La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1917, 26 Juillet. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Accès à 26 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/8g8ff3mw7d/
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LA MÉTROPOLE ONE| PENNY ■ubont: CINQ centime ■ SSHANDE: VIJF CENT KoNTINENT: DIX CENTIME! PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Lane, W.C.2 — Téléphoné : Holborn 212. ABONNEMENT 1 mois 3 sh. ; 3 mois, 9 sh. 2 4mb ANNEE JEUDI 26 JUILLET 1917 No. 207 LA GRANDE GUERRE Défections sur le front russe du Nord Le gouvernement provisoire veille | Beaux succès français sur l'Aisne I Le mal qui s'est emparé des régiments lisses qui ont abandonné leurs tran-Les en Galicie semble actuellement l'étendre à toute l'armée russe et cette ïhanifestation est une des plus inquiétants qui se soient produites jusqu'ici dans la Russie révolutionnaire. Au cours des Opérations au sud-ouest de Dvinsk des détachements russes, après une préparation d'artillerie ont occupé des positions ennemies des deux côtés de la voie ferle de Dvinsk à Vilna. Les troupes s'y étaient à peine établies que des unités ■htières, sans la moindre pression de la £art des Allemands, retournèrent volontairement à leurs tranchées; d'autres unités refusèrent d'exécuter des ordres Militaires en pleine bataille. Les officiers |- e: quelques régiments restés fidèles résistèrent héroïquement aux attaques en-■emies et subirent en conséquence de tjerribles ^pertes. Dans la direction de lilna, au nord de Krevo, l'ennemi oc-^Kipa une hauteur que les Russes avaient Kipturée le 22 juillet dernier et il fallut tout l'héroïsme des officiers pour em-pcher les soldats de se sauver vers l'ar-^Kère en nombres considérables- Sur la ; Ééreth, jusqu'à Tarnopol, il y a eu des Hisillades; l'ennemi traversa la rivière ■ans la région de Mikulice, s'établit sur ■ la rive gauche et y occupa un village. Kntre la Séreth et la Strypa l'ennemi Hsntinue son offensive et dans la soirée l'-du 23 il occupa une série de villages. Hîtanislau est évacuée et La ligne enne-; mie dépasse déjà Haliicz que nos alliés Hvaient capturée au prix de tant d'ef- prts. ■ L'ennemi se vante d'avoir effectué de fortes- captures en prisonniers et en butin et signale ce succès comme une "vic-joire glorieuse " pour ses troupes. Les joldats d'Hindenburg, s'ils avaient un Heu de fierté militaire, ne devraient pas H vanter de pareilles gloires, quand on Hait comment elles sont obtenues ! ■ Un correspondant à Pétrograde du Hform'îîg- Post écrit à ce sujet que les Russes ont surmonté de pires défaites |ue celle-ci, qui n'est pas une défaite mi-Htaire mais un échec politique. En ce Sens les événements peuvent être un bienfait déguisé pour les nerfs surtendus de la véritable Russie, différente du îaucer de Pétrograde. Si l'avance russe ijommencée il y a quelques semaines est un mouvement militaire et non un mouvement purement politique, les Alliés tfeuvent avoir confiance que la Russie ' Se rattrapera encore. Les Allemands ne t)nt, de loin, pas si formidables qu'i's Prêtaient à Sventsjany et cette brèche dans le front n'est pas comparable à ce H11* les Allemands ont fait alors. ■ D'ailleurs, le front sud-ouest est, ■t-on, exceptionnellement bien pourvu ® tous les instruments indispensables ïÎL'3 £uerre moderne et ne dépend nul-||®nient de Pétrograde; malheufeusement ■ nen est pas aussi indépendant pour ce qui concerne les hommes. D'autre B^t le front sud-ouest est le plus éloi-de Pétrograde et l'attaque allemande coïncide avec les événements que l'or Hemand avait préparés dans la capitale cette révolution a été étouffée non par et le feu mais par des négociais01^, la révolte n'étant pas assez pitto-M®S(]ue pour frapper l'imagination popu-La nouvelle que les troubles de Pé-f Çograde étaient terminés n'est pas par-M^ueau front sud-ouest; les Allemands Pr,s bien soin que les troupes de Pé-EB°grade de la ne armée fussent mises courant des troubles et ont frappé ■ . moment psychologique. Voilà toute ^B'stoire et les Allemands ne se gênent Pour crier à la victoire. Mais ce ^■est pas une défaite militaire pour la Kussie. cours d'une entrevue que M. Kp-<y a accordée aux journaux à so'n ^■our du front le nouveau " premier " ■sse a déclaré que le principal problème poudre actuellement c'était la con-'a,lon et l'unité de pouvoir; le gou- ■ ncment provisoire n'a d'autre but que la défense de l'Etat contre la désagrégation et l'anarchie, et la sécurité de l'armée. Comptant sur la confiance des masses et l'armée, le gouvernement sauverait la Russie et souderait son unité par le sang et le fer si l'argument et les raisons d'honneur et de conscience n'étaient pas suffisants. "Quoi qu'il arrive, ajoute M. Kerensky, personne ne doit profiter de la situation actuelle pour essayer de rétablir l'état de choses d'avant la révolution. En ce moment il est absolument essentiel d'arrêter la retraite, de mettre fin au désordre économique et de rétablir les finances du pays. Le peuple doit oublier ses intérêts personnels et mettre les intérêts de l'État au-dessus de tout. La situation au front est très sérieuse et exige des mesures héroïques, mais je suis convaincu que l'organisation de l'Etat est suffisamment vigoureuse pour être guérie sans amputation partielle. En tout cas le gouvernement provisoire fera son devoir et en élargissant et fortifiant les gains de la révolution mettra résolument fin à l'activité criminelle des traîtres qui ont perdu la raison. En France là journée d'e mardi a été marquée par un retour victorieux à l'offensive d'une partie des troupes françaises sur le , plateau de Craonne. Les Allemands, après avoir pénétré, le 19 juillet, entre les plateaux de Californie et les Casemates ont élargi leurs positions le 22, à droite et à gauche; ils occupaient également une partie des premières lignes qui vont le long de la pente nord des plateaux. Pendant deux jours l'ennemi dirigea un véritable ouragan d'artillerie contre la seconde ligne-. Cette situation difficile ne pouvait se prolonger sans devenir critique. Le commandement supérieur, avec sa sûreté de vision habituelle, décida de lancer des troupes à l'assaut en vue de faire lâcher prise à l'ennemi. La contre-attaque rencontra une résistance obstinée, mais ia ténacité ennemie fut vaine. Sur le plateau de Californie tout le terrain perdu fut recapturé, à l'exception d'un petit saillant qui constitue actuellement une zone neutre entre les deux armées. L'attaque contre les Casemates réussit encore mieux; tous les progrès allemands furent réduits à néant et les Français avancèrent leurs lignes à plusieurs points. De cette façon les Boches ont été rejetés sur les pentes nord des massifs dans la direction de l'Ailette et la maîtrise de ces plateaux importants a été complètement reprise par nos alliés. Dans les Flandres l'activité de l'artillerie, de l'aveu des Allemands a atteint une intensité qu'elle n'a jamais eue auparavant.Les troupes britanniques ont à liquider là une petite affaire dont les Boches se souviendront. Et il ne serait pas étonnant que nos alliés lavent l'affront qui leur a été fait non seulement en reprenant les positions perdues mais en les élargissant de façon substantielle. Kl V» Le tirage au sort aux Etats-Unis Les opérations du tirage au sort ont commencé à New-Ycrk vendredi dernier à 9 heures 30. Le premier numéro sorti est le 258, qui a été tiré par M. Baker, secrétaire d'Etat. La cérémonie, qui a été entourée de la plus grande solennité, en présence du général Bliss, chef de l'état-major, a eu lieu au Capitole. Les édifices publics, ainsi que les rues, étaient pavoisés aux couleurs des Etats-Unis et des puissances alliées. Le nombre des volontaires dépasse, dans beaucoup de districts, le.chifïre exigé par le décret sur la conscription. Il s'agit de la constitution de la première armée américaine de 687.000 hommes. Une quarantaine de mille de nouvelles recrues feront partie de l'armée active. D'autres seront affectées à la garde nationale,qui sera portée à l'effectif de guerre. Un reliquat d'environ un demi-million sera versé à l'armée nationale. La plupart des recrues devront être à l'exercice avant mi-septembre. La Conférence économique de Paris Que fait le Comité perm&nent ? On sait qu'à la suite de la Conférence des Alliés tenue à Paris le 28 mai 1916, il fut créé, sous le nom ronflant de " Comité permanent international d'action économique " un organisme destiné à préparer la mise en application des fameuses résolutions votées par la Conférence. On s'est souvent demandé où en était cette " mise en application ". La réponse vient de nous être fournie par M. Bonar Law, chancelier de l'Echiquier, qui, répondant à une question de M. Hanson (Chambre des Communes, 24 juillet 1917), a défini les fonctions de ce comité d'action d'une façon au moins inattendue — pour les non-initiés tout au moins. M. Law a déclaré que les fonctions de ce comité étaient purement consultatives et qu'il agissait comme bureau d'échange pour la distribution aux gouvernements d'informations-et des décisions de principe au sujet des questions de contrebande et de blocus. Les pays représentés à ce comité sont la Grande-Bretagne, la France, la Belgique, l'Italie, la Russie, le Japon, le Portugal, la Roumanie et la Serbie. La Grande-Bretagne est représentée par un membre du personnel de l'ambassade de Paris, que M. Law n'a pas même jugé utile de nommer. En somme, le comité d'action est~devenu un bureau, tout simplement. L'exclusion des Allemands Le Colonel Burn a demandé, mardi, aux Communes si le gouvernement (anglais) présenterait un projet de loi pour empêcher les Allemands de faire des affaires dans ce pays après la déclaration de la paix. M. Bonar Law, chancelier de l'Echiquier : Je ne pense pas que le temps soit déjà venu pour traiter cette question et d'autres du même genre. Le Colonel Burn. Le très honorable gentleman sait-il qu'il existe une grande inquiétude dans le public au sujet de cette question ? Ne voudrait-il pas déclarer quelle est l'attitude du gouvernement à son égard et inaugurer une politique qui empêchera tous ceux qui travaillent sous-main de commencer leur besogne dès que la guerre est finie ? M. Bonar Law. Je ne puis rien dire de plus que ce que j'ai dit en réponse à la première question. Je ne pense pas que dans la phase actuelle de la guerre, le temps est venu pour dire exactement ce que nous allons faire. o—o Aimable avec ses socialistes La Gazette berlinoise de midi dit, au sujet de la réception des parlementaires par l'empereur : "Après les premières salutations échangées, une conversation animée s'est engagée entre l'empereur et les personnes présentes. L'empereur a formé lui-même des groupements, de telle sorte que les députés n'étaient J plus séparés par partis. Il a dirigé la conversation, dans laquelle a été soigneusement évité tout ce qui avait rapport aux récents événements politiques ; elle a roulé exclusivement sur les affaires de la guerre. L'empereur vantait tour à tour, suivant les députés auxquels il s'adressait, les différents contingents de l'armée allemande. " Le Kaiser a interrogé ensuite les socialistes sur leur voyage à Stockholm. On a été frappé de voir cojnbien longuement il s'est entretenu avec ces derniers et du naturel aimable avec lequel il a conduit la conversation. " Cet entretien devait avoir lieu dans le jardin du ministère, mais, en raison du mauvais temps, il sjest déroulé dans les salons." Le gâteau de guerre Les Dernières Nouvelles de Munich estiment que si la guerre se prolonge l'Allemagne devra sacrifier une grande partie de ses réserves de bétail. Cette diminution du bétail allemand aurait pour conséquence de rendre à l'alimentation humaine une énorme quantité de céréales et de pommes de terre. Le seul résultat fâcheux de cette mesure serait d'augmenter énormément la rareté des graisses, mais les graisses peuvent être remplacées par du sucre et des pâtes. Quant à l'alimentation des soldats, elle pourrait être assurée avec une bien moindre quantité de viande si on rendait obligatoire l'usage d'un gâteau de guerre préparé avec de la farine, du lait, du sucre, du café de malt et des fruits secs. Ce gâteau synthétique est d'un goût agréable et il fournirait au soldat un nombre de calories supérieur à celui que donne l'alimentation actuelle. M. Lloyd George et la Belgique CE QUE VALENT LES "ASSURANCES" ALLEMANDES La presse allemande affecte de faire bon marché du discours de M. Lloyd George au sujet de la Belgique parce que le grand homme d'Etat anglais n'a pris texte que du discours du nouveau chancelier impérial et ne s'est pas occupé de la " résolution " du Reichstag. M. Llovd George, dit te Vorwaerts, a déçu son auditoire au sujet de la Belgique. Après la déclaration du Reichstag, que M. Lloyd George paraît avoir prudemment passée tout à fait sous silence, aucun doute ne peut exister plus longtemps au sujet de l'avenir de la Belgique. La Gazette populaire de Cologne abonde dans le même sens : Trois ou quatre jours après qu'une grosse majorité du Reichstag s'est déclarée en faveur d'une paix sans annexions, le premier ministre anglais prétend que l'Allemagne demande des annexions. S'attend-il dans ces conditions à être pris au sérieux? Et la vieille Tante Voss qui veut toujours paraître spirituelle, ajoute: "C'est la manière dont on s'adresse à des enfants, non à des grandes personnes ". La presse allemande veut nous faire prendre des vessies pour des lanternes, mais elle n'y réussira pas. Il est vrai, le Reichstag, dans sa séance du 19 juillet, après avoir voté en première lecture, à l'unanimité sauf les voix des dix-segt socialistes minoritaires, les nouveaux crédits de guerre de quinze milliards, a adopté une résolution repoussant l'idée d'accroissement de territoires opéré par la contrainte ". Mais tout d'abord, cette résolution n'a été votée que par 214 voix contre 116 et 17 abstentions, soit à une majorité de 81 voix seulement. En second lieu, le Dr. Michaelis a déclaré dans son discours : " Si nous faisons la paix, nous devons en première ligne obtenir que les frontières de l'empire soient GARANTIES à jamais. Nous devons, par voie d'entente et de compromis, GARANTIR LES NECESSITES VITALES de l'empire allemand sur terre et sur mer." Et le chancelier de l'Empire ajouta ces mots significatifs : Ces buts peuvent s'atteindre en restant dans le cadre de votre résolution TELLE QUE JE LA CONCOIS." Aucun membre du Reichstag n'ayant protesté, même par une simple interruption, contre cette interprétation officielle par le chancelier de la "résolution" du Reichstag, beaucoup plus vague que ladite interprétation, que reste-t-il de cette résolution, votée du reste à une majorité de 81 voix seulement? Et M. Lloyd George n'a-t-il pas eu cent fols raison de s'occuper du discours du chancelier, qui exprime l'opinion de l'Allemagne officielle — et dans laquelle est apparemment englobé l'esprit réel d'e la résolution " — plutôt que des termes de cette résolution elle-même? Le discours du Dr. Michaelis, applaudi par tout le Reichstag, est parfaitement clair. Nous savons admirablement ce qu'il faut entendre par ces garanties dont le chancelier de l'Empire a la bouche pleine, spécialement en ce qui concerne la Belgique. Dans l'ordre des faits, elles ne constituent pas autre chose qu'une annexion déguisée; elles n'excluent nullement, au point de vue économique, l'entrée de force de notre pays dans le Zollverein et, au point de vue militaire, l'occupation de la côte de Flandre, d'Anvers et de Liège. Et M. Lloyd George a eu parfaitement raison de dire qu'aucun Belge, aucun Anglais, aucun Allié ne veut de l'indépendance de la Belgique " garantie " de cette façon-là.En réalité, la "résolution" diu Reichstag domestiqué n'est qu'un traquenard de plus. La Berliner Tageblatt le laissait entendre dès lundi en écrivant: "SI le discours du chancelier peut être interprété comme un acquiescement à la résolution votée par la majorité du Reichstag, alors toute idée de voir la Belgique devenir un protectorat allemand doit être abandonnée". Mais voilà, ô Theodor Wolff, tout est dans ce " si " là, et même Haase, tout en attaquant le " vague" et la " faible portée " de la résolution, n'a pas osé demander à ses auteurs s'ils acceptaient l'interprétation que lui avait donnée le nouveau commis aux écritures d'Hindenburg. Depuis lors du reste, un autre membre de la minorité socialiste, M. Geyer, et même un membre du centre catholique, ont jeté une nouvelle lumière sur cette fameuse manœuvre. Au cours d'une réunion du centre à Rottenburg, M. Bolz, membre du Reichstag et de la Diète wurtembergeoise, a déclaré carrément que les " nouveaux " buts de guerre de 1 Allemagne votés à la séance du Reichstag du 19 juillet " n'excluent pas la possibilité pour nous d'obtenir sur certains points des extensions de territoire et que même, dans certaines circonstances, elles n'excluent pas l'espoir d'obtenir une indemnité de guerre. Ce que nous obtiendrons finalement dépendra de la situation militaire à la conclusion de la paix." Ce Bolz assura du reste que la fameuse résolution " avait été approuvée par le Kaiser et qu'Hindenburg comme Ludendorff n'y avaient vu aucune objection. C'est tout dire ! Il faudra autre chose que des déclarations de ce genre pour nous rassurer sur les intentions de l'Allemagne à l'égard de notre pays. Mais comment qualifier l'hypocrisie consommée avec laquelle ses chefs, et leurs laquais parlementaires, essaient de donner sur ce point le change au monde? Les Allemands en Angleterre Il résulte de questions posées lundi à la Chambre des communes par Sir H. Dalziel et M. Joynson-Hicks et des réponses du gouvernement anglais que celui-ci emploie au bureau de poste de Threadneedle Street, dans la Cité de Londres, un télégraphiste nommé Rupp, fils de parents, allemands, naturalisé anglais et d'âge militaire. De l'aveu même du gouvernement, ce fils d Allemand n'est pas " propre au service (eligible) à cause de son origine", mais on continue à l'employer comme télégraphiste parce qa'il permet ainsi à un autre télégraphiste de travailler au front. Le gouvernement reconnaît aussi qu'un fils d'Allemand, du nom de Pfeif-fer, né en Angleterre, est constructeur adjoint aux grands chantiers navals de Chatham ; il est ' ' probablement âgé de moins de trente ans " et se trouvait en Allemagne lorsqu'éclata la guerre. Sir Henry Dalziel insinua que le gouvernement allemand l'autorisa à retourner en Angleterre après le début des hostilités. . Cet homme est considéré comme "loyal" et maintenu à son poste par l'Amirauté. Au cours du débat M. Outhwaîte lança cette interjection, saluée par des applaudissements ironiques: "N'est-ce pas une qualification pour le cabinet que d'être un Allemand? " -—0—0 Un fils de M. Asquith cité a l'ordre du jour Sur la dernière liste de décorations on lit le nom du commandant Arthur Asquith, avec la citation suivante : " A fait preuve d'un beau courage et d'une grande résolution dans l'attaqùe et la prise d un village où il fit à lui seul dix prisonniers et organisa ensuite la defense. Par son mépris du danger sous un feu violent, a contribué pour une large part au succès des opérations et à la bonne tenue de ses hommes." Le commandant Asquith est le troisième fils de l'ancien premier ministre. Il servit d'abord comme sous-lieutenant dans la rl ofoncû rl ' A -ri tmw C,, i, l\. ' -i . 7 . . * iLiL ueux ou trois fois et fut cité à l'ordre du jour après l'expédition des Dardanelles. Or—O Les vœux de l'Autriche Selon un télégramme de Vienne, un certain nombre de parlementaires et de professeurs ont adopte une resolution approuvant la formule de paix par accords : " Non seulement, dit la résolution, l'Au-triche-Hongrie désire la fin de ce conflit terrible,^ mais elle a besoin de la paix chez elle. Si l'Autriche pouvait assurer sa tranquillité nationale elle serait mieux à même de defendre ses interets lors des négociations de paix." L assemblee a approuvé la création d'une organisation dont la tâche sera de préparer l'opinion publique à la réorganisation de l'Autriche sur une base . réellement démocratique et de droits égaux pour tous.

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Cet article est une édition du titre La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1919.

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