La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1917, 02 Fevrier. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Accès à 20 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/1j9765b87w/
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LA METROPOLE I ONE PENNY CINQ CKHTIMB f[L.. vijf ckiit __ ËgJ: dix cEirruiii PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux: 43, Chancery Lane, W.C.—Téléphoné: Holborn 212. ABONNEMENTS : 1 mois, 3 sh. ; 3 mois, 9 sh. Etranger : 1 mois, 4 sh. ; 3 mois, 12 sh. |24M* ANNEE VENDREDI 2 FEVRIER 1917 No 33 LA GRANDE GUERRE | Les opérations en Mesopotamie ■a guerre navale sans pitié Vnr» Rpfhmnnn et la Belirioue Luis le 13 décembre les Anglais ■doublent d'ardeur sur la route qui K à la célèbre Bagdad. Kut-el-Kra est, là-bas, posée sur les bords ■ Tiere, dans une boucle du neuve. K fa garde de ce rempart naturel, ■ce au sud, il lui faut se préserver Ks ie nord. Un des points d'appui les E solides, de ce côté, est formé par ■ positions d'Es-Sinn dont les maré-■L voisins font une véritable cita- ■ en partie défendue par les eaux Hla boue. ■Le général anglais Mande, grâce à ■e double manœuvre d'enveloppement, ;ne de deux côtés Kut-el-Amara, ga-jnt environ 2.500 mètres sur les deux es du Chatt-el-Haï. Quelle signification d'ordre général it-il en déduire? L'Allemagne souffre d'une disette iîectifs. Malheureusement, de cela inme aussi de beaucoup d'autres en-is qui-harcèlent l'ennemi, on nous a rie trop tôt, — quand ce n'était pas tore exact. Or, l'adversaire a déjà isieurs fois appelé des divisions tur-es, tout au moins sur deux théâtres ropéens de la guerre, en Galicie, lis dans les terres dobrudjiennes, en [dure de la mer Noire. La portée vé-ible de tous les événements militaires d'Egypte, ou de Mésopotamie, est mpêcher l'Allemagne de puiser des mimes dans les réserves turques. Quoique Kut-el-Amara soit bien loin [en apparence, indifférent au sort de is lignes, les contingents turcs immo-lisés pour sa défense, appelés en ren-rt quand elle est menacée, sont donc levés en puissance aux batailles liées en Europe. Et, à cette raison Milité, s'en joint une autre. L'Allema-le ne cesse de ramener toutes les dis-Bsions à.. " la carte de guerre ". fc ne veut alors parler que de la carte de guerre " européenne. Systé-atiquement, elle veut oublier ce qui tst passé, ce qui arrive encore dans s pays d'outre-mer. Cependant, en us de toutes ses colonies perdues, il a d'autres territoires enlevés au pou-llr de la coalition germano-turque. Arménie vaut bien quelque chose, la ne représente une certaine valeur et ttaquer serait une diversion favora-le â notre cause. La Mésopotamie sur-ut prend aux yeux de l'Allemagne le signification toute particulière et M voici les motifs en deux mots : Bagdad, dans la politique d'expan-M allemande, représente tout un pro-amme. C'est le grand moyen de con-rrencer l'Angleterre qui, maîtresse du "al de Suez, se sentait menacée par chemin de fer de Bagdad, capable e 'ui ravir la meilleure route des ïn-s. Mais ce n'est pas tout. Un ingé-'eur français, M. Aristide Dumont, dès *1 insistait auprès des corps savants Y aris pour qu'on rattache par le a,l la Syrie, favorable à la France, U:' rlvages du golfe Persique, vraie 0rtfe ouverte sur l'Inde. ^ 'I démontrait comment, pour une Pense de 250 millions, on rendrait à e Pays sa prospérité, on en " ferait Lombardie asiatique, aussi peuplée, ®s®! s®'ne et plus opulente que la Lom-ln p 'ta''enne "• En même temps, un Sa's, M. Villocks, ancien directeur ilL °'rs du Nil, étudiait les possi-' s économiques de la Mésopotamie [Pus spécialement du pays de Kut-el-L ara' appelé Irak-Arabi. En tout, il |00°ntrait l'existence de 1 million •oo° hectares (500.000 le long de , UP rate et 600.000 entre Bagdad et iuirClenne Babyl°ne) à même de pro-0l)e annuellement au moins 100 mil-rem'fn Pr°duits agricoles, grâce à une 1 re m'se d'un demi-milliard. p i sont là des indications utiles à re-tffo ^Uan^ on veut apprécier et juger jrt anglais en Mésopotamie. Sa — o m double raison d'être militaire aujourd'hui, économique demain, n'est pas indifférente au sentiment des panger-manistes.Ne serait-il pas regrettable qu'en un temps où chacun des adversaires affrontés dans la plus effroyable bataille qu'ait encore vue le monde fait le point des résultats acquis, nous allions, nous, oublier dans nos comptes le... poste doit et avoir relatif à la Mésopotamie? L'Allemagne vient d'envoyer une nouvelle note aux Etats-Unis, dans laquelle elle déclare que puisque les Alliés ont décliné ses offres de paix, elle fera la guerre sur mer sans merci et sans égard pour les lois des nations ou de l'humanité. La liberté des mers constitue évidemment le thème principal de la note : la liberté des mers, dit l'Allemagne, qui constitue la garantie de l'existence libre et les relations paisibles entre les peuples, la porte ouverte pour le commerce entre toutes les nations, a toujours appartenu au< principes souverains de la politique allemande. Les plans des Centraux, continue la note, n'étaient pas d'écraser ou de détruire leurs ennemis, et étaient, selon leur conviction, très compatibles avec les droits d'autres nations, spécialement en ce qui concerne la Belgique qui est l'objet de la grande sympa-tie des Etats-Unis. Il y a quelques semaines le Chancelier impérial a déclaré que l'annexion de la Belgique n'a jamais été dans l'intention de l'Allemagne. Dans la paix à conclure avec la Belgique. l'Allemagne désirait uniquement prendre la précaution que ce pays, avec lequel le gouvernement impérial désire vivre en relations de bon voisinage, ne fût pas employé par l'ennemi pour favoriser ses desseins hostiles. 11 est presque superflu de faire observer que cette condition équivaut à une annexion déguisée. La note se termine sur la menace : l'Allemagne, pour ce motif, doit abandonner les restrictions qu'elle s'est imposées jusqu'ici dans l'emploi de ses armes de guerre (Kampfmittel) sur mer. Cette menace signifie tout simplement que les navires-hôpitaux ne jouiront plus d'aucun privilège — on se rappelle que ni l'Allemagne ni l'Autriche n'ont été très scrupuleuses à cet égard <— et que ces navires seront coulés tout comme les autres navires, sans égard pour le fait que ces navires ne font qu'une œuvre de charité en transportant des non-combattants. Cette nouvelle note a provoqué une émotion considérable aux Etats-Unis, et la situation relative des Etats-Unis et de l'Allemagne est critique, depuis que la menace allemande prend cours aujourd'hui. L'ambassadeur allemand à Washington a visité M. Lansing, mais on ignore quel est le résultat de la conférence. On craint que les relations diplomatiques ne soient rompues; toutefois le comte Bernstorff dément qu'il ait reçu ses passeports. Le gouvernement britannique a immédiatement relevé le défi allemand en déclarant que toute atteinte faite à un navire-hôpital serait suivie de représailles.La situation militaire ne s'est modifiée que légèrement et cela en Russie seulement. Les Allemands ont lancé une offensive en masse contre les positions russes sur la route de Kulntsem à Shlock,à l'ouest de Riga,et ont réussi à occuper les tranchées russes sur une profondeur de 1,200 mètres. Par contre dans le sud de la Buko-vine, à l'est de Jacobeny, les Russes se sont emparés de plusieurs hauteurs où l'ennemi s'était établi et ont capturé un certain nombre de prisonniers. Sur les fronts de l'ouest les opérations locales d'usage. La neutralité de la Belgique Un démenti français Paris, 30 janvier. — Le communiqué officieux suivant a été publié ici : Le gouvernement allemand a essayé à diverses occasions de justifier la violation de la neutralité de la Belgique en prétendant que des troupes françaises sont arrivées en territoire belge avant les troupes allemandes. Une nouvelle tentative vient d'être faite dans un radio-télégramme du 7 janvier qui n'hésite pas à affirmer que le 148e régiment d'infanterie française fut envoyé par chemin de fer en Belgique le 1er août 1914. Les faits et gestes de ce régiment ont déjà été publiés et montrent que ce n'est que le 7 août que le 1er bataillon du 148e régiment, alors en garnison à Gi-vet, reçut des ordres d'entrer en Belgique pour garder la Meuse de Givet à Dînant. Voici les ordres donnés au début de la campagne par le haut commandement français d'accord avec les instructions du gouvernement. Le 4 août le ministre de la Guerre écrivait : L'Allemagne essayera, par des fausses nouvelles, de nous faire violer la neutralité belge. C'est pourquoi il est, de la façon le plus formelle et jusqu'à ce que l'ordre du contraire ait été donné, rigoureusement défendu à n'importe laquelle de nos troupes de pénétrer en Belgique, même en patrouilles ou par des cavaliers isolés. Aucun aviateur ne survolera le territoire de la Belgique. Un ordre contraire ne sera donné que lorsque le grand quartier aura conclu un accord avec la Belgique. (Signé) MESSIMY. D'ailleurs ce n'est que le 5 août, après accord avec le gouvernement belge que le général en chef autorisa aux reconnaissances de cavalerie de pénétrer en Belgique, et il leur donna l'ordre d'agir comme s'ils étaient en pays ami. o—o Le froid et le ravitaillement en Belgique Nous apprenons de la Belgique occupée que dans les milieux belges où l'on s'occupe avec tant de zèle et d'intelligent dévoûment à assurer le ravitaillement de la population belge en collaboration avec nos amis neutres, on se préoccupe vivement des difficultés créées par le froid persistant. On sait que le transport des vivres pour le ravitaillement se fait presque exclusivement par eau, via Rotterdam. Or, sur plusieurs canaux, la circulation des allèges est interrompue par les glaces et il faut prévoir un arrêt complet de la navigation intérieure si la geiée persiste encore pendant quelques jours. Des négociations sont engagées avec les autorités allemandes pour que celles-ci mettent à la disposition de la Commission for Relief in Belgium une certaine quantité de matériel roulant, mais on ne sait quel en sera le résultat, tout le matériel belge de chemins de fer resté en Belgique étant utilisé pour les besoins militaires, qui sont urgents en ce moment. D'autre part la pression sur ce matériel est plus forte encore que d'habitude par suite de l'arrêt partiel du transport par eau des matériaux pondé-reux vers le front : briques, mortier, gravier, ciment, bois de charpente, charbon de chauffage. Le transport du charbon pour les besoins de la population civile est déjà fortement entravé, les stocks locaux étant faibles. La Commission for Relief, en prévision de toute éventualité, a accumulé certaines réserves, mais celles-ci ne sont guère considérables et la persistance du temps froid pourrait augmenter encore les souffrances endurées par la vaillante population belge en territoire occupé.Il est inutile d'ajouter que la tâche du C.R.B. sera encore compliquée par la guerré sous-marine à outrance annoncée par l'Allemagne.o—o •- La " prochaine guerre " Zurich, 31 janvier. — Parlant à Dresde, le comte de Westarp, chef du parti conservateur au Reichstag, a déclaré qu'ils est absolument essentiel que l'Allemagne annexe les Flandres pour qu'elle puisse se préparer contre la nouvelle guerre de l'avenir contre l'Angle-| terre, qui est inévitable. :—- Central * News. L'avenir de la Belgique Le Comité de la paix allemande a envoyé au Reichstag et au Chancelier de l'empire un manifeste où l'on Ht ce qui suit : Nous espérons que les paroles du Kaiser : " Vous devez devenir de fer " seront appliquées aussi aux diplomates et non pas seulement aux militaires. Nous sommes certains que l'Angleterre demande la libération de la Belgique pour s'attacher ce pays, car elle est sûre que, ce faisant, elle peut enterrer la force maritime allemande, paralyser son développement économique et briser sa puissance mondiale. Nous exprimons le vœu que, dans tous les cas, la Belgique restera entre nos mains. Le rétablissement de la Belgique dans sa situation d'avant la guerre constituerait à la longue une pression constante et permanente sur l'Allemagne. La Belgique sera toujours une porte d'entrée pour nos ennemis,parce que ceux-ci peuvent atteindre ainsi directement nos sources de fer et de charbon, dont la perte nous priverait de nos ressources vitales. Nous ne pourrions pas traverser Une seconde fois la Belgique pour porter la guerre sur le territoire ennemi. Il est inutile d'annexer, mais nous devons avoir la direction supême de la politique militaire et économique de la Belgique. Cette guerre montre que la question économique possède une importance primordiale. La puissance économique de la Belgique ne peut donc pas tomber entre les mains de nos ennemis, mais doit nous revenir. La neutralité de la Belgique est finie pour toujours. 0—o Ligue du Souvenir (d'Anvers) Le groupement des Belges nationalistes et anti-allemands est, à l'heure actuelle, un devoir impérieux, pour les raisons que la Métropole a maintes fois indiquées. Dans un suprême et piiissant effort, escomptant l'oubli et la lassitude, exploitant le mensonge d'Anvers-port allemand, les Allemands et germanisants d'Anvers essaient de garder dans cette ville la position formidable qu'ils y occupaient et qui leur permettaient de museler l'opinion et de faire de notre port national leur chose, avec notre argent. LA LIGUE DU SOUVENIR, qui ne compte que des adhérents spécifiquement belges, assume la tâche de sentinelle contre ces tentatives de retour offensif. C'est elle qui dresse l'acte d'accusation des traîtres. Son dossier est, à l'heure présente, imposant et irréfutable. Elle compte actuellement 1.500 mem-' bres, parmi lesquels figurent les noms de hautes personnalités authentiquement anversoises, les plus dignement représentatives du nom belge. Ce sont elles qui, le moment venu, prendront la tête du mouvement. Le comité provisoire n'est qu'une délégation. Ce comité adresse un vigoureux appel aux personnes que les circonstances et les intérêts à sauvegarder font hésiter. Elles peuvent être assurées de la discrétion la plus absolue. Une seule personne tient le registre des membres. Nul, en dehors d'elle, n'est à même de prétendre avoir vu ce registre. On s'inscrit chez le président du Comité provisoire : M. Jules Claes, directeur de La Métropole. Aucune cotisation n'est requise actuel-i lement. Les personnes n'habitant pas Anvers peuvent s'inscrire. Leur nom sera communiqué plus tard aux sections provinciales de la Ligue. o—0 La frontière suisse-alsacienne fermée par des fils électrisés Le commandant des troupes allemandes assurant la garde de la frontière entre l'Al-j sace et la Suisse publie l'avis suivant : La clôture en fil de fer élevée le long de la zone neutre est traversée par un courant électrique. Le contact du fil de fer barbelé est mortel pour les hommes et les animaux. Le même effet se produira si on touche les deux barrières extérieures." Les maires des communes alsaciennes situées à l'intérieur de la zone sont chargés de faire connaître cet avis dans leurs communes. L'administration de la Belgique On nous mande de La Haye : L'hypothèse d'après laquelle le général d'Hueningen dit d'Huene, actuellement ff. de gouverneur général de la Belgique en remplacement du baron de Bissing, serait nommé définitivement à ces hautes fonctions, semble se confirmer.Le général d'Huene a été en effet remplacé définitivement au gouvernement militaire de la " position fortifiée d'Anvers " par le général de Zwehl.qui " conquit " Maubeuge. Le général d'Huene serait prochainement créé baron de l'Empire. Le général de Zwehl est déjà entré en fonctions. Comme tous les nouveaux fonctionnaires allemands arrivant en Belgique, il affecte la courtoisie. Il a fait publier en Hollande, par l'entremise de l'ambassade d'Allemagne,une informa tion disant que deux Belges arrêtés (illégalement) sur la malle hollandaise Prins Hendrik n'ont pas été envoyés comme prisonniers de guerre en Allemagne, mais se trouvent en ce moment sains et saufs dans leur domicile à Anvers On pense que la nomination du général d'Huene au gouvernement général sera rendue publique par un rescrit de l'Empereur s'occupant de la Belgique.o—o Les Allemands ne pourvoient pas à l'entretien des Belges Voici, reproduits d'un journal belge paraissant en Hollande, des détails qui prouveront, une fois de plus, que les Belges ne sont ni nourris ni habillés par les Allemands : La quantité de farine qui doit être amenés journellement à Bruxelles pour assurer le ravitaillement en pain est exactement de 208.000 kgr. Le comité en déduit toujours un stock suffisant pour assurer la livraison du pain pendant une quinzaine de jours au moins. Le nombre de rations distribuées quotidiennement dans les cantines pour adultes qui n'était au ier janvier 1915 que de 80.000 s élevait au 1er janvier 1916 à 375.000 et s'est sensiblement maintenu depuis à ce chiffre. Les œuvres d'habillement avaient fourni aux malheureux au 1er janvier 1916 pour 1-815.595 francs de vêtements, contre 358.958 francs à la fin de 1914. Les familles privées de leur soutien avaient, jusqu'au début de 1916, été secourues à Bruxelles à concurrence de 10.709.450 francs. Les sans-travail avaient, à la même date, reçu 9 963.934 francs. Le magasin de la rue des Colonies, débitant des denrées dites de ' ' luxe a une vente journalière moyenne de 1.097 fr. 65. Le ^ Comité transforma en pâtes alimentaires 5r3-975 kgr. de farine peu propre à la panification. On fabriqua 493-734 kgr. de pâtes à concurrence de 30 p. c. de macaroni, 20 p. c. de nouilles et 50 p. c. de vermicelle. Au 1er janvier 1916, les dépenses totales du Comité d'alimentation bruxellois s'élevaient à 24.204.050 francs. o—0 La Russie adopte le système métrique Le 14 janvier est entrée en vigueur la nouvelle loi sur 1 organisation du contrôle des poids et mesures, constituant une nouvelle étape vers 1 introduction obligatoire en Russie du système métrique. L'initiative privée pour la propagation du système métrique continue à prendre de 1' îx tension. Actuellement, le ministre des Voies et Communications a adopté ce système dans presque toutes ses institutions. o—o Un scandale en Autriche On mande de Budapest On sait qu'une grosse affaire de spéculation a été découverte. Ses auteurs agissaient entre Vienne et Budapest ; ils accaparaient toute la laine et le coton disponibles à Budapest et en rendaient les prix exorbitants à Vienne en les tiansportant sur des traîneaux. La valeur des objets confisqués se chiffre par plusieurs millions 0—o Une opération allemande contre l'Angleterre Le correspondant de V United Press américaine à Berlin envoie le message suivant : D après 1 opinion des milieux maritimes on a l'impression que, dans l'engagement final qui se livrera entre l'Angleterre et Allemagne, non seulement les forces mili-taires, mais aussi les forces navales, d'une manière inattendue, joueront un rôle important.

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Cet article est une édition du titre La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1919.

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