r. s U i paume et Arr^s vont ù la Fla/idra, tan dis ;yuo Péronjio ptissa à la F'iei idie. l.e i siècle» «o suivent et les m.'l-CM sosigtante^ ^ succèdent aux inoan] ies, aufx rapme% au>. ex.votions. La giierre civiio ei're Cond^ ec , Tureame s'y dfôpUxi© dans toute son intm s sité et, quand ia paix st3mb iûc er'fin d» s eer^duo sur ce coin do t'MTe, La Révolu t on françiiise vint eusn te 10 remuer db fond en ~ comble. Ii>e{iuis mu'Jo ans, il net ps df k géuénition) nrw[ue qui n'ait du clDerohei son salut aai t les soiuterr<iine. ^ Il étjnit 6cnit que, duns la g^ierrO r.Cuel'e ? les calacoml-os jou«raier,t un rôl>\. Et vo.e t5 ctjairne l'histoire réf»n(o : diis que le An^hiis eurent c^-svnvort que les trou-<~ l' allemai*tes se réfugiaient dii.ns le^ » utT s rains, ils lr-no-ront des oVms i\ gaz r« phyx-iaiits devant lo-> entras. Ce f i-ant il s ne fouit qn» imiter le^ Ar-na.mac, qui. ai ' XVe sft^cfo, jetèrent des bo^es e pail'e en-'' flammée (î"ans ies ojiverturos t'es couloir* " pour asphyxier les populations qu/i crore^s: -1 y trouver le salut. Dans ce te ?• è re mondiale, les cafac ^m c bes auront. f»if, office de suiveur t dl'^ mil 4 Ikt* de blrw^e des ^eurc (vW's ,7e la*l) r i . ca-Vi Ifyir fîuvcnt la vie, avant ptu '"te passés et opérés à tnmips da- s les a.mbu 1 lances y étab'ies, alors qu'au-ft^» s d!e le i tôte lfta oxnotiA ofc 1ns obns fnisaie t rai e. -1 ; LACHUTE D'AiMVERS vs M. Winston Cî-jurchill vient de pulliei t. dans dkxix r6conls numéros du ,,Suuilu\ u. Pictorial ' deux aiticles coj:sacrés au\x évé f» nemetibs qui précwiéreut et Suivirent imrné îi> diatenent la chute d'Anvers. v- Li ,,M".tropole'' n'est pas d'accord ave* 1 - la brrvo étude publiée jvir cetto liau:e per ia sonnalitii anglaise et lui 0>}>pose, dans soe |n num/,ro du 23 novembre, uue ariruencntatior ® serrfk;. Comme il s'agit, de la révélation e [ ' '!e li disrussion de certains fa ts jusqu ic 1 ign^irés du public belge, nous ,]uireon^ i > "° uVre^ant die mettre l'ar iele de la ,.Métro oo'e'' sous les yeux de nos lctears. lli f," trouveront sons .doute assez vive for aine ^ des critiques adressées j\ M. Churc' i 1. Tou * icfois, comme ces cn'.iqnes ont 'ppi ("tri a émises pull quenient) i\ Londres par un or lt irane belge, nous pensons pas qu'il ; u m t le moindre inconvénient à les reporo duire ici. i — M. Winston Churchill, écrit la ,,Métro pôle", n'a ecr'es pa^ voulu faire mivr 0 d'histoneri mais a prin ci paiement cherché tirer ava.ntage d'une faute que se* advei xi saires 1 i ont. reprochée. Le ministre responsable de Pexp'ditio: d'Anvers essaie d'exagérar l'importiince que les faibiîs forces anglaises envoyées au «w cours «/Anvers avaent pu avoir sur le» opérations, non certes pas en raison de leur force numérique, mais |>ar 1 ignorance dans Usuelle se tlouvait l'ennemi au nuiet u*, l'importance de ces force», priuciiKÛeinent dw celies oj>«raj;t à l'est de Garni L us die Li rescaite ce l'arme e belge. M. Wm&ton Churcliill cherche aussi à ^tibAir que la prolonguùon de la r sis auice de la p.ace, demandée par 1 Angleterre, aurait eu des conséquences ênormts. Il n h6-siw? pis à dira que l abandon de la place e.'fec&ué cinq jours plus t>t aurait pu l-er-mjtcre aux Allemancs d atteindie Duas.er-que, ou Calais ou Boulogne. Nous ignorons s'il f t question1 d'al*an-donner la phice cinq jours plus tôt ( jn elle U3 le fut. C est uu point que M. Wiiustui Churcliill appuie sur un fait inexact, a savoir que, le 2 octobre, des af'^cies'auraient été apposées sur les murs d Anvers engageant La population au calme et à bien ac-ciK'iilir les Allemands. Il n'y e.t aucune °s,»èce d'affiche do oo ge »ra, ni à cette date ni après, et ce n'e«t que 'e 7 octobre a i matin que i<arut dans le^ jouraBiax se ;la-meat un avis ou gouverneur de la posfw. ni a v isant la population qu'au cas où e le voudrait quitter la ville les meil'eur* s lignes de retraita étaient les routes du nord et du aord'-ouestr. La thèse suivant laquelle la proclamation 'le la résistance aurait eu les •* f t.s < • r-mes que dit M. Winston Clu rc. ill tend tro£> manifeSi emeat à rd'u.re 1 etlort iidaiiraui-ccompli s^r 1 Vser par notre vaillante armée, pour que nous la laissions passer sans rappeler que M. Winston Chur Yiil o i lu do nous dire qu'il est venu personnellement jrrome tro soîennelloneul) au bourgaue-tis M. Jan De Vos qu'An vus ne tomberait pas, car dt,*s renforts considérai-.les <t îeut en route. De s »rte qjne C3 n'est qu'air s coin que M. Winston Churchill s'avisa que les 2,200 hommes qui vinrent re-'forcer la garnison» d'Anvers et, l s qut«lqi es millura d'homme^ qui ne dép:^s»V^'t r>as Oard a. • raient sauvé les approches du Pas (le-Ce 1 i'! ,,il est étonnant, dit l ancien min c ie, que les gouvernements français et anglau n'aient p s instantanément observé qu^apr-V la bataille de la Marne l'attention de» A'le mands al.ait se porter sur An vers cjui n »n iement était la seule p'ac^ forte dc l< nation lielge, mais aussi le véri able flanc gauoJie des Alliés dans l'Ouest." C'est évidbni, pudsqu'ài mesure que l'avance vers la mer s aCceeituait, la m nation de l ;r infie iwi-^e eoa entrée a Auvèrs déveua t i-crittique* L'armoe belge fut dor.c lu.sa.je se» propres initiatives, mais c est mue er reur de dire que Les lialges et Allemand, l'estèresib simplement eu. contact durant tow ie mois de sepie>alja'0 le long de la ligin fortifiée» L'armée belge fit notamment, du 0 au i: septembre, apr^s la bataibe do la M -me itio sortie qui permit de • em{ja.rer d A»?s chot et menaça Louvain. Cette -ortie «*l -apprjûiablemeut l'e'fort allemand sui i aile gaucue alliée, piuaciue i adversau. avait du itun^ier sur le front beige la b li vision, du lile cori» de réserva, mai contribua aussi à retarder pendant deu; journées le IXe cor{is ce réserve. Errour au*»i de (Jire que les forces al'e mandas dai:s le nord de la Lelgiq.e ne cécèrcnt j>as ti-ois ou quatre divi&ians. L<^ rii-es fois que loar force s'ahaissi i co ch ffro l'armée bel^e fit des sorti s. La partie la plus intéressante des arti •.les de M. Winslxin Churchill est la sui vante, ayant trait à Lv situation créée Anvers jiûr suite de la menace de voir L retraite de l'aiWe belge coupre i^ir l av riviée de l aile droite allemande à la mer ' , Dans ces circonstanco», c'étjiit une décj sion naturelle que quelqu'un d autorité qii connaissait .l'entière situation arrivât r«4-ik aient à An'vers et là se rend t compte de c qui pouvait ftre fait de ciiai^ue e t*. TJ" /lé|;ranime fiut par conséquent envoyé a goureiT^ement '>eige, lai de^nfa^Vi t de re mettre sa décision jusqu'au l^idamaia ma du. Sur ce, lo conseil de guerre baue si. i^eant peu avant l'aube du 3 (octobre) sus porud'it les ordres pour l'évacuation. ,,Lo* arraii^etnca's pris le 3 octobre (pa M. Wiaenon Charchi.l) avec le goir er c morut beJco, sujets h confirmation ces deit oôt-s, éUftic)lit brièvement expos ^ comme s. i (1) Le irouvernement belge fera |«ns ic !)réç>aratifs pour uno nouvelle r'sis tan c .1 au moins (îix ;ours. (2) l e couvenwimec britannique (levait dire définitivement,, don les trois' jours" s'il pouvait envier dt secours effectifs et quand ils jyxirraient ai river. (13) Si oette assuranee définit \e c pouvait ttre donnée dans les trous joui spécifié, le gouvernement belge serait liKi 1 d'abandonner la dléfense. (4) Ma s dans ce i •Wontriwlité, le gouvernement anglais dova aider l'armée belge en retraite en envoyai des troupes de couverture A Gan»l ou au t e points de la rou e- (C'est :Y raison de 1 réponse du gouvernement britanniqne sar , doute que nous liions dans le rapport off ciel balge : .,...ûr>s le 4 octobre, le haï (Vfmmankîsnent, persuadé qu'on devait 0( cuper Gand ù tout prix et. n'ayant jins r i forces disponibles à c-ct effi^t, avait f; connaître d'urgence à l'An-glrterre, qui f montrait disposée a prVer main f rte vn prolonger la défense d'Anvers, la née s i ';o l'oc^'ioa^ion de Oand. L'i'O^rvenHou f la Vile d'ivision andaism, d» r. .riuian; s la oAite hel-r, avait rt6 r»rom:s\.."> El ^re temi*, 1rs An liis dova'e t pas. ster < encourneor La d-'fefso locale d'Anvers tons les move^s secon»îaires tels que canon 1 marins, Ijrisrades pavaW, e'c." ' C'e^t ce ni i fut fait apparemment., fan de i^nivoir fa're mi-sax. Les articles de ^ 1 Wi iston Cb 'frchill cherche- t ù tirer de ce' aciion second't"e des résultats é^.^rmcs. i ^ qui reviendrait à dire : ,,A quelque cho: . malheur est bon''. : DÉPÊCHES DIVERSES Le Havre, 11 décembre : La déjou lie m rtel o d'Emile VcrHaen - a été amende de Pouen à La Panne, < 3 a»jfa lieu l'inhumation. i 1^3 Havre, 12 décembre : La r ino rl^ ReJges, qui n'avait pu n i sister à Adinkerko aux obsàquss d'Emi Ver'.iaeron, a fait mander sa veuve « 1 i a lit part d'à son intention de f ire transporter la dépoui'le di Emi.e VerUnerea dswis iC3 dunes de La Panne et d'y faire élever «n monument à ai mémoire-*» • Paris, 12 décembre : Suivant le „Maii", les ministres des af-f ires étrangères, de la guerre, de la ni.u-i' o, (le l iutériei'Jr et dtes munitions feront oart'.e du conseil de guerre qui va* ctra r é. CojutTAinwneiit à l'ancien, le nouveau c:tbinet sei-i profondément modifié au point e vue pratique, comme au point de vue ersonnel. . . D'après le „Pctit Parisien", les mmis-• ros de la justice, de 1 instruction pubijuc t du travail seront fusioniivs et- vraisem-•lablement dirigés par K1. Viviani. Lo mi-iistf^re - des colonies sera rattacha, sous la torme do secrétûri»at d'I t't, au ministère le'lt m. rino. Un directeur de la faluicition era attnohé a.u ministère des munitions; i •st (p.cstioii de M. Soucbéux pour occuper e poste. iî. iiriand a l'intention de ne permettra 'a tr-iainformation dA< ' haut comnvu^ement L1 1 armft/î que l(^rs<|ue nouveau calanet tura exposé son programme à la Chambre * * ♦ Paris, 12 décembre : L Agvnce 1 lavas annofico : - — -O.i f».}ut eons'dner lo nouveau mihis. rèts; comme d'f ni.i ivncnt coustiUué ; les a ;ms d-js nouveaux ministres &;t nt oif:c.e!-ern~ t publics demain. 11 o-t vraisemtiolabli lue le même jour, fLms l'aprèsxnit'i, le gou-v>me.nient se pr syib:ra au l'ail me t M. Brian'l a d libéré ce matin avec ses fu-tors collaborateurs. * * # Paris, 13 -décembre : L" A renée llavas annonce nue le nouveai '^binot e^t cnoipos*' comme sut : Pr svlence etaff:;ires étrangères, M. Brianù uistiee et instruction publique, M. Viviani .'i i onces, M. ltibot; intérieur, M. Ma yv -uerre, g)éxiéral L\ a n'ey ; marine, amira r> ■ n-y.« t e r">«r<ie politique (commerce, in ôustria, apiculture), M» CiémSatxi t n). Hz, .a.iwullomsnt ci»il et. m li aire M. îïerriat; colonies, M. Doimer^lU'j arme ■ ivjiit e( fibrictiti. U du mai.ériel de guerre M. Albert Thomas. «> * • Paris, 13 décembre : On annonce off ciellenknt que ^e généra Nivelle a été nommé commandant sup' rieu 'e»- anr^es du nord et du nord-est. I- jsépéral irouraa.; a- (V* rornme r<si ian-g»iiejai do France au iluroe, il suc Mjde au général Lyautey. 9 * * Berlin, 13 décembre : do Lugano à la «Taglion ; BuwVwlvitf" : — àulvanè une information de la .,Iue 1 \az > viuu* ', le ffeo^ral clo - asteînau s c ^ »cra.it au généralissime Jo.'fre. Le joarm innonce, cta outre, (pie le général Sarrail donné sa démission." ♦ « * ; Paris, 11 i/cermbro : ï I ja gouvernement français a réquisition r ' pour l aimée le cinquième de la réotjlto c ■m du }>a.s et 455.000 hectolitres de la r< •olfce viuicoie algérienne. • * * Zurich, 12 (Koomhi^ : i I>t nouvelle de l'offre die pair a eau." a«re pr fwde émotion parmi la populattiot ; c puldio s'est arraché les éditions sjiéci; es des journaux. On attend avec impi i i<*nee latti de qfue prendra l'Entente y u > . .. is de cet c démarche, dont la signùfici ion pour les belligérants et pour loi nei : rca est grande. *< * » i Rome, 11 décembre : Un arrêté royal autorise le gouverne™» e italien à enrôler immédiatement les houimi i ' le la classe de 1808 a' à faire passer d » -ant un nouveau conseil de révision V> es ajournés qui depuis deux ans n ont pt ti> réexaminés. • * Rome, 13 décembre : . Le • groupe parlementaire nationaliste r voté T or Ire du jour suivant : h — L'heure a sonné [jour n< tre patrie < t n outrer la plus grande énergie- En co : séquence, il faut : .... > l» Décréter le service civil obligatoiroï e 2? Oonfior le gouvernement aux maii 't l'un nombre re^trciut de personnalités», q n sauront f ire montre de vigueur. s !>e troisième point, su-pprime pnr la cç. sure, avait trait sans coiKe. dit l',,Avanti c i la mobilisation des embusqués. 5 [ Rom»\ 13 décembre : * L'Agence Radio annonce que do larg \[ modifii'itions sont à prévoir cans le gjcv «eme uent italien, comme cela vi*it d'f' le eas en France et en Angleterre. Le nor l re di^s ministres sora diminué et t>uti i.es bmnob.es de 1 adminis; ration sr* tr.u.siformees de manière à répondre a ! exigences de la situation. Quelque mini ' très seulement formeront un cous il 1 uerre l/« informations offi-ielles au su. ! ie c/^'e modification ne tarderont guère. * r » • ïîerlin, 13 décembre : e On mande do Uigaro an* journau® - P-e-1 n i|uo le «"initier do diitdiîeabics éf>l I- ti M nza a é»i oompU>le:i-Oat déto'uit H'-r i ^ ùm«.:d;0. ( * • 4 Londres, 12 d'eerul.ro : A II Clinmhie des Communes, r,ta »' cétiaie aujourd'hui, on a ctinn t- un gra [ Ii!.*ivwnetit et une forte surtKciWion. L,': [o sJ'Mnce a • t.'' surprise de vojr ancic f mini tr-s libéraux r'rend'r0 P,ace !2 Ivinc de l'opposifon. .\DI. I.lovd Oeiri'O rt Asnmth «Mit ii i-î-'its par «m'e d'indisposition, la Chani: 'es Comniunes a décidé d ent- rxlro et ti-icut» r b :nrxrnmm<> du notneaui eaJ>ii au ocHirs de la semaine prochaine. • * • n IxmdreK, 12 d^cemhr'î ; ,ù nouveau m nis'.re de 1 aorricultare c <|ie un, p-ojet de Irl concernant la riper lion l'os produits nlimentnires; oo en !C„.1 do lions r'sn'kits. U ^'n^ir: il d" a- mesura trN« simjje, qui reuéiaib supertl le une s^rie de décréta isolég. I COMMUNIQUÉS OFFICIELS CojBicuniqués de» Puissances Centrales. Berlin, 13 dlicembre. Officiel de oo midi : Théâtre de la guerre à l'Ouest. Pas d opérations d'enveaguro à signaler, en aeiiors do cauonnades p.as intenses ^ cerîuias moaicaits» dai.s la rt-gion e.e la towiuu et de la Meuse et -i>o renconvree uoeturues outre patrouilles' pris de tou.es les armées. Théâtre de la guerre à- l'Est. Front da telûlaiaréchal prince liéopoldde Bavière : Rien d'essentiel à signaler. Front diu général-colonel archidjuc Jo-seph : Dans les forces des /Oarpathes, nous avons livré de multiples et fridciuouix coin-uits dte patrouilles. mil- ie front oriental en Transylvan-ei, des troupes alleuiajates et au.^ro4ion^rm>os ont encG'ie repimssu hier de#s attaxjues prouon-oéee p»-ir les itut-ses dans le» montagnesi dts Oy»<r^> u et f*oa deux côté» do la vall o de Protusul. Des dletieiijmaits de noanna.s-saace, maroiiaut sur les taloi.s do Pcm-ueuii qui cède, ont co'u^-taté que (x-lui-('i a subi des portes *eut>ibies ; ils ont ramené des prisonniers. Armées du feldmar 'chal von MackenseM : L'eiwiomi, qui, apr.s avoir été re.foieé jrr ue la oavaerie r.a^', s etiit il*o nou-\oiu : tilli sur la Jalami.a-, (liait les emx ont sui i une f r.e crue, e®t de nouveau oin i pieinc retraite, ver-; le nord e;t. L arm e du Danube et la IXe armée 1e teireut pr^s sur toot le fr .nt. Sur la route de Buzou, nous avons gagné un iuiij*>rU«jt t^rra ta ; à cet emiriti et» di *i& la ni-n awi'.'ie, nous avons encore fait hier . plus de 4,t»0 prisonn ers. Froir! mac domen. ' Après les cll^faifcs que nous avons infligées ces jours demi rs a l'einnvimd, ie • c.xia.e j.r- vairf, sur la Czenia, sur la btrjuima et sur la oôte. . * * ♦ T'arlin, 13 décembre. •—\ Officiel d'hier ! soir : 1 l»ie:i d'essentiel, ni à Pcliest ni à l'est. Dans la Gi'on'o-Valachie, nrnis continuons l a van er viciwrieiu sement confire les Jîou- - mains et les l?u:-v<- * " * ... Berlin, 12 décembre1. — Officiel : Un de nos sous marins a coule, le 4 dé-n ceml.ro, à proximité de 1 île de Malte, i© 2 .ransjort ,, Agé rie" (4,035 tonnes), qiui naviguait au service de la marine française, e*nait de Salonique en France. Parmi les militaires qui se trouvaient à bord, un ^ off.cior et six soldats ont été faits prisonniers.* * Berlin, 13 dâcefnV-re. — OffViiel : a Un (fc nos sou s -marins, rentré rteesnv , ment, a opéré pendant cinquante cinq jours s m* entnu- d:ins un port et mos avoir ro u un appui quelconque. On ne psnaa.t pas que le personne! et le matèr^l aur »;,ient été capables d'établir un imrcil ro- 0 • d!, qui esi d'autant plue remarquable que le sous-marin a diû luUer à différeutee '• reprises contre la tompets. \r- » * ♦ 1 Vienne, 13 décembre. — Officiel dhlci -uiidi : Front de l'Est. l" Armées du fjUmarée'jal-gàieral toii Mao kensen : Dans la Vai'achie, les tarcea alliîlei ce .-l^F* attent la l'gne allant d'Uraoem ( u Mizil. Chaque jour, on amcuo pluaieur: * milUers de prtsonniers. is Arra-'es du oolonel-gAnéral arohidue Joaeph us Hier encore, l'offensive ruaeo n'a pom di-.i.iu* dons la région frontière à l'on» et au nord->u<tet d Oona. Partout, t cjiinin a 6tA repousse ; un suco a p«irement local a lu'il avait remporte ava.ni-Uier, a ite re dnit à nénrt jinr notre contre-attaque, le Sur la hniiteur diu dléfilé de Valepu^ae j- plus au nord-ouest, l«m«mi a, co m'.un attaqué 'avec uio violence s ceptionr.eile S;ms aucune préparation u'urtillerie, il a il' 1S clandié fi 1 heure dn matin, un aasapt ei ji musse, suivi, h 3 heures et à 4- heure» d'autres assauts pré[iari'& par une vigou !_ r6l,«e canonnade. Griice à la vigilance d notro infanterie et à l'eyoeilent concours o notre nr6ill».rie, les colonaies ruas» se soin partout, écroulées devant nos olisinclos e les survivants se sont enfuis vers leurs po ^ citions de départ. v Dans la région de la Ludova et . au: abords dm Hmotreo aussi, pluaaur» vigou reusce atlfiques ont échoué. 8 Armfcs du felduiaréchal-général pnne it Lûopold de Bavi. re : Sur le front des trouiiea austro-liomgrcu s- ses il ne «est rien passé d'important. Fronts italien et. du Sud-Est. Rien à si,"uaier. • Sofia, 12 décembre. — Officiel du grain* étit-niajor : 3r> Front maCootiaon. ^ Dans la ré-ton de Bitolia., rien d'ii«pOr 1,1 tant à sign 1 r. _ Dans la boucle de .la Czcma, après, un viole «s i«r'i. r''i "n d'artileiie, len«m : dirigé, vers mi S. m-o atanie &~^ re u et U ne ' Parolovo-Makovo; cette alto j e ni échoué avec de tr « fortes perv a l» 'ir 1 en s- nomi. A i'èa ne nouvel e prJpBrilvm d.r ne 11.11 rie. 1 ennemi a renouvelé son «H3*!1 er contre la hauteur qui »(l}.ve i lift dol: rolovo; cette attaque a aussi éoluwé aon ^ pl A 'Test de la Czorna, nWa de •Gr.itles io rit:", nos unités ont rvjwussé une Wj» ,, Sur H rive dro te du Vardar. viole.', ac'ivité .V 1' ili I re et engagements en'r détachements de irartn. Sur la r e cituc o du Vardar, faible ie de 1 nrt Terie ennemie, u- >„r 1' Mr'um-i, fnV.« catvmm<Jcs «n. ti- mies er r~>-"*\"-în"-'^ entre P trouilles Su it. le cours inférieur la Strouma. ne Sur In 'r>nt ''e la mer Este. 1 es m.vir-he I fn.nenvis rmt bomly »<V* sans sucrés pou 1 do Cavalla et de Makri. L'activité af,r eune do l e uiemi est restée stbas r^sui'-it uaïus les eavurons d'e iA;ri/> Lagos. Front r nimain. Dans la. Dol>roudscna, , faible canonnade et fusillade r ciproque* A l'est <3p! ia VaLicliie, les troupes coalisées o*4itui»ùeuio a poursuivre 1 eunoaii. Cummurâquéj des armées aiiieej Paris, 12 d'combre. — Officiel do 3 h. n Daas la région au nord' île lju.<sngny, hier eu fin de journée, après un vit boim-barevemunt, 1 ennemi a atutfjué nos tranj. oUéos à la liaiiere du l»ois ces Jx)oas. is'oS a.rs de barrage ont disloque 1 attaque. Quol-tpieà fraotio^s ennemies, qui avaient pus pie.'t dans nus élameu.s avauc s, si ont etô oiiass-i» par Uii coaioat a ni git-nade. Noire ligue est aitinremeut r Uiblie. CanoiinaJe habituelle sur lu reste du front. » * * 'Paris, 12 décembre. — 0?Xkiel de 11 h. : Nuit canne sur l ensemble du front, .s;iu|. ;vu auj ue ia fcoiuuie, ou les doux urti.lo* tics ont été très actives da s io seciour ula iiiachcs et de La M u-oiijietûo. * ♦ .. Paris, 12 d'jcembre. — 0fL*.4l de lar-iuje ci' varient : 6ur la rive droite du Vardar, les Alliés ont enlevé cinq poâts pastos bul^aretf au sud de la rivure Juxunica. Daus toute la région de Monasînr, ia neige a empcfché les opérations. l>a lutte d artiilo.'ie s est poursuivie violente do part et d'autre. Un avion ennemi a été aLatftu sur le front de la brr.miua. L'aviation aiii e a lx>mbardé les ciintdnw - | nemo îts eiuemis de la région do Do»rao et de la valLe du Vaitlar. * * * Londres, 12 df cembio. — Offiieiel du soir : La nuit dernière, nous avons fait sauter Jes mines avec succès au sud d/ Ypros. L'artJil'. v^ï it les mortiers de tranchée ennemis établis en face de LestuLejrt et de Neuve-Chapelle ont été actifs. Nous avons remarqué (]i e le dl<pôt de munitions eunami étubl près de Vimy étiùt eu feu. * ix-.mnr, i* — UinClèl d'J gT^UQ •qU.. • igén;*.ril : Daus la rV^iion de la vallée d)?. l'A'dige, ainoiiuade uabUuei e de pan et d autre. Au cours de la nuit, nous avons ro-poussé une tenbati ve d attaciue dir géo coim tro notr3 p-.vsic.i »a éUib ie \ r s dt« Dosso-t'asma, au gai ouest do Loppo (I?io Car meras) • bui lo Karst, la pluie torrentidls et incessante a continué à entraver l'action de l'artillerie. * * Pétiogrid, 13 d cem me. — Officiel da grand état-major g moral : Au sii'VeKt de K e o in, dans la r-giom de Zubilno, après une prépiration d artii-lorio, l ennemi a r foulé légèrement nos compagnies ; toutefois, après 1 arrivée de renfoits, il a éti • repoussé à son tour, do sorte que la situation primitive a été rétablie.Dans les îon^s des Carpathes, dans La région située A 5 verstes au sud^-est de Chibeni "t prM (hi Capul, l'ennemi a prononcé deux attaques, qui out été eiirag es par notre feu. A l'est de Bsl'wr, nous avons »r<?poup»é Penueuii qui noirs attaquait; en le pi>ur-suivant, nos troupes se sont emparées de deux hauteurs. Dans la ra'lén de ^ul'.a, nous avons rq-ptoussé d<HS afa-pies ennemws. A 6 verstes au nordr-o>t de Glashiitte, au sud do la vnjlée d Uzu. nous nous som-i m^s omnarSs d'une hauteur. Avant.'iiur, l'ennemi a entrepris (tes attaques infruoruou^s dans la vallée de Bui-zou, au nord de ("islla.u (à l ouest-nord^ t ouest do Buz«u), sur la rivière db Cri-bovu et à l'ouest d^ Mizil. Dans La Dobroudseha, canonnades' léei-- proquos. Dépêchés Diverses 2 Ijondres, 12 d'esmbre : il. llenderson, miu s.ro et ohof du parti 1 ouvrier, a chxaaré publiquement : — J espère que chacun de nos concitoyens compreiuira que nous n'approchons pas en-L cote de La fin de la guerre. Il est possible (joe nous ayons encore un long ebeenin a [KircouTir et ce u est que par l'union, en ^ montrant du courage et de la décision que nous perviendroi « à ma triser 'es puissan-- ces qui ont pris 12S armes contre nous et nos alliés. Si nous ne les vainquons pas, l'avenir serait jx» r nous si torri L) qu on n'oserait se le répr imer. .1© voudrais mettre tout le monde en garde contre le dai> ger d'une paix pr niaturée. Je suis partisan !e la paix autari qu'un homme de bonne £<>i puisse l'être, mais ;e veux que la paix •,;o nous attendons nous épargne à tous les i»ints de vue pareil malheur. Que nos unis d Ain ri pie et d'autivs neutres fas-e s^nt, en attein t, ce qu ils peuvent pour. J unxieT la ciscuVian de lu question do la 1 eniation d'une F«Vl''ration des peuples basés v sur un s, si me d arbitrage; je marcher ii " avoc eux, mais pas on ce moment.a CooamsB^ [ w.rrinn^nous conclnro uns pair, aussi longtemps que la H l ri que, la 1 rance, Lv Serbie et La Ttournsnie se trouvent aux mains de l'ennemi f Nous ne voirons }>as dune paix déshonorante, mais dune paix durable qui tienne compte ues droits et de jq l'honneur des peuple*». ' 0 » * « Tx>ndrr*. 12 décembre : 1 T.o< pr^Tiri^tairos d- s charbonnSTes du Monmouthshire et du Pavs de Gall s ont proteste, au cour'» d'une réunion tome h ' Carliff, con.trc ^ f' t «pie le gouvmïe«nc«t favorise de nonve°u le^ ouvriers, alors (pie % ce-ix-ci vi binent dp romp-r- l'acsord couw clu »0U3 les auspices eu Buraau ie cotici- ffOURNAL QUOTIDIEN — TLe JSTuméro : lO Centimes Jeudi 14- Décembre 1916 3® Année. — - N4 7 50

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Cet article est une édition du titre La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie appartenant à la catégorie Gecensureerde pers, parue à Bruxelles du 1914 au 1918.

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