La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

1948 0
close

Pourquoi voulez-vous rapporter cet article?

Remarques

Envoyer
s.n. 1916, 03 Mars. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Accès à 04 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/gh9b56fm5k/
Afficher le texte

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Vendredi 3 Mars 1916 A S C i ■ • * >. JOURNAL QUOTIDIEN. - Z,3 TTamèro i lO Cantimsg 2me Année. — N* 4?1 iESZExj*xœj-^z7r?xris:zœr-"2nïUL^. < ii'AimigiiMi'i.'rymnuna LA BELGIQUE FKSX DES ABONNESE-MrS» : Un mois (mars) it. 2*80 Les demandes d'^Uonns-nsit «ont peçues EXCLUSIVEMENT eux guichets des bureaux de p?ate< administration et rédaction Si, Siontagne-au^-HerDes-X'otaçTèves, BRUSMULmS BUREAUX : DE 9 à 17 HEURES *2os. IViORESSÊE, Directeur f Petites la ligne, fr, <5.46 I Réelaïae avant les annonces . — i 00 PRIX DES ANNONCES I Corps du journal .... — 4.06 s Faits divers — 8.00 l Nécrologie — 2.00 LA GUERRE 578® Joui* de guerr© l Ni *13 hostilité autour de Verdun, arrivée, 'Oa coté alleiiijjI3~iiTTii période de ooîisotiaa tioii, sont entrées du (x>té frança.s dans i phase des contre-attaques. Prndaut la joui née dlont les communiqués à hier rendaieu compte, les belligérants n'ont mànct guoi pria contact et l artillerie seule a été aciive h tcucé des positions respectives des parâ on présence n'a pas changé. Le moment e;-âouo propice à souhait pour procéder ici l'examen des modifications territoriale.» e stratégiques provoquées autour de Verdui par l'offensive allemande commencée 1 20 |ijivier. lii so repartant à nos cartes des 25, 2. février et 1er mars, on verra qu au nor( de Verdun l'avance des Allemands — parti; du sud de la ligne Consenvoye-Azannes. e • actuellement établis du nord-est de Bras i l'est de Douaumont — a mis en leur pos •esaion umo bande de terrain large d uih •dizaine do kilomètres et profond en moyenne de 7 Yi kilomètres. soit donc do 75 kilo ytnèlres carrés. ♦ ** 1 la. Woëvre, où la bataille a été moins ac-haro^oTle"territoire conquis parler 'Allemands est beaucoup plus considérable-Avant leur attaque, le front 6 établirai! d'Azannes à Marcheville em passant aux environs de àlaucourt, Ltain et liennemont Actuellement, il descend dès environs d< Vaux jusqu'à Champion, à 4 kilomètres i l'ouest? de Marohevilie, par la stafiioi <FEix, l'est de V/atronville et de Ilaudic mont, Manheulles et Fresnes en Woëvre. Sur un espace d'une trentaine ,d< kilomètres-, les ...Allemands ont. donc avanc/ leur ligno de 4 à 12 kilomètres, soit de 8 kilomètres en moyenne : cm peut doi.c évaluer le terrain conquis par eux air nord-est, à Test et au sud-est de Verdun à 24o kilomètres carrés. Au total, par conséquent, leur ofiensive a mis en leur possession environ 300 kilomètres oarrés. A titre de comparaisonr rappelons qu'er Janvier 1915 les Atfemands avaient gagne 27 kilomètres carrés au nord- do Soissons et un© vingtaine de kilomètres carrés à lest [FYpres on avril. Quant aux Français, ils or.t conquis successivement une dizaine» de kilomètres carrés dans le courant de mai en Artois, et un< cinquantaine en Champagno à fin septem bre. D'un côté comme do l'autre, les autres opérations entreposes dans l'Ouest n'onl provoqué que de» modifications territnriiles beaucoup moins notables. Il en résulte que l'offensive allemande autour de Verdun saffirtno comme étant de. loin l'emtlreprifcG la plus considérable tentée dans l'Ouest ifepuis octobre 1014. e * • Si nous nous plaçons au point de vue stratégique, nous devons consulter que l'offensive allemande a pour première consô-ïueaço de placer le nord et l'est do l'enceinte fortifko do Verdun dans la zone des hostilités, alors que depuis dix-huit mois les A.flamands on avaient été tenus éloignas ï'une dizaine de kilomètres. £>a sécurité de a pfeoe en apparaît, surtout si l'on tient dompte de l'aoîioai destructive des canons ourds allemands, forcément attointe. La hfonso en obligera les Français à un i ort beaucoup plus considérable qu'aupar-yant-. D'autre part, alors qu'avant l'offen-ive aHemande Leurs lignes sur la rive roite de la. Meuse, à l'est de le srtïtion iraban t-D ien-sur->Teuso, étai-gnb distttnft^s du •euve d'environ 29 kilotn^Hros, les Français e disposent plus maintenant, • au delà de cite même section, que d'une Ixunde de ter-ain largo fie 12^ à 15 kilomètres seulement-la ont donc maintenant, ®ur un front assez îendu, lo désavantage d'avoir, pour se attra, le fleuve dans le do3. Il faut dire no la significa;ion de ce désavantage s'at-inue sensiblement du fait que le terrain coupé par eux sur la rive droite la leuso en rotratf des plaines do la Woëvre. u «^ accidenté et que par suite, il peut ■re aisément défendu. DANS LE3 BALKANS v-; i Le roi <fc Bulgarie souffre ^>^0 ronobite. Il doit rester alité. ^ Eomo, 1er mara : Par euito da la iwKrvaiic situation où so •ouvo l'Albanie, un décret royal pUico le [ïmiiïanïiaût du corps arpéditàoniiairo eous e onires du généralissimo italien. Jus-if a prfeeni, co commacdant dépeudaitl du niîia'.ùrr; fa la guerre, Sofia, 20 février : JUi Commission de secours puMiof. oud oatovlo le monopole commercial des cé-a été «^>rgûiioeée. Un cto chacun des groupes tm l'oppo-àrtii Par'eal®n'iir9 eu fait maintenant Athènes, l«r mars • 'ïsrtfe.rsLSSÏÏ: tr du go.avmZS dô" ham ayant critiqué S. c- poUtiquo ^ Ia Sofia, 1er mars : Les mitieua gouvorneaiantaiot: i jour très optimiste ,œ SSbgTaX iilgario avec la Roaœanie et la Gr'oe re ■ons qui. Fusqu'ici, n'ont éK troubléS? î»r icuin incident. ^ M- .Tqntcheff, ministre des fcaneœ, a " ■Wrcrech des déelaBitaons sar la rffc-Z m gténérale, (j!ya a qinlifié»; d'extrftme Kl* favorable, à la suite de l'énor iMr« i'?.*:' groupes allemandes sur le front r (Aiest. On peut aussi trouver itens sp» -ptat'orw ane affirmation énergique <f,, '^!îx i ^ hu)-are a» sujet à,'-: touits «près la Serbie demanderait ibw :'V<? Iea P°is»aneeB een«rate. jifa ^ oa'uffie jpix jareille est , Sofia, loi' mars : Lo journal ,,Utro,, annonce que le gouvernement bulgare a décidé d'ouvrir, aux frais de l'Etat bulgare, des écoles turques? dans toutes les communes de la 'Macédoine ou la population le demande. Buoarest, 1er mais : I>xPk bulletin publié liiez* soir au su jet de' I état de santé do la reine JËriisabeth dit co ■ * qui suit : *• La respiration devient) cMficilo depuis - mardi soir. Dans la nuit, à certains mo l ments, on ne percevait pïus les mouvements du pouls. Ce matin, l'état général a : empiré au point que la situation est deve- * nue très alarmante. Dans l'après-miu^ à l 5 heures, l'état do la. reine-mère était a désespéré. SURJVIER . ^ uxj mviiçt ; Dfaprès ua conunuaiiq>ué de 1'Aamrauté, 489 naufragés du croiseur auxiliaire „l^ro-venoe" ont été débarquée, à 3 heures de l'aptrês>-inidi, à Milos; plus tard, usi navire de patrouiillie y a encoie débarqué 80 survivants. D'après les renseignements parve-nus jusqu'à présent, 870 hommes auraient été sauvés au total. Paris, 1er mars : On annonce officiellement quo lo „Pro-venco,, avait à bord cinq canons do 140 mm., deux canons de 57 mpi. et quatre canons de 47 mm. Londres, 1er mars : Lloydâ annonce q«e le vapeur brfcan-' ui'fue „Thornaby-v aurait été coulé et que i tout l'équipage aurait péri. l . " Paris, 29 février : Le „Journal officiel" publie une note du . ministère de la mariné. Celkue note met les navires en garde relativement à la navigation sur les c>tes de l'Asie-Mineure et de La Syrie, où lies Français ont placé de*, mines. Marseille, 1er mars : Le paquebot „i>uo d'Aumale", cîo. L-> Compagnie Transatlantique, est o.itré dans le port de Marseille, après avoir réussi àj échapper à la poursuite d'un soas-niariit: emiemi. Londres, 2 mars : k Une dâ[>ache tardive de Marsetiîle, publiés par l'agence Reutor, annoî^ee que le vape r britannique „Denaby" a été coul/i dans la i Méditerranée. ; Londres, 2 mars : t , D'aprè» le „Da«y Telegraph", le cha®T ier „jReaich", de OBucki, a coulé. Copenliague, 1er mars : Le vapeur danois „ Oscar II», au ctSrs do son dernier voyage do New-York à feo penihagne,^ a dû laisser tous sas colis Aos-taiLx à Kirkwall- Il a été autorisé ensuit# à continuer son voyage. Paris, 2 mars : Un dragueur de mines français a été (fer-pillé et coulé devant le lïavro. Paris, 2 mars : Pr's du Ilivre, en dragueur do miiftL^a françrja a aperçu dimanche un sous-maritf ennemi sur lequel il a immédiatement, sans suott^s, ouvert lo feu. Mardi dans* l'après-midi, le souE-marin a de nouveau paru et, après un court oombat, £1 a !<ir- , pillé te dragueur de mines, qui a immélia- c tement coulé par 15 mètres do fond L'équi- t page a été sauvé. — DÉPÊCHES DIVERSES ; Paris, 1er mars : Lo „PetSt Journal" Sécnc Ifs effets (îu r b"mbM;fou>;.;ut dc_ Verdun. 11 dit que ce sont , surtout lis partie de la, ville qu» avoisi, ueut le faubourg de Uelville qui ont souffert. Iaj, l^orte!-Chaussée a ëcé détruite, oii^i que les plus beaux hôtels privés et un fer-tain nombre d'édifices publias. # 9 Bûle, 1er mars : ■ t Les jouruauiï suisses annoncent qu'à 4 ,1'aris, à Orléans et daua les villes si-uées \ jfpLus ai» sud do la iVajice 1S,0U0 radiés, . de V'erdmu et dtes euvu'ons ont été ro-^cuciife;Eomo, 1er mars :* * Le „Corriere dctla Sera" apprend do l'aris que lej tcains arrivant) do Verdun satiï bandés do réfugiés. L'évaciiition dei la i ville par la populaioa civile a étri ordonnea vendredi. î ' » v-"Par»s, lei- mars :e S p'aPrè® La „Libre Parole", laJjsuliànant-4 député, gendio du géncr ii |s Boulanger, qui commandait un bate\i;j.on d0 | eha.^ews^ V erdun, esi part i mandant. $ Paris, 1er- mars : * * lue&lemeat rayés des horaires des chemins uo fer do 1 te, à la suite des événements mihtaares. Les rajndçs do Paris-A.vdcourt et Pans-Belfort ont été transfonn^s C!1 u-aj,,, , ommbus. « d ^ « . n Pans, 2 mats : \ S D0 nouvelles attaques dans les plaines de n la Woëvre amènent le sénateur Ilumbert à i s'écrier dans le „Journal" ~f — Il est donc encore une fois trop tôt pour proeltijner l'échec de nos ennemis et pour parler de leura insuccès Je suis enclin, au contraire, à croire plutôt que la 'i bataille de Verdua ne fait réellement que -commencer." ~ M. Htimberî fait ensuite l'éloge de li r préparafcioai methoujque et de l'e^éeution sys téinatktuo d.a attaques allemandes Ce 8" ™t foti>", ajAnte-t-il, de croire que les Allemands sont (K'jà à bout de souffle. ~ j Bq faisant siiéeialement ressortir l'équipe- r lient unpeccaliJé de l'artillerio allemande, ' ■quipenent auquel travaillent 1,200,000 hom-na?, 11. Ilumbert conseil'e siéi-ieusoment de n io pas 93 méprendre aur la gravitw de la ;ituatioa et ooutinne à d<®3n«fcr : ..IJes îarwna ! Des munitions t"- » * • ai , Paris, 2 mar-s : / Lajjiàisiiau-Sur-. les. noiivjïms froatlçi Aafi-. ■<*m WàJSSapU» oritàj ues mi t rires des journaux p^irisiens. Ils mettent leurs lecteurs en garde avec insistance sur le «lan-fger qn'il y aurait à tirer prématurément des conclusions en se basant sur le oalme apparent qui règne en ce moment, La situation est satisfaisante, dit le Temps'', mais eJ.0 n'en reste pas moins très ©éfieuso. Dans le „Petit Parisien", IcL^Jjei^onant-coîonol_ Kw!$>ct.. répond à la question do sa-'* voir si la foroe d'attaque de l ennemi a déjà atteint ses limites et dit à ce sujet : '{ — On ne finirait avoir de certitude à cet égn-rd; en tout cas, je no. me fuis pas djL-. > 'usions sur la tâgho arj.ue qui reste à ao-comp^ir."• f>ans le „Petit Journal", M. Piclioa - ^ ;ipixil au peuple et lui demande d'avoir confiance. Ce n'est que do la sorte quo I on «fut bien recevoir les ennemis qui prépareront de nouvelles attaques sérieuses e' qui multiplieront sans aucun doute leurs efforts. « * « Londres, 29 février : A la Chambre des commune©. M. Ten- ; ,nant a déclaré que les. ijpert£& des trompes i pn.glaiscs giâ se, trouvent à Saiôni^ue s'('le- ^ pvaiênt, au 20 février, à près de quinze r : oaits hi^nmes. ^ ^ ITàncieii ministre de l'intérieur, M. Simon-, a critiqué vivement l atiituuè des tri-liunnoix, qui refusent d'exempter duj service militaire les fiis de veuves, alors quo lo ( ministre de la guerre avait formellement ( promis le contraire. M. S»mnni s'e&fi aussi s clevé contre la mesure que veut preaidire le L gourvernement et qui consiste à enrôler les , hommes r .'formés depuis le 12 août) 1915. 'ï M. Long, au nom du> Cabinet, a aniuoncé «»uo l'établissement d'un moratorium en faveur (l'es ho amie ï mariés appelés sous les drapeaux est à l'-examen. (, _ * * *' I Berlin, 1er mars : t, p'à première sémice du Eeichstag aura . JijçfiT le mercredi 15 mars, à 2heur^ : -- ^- ^ ffî La Haye, 1er mars : Aujoûnriiui, h la première Chambre^ (1 ministre des affaires étrangères a î.àt la dtl'-| '-•laration suivante : — Je puis affi.-mer, avec la plus grand»J assurance, qu'enfre les Pays-Bas e!i l'Aie! a :nagno, il n'Oxi-bî» et n'a jamais e istJ3 nf ^ un traité secret, ni un accord secret, nu «il trrangement swret et que jamais ' une tcnia-l bive n'a été f.:iie pour entamer des' négocia-ions à <ve sujet. ^ 1-e 3 août^l!jl4, le ministre d'Aliiimagno ,* m'a "fait * "savoir ^vèrbaieineut, par ord'ro de jj son gouvernement, que si les Pavsi-Bas res taient neutres, l'Allemagne rQipeoleriïit Içlu- v neutralité. Des déclarations très précises ont «rgaïemènt éb'J faiïos au ministre dos Pavs-Bas à Berlin. " y La déclaration, faite» par l'Allemagne à l'Angleterre dans les te-mes suivants : „Nous avons engagé notre parolte solennelle envers le» Pays-Bas" ne peut donc s ïvoir trait à un accorî, mais uniquement à ju me déclaration unilatérale précise et solennelle qui nous a été faite par l'Allemagne. k)us aucun rapport, le gouvernement neer- .. wtlaiii wiitbép J* Stockholm, 1er mars : p Depuis le 1er mars, il est interdit d'ex- q: )ortei' les marchandises suivantes : cha-us- g' ;ures en étoffe avec semelles en caoutchouc, si léchefis papier, acide borique, poix pour iordennier ot lait condensé. t ** * Pétrograd, 29 février : so . La ctciimhsion des finances, sous la pré- d' udence (lu praniar ministre, a approuvé un it jrojet d'emprunt de guerre de 2 milliards, ■apportant 0 p. o. d'intàr -ts et remboursa-en c'lx :lnfi. Cet emprunt jouira des l»^.08 avautaSes Que les emprunts préeé- pi pi Becun, 29 février : sa Le „LoitaI Anzeiger" annonce qu'il auff-aaiite Tr-pfi\-TtS' «BdnSSëiiï miSÏÏJ de J^uigT-CiStte- aagmcutiUôn ' œt justiTL® wr lai hausse extraordiuaiie des prix du a «pier, de l'eucre d iiupriuierie et, oïl g<> ,ic |éral, de tout l3 matwiel et des pri>juiE ne oÇlispsnsables. Les reportageu de gi,e:re 0i 'e aî service des télégrammes dévorent de vé. Pi tables fortunes. jm ^ ^ Paris, 1er mars : . ftua toutes les gares dui P.-L.-M., il est ' fueJ le transmit des mjirchandises st suspendu pour quelques jouis sur le» ignés ue E Comp^ie du Chemiu de teins Nora et sut celles da la Compagnie du .hemin de fer de l'Est. 'do T> ,. - a» * . h'îi Berlin, 1er mars : (j;j Une _ délégation de médecins militaires lia lasses est arrivée ce matin à Berlin. gk La Haye, 1er mars : 'or La poste destinée ans Etats-Unis aui! se Hi •ouyait à bord du vapeur hollandais „Sem- tes leldijk" a dû être débarquée aux Downs. oei * 9 * VC1 Madrid1, 1er mars : ^ Par suite de la cherté du pain, une grève Pk> ônérade a éclaté. Des manifestations ont pli égiénéré eu bagarras j quelq,.^ personnes est nt été blessées, et la gendarmerie a pro- cin Sdb à diverses arrestations. Les troubles d'é rennent un cjinacU^o sérieux, et la gen- cai armerio paraît dfevoir ctro impuissante. mi: « " 31 rpi Copenhague, 1er *ra.at« : nôi D'après uno nivelle puMiée par lo liai Kietscn , lo gouvernement russe a saisi, noi ans une série de gouvernements, tous le» L'éi tcc%s d'aluminium. 0t a interdit la vent» d0 1 3 méSaJ as»; partaouliors. Il sera fait un les s.eve des stocks existant dans I0 pays. les Pétrograd, 1er mais 1 M. Gourfiaa^ concilier 4riaf, meiai)re ans 13 Conseil adjoint au ministère de l'inté- 'tàé «rer, a été nommé dlrtclcuwA-iiinisfc-i' Ar ' :r ; l'Agent tél6grapi..;,|;:e do IW-grad, èn A *&»!**>* M. Lfuàcrt, qtri a pris sa M tote. Berlin, 1er mars î * ^ La bureiu du Congrès da oominti-eri aîl«- ééi) and discutera, le 10 mars, le proies deliiai loi im[>osant les bénéfices de guerre. Il Communiquera son avis, au ReicliSuag, qu. V se réunira le 15 mars prochain. ei Lo bureau du Congrès s'occupera égale- li uoui. de T'impôt sur le tabac, sur le3 quit i ianoes, sui* lo trafic postal et sur le trafic p les chemins de fer. ^ s ii 41 « Czernovitcli, 29 février : V Certains journaux annoncent qu'à l'in ter- 1' mention du Pape, M. Janozewsky, corres N pondànt do la Novo e Vie.nia" à Vienne, :jui avais été arrOôS au début de la gue.Tei et >' condamné aux travaux forois à })erpétiuitj g; par la Cour de Vienne, a été échangé con- à ire l'amiral autrichien en retraite Mauler, [* lui avait été arrêté en Russie et qui était et ntomé, depuis le début de la guerre, à -n [via^v. le c * » r(; Rome, 1er mars : '»J Le „Journal officiel" italien publie un dé es îret augmentant d© 200 millions lo budget aa lu minist^ifi. de la .guerre. b£ « * » , / tr- Londres, 2 mars : /C ~ V* ÎJjAssociation des assureurs ma^imgl^de !-i vivfjppool a établi quo la valeur des navires ca iritanniques perdus en janvier s'élève à % 5.4 niillions de livres sterling et que 1.6 imtioir ~de "cejà perfes ont été eatHîées par ti. e> guerre. gl $ Washington, 1er mars : vi M- Wilson a demandé au président Âq"la ri< 'oir raitsèion des travaux du Congrus que l'I ette assemblée fisse connaître par un vote èo a fa^on de voir sur la proposition de met: ^ re les Américains en garué contie Lo dan- «a er de s'embarquer sur des navires de c.uo- or aèr^-oT,affilesj'ii^aH^anî à des' beffigéranlffr dé 4, * » tei Amscerdam, 1er mars : ps On v;eni de donner la centième représea- ce > ion do „ Fieat^e l>eulemiuLs;', au Thcùti è pa ""lora, à Amsterdam. Ce.te pièoi, unoadap^ u ion flamande da „Mariage da \1 je Jjeu|e4| téj lans^', est jouJe par la troupe " Royaarf s, fei vee. une artiste aoversoise, Magda Jaus- ofl ans, dans le rôle de Fientje. Cest un framc succès pour la. petite troupe tic 'artistes du Théâtre Iloyal Flamand r»'*fu- S(v iés en Hollande. cq * • * so StooKlioim, 1er mars : p{ L état-major de la nïarine suédoise a été visi que de nombreuses mines flottantes cJi: irisent sur la côte occidentale de Schonen. 50 Kl^tréali, 2 mars • * ^ Le dépôt Bonaventure du Chemin de fer fm a Grand Trunk a été détruit hier marin ar un incendie. Ltv police croit à un acte pa ^ malveillance. ' Le feu s'oit répandu avec une rapidité nai jrtigineuso. Le bâtiment a été détruit en Coi oins d'une heure. Les dégâts se chiffreront rababloment par 3(k),'-KX> dollars. dQ; * * * l'I Londres, 29 février : s IJn d-es collaborateurs du „Daily Chroni- au' o" s'est entretenu avec M. Rodsianico, pré- \nà d'eiit d>2 la Douma de l'empire russe, qui i a d'iofeiré entre autre 09 qui suit : ^ — Après la guerre, la liberté de la pa- 1Jia >!e existera en Russie et personne ne sauv- ' •it s'opposer à cette réforme. La Russie [l ] lira dotée d^un parlement et il n^y aura 'v' la dé révolutibn. Lâ\ guerre a dbimé à încien régime cemservateur uin tel coup C01' i'i'î n'existe réellement p'tus. Après la ^ j-erre, nous aurons dès miuistres reepoiir ^11 Jjles et la Russie so transformera." ton * de <£• c , Budapest, 2 mars : de D'après des nouvelles r|'Alexandrie, le lielk des Senouss:s serait parti, à la t5te ra^ une armée de Bédouins, pour atVaquer les n01 liions en Cyréna que. tt « « Rome, 2 toars : - Trois cent cinquante-huit! députas éthietft éseats à ta première sSane^de la Chamrbe. lue ,,Giornaio d Tl »lia" ('it qu'une a.inos X! 're calme et réfléchie régnait dans la que llo. vile « * « gra Stockholm, 3 mars : fin Lft Commission budgétaire du Parlement que r''Tnit à 18 millions le arMit do 25 mil - ron ns de couronnes demandé par le gouver- à l mont pour couvrir les frais que nécessite por mainti'en de la neutralité du pays. Io tion rlement a voté les 18 millions adoptés oou r la Commission. son mt que a situation fnancière ^ jiprès dix-huit mois de guerre tr°i en Angle, erre Les dépenses de guerre sont en moyenne emb 4 milliards et demi à 5 milliards de la aies par mois ; la consolidation des cré- sidé s a augmenté la dette publique do 23 mil- le < rûs 750 millions de francs ; la dette an- ses iso était à 17 mi'liards 650 millions avant de j guerre. Ijq montant du crédit à court accc me, absorbé par conversion en jL/ette pu- cettt lue, n'est pas encore connu; les diffioul- cher sont nombreuses surtout en ce qui con- raim no l'interprétation des termes de la con- pèa ■sion. linviron 2 milliards 375 millons de ses dits à court terme avaient été convertis pula juin 1915 sur un total, à ce moment, de tori< s do 10 milliards. Le gouvernement a ré- E; aiiioat émis des bons de l'Echiquier à logé :j ans, à 5 p. c., principalement en vue moa change contre des valeurs américaine» et cha indiennes dont il existe pour environ 20 soit liards de francs dans le portefeuille an- Il e; i-. Le flottant en crédits à court terme arri 1 consolidés atteint, probablement 15 mil pas de francs à ! heure actuelle ; un peué ivel êEûprtwifc do guerre s'impose, dont un aission aura lieu à bref délai. ne t '<2 gouvernement s'est procuré quelques ce r sources par augmentation d'impôts, mais cont modalité de cotte accroissement de charge phie, sont pc»s entrées encore en vigueur. La aucê ifdaiion fiduciaire a été considérablement Ei jnentée — ce ixiys, pourtant, est très ha- famé té au mécanisme d^s chèques — elle at> FVar t actuellement :ï milliards i50 millions de reusi îos sur une réserve d'or de 1 milliard sema millions. Avant la guerre, la circulation puisi billets n'était que de 743 millions sur une r<Vhv tvc. fin juillet 1914, de 860 millions en te®e Lo moa\-emeait des chèques, en l9l5, a tenâr axlsô 350 milliards éo frâac^j clafîre iofé- i-éela ■x à la normale. %) Ije fait que la circulation n'a pas remplac or retiré do la circulation publique (l'o 1 mains du public est estimé à 1,878 mil ans) et qu'elle déipasse 725 millions Jochif 0 autorisé de l'émission-billets, a quelqu 3u ému les cercles financiers des Etats nis et des offres de crédits ont iprovoqu ic dépréciation du change anglais à New ork. Toutefois, il y a lieu do remarque: 10 lo sterling a remonté dernièrement è ew-York et qu'il se trouve actuellemen iu poids do l'or", c'est-à-dire qu'il ne de ont plus dangereux d'exporter de l'or an ais pour l'Amérique. J,o taux du ohangi 4.76 est encore loin, il est vrai, de h irité d'avant la guerre (4.86) ; il faut tenii impte de la dépréciation des 0.50 centime] ir lo taux normal par livre sterling; mai: ■i frais de transport, d'assurancÈ et l'inté t sur le temps du transfert font que cettî fférence est compensée. Par suite, dans 1< s# où lo change anglais à New-York s; aintiendrait au-dessus de 4.77, il est pro Wp que ce seraient les Américains qui S( cuveraient dans l'obligation d'envoyer CU )r à Londres. C'est en vue de cette éven alité possible sur la vente de titres amé ins/ à New-York que l'on signale des achats bons du'Trésor anglais pour compte orné-5ain. petite mesure, en offet, éviterait des portât ions d'or do l'Amérique vers l'An-eterie.Le gouvernement anglais achète pour en-ron 50 millions par jour de valeurs amé-gaines, surtout en échange de bons de échiquier à 5 p. c. Des facilités nouvelles ht accordées pour la vente sur le marcht Londres de toutes les valeurs amén mes. Il suffit de certifier que ces titres t été en possession des neutres depuis h but de la guerre. I.es titres doivent por-une rubrique en dollars. Les prix payés 1 A^r^®01* anglais sont supérieurs è ix côtés à la Bourse ; le gouverneïnenl ie le courtage. Le fcî-ux général des escomptes et des in 'êts sur dépôts à vue se maintient très me de 6 p. c. à 3 1/2 à 4 p. 0. Escompte îciel 5 p. o. Au point de vuo commercial, los importai ns ont énormément augmenté, non préc nent en quantité, mais surtout en ce qi 1 cerne le prix ; los exportateurs no s it pas encore relevées au niveau nor-ma r suite, la balance commerciale est tri avorable. 11 est presque rie trois fois 1 itre normal qui est di environ 9 milliard< ) mi lions de francs. Co chiffre ne con ?nd pas les achats pour besoins militaires ; Le renchérissement de La vie dû au-is de transport continue et cause do vives' préhensions. Le pain est à 0-95 centimes \1L 63 ou 1,80(3 gammes contre 0.45 0.50 avant la guerre; lo reste à l'aven-it. Le thé qui se payait fr. 1.50 la livre ito actuellement fr. 2.50. jCS miUieiix maritimes et commerciaux naindenti instamment l'intervention de «at iîour alleger le fret maritime. On lui ;gere d'interdire la livraison do charbon ç navires demandant des frets trop élevésJ is la production de charbon est déjà eri nnution de 11 p. 0. et les cales dis j-es ne sont que de 6a p. 0. de la noV-le. I.e tret de 1 Argentine est à fr. l87i 5n~ tonne de blé contre 20 fr. avan.6 la irre. Le fret de l'Atlantique est à fr. 2.15 bushel de blé, pesant 2S kilos en vracj ïre 0—o centimes avant la guerre. yÇ coton paie actuellement 15 fr. par balle n demi-mètre oube; on paie fr. 82.50 par 11e pour le transport du charbon du Pays S™ ? Marseille, 120' li.es par tonne cardiff a Gêiies, 136 lires par tonnes de v-Lastle à Gênes. L'augmentation géné-i du fret est d'environ huit fois 1e tau*' La Liste civile turque une nouvelle télégraphique nous a appr [uc la Chambre turque a adopté la liste ( ■ne de la maison impériale. Sans avoir ui p'ande j>ort-ée politique, cette nouvelle m in a la légende très répandue oliez noi lue les chefs d'Etat se voient „obligét;" i ■énoncer volontairement, pendant la "giuen ; leur liste civile et aux apanages que coi «rte en temps normal le budget des dot ion.s. 11 est vrai que pour quelques têt-louronnées, tels k> roi Pierre do Serbie on aine le roi Nikita de Monténégro, cet [uestion n'a plus guère d'ianportanco heure actuelle. Pour d'autres, il c6t à su Kiser qu'une grande partie do lo. dwtatic rouve son emploi en favour des ceuvri lultiples créées depuis le début dea hostil 5s. Il n'a pas toujours fallu que Belloi m bouchât sa troinpctie guerrière pour qt » liste civile de quelques majestés fûteoi idéree comme lettre-morte. C'est ainsi qu î défunt roi de Portugal était, au dire c 38 intimes, un des plus pauvres souverair e l'Europe. Cependant son peuple lui ava ocordé uno liate civile do 2 millions. HéSlas îtte somme n'a été alignée que sur le pas liemm de la Constitution. Jamais le aouvi iJin n a pu eooiptetr et en:<puchor les et èces ti-'Auclian-teâ, dû ses „ui';sùr6s" ave es créanciers, à l'époque du soulèvement pi ulaire qui lui ooûta la vie, étaient do ne irieté publique. Et les souverains détrônés n'étaient pa >gés à meilleure enseigne. Le roi da Sa toa, qui mourut^ il y a quelques années, toi la une indemnité de 226 francs par mois >it autant qu'un bon employé de commerce est vrai que le roi de Samoa, comme soi mère-cousin le roi d'Y.vetot, n'eançliEsai is le monde du bruit do ses exploit». Ce aidant le traité do Berlin lui avait os.sur i apanage assea sérieux. I.es puissance; 3 tinrent pas leurs promesses à son égrml i qui n'empfoha pas cet excellent homme il mtinuiî' à vivre dans une sereine piiilosc lie, jusqu'au .jour où il alla rejoindre se; icêtres dans le Walhalla polynésien. Et qui ne se sonvient do Behanzàa, 1 m eux roi dti Dahomey, ra.-noné cajitif ei ranco ? Le g^uvemami.'nt lui allouait gént usement une ..liste civile" do 2ïi francs pni jnaine, et celui qui fut le potaitat le pliu lissant do l'Afrique occidentale, se vovai duit à demander nno augmentation do irai ment, afin de pouvoir, affirmait,il. «itre "5r ses gens comme un roi. La légitim. «Lusaiion fut admise et Bcbanzitt rïça | fjvios de ïfes.., j^r isois^ Communiqués Officiels 3 Communiqués sJiamands Berlin, 2 mars. — Officiel de ce midi : Théâtre do la guerre à l'Ouest. ' La situation n'a subi aucun changement* essentiel. L'action de i'au*tillerie ennemie ■ 6'est sui-tout manifestée dans la légion de ^ i'Yser. | Sur la rive_ droite de la Meuse, les Tran-î 1 çais ont 'encore ' imfïToio leurs hommes en* y essayant ' v"atflëurônr"^<io oontraj^sqiior de-" r| vant~le"fort" de Dpnauinont. J ïhéâtre- de^PP^erre à l'Est. Dans la partie nord du front, les. luîtes : d'artillerie sont, par endroits, devenu*» afi-. sez violentes. Nos avant-postes ont tenté, contre certains .détachements de couver ure : cio l'ennemi quelques en'ureprises peu im-portantes mais qui ont réussi. Au nord-ouest de Mi tau, un avion rus»e, abattu daais un combat aérie?i, est toenbv entre nos mains avec ses occupants. No® aviateurs ont» attaqué avec succès les 'nsval-la lions du chemin de fer à Mol»xleczno, Dans les Balkans-. Rien do nouveau. t- s * Vienne, 2 mars. — Officiel de midi : Rien de particulier. o 9 » Constantinople, 2 mars. — Officiel <h> quartier général : Des différente fronts, on ne signale aucun chaucrementi imnortantt. — ^Communiqués des armées alliées Paris, 1er mars. — Officiel de 15 heures t f Dans la région aunggj de y' erdun, Cuiurne ^ Woëvre. aucun, événement. . iuipoitaut à signater~"a!u "cuurs do la nuit. Lo ixunoardement a été intermittent sur les différents points do notre front. Entre iiegiuéviiio eu RemenauviLe, à l'ouest do Pont-à-Mousson, nous avons oaa.ionné lés deuxième et taoisième lignes de 1 adversaire où l'ennemi semblait se livrer a un: exercice d'aleriO. En Alsace, 1 action de nos batteries sur les voies do communication de 1 ennemi dans la région de •ennheim. Un die nos équipages .sur avion bimoteur VjhjM^rr'^rrfffV'V qui est tombé à Basséo sur l^trancnees ennemies eti a pris feu en touchant lo sol. © e » Paris, 1er mars. — Officiel de 23 heures : Eii «Belgique, nou-e artillerie, de concert avec l'artillerie britannique, a exécuté des tu s elficaces sur les tranchées ennemies/ au v sud-eso de Boesmghe. A Peso do Reims, un détachement éva-liie a (fôux compagnies, qui tentait d aborder notre ligne s'est enfui sous notro feu. Uaissant des morts sur / Dans la région do/verdun, aucune ao f tion d' infanterie au cours de la journée, f Lo TjoalbardêiiTent "ennemi a continue à t l ouest do la Meuse, dans la zone entre \ iMalancourô et Forges; à l'est de la Meuse, [notamment dans la région de Vaux et. de Damloup, et, en Woëvre, sur nos tranchées Lde Fresnes. Notre artillerie s'est montrée très active sur tout l'ensemble du front. A l'ouest de Pont-à-Mousson, nos canona do tranchées ont bouleversé les organisations ennemies du bois Ijo Prêtre. Notre artillerie lourde a bombardé des établissements ennemis dans la région de fThiaucourt. > En Alsace, action assez vive de nos .-bat-cries dans les vallées de la Fecht et da la Doller. *** Londres, 20 février. — Officiel du gTan*î quartier général britannique : Aujourd'hui, notre artillerie a bombardé les tranchées ennemies établies près dKHi!. lers, près d'Authuit.e et près de Fromedleg. Près d'Ypres, l artillerie a été extrêmement active de part et d'autre. CJn albatros allemand a été descendu dler-rière nos lignes près de Merville. Un aiv.re avion allemand a capoté et est tombé en flammes derrière les lignes allemandes. • •• Londres, 2 mars. — Officiel î i Un hydroavion allemand a survolé, hier V au soir, une partie do &a côte orkntalèi cf'JK lancé plusieurs bofflKTînrf "'àTTa' > dégâfc d'oi-dio militaire. ,^r » * * Rome, 29 février. — Officiel cfui grand quartier général : Dans la région du Lagaeio, au nord du col dfe Falzarego, l'ennemi a ouvert pondant la mut du 28, une violente canonnade et uino vive fusillade contre nos p.« nvs. Nous avons répondu et avons réduit au silence le feu ennemi. Dans la vallée de Fella, une de nos bat' teries a efficacement bombardé urne colonne ennemie marchant d'Uggowitz à Miiborgeto. bur les hauteurs au nor<J-ouest de Gorz, pendant la unit du 28 février, notre artillerie a également bombardé efficacement des détachements ennemis de première ligne au moment de la relève. Sur le Karst, l'activité de l'artillerie a. été entravée hier par le brouillard. • * * Pétrograd, 29 février. <— Officiel dai g^rnntl état-major général : Dans le secteur de Dwinsk, pris du village do Garhunowkn, et an nord dw chemin de fer de Poniewiez, nos détachements oot repoussé des avant-postes ennemie et ont légèrement progressé. Près» du lac d'Ilsen, sur lo lao de Medu dum et au s»nd de ce lac, les Allemand^ ont lancé de fortes lignes de tira illeiirs contre nos tranchées; mais, sous notre feu violent, ils ont d» se retirer. Dans la région côiièro de la mer Nbim un torpilleur a dispersé par le feu- de rol artillerie une colonne oa mai-che r\<v&Q HH oeart î» i&ag livaa»

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.
Cet article est une édition du titre La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie appartenant à la catégorie Gecensureerde pers, parue à Bruxelles du 1914 au 1918.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Ajouter à la collection

Emplacement

Périodes