La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1917, 17 Novembre. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Accès à 05 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/jh3cz3365s/
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LA MÉTROPOLE ONEiiPENNY j«0*T: CINQ CENTim» bollasde: vijf cent COKTIHEHT : DIX CENTIHKI PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Lanc, W.C.2 — Téléphoné : Holbora 212. ABONNEMENTS JU 1H mois 3 sb. ; 3 mois, 9 sh. J 24-MB ANNEE SAMEDI 17 NOVEMBRE 1917 No. 321 LA GRANDE GUERRE La manoeuvre ennemie dans le Trentin LE SUCCES EN PALESTINE M. Clemenceau formera un nouveau cabinet L'expert militaire français commen- | I tant la situation des armées sur le front ; italien déclare que les "armées impériales exécutent la manœuvre classique d'ef-flanquement des armées italiennes sur les ailes. Sur l'aile gauche, un succès ennemi décisif entre le plateau des Sept-Communes et le lac de G^rde serait par-j ticulièrement sérieux, parce que les positions italiennes sur la Piave seraient | menacées et que les Alliés auraient peut-être à faire force à la possibilité d'une nouvelle retraite, cette fois jusqu'à l'A-dige. Heureusement, si d'une part nous avons à regretter une nouvelle avance austro-allemande du mont Lisser jusqu'à Primolano et Feltre, nous pouvons signaler la résistance victorieuse des Italiens du lac Ledro au lac de Garde. Nous pouvons, de ce chef, espérer toujours que les Alliés pourront tenir une ligne de résistance effective du plateau d'Asia-go au Mont Longara. La neige qui tombe dans la région montagneuse constitue cependant un obstacle à une rapide avance ennemie- [ "Sur l'aile droite, les Austro-Allemands qui ont réussi à passer la Piave et à s'infiltrer dans la zone marécageuse de Venise entre la Piave et la Vecchia ■ Piave, sont tenus en respect et la position de ces forces hostiles dans le terrain marécageux est très délicate. La bataille se développe, cependant, le long delà Piave à certains points- Non seulement nos alliés résistent, mais contre-I attaquent et se battent en corps-à-corps en attendant le moment propice de l'intervention des troupes françaises et britanniques-"Dans le Trentin, la zone des opérations actives se trouve sur la ligne d'Asiago à Arsie, où se livrent d'âpres et d'obstinées batailles. La ligne est formée de massifs montagneux d'où émergent, à des intervalles réguliers, des points dominants qui ont noms de Mont Misemol, ! Mont Fior, Mont Castelgoberto et Mont Lisser. De fortes attaques ennemies se sont produites sur le secteur du Mont Misemol à Meleta d'Avanti, à mi-chemin du Misemol et du Mont Fior. Les attaques y furent repoussées et des groupes avancés ennemis qui avaient atteint des avant-postes et cherchaient à y rester, furent rejetés par des contre-attaques locales.Dans les autres secteurs, au nord de la ligne Meletta-Davanti-Monte Fior-Monte Castelgaberto, ainsi que sur le front de Frisoni-Brenta-Cismon, les attaques ennemies furent ou bien repousses par l'infanterie ou dispersées par l'ar-Mlerie. Sur le Monte Tomatico, entre le Çismon et la Piave, les avant-postes italiens se retirèrent sous la pression ennemie.Dans la plaine, la lutte continue obstinément. Les nouvelles tentatives de ennemi pour passer la rivière ont été lustrées. Les unités qui avaient réus-s' à passer sont maintenues etroitement ! •tans le ooude du Zenson et le secteur Marécageux entre les canaux de la nouille et de 'ancienne Piave, où elles sont ^ntre-attaquées par les troupes et bom-wdées par la flotte. Entre temps, le Pape ému de l'inva-Sl°n du territoire italien et fixé sur l'es- 1 Prit d'humanité de la soldatesque allemande, a informé le comte de Salis, ministre britannique auprès du Vatioan, °ar l'intermédiaire du cardinal Gaspar-'> secrétaire d'Etat papal, qu'après l'en- 1 trw des troupes austro-allemandes en 'a''e, les représentants du Saint-Siège 1 ^ ienne et à Munich reçurent des ins-'Hctions de faire valoir leur influence 'Ws des autorités des puissances cen-,ra'es pour que celles-ci donnent des or-r®s stricts à leurs commandants mili-€s opérant en Italie pour faire res-^er, d'accord avec le droit internatio-i > 'a population civile, en particulier * ^ ^mmes, les enfants et le clergé, tous ^ hôpitaux, églises et la propriété pri-rc'r Les représentants du Saint-Siège c été autorisés à en appeler personnel- c lement, si nécessaire, au nom du Pontife, aux souverains allemand et autrichien.En Palestine, l'infanterie et les troupes montées du général Allenby, continuant leur avance le long de la côte et vers l'intérieur, ont atteint la voie ferrée dans le voisinage de Naanch et de Man-surah, y compris la jonction de la ligne de Beersheba à Damas, avec celle de Jérusalem. Le mouvement stratégique du général Allenby se dessine nettement. S'appuyant sur la côte, un peu au nord du Nahr Rubin, il pousse sa ligne vers l'intérieur du pays, avec comme premier objectif probable la grande route qui relie Jérusalem à Jaffa, passe à Er Ram-be et qui constitue une des deux voies principales servant au ravitaillement de la capitale. Er Rambe est un nœud important de routes et de voies ferrées et sert, en quelque sorte, de rempart à la ville de Ludd, située plus au nord et qui est également un centre important. On peut s'attendre à la capture prochaine de ces deux villes et ceci étant fait, la capitale, privée de la grande partie de ses voies de communications, ne pourra plus opposer une bien grande résistance. Du front russe, il n'y a toujours pas de communiqué. Au sujet de la situation à Pétrograde, les nouvelles restent contradictoires. D'après une proclamation du commandant des troupes des Bolshe-viks, la nouvelle que les troupes auraient passé volontairement du côté de M- Ke-rensky est un faux bruit répandu par le premier ministre. L'évacuation de Gat-china a été faite pour éviter l'effusion du sang, mais les positions actuellement occupées sont suffisamment fortes pour résister à une armée dix fois plus nombreuse que celle de Kerensky. Outre les croiseurs Aurora, Sarya et Svobody, le navire-école Africa et six torpilleurs de la flotte de la Baltique sont arrivés à Helsingfors et se sont amarrés sur la Neva, dans le centre de Pétrograde. Tous les équipages sont des Bol-sheviks.Des émeutes se sont produites à Moscou, où 2.000 persones auraient été tuées dans la rue. Le bruit de l'incendie de Pétrograde n'a pas été confirmé. De véritables progroms se sont produits à Kiew, Voronesh et dans d'autres villes. Les maximalistes y ont refusé le concours des cosaques pour le rétablissement de l'ordre. En France, M. Clemenceau a accepté de former un nouveau ministère. Les partis de gauche s'organisent à l'exemple des socialistes et certains croient voir dans cette organisation la résurrection de l'ancien "bloc". o—o Les von Bary ! La Frankfurter Zeitung du 7 novembre [917 (n. 308, Abendblatt), publie en troisième )age une grande annonce mortuaire surmonte d'une croix de fer et dont voici l'exacte ;raduction : Ce soir s'endormit doucement après jne courte et grave maladie, à l'âge de j.3 ans, mon mari bien-aimé, notre bon sère, fils, beau-fils, frère, gendre et on-:1eMARIANO HEINRICH VON BARY borteur de la Croix de fer de 2e classe. Dans la douleur la plus profonde^ au nom des survivants : Elsie von Bary, née Andreae, Celina von Bary, Mariano von Bary, Guy von Bary, M. Albert von Bary et son ép>ouse. Fred. Andreae et son épouse. Anvers, le 4 novembre 1917. G.8131. o—o L»cs invalides italiens sur le front Un premier groupe d'invalides et de mutilés |uittera Milan, pour aller sur le front prêcher l'exemple dans les rangs. Ministère de l'intendance Organisation de 1 Administration centrale Nominations Albert, roi des Belges, A tous, présents et à venir, Salut. Vu notre arrêté du 4 août 1917 créan le ministère de l'Indépendance; Sur la proposition de notre ministr de l'Intendance, Nous avons arrêté et arrêtons : Article 1er. L'administration central du département de l'Intendance com prend : 1. Le Cabinet du ministre; 2. La Direction générale du servio des achats ou de la constitution des ap provisionnements ; 3. La Direction" génésale de l'Ofifici de Contrôle ; 4. La Direction de l'administration e de la comptabilité générale. Art. 2. Les détails de l'organisatioi des services indiqués à l'article 1er son réglés par notre ministre de l'Intendan ce. Art. 3. Sont nommés : 1. Direction générale du service de: achats ou de la constitution des app.ro visionnements : Directeur général : M. Kreglinger Théodore ; Directeur délégué du cabinet du mi nistre : M. Soudan, Eugène; Directeur technique : M. Vanderre ken, Jean-François, sous-intendant d( 1ère classe. 2. Direction générale de l'Office di Contrôle : Directeur général : Stassin, François Joseph, général-major; i Directeur : M. De Visschere, Gusta ve-François-Adelin, major ordonnateur. 3. M. Serruys, Edouard-Marie-Gé rard, chef de division au ministère de h Guerre, est chargé des fonctions de di recteur de l'administration et de la comp tabilité générale. Art. 4. Notre ministre de l'Inten dance est chargé de l'exécution du pré sent arrêté. Donné en notre quartier général, le j 25 septembre 1917. ALBERT. Par le Roi : Le ministre de l'Intendance EMILE VANDERVELDE. (Moniteur belge, 4-10 novembre 1917 j no. 308-314). Le permis d'exportation Le Courrier de l'Armée (no. 489, ic novembre 1917) publie deux notes dans lesquelles le ministère de l'Intendance cherche notamment à expliquer pourquoi un grand nombre de personnes intéressantes, notamment les femmes des militaires au front, ne peuvent pas s'approvisionner aux magasins de l'arrière et pourquoi les magasins du front se trouvent "régulièrement dépourvus" de différentes marchandises, forçant le soldat à s'approvisionner ailleurs à des prix plus élevés. Une de ces notes dit : " Il ne suffit pas de conclure des marchés ; il faut encore obtenir des permis d'exportation, ce qui n'est pas toujours facile ; il faut, en outre, trouver du tonnage, avoir des bateaux pour transporter les marchandises. Et, en ce moment même, l'Intendance, à ce dernier point de vue, se trouve aux prises avec de sérieuses difficultés." Deux simples commentaires à ce sujet.C'est le gouvernement britannique qui délivre les permis d'exportation et, dans une large mesure, contrôle le tonfîage. C'est M. Théodore Kreglinger, dont on trouve le nom parmi les protecteurs de YAllegemeine Deutsche Schule von Antwerpen et dans le Verzeichnis der Stimmberechtigten und beitragenden Mitglieder de la Deutsche evang.-prot. Gemeinde zu Antiverpen, qui' est directeur-général du Service des achats ou de la constitution des approvisionements au ministère de l'Intendance de l'Armée belge. o—o Le Brésil et les Boches Une dépêche de Rio-de-Janeiro annonce que le gouvernement brésilien vient d'interdire aux compagnies allemandes d'assurance de continuer leurs affaires. Le gouvernement nommera des liquidateurs chargés de dissoudre ces compagnies. I Un "Conseil de Wallonie" ? Les Allemands cherchant à développer l'activisme séparatiste en Wallonie Pendant que la propagande allemande fait ou laisse répandre le bruit que l'Allemagne consentirait à la restauration de la Belgique t dans son indépendance, les autorités allemandes en Belgique occupée, continuant la politique de duplicité inaugurée par le général von Bissing redoublent d'efforts pour pousser jusqu'au bout le morcellement administratif du pays commencé avec la complicité du soi-- disant " Conseil des Flandres ". Des nouvelles de source sûre reçues au Havre permettent, en effet, d'affirmer que le gouvernement général allemand en Belgique ; travaille maintenant à provoquer la constitution d'un ™ Conseil de Wallonie " qui servirait de réplique wallonne à l'organe des activistes flamingants. Les moyens employés sont les mêmes qui ont servi à^ monter artificiellement la comédie politique du Conseil des Flandres en février 1917 : recrutement d'une poignée de factieux et d'agents stipendiés, 1 parmi les éléments les .plus douteux, résidus t de l'ancienne-agitation wallingante ; ces individus peu nombreux et sans aucune autorité, disposent depuis quelques mois d'un organe l'Avenir Wallon, paraissant avec privilège de la censure ; avec leur aide, on compte réunir à grand tapage, un soi-disant Congrès na-„-tional de la Wallonie qui prendra argument de D'agitation des activistes flamingants pour 1 justifier des résolutions séparatistes analogues; l'autorité allemande déclarera alors qu'il ne lui reste qu'à prendre acte du prétendu vœu unanime des Wallons, comme elle l'a fait en mars 1917 du prétendu vœu des Flamands. Et le tour sera joué. Du moins, les Allemands le croient. En ( réalité, ils ne,tromperont qu'eux-mêmes et ne réussiront ainsi qu'à prouver plus clairement encore, si possible, que l'activisme séparatiste, sous toutes ses formes, n'est qu'une pièce montée par l'Allemagne, en vue de ses desseins politiques, et où tout est allemand : la fable, le décor, les acteurs, les figurants et même le public. La vraie Wallonie ligottée et i bâillonnée comme la vraie Flandre, n'aura peut-être pas la consolation de pouvoir siffler, comme elle le voudrait, les histrions qui se préparent à l'outrager dans son loyalisme bien connu. Au moins, a-t-elle l'œil ouvert sur la machination qui s'ourdit et, prenant les devants, elle la dénonce dès à présent au mépris des honnêtes gens de tous les pays, ' en protestant avec la Flandre et comme elle, de son inébranlable fidélité à la patrie belge. Le Brésil répond au Pape "Non", dit la troisième puissance catholique du monde Rio-de-Janeiro, 13 novembre.— Dans la réponse du Brésil aux propositions de paix du Pape, envoyée au ministre brésilien auprès du Vatioan, Senhor Nile Peçanha, le ministre des Affaires étrangères, dit que le Brésil est ému par l'appel de Sa Sainteté. Le Brésil, quoique ne favorisant aucune religion en particulier, peut prétendre être la troisième puissance oatholique du monde et avoir entretenu presque pendant des siècles des relations ininterrompues avec le chef de l'Eglise. Il reconnaît les généreux sentiments qui ont inspiré l'appel de Sa Sainteté en vue de l'établissement d'un régime dans lequel la fofte matérielle des armes serait remplacée par la puissance morale de la justice dès que les demandes territoriales de la France et de l'Italie auront été arrangées et des égards convenables auront été accordés aux problèmes des Balkans et à la restauration de la liberté polonaise. (La réponse considère sans doute comme évidente la restauration de la Belgique-) C'est, continue la réponse,affaire aux peuples qui sont le plus directement intéressés dans ces questions de dire si l'honneur de leurs armes est déjà satisfait dans cette guerre, ou si les changements suggérés dans la carte politique de l'Europe peuvent assurer la paix tant que demeure au pouvoir l'organisation politique et militaire qui a abrogé partout les lois de la justice, réduit à rien les progrès que l'esprit d'humanité avait estimés durables pour les soulagement des cruautés de la guerre, et détruit tout ce que le sentiment chrétien avait donné à la confraternité des nations. C'est à eux seuls de dire si maintenant que toute confiance dans les traités et la loyauté internationale a disparu, il pourrait être possible de découvrir une force, sinon un esprit nouveau, capable de réaliser une paix durable, à moitis que de la déception, des souffrances et de la tristesse de cette guerre puisse surgir un monde meilleur. — Rentrer. Le Noël des petits pauvres d'Anvers Quatrième liste Report .. £ 38.17.6 o- ^ Fr- 110 Sir Cecil Herstlet, consul général de S. M. Britannique en Belgique 1. r. o ®• K. . . .. . . . . 10. ô Pour que Dieu conserve mes deux fils sains et saufs. Une mère anxieuse . . . . 2. 6 Pour que le règne du Sacré Cœur arrive et ramène en bonne santé un père bien-aimé au milieu de ses nombreux enfants . . 10. o L. Versteurve . . . . . . j 0 M. De Swert . . . . . . T 0 C. Danis . . .. . . ,. 26 Maes . . . . . . . 26 Oscar Rombaut . . . . . , 2. 6 Illisible . . . . . . o 0 Kints .'. . . . . . , g A. Hamoir . . . . . . j 0 Vrancken . . • .. . . ,. 2 g R. Wolks . . . . . . 26 R. Guzman . . . . . _ 26 Mlles Kully . . . . . _ j 0 Mme Potters . . . . . . g M. Verstraete . . . . . . g M. De Cannière . . . . . . T 0 Mme Baert . . . . z 0 Mlle Baert . . . . . . g Mme De Vos . . . . . . z 0 M. Lauwers .... . . 10 E. Van Roey . . . . . . 2. 6 Total •• £ 42-I3- 9 Fr 110 0—0 Tirpilz et la Belgique L amiral von Tirpitz, ancien ministre allemand de la Marine et chef du Parti de la Patrie, a prononcé le 10 novembre à Munich un discours au cours d'une assemblée organisée par le Vaterland Partei; il est des plus instructifs. "C'est la Belgique, dit von Tirpitz, qui constitue la sauvegarde militaire contre les agressions de la France et de l'Angleterre. Songez, a-t-il dit à ses auditeurs, a ce que serait la situation de l'Allemagne si l'actuel front de bataille se trouvait sur la frontière du Rhin. Il est absolument nécessaire que l'Allemagne conserve le triangle des Flandres comme future base sous-marine contre l'Angleterre. "L'Allemagne doit avoir Anvers, dit-il, pour développer les précieuses ressources du hinterland, sinon l'Angleterre la prendra et y créera une nouvelle et périlleuse concurrence. Ce n'est pas du chauvinisme ni de l'annexionisme d'appeler les choses par leur nom, et je dis que la question de savoir si l'Allemagne ou la Grande-Bretagne sera le protecteur de la Belgique sera déoisive dans l'issue de la guerre et dans l'avenir de l'Allemagne. Une solution fautive de la question belge atrophierait nos exportations et le capital de réserve de notre industrie et nous dégraderait jusqu'à nous faire l'esclave de l'anglo-amé-rioanisme. La Grande-Bretagne sait cela très bien. Notre sécurité militaire se trouve en Belgique. C'est le seul moyen d'obtenir une compensation pour nos énormes pertes économiques. "Des traités sur papier ne sauvegardent rien. La question d'Alsace-Lorain-ne ne sert que d'écran. Pouvons-nous forcer la Grande-Bretagne à reconnaître notre protectorat en Belgique? Certes, nous n'avons qu'à tenir tête politiquement et notre armée et notre flotte et les bateaux "U" le feront. Nous tiendrons plus longtemps que l'ennemi. "L'Allemagne dbit se souvenir qu'Anvers a appartenu à la Ligue hanséatique. L'Autriche aussi dbit avoir un contrôle plus étendu sur les bouches du Danube, sur Trieste et sur l'Adriatique; cette question est également une question allemande. Le Reichstag, a dit l'amiral, verra qu'il a commis une erreur et reconnaîtra les faits et les nécessités de l'avenir de l'Allemagne." Le Lokal Anzeiger déclare que l'amiral dit aussi : "L'Allemagne a un intérêt dans ce que le Saint-Siège soit rendu plus sûr que jusqu'à présent." o—o Le Reichtitag ne se réunira que le 29 novembre La convocation du Reichstag, primitivement fixée au 22 novembre, n'aura lieu que le 29.

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Cet article est une édition du titre La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1919.

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