Le bruxellois: journal quotidien indépendant

480 0
close

Pourquoi voulez-vous rapporter cet article?

Remarques

Envoyer
s.n. 1918, 19 Fevrier. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Accès à 17 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/1r6n011897/
Afficher le texte

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

I ABONNEMENT Bruxelles - Province - Etranger t8vj^ofni«:i:cut5"aont'Veçuô esclirtlvenitoi par tous lej BUREAUX DE POS'a L"S. l.e» récfcmatlons concemaût les abonnement» doiven ltr« atUcusfél «xclusiVemem un tmipau de po«U qui i délivré raboiuwneoi. PRIX DUS ABONNEMENTS : 3 mois *2 mois 1 mois • Fr. 0.00 Fr 6.00 Fr. S.OC T1RA62 s 125,000 par ,'©«! ANNONCES Fan» divers «t Echot U ligue, fr, 5 > Ntcioiosle i ' Âtinot'^ej commerciales ...» 'i. Antionces financières 2. PETITES ANNONCES. i.« „*».*). Hgn«. 3. | R*<i«te-.ir en chef : Reîtt ARMAND R'declion, Adtr.ini-itraCon, Publicité, Veut* : BRUXELLES, 33-35, rue de la Caserne *! n ^ _ Jk <e% ar - s JOUHNAïj QUOTIDIEN INDEPENDANT LA GUERRE J*. > 2 «..V. ÉSfiÇ —, Sr m. KuwaWs esïïti&s BERLINy tevncr (Officiel), midi: I TliéiUe de i» &uene de l'Ouest, H En beaucoup d'endroits du front, Le duel d'artillerie ■> e^t ranimé dans la soiree. L'action d'infanterie est testee limitée à des engagements H de reconnaissance. Aviation : l'ar un temps de gel et clair, les aviateurs ont ?te très acl'fs durant la fournée ti pendant la nuit. A ous avons copieuse meut ar- ■ rose de bombes des installations tiiiltUi tes derrière Le Iront ennemi. Un avion a attaque Lou- ■ dtes. .i autant ces,deux derniers jours, tti avions tune mis et deux Oalcous-capijs ont ete abattus H tri combat aaricn U par le tir venant ae terre. I Des iutiés théâtres de La guerrej rien ae nou- H veau. BuiiUNj 16 jevrier (Officiel); Rien. de nouveau aes the&tres de la gueire. oui mex; BERLIN, la février (Officiel): H , Quatre vapeurs urines et 2 vo.tiers jaugeant enïttùn 2Jjl)(ï() tonnes urui ont été détruits daris la Méditerranée occidentale. Ce sont surtout les compagnies a utilement italiennes qui "ont subi H des dommages; elles ont perdu de ce fait a vapeurs h' 2 vo l'ùrSj notamment les vapeurs ni'ar-■ tutpaii*»», -jaugea., i brut 2,4iî8 tonnes, chargé d'oranges.à description dé Liverfàol, aLafrerà», jan'giaiit brut '<>,(160 "K/unti et un vapeur italien I inconiiU- d'environ c.IJifO tonnes brut, ainsi que les i&fîeMt'S « f limai », » t'ehee » et « Agnes Ma-I dren,' . hargé ae oots tinctorial. Lé Quatrième tajrcur coule éUiit le lapeur transport' ' anglais H « Afinnétorthan, jaugeant 111,528 ttmnei, dont nous tivohs 'fait' 10 prisonniers. BERLiN, 17 lévrier (Officiel): 1) Dans la nuit du 15 au 16 février des forces H de é'Ônibai tegères allemandes ont 'exécuté de nonve.<M "iiiili r* 'd dam la partie orientale 'Se ta ' H flSànéhe, La snrieilianct atendv.e existant jùs- ■ qu'ici 'dans le détroit de Douvrcs-Calàis et 'sut la "ligné Cap trris -NerPolkestoné, ne s'était plus'manif estes. ken'estqu'au large 'de Doévtes," H qtCUn v&pmr ' d'avatiUpostes fut rencontré" et coule par notre canonnade. Nos forces de com-B lai sont rentrées sans u moindre incident. 2) Le 16 fewier. nos avions ont attaqué- dans le sud aes Hoofden des hydro-avions anglais qui B esco't nent un -cunvoi se rendant d'Angleterre à Kotteiddmi L'un des hydro-avions fin abattu en flammes par le premier lieutenant 'de "Marins K de réserve ' llinstiansen. V A5JÏKiCl-Ji£M VIENNE, 17 février. ~ (Officiel); Hl Pas d'événements particuliers. •fUKCS "" "![ ■ C0NSTANT1NQPLE, 15 février (OffUiel)t, Pas d'événements particuliers. I CONSTANT IN 01'LE,. Kl février (Dfî.cscl).:-: Front de Palestine : Violent feu de diversion réciproque, Des entreprises de nos troupes d'at- ■ taques ont cause des pertes à l'ennemi. A part H cela pas d'éxeaements particuliers„ BULGARES ■SOFIA, 16 fewier t * Front en Macédoine : A l'ouest du lac d'Ochri- ■ da nous avons chassé par notre feu uh détache- I ment français de reconnaissance.. Dans la région de BiioHa et à l'est de la Cxer",ia4 Vartillerie ennemie siest montrée plus animée. l'ouest du Vardar noire artillerie a prononcé avec succès plusieurs co-ups de moin d'art llerie, contre les H $os lions ennemies. Front de la Dobroudscha i Armistice. COMMUNIQUES DES ARMEES DE L'ENTENTE FRANÇAIS I PÀBIH, 17 février. — Oiïu •; t Je 3 «. P. AI. Nuit marquée par y.-A'x grande acti-I Vité de» doax «rtâlerkf» <îaiw la régÂeài cie j ÔhâTigQOD, à l'est dp Ecims. et eu CUaui^a-gce. Un «oup «1-e »K«n «Diieini à.r.estj «l'Au- ■ betivsi n'a pas «b)s»ié dt réwrirtau Xuit eatow H 8ttï lo j'este <îu fj.'crit. PAKI8, 17 lévâts-. — de il h. P. il. Âetions d'aittUlei'ie aasea vive» tsitix >a JtfjeUa et l'Aimjo, suv le 6?cmb du bo ■> t.« H Clunuitô et eu' li..4»t:>Aiàaee. Au sad do iict- ■ teraii iK«a av<x^ re^ous-jé uu cuuy <ic- nwun Bc,«aîi, Jcwitév c^wi-e paiitHn- «iSeiuw. ■ . . ITALIEN IfOME, 16 févn*ï (-Officiel): H JLes opérations ont *lé réduites hier '<m ■ »•< luiUimm par i» titaVbuts temps, dans lu région H montagneuse. Dans '« Secteur d'Ajf*r,go seifle- ■ ment, il y a en des Simon,'ades violentes- au nord du fleuve si des opérations do patrouilles H dans ta vallée. ~yii-è-V(3 dit M&fiieilù, des d état Juments d# H tteotmaissance MigUis ont hardiment ftmchi le Stavi et atteint Us'i*£*ét etmeœîes'. H Dam la pla ne, fusillades h^bifurUes. Vne de ■ Has patrouilles, mutinnt la file de pont de Ca-}ô-Sile, a surpris un ps>'.< paste de garde et est ffiltrée indemne, rimeitâ»t les armes dés soi m ifgfc ennemis tués oti en /«+'(?, , 1 ANUiAlS iLONDRES, 16 fèn-tut i Ojftt uH) : H 'J?ei troupes du Laacashlre ont prononcé ttne I •heureuse attaque hier oit, à proaini-ité au eht-I in il» d* fer iffrse-SUfflen; elles ont fait îî pri-I ^(fjtniers. N-tts pertes ont été peu-importantes. I i pM&Ufnt allemande a été -activ» la vtitii, as I •; *>*K i», LtMS ef v(s-à.-.iis dg k>\ ffaçffe.. ej. ,4î J ■ Mmskaït*. 9 Aujourd'hui à l'aube, l'ennemi a prononcé des attaques dans les environs de La Vacquerie et -* de Chéris y; ces opérations ont amené des com-bat, '-tek-truie, au cours desquels nous avens i:i-»«' fligé ,cs pertes anx détachements allemands. Quelques itns. de m-s soldats manquent à l'appel. Dans le cent ml de la journée, l'artillerie allemand t a clé 'plus active dans certains secteurs, nota.riment au sud-ouest de Cambrai, au 'ar- sua tl ait nord de Lois, ainsi que Près de Pas-\ian sçhendaele. int, LONDRES, !" février (Officiel);* Des aviateurs ennetms oui survolé hier soir, < les un prit avant .'tix heures, la côte de Kent et se ■uce sont dirigés vers Londres. On signale que, jus-ar- qu'i. i, *ne sêule bombe a été lancée sur Loti-le.- dres, ■ ûtl_ — rn, m. itrtwt- !.. — "Z Demieres pepëches rre. iOU- , 1 A propos da kunt coicîasadeiitfrat , fraacaangM-î. Berlin, 18 k4v. — De la «' l'ôst », relativeiBenf à ia reuaue <ie Robcrt^on'dc'à fonctions de chef d«* i'état-iû:ijor anglais : « Voici de quoi mettre ei> vive lumière le désaccord dont souffle aetucl-7lini L-njent la nati-jn. » tans (( Qa2eite ae Voss » se dcman'Ve si Lloyd ^es George joue son dernier <atout ou hien si sa si-su^' tuation nlest pas aussi ébranlée qu'elle semblait va~ rtt.re après les inlormations unanimement clé!a- ( "ar- vorables de i_es- derniers jours; le géncial cnet trgé d'état-major qui vient tl'être remplacé, blâmait 'a", en Lloyd George sa conception stratégique de lien )^aetion en !■ landre, et l'assertion piétendant 1"e qu'on avait beso n de soldats pmir poursuivre Ma- énergiquement l'e\écutk»a «lu programme împé-siue il..liste en Asie; les Alliés auraient, à VersailKs, lais jajt mauvais accueil à ces visées..égoïstes, sur quoi Lloyd George^ désireux d',ai>aiser ies Français, aura t consenti à élever leur général J-ocb au rang de généralissime des armées anglo-fr..n-rces çaises en Flandre, d'où, en conséquence logique, la retraite .du cl>ef de l'état-major anglais. » e ta' • 1 ■JU._ • . - .ï*£ procès Malvy. 'sut Paris, 17 lév. — La-Conmnssion d'enquête de Ûuit la Cour suprême ne =pourra ■ mener ses travaux itts* à bonhe fin que vers ia fin du mois de mars; en et Conséquence les débats* ne pourront commencer àjh- avant le commencement d'avril. te nouveau lâojc jueu.er iM's et la Obiijéi.'aneo 'do Ver ail es. 9U* " Londres, 1^ fév. — La «Westminster Gazette» rg '' insiste, sur la,.différence remarquable du texte l,Reuter, d'après lequel le comte C>ern n aurait déflaré, qjte. l'AutncberHongne dét^nora.t les j possessions, de,ses alliés, y, compris la Belgique,, Alors qu'en réalité il a dit : <« Nous détendrons , les, possessions de nos. alliés avant la guerre tomme,ies nôtres, La «Westminster Gazette» fait. îeœsiçiuer à t.c ?ujet • h Ce texte tronqué don manifestement donner l'impression q e V': Cze.t«m. a prononcé un discours plus chauvin ^u'il n'a jienu ep réalité. » !).'■: Le t< Daily News «écrit : «Indignés surtout de si on ce voir auçune amélioration, nt«us avons le droit l'at- de savoir, non seulement comment les fautes part ont été comm.tes, maas encore si le Conseil de Versailles avait sous les, yeux le texte vrai ou taux, lorsqu'il prit la décision remarquable de tuiJsU'teT que le discours du comte Ciernin ne -1 (.ontenait. rien .qui pût rendre possible une dé 'hri- claration commune de la part des All és. L'at-cke- titube du Conseil de guerre de Versailles est il°ii ii,eonçili»ble avec le texte authentique du dis-en- cours de Çzernin, c'est pourquoi le Parlement du doit exiger des explications, a ',\s io3fdàC»:iL»u«iiet des peuplai Londres, 17 fév. — Un délégué de- l'ag: ' Reu-tci/à rùtefâfc# lord i<ob'evt Ger.iî-quant-à un Complément de détails sur tau projet de Ligue des Peuples, présenté atr Parlement. Lord Ko--S Ijerl OeCil ne ter, it pas à discuter ce «i-jet} inl..n-moins ïl-a consenti à formuler en tenues-géné-ratW" ses rues personnelles rglativeinenî aux avantages et aux difficultés de toute organisation internat:nmle, difficultés dont la-plus gra- • M. ve p;;rte sut les moyens de mettre en vigueur tes décisions de ces Ligues. F.n se repliant à la 1 Guerre ri,-s Deux Roses qui désola l'An};let,r;re jrose blanche rontre ro>c rouge) on constate que l'anarchie y prit le dessus, et que les moyens aux-ilflte > (jUtjs ji fallut recourir étaient plutôt de nature éciiomique que militaire. Lord Ceci! es; i me qu'il • M. pu "dè-vraîit;être ce meme dans des circonstances actuelles p-,;ar faire 'face- à- l'-inva.-io« d'une l<' iflftrchiê intom-af'MJoalej-il faudrait torit> fois bieu déterminer de prime-abord quelle ferait'la légis-,wun Jaticn à appliquer par-contrai mer,- -et la rendre au-si simple que possible.- La'guerre a provoqué .tn ardent-de rendre les conflit» defésavabt ■/siiijXissibles, -t e ' qoi serait favorable a«x - idées tri- ' mterrKitjonalirt''*f «ini#,-tout en errant le sue-'gion i;ès,rLord>6e<s-l doute de la possibilité d'amener-rùfe- toutes- les'■■BaMoas'" à1 :rt-«»iiftâhre extiusiveaieat t au le règntS d'une-organisation nationale; tl est dis-ill.es {José à tei.teï, des meaurt s tic prudence, lesquelles, à son avis, mèncraieii; plus sûrement av> pr'v i A* .. *rès-qtrè l'e*éeiïtk>rt d'viir -programjiïc' riop brus-' 'si %t (jaâ- U y aurait ar, grand-pas.de fait, pense-t-il; si l'on arrivait a poser en l«i que personne ne e de Jfwut- tomBitsK er une guerre avant d'avoir soumis Ça- la situation A <;n arbitrage internationai; li fa -i est (irp t, d»o« rct ordre d'idées, faire siège? (ies sol conférences et <icâ cours de justice inie laiionales (JK- -qti'on" se trouverait en présence de litiges d'inipor-t- nee vitale; la mesure la plus recomman-dable cor.siwterait à amener Ie3 peuples du mon dei à épérer, autrement que par les «nues le ïè-wie élément des divery«nces d'opinion», à les accoa-ehe- Hiroer ;1 v,tjir dans les çiélibération* et conféreu-pri- ces les moyens réguliers de se docuiru-ater. E i, tes. "bieir <ju'un« Ligue, inteinatiaBale dût• tampren-v as <1re t<>;-îes, les nations eivil'sées 'pOfoi être eom-(■ 4$ p!?iUv, )l seriMt poasibfe.=de débuts pat la réu- • ni on d'un nombre limité de peuples. AIj QUOTIDIEN INDE I* ni iwniiiiiiiiii'-'»'""»^-"™—-1 ti'iiim min ■ il1'' iTirn -r irm[n~irtri--rnir-riwrrT des i.a démissiccî de Su* Eobocston e et Londres, 17 fév. <Reuter). L'extension des oui- tâches de la représentation militaire permanente : in- décidée par le Conseil de fraerre suprême lors nie. de sa dernière conférer;ce à Versailles, a rendu bel. ' nécessaire la restriction de certaines fonctions al exercées jusqu'à présent par le chef de l'état-jc<r- major anglais. Dans ces circonstances le gou-, au verneinent a juyé nécessaire de Uisser au géné-Pas- r.,1 R-obertbCtfi, le choix de reprendre les fonctions représentaives de l'armée anglaise près le Conseil de guerre suprême à Versailles et la i air, continuation cle son activité en qualité ce ciiet ; se de l'état-major général sous d'autres conditions. jus- Pour des 'motifs que le premier 'ministre exp- e-loti- ra aussitôt que possible, dans une déclaration à la Chambre des Communes-ta semaine prochaine, Robertson iv'a pu se décider à accepter l'un ou l'autre postent 1; go'uvertïetnent a âtfcep-§ té sa démission avec le plus grand regret. Le général Sir Wilson a accepté l»:s fonctions de chef de l'étut-major général britannique. Le titulaire du t»ste de représentant permanent anglais îi Versailles sera publié d'ici quelques jo its.' r.ent jfeutaUOua ûaui.s l'owi,-i£k pi "aa_ a. a. chet La Haye, 18 fév. — Les journâux anglais an-;ttre noucent què d'autres changements encore sont a0'" imminents au sein de l'état-m,,ior do-1 armée britannique. Le bruit cou;t que Lord Derby dou-loyd nerait sa démission. \i"" Le ra«.ciK*>iûesai, àa la viaruia ea As-gJetô r£ î>a'' Londres. 18 fév. (Reuter). — Le contrôleur é*a- ces vivres a décidé d'introduire le rationnement ci'< * de la vrande. A Londres, ainsi que dans le com- "a11 té de meme ncm, l'arrêté entrera en vigueur dès : c'c le 25 lévrier, t..ndis que dans lei amies parties ^"at de la Grande Bretagne ce ne sera que ie '<Î5 'ivre mars. npé- jj/s une décfcrat.cn de M. Le. cler^n Paris, 17 fév. -r- Au cours d'une interview sur ou'il avait aXcordt'C k un correspondant du « lJe- ' th Journal M. tJcnderbou a dit euro autres : « Nous sommes- lo;p, de voulou passer i>o<.»r p.i- eififrtes. rN.oub v iitQns la, rônunuauo.n vj«- ià-KUtr-que, , as pas poux buts împeriaiictes; no s ae- n\andons qo *jii ie. oaiACiitons. -elles on serait prêt à sx^nei ia paix à|iu <4 a i i ne-suosiste e de plus aucun doute que nous aspirons à une i /aux de^ nations, baiib ^uerie eçonofxiKiue, cai.s «n • ; en nexion», sans indemnités qui p^urruicut eue -m- iicer terprétiîes comme, une pu Binon, w A ce point de vu«, M. Hende' on uUas. oie.i que Canu.te H y\> n»a4h est ment que ie mess ie de M. VV.U\>n un modèle. - . - j ^ m. *VvuLaL» O HiiJ ÛU ^iîjCs. Vv. t J ' ;"e . ti V ' Berlin. f8 fév. — Le « Borimer Lok-i Anzei-jrait , - les ' w cbuiïi probable (Ils a*.Jioer.,tioiïs qui Qéboterout maidi i.1, a«ie 'û. laquLne le -e aetairt cl htet . on ls.uniuiaun pr^/iïôiii.v.ia . ii T QHS , I c btours de toiigùe h'kme, en séance pîetïieie, I lerre h ' ' j fn aoiinam la piuriitre leci .e uj Uo t- i :UeB. 1 a .1- - 1 , Lundi z:>, comaiem enient ue la ciis^ iis-iuu gt..' .■ nqué " | râlé; m.tre e < » «nte on I lertung, •<:i,a,icî:'i. , u-q_e . ! l'Empire allentailt-, le v.<t- mamclici tu , la^ei ; uvin ' piendra également la paiole. ,t je Cj. —„ • u -J> ô - droit Berlin. 18 lév. — Le pjem.ei mm stre kacfos- (Utes lavow est letourné en ,clg^r:e . iâ . icniK. il j (je a pris con^e Qe M. Ki-ow si de? (. «net oe j ou 1 ambass de, du secrétaire ,on <.em Bu?-ciie Uj p jp Ministère des affuris ctrangères), ciu conseillé; u ne '-on Rosenberg, etc. dé fii^vO y,w w- vuoû isU ;iii- itw. L'at- Berne, 17 fév. — Hier, à la Chambre itaLen i (>bt ne, iL SonniDo répondant a la quest on du dédis- puté Lpnginotti quant A l'art, la de Ja Conven-néiit tion de Londres, décL.ra que la teneuj d^. l'am-cle piibhé par les Bolohévistes n'était pas d'ac-^ coi d avec le te)tte lu jiar Ke(yi-;>no,à ^ Pfta,mbre. Tout en protest ,Jit contre cette publication fur Rîî»- les Bûlchév.stes, Sonamo décl^r.t que le Fallu > 11 n ment italien s'en était tenu strictement au tente. '}fue d< la loi de garantie en temps de guerre, et que 1« gouvernement, po.ai meure, un couibl.: à la r<-'a- situation, n'aurait plus désormais qu à froisser ;én«- le: sentiments des.miliions de patr.otes. italien» aux pi.r gon masutue d'égard» envers ie Saint-Siège., msa- Lunginotti. prenant note de cette critique,.-fit. gra- vsloir que Ja participation du \ a! can au Coa-> r tes g)ès de la Faix était assurée par une clause ior-à la meile bien'que n'étant pas libellée conformément lorre texte pabl é. U n'en est pas moins vrai que que l'impression a été péniî'le dans le clergé. Lô- scc a;i,at8s gîtes itoe, b. i,03jdréi iture jl»; p ,r. i socîalisté grec, donnant suite à «ne qu >1 invitation du chef du parti ouvr er ani;lais, M. .lices Hendcrsôn, a décidé de participer au Congrès îane ot-vrrer qu'. s^ra convoqué prôclia.nètnent à Lon- brêir dics. Le s socialistes ••eront représentés par ie dé- efe>s- p,sté de S^h nique Sidcris et M Dràcoulis; Qua-lidre ouvriers ' représentant les syndicats ouvriers eque y assister-,mt également. A'a.IH Ii» «ttieeUoa du ràvitaiJlen^Rt .m, JJoiteride tdees „ .. , " La Ilave» M w». — Là rnani.fcçtatio.n contre . Si*"*.— *~' , " ia ehorté fks-v.wKS, q"-3lîin t:rrtaix) .nombre d'or-, icner* . ga«isâîi^u.: <îemocratTquy».^yaiç-»ji-oi:gani^o po >i ^ iundi,- n'aura î?eu. On-attendra ,1e r^H'U s du déb..t 3ur îa p«îit;m>e d*a!vmeniatk)i>, qiiû4nit_ &v€iT iu.u au parVerneî^t ^erlaniOcO^ pr»>- WU8.- I.â SSXÏXAYXOXÏ Si. >»94SIS. t_it, D# «omplost eoatrs Leelae. <> r.<- Pétrpgrjïd, t€ fév-— Une-cepjwration (Foifi- umig ciers a été découverte, ayant pour but d'enlever 1^.,^ Len ne et de s'en sscri.r comme étage. Dans le, (,çs locil-de l'organisation, on .1 .iéeouvért d«s bon; xles bés et des ^-enade.3 chargées. tiges ' La pisyt&xî ei avait d'AH'■xti.6£. mai;- Stockholm, 17 fév. — Les éntreprisè-s da aé- moii r.éril" AIcteïeff progressent cu.ns la region de s rè 'i'Sj-unrtig. De'violéiues col li ions o-ht eu lied :cou «fiitre Jo Garder roage èt m:? adversaires. Des « pé fren- rations militaires 'ont eu lieu en t'rois points." Au Et, cours de combats- arbarnéa près de Vordne»ch >ren- les troupes des Soviets ont été cernées dé topa eom- côtés. Alexeïeft a élcbnré un plan stratégique réu- • pour cerner les troupes rcvolutioanakes. E» cas de rénsdite, Alexeieff martheruit iiir Mus- ^jKJçaaTA^:' .saEWBaiHBC ■M-tj^caRag^a cou et sur Pétrograd, en passant par Kharkoff des et Voronesch. " 3 ente La situation ea. jfiiiiaade. lors Pétrograd, 10 lév. — Un télégramme de-la udu a Ptawda » daté da (1 courant annonce que la ions Garde blanche, forte de 5,000 à 10,000 hommes, ;tat- s'est emparée de ia ville « t du port do Nicolaïes- $ou- tadt, après avoir désarmé les troupes russes, éné- xa tfi.x€U..' )UKidmail.vb ààx lie, Âa^&mi. 1 i>nc- On mande des îles Aaland à Copenhague, que , s le dis troubles y ont éclate mardi à midi. A cc , : la moment, les noupes fusses ont attaqué la pop a f :iiet la tion iiaisible, suivant un plaT ooaçerté. D'a- ons. bord, le pasteur Jorgenson a été as «-issiné. Le 1 < e- capitaine du navre de guene suédois qui venait tion porter seroers aux habitants ce l'Ile, s est mis , pro- en communication -radiogr iphicpie avec Aiari- : pter chamni et a sommé les v.KIats russes ^lc q-'iittcr , c<p- l'île. Ceux fi ont incendié tous les bâtiments j Le militaires a»n*i «ne la station rad ('graphique. j de lis ouï aussi t.,it saut'-r les tocks de munitions.. ( »- -LS3 COMSOAïîvEc O^J JQKOS 1 :,:l- . Kiï 3ïi;3SIS. » |TS-* St-(Ckh« lm. 17 fév,, -»■ De l'ag. télégr. do_Té- ' trograd ; -it G.i décret qui vient dîf'trç publié, an- annonce la canijscat.on .cont;;!fcte Je tout l'avoir soiit des anciennes banques particulières, et le traii;» ( niée fert de celui-ci à la Banque; nationale de la Ré- lon- pubi.qne russe; J-çutes les.act.--ns de banques Sont ( déclarées de valeur nulle et 'e paiement des di- j ^ r-c videndes est suspendu. ( leur a t y « U'Alieman '3 à Reval, , iem Rcvalj 17 fév iHavas). — Les iîr.ximaiistes , om- de cette- ville ont mis tous lr-s sujets allemands < dès et est,ioniens en état d'arrestation. 1 ties — — ■ ■ v, ...... .r....,-... J UËPEtiltS î (Réprimant* ae t taii.uu jiitctdéuie.j ' •içvy "" c ?e- Cîiii, 1 «s: jftO.mirûi. « R'v A-d caUfL ^,>ctoie jt^a-ui Jteiôjnaad. ' lier- * ^ . Lu^anoy 17 • terv» ioa *— r)u Pifcoxo » ; Les mxii'jjX. poiixiqucs traitais et londoniens s at 5 on ? - tendent avec •ce^tituoe-v.c^ jours-ci a ots evemî>- uienito .déduits it et à'Hueaief.1. On consi- i deie ia cupo'sr.t.oa uu roi i <_iUinund ooniu^e un 1 «n tait meviUtDie maib les ïiiiornicttions ne sont part, t lu . -, u aecoud &i.r .e tait, bi »e ro» reiomanu <*bai* 't tj eta en tave r-ne so.i -hls ou de son frère. i ■ k. wiiW'u UU A li\>n c ci ^ U. & . , Beilin, 17 tevi. — La délegatiôu ukran.enne ' ' cle biv.si Litunsk a trânsnns .a déclaration sui ( 1ZBj_ »«nte -'U goavciutinunt «ticiu..ud : ■,-0ils -Vu peupie ii'ïleiiiLiid Le a twrie'r, dans le vit* ' ei p, idiiu . es i i-c vivie en paix et en anime - ' r uvci. u'w-a v'< i i'&. tic us civ.ns sjLîiie un trane oe-. ii i - ° « p. u u> tciib . e ia Quadr^piice pour met- -ci e, j . j *»t tin rt u. e iti^i.ie guerre trairxiae t:t pyui * '41)...» * T ■ i j-c .rf,',! euii-ac/et toutes n-.-s forces, a un but ' | un q e - consolide! l^ut .n-jme ae ia Kepubli-. ' J>CI S que .e l'Uki jue. as l'neuiiux i-veneibeii! da 'i r- v 11 i, ,i ardeur.,! "t ^'uiia.té pai u masse 1 , ivi >.e uo'ie i eui le, ne u* us a pas amené ' ■; l.i ix a I in éu-ui L ennemi, qui veut nous d O S" " ; tv u u"Ue I b. ne, a envaùi n'.,tre terruo re et, .il , -, t • omirie il ) ,i de x cent cinquante-quatre ans, U de t . , r vt .1 nt toi- e.uore mettre notre pays a feu et ,|J/- • sang p itii .le subjuguer. Les uwxnnalistes i, s^e , qui, il y a en mois, ont dispeisé 5 Pé-ti grad l'Assemblée const.tuante composée près, que tout entièie de social ste{, ont maintenant, t ■ t oc ! a ruent ils, ,-m.ipris la,guerre sainte contre les soci l.stes. de t Lki ine. Du Nord, des ban-VL'U" des de-mcrienaires de la Garde Roage ont pé-aiu- cile2 iiq-isj elles .ont rejoint des soldats ' AC~ russes qui < nt- déserté, le front et des maifai-^r-c- tçurs rcfn.s-,en -ferlé, Sous ies ordres de po. lur , liciers .et de gendarmes qui ont fait .leurs, prou, j iile- -«-es, elles entrent dans nos villes,-' fusillent les i este, notables^ et rançonnent'les hsbiiantLlles q-ait» -, -1lie teat les ruin.es tr.nu-ntcs des localités pillées p»ui t * )A. courir à-de, nouveaux bu,tins. Cette nouvelle ia-'sser vas.an barcaro de nos voisins-du Noid a pour iens but, comme autrefois, de .ciétru.re notre auto-ège.-, nomie sous des prétextes hypooiites, alors qu'en --'i1- réfiiité el'o ne -^rt nue-les manœuvres maillon- { ^ou-= ne t' s et les tics-ein-s' inavoùcbies' do ceux qui ont v x''r' intérêt voir 1 L;krai»e Cn proie îi l'anarchie Qent et au retour de l'ancienne dom n.tiion qui a ,-|ue p,. ié sur notre jiays. Devant l'univers, nous déclarons fjjie les,coai-, | >0. . missaiics de Pé'in-gtad ment nt lorsqu'ils p«r-u'iie Iciit d'une révolte du peiipie de l'Ukraine 'ci M. qu'ils iilentêiit encore lorsqu'ils affirment qt,ç la grès Radii centrale— Parlement da là République dé- « Lon- mocratiquë de l't • kràliB', composée dé socialin-; dé- tes "i i rdnîefns, qui' a déc réîé de larges réfori>V«-S I ^ua- sociales et démocratiques'— «-si une Rada bour- < t iers geoise.' Les'tsommisssïies cl^ Pétiroj'rad, qui ont ' en paroles défciîtru avec tant d'acharnement les" J j,^e j eujji. = de ITakrame, de ïa Pologne, de la Onu:- i ntr„ lande et d'aih:'s Vnccnrev se sont "servis à Bré'st- j , or î.»tovr.-,k de 'fe.'t- fïéîiôd'cs Von fiantes poûr rèfiref .< p.j ,r dît'front Mes rés-es dé l'àirmée r'os>e et' les la.»- ■ >k'K '<r secrètement ?->r l'Ukraine dans le but dé < (i . . nous Voler, Vie t»i>r>sporter"&os st-.'ck.- «le céréales l vcrsSe nord et de «ubju^iSer notre jAvs. * ' Au}.>srd'i>»i, al"rs iju'uptès t[tiatre ..ns le'niur ,i de-feu qui n%-»s réparait de ïtoS vcisi'is- de l'Ouest I es! tombé; n.ms élcVôhs la vois pour crier le Oilh malheur de nvtie peuple. Nous vovcïâs les fruits c-ver , . , . . ' de notre jeune révolution compcnmis et nous ' tremblons de perene la liberté que nous venons à : pei ne ite conqtiéi-ir. Dce rencontres sanglantes avec les banGe-s russe? se produisent tous les jo"-rs. Kn Volhynie et sur d'autres poimts, nous < S®- côneenticiis de nouvelles forces pour résister aHS » _de bit'ndes qui ne cexscnt d'arriver du- Nord. Au mi- l eo lieu de cette.ilpie lutte pournotre eS'stencé, < P-'"- demandons qu'on w-us aide. Nous s ,mmes prer-Au fondement convaincus ctue le peuple allemand) esch -<j»i aime la libeité et l'ordre, né seift pas indif- toyâ féretH à polie détresse Le t>.e»tple allemand, ique dont ies ajuvées .«ont postées «ur les flancs de E» nos ennemis du Nord, possède le pouvoir de Mes- vous venir en aide et de Drotéaer nos frontières koff du Nord contre une nouvelle invasion de l'en nemL Voilà ce que nous voulions,d.re à 1 h.eure grave e-la que nous traversons. Nous savons que mitrg e la voix sera entendue. mes, Kiew au pouvoir dec TJioaBleœ». aïes- Leiii's projets, 's- Stockholm, 17 fév. — Le Bureau d'Infor ma il. tic-us ukraaieu nous informe que l'état' de gner- ■ 1ue re a été. proclamé à Kiew ainsi que dans la ré-^ ce gion de Kieiv-Poltavra. Kiew est rempli de trou» opu pes ukraiiiénues qui partent sans cesse vers le D'à- front pour marchtei contre les Bolschewilîi. Tou-Lc tes les informations r.u sujet de l'occupation de mait Kiew par (ceax-ci ou au sujet d'une marche mis (.j) avant des Bolsçhçwiki w^nt inexactes. Le cal-iari- m-- est coinplètement rétabli en ville. La tenta-ittcr tive soulèvement fomentée par les Bolschewi-'"ut^ ki a été complètement réprimée. Le transport de Que. i'armée tikranieiine, qui occupe le front du Cau-ions.. case,-depuis Ruuzeput jusqu'à Rodosto, est imminent; ces forces années sont destinées à mai-ilE. cher du Sud contre les Bolscheuiki. -P^- la eituaticii ea t-jkanae. Cologne, 1G févr. — Le correspondant spé-ivoii cial de la «Gazette de Co'osr.e » en Finlande a*lb' télégraphie d'Hâp'aranda : «< La vo.e ferrée de i'ornéa à Seinajoki, 04 ?"'u e;t établi ie quartier général du comte Man-' ncrhèim, est intacte, contrairement aux intor- inations disant que plusieurs ppiits avaient été détruits. Le trauc est normal et un tram de istes voyageurs, offrant toutes les commodités, cir-ands cuic tous ies jours. En visitant le champ de bataille de Loi ma, j'a' eu 1 impress.on que les premières nouvelles ont été empreintes d'une ferte exag r'ati-n. Les trois cents tirailleurs si-bérieh's <j«t c-lé désarmés après un violent com-bài, et la Garde Rouge s'est rendue aptes une couitè résistance. On estime que le gênerai Man-pg nerhe.m dispose d'une centaine de milliers d hommes. Le qu'il tant surtout aus t* vnlan-: dais, ce sont des aimes. i-Li» 21V jj»xt Jà t'i 1 fi -„'X' i* Xîiè ïiXJdliilA, 5 at J?féia.lnaiift, d'ÎKfetl itCs à 11L(. éne- Pétrograd, 17 fév. — D'après la presse jnasî- ansi- ministe, le gouvernement de i>molqy tait des s u.i pieparants qui tont prévoit la îepnse des hos- pjs tihtés au front. fc.n connexion avec ceci l'ancien .b^i- généralissime iviylenko a intimé I ordre a tous ies anciens généiau.s, de se mettre aussitôt à_la disjjbsiiion ae 1 aruiee. A Pétrogiad on discute déjà partout la tepuse des combats. Dans tous enne 'cs •ndieux populaires cne colère tourde gion- suj de contre le gouvernement des Conseils,qui n'ont iras su donner au pays la paix dont il a besoin. . t» C est ce qui explique que ies enrôlements d*H8 imic l'armée révolutionnaire 11 ont pas le succès é oe qu,'espérait l'institut Srnolny. Peu de soldats 30 iret- sont ta '' enrôler jasqu à présent dans la nouvelle garde rouge, la. fatigue ne la gueire ayant déjà b t pris une trop grande pxtens.on parmi les trou- ubli p< 51 )>0111 1ue 'e gouveuienient des Ojnseils puis- , da 3e eilc"Jre se flatter de mettre sur pied une ar- ias-.„ méc capable de combattre. Bien que toute idée de rési tance militaire sérieuse so.t exclue, l« nene ^ 3 nous g-uvernement des Con.-eils nourri! effectivtiaent tî ie dessein d entreprendre de nouvelles opéra- ' tions et semble prencite des mesures pour défen- dre la capitale. istes . vitfeûuoa da ia Eépulfciue d-a ïoîttoi. Pé- Pétrograd, 17 fév. — Après la destruction du jres domaine de Jasc..ïa Poliana, nabïté par lâ'veuva ia;nt, de Tolstoï, voici qu'une bande de brigands a >nue détruit le tombeau de folstoï et ouvert le cer-ban- cueil dans l'espoir d'y trouver dos bijoux. Le : pé cercueil a été sorti du caveau et laissé à l'ai»ridai s don devant la tombe, après avoir été ouvert; Mai* La procès EeaiJi^ton. fio. Londres, 17 fév. —* La procédure en haiité trà-ireu- hison a été ouverte contre le colonel Rcpingtonj les On se propose ' également de mettre Soug sur-Q'ait» vfcillance'!es Assemblées des Comités d'un cèr- ' P^ui tàift nombre d'associations professionnelles, in. j iii- criminécî il'intelhgen >:i a^éc P'elinemi. pc"r ïrouble ku ^Lkite à Athènes. ''V ' Gcnè .e, 17 fév. — De Berne à la « Feuille d» , " Genève a,; Des voyageurs diplomatiques oe I'Eb» , tente auraiei:t ïappelé la nouvelle que des trou,, bles sanglants viennent d'éclater à Athènes. On compterait déjà de nombreux morts et blessés. a) a — i ■■MLMjjgsaiBaawii-'i — :oaK Les événements militaires par - el de la semaine tenu,née le 14 fevr-ei 1818, ,ç la Cçtie fois eiiC 'ie, peu d'événements inipo.t,,.nts s de- 4uat différents théâtres de la guerre. iaîfi A l'Ouest, le feu d auiilerie et le minage o ojat mV«'S pris une intensité a >tnble q-fl passagèrement ,ou r- dans ce: K in s ssctetiis. iilitre Flircy et la Moéeî- , ont le, pou S: é»; do plusieurs compagnies fran.„.i s'es à t les" Ifetaenauville ainsi c|-ae dans la partie cccrdca- >oiir- iule du bois Le i'rètie, lesquei.es furent, à là •rést- suite d'un comb-t-dc courte durée, r' jcCéc»r avec ■fireî" de fortes peites-tout c-n laissant des prisonniers la.»-' rjiï . Alictnarifis; ceux-ci.capturèrent tkw Aaicri- t du cains au nord d iiivray. En Flandre et en Ar» Sales te-s, vaincs poussées conemies de recoiwvaiôian-ce au nord de Lens et sur 1 Omignon; heureux inur ; coup de main 1 Fon-tiiucs les Croisùlcs,- £m- hx-sf bcrmenil,- Senones, au itucUenkopf et retour des >r le Allemand" avec des prisonniers. ruits Au théâtre de la guerre à l'fclst ; Sigr-aïur* nous de la pais svey l'USnaio^ le 9 février, à 2 heu ms à res du rnut.n. wîtes Le lendemain, Ri, M. Trctiki déclara fcermi-ii i les i'état de guerre entie lu Russie et ies Paisian- nous ces Centrales et ctd >iH>a la démobilisation msss • aus qu'il suspendit toutefois quelque*» heures plu» i mi- tard. Situation militaire inchangée au froi t vis- no«s h vis de la Grande et de la Roumanie! - prer- Au front italien, viv-j canonnade au baut- pte- tàadj le au des Sept Commuées-; les Austro-B'cngroiej ndif- avant chassé l'enaen-i Je ses poiiMB d'àppns a» i»nd, versant méridkoal du Sajsso Rosso, loi tmt «p- s de turé <i ofliciers et 171) hommes. r de Rien de nouveau des autres ttiâir**- ù» te iires guerrfe. I »»• éné*. ■ n« 1217 - Ed. b mx r.RNTIMÊS Mardi 19 Fôyr'ar l9tj

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.
Cet article est une édition du titre Le bruxellois: journal quotidien indépendant appartenant à la catégorie Gecensureerde pers, parue à Bruxelles du 1914 au 1918.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Ajouter à la collection

Emplacement

Périodes