î^iiiiaiiviiw Im isiai w i v iw ^ y Vô u ^4 mvmwj» v • wv6*w*«*ww a—• r» ■ • w ■ w w • » - -rw w .^.■4.-*'■ "'• J *" '*"' .^.... .... - » • .. ^ PRIX DES ABONNEMENTS- ADMINISTRATION ET RÉDACTION T PefiTos annonces . ....'. la lign», fr. 0.40 Un moi» (tours} . . . . '/> • t"- *r(* si, Mtontaffne-aux-Herbes-^ot&ffères, BRtrXELl-.tiS Réclame avant les annonces . - 100 . - - r~ ' , J bureaux . DE » à 17 heures PRIX DES ANNONCES Corps du journal - -*.00 Lea dem.ntfes d'abonnem.n^ont reput Faits divers — 8 00 EXCLUSIVEMENT 1|- y • . Joa>> MORESSEE, Directeur Nécrologie — 2.00 ^ aux guichets des burafeux do posta. ^ xzjourd'hui Aujourd'hui : HUIT pa(fe% LA GUERRE 587e jour de guerra La situation militaire autour de Vterdun é n'a pas subi die modification essentielle. Sur fe» rrvc gaucho (Se la IVfotLse, do vifs combats locaux se pouisuivent à l'est) île li-ethincourt et 6urtouC dans le bois des Corbeaux, au nord de Cutiiiières. Sut la vive droite du fleuve, les Allemande ont occupé le bois d'Abliain, qui s'étend à l'ouicst dki village de Doua-umont). A l est dlu secteur HarcLmiuiout—Vaux—Fort de Vaux, où se Saint déroulées les péripéties dl une lutte acharnée, ils ont Li.it leur a-ppari'oitfn au suk£-ost de Dam loup, à proxioii&S cflo la route Eix-Damloup. ïîn WoavrO, ià n'est pas survenu) die changement.Sur toute la ligne qui contourne Verdun dopuirs l'Argomno jusqu'aux environs de Freîaesen-Woevro, l'artillerie des deux p a tis continue à faire preu've dune actikvit» tropj significative pour que l'on eouige ea ce moment à prévoir un ralentissement de la lutte meurtrière engagée depuis tro<s semaines autour de la grande forteresse tlran-çaise.Sur le restant du front dans l'Ouest, en revanc'23, l'initiative des belligérants reSHe restreinte. Le calme s'e&t uiêîue rétabli cLu,i«s 10 secteur d'Y'près, où certains indices avoksit fait supposer il y a huit jours que les Anglttfe se disposaient à tenter dfe> di> gagar leurs aliics dans la mesure dtuj possible.» * * En RjusSie, les quelques escarmouches signalées par les communiqués ne peuvent davantage être consï.iérées comme 1 iïidioo d'une prochaine offensive capable de venir M-recteme.it en aide au& Français. La saison», du reste, est encore tirop rigoureuse pour ixjrtaeitre, aux belligérants qni sont I aux lyrisefl dans l'est de l'Europe, die deti-nea* la pleine mesure de leuus efforts. Il en va do même sur le front austro-italien. La neige atteint jusqu'à 5 mètres dans le Tyrol, et suivant un récent <xmi-m unique italien, les avalanches y soiitj nombreuses.Rien d'étonnant dès lors que les {hostilités ,y soient quasi entravées par r hiver. Sur risooizo, ce sont les pluies torrente-les et les moncJafcions qui y mettent otetjc'e. Plus aucunio nouvelle <Jcè opérations militaires en Albame, où l'imminence dfévénements sérieux dans Io senteur do Vakma doit néanmoins toujours être envisagée. A Salondque, où l'on signale diraoCitos mouvements de troupes à la frontièro gréco-bulgare, c'est toujours le statu quo. * • • Dans le Caucase, nous noua bornerons à constater, d "après les dépêches de Féfiro-grad, que les Russes contiauient à gngner (Tu terrain lo long de la côte (Je ln. ïner .Noire. Au- îijord et à l'ouest d'Eraeroaum, au-cuno modiUeation n'a été signalée, non plus que sur la ligne Mu£cli-J3iblis, au 8u,di-ouOi>t du lac do Van. On peut dire, en somme, que depuis la prise d'Krzeroum il n'y a plus eu de enn-t»ats sérieux dans le Caucase», où les Turcs attendent visiblement des i-enfoiis. En ^ Per.^e, les Russes dominent la situation dans lo secteur de Kerrnantlshn 1, tandis qui en «Mésopotamie les Turcs viennent ue repousser une attaque sérieuse prononcée par le général Aylmer. Oet'e attaque v»:>it Ie ^rs j/osilions à 12 kikui>; 6res de Kut el-Amara, où le général Tov/iLseud est en- fo.imA rLv>iMc a •»_ . L'Aremagiîe elles Etats-Unis n_ >■ vviuu, nj mars : *>i*f ,?1X^0 gouvernement impérial allemand 1 aaibti-ssadeur impérial à Washington a tait la communication suivante au secrô-taire d'LUat des Etats-Unis d'Améri<luO : Le gouvernement impérial a le souci de prv0i9jr encore une fais la situation a % ec une entière franchise, conforme aux relations amicales dos deux grands peuplés et au oescr l°yal du gouvernement impérial ao pré-ser\er oes relations de toute atteinte. Au début de la guerre, sur la proposition des Ktats-Uuis, ie gouveniemeat allemand s'étût imraôliiatenient déclaré disp>sé à ratifie^- la Déclaration do Londres relative au droit de la guerre maritime. L'organisai ion de la juridiction aJScmaaide des prises avait été Publiée au préalable, et sau6 aucune restrio •'ou, sur La ba»-so deo stiprakvtions de la dîite Déclaration. C'était reconnaître que lo-» stipulations du Droit des gens relatives au coaimeroe légal des neutl-es, même r.v'eo les bdDigéhints, et celles rolativas à la liberté deJ me:*?, sorawut observées du o5té allemand dons toute leur étendue. A 1 encontre, i'Au-gietoTo a refusé de ratifier la Déclaration Ide Lwidres. Tout de suite après te diïbu. de la guerre, elle a coameacé à li»niter e commoroe légal des ctote neutre» dans le I but d at eindîre l'Allemagne. Li aggravation ' systématique décrétée les Ô août, JO août. 21 sejjtembre et 29 octobre des s ipula'ijus concamant la contre- »inde, a été suivie !e 3 novembre 19141 du décret de l'Ami-g rautô brittiinoique qui déclarait que Unité la S mw dni Nord devenait zone de guerre et |3 que tous les navires maroa«iiKis sans exception y étaient exposas anx plus graves (Angers du fuat des mines et des navires de guerro. Une protesUition des Etats neutres contre 00 dôcret n'a pas réussi «. le f .ire rapporter. Dès c© moment, il n'y eut plus gu-ère de liberté pour lo commerce neutre dans ses relations avec l'Allemagne. En février 19L3, l'Allemagne s'est vue forcée de prendre des contre-mesure ea vue de paL lier ce^ prodVJés contraires au Droit des gery?. A ce* effet, elle a choisi cto nouveaux moyens de guerro, dont l'usage n'était point encore r^lé en aucune manière dans le Droit des gens. Elle n'a par U vidé ou-cun droit en vigueur, mais el'o n'a tenu oomp^e que do la particuJarité d'une nouvelle arme, le sons-marin. L'usage c te nouveBe aima, appelé hM«nè à ciroon. wnre la liberté do moovement des neutres ci h «oflctiioor pour un danger,, a é^6 1 11 11 -UB.IIJMIL. I Iiiwm » . ;ytcompagne d'avertissement spéciaux répMi-liant à U'avertissement! flue les An.ûl.às MB,vadent communiqué à l'égard des dau^etfs ■qu'avait fait na'tre la zone de guerre d: it> \mec du Nord. Les deux nartis beligéra .t4 a^ant fait ressortir, par la note allemande dii 17 février 1015 et par la note ^àng»!«'ce des 18 eu 20 février 1915, que "ours j»i..c2-" d^s ne constituaient que des représailles lus tifiées par des violations du droit do 1 ad-versaire, le gouvernement des Etats-Unis s est adressé à tous deux pour ten er encore vifs llG0 remettre en vigueur le Droit des gens reconnu avant la guerre 11 a prié ^e8 d'une part l'Allemagne d'adapter l'usage de sa nouvelle arme aux décisions en vigueur ont P°lir Ie3 anciens procédés ie guerre man-à tme; il a prié d'autre pai-t l'Angleterre de , ^ Uiisser passer pour la population non bel.i-uux, gérante do l'Allemagne deu vivres à répar. uue tir sous le contrôle des Etat^-l'nis. Le ùm ifr mau, l'Allemagne a déchiré qu'< 1Q ta Jîaisaat droit à ct-,s demandes ; lo 15 mars, l'Angleterre a refusé un accord tan- sur la base des propositions amencajj es. L'Angleterre a môme sapé, par s .a ordre dun du 11 mars 1915, les derniers vestiges do la de liberté conforme au Droit des gens conoer-y. 4 nant lo commerce des neutres avec l'AUe~ vit*i magne efe les pays neutres qui l'avoisiueat. ea Le but était d'abattre l'Allemagne en l'afro-de mant. J^Ialgré cela, p4ir la suite, des citoyens 6C- de pays neutres ayant, sons qu'elle' l'eût ran- voulu ou souhaité, perdu la vie, l'Allemagne est allée au-devant des désirs du en gouvernement américain-, d'une manière si •es'îe large que les drois des neutres au com-tabli merce l<%al se trouvaient, en réalité, du lices côté allemand, être illimités. C'e t alors que que l'Angleterre a rendu impossible aux; di> soufî-marinfi tout respect de la guerre com4 pos- morciale conforme aux stipulations du Droit* des gens, en armant prc&jue tous tes navires marohands et en décrétant l'usage of-s si- fensif d-as canons. Des photographies! d'or-uvent 'Ires anglais ont été trsiusanises au gouver-idica uemanb des Etofe^-Unis le 8 'évri n i9l.G. miir ^es ordres sout directement conxraires aux s'vi- déclarations faites le 25 août 19-11- par 1 ain-'f reiiBe ijes^adeur d'Angle'erre à Wasàingron. sont Lo gouvernement allemand espénat que dcti- ces documents mettraient les gouvernements neutres à morne d'obteuir le désai memeut istro- des navires marchands sur la base dés j-ro-uètres positions de (iésarmement faites p'ïr le ?nu-00m- vernement des Etats-Uris le 23 janvier nom- I9i6. Eu réalité, cependant, l'armement des. uavuraa marchands a continué à être effectué w>sti- sans trêve par nos adversaires. I e fait que iver. le gouvernement amédeain refusait par prin-o4es cipe de. tenir s^s citoyens éloign s des na-'c. vires marchands eniieiuls a été mis à profit mi- par l'Anglfcterro et ses alli-'s pour armer "évé- Leurs navires Inarohands en vue do l'atv Lkma ta^ue. En effet, les navires marchands ar-mos peuvent facilement détruire des sous-tfîtes marins et, dans le cas où leur attaque réco- échouerait, ils peuvent se croire garantis par la présence de citoyens américains à leur bord. ns ^ I/ordire da faiire» usage de canons a été éfcro- complété par les instructions données aux gnor commandants des navires marchands do bat-iitor tre dfe faux pavillons et d'éperonner m s au- sous-marins. La nouvelle que d-"& primes plus ont été piyées ou des décorations octiojyé<îs à de^ capitaines de navires marchands qui y avaient réussi, prouvent l'efficacité do ces 3 la instructions. Les Alii.'s ont a.[>prouvé c Ue inn- act;nt)LJcSo tîie l'Angleterre. Maintenant, l'A ligures ma^-tDo se trouve en présence de faits paVeis. a) Un blocus contraire au l)r»»itdes g-«.s 66'ta- (vofr la note amérk;aine à l'Anglcterne du, tan- 6 novembre 1915) éloigne depuis un an le nent commerce neuKxe des ports a lemands et. ncée rend impossible toute ex^iortation d'Aller ts:-iî ma^nej tel- b) Lots aggravations contraires au Droit en- des gens consenti- es aux puW.tions concernant la contrebande, omp e:io depuis un an et demi le trafic maritime avec J'AlJe-• magne dtos pays neutres qui l'a voisinent ; ' c) Les empdêtaments contraires au; D'ro.t des gens dans le service post l (voin mémorandum américain à l'Angl terre du 10 jan-alle- vlGC 1°!6)» tendent à em^cher toute com-,.^ou munioition de Ê Allemagne ty-or l'étranger ; d) Jva violation systématiquemeit aggra-dos neutralités selon le principe „la ôuci ^°1'co primé lo droit", arrête le traLc {^ec uec l'Allemagne au delà des frontières du pays ions P°tlr oomplrten le blocus en affamant 'la au population des puissances centralc'v et les Vllemands que nos ennemis rencontrent Sur ^ u mer sont arrêtés sans égard au point de des savoir s'ils sont combattants ou non-comité burtaiîts; l* la e) ^*os adversaires ont armé des navires droit marchands pour l'attaque et ont, par Suite, te la f,ondu impossible l'usage ûes sous-manr s les principe» de la Dédaraiion de trie- Londres (voir mémoire allemand du 8 fé-dîite vr'-er 1916)* los ^ Livre Blano anglais du 5 ]an\ier au îOlG, parlant de l'interruption du eomrori<*e lte allemand, se vante d'avoir, par ces cne^urr.s, de* '"cesque complètrïment arrêté le commerce iand d'exportation de l'Allomagno et d'avoir rendu A a- ^on oxportatron dépendante du bon vouloir ition de l'Angleterre. liSbu. IjO gouvernement impérial ose espérer que, r c confarmément aux relations amicales qui s le depuis un siècle mit existe entre les deux ition roupies, son point do vue sera apprécié par lotût. -c peuple d»5 Etats-Unis, encore qu'un- ruions tanto entre nous et lui soit re-idue difficile ) !e 011 raison de l'attitude do nos ennemis. Ami- a * DANS LES BALKANS dan- Xx>ndres, 10 mars : de IjC „Tirac^' apprend d'Athènes qu'on a itrcs dl abolir l'administr-Ation1 militaire de '..ire l'Kpire supérieure et <i'y introduire io Kys- [>t ufl Fïmo ti ; lncalo en vigueur utro <l»ns les nouvelles provinocs giec-iucs. ( Bnoarest, 11 mars : uaU Tje 14 aTra Prochain'- 10 BWral Ave- '<jpg resou aéra iK/ouno commandant (fe ^ ,)r#. ^ pi(>ro ariiilo £Ûaéi-ul Colescu sera \ ()1)]t cief de 1a doaxiioKî nrin/'o et lo g<<5i/T-iJ )e l'rasan oommandiint de la troisième lumée. ou- Bnoarest, 11 mars : enu !<■ goniver.iempnt a (îériH6 (îc mu- charger le ministre de Suède à Vienne de ! te il» rajjrÇKontoliotii de ce paya à Bucarest. 5on- Iministre suédois à VioiiDe arrivera pro> très chainement à Bncareat ncuc or&enter ses (ti lettre» <3c enfances. SUR MER Londres, 11 mars : Lloyds annonce que lo quatro-mûts fraudais „yille du llavre" a été coulé- Deu^i hommes de l'équipage sont morts. Boulogne-sur-Mcr, 11 mars : Lo vapeuir anglais „Iiermatrice" a été torpillé à 1 kilomètre au nord-ouest de6 quais du port de Boulogne. Quarante hom- >>i na fîr\ l'on mirvi rra nnl cmirAa • nn',}.rA t ont péri. ■ DÉPÊCHES* DIVERSES ^ Le Havre, 11 mars : Dans les milieux parlementaires belges, * conOraiieanent aux informations des jauiv ? naux anglais, on déclaie qu'il e~t inoxaoô 3 que la l>eigique entrera dans l'alôance cco» J uomiquje ues aUliés. Les dépuw-s Uà^es - soni (iavœ que m la Belgique devait fLue • partie de ceUe alliance, elle ahautfeoim^raio i io terrain de la- neutralité. L » * * Ixmdîres, 10 mars : A propos de la Cfoftfércncft économique des. Aine» qui se tieudra procMînément a l'aris, M. Asquuth a déclaré qu eke naur s rait qu' un, caiactèro d nnoinuttion et que t îles représentants de 1 Ang'lei-erxe ne fea-oniB - \aucune promesse qui engagerait} la J^jIi-i Vque commorciale future du pays. 1 11 „ ■ Pains, 10 mars : u Le député Meunier a dléposé à la Cîiaïtu & : bro un projet de loi retirant atux auitjaatés ^ administratives1 le droit d1 mterv-ure, ces /jur-î- naux et de faire arrêtjt prôvejiûvéinëut des t jontmaaisies ou des impriniCLurs. " • * • Ix>ndres, 10 mars : Lo „ ii.nes'' apprend du Caire que le ■- gouvernement britanniquo a nommé une i. commission spéciale pour reoliercaec ji^s ju'à s quel point la guerre a influence lo com-i-; meroa et) l'industrie de l'Egypte. Elle examinera aussi les moyens de créer do non-.«3 veaux dôbouCnés aux produits égyptiens. G ^ S ♦ * t Copenhague, 10 mars : >- M. IvJiuSen, ministre d'Etat nor\'égien, a i- déclaré à un journaliste que les perspectives r deviennent de jour on jour plus sonibred :& pour Ifes Jitats neutres. Nous espérons, toute- é fois, a-t-il ajouté, que nous ecaapperons à e .a temp te. Le blocus anglais devient de i- plus1 eai plus rigoureux et, par surcroît», ld pcti i- pie auj^l ils demande .dos niite-nres' plus é. c.- it gi'ptes encore contre les neutres. IL ne nous r rose qu'une chose à faire : observer la i&- [dus stricte neutralité pour ne provoquer 'd* r- soupçons ni d'un côté ni de l'autre. 5- * « * e Berlin, 10 mars : s iLo 15 janvier dernier, le Reichstag avait, à à' l'unanimité, prié le go^ernemeuï d'éla-Jborec lo plus rapidement possiole un projcl -é Bcîo loi abaissant de 70 à 65 ans l'âge où x les intéressés peuvent toucher leur pension t- de vieillesse. s Aujourd'hui, on annonce que lo Conseil s fédéral a déjà été saisi d'une proposition à ts ce sujet; 1e Reichstag pourra donc en di* n cuber au cours de la prochaine session. e -Berlin, lo mars : 3- La Centrale des céréales constate que les 5. réserves de céréales destinées à la panirica- s trop n'atteignent pas, comme on lavai; U [>i*évu, 2>:J',000 tonmes», mais bien 4(X),0\A- o tonne». Ces approvisionnement permet teni et non seulement d attendre la prochaine cnm- a- i-agne agricole, mais encore de tenir uï mois de nias. l- Rotterdam, 10 mars : n Lo ,,Alaasbode" annonce que le port d-Ilarwich, un dos plus grands ports A ; guerro ang'laisi, a été fermé à la navi^a «t tion. Dbpuis hier, les navires pour liar >- wich s'arrêtent» à Tilbury. i- Londtcs, 10 mars : ; Le correspondant d'u ,,Daily Telegrapli' i- annonco que 4M. Churchill ue rotournerî la plus au front. ^ -r. „ • * • s Bernie, 10 mars : a Les journaux suisses annoncent que î< •s commandant Fabris, chef do l'avintion ita ir l'oane, qui se trouvait à Paris, vient <ï( Le mourir suintement. l" • * * * Pans, 10 ma.rs î ■s l^es journaux de Paris annoncent que 1 lieutenant - aviateur qui est tombé mercrc-1-» au camp d'aviation de Chartres est lo fil> lo do M. Merlin, ancien ministre des finances Slockhoïrm, 10 mars : r M. WaJlenben^, frère dtr ministre suédîou e des affaires étrangères et ministre (îo Suè?li ï, à Toki», est actuellement à Stockholm. Ui ,0 êoUalioratieur du „Dageas N'yheter" lurâ f u ^emasMlô si le Japon avait l'inttentron di'en LL- voyer des renforts sur lo théâtre lie L pierre européen. Il ne peut pas en Ctn ^ question, a répondu M. Wallenber^ j le Ja-pon se bornera à tenir la promisse qw'i x a faite, c'est-à-dire qu'il i^rotégora Ls intA r rôts de l'Angleterre on Extrâme-OiietLit. w i- * * Q Ijfôbonne, 11 mars : L'agence Ha vas annonce quo les diplomate; allemands sont partis sans incident potu ^ Madrid. 5 ••• Amsterdam;, 10 mars : Le vajK?uT ,,Prisa", ea route pour l'A a ^érique du Sud, a dû débarquer son cour ^ riar à Falmouth. • * « r Ooîumbns (Noirveau-WGxixuo), 11 mars : L'agence Reuter anmonce que les tendis mexicains ont perdu plus do cent morts et deux c<i ifes blessés -, 6eize civils et soldats f>- américains ont été tués. Des trourpes amé-o- rioaines sont, retournées hier soir à U u frontièro, après avoir été engagées à trub i\ reprises contre les Mexicains, qui avaient e> re^yi des renforts. D'après les dernières nouvelles remues, les _ Amérioaiins ont franchi' la fronlièr< "o mexicaine, te -™- L Londres, 10 mars : >* Lord Pisher n'a pas assisté an i^aon ^ Conseil de guerro pourr donner son' avis suj des questions stratégiques, mais hien pom donner son opinion sur la constiructioa do navires de guerro. • * Pékin, 10 mars : Les troupes gouvernementales ont Coar ^ quia N'aohi, localité située en face de Lu~ ohow. Le chef Tsaiao et s*» rebelles ont pris la fuite; ils sont poursuivis. l.e géné-^té ra^ qui commande les troupe» vicfcjrieuses je6 a rOîulxli l'ordre dans les régions occupées, m- • • • k jje Pariii, 10 mars : ua-1 A la demande du général Joffre, les ^ respondants de guerre français et neu iii|p> ont (A itté le front français et sont reutrô^ru pour quoique temps à Paris. tr • * • si Milan, 10 mar3 : n Le ,,Secolo" n'attache que peu d'impor- u tence à la déclarati'.on de guerre do l'Al'e- ei "T magne au Portugal. L'armée portugaise, n * dit-il, ne représente qu'une quantité négb- b geable dans les masses d'hommes que la 3 guerre mondiale met aux prisc^ ea Europe, b * 'aïo * * Londres, 11 mars. : u Le ,,Mk>raâng Post" annonce que le clian- c oelier du Trésor a. l'intention d'augsnenter a V les imjwts sur les bénéfices de guerre de s 10 p. c. p • • • f< Londi-es, 10 mars : ^ ^ En Angleterre, de nombreux enfants ont c -trj autorisés à quitter l'école pour aider r ^ ~ les cultivateurs dans les travaux de la a ferme. Les chiffres suivants ont été four-» 1 (lis au Parlement : sont partis pour la c ^.nipagno, 4,423 enfants âgés de 11 et 12 i ans (jxinni eux 11 fillettes) et G,589 âgCs t de 13 ans (dont 78 liilett.es). [ »ur- v ( dos ® Bonne, 10 mars : é La ,,Stampa" amnonce que M. Biss 1 ti, ie chef des interven tionni s '^s1, a damauùé au -jc gouvernemo.it des déclarations qui auraient UJ1C le oaractèro d'un engagement. Le sort du 1 iu'à ff°,ilvôrnement dépendrait^ p,ar conséquent, en ^ ljm_ deliors de la marche dtes événements au " front, de la réponse que ^ÎM. Sonnino et ri lou- &ilnndra donneront au parti do la guerre. | D'après une autre nouvelle, les groupés partisans do la guerre à la Chambre italienne ont eu le 9 mar3 au soir une réu-a nisai dont les dédisions sont tenues secrètes, ;VC3 Mas on a appris par les bruits qui cirjsu-irej 'eca* qno leurs r solutions comporteraient la n u^_ lutte ouverte contre M. Stilandra Un cou- r , X sci'l des- ministres a eu lieu vendredi. t » a ^ de * • ^ pan-, Washington, 10 mars : ^ c.- Le général Carranza a fait exprimer ses ' où s fC'TCts a>i. dépa rrenta.it d'Etat de ce qui l(i s'était pastàé à Colombus. f : do D'après une autre dépêche de New-York. lo département de la guerre a envoyé cinq e d'iachcments de cavalerie à la poursuite des y homms3s du général Villa ; ils ont ordre de ait, ue pas pousser plus loin que deux milles au éhu delà de la frontière. Entre temps, le gou-■oj,;è vernement américain a demandé au général où CarranEa l'autorisation d'envoyer au Mexi-5ion rl'1Q des troupes ei, nombre suffisant pour disperser les bandes de Villa-, en garantis- t iseil saîllt que ces troupes se retireraient immé- a :1 y, diatement après cote opération de police. < div- ^ annonce, d'autre part, que la question ï mexicaine s'est subitement aggravée du fait do l'attaque des aventuriers mexicains contre 1 Colombusl. Pour le moment, tout sVface de-îcs vant d-tte affaire-'à. Lo fait que l'attaque a ! !icu- enfcrei>riso par les troupes du général t vai: ^ qui sont mises hors do la loi, en-fQ0O lève, il est vrai, i\ l'inci-de^ le caract'iro ;esut d'une action militaire et d'une agression con-^m- tra 1° territoire américain — caractère qu'il i;û n.arail eu dans d'autres cond'iîinns. T.es troupes américaines poursuivent los bandits, maâa on igtnoro jusqu'à quelle distance elles , se sont avancées en territoire mexicain. / i de question mexicaine a été abordée fxt i de 9°ïl?rès vendredi soir. Lo sénateur AU, <TiT « i ra- onveau-Mexiqno, a fait savoir qu'il a prof i .iar- inr^ unc résolution par laquelle le gmiver- 1 heaaen® est nanti de pouvoirs suffisants pour c nwruter une armée de 5001,000 hommes, afin d'intervenir au Mexique et d'aider lo goi/ ,ph" vernement- de ce pays à exterminer les bi4-aéra -unds. Le dépufcî Mondell a ouvert la dis^* ^ eu»ion pur une attaque contre la politique utëfctieaine du président Wilson. * • • îo Pétrograd, 11 mars : , ifci- I-o ,,Nlovoio Vremia" annonce que, en cas 1 de d'al>sonoo ou do maladie du président du t conseil, îo Tsar a désigné M. Cli0"wtow yoitr le remplacer. i ) le Paris, 11 mars : * * re» i L'agence llavas annonce ce qui suit : 'Us —- 1^0 „Matin" est autorisé à déclaré que Ici < ccs. géaVal Galliéni, ministre de la gjaerroj ebti ' souffrant. / f\ Londres, 10 mars : y1 1*?t A Ecist llertfor Ishire, H y a eu une éle/l ( " t'cfe* complémentaire. Le candidat indéjxAr ^en- i J>cin!jert^n Billing, a ^té élu par J là vo^x' tandis que le candidat de là r />.v> ^^alition, M. Brotlie Ilenderson, n'a obtenu4' 1 que 3,559 voix. S '■[ ".l' il • ^cjn^crt0ri B.illing préconisait une am|-ntd- liomfcioû serv^co de défense contre ld| l uttaquses^ aériennes. Quant, à M. Ilenderson, ilï ' ufcût officiellement appuyé pat le gouverne^] ment. * • t aie - r • / 30tir Lyon' 11 marS : Parlant des combats devant Verdun, le ..Ifcmveliste" de Lyon écrit que le duel i! d'artilllerie a été le plus formidable qu'on * l'A- gainais oonnu. De nombreux secteurs du ' our- 'r0n français ont été arrosés d'une centaine ' de milliers de |>rojectiles en l'csjjaco de j doaw heaix»; des forêts entières ontj été ! . complètement faucliées. dits *> * + 5 et Amsterdana, 10 mars : iuts Le conflit entre le Portugal et l'Ailema-mé- gao no |>o.u% rester indiff érent à la Hollande la i cause de son commence maritime. Plu-ruib demrs lignes do navigation avoc 1 Amérique ient i!1 Sud et les Indea font escale à Lis- ' bo*ne et igs cago-boats pour la Méditerra- 1 nés. née et Io Levant doivent passer par le aère Portugal. L'extension de la gueïro sous- 1 marine aux eaux territoriales du Portugal ' a pour ces navires la signification do l'ex- < teafiion à ces eaux, dans lesquelles ils 1 oont étwmt jusqu'à présent en sûreté d'un 1 sur gflDTO guerro où il n'y a plus do pro- j Xïur Icotioii ijossible pour les navires. ) GO M M U N i G i J ÉS O F FICIE LS v/uiffi miumteiot Communiqués allemands t Berlin, 11 mars. — Officiel ee ce midi : I Théâtre do 1a guerre à l'Ouest. Les positions fortement retranchées dans Les bois au sud-ouest et au sud de Ville-aux/L>oia (à 20 kilomètres au hord-onest c'e 4 iReiuis), ont été prises d'assaut sur une | Iteaiiue do front d environ 1,400 métro» et-JPune x^ofondeur approximative d/un kilomètre, par des régiments saxons, qui n ont subi que dès pertes tout à fait minimes. Le nombre des prisonnier» nou-biess-s qui sont tomoés entiio nos mains, est do 12 oiticdei3 î- et 725 hommes; notre butin comprend 1 ca-î, noir=revoîvei\ 5 mitrailleuses, 13 iance-- bombœ a Sur 1a rive ouest de la Meuse, dans lo '• bois dera Corbeaux et le bois de Cumières, uous ftxous délogé les François des derniers r.'iluite oit ils se maintenaient en-i- coro. D^, rQ8tt6tA»ttaqucs enneinii :s tentées ■t a\vO do puissuiits effectifs contrôla lisi rc e sud 'dos 1xhs et les posi ions allr-'uiivudes plus à l'ouest ont été étouffées par notre feu. S'oit la rivo est, l'action de l'artillerie it est devenue très violente, surtout ÎSShs la ;r région au norcT-esi do Bras, à l'ouest (Pu) a vill-ageo de Vaux, aux alentours du fort» de [*f Vaux et en plusieurs endroits de la pluine a de Woiivre. 11 n'y a ws eu de _ cotmbats .2 d'in fa n=ter i e décisif^, sauttfi ' cx'ca-siéîi' aawiie '.s tontâfivê' (P'ntiôtpie nocturne dirigée à i improviste pir les Français contre le village de Blanaée et qui leur a valu un échec : sanglant. [ Un avion français, frappé en plein par a an pr'o^fïïo (To notw artillerie spéciale, est^ tomfeé, enveloppé^ da flammes, entre les deux i lignes de front, ^au sud-ouest- do Château-n Salins. Les occupants sont morts. Leurs ca-u davres ont été emportés par nos soldats en ^ môme temps que les débris de l'appareil. Théâtre de la guerre à l'Est. y s et dans les Balkans, a- Ricia de nouveau. > • •• s, B'crlin!, 11 mars. — Officiel : i- Dans la matinée du 9 mars, nos hydJb; j a avions ont lancé des bombes sur «ne fichée | à- russe composée d'un cuirassé,' dé cinq <^>ti- ; torpilleurs et de plusieurs cargo-b»its. J Cette flotte se trouvait dans laSnprj Ko ire, près de Kaliakra, au nond-eslf d^ J es Varna. \ U1 On a constaté que plusieurs con'.re-tor- ' pilleurs avaient été atteints, j. Tous nos avions sont rentrés indemnes, * en dépit de la violente canonnade difig^î Ps s'ir eux par les navires russes. le » * » ~u Vienne, 11 m ara. — Officiel d'hier : u- Fronts russe et du Sud-Est. \ . al Ecen> do nouveau. 1- Front italien. ir Sur le front du territoire du ac- s- tion localisée do l'artillerie itaLonne; {Çet'îe é- action, en général modérée, n'a été pltw vigoureuse que devant 1a- tûe do pont) da Toi >p mein. Sur les fronts de Carintlro cil du ff^rqL ro l'activité est restée restreinte, le- Il a encore éijé constaté — cette foiaj^ns a la région de Rombon — cjue les ItaliaJ ogit ai employé des bombes asphyxiantes.' ? ro Vienne, 11 mars. *— Offloiel de ce lundi : n" Front russe. Pas d'événeantot8,jg|i»iiàux-À, si1er. Îq nt ëud-fist. es < bm foiç^a italiennes so mfl8nten»eiif y efieoie sur lo Somoni infériour orft commenéî fut' a v. i,n t-hier, menacées à l'est d.i^s leur fjanc^ TïT mie retrairo rapide, apnis imejk)urte etmon-•<^r ctado. Au cours ae*cette retrait^'' èHes ont a<p r- copté le cocnbat sur les hajfburs au noi%. ni de Feraf, qu'elle? ont d? évacuer pea in après. La dé^niisant JiogB les ponts der-r *le e^?^, elles se so^ retirées sur la f rivo méridionale de la Jojusa. l^e calme continue à #éguuer dans le nord ■dQ vie l'Albanie ot dans IqrMonténégro. Front /lliftflyifc>-i— Le f ,-a dâTarti'liOTy ennemie a éfiê. do non-vertu plus vif hier >Jfr lo frurtt du Kiïsfcan-as land,, sur los positrons habituellement) ca-îu nonnées. vj 6 Dans lo eocteanr du hadt p&ateau de Do-lîerdo, dos oomlx^ livrés *ià laide de mines et do grenades à inain^ta^it eu lieu. Consftantû#<?ple,\jll* mars. — OÏfi^ial du là quartier ^én^ral : V / set! ''_»Survfe fgonfi da l'Ira/v, à l'est dia iWa-f fîii^-Teanemïj ^iTay^nT' obtenu aucun suSms } >kt!is Scsi attaque? Improvisé®, a, dep: i> dh 11 'mois, essayé pan tous les moyens }>ossibi^1 Jfm de s'approcher de nos positions. / \ Au cours do ces jours derniers, il ej|t ari rivé ".tusupa'iV IfVl ou 2<.X> mètres (îo di^bq-e la î'.te nos tranchées avancées, dans l'intontifm ' { manifeste d'attaquer résolument. Ixî 8 mars, f a.u ma'in, l'attaque se d'clancha sur la rive jkj droite dra Tigre, où &ï trouvaient itis f r^rincipa-l/ets (^o l'enaemi. Ixs combat a duré Îj2 jusqu'au coucher du soleil. ej3 Avec le concours de renforts, que sa flottille fluviale amena en hâte à cette aile,1'eft-nsiui a jm envahir une partie de noa tlrat-•chéss, mais, gr^ce à une vigoureuse et h«K> le Wfque contre-attaque de nos réserves, ces' e, tajanchcos ont étlé reconnusses dans tout0» lej>r 1 Vfendue, et l'ennemi rejeté sur sas posittions ajihjennes. Il a abandonné, dans l ^s tron-51 (wik 2-,000 morts ot une grande quantifc j'' d'armes et de munirons. Nos pertes sontre-f] lativ^mi^vt^ moindres. )lC Pafi de Nouvelles importantes des antres fronts. \ /' a- CommuniqiiSalliées de r~. n. Paris-, 10 mars. — Officiel de 15 heures: u0 En A igomnfi, notro arfcî\Jeri<e a canoamé des convois ennemis signalés sur la route n_ Montfn,ucon-A vanoou r t ]e A l'est et à l'ouest do la Meuse, la situai s_ tion no s'est pas modd'aée au cours de la al nuit, iyenndmï n'-a tenté aucune attaque x,. d'infanterie contre nos positions. T^e bom- ls bardemeat a continué de part et d'antre sur in l'ensemble do notre front, violent sur la» rive o- gaucho et 1a rive droite de 1* Meuse, intermittent ea Wotfvre. wr r aw/iK.L.'g ,En Alsoeo, nos batteiiea ont boulovers' les tranchées eauionnes sur la cote t,cst do Thami). • . • * Pans, io mars. — officie) de 23 houreS: A l ouest de la route de Lille, l'cnuemi a t'ait exploser une mine dont nous aNonii . occupé l entonnoir. i3 j . En Argonne, nous avon? canonné îtno co-. -iènïio ennemie qui marchait dans la cirec-. €îon du bois do Montfaucon. ; A loues & de la Meuse, l'ennemi s'e«i 5 acharné contre nos positions du bois ôe^ I Corbeaux. Plusieurs attaques ont été re i poussées successivement par nos tirs d'ar-. tillerio, nos feux d infanterie et do mitoail - leuscs qui ont causé de grands ravages dans les rangs ennemis. Malgré des pertes e hors de toute proportion avec l'objectif cher-;, ohé, l'omnomi a lancé un dernier assaut à - Fetffoct.if d'une division au moins, au cour.* - duquel il a pu occuper à nouveau la partie s du bois# des Corbeaux quo mous lui aviont c reprise le 8 mars. s L'ennemi a attaqué par d'eux fois nor e tranchées îi l'ouest du village ci) iDoutuv moiitt). Arrêté par nos tirs de barrage et e nos mitrailleuses, il n'a pu aborder nxx a lignws en aucun point. Une attaque ecu pré i» paration contre le village de Vauw, en- c rayée par le feu de notro artillerie, n'a pu e: se produire. s * * * ° Londres}, 10 mars. — Officiel du grand quartier général brioaauique : 0 iiior soir, près do la redoute Ilohon^ol c lern, uous avons repoussé une petite attaque allemande. II Aujourd'hui, l'ennemi a fait sauter unt rf-Mnino près de Givoucay, muxS il na pas x entrepris d'attaque d infaiiteaie. l" Dans les environs d i'pres, vive acivité ^ de l'artdlerie de pur^et ^ A autre,. | Is^ndres, 9 murs/— OïLciel do^l*aî^k / jéa Mt>sopotamie : \ Le G mars, le général -Ayjmer s'e&H s avancé sur la rivl!l^lfïfW?'Bllu Tigre et a at-.V /teint Es iàiiii, position située à 71 m ides çtè \ ■ Kutrel-iUnara. Lu position a éié attaquée, f ^ mais le général AvLuor n'est pas par /eutuj f2, «V en dcl >ger l'ennemi. / l_ À.o gvucrnl A.\ Ut.er | annonce que lennevfl, ' im ■%ou*fie l.ieu.,'iiJJUlTJetr'ne^ montre aueuiie ac y \'ité, abstractioai f.â'e des travaux de forîi 9^fficcition qu'il effectue dans sa position? , iœ [K>ii::iit<.s. 1 Londres, 10 mars. — Officiel de l'Ami-\* rautô : 1-e contre-torpilleur ,,Coquette" et «o tor-piliour ,>11" ont touché une uiino et coule devant la côte orientale. Qiuitro off c:em et quarante et un hoiiiiies se sont noyés. * « Rome», 10 mars. — Ofticiel du grand quartier général : ,e Dajia .es zones élevées des montagnes, le l- mauwiis temxis continue et l'eiuusmi cherche L à le mertie à profit contré nous. C csd uL»s* «lue, dans la région de Lagazoi, dans la vai 1, .éei supérieure du Travonaza», les Aufcri ahions, à l aide de grenades d'une grands, is force explosive, ont provoqué des avrilân-^t elles contre nos positions; e;los u ont toaio fois pas occasionné de dégâts. Malgré les rigueurs de la s;iison ot quoi-: que l'ennemi ne cesse de les haicé'.or, nos troupes, calnns et hariies, restent toujours actives. Peudani ces derniers jours, cLes ont réussi à avancer légèrement leurs po«r« •tions dans la région sauvage qui sYtead it entre le premier, et le second Tofana. ' i Dans la vallée de l'isonzo moyea, dans le bÇ secteur do Zagora, nous avons fait, quelques i-* progrès. f Hier, notre artillerie a vivement contro-^ battu sur tout le front cette de l'adversaire; '•y'elle a dispersé des troupes emnomies travail-iv tant aux fortifications et elle a efacacemenl la ^>oml>ardé les réserves et les baraquements >à l'arrière du front. Pétrograd, 9 mars. — Off.ciel du grand état-major général : j. Près du cliâteau de Kokenhu^en, à l'est de i. Friedrichstodti, uno forte colonne eniftanie v- a teu»o de franchir la I>wina. Elle a été forcée de rebrousser chemin, grâce à notice) feu. 0- Au» nord-ouest de JakObstmlt, l'arti'lerie i_ allemande a bomlxirdé nos abris. La grosse artillerie ennemie a bombardé la localité de Livveaihof et les gares de Zfir.^rid) et» de u Nizal, sur la Dvrina, au sud de Lïwenhof. Prèis d'illuxt, nos éclaireurs ont) détruit 1- tin- pos e ennemi r«t ont fa.it des prisonniers. îs Au nord-ouest de la gare d'Olyka, ^ 41 p kilomètres de Rowiio, nos éclaireurs sont •s entrés en plôin .lour dans une tranchée. Une , partie d<vs défenseurs a été tuée, l'autre par-r- tre a été faite prisonnière. e Sur l'Ikwa supérieure, notre feu a d;s-u persô un important détachement ennemi, qui i. tentait d''«ava.near contre nos tranchées, o En Galioie, |>rrs de Zebrow, à 21 kilo-u knètres au nord-ouest de Tarnopol, protégé ^ |i>ar les vagues do feu de son artillerie, l'en-; nemi a entrepris uno attaque nocturne, qui fc- a été trwtefois reponps^e par le fou de n< tre i- firtiïîerie. T>à également, nous avons fait ^ des prisonniers. ^ Dépêches Diverses ? Genève, 10 mars : ' O-.i dit qu'un conflit menace d'tolator ea-^ tre le général Galliéni, ministre do la 3" guerro, et la Commission parlementaire de {■'armée à propos de l'application do la !<m 43 biilhîéz. I.e nouvel examen médical tfe ton» les homriies, ordonné par 5e général Gai- | liéni, pour établir s'ils peuvent têftre «or i voyés au front, est en contradiictioîa avec 1 les vues de la Commission de l'année, i Coile-ci a voté ucie motion pr»an% le géné- j lé rai do s'incliner devant les articles dé la te loi Dalbiez. Une députation de la Ooimmis-sion de l'arnuée, conduite par le générpj a- Pedbya, s'est rendue immédiatement aiu dé-la partàneat de la guerra où elle a été ro-ie çne, en l'absence du ministre, par usa d)e ; n- ses délégués, q*ii a promis une décision jj- immé<Uate. ee I>a Cîommiss'on sénattrriale de Ysamt*. a> présidée pur iL Clemenceau, avait de-|inandé, iierait-i^ au ministère de la guerre. Dimanche 12 Mars 1916 JOURNAL QUOTIDIEN — Le Wamêro t IO Centimes 9* Année. — Né 48Ï>

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