La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1918, 26 Octobre. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Accès à 17 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/kk94747w32/
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The Newtpaper for Belglan» LA MÉTROPOLE |oNE PENNY H. DIX CENTIMES ■SmE: VIJF CENT DIX CENTIMES ABAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES bureau s i 43, Ckancery Lane, W.C.2 — Téléphoné : Holbont 212. ( 3 mole 9 st i Abonnements^; g-! 6 mois 17 «h, [ i°jaH ja «tai ■35»» ANNEE SAMEDI 26 OCTOBRE 1918 ' Z . " No. 399 LA GRANDE GUERRE Les Français près de Guise (00 prisonniers et 100 canons à Le Cateau La bataille pour l'Escaut Vendredi midi. mte de Valenciennes que nous avions roir annoncer comme certaine ne s'est >re produite. Il est évident que les An-en prendront possession qu'avec pré- mt déjà maîtres d'Anzin et du fau-» Paris, Bruay et Thiers, plus au nord t d'être pris, soit deux centres miniers nts. ise de Valenciennes qui assurerait une pont excellente serait une menabe im-sur Mores et tournerait Maubeuge. ; une avance sur Bruxelles devient pos-rdis que les troupes franco-belges opé-sud de Deynze accentuent leur mouive-insla direction d'Audenaerde et met-communications générales allemandes qui va être coupé du sud, dans une i menaçante. se confirmerait l'opinion que les fran-s laisseraient Gand et Anvers sur leur pour marcher sur Bruxelles. mmuniqué de Sir Douglas Haig an-ue l'avance de ses troupes vers le nord sée jusqu'à Thiant à 10 kilomètres au /alenciennes au prix de grands efforts, t de Le Cateau la 6e division a atteint e orientale de Bois-l'Evêque et pris is au nord Robersart a été capturé. nt're anglais les environs de Le Ques-: été atteints ; les villages de Poix du Les Tuileries ont été dépassés dans la 1 d'Englefontaine. lage de Ghissignies et celui de Beau-sont également pris à la suite d'une ise attaque des Nev.--Zélandais qui •ent à Beauidignies plusieurs batteries e d!e canons lourds. ritre gauche, Ruesnes a été capturé et ombat eut lieu sur le plateau de Ber-qui est également pris. iche les troupes anglaises et écossaises ichi l'Ecaillon entre Verchain et Verchain et Moncheux ont été cap-ir la 4e division. la direction de Maing te résistance : a été particulièrement vive. Depuis mercredi matin 7.000 prisonniers et plus de 100 canons ont été pris. La ligne générale anglaise s'établit comme suit : Canal de la Sambre et de l'Oise à l'est de Le Cateau, est de la forêt de Mormal, environs de Le Cateau, Vendigies sur Ecaillon, canal de l'Escaut à Maing. Sur le front de l'Oise les admirables troupes françaises traversèrent le canal de Grande Venly, à trois milles au nord-ouest de Guise. Entre l'Oise et la Serre la lutte dans la région de 1a ligne de chemin de fer au nord de Mesrecourt où les Français firent un certain nombre de prisonniers. Durant la nuit les Français ont considérablement augmenté leurs gains de terrains au nord de Nizy-le-Comte. Sur les plateaux, à l'est de Vouziers, l'artillerie ennemie opposa une résistance acharnée. Dans l'après-midi de jeudi les forces françaises firent une attaque entre la Serre et l'Oise et gagnèrent un terrain 'fort appréciable au nord' d'Origny-Sainte-Benoite et au nord de Villers-le-Sec. Elles atteignirent à droite la route de Ferte-Chevresis à la ferme de Ferrières. Là encore cette opération valut aux Français la capture de plusieurs centaines de prisonniers. Sur la plaine à l'est de Vouziers d'artillerie joua un rôle prépondérant. Les troupes américaines ne sont pas moins actives sur le front de Verdun où toute la jouirnée fut marquée par des combats locaux. Près de Bauitheville les vaillantes troupes des Etats-Unis avancèrent leur front de 500 mètres atteignant la côte nord du vîllage, capturant 170 prisonniers. Comme résultat des opérations qui eurent lieu, à l'est de la Meuse les Américains 'se sont établis sur la hauteur du bois de Troves. Le feu d'artillerie a continué de façon violente sur tout ce front, particulièrement sur la côte de Châtillon et le bois de Caures. De nouveaux naids ont été accomplis sur Mannheim, Coblence et Mayence dans la nuit de mercredi à jeudi par les forces indépendantes anglaises. Les chemins de fer de Burbach et de Saarbrucken, les usines de produits chimiques de Mannheim, les chemins de fer de Coblence et près de Mayence ainsi que la gare Metz-Sablons furent attaquées avec succès. Notre anniversaire avons reçu de la Patrie belge, socié-pendante interalliée fondée à Shef-aimabte mot que voici : > vous prioins, Mnosieiur le Directe recevoir nos meilleures félicita-. l'occasion d!u quatrième anniver-le l'a Métropole en Grande-Breta-pour ta façon courageu'sie et désin-e avec laquelle vous avez, sans ce.s-endu la cause sacrée des Alliiés. t la fin qui couronne l'œuvre et ormons les vœux les plus ardents }ue vous persévériez dans vo' re te attitude jusqu'au jour du triom-la oaïuse commune et, après, ad annos. Pour la Société La Patrie belge ■ Le président anglais : (Signé) Geo. Jewitt. field, ce 22 octobre 1918. eorges Jewitt, qui partage avec un de roués compatriotes la présidence de 'té La Patrie belge a rendu aux réfu-Sheffield d'éminents services1. Nous mis que son fils vienlt d'être blessé. Ji adressons à oeltte occasion l'expres- ' notre vive sympathie. ♦ Doux agneaux Allemands font savoir au monde en-ir sans fil, que les œuvres d'art "dé-;es" par eux de Cambrai, Douai et iermes, appartenant non seulement à ■sêes mais aussi à des particuliers, é afin dte les sauver d'une destruction 1 par les bombardements et qu'elles restituées ajprès la guerre. uraient, à cette fin, déménagé les ta-du musée de Lille à Valenciennes et ceux-ci au directeur du muisée après riche catalogue eût été "préparé pour Les œuvres d'art de Cambrai ont été >rtées à l'arrière. Le directeur de opposa une résistance passive. Les >efs de marbre de Sainit-Pierre dé furent recouverts de sacs de terre. Une demande urgente Pour rétablir les affaires Beaucoup de gens nous demandent où il faut s'adresser pour obtenir la permission d'importer des marchandises en Belgique libérée. Il doit être entendu, en tout premier lieu, qu'il ne peut être question d'obtenir des permis pour des pianos, par exemple, alors qu'en Flandre or manque du nécessaire. Il y faut du pain, de la viande, des vêtements, de la bière pour remplacer l'eau plutôt mauvaise. Tout ceci doit I passer en tout premeir lieu. Le resite , suivra par ordre d'urgence et d'utilité, afin de rendre progressivement à l'a Flandre, si pas une existence normale-, au moins une situation se rapprochant petit à petit de celle des pays alliés. Une province complètement rétablie est une basiï^sérieuse pour le relèvement des 1 autres.. Il n'y a aucun doute que le gouvernement scinge à tout cela. Il est non moins évident que tout cela ne peut être fait par un coup de baguette ie;t qu'il faudra quelques semaines. avant que des licences d'importation puissent être accordés-ces d'importation puissent être accordées. Nous croyons que le gouvernement ferait œuvre utile en créant immédia/temen-! un office des importations à Ostende, par exemple, où les navires pourront aborder bientôt. i . , "T * La libération du bourgmestre Max La Haye, 23 octobre.— Le Vaderland apprend que les prisonniers politiques qui furent emprisonnés à Turnhouit furent mis en liberté. Le journal ajoute qu'on donne la nouvelle que le bourgmestre Max, dé Bruxelles, aurait également été relâché.— Reuter. ♦ — Le prince Albert, fils du roi Georges Les matieres premières La préférence aux Alliés Un " pool „ des cuirs et des peaux Voici un extrait d'importance capitale .les résolutions de la conférence impériale de guerre publiées mercredi sous forme d'un livre bleu : La Conférence a voté une résolution déclarant que les gouvernements de l'Empire britannique devraient prendre tells arrangements entre eux qui assureraient que les matières premières produites dans l'Empiire seraient assurés à ' l'Empire et aux belligérants allés, afin de leur permettre de réparer les effets die la guerre et de sauvegarder leurs besoins industriels et que des arrangements soient pris avec les pays alliés pour utili-j ser dians le même but lies mêmes matières essentielles produites dans ces pays. Nous, espérons fermement que, pour j ce qui le concerne, notre gouvernement s'efforcera, pour sa part, de donner satisfaction à ce vœu. Notre colonie nous sera, sous ce rapport, d'une aide décisive * * * D'autre part, nous recevons cette dépêche également intéressante : New-York, 24 octobre.— Un "pool" international des cuirs et des peaux est sur le point d'être complété par fasi Alliés leit les Etats-Unis avec uni comité exécutif à Washington.— Reuter. ♦ Comité National for Relief in Belgium Après les preuves admirables de générosité dont l'Angleterre sut faire preuve envers nos compatriotes depuis le début de lia guerre, voici qu'elle vient dte faire un nouveau geste en faveur des Belges libérés. I, Voici la circulaire qui vient d'être envoyée par le Comité national for Relief in Belgium : Le Comité national For Relief in Belgium a reçu la lettre suivante de M. W. B. Po-land, directeur en Europe de la Commisslru for Relief in Belgium, dont M. Hoover, contrôleur des vivres aux Etats-Unis, est le 1 président. A l'heure de l'avance victorieuse de nos i armées en France et dams les Fland.-es, ainsi qu'immédiatement à l'intérieur des lignes allemandes, il est quelques trois ou quatre oent mille personnes : vieillards, femmes et enfants se trouvant absolument dénuées de tout. Un grand ncimbre se trouvent sans souliers et n'ont pas de couvertures pour se coucher et tous ont un besoin urgent de vêtements.L'hiver se trouve à nos portes et le temps manque pour confectionner de nouveaux vêtements ; c'est la raison pour laquelle, avec l'approbation des gouvernements de Belgique eit de France, nous demandons, d'e façon urgente, au Comité national for Relief in Belgium, de procurer des vêtements nouveaux ou usagés, costumes, vêtements de dessous, paletots, imperméables et souliers pour lies hommes, femmes et enfants de Belgique et de France. Des chaussures pour les petits enfants sont particulièrement demandées et nous avotis des demandes pressantes de couvertures. Avec la pleine approbation du gouvernement de Sa Majesté, ;,oUs demandons à la presse d'acoorder à cette demande de la Commission for Relief toute la publicité possible, aivec l'espoir qu'après quatre années de souffrances sans exemple et d'enduranct inconquérable, ces milliers de Français fi de Belges libérés ou à la veille de l'être, seront immédiatement fournis par le public anglais de vêtements pour leis 'tenir chauds et dt souliers pour lies empêcher de marcher piedf nus. Des paquets contenants des atticles usagés ou neufs, mentionnés dans 'a lettre de M. Pola.nd, peuvent être envoyés le sui'< avec l'adresse e,t le nom du donateur au Comité national for Relief ilm Belgium. 13 Ci'tv Road, London, E.C.i. Toutes les lettres doivent être adressées à : The H 011. Se-cretarv, Trafalgar Buildings, Trafalgai Square, London, W.C.2. "Nous ne pouvons jamais oublier, dit 1 correspondant du Times, en décrivant la bération de Lille, ces cris inoubliables de Nous avons tant souffert! Il nous pppar tient maintenant de soulager la souffrano de ceux qui ont souffert de façon si coura i geuse." (Signé) Ch. A. HANSON, Arthur Shirlei REPONSE DU PRESIDENT WILSON L'armistice laissé aux militaires On ne traite pas avec le Kaiser Reddition sans condition La réponse du président Wilson, a la noite allemande es't venue comme un éclair. Elle met les choses au point avec une fermeté qui est unanimement approuvé. Ce n'est pas 1e moment de faire du sentiment quand un drame pareil à celui que nous vivons se déroule et surtout si on veut en évier le retour. On remarquera, avec satisfaction, que le président ne se laisse pas prendre à la réforme démocratique, dût-ellie être complète. Quelle duperie ce serait, en effet, que de pardonner les crimes à l'Allemagne, parce qu'elle se transformerait en un peuple comme les autres ! Le président non plus ne s'engage pas quant à l'armistice ni à l'acceptation des gouvernements associés. Et il soumet ces questions à ceux-ci. Nous ne serons fixés, sans doute, sur la réponse de ces derniers que lorsqu'ils se seront entendus en conseil diplomatique allié. Le Conseil diplomatique interallié est en bonne voie dé réalisation. Le colonel Edward M. House, l'ami intime et conseiller confidentiel d'u président Wilson, y serait le représentant des Et!ats-Unis. Les gouvernements alliés, ne réuniront cependant pas le Conseil diplomatique avant que la oonnespoindlamce leur annoncée par lie prés-idtent Wilison ne leur soit parvenue. Pour ce qui est dte l'armistice, les termes en ont été examinés déjà par les autorités navales et militaires dtes Allié.-dlans la quinziaii,ne écoulée et un aocorc parfait aurait été obtenu. On remarquera que les diplomates! ennemis ont soigneusement évité toute allusion à la situation navale, mais ils auront sans doute sous peu connaissance die l'importance que les Alliés attachent à cette question. *■ * * Washington, 23 octobre.— Le secrétaire d'Etat publie ce qui suit : Le secrétaire- d'Etlalt au chargé d'affaires de Suisse ad intérim, chargé des intérêts allemands aux Etats-Unis: DEPARTEMENT D'ETAT 23 octobre 1918. Monsieur, J'ai l'honneur de vous accuser réception de votre note du 22 transmettant une corn munication du gouvernement allemand, datée du 20 courant, et de vous aviser que le Président m'a chargé d'y répondre comme suit : Ayant reçu du gouvernement allemand l'as sura.nce solennelle et explicite qu'il accepte sans réserve les conditions de paix exposées dans son adresse au Congrès des Etats-Unis, le 8 janvier 1918, et les principaux énoncés dans ses adresses subséquentes, particulièrement dans l'adresse du 27 septembre, et qu'il est prêt à discuter les détails de leur application et que ce désir et cette décision m'émanent pas de ceux qui, jusqu'à présent, ont dicté la politique allemande et conduit la guerre actuelle au nom de l'Allemagne, mais de ministres qui parlent au nom de la majorité du Raichstag et d'une majorité écrasante du peuple allemand, et avant reçu du gouvernement actuel lia promesse explicite que les lois humaines des méthodes de guerre civilisées seront observées par les forces allemandes de terre et de mer. Le Président des Etats-Unis ne peut pas refuser de considérer avec les gouvernements avec lesquels les Etats-Unis se sont assumés la question d'un armistice.Il estime cependant^ qu'il est de son devoir de redire que le seul armistice qu'il se sentirait justifié de soumettre en ^considération serait tel qu'il mettrait les Etats-Unis et les puissances associées' avec lui dans la position d'imposer les arrangements conclus et qu'il mettrait l'Allemagne dans l'impossibilité de . ! reprendre les hostilités. C'est pourquoi le Président a transmis sa correspondance avec les autorités allemandes actuelles aux gouvernements avec lesquels le ' ! gouvernement des Etats-Unis est associé comme belligérant avec la suggestion que, si ces gouvernements sont disposés à faire ' ! la paix aux conditions elt principes indiqués. soumettre â leurs gouvernements respectas les conditions nécessaires à un armist:re, tel qu'il protégerait entièrement les intérêts des peuples intéressés et qu'il assurerait aux gouvernements alliés le pouvoir, sans restriction, d'e sauvegarder et d'imposer les détails de la paix à laquelle a consenti le gouvernement allemand, si évidemment ils considèrent qu'un tel armistice est possible au point de vue militaire. Lorsque de telles conditions d'armistice seront suggérées, leur acceptation par l'Allemagne sera la preuve la plus concrète de son acceptation non équivoque des termes et conditions de paix d'où procède l'action actuelle. Le Président s'estimerait dépourvu de franchise s'il ne signalait dans les termes les plus francs possibles la raison pour laquelle des garanties extraordinaires doivent être demandées. Quelque significatifs et importants que puissent paraître les changenn nts constitutionnels danlt parle 3e secrétaire d'Etat allemand dans sa note du 20 octobre, il n'apparait pas que le principe d'un gouvernement responsable devant le peuple allemand ait été appliqué intégralement, ou qu'il existe, ou qu'il ait en considération des garanties que les altérations de principe et de pratique partiellement admis pour le moment sont permanentes. En outre, il semble qu'on ne louche pas au cœur de la difficulté actuelle. Il se peut que les guerres futures soient soumises au contrôle du peuple allemand, mais la guerre actuelle ne l'a pas été et c'est de la guerre actuelle que nous nous occupons. Il est évident que le peuple allemand ne possède aucun moyen de soumettre le consentement des autorités militaires de l'Empire à la volonté du peuple, que le pouvoir du roi de Prusse de contrô^r la politique de l'Empire n'est pas entravé, que l'initiative déterminante' reste entre les mains de ceux qui, jusqu à présent, ont été maîtres de l'Allemagne. Sentant que la paix du monde entier dépend en ce moment de langage clair et d'action- franche, le Président estime qu'il est de son devoir de dire, sans aucune tenrative pour adoucir ce qui peut sembler des mots durs, que les nations du monde n'ont t ne peuvent avoir confiance dans la parole de ceux qui ont, jusqu'à présent, été maîtres de la politique allemande, et de signaler de nouveau que pour conclure la paix et réparer les dommages et injustices infinies de cette guerre, le gouvernement des Etats-Unis ne peut traiter qu'avec de véritables représentants du peuple allemand qu'on peut considérer chefs de l'Allemagne par une situation constitutionnelle authentique. Si le gouvernement des- Etats-Unis doit traiter avec les maîtres militaires et l'es autocrates monarchiques de l'Allemagne maintenant, ou s'il est exposé à devoir tiaiter avec eux plus tard, concernant les obligations internationales de l'empire allemand, il ne peut demander des négociations de paix, mais la reddition. On ne peut rien, gagner en omettant cette chose essentielle. Agréez, Monsieur, l'assurance itérative de ma haute considération. (Signé) Robert LANSING. ♦ L'industrie allemande poussait à la guerre La responsabilité du parti militariste prussien, instigateur de la guerre, a été établie, mais ce parti se sentait soutenu par une puissante organisation industrielle : la fédération sidérurgique (Stahlworkverland), qui fut sa complice en la circonstance. Etant donné la surproduction de nombreuses industries allemandes, cette fédération avait besoin de nouveaux débouchés pour parer à la crise ouvrière menaçante, conséquence du renchérissement de la vie. Or, ses dirigeants, comme tous leurs compatriotes, croyaient à l'invincibilité de l'armée allemande. On sait .aujourd'hui, qu'un an avant la déclaration de guerre, la "Stahlworkverland" qui comprenait toutes les usines sidérurgiques sises sur le territoire du Zollverein allemand et plusieurs sociétés étrangères ayant des. intérêts clans ce Zollverein, inquiète de l'expiration prochaine du tarif «douanier allemand, fixée à 1917, décida, dans une réunion l'envoi au Kaiser d'un télégramme le félicitant de ses discours belliqueux. Le fait a été révélé par le représentant d'une des sociétés allemandes qui refusèrent, bien

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Cet article est une édition du titre La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1919.

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