Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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s.n. 1914, 30 Decembre. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Accès à 19 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/ht2g73844d/
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OH3KTIMHÎS V iW jgsaojc^rxoisr 163 I I» - s -, \ a ^ \\ leroredi iS > Décembre 1914 ABONNEMENTS ; 1 an 12 frinci, — 6 mois 7 francs, — 3 mois 4 francs 1 mois 2 francs. «louroal Quotidien lnc$<ë>peïicfi«mt Rédaction, Administration, Pu ^licité s 45, RUE HENR! M AU 5, 45, BRUXELLES h — i i a^aMg»B!raaagiBarTTWW»riTOB«^<tinr3«aB.ww«rMM»Mgv--r^jUMnam ANNONCES ] Faits-divers, la ligns 2 rancs. Nécrologie la ligne 1 l'rano Petites annonces, la ligne 20 centimes 42° Liste officielle et inédite des prisonniers belges' f.s trouvaat m ;:Éeiiagitê ■ — £ ~î*r "Tl'IfTi "lî'TTl flUBi'ff f " Il Ml I i| III—■■l 'Ilf I - -•■ LA GUERRE Goiaiiii.'a.i3iiQ;'u éa» oii'fici-ol» UOli Allemands Berlin, 28 décembre (après-midi). — L'ennemi a renouvelé hier ses tentatives (l'assaut près de Nieuport, mais sans aucun résultat. Elles étaient appuyées par le feu des navires de guerre anglais qui n'ont occasionné aucun dégât mais qui, cependant, ont tué el blessé quelques habitants de West^nde. Une attaque de l'ennemi contre le hameau St-Georges, qui est désigné dans les communiqués officiels français comme occupé par eux, a échoué. Nous avons pris une tranchée au sud d'Ypres. A cette occasion quelques douzaines de prisonniers tombèrent entre nos mains. Plusieurs assauts violents de l'adversaire dans la contrée au nord-ouest d'Arras furent repoussés. Au sud-est de Verdun, l'ennemi a renouvelé ses attaques, également sans aucun succès. Même résultat négatif pour sa tentative d'hier de réoccuper la hauteur à l'ouest de Sen-nhç.im.En Prusse orientale et en Pologne, au nord de la Vistule, rien de nouveau. Sur' la rive gauche de la Vistule, nos attaques se développent malgré la température défavorable. Dans l'Ouest BerLn, 27. — En Flandre,' rien de particulier ne s'est passé hier; quelques navires anglais se ■sont montrés ce 'matin. Au nord-est d'Albert, l'ennemi a tenté une attaque sans succès contre La Boiseile, une contre-attaque de nos 'troupes, accompagnée de succès, s'ensuivit, ce matin. Des attaques françaises, dans le fond de Mûrissons (Argonne^) et au sud-est d.e Verdun, se brisèrent sous notre feu. JLJLO. 8JLJOLXC-J. SL3«=2fflS &.JL*. Dans la Haule-Alsace, les Français ont attaqué nos positions à l'est de la ligne Thann-Dam-merkirch. Toutes les attaques furent repoussées. Dans les premières heures de la nuit, les Français prirent possession d'une hauteur importante à l'est (le Thann; cependant après une contre-attaque de nos troupes", ils ont dû céder. La hauteur est restée solidement en rietre possession. A l'Est, en Prusse orientale et occidentale, aucun changement. En Pologne, nos attaqués dans le secteur de la Bzura-Rawka progressent lentement. A'u sud-est de Tomaszow, notre offensive continue victorieusement. Des attaques russes venant de la direction d'Inow-Lodz furent repoussées avec des pertes sérieuses pour les Russes. Vienne, 28 décembre (hier après-midi). — La situation dans les Carpathes n'a pas subi de changement. Devant la nouvelle offensive russe entre Rymanow et Tuchow, nos forces de combat ont légèrement reculé dans la zone des Carpathes galiciennes. Des attaques de l'adversaire à la basse Duna-jec et à la basse Ni (la ont échoué. Les combats dans la région de Tomazow continuent. Sur le théâtre de la guerre des Balkans, un cairne pariait continue à régner. Le territoire de la monarchie est ici évacué par l'ennemi, à l'exception de quelques minimes part es près de la frontière de Bosnie et de l'Herzégovine et dans la Dalniatie méridionale. Le terrain étroit de Spizza-Budua a déjà été occupé Itfrs du commencement de la guerre par les Monténégrins. Leur attaque contre» les bouches de Cattaro a complètement échoué. Leurs batteries de pro- venance française, installée'- sur les hauteurs de la frontièr" furent rédui es au silence par notre artillerie, ('es.forts et d. s navires. Egalement > ,'>mme déjà annoncé, les bombardements répétés sur quelques ouvrages de ia côte par des ô visions de la flotte française sont restés sans'résultat. Le pw-t de guerre nous reste -toujours ;olidement i cqqis. A l'est de-'i : ebénie ^se trouvent quelques faibles détachent :nts ^monténégrins sur le terrain frontière de l'Herzegovine. Enfin, à l'est du secteur de la Drina, à Foca-Visegrad, se trouvent quelques forces serbes qui y sont mfme entées pendant notre offensive. Anglais Londres, 28 décembre. - ' Le communiqué de l'Amirauté anglaise concernant l'aftaque de la côte alletû&nde*dans la mer du Nord dit : Trois aviateurs anglais' sont revenus" à bord des sous-marins; leurs avions avaient sombré. Un aviateur est signalé disparu et sofii hydroplane a été aperçu flottan à la dérive à 12 kilomètres d'Heligoland. Londres, 28 Jécembr.e., — Un torpilleur anglais s'est jeté pendant l'orage "sur un rocher à la hauteur deVi-ndrew": en Ecosse. L'équipage a été sauvé. Capetown, 2\ — L'Agence Reuter annonce qu'un combat a eu lieu mercredi dernier, entre un commando anglais et une patrouille allemande forte de 60 hommes, au nord, sur les rives de l'Orangé, dans les environs de, Carnar-von. Lct Anglais ont perdu 2 morts et 1 blessé et les Allemands 1 mort et 2 blessés. . vu- s»ja*astsxi~JnaïïWAA. >KX- s A LIEGE La situation de l'industrie «r® vv-f-q1"" r»- . w L'émigration des mauvais patriotes et le sort des ouvriers De notre correspondant de Liège : Signalons une erreur reproduite par des journaux allemands en ce qui concerne la situation et le trafic de la fabriqua d'armes si renommée de Herstal, près de Liège. L'activité de celle-ci a été également arrêtée totalement par la déclaration de guerre et l'occupation par les Allemands du territoire liégeois. Les journaux allemands ont encore dit récemment que l'exploitation de la fabrique d'armes avait été reprise pour son compte et pour ses besoins par la direction de l'armée allemande, et avec le matériel brut et travaillé trouvé, sur place. Ce n'est pas exact. La direction de l'armée allemande s'est bornée à transporter à Spandau le matériel employé, nolam-ment les machines-outils employées et transportantes servant à la fabrication des projectiles.La situation des armuriers à Liège est, du reste, peu enviable. Elle se base en grande partie, en ce qui concerne spécialement la réparation d'armes de chass,e, sur le travail à domicile — préparation de pièces détachées — qui sont préalablement assemblées par le preneur et sont ensuite'introduites dans le commerce comme marchandise finie. Il est'- évident que cette industrie doit chômes- entièrement en attendant des temps meilleurs. 'Des fusils de chasse, comme les dentelles de Bruxelles, sont actuellement des articles de. luxe et les armuriers de Liège, autant que les dentellières des Flandres, sont bien à plaindjre en ce moment. Pour les industries qui ne se basent pas sur les besoins immédiats de la vie, mais sur les goûts plus raffinés, il n'y a rien à faire actuellement. Du reste, l'administration allemande s'attache par l'aide et la collaboration qu'elle offre à l'industrie belge à loi éviter une catastrophe et cela sans tenir aucun compte de la destinée éventuelle du plays au point de vue politique. Elle s'efforce d'adoucir les conséquences néfastes de la guerre en aidant à rétablir la vie économique du pays autant que possible! Elle a débuté très heureusement par la remise en activité de l'exploitation des mines de char bon. Les cercles industriels et la population qui, les premiers, ont collaboré à la reprise des affaires, sont les meilleurs patriotes belges, car le fruit de leur travail leur apportera, ains: qu'au pays, le biem-être général. Les forces vives pour une nouvelle existence ^t une nouvelle activité devront se joindre à eux. C'est un acte criminel contre le bien-être di pays qu'ont commis les émigrés belges qui se ("JKKr.l£W V- AL* V sont enfuis à l'étranger avec leurs capitaux, abandonnant leur pays, appauvri jusqu'à l'extrême limite, et en chercl'-'ii?' ' rsifi'ro : I à la îiptise cîé son activité économique, financière et administrative. Ces mauvais patriotes reprochant aux 7 millions de Belges restés ici» de travailler sous#la domination allemande ne sont plus écoutés par la population. « Si vous ne voulez pas que je travaille, dit-elle avec raison, donnez-moi donc à manger et je ne travaillerai pas ». Là s'arrête la sagesse de ces « patriotes » qui abandonnent les affamés à la pjitié et aux au-! mônes de l'étranger. Ces fuyards n'atteindront à la longue, qu'un but : ils s'arrogeront le droit de parler quand l'heure de la réorganisation de la vie sera venue. i\•lais^ alors aussi on leur: signifiera de rester à l'étranger où ils ont fui, désertant leur devoir et esquivant honteusement toutes les responsabilités civiques. Aussi est-ce avec infiniment de raison que M. Carton de Wiart a ré-j comment déclaré qu'il « saluait bien bas tous Iceux qui restés au foyer y luttent courageusement pour hâter la restauration de la patrie blessée ». Tous les Belges sincères sont de cet avis. ERARD DE LA MARCK. DEPECHES -ALBANIE. — Les Italiens à Valona. — Va-j lona, 2 décembre. — Télégramme de l'Agence ! Stefani : Depuis quelques jours on était au cou-| rant que des menées se préparaient, dont le but i n'était pas très clair, mais qui .semblaient dirigées contre la chute de toute autorité. Un ordre du pouvoir local avait défendu, en général, le port d'armes, pour s'opposer à un • mouvement destiné à renvoyer les fuyards en Epire. Hier matin, la population fut mise en émoi par quelques coups de feu tirés en différents endroits de la ville. La colonie italienne se réfugia au consulat et le consul italien pria l'amiral Patris de débarquer des marins du vaisseau de ligne italien ancré dans le port. Les marins-débarquèrent sans incident. Le commandant de la ' gendarmerie de la ville ainsi que d'autres personnalités ont rendu visite au consul italien pour lui exprimer leurs remerciements de ce que l'Italie fait pour Valona. Ils ont promis le ■ ! concours de la population. Les marins ont pris paisiblement possession de la ville. Un calme complet règne partout. Rome, 26 décembre. — Le « Giornale d'Ita-: lia » -écrit : Le débarquement de nos marins à Valona doit être considéré plutôt comme un simple acte de politique internationale que com-; me une entreprise militaire. Durazzo, 2G décembre. — L'Agence Stefan' annonce : Esg^.y Pacha e ,tri i m O -, « Ai. "Itfcùôrï 'difficile qui règne dam l'intérieur de l'Albanie, surtout à Tirana et ses environs. Il se rend à Crosa pour se joindre aux troupes réunies ici. D'autres forces de combat partiront avec le vapeur « Citta di Bari ». EN FLANDRE. — La Noël dans les tranchées allemandes. — On écrit à un journal allemand : Thielt, 28 décembre. — J'ai passé une Noël impressionnante sur le front du canal de l'Yser. Des mesures exceptionnelles avaient été prise: contré une attaque éventuelle. Les postes de garde et le nombre des occupants des tranchées avaient été doublés. Je visitai dès la brume une des positions avancées; je passai sur des digues et des passerelles branlantes, dans tes plaines Inondées de l'Yser. Le bruit du canon ^entendait au loin, vers Ypres Le calme régnait. Je rencontrai un détachement assez nombreux dans une des fermes isolées et dévastées. Les occupants étaient dans tes caves couchés sur ia paille, lisant, fumant, chuchotant; tous étaient, habillés, tes armes prêtes. Il n'y était, pas question de Noël. Les troupes la fêteront quelques jours plus tard, après ia relève. Dans la chambre de l'officier, à côté du téléphone, on voyait un tout petit arbre de Noël envoyé dans un paquet par le service de campagne. Au dehors, dans tes tranchées, la garde faisait 1e guet. Je gagnai ensuite un village dévasté, niais' occupé par d'es troupes. Dans un local, blindé à l'extérieur, une compagnie fêtait la solennité. Elle avait dressé un arbre de Noël. On chantait, on jr>i;nit de l'accordéon; un discours y fut pronom pour exalter lçs liens d'affection qui unissent dans la tranchée tes foyers lointains et les soldats combattant au front. On récita quelques vers et on procéda ensuite à la remise-des Croix de. Fer aux nouveaux décorés. Enfin, j'assistai à la fête de Noël d'un état-major de bataillon. C'était dans une ferme d'où l'on avait èauvé quelques meubles. Les officiers y étaient d'abord seuls. Ensuite eut lieu une petite fête préparée par la garde de l'état-major à ses chefs et on y entendit des chants et même une conférence. La distribution des envois de Noël et des décorations clôtura la réunion. ANGLETERRE. — Au sujet du combat naval aux îles Falkland. — Londres, 27 décembre. — Les journaux publient une dépêche de Buenos-Ayres au sujet du combat naval qui eut lieu près des lies Falkland, d'après laquelle l'escadre allemande s'était approchée de la flotte britannique occupée à faire du charbon. Lorsque l'escadre allemande reconnut la composition de cette escadre, elle se retira. Les navires anglais lui donnèrent cependant la chasse et", après l'avoir atteinte, la forcèrent au combat.D'abord, le vaisseau-amiral allemand fut coulé; ensuite le.« Kent » coula te croiseur « Nurnberg » et 1e « Glasgow. » te croiseur « Leipzig ». Les vaisseaux « Cornwall » et « Glasgow » sont partis à la recherche du croiseur allemand « Dresden » qui, a réussi à, prendre te large. ANGLETERRE. — Le Lloyd augmente ses primes. — Londres, 28 décembre. — La prime d'assurance du Lloyd contre tes attaques à la côte Est d'Angleterre augmente. A partir de Harwich, vers 1e Nord, on. exige 55 p. c.; de Har-vvicli jusqu'à Douvres,, 30 p. d.; de Douvres, le long (ie la côte Sud, 15 p.- c.*De nombreuses polices d'assurances Jurent conclues. L'AIDE JAPONAISE. — Genève, 27 décem-bre. — Lundi après-midi, plusieurs groupes parlementaires ofit délibéré, au Palais Bourbon, sous la présidence de M. Malvy. MM. Sarraut, Sem'oat, Guesde, Jos. Thierry et Clémentel y ont pris la parole. Ce dernier obtint de M. Milte-rand une plus grande indulgence pour tes recrues, d'autant plus qu'on incorporait des recrues atteintes d'affections pulmonaires. La question principale, c'est-à-dire l'aide japonaise, a trouvé un adversaire résolu en M. Sarraut, ancien gouverneur de l'Indo-Chine. La' France y a dépensé une ejuantité de milliards et 1e pays progresse sous tous tes rapports. L'aide japonaise, dit-il, nous reviendrait trop cher et ne serait pas digne d'une république imbue de sa force. Ce n'est qu'à la toute dernière extrémité que la France pourrait réclamer semblable appui., La-, campagne de M. Pichon en vue de la cession de l'Indo-Chine au Japon arrive trop tôt. La « Deutsche Tqgeszeitung » dit qu'Sn Amérique on apprendra avec intérêt que te projet de céder l'Indo-Chine au Japon est si vivement discuté en France. D'Amsterdam, nous arrive ce matin une mise au point d'allure officieuse. Il n'a jamais été question, dit-elle,comme on l'a dit dans tes journaux français, d'amener des troupes japonaises en Europe et cela pour des raisons financières' et techniques. Le Japon demeure en état de guerre et continuera à collaborer avec ses alliés. Les Japonais ne doutent pas de l'issue -de )a srierre et ils restent tw-g RoUwisr; tte» pdW l'a" cause'dés Alliés. Paris, 27 décembre. — On lit dans 1e « Figaro » que le député Hanotaux soulève la ques- Ition de savoir l'opinion du J'apon sur 1e fait de la coopération des Japonais sur le théâtre de la guerre' européenne. * Plusieurs journaux se montrent, favorables à une aide partielle, cependant la plupart se montrent. opposés à ce que le Japon intervienne dans le conflit européen. M. Hanotaux ajoute que le comte Okuma ne serait, pour 1e moment, pas ' intentionné de participer à une intervention commune à côté des. Alliés. Donnant donnant... — La « Vossîjsche Zei-tung » dit que la demande faite par la Russie au Japon d'envoyer des troàpes a étô a.cceptée par 1e gouvernement du Mikado, à condition que la seconde moitié de l'Ile de Sakhaline lui soit cédée, la première moitié lui ayant été accordée lors de la 'signature de la paix à Port-smouth. La Russie a accepté et un très fort ma-1 tériel d'artillerie a quitté déjà 1e Japon, accompagné de l'effectif nécessaire en officiters'et sol-; dats. Rappeffms que, dans son discours à la Cham-[ bre française, M. Paul Deschanel a dit textuellement Voici, que 1e Japon, réparant tes injustices commises envers tes peuples d'Extrême-Orient, nous envoi.e l'hedreux présage des délivrances nécessaires. » -, LES NEUTRES. — Les dangers des mines.— Berlin, 28 décembre. — La « Deutsche Tages-zeitung » dit, au sujdt de la nouvelle publiée par 1e « Daily Mail », d'après laquelle trois navires poseurs de mines s'occupent en ce moment de poser une nouvelle chaîne de mines à la côte ' est de l'Angleterre : « L'Amirauté anglaise a, en effet, signalé la pose de mines à partir de la côte belge à la côte anglaise jusqu'à la sortie méridionale de la l mer du Nord. Mais que des_ chaînes de mines aient été posées 1e long de la côte est, personne 1 dans le monde entier n'en a appris le premier mot. La nouvelle du « Daily Mail » explique ' clairement comment un nombre si considérable de navires neutres ont sombré et sombrent 1 encore dans ces eaux. Nous avons toujours supposé que ces mines n'étaient pas de provenance 1 allemande, mais nous n'étions pas à même de - te prouver. La preuve est faite maintenant pac - le « Daily Mail ». 1 ■■ ■ — I^I ^ jfrn L'ACTUALITÉ I La question du pain 3 Depuis plusieurs'jours, ,« Le Bruxellois » pu- , blie des détails sur la pénurie (1e pain 1 au pays de ( harleroi. Il y a une dizaine 1 vient positivement inquiétante.Il y a une dizaine

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Cet article est une édition du titre Le bruxellois: journal quotidien indépendant appartenant à la catégorie Gecensureerde pers, parue à Bruxelles du 1914 au 1918.

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