La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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s.n. 1916, 22 Fevrier. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Accès à 01 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/q52f767s0j/
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Mardi 22 Février 1916 J$ [9 g JOURNAL QUOTIDIEN. — IL 3 Zfamèro : lO Can.tim.33 2m' Année. — M® 46 LA BELGIQUE PRIX DES ABONNEMENTS : ' Un îcciS 'mars) • • • • » • # fr. 2.3 Lcfc deiuartti63 d'abonnement sont reçusa * EXCLU SI VEMEP^T £ux guichets des bureaux posta. ADMINISTRATION ET RÉDACTION Qi, Moiitaej-iîQ-sLvaz.-Z-XGrbea-jPQt&gàres,, J3H.ITZ, BUREAUX : DE 9 i 1T HEURES Jes. fUîORersRiêir. n. BF^feri ra f Petites annonces . . . . la ligno, iï. 0.48 I Réclame avant les annonces . — 1 00 Corps du journal . . . t . — 4.00 Faits divers Ç — 3.00 Nécrologie . •- i . » v , . — 2.00 A.ujmzrû.'tivîi SXX ; ag î3. LA GUERRE 560° jou? de guerr À peine le tempe a-t-il fait minci de s' Uorar que les Allomaiiiia ont reBoumu dans l'Ouest, ip&' attaques locale» par quelles ils ment son,s dionte depuis qi jours à rootii'ier et- améliorer ièm fron vue de soute; -air la prochaine oiïrtisivei Allî-és. Cett:j fors ce sont, après, celles ré mefat attaquées au sud-est d'Ypros, .lest sièions' anglaises située» sur le canal l'Yser au nord de la ville qui ont sujb violent assaut. Tandis <jae lo s&cteur dont la via&le ftemandia forme le centre voit se1 dlérc une luâfce ogM&iâtjre, de vifs, combats soi également ea^gés, mais sans résultat cis, aui sud' de Loos. Sur le restant du front, les évéaem signalés n'ont qu'une médiocre importe * * * Sien die saillant en Russie ni sur le f ûuattro-itali on. En Aîbaiiâe, les Àutidcbâcn'si ont emizx à l'est de Datazzo, lesi positions dfcs> liens à JM&a-§j»k, sur la routa» cia rana. Au sud de Duraazo, ils ont) atl les premières lignes de» offensa de la v Enfin, dos trompes albanaises qui con: tout avec l'année von Kovess ont oc< Pekiuje — nctse carte du 1C indique < localité, située sus? m fc-J4umbi à 30 kilt trea à 1'ausesi cFISbasata- — ainsi t/jatmâj qud est à 1 o kilomètres au sujc Peikioga, et Bearat, qui est sur la Semai SO kilomètres au nord-est de Valona. : : o DANS LES BArLKAM Londrcœ, 20 février : Les consuls faits ptrisonviiers à Ghios! les consuls atteesfyifcl eu a ustrohongrois D'.après le ,,Duily Mail", ils ont été ta taxés à bond cî'hïi torpilleur français. L bassadeiùir d;' Aijkaaisgjae à Athènes a t&sté contre ces arrestations. Paris1, 19 février ; On mande de Salonicfu*3 au „JoumaT' — Un âv&m allemand! est! arrivé j juaqt&tiu faubefeirg" de talonique et a rt à jeter uïie bombe but le chemin. de fui jonction. Il n'y a pas eu do dtôgâts jsêri Bucarest, 19 février : Dans les districts roumains do VTalce: d'Argus, il y a eu jouraetllement, depuii 6 février, d^aesetz fortes1 secouas-os sismiq qutt ont causé des dégîâts dans de n breujsss localités. A Oaineua, les tremblements de terre taie dfojà depuis vingt et un joim-s'. Lee gâis sont importants. La population etst proie à • la panique. Bucarest-, 20 février : On mande de Pélrograd que 'les p sances de r Entente sont tombées d'acr sur lu li^iïa de conduite, qu'elles suivi vis-à-vis do la Grèce. Mies agiront s beaucoup dp égards et feront ce qui ré]> à leurs intérêts. On ne communiquera m pas d'avance les projets de l'intenta sujaô - du tenitoire grec, mais on plac toujours la Grèce en face de faits aco plis. Les puissance#, de l'Entente allègfi; comme motif de cette façon dJagir que Grèce serait un ennemi secret pour V tanto et que, par son. hostilité cachj'ei par ses èmbliclies, elle clierchorait à it éei.ee aux buts de l'Bateaite. Par eti cière d'agir, elle aurait déjà porté ujnj gr préjudice à l'exécution deis projets des1 Ail Athènes, 20 février : 0L<a Grèce a fait transférer dlets! banc anglaises, où il se trouvait, pour 15 ] lions de livies sterling de son avoir à banques américaines. Amsterdam, 31 février : Lo docteur Y an der Werff, chirurgien vil à l'hôpital militaire d'Amsterdam, y de partir pour la .Serbie. Il est chargé le Comité néerlandais de secours à la i we, d'aller arrêter avec les autorités! Vienne et do Belgrade, et avec le mini néerlandais à Sofia, les modalités dans quelles le service de ravitailleraient de berbie pcftrrait être organisé. M. \ an der Werfî fera parvenir le plus possible au Comité d'Amsterdam des d^ » quart à la situation, en Serbie. Ensuite sremploiera, en collaboration avec le coi Yoege'i_ du Comité suisse et les délè" américains, à organiser- uu service un soire d'assistance à la population. Si puissances intéressées accordent les autor tions voulues, il est probable qu'un ( ■xièrne délégués du Comité néerlandais rejomdire à bref délai M. Yaji der vVeai Athées, 21 février : Le roi Constantin a reçu hier, dans matinée, le Bureau de la Chambre. Le i verain a déclaré aux députés qu'il pour yait la politique qui répondait lo mieux. intérêts nationaux de la Grèce. En l'absc du président, lo vice-président réponds.; sooverain que la Chambre était con vain que la politique royale préserverait le p du sort qu ont eu d'autres petits Eitats. Milan, 30 février : W^dent provoqué à la Chambra gre&-ET- MPt(i!<e i1'1™ violente da M, . k' „ . <*®., Cwfon, conbro le dAbara matjtl SilT ce..» lia da oarabimiars iia'Lies..i mordent an cours d„quel M. skniudis a r nettement exprimé son opimou. --provoque, te le corre5pnadant d,i „Gctv„ ddla Sera , une grande agitation à iM Le mù^re (Vlta'ie s'est rendu auprèsi M. Skuludlia pour lui domandar a'fl 6t exact, oamme cela résalto du compte ren 3ton.ograjilnqun qug i0 gouveo-nemeiit n'a at<cunci parola dej blâme pour fa, yioja Kortia dn â&pufcé SeJcolis. Le présuîhmt rli' Oanssil a ornifirmâ l'as fctede du coaptfl rendu sténogiuphfauo le miiuïta d'Itaiio lui a déclaré nloia gi ferait rapport à son goiîverJiœnftit «tir l'in ciûttit. La jïtessp greE^qrtr. cet remplie d'aiiaqut ce paroles de suspicion ei de protes&iios contre l'Italie. Milan, 21 février : On mande d'Afchsnes au „Coi i iere deli Sera" ^ lo ministre d'Italie a traunnis M. Skultidj.* uao noce de Sonniuo, par lî quelle le gouvernainont italien esqaime so imé- viE- » propos de l'inoidei - qui s'e&t prodiiit à la Cbajabre grecque. O "içg] attand avec graudo impatience à Athènes 1 inze su^e ^donnée à-cet inci^witv«r I V jvd&îv*, 20 février : oe5 1s).gouvernement a déposé à la ChSiBtii oem- .un pco^t. loi "poifeulh Uî>0 glffious d do !'6' Clv^'t militaire de 2tOm55™s aeeord * ^1L mars 1Ô15. Co crédit sera- couvert pa : de.3 Bons du Trésor, par un emprunt i-iti ov/J "eur ou extérieur ou par d'autres moyen ^ Jinauciei-5. J sont ^ ^^'0 projet de loi approuve toute viré- interdictions d'eiçortier que lo gouverni tn&nt a prises par voie de décret en man enfe ea avr^ ^ 611 ma* 1^15. iice. ~ T ®* — ront -e3 marches trôn« 'ïî6' h 11, erroné de croire que seuls lt Ita- auinblœ saat acoaUâs des chagrics et de î?lî|s,„^ft ecnt exempts les puissante à « rat ~ tore, o est méma une oonsolation depsa f t" S0R™n<i les plusi liaut plaws sont le .bat- plus éprouvés. Ce fut lo cas,' noteuimou >upé pour lo malbeurauj: prince Yousaouf-Izz. i cïul passii la majeure parte de so en o- exis.euce dans une sorte d'exil. que Son oncle Abdul-Iiamid oceupadt le tj-ôa j de Laractero soupçoimeux, ombrageuis, voyai it a partout des conspirations et des oonspùi murs, il entretenait une armée d'espions < — e contre^spioiis, avec des ramiificatior ^ dans le monde entier. .Aucun progrès r | ^5 trouvait grâce devant lui. Le cliemin i fer fut banni de son empire jusquo vers1 1 ,iiJ «i? 6— , r^Sae. Touta> les aoplioatioii u-j 1 elœtocité, téléplione, tiéWïj'MplîiO, il la considérait comme des inventions diabaf * 'Juœ ne pouvant servir qu'à ceux-qui via i.,'_ P*ota'ent contre sa persoiuie. Ses poulie ^leuta n'éckappaient pas à sa nufinince, ' i parlai eux se trouvait Youssouf-izfct£in, 1 prince héritier du souverain actuel lot qu s est suicidé au début de ce mois. ^ . Les ligues qui suivent ont été éoèi;-jss ïudi au surlendemain de â moi usai ^Ues jettent une lumière Lieà cr . ^ rieuse sur la triste existence de ce pjjônc 2w:x. doué et, paraàt-il, bieai iufej tionué à l'égard, de ses futurs sujets : Après avoir quitté Constaniinople, i t et ou( pi*oad le chemin' de campagne oondu j \Q saru-j par les merveilleuses hauteurs bordia-i nés, 6 Bosphore, l'on aperçoit une série d om- aillas hlanches à un éfea^je, groupées dfiû un j)arc bien soigné, entouré de muraille du- ^ l'empli cPune paix profonde. C'est 1 dé- l'^3:ctence_ royale de Sindscîiirli-ÏCoiijou, c eu (ilL'- sig-nifie en turc, la- source aux chaîner Los riverains j>ai-aissent ignorer ce sôjou mystérieux ; ils tournent plutôt leurs! yeu: • vers les somptueuses constructions d'Yldiz ais- Ktosk,, la m'er de Marmara efc les cimes ord neigeuses de l'Olympe cifchynique, ou biei •ont vers F immense panorama du côté de l'Eu ^ns rope, plus saisissant encore, et que limiten md les -m-on/js boisés do Belgrade. Sindschirli -ine Koujou était «me des résidences favorites d au ^héritier du trône ottoman, ea-a Youssiouf-Izizedin ne passait pas uni joui >m- sans y rendre visita, et cette retraite soli-taira, éloignée du tumulte de la capitale eut plaisait à ses nerfs surexcités, avides d la repos. Ea- Youssouf-Izfcedîn1 était un homme fera et malade, inspiraut la pitié. Sa captivité* d tii-o trentes-cinq ans, %ous le règne d'Abdul-îla m\x- mid, avait eu xme influence néfaste sur soi cerveau et sur son cœur. Notez que qua>a( iés. il quittait Sindstihirli^Kooijou, quelques^'heu res seuleonent, pour faire une promenack en voiture femiéet, il était escorté pai xies sept cavaliers qui avaient mission de 1( ml- surveiller. ^ Ordre était donné à la popula, des tion de détourner les reganfe à son ap proche. Quioonque eût risqué de saluer real pectueusemeut eût été arrêté sur-h>ohain# ri- n;e6t ^ révolution jeunetui*qife ; ~ (1UQ . 1® prnvce devint libre. Il n'eut pliu II Ijesoui dès lors d'autorisation spéciale pou: se reiidro à l'une ou l'autre résidence oi )C^" kiosquo mis à sa disposition. Plus1 d'es oe pions ^ son chemin. Le public put s'in-j e oliner devant lui comme devant le seconc les- chev3 de la dynastie des Osmans. Il avai la euJreijris plusieurs voyages eu Europe. A C>3nsvnni'ino}>le, il circulait sans contrainte tôt Mensuellement, il offrait un diner dans 1( P^nlc'r 0^u,;) la ville, le Cercle d'Orient i i. C était un faste auquel on n'aurait même sul pu penser sous le sultànj Abdul-liaiuid. ués Un rayon de soleil semblait illuminer k >vi- sombre vie du, fils d^Abdul-Aziz. U e'inté-lct ressait vivemoat à la politique, à- la pein> ture, à la littérature. Bien ne l'empêchai teu- plus do suivre ses inclinations. Un joui ira eu présence de ses invités Sindscbili^lvou jou. '• au cours d'une longue convcimtion il fil Preuve qu'il connaissait à fond! Napoléon, t r^-ric le Gracid, de Moltke et d'autre gé-»u n , illystos- Fr-équemment, il convo-sui- h™ 1.u!l les premiers hommes d'Etal ® &s,qui 1 °Aerrogeait sur les.affaires po ^ f ^ rapports avec c£K * , ^^te0aUei,te <»ci Peut été arfim« w. pla.iia ooaiuiisso.uce do cause. Do m.me eue -es relations entre lo Sultan et l'iiéritiei- du jys ta»» etaisent empreinte d'une fraaeiie cordialité — chose rare on Turqute ToaswjuMzwxiiû (toit admi's ' au,^ d souveratu a toute heure de la joumie. Sou-f vani» J s'e:-pruna eu totmos flatteurs gut 50' k botti4 l'aEeet-ion que le su'tan Meluii'ec fui. témoignait. Une seule fois, le priiic héritier oxerga sîu- celui-oi une infraiiuci OU déterminée. C'était après la malheureuse a guerre d>; BclJîans. Il s'agissait de réorga-ws jiiserr l'armée. Ybussotrf, à l'cncontre di 10- 1 entourage du souverain, se prononça eu , v^v<sllr ^un açïïel à l'état-toajor allemand, «M Ce fut son opïcaoni qui prévalut, n s'encrait çueiUit quaVpio pou fo ^ SUCcès. Dans les uu dernuea-s temps encore, quand les Français eu et les Anglais furent obligés de quitter la Ito presqu'île do Gallipoli, il se plaisait à rap peler oe succès d'influence auprès du Sultan, ic- La joie qu il goûtait dapiuia sa libewjé re-fexiœvés ne devrait pas àsrêr long^inpe. Do rfl ipuis feux anaA son entourage constatait chez lui des airs de mélancolie de plus en plus fréquttits. H craignait pour sa vie; il s croyait que l'on travaillait de façon occulte i a r écarter du trône. Souvent a3i apiparuti, an impérial à I)olma- '.b agtché, p our s'eaiqujérir auprès' dl« S al to n de in. sécurité de sa positioji comme héeir ^ fcior du trône. Au printem^; dernier» cette ™ar^e de persôcuition prit une tournuro i>ar-L; fièrement inquiétante-. Pour le traaquil-! ^ Sultan fit rédiger un1 takrir, arrêt " sigvié par. tous les ministres, d'après le-1 ^ilw;eSs^0îl au trône lui fut garau- a lie;. Ce document exeivo. sur lui une în-riumcei salutaire, niais malheureusesneut d^ trop courte durée. Bientôt d'autres fantômes r obsédèrent. Les cercles officiels remarquè-' rc"' ^ avej tiûstesso la d'échéance mentale du ? pi'jnee. Il convient de dire à leur honneur < Qa ils ne négligèrent rien pour y porter i remède. On s'efforça par tous les moyens - de d'îstra.iie et do divertir Y'oussouf -Izzedin• - A la date du 1er février, il devait) entreprendre un voyage en Autriche-Hongrie et s eu. Allemagne. L? ex-ambassadeur tuiro à \V ashmg'ion, Bcsckid Paaia, avait été choisi: , pour l'accompagner. Celui-ci et le s&iateur arméiiîesi Abraham Pacha, vicdllardi de 83 mis, que l'héritier du trône a/Sfeotionnai* boui particulièrement, se trouvaient déjà à ' ia gare, quand arriva la nouvelle téléphonique du suicide du prince. Malgré lu surveillance la plus attentive, il était parvenu à sa proourer un rasoir o^ s'était ti*anc^ié s les veines du poignet. Les personnes de son e entourage le plus iuunéàiat n'ignoraient pas - que déjà, il y a quelques mois, Youssouf s s-'était livré à semblable tentative de sui-■1 c-ide- à l'occasion d'un' vovae:e à Andr^inonle. SUR MER -—. tt ^ Copouihag-ue, 20 février : it Le commandant du transocéanique danois s ,,H^g Olaff"-, qui vient d'arriver d^sN'owv {J York à C'opeahague, a dû remettifckjoâ i&- e quete postaux qu'il avait à bord' a torités anglaises do| Kirkwall. ® ^rtlKmdrevS', 21 févriei* : '/ Le „Timesr" dît que le vapeur " doit Otra lei „Pa-nga", qui n'était pas- ctn^'-e; lancé 'au début de la gueri"e. Le d'éparti dias ;3 navires allemands ,,'BahrenMd"' et ,,Tur-Qb bine" de Buenos-Ayres- et de Punta-Areuas . et la tentative de fuite de Belem faitja par lu vapeur ,,Assu<ncion" ont coïncidé avec ^ l'apparition du „Ponga-Mlowe'' dans l'ooéan [1 A^antique. Il est donc permis1 de supposer __ que lo ,,M6v;e" avait des canons allemands G à bord1 peur armei' les1 navires internés. Depuis un mois, on est sans nouvelles du ^Jilowe". •i ■ y wm if i IIIIJI MU S DÉPÊCHES DiVESSES s Le Havre, 20 février : l «Les deux commissions, instituées par i'ad-3 t^inistratijon supérieure, pour procéder à ^évaluation des, dégâts causés par iexplo-c gion qui s'est produite le 11 décembre 1915. c ^ans" les aMΧ?S pyrotechniques du gouVer-. :?ncimenu belge, se soat réunies le 12 février à la sousi-préCeooure du Havre. Chaque com-L ^mission est composée! d'un juge de paix, . ^président, d'un fonctionnaire do l'enregistre-' l ment et d'un officier belge, représentant le . gouvernement bdlge. Les maires des oom-3 'munes les plus éprouvées étaient conviés à |eette réunion. :] Le sous-préfet, après un exposé général do la situation et de la mission dévolue aux , Commissaires, a procédé à leur installation î |t a ouvert leurs travaux. Il a été décidé de diviser le territoire sinistré en deux zimes, ; Rattachées respectivement aux deux com-) fissions. IncessemmenD, ces commissions - adjoindront des experts-.' qtÏÏ "auront pour l mission de recenser sur place les dommages l causés, d'en déterminer la nature et l'im-. portanco. ^ • / Cologne, 20 février : i r La Gazette de Cblog'ne" écrit ce qui f ^aii au sujiït de la chutai d/'jirzerouiui ; • — Les- Kwsscii ont obiênu; uai siixm^ qui leur aura coûté probablement bien- des sa- . orifices, mais qui n'en demeure pas moins i un succès. 11 vaut mieux rec-ounaatro cetâ i avec caiT-ma, aifin do no pas repi-ésssitcr la bel10 (lu'eLia 110 réa110- ParHry*Wi<w<«* *n , f1| ^0^" t Lo ,,Petit Journal" annonce que la collec- ; tion des sculptures du Musée du Louvre . sera réouverte au public lo 1er mars pro- . chain. 1 Sept cents tableaux dit Louvjre se fcrou- ■ vent encore à Toulouse. * « Paris, 19 février : A Gérardta, l'IIôtel dès (Bains1, transformé en ambulance, a brûlé. » ' i Paris, 20 février : Après avoir de commun accord réduit leur vfoimat ou le "nombre de leurs pages, les journaux français ' ont " décidé encore, étant donné l'a^ffgtRrmrrîtto-u du prix du papier et de l'encre (Fimprimerie, d'élever le tarif de i leurs annonces djo 1 frano à S francs à La : ligne. « * * * *i Paris, 20 février : «Tftie dos commissions dui Sénat s'est prononcée m principe ooaitre le projet ndiopté par La Chambre- au sujeit de la fixation do prix majrfma pour les vivres. La Commission e50 d'avisi qu'il ne faut fixer de prix maximum que pour le sucre "fet autoriser la saisie de cette denrée. E'Ie approuve les mœ-tm» votées par la Cham-: bre pour empéohar l'achat do marchandises fait dans1 un but de spéculation. Cologne, 20 • février : M. John Erinckerhoff-Jacksen, attaché à 1 ambassade, am-éricainc à Berlin, es# arrivé à Cologne pour visiter les prisonpicsrs de guerre qui y sont internés. M. John Brrookerhoff-Jackson a été auto-nsé par le ministère do la guerre à visiter tous les camps, les anijbuinnces ot les prisons militaires établis en Allemagne. Rome, 19 février : Hier soir, dans le port de G êtes, u» fc. cendré a «nlaié «tau» j» ^ agg-ifaeEEgaBgMw^;"" dichai'ge lo charbon et le talc. Le feu atteint i® vapeur anglais et q«dque®' nt vue» itoliejis. Cri espère pouvoir s'eai rei dre maître rapidement. *■ * * Copenhague, 19 février : M. Bottboel, chef de tfevision au ministès te affaires étrangères, 6e î^endra à Loi tires pour terminer les négociations ave les autorités anglaises au sujet des consi tions qui doivent régler les1 importations1 a Danemark^ ♦ *■ * Londres', 19 fémer : Le gouvernement anglais a interdisti tou< exiiortiition de laines provenant des Indt oricsitales. » , *. * Melbourne, 19 février •: Un jouanal annonce qu'eu dehors d l'achat de 2»3O,0i3O toaiies' dis blé austraîie fait par le gouvernemeiat anglais, il a ét conclu des arrangements pour i'ao^uîisijkin d pins g.tand;es quantités de blé encore pou l'approvisionnement en vivres des Alliés. 3 esi probable que tous) les' stooks- disponible seront achetés j>ar cette comiuisS'ion. * * « Stoclyhoûm', 20 février : Le [Bureau télégraphiqtie suédois1 est an toriva à publier la communication suiventie — Le dbrnier discom-s' du Trône a d: claré que le. gouvernement suédois s'et; efforcé à différentes reprises1 à cjUa^iore avec d'autres Etats neutres1. To'otefuis, L nouvelle que la Suède aurait prot»sé au Etats-Unis de réunir une conférence! ayan pour but de discuter des violations dia> dk'oi international commises1 par l'Angleterree e& absolument inexacte. * * « 'Berne;, 20 février : Le Conseil fédéral suisse a déci<ié die cou voquer F Assemblée fédérale pour le 6 mars * ♦ « Munich, 20- février : Ubo avalanche desoenjd!ant de la Mandl j waniî, di:«is lo district du Hochkoenigstein a enseveli cinquante personnes. Tren'&s'-cnu corps ont été retirés jusqu'à présent. Le: travaux de sauvetage dans ces amonaalle metite de neige sont extrêmement di'Zîà^f.e A cause du danger de voir tomber db nou voiles avalanches au m«3me endroit. I/ava Hanche a entraîné dans l'abime une cabane aJiri pleine de gens qui s'y étaient refu * ♦ Christiania, 20 février î îjo Stvithinig a voté samedi, à une ^ran<î iruvpr-M, le projet de loi -établissant un im pot de 1 ooiu*. 50 par tonne et par moi: sur la navigation do commerce. Lo rende ment de cet impôt, qui est évalué à 50 oi -100 mi'lions de couronnes, est destiné i combattre la cherté des vivres. . * * * Pétrograd, 20 février : Le président du Conseil d'Empire a fai savoir que l'on prépare pour la sei&ioi prochaine quarante-sept projets de loi. Oi s'occupera t^ut d'aîxyrd' des projet» «♦'t** pôt sur la . revenu et du nouveau règx&u*Mi sur le service des téléphones; piuiisi des projets relatifs aux entreprises c;>mmercialee et kidjustrielles, ainsi qu'aux dédommage mon^s i>ouir préjudice causiés par dl'injustôas mefiores adminM-ratives ; enfin, ou élabore la loi sur la construction d'ateiliers' natio-naux, une loi contre le vagabondage^, de.' règlements sur les congrès et sur l'indus trie de l'or eft du platine, etc. *■ * * Pétrograd, 20 février : Au' cours d'unie conférence tenue esntr< les ministres et le président de la DOuime de l'Empire, M. (Bark, ministre den finances, a exposé le nouveau système fiscal qui'i: préconise. On a proposé l'iuTrcxîuctâoni en Russie de deux nouveaux monopoles : celui des forces hydirauliques et œiui desa champs de eousesos. On s'est mi* d'accord pour tenir quatre séances do la Douma de l'Empire par semaine. La discussion du bu^et sera activée, de manière qu'elle puisse ôtre terminée ,;\ Pâques. Utt projet de loi autorisant l'émission d'un emprunt de 471 millions de roubles, dont le produpt servira à couvrir le déficit Les Faits du Jour Le soldat français emploie de l'aloool solidifié pour ailumer la petit fau qui lui sert à chauffer ses aliments et à faire sa oui-aine. Le belijs n'eanpLoiei pas encore l'a«oool soliiiifié, muss1 il a une reeetie à lui pour faire du fau, et il s'en déclare enchanta. La voici : ■ Vous prenez une boîte à conserve vide; dans i'entro-tenvps, vous avas déoorti^cé un morceau do sac de tranchée ; vous disposez les bribes ainsi obtenues dans le fond de la boîte à conserves; mette par-dessus un gsru da paille hachée; vous aurez eoupé un tkm morceau de bougie en. morceaux et vous ^poserez oes moroaaux par-dessus tout; la lîêclw de la bougie allumée, vous auriez un bon fou qui flambera' olair pendant une vingtaine de minute, le temps de faire mi-joter etj IbouilTiir le ,,rata". Cesl-a vaut, pa-raîtt-U, tous les alcools solidifiés ou non., L'Italie sait depuis quelque teaips ce qu'il en coûte à un pays de se trouver sans oom-buslible. Le problème est ardu surtout pour les troupes alpines. A la vérité, les blockhaus, perchés à des hauteurs tris coi.-f.i-iirattea, sont pourvus d'appareils de chauffage à esprit do vin et do po-Je». Mais, pen-(kict la. marche, las troupes ne disposent pas do ces appareils et pourSant il est né-c«sBaii« die faire du feu ; dans ce but, on emporte le oombustible sous la foisnb db petits paquets de papier très légers qui donnent ofisea bien de cisajear. Sous la direction de leurs instituteur®, les feoliero eolieatiottnent tout le vieux papier qu'Us peuvent trouver, l'enroutaat ei en [ont des masses compactes qui sont haabées insulte et reformées en petits biocs. de sont ces petits blocs réunis en paquets qui font partie de l'équipemeat des troope» al-pàias. Il paraît qu'en eu brûlant deux ou aroift le soldat réussit gaxfeiteae»i à «âiauf-fer «a mi va. COMMIINIOUÉS OFFICIELS Commismqués allemands 8 " Beiiin, 2i février. — Officiel de ce mid: Tiiéâtre de. la. guerre à l'Ouest. ;ï Au nord d'Ypres, les Anglais ont ten contre notre nouvelle position près du cani une attaque a la grenade», que nous avo repoussée. e Au sud do Loos, l'enneani a été forcé s se retirer des abords de l'entonnoir où ao avions pris position ; sur la route de Le à Arras», il a attaqué en pure perte. Nos escadrilles d'avions ont attaqué ,difl 0 #rentes organisations ennemies en arrière ■ 1 front, enti-e autres à Fumes, à Poperingl é à Amie^is et à Lunêville : les bons résulta 0 obtenus par ces attaques1 "ont été confirm r par do nombreuses observations. Théâtre de la. guerre à l'Est. Devant Dunabourg, des attaques rues ont échoué. En d'autres enrtroits du front aussii, l'e nemi a fait des attaques do peu. d'impe ^ tance, qui furent rej.K>ussées. Dans les Balkans. t Bien de nouveau. r . ' . * * * 1 Berlin, 21 février. — Officiel : c Le 20 f.évrieir, àf midi», j/msieurs do n-t hydro-a.vions ont attaqué "la côte angîais t [ls ont, avec plein succès, lancé de noi t breuses lx>mbes> sur des établissemente« i dustriels de Deal et sur les installations1 ( chemin de fer et du port ainsi que sur i gazomètre de Lowesioft. La gare (principe - ot les installations du port de Lowestoft o . été atteintes plusieurs fois. Le ga^omèt s'est écroulé sous l'action d'une bombe. I outre, dans les Dowiis, des bombe» ont ( - laneées sur doux vapeurs-ci ternes. , lîn dépit du tir concentré sur eux et) ma j gré les efforts des aviateurs ennemis q i s'étaient lancés à leur poursuite, tous n . avions sont rentrés indemnes. 3 * ♦ « Berlin, 21 février. — Officiel : Des hydro-avions ont jeté, le 20 févrie " de nombreuses bombes sur le champ dPavi * tion ot le oamp militaire de l'unies, s sud-est de la Panne. Les avions sont rei très indemnes. * S i> ^ Yienue, 21 février. — Officiel d'hier s } Fronfc russe. Bien de nouveau. Front italien. En Judicorie, notre ouvrage de Carrisol près de Lardaro, est pris sous le feu d'ob siers de gros caAibre. Sur lo front do l'Isonzo, les luttes d'art] lerie continuent. i L Front du Sud-Est-, La ix)sition avancée italienno près de B< b zar Sjak j. été jjrise. Plus au sud, nos troupes se sont pou ; sées jusque dans le voisinage immédiat di - lignes ennemies au sud-est de Durazi-x). Des groupes d'Albanais, qui combatte] j côte à côte avec nos troupes, ont occuj Bérat, Ljusna et Pékinj. Dans ces localité) ; plus de 200 gendarmes d'Essad Pacha oi ■ été faits prisonniers. « * Constantinople, 20 février. — '.Officiel d quartier général : Sur le front des Dardanelles, un cuiras; ennemi, qui se trouvait dans les parag< d'Imbros, a lancé sans succès, quelques tw( jectiles sur Téké Burnu. Des autres fronts, pas do nouvelles d'in portance. *** C onstantmopia, 21 {évi-ieir. — Officia d grand quartier général : Sur les Dardanelles, le 18 février, dm: navires do guerre ennemis qui co»nonnaien Secfcl-ul-'Bahr et) Téké Burun, ont dû s'eloi gner, après avoir été atteints do plusieur obus lancée par nos batteries. Le 19 fé vrier également, le feu de nos batteries ; mis en fuite un moniior ennemi qui tirai contre la hauteur de Sedd-ul-Bahr. Le 17 février, un de nos aviateurs a lanc des bombes sur un transport mouillé de van Mudros; un incendie a éclaté à l'a van tj di navire. Pas d'autres nouvelles d'importance. CoBHiniuniqué3 des armées alliées Paris, 20 février. — Officiel de 15 heures Aucune action importante à sigmflor ai cours de la nuit. * * * Pans', 20 février. — Officiel de 28 heures En Belgique, après un violent bombarde ment. d>3 nos positions, l'ennemi a tenté d. frane&ir le canal do l'Yser à Steaiettraete Qujeâquets groupes ont pu p^irvenir jupqu'i nos t'rancliées de première ligne, dont ib ont été chassés' aussitôt. Ept Ohaui|>ag'ae, actions d'artillerie su k» organisations ennemies au nord da Ta hure eu à l'est de Navarin. Eln Argorme, nous avons fait sauter i Vauquoisi deux mines, qui ont bouleversa les travaux de l'ennemi. Batre la Meuse ot la Moselle, nos britito ries ont bombardé les établissements on ne iuis vca*s Etein et Saint-Hilairo, provogaian plusfeu*>s mcendks et uaio très violent expiœion, Ardi fcUid de Saint-Miliiel, tir de detstruictkxr ex^Kité sur les ouvrages eianemis à l'ottes de la for«3t d'Apramoi^t. Un avion ennemi a lancé plusieurs boni bes sur Dunàerque, sans causar do dégâte Un autre a^p^reil a jeté, la nuit dernière deux projectiles qui eoat tombés d^aa un- prairie au sud de Lunéville. p .* * Londres, 19 février. — Officiel du gran< quemiier général britannique : Hier matki, le& AMemands ont eîntneiprii une attaque contre nos tranchées ôtublief près do Oomiaoooujrt et ont fait queàques prisonniers. N«e pesrtos en mort» efc einj bîes sés se aont élevée» à sept homme». Pendant la nuit dernière, près d'Hooge activité récipri>que de l'arfcfllorie. Aujousd'hwi, n-oue avons bombardé un -tic lid'e pciint d'appui do l'ennemi près ÔQ Le Touqet. * * • Londres^ 21 février. — Officiel : Deux biplans allemands ont attaqué oe lé, matin Dowestoft. Etant à une grande hau* d, teur, il? oht: jeté dix-sept bombe? et), ont as ensuite diiaparu. Il n'y a pas eu de victimes.3e Les annexes d'un restaurant ot deu'x Iia^ js bitations ont été endommagées. ds Deux de nos hydroplaneîj se sont élevés et ont donné la cha.sso aux assaillants, sans ér succès toutefois. lu Un hydro-avion allemand a jeté des l?om- e, bes à proximité du bateau-phare de 1U xg&. tg dowvi. Un autre a jeté six bombes sur Wal-^s mor. Deux bombes ont détruit des toifres; une autre est tombée près de l'églis^i, et sou explosion a détruit les vitraux. Une autre bombe est également tombée à proxi-es mité du rivage et a tué deux personnes. Au tofâl, trois personnes ont été tuées et a- une blessée., r- Doux avions britanniques se sont élevée à Douvres. * * * Borne, 19 février. — Officiel du gcaad quartier général : Sur tout le front, duels d'artillerie. 3S En guise de représailles, nous avons bombardé des localités lialwtées. Lfee a_ de nos' escadrilles d'avions Oaproni a m.-trdpris hier matin une aUaque contre Lai-! ' bach. Nos hardis, aviateurs, qui onfe été u bombardés sur tout leur parcours par de L.Q nombreuses batteries de dépense et ]xar d«s3 essaims d'a^atours ennemis, ont réussi h atlbei'adire leur but. Lorsqur'iâs sont arrivés am-d'es^us de 'la vill<5, cachés par les nuag>39, ils ont joté quelques dbuizoino-, de grenade© et de bombes. Un de nos avions Caproni. qui avait été attaqué et cerné par . six aviateiurs au/trichiens1, a été forcé d'at- . LU torrir en territoire ennemi ; les autres a pa^ reils sont rentrés indemnes dans nos lignes. * « # Pétrograd, 19 février. — Officiel dus grand état-major général : r' Une die nos batteries de gros calibre a l" forcé un liallon-Sronde à atterrir près dte u Jeziema, au- nord-ou«?st de Tarnopol. 1- Sur le ne^t01 -c° ^-nnades, fusil lades et combats habituels entre patrouilles. Dépêches Diverse, 3 Glasoow, 20 février : On attendait ces jours derniers, à Glas-i, gow, M. John Mac I^ean^ le tribun popu-i- laire, qui devait présider une réunion où s'étaient rendhxs anviron 500 dciéguKi» de 1- 248 trade-unions, chargés j>ar ces organisations, d'étudier les moyens de constituer une Chambre du travail pour l'Eoosse. M. Alac Lean n'arrivant j_>as, on prit des l" informait-ions et c'est ainsi que la réunion apprit que le leader ouvrier avait été errâfcè en vertu do l'Acte sur la déftesise au !'s Royaume). La réunion a adopté à l'unanimité une l) résolution do protestation contie cette arres-16 tation et elle a demandé sa mise en liberté 3' immédiate. • t it * * • Gênes, 20 février : L'incendie qui a éclaté dans les dockt de u Gêmes a ûétrtfk 6,500 quintaux métriques de paraffine et de stéarizic. Il a endommagé, é en outre, des dépôts de charbon, de bois et s de poix, ainsi que 17 wagons de chemin de i- fer. * * * i- Turin, 21 février : Un incendie a éclaté la nuit dernière dans la fabrique d'aniine Bollctti. Les dégâts ! sont importants. ,*** - Amsterdam, 21 février : l A Schiedam, un incendie a détruit hier . la fabrique de porcelaine Hegelis. # * Berne, 21 février : ^ D'après le „Seculo, une forte efxy^osroaa l s'est- produite, dans la nuit de vendredi à samedi, dlaus uuj atelier pyrotiec 1 miquel de j Bologne. L'incendie qui s'était d'-ela'ré a ^ été éteint. L'exploitation n'a pas été intec-L rompue. Jusqu'à présent, on «gnale un. mort et un blessé grièvement. L/expÛosioji a été entendue dans toute la ville. * * * Pétrograd, 20 février : A la séance de la Commission bud$é* taire du Oonscrfl de l'Empire, lo président . du Conseil deK ministres a déclaré qnuei, l sur l'année 1916, lf-s deux tiens des munitions nécessaires devront encore venir de l'étranger. s Washington, 20 février : 3 On annonce que les Alliés ont saisi dîes fondfe publics pour un montant de plusieurs millions de dollars. Ces titrer avaient été envoyés d'Amsterdam à New^-York. Oïl croit qu'il existe de nombreux préo'dk^its qui j-LSti&wnt ce procédé et que les Alliés ^ invoqueraient si les Etats-Unis protes'caieeit. * * * Paris. 20 février : On a. découvert, pendu à une bran cl te d'arbre, di;ns un lK>is à proximité de Clioi-sy-le-Boi, lo cadavre de M. François-Ecgia Pégioud-, frère de l'aviateur qui succomba dans la région de l^^lfort, au cours d'un combat contre un avkktour allemand. François Pégoud, qui étiit sujet à dos accès de neurasthénie, avait été très affecté içir la mort, de son frète. ; * * * Borne, 39 février : Quelques1 anciennes classes de différentes armes sont appelées sous le»' drapeaux-psomC lo 21 et. le 28 février prochains. * * . * Stockholm, 20 février : If admiiidstration suédoise des cheminai de for a trtwisnris au gouveroement) eqi projet drélcc<rificàition do la ligne des chemias dl3 fer d"e l'Etat Kirunu-Lflidm. Le ministère) ; demandera au I'urlement un crédit (9b . 15/)30,c00 couronnes diint, oe but. D'après les évaluation®, l'tf©>k'ifi cation , pcrmeètra d'écouomûrer 130,000 ton^ies dh efcnrbost, en «o basant «u£ un trafic mini» ^ mu/m.

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