Le nouveau précurseur: journal du soir

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s.n. 1914, 11 Juillet. Le nouveau précurseur: journal du soir. Accès à 03 juillet 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/ns0ks6k33n/
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Mamedi 11 et IMmanelie 155 «Juillet 1914 CSMQ ŒIVTiaiE» 80"" année — IV0 l'S*5£ et 193 Le Nouveau Précurseur A.B03ST3SrE3VEEIQ"a?S : »nwiî<5 M an 12.00 fr.; sir mois 6.50 fr.; trois mois S.50 fr. rmfRlrtlS. » 15.00 fr.; » 8.00 fr.; » 4.50 fr, Bnn S * 38.00 fr.; » 16.00 fr.; » 8.00 fr. tttvwmïïOIIRO » 83.00 In.; » 16.00 fr.; » 6.00 fr. UnÎonWtALE, » 43.00 fr,; » 31.00 fr.; » 10.50 fr. Tjut abonnement se poursuit jusqu'à refus formel. jN S'ABONNE & Anvers au bureau do journal et dans tous les bureaux des portes en Belgique. 1 JOURNAL DU SOIR OHES { MKSKttm, »• *«4 { 39, VIEILLE BOURSE. - ANVE A.3srisro]srŒ3 r naiees, la petite ligne, fr. 0.30 I Réclames, la ligne fr. 1.50 » 1 à 4 lignes . » 1.00 Faits divers, la ligne. . » 3.50 ncièees, la ligne . ■ » 0.50 I «iiRcniqtje Anvers . . . » 8.00 Les annonces de l'étranger Gt de la Belgique s&nt reçues aussi par VAgence is, 8, place des Martyrs, à Bruxelles, S, Place de le Bourse, à Paris, et 20, Holbom, à Londres. Au Dehors ANGLETERRE La limitation des armements Hier à la" Chambre des communes, sir Edward Grey, a prononcé un important discours sur la politique étrangère de la Grande-Bre- '"Sl'ordant la question des armements, sir Edward Grey dit qu'il n'a rien de nouveau a dire sur cette question si importante et si grave Je me suis exprimé de mon mieux à cet égard, déclare-t-il, mais il n'y a pas eu de réponse de Ici part des autres Puissances de l'Europe. Toutes les fois que l'Angleterre a essayé de suggérer à un pays étranger une limitation des armements, eh bien, ce pays a considéré la proposition comme une tentative •à l'effet d'entraver sa liberté .d'action. On lui a fait mauvais accueil. Il faut donc renoncer .à ce procédé direct. Le procédé indirect consiste à améliorer les relations entre les divers pays. Ces relations se sont certainement améliorées depuis quelques années. C'est ce qui a permis aux grandes Puissances de passer, comme elles l'ont fait, la crise des Balkans. Cela n'empêche cependant pas les armements d'aller en augmentant. L'Angleterre n'en est pas responsable. Pour arrêter ce mouvement, continue sir Edward Grey, il faut s'en remettre au bon sens de l'opinion publique qui lorsque partout les dépenses seront devenues intolérables interviendra pour qu'on cdsse d'accroître les armements. La-proposition (\e M. Churchill sur la limitation des dépenses navales n'avait rien d'offensant pour les nations étrangères. L'Angleterre fera tous ses efforts .pour encourager toutes les mesures-aboutissant à une limitation des armements. En conclusion, .sir Edward Grey déclare qu'on ne peut-compter pour amener une diminution des armements que sur une amélioration des relations internationales ou sur la répercussion financière qu'ont ces armements. Sir Edward Grey passe ensuite à la question du Thibet. et de la Chine et dit que si la Chine avait recours à une politique d'agression, les conséquences en seraient pour elle désastreuses. Des troubles sur la frontière de l'Inde amèneraient alors l'Angleterre à intervenir directement auprès du gouvernement chinois. Sir Edward Grey abordant la question des chemins de fer de la vallée du Yang-Tse et en général des concessions britanni- , ques en Chine, défend l'attitude du gouverne- I ment à l'égard des capitalistes en -Chine.' * A Belfast L'arrivée de sir Edward Carson à Belfast a été considérée comme un jour de coiigé et vendredi matin de bonne heure une: foule énorme remplissait les rues, formant la haie. Sir Edward Carson a été l'objet d'une réception enthousiaste. Il s'est, dirigé au milieu de volontaires baïonnette au canon, de cyclistes et de cavaliers vers l'endroit où doit se tenir, la conférence entre les principaux chef unionistes de l'Ulster. Le gouvernement provisoire La première assemblée du gouvernement provisoire de l'Ulster, convoquée par Sir Edward Carson, a eu lieu hier à Belfast. , Les délibérations sont secrètes. La'salle est gardée par des volontaires en ormes. Le duc d'Abercorn, le marquis de London-'derry et des députés unionistes y assistent. L'enthousiasme" n'a cessé de régner durant les débats de l'assemblée. Celle-ci a adopté une résolution laissant à Sir Edward Carson le soin' de dire qu^'nd une action décisive sera reconnue nécessaire. Sir Ed;yard Carson a prononcé -ensuite des paroles graves .11 a dit que l'attitudè du gouvernement était moins rassurante. Iï a déclaré en outre que l'heure a sonné pour .que, l'Ulster passe des paroles aux actes. « L'Ulster, a-t-il dit en terminant, désire anxieusement la paix, mais elle lie l'acceptera certainement pas au prix d'une capitulation. » Dans l'Ulster Le gouvernement provisoire de l'Ulster a décidé d'étudier'-toute proposition' tendant à maintenir les droits de l'U/ster, placée sous l'autorité directe du parlement impérial. Mais son manque de confiance dans la bonne foi du gouvernement l'oblige à activer les préparatifs de résistance à toute tentative de soumettre l'Ulster à un parlement irlandais. Le gouvernement provisoire de l'Ulster a donné- des ordres en conséquence. Il-a résolu aussi d'inviter le public à tenir la main à ce que .les libertés religieuses et civiles de tous sans distinction de croyance ne cessent pas d'être respectées dans la province soumise à la juridiction du gouvernement de l'Ulster. 'Fout le inonde devra continuer -à montrer la modération dont personne ne s'est départi jusqu'ici lorsqu'il s'agira de mettre à exécution les mesures que les gouvernement de "l'Ulster jugera désirables. FRANCE Le président en Russie Le Sénat a adopté à l'unanimité -des 288-volants, le projet de loi relatif à l'ouverture tle-crédits pour Je voyage du Président de la République en Russie, en Suède, en Norvège et au Danemark. Comme le parti socialiste ne veut pas cesser son obstruction dans les débâts au sujet de. l'impôt sur le revenu. Le ministre-président V'viani se verra forcé de retarder son voyage à St. PétersjDOurg en attendant jusqu'à la fin de la cession parlementaire. M.Poincaré partira donc seul le 16 de ce mois et donnera de Pétersbourg par télégraphie sans fil son adhésion aux différents articles de la loi. M- Viviani le rejoindra par l'Allemagne, cc qu'il fera d'autant plus volontiers qu'il est très sujet au mal de Mer. Contre les postiers. La Commission sénatoriale.des finances vient de prendre une décisi n très importante. Par 13 voix contre 1, elle vient de refuser de nouveau, malgré l'intervention de.M. Thomson les crédits nécessaires aux indemnités de séjour pour les sous-agents des postes,-" On sait qu'un premier refus de la Commission et du Sénat avait entraîné des incidents- très graves à la recette principale de Paris. A la Ligue des Patriotes L'Assemblée générale de la L'gue des Pa triotes a élu vendredi soir M. Maurice Bar res président én remplacement de M. Pau Deroulède, décédé. Elle a procédé ensuite a l'élection des membres de son bureau ili recteur. M. Foury, l'éditeur, de Hansi, a et, élu et son élection a donné lieu à une viv< manifestation de sympathie sur le nom di dessinateur alsacien. \ ALLEMAGNE Le jugement de Leipzig ^ Commentant la nouvelle de la condamnation J de Hânsi, le «Nouvelliste de Colmar» écrit: «On disait que la'cour de Leipzig avait écarté le * crime de haute trahison et n'avait retenu que les griefs d'excitation et d'offenses. Comment est-il possible qu'elle ait néanmoins condamné le dessinateur alsacien à un an de prison. C'est presque incroyable. De fait, la peine paraît énorme. En cette pénible circonstance, notre sympathie émeu et celle de la population du j pays vont à Hansi, et par delà sa personne, à son vénéré père, digne vieillard de 75 ans, auquel la noblesse de sa vie et son labeur d'his-toTien ont valu le respect unanime et la reconnaissance de tout Alsacien ayant le cœur à la bonne place. Nous, nous leur souhaitons \ courage dans l'épreuve, et nous leur offrons l'assurance de notre fidèle attachement dans ) les jours sombres qu'ils vont avoir à traverser». e D'autre part, le «Journal d!Alsace-Lorraine» écrit: «Hansi a été côndamné durement par la cour de Leipzig. Demain, ou après-demain. il f ira en prisôn pour un an. Il n'est pas néces- ê saire qu'on soit en tous points d'accord avec Hansi, il n'est pas nécessaire que l'on approuve absolument chacun de ses gestes et chacun de ses dessins pour trouver trop sévère la peire qui lui a été infligée. Devant le malheur , qui frappe notre compatriote, il nous reste une chose à faire, c'est de l'assurer que notre sympathie lui est acquise parce qu'il souffre après < ayoir lutté ^t pour avoir lutté. { Dans le Schîeswig-Holsîein Le «Daily Telegraph» se fait mander de Co- | penhagen que les autorités allemandes du ^ Schleswig continuent leurs petites méchance- } tés contre les écrivains et les sujets danois en général. La; police allemande aurait déclaré que dorénavant on n'admettrait plus de Danois , dans le Schleswig. ! DANEMARK Les élections Les élections du Landting, qui ont eu lieu hier, ont donné les • résultats suivants: 20 députés de droite élus; 5" conservateurs libéraux; 20 députés de 'gauche et 4 socialistes. La droite perd 5 sièges. Parmi les 12 députés nommés par le roi, 9 sont partisans du projet du gouvernement relatif à la modification de la Constitution, de sorte que le nouveau Landting se compose de 38 partisans et 20 adversaires de ce projet.L'ancien Landtung; qui a été dissous, comptait 33 partisans et 25 adversaires de ce projet. AUTRICHE-HONGRIE Clôture de la diète de Bosnie De Serajevo: La session de la d'été a été clo-, se par décision impériale. Démarches à Belgrade Suivant la Neue Frète Press» de Vienne, l'instruction ouverte a permis jusqu'ici de consta- } : ter que certaines traces du complot mènent ; à Belgrade. Une démarche sera donc prochai- j nemeîit faite à Belgrade par la voie diploma- ; tique. Le gouvernement austro-hongrois de- : mandera au gouvernement serbe d'établir les ; responsabilités de certaines personnes, d'exer- j cer les sanctions que comportent les excitations ! au meurtre, et d'offrir des garanties afin que la propagande panserbe cesse à l'avenir dans le territoire de la monarchie. La «Neue Wiener Abendblatt» dit que cette démarche sera faite de telle sorte qu'elle ne puisse pas être intreprètée comme un affront ou une humiliation, ni comme une atteinte aux droits souverains de la Serbie. • Menace à la Serbie La «Vestcherne Vrémia», de St Pétersbourg dit que suivant des nouvelles reçues à Pétersbourg le ministère de la guerre d'Autriche déploierait actuellemënt une grande activité. Une concentration de troupes s'opérerait le long de la frontière de Serbie. La ligne stratégique de Pnnchevo serait militarisée.SERBIE Les Slaves défendejgient la Serbie Le «Petit Jourhal» publie une interview sensationnelle du chargé d'affaires monténégrin à Rome. Suivant ce journal, le diplomate se , serait exprimé ainsi au sujet d'un conflit pos- ■ sible entre la Serbie et l'Autriche: La tension qui existe entre Vienne et Belgrade n'est ' aggravé par l'Autriche que pour humilier la Serbie et amener un conflit dont le but serait de tenir la. Serbie sous la dépendance de l'Au- ; triche. On sait pourtant à Vienne, continue le chargé d'affaires, qu'un, conflit armé révolutionnerait tous les éléments slaves de la double. monarchie et, que la Russie ne pourrait garder la neutralité dans.cette guerre de races. Cette crainte salutaire empêche seule l'Autriche d'agir. ALBANIE La prise de Coritza Des informations sûres arrivées à Durazzo par radiotélégramme, confirment que Corit-. za est tombé aux mains des insurgés, qui' avaient opéré une marche de Stavora pour attaquer'.'cette ville. Une partie de la garnison s'est rendue aux rebelles. L'autre partie, avec les officiers hollandais et deux mitrailleuses d'infanterie, s'est retirée à Skrap. Lorsque plus tard les Epirotes marchèrent sur Coritza, les insurgés quittèrent la ville et la laissèrent en possession des Epirotes. Ceux-ci s'iivancent sur toute la ligne Coritza-Tele-peni. Cette dernière -localité est également entre les mains des Epirotes. La prise de Berat On dit que Berat «a été prise par les insur-gés. Les Epirotes ont recouvré la possession ' de tous les territoires abandonnés conformément aux dispositions du.traité de Londres, à l'exception de quatre villages cpie les troupes albanaises sont dans l'impossibilité de défendre! Un groupe de notables aurait l'intention de faire une nouvelle démarche auprès des insurgés à l'effet d'entrer en négociations pour conclure la paix. MEXIQUE Les étrangers M., de Lama est parti hier de Mexico pour Vera Cruz, où il s'embarquera sur le paquebot-français «Espagne», à destination:de l'Europe. Deux trains montés par des Français ont également quitté Mexico. Les voyageurs ont aussi l'intention "de s'embarquer à bord de ! Espagne». L'attaque de San Luis de Potosi Le général Carranza est parti pour San ,uis de Potosi avec 1,500 hommes par rail-/ay. L'attaque aurait déjà commencé. Les onstitutionnalistes seront bientôt 20,000 de-ant la ville. INDES ANGLAISES Réorganisation administrative A la Chambre des lords de la Grande-Breta-ne, le projet de réorganisation du Conseil de Inde a été finalement rejeté. Le bill présen-é par le gouvernement propose tout d'abord Se modifier le mode de nomination des deux oembres indigènes du Conseil de l'Inde. On sait que c'est lord Morley qui, il y a [uelques années, décida que désormais le Con- j eil de l'Inde comprendrait deux membres in- ;; ligènes. Jusqu'ici, ils étaient nommés par le ; gouvernement. D'après le nouveau bill, leur; îomination ne serait pas-laissée à l'entière! lisposition du gouvernement. Ils seraient ; hoisis sur une liste établie par le Conseil, législatif de. l'Inde, (assemblée élue). Là réforme tend en so.mme à donner une >lus grande initiative au Conseil législatif. ,e bill tend également à simplifier les métho-les de travail du Conseil de l'Inde et à per-nettre dans certains cas, au secrétaire pour 'Inde de prendre des décisions sans en réfé-er à co Conseil. Le bill a rencontré chez tous les anciens onctionnaires de » l'Inde actuellement à la Chambre haute une très vive opposition. Lord ^urzon, l'ancien vice-roi', lord Ampthill, l'an-■ien gouverneur de Madras, lord Sydenham, 'ancien gouverneur de Bombay, lord Roberts, ;ts., ont protesté contre le précédent d'admet-re au Conseil de l'Inde des membres élus, nêrne si leur élection est à plusieurs degrés, •ls ont en outre déclaré que le nouveau bill lonnerait au secrétaire d'Etat des pouvoirs ibsolument discrétionnaires, et qu'à leur avis, 1 serait très dangereux de toucher aux pré-'ogatives du Conseil de l'Inde. DES POTINS Nos observations de jeudi ont porté. La Métropole se fâche. Elle a tort. Elle a tort parce qu'en se fâchant, elie montre que nous avons frappé juste et qu'elle se sait touchée. Elle a tort parce qu'en se fâchant,elle perd la notion des sens des mots et qu'elle nous fait dire absolument le contraire de ce que nous avons écrit. Répondant à une de ces insinuations méchantes dont notrè confrère clérical a la spécialité, envers le collège échevinâl, nous avons fait observer que les soi-disant journalistes qui ont offert à M. Albrecht décrire un article-étude tout à la louange du port d'Anvers, étaient tout simplement des agents ou courtiers de publicité qui demandaient la somme de cinq mille francs pour faire paraître cet article dans une revue maritime et commerciale de l'Angleterre. Notre confrère, qui avait -signalé l'outrecuidance de l'echevin du commerce, écon-duisant des journalistes éminents, doit bien battre en retraite parce que, information prise, il a dû constater que nous avions raison en fait et, qu'une fois de plus, il avait pris des potins pour des vérités. Que d'aucuns pensent que le port d'Anvers, à l'exemple de certains autres ports belges et étrangers, tirerait profit et avantage de pareille publicité, c'est possible. La Métropole semble croire que ce ne serait pas digne d'un grand port comme le nôtre, dont la réputation n'a pas besoin d'être soutenue par de semblables moyens. Toujours est-il que tel a été l'avis de toutes les administrations communales qui ont géré notre port. Nous ne sachions pas que le collège mee-tinguiste de M. Van Put ait jamais payé des publicistes pour faire l'éloge de notre port. Jamais pendant tout le temps que nous avons eu une opposition de droite importante au Conseil communal, un des amis de la Métropole n'a propiosé d'inscrire au budget communal un crédit pour semblable publicité. Et nous serions bien étonné si un des deux conseillers communaux cléricaux actuels faisaient une proposition dans ce sens. • M. Albrecht avait donc raison de répondre à ceux qui voulaient vendre leur plume pour 5,000 francs, 'qu'il' n'aurait pas de crédit pour l'acheter. . * * * La Métropole, feignant de ne pas comprendre la langue qu'elle écrit, nous reproché de l'avoir accusée de s'être laissé acheter pour faire de la publicité au profit de ports concurrents d'Anvers. Nous nous sommes cependant exprimé très clairement. A trois reprises, nous avons, dit que des journaux belges reproduisent gratuitement. dos articles faisant l'éloge de ces ports concurrents. . Nous savons bien et nous aimons à le répéter, que la Métropole ne reçoit pas un sou pour reproduire ces, articles qui font du tort à Anvers. Ellé fait cela gratuitement, uniquement par sectarisme politique, pour être désagréable aux hommes qui gèrent notre port, parce que ceux-ci appartiennent à une opinion politique autre que celle défendue par notre confrère. C'est au public,à la population d'Anvers, à apprécier l'attitude de notre confrère et la nôtre. t Nous déclarons nettement et hautement ([ue nous défendons un intérêt. Mais ce n'est pas celui du journal, c'esl l'intérêt de tout Anvers, de ses négociant* et de ses ouvriers qui tous vivent de 1e prospérité du port. Nous acceptons volontiers l'enquête don notre confrère parle; nous l'écceptons d'au tant plus volontiers que nous en connais sons l'issue, parce que cette enquête non: l'avons faite maintes fois. La Chambre d_e commerce, la Fédératioi maritime, l'Union des armateurs, l'Unioi pour la protection du commerce des grain et graines, le Bond des Nations,ont à main tes reprises exprimé en public, par des de cuments. que laMétropole' a reproduits leur satisfaction de la manière dont es géré notre jrort. Et ces mêmes organismes réprouvent profondément la campagne politique et sectaire que la Métropole mène contre les hommes que la population d'Anvers a choisis pour diriger les destinées de notre port. Si la Métropole fait semblant de douter de cela, nous reproduirons quelques documents . tout récents. Et, certes, il se peut qu'il y ait une différence d'appréciation entre le collège échevinâl ou le Conseil communal et l'un de ces organismes, sur une question spéciale.L'accord unanime n'est possible que si tous doivent s'incliner devant l'appréciation d'un seul comme dans l'Eglise romaine. Mais dé ces désaccords individuels et plutôt rares à la désapprobation générale,il y a aussi loin que d'un journal intègre,mais sectaire, comme la Métropole, à un autre où l'on insère des articles à 5,000 francs l'un et même pour beaucoup moins, pour faire l'éloge constant de ports concurrents à celui d'Anvers. ZEDE. Nouvelles de l'Étranger Les cheminots italiens Le comité central du syndicat des cheminots italiens dément catégoriquement) qu'il ait l'intention de proclamer la grève. La fédération des cheminots a déclaré au «Giornale d'Italia» j qu'elle est contraire à toute grève, car elle ne ; voit pas la nécessité d'un tel mouvement. Le procès de Mme Caillaux Mme Caillaux n'ayant pas signé son pourvoi, son procès est définitivement inscrit pour la seconde quinzaine de juillet. Le rôle porte l'indication: 20 juillet et. jours suivants: Assassinat. — Geneviève Caillaux, née Rainouard. Du pétrole en Chine Le «New-York Herald» reçoit la nouvelle que les géologues de la Compagnie du Standard Oil ont découvert de vastes gisements de pétrole dans la province, du Chensi. Les opérations de ces prospecteurs ont été retardées par les' troupes qui poursuivent les bandes du «Loup blanc» et qui ont, à cet. effet, réquisitionné tous les moyens d_e transport de la province.Saragosse-'Alicante, l'opération du resserret-ment des voies exigerait un délai de vingt-cinq ans et coûterait près d'un milliard. Mais d'autres techniciens affirment que la transformation du réseau pourrait se réaliser en dix-ans et ne provoquerait qu'une dépense de 300 millions. Une Commission officielle, va être nommée pour examiner le problème, et le ministre des Finances a reconnu qu'un intérêt considérable s'attachait à sa prompte solution. L'Espagne deviendrait, en effet, un grand pays de transit international vers l'Amérique du Sud, l'Afrique du Nord et l'Afrique occidentale le jour où les trains continentaux pourraient circuler sur ses Voies ferrées. D'autre part, l'accroissement de ce trafic serait d'autant plus rapide qu'on peut prévoir, dans un avenir assez prochain, l'exploitation Aes nouvelles lignes transpyrénéennes dont la construction est activement poussée. Des groupes étrangers se prépareraient déjà à entret en concurrence pour la concession des pétroles du Honàn," du Kansou, de Sétchouen et du Kiangsi à l'expiration du contrat de prospection dont bénéficie actuellement la Standard Oil. L'Angleterre serait notamment décidée à faire valoir lès droits qu'elle déclare posséder dans la province du Chansi. Les mauvais traitements dans l'armée allemandeLe ministre de la guerre d'Allemagne a retiré la plainte déposée contre un journaliste pour des articles sur les mauvais traitements dans l'armée. Le Vorwaerts et la Gazette berlinoise de Midi estiment qu'après les incidents du procès de Rosa Luxemburg, l'attitude du ministre est très compréhensible.' Les chemins de fer en Espagne On sait que les résaux espagnols comportent des voies ferrées dont l'écartement est plus ; large que celui des voies françaises: il s'élève ; à 1 m. 45. Il en résulte au point de vue des | relations commerciales entre la France et l'Espagne, de sérieux inconvén'ents; les voyageurs et les marchandises doivent être transbordés chaque fois qu'ils passent la frontière. La question du resserrement des voies, qui permettrait d'éviter ces transbordements, vient d'être de nouveau mise à l'étude-par le gouvernement espagnol et par les Compagnies de chemins de fer. D'après la Compagnie de Madrid L'affaire Cadiou j ; M. Bidart de La Noë, juge d'instruction, :*a terminé son ordonnance qui renvoie l'ingé-: riiéur Pierre, accusé de l'assassinat de M. Cadiou, devant la chambre des mises en ac-• cusation. Les déclarations des témoins qui ont vu ' l'ingénieur Pierre et M. Cadiou ensemble le 30 décembre, la découverte du cadavre près du domicile de l'ingénieur, la balle meurtrière qui appartenait au revolver acheté pai l'ingénieur Pierre, arme qui n'a pu être retrouvée, la disparition des dossiers importants que posédait M. Cadiou, la mésintelli gence entre l'ingénieur et son directeur soin . les principales bases de l'accusation. | Une ablette de 300 francs. Tous les. pêcheurs de France sont boulever ses par cc qui vient d'arriver à leurs confrère: du Nord et du Pas-de-Calais. S'il y a de quoi écoutez voir. Les Sociétés do pèche du Nord et du Pas de-Cahiis organisent chaque année un granc ' concours fédéral auquel prennent part assi 1 dûment des centaines et des centaines d'ama ■ teurs. Cette solennité revenait dimanche dei nier; les plus fines gaules du Nord de 1; France et du Midi de la Belgique avaien . \ appareillé pour les berges de la Lys, attirée non seulement par l'honneur qui s'attache a seul fait d'avoir figuré dans cette illustr compétition,, mais par les 4,000 francs de pri ' que la municipalité d'Armentières et la Féd< ration cotisées avaient cette fois mis en jet i Cinquante-sept sociétés avaient confié lei i réputation aux plus éprouvés de leurs chan 5 pions; les trains de chemins de fer accourt _ de toutes parts avaient dégorgés sur le thé: tre de la lutte une foule immense avic d'émotions uniques; enfin, à l'heure "fixé' ' seize cents cannes à pêche se dressaiei t parallèlement au bord de la rivière et sei> cents bouchons descendaient le -courant, ca] tifs au bout de seize cents crins de Florence. Or, après une heure de vaine attente — de vains efforts vous diront les initiés — après une telle dépense d'appât que'le niveau "de la rivière commençait à monter, quinze . cents quatre-vingt-dix-neuf des, concurrents annonçaient bredouille, et le seize centième tout seul élevait glorieusement vers le ciel un poisson de deux centimètres de long pesant tout juste un gramme et demi. La rage dans le cœur, ses rivaux confessèrent sa victoire et le virent empocher les 300 francs du premier prix. NOS ÉCHOS Encore Zeebrugge Le gouvernement, qui n'a pas d'argent, va encore consacrer 2,500,000 francs à Zee-brugge pour y créer un port de pêche accessible par toute marée aux plus grands chalutiers. Lamentable aboutissement d'une colossale erreur commerciale et économique. Créé à grands renforts de millions, le port de Zeebrugge ne sert à rien et, pour le galvaniser quelque peu, on le transforme en port de pêche. Les transatlantiques qui se sont obstinés à ne pas y faire escale vont être remplacés par des chalutiers. Il est vrai, ce qui est une consolation, qu'on noils assure que ce seront les plus grands chalutiers.* * * Bien informés 13iep informés sont les lecteurs d'un de nos confrères qui joint la gravure au texte . pour commenter, les événements du jour ou du lendemain. Nous y trouvons ceci: «C'est, comme on sait, le 20 juillet prochain que Mme Caillaux, femme de l'ex-. chef du .cabinet français, et meurtrière du regretté Calmette, comparaîtra devant les assises de la Seine. » M. Herbaux, conseiller à la cour de cassation, présidera les assises M. Lescouvé, successeur du fameaux Fabre en qualité de procureur général de la République, occupera le siège du ministère public.» C'est, en effet, le 20 juillet que commenceront les débats publics de l'affaire Caillaux.Mais ces débats, ne seront pas présidés par M. Herbaux, qui n'est pas conseiller à la cour de cassation de France. La cour d'assises n'set jamais présidée par un conseiller à la cour de cassation, mais par un conseiller à la cour d'appel. C'est M. Abanel qui présideft, cette affaire sensationnelle. M. Herbaux n'est pas conseiller à la cour de cassation, mais procureur général à la cour d'appel de Paris. M. Lescoûvé n'a pas succédé à M. Favre en qualité de procureur général de la République; il est procureur de la République près du tribunal de la Seine et n'appartient pas au parquet général de la cour de Paris. M. Lescouvé ne sera pas ministère public dans l'affaire Caillaux. Ce rôle sera rempli par M. Herbaux, assisté d'un avocat général.A part cela, le renseignement de notre confrère est exact. - * * * Un martyr de l'aviation Le lieutenant Hubert est mort hier à 3 heures de l'après-midi, à l'hôpital militaire de Hasselt, victime de l'accident d'aviation qui s'est produit la veille à Kievit. Le malheureux officier n,'est pas sorti du coma. On a pu le soutenir en lui faisant respirer de l'oxygène, en lui faisant des piqûres d'éther et au moyen de la respiration artificielle, quand il paraissait devoir étouffer. Son père et ses frères se trouvaient près de son lit de souffrance, mais le malheureux n'a pu les reconnaître. C'est une fatalité:. ces jours derniers, la corps des officiers militaires belges qui n'avait pas encore payé son tribut à la mort, vient d'être frappé, coup sur coup, dans deux de ses plus jeunes et plus actifs membres, le lieutenant Liedel et le lieutenant Hubert. Les expropriation au Kiel Depuis des mois une campagne acharnée est menée contre l'administration commu-rïale et spécialement contre M. Strauss, parce que la Ville ne voulait pas admettre les prétentions des propriétaires des terrains qui doivent être expropriés pour la transformation du quartier du Kiel. On accusait la Ville de vouloir ruiner les propriétaires du Kiel pour faire réaliser des bénéfices indus par la Caisse communale.Les propriétaires ont formé un syndicat lequel a décidé de. réclamer pour tous les terrains une indemnité de 40 francs le mètre carré. Or, les experts nommés par le tribunal ont évalué les mêmes terrains et ont émis l'avis que, d'après leur situation, ces terrains valent de 12 à 17 francs le mètre. On voit qu'on est loin du compte et que l'administration communale a bien fait de ne pas admettre les prix réclamés par les expropriés. * * Les concours généraux ' Cette année ce sont les classes de rhétorique et de seconde des humanités anciennes et modernes de l'enseignement moyen I supérieur qui sont appelées aux concours. généraux.CeSconcours auront lieu les lundi, - 27 juillet; mardi, 28; mercredi 29; jeudi 30 et vendredi 31 juillet 1914. 1 Voici la répartition de ces concours. Le lundi 27 juillet, toutes les sections de s ces deux classes auront la composition en ,! première langue": fiançais dans la .région x wallonne du pays; flamand, dans la région i- flamande; allemand, dans la région aile i. mande. Cette composition doit se faire sans r dictionnaire. i- i,e mardi, tontes les sections, auront l£ ;s composition en seconde langue, égalemen l" sans dictionnaire; donc en région wallônni !' en flamand ou en allemand, et en région flamande et allemande, en français, e Le mercredi, la section grecque latin )- de la rhétorique des humanités ancienne i le concours en version latine et en version jrecque. La section latine de cette classe, celui en version latine et en dessin. La section scientifique de la rhétorique des humanités modernes a la composition en troisième langue et le concours de dessin.La section industrielle et commerciale de cette classe a la composition en troisième et en quatrième langue. Les deux sections de la seconde des humanités anciennes ont le thème latin et la version làtinè. Les deux sections de la seconde des humanités modernes ont la composition dans la troisième langue. Le jeudi 30 juillet, les deux sections de la rhétorique des humanités anciennes, la section scientifique de la rhétorique des humanités modernes; la section latine de la seconde dés humanités anciennes et la section scientifique de la seconde des humanités modernes ont le concours en mathématiques.Ce même jour, la section industrielle et commerciale de la rhétorique des humanités modernes a le concours en sciences commerciales et en économie politique. La. section, grecque-latine de la seconde des humanités anciennes a le coiicours en version grecque. Et la section industrielle et commerciale de la seconde des humanités modernes a le concours en sciences commerciales. Enfin, le vendredi 31 juillet, le tableau est. assez compliqué. La section grecque-latine de la rhétorique des humanités anciennes a le concours en physique et en notions de chimie. La section latine de cette classe a le con' cours en histoire et géographie. La section scientifique de la rhétorique des humanités modernes a le concours en histoire et géographie. La seqtion industrielle et commerciale de cette classe, a le concours en chimie. Les deux sections de la seconde des humanités anciennes ont les concours en physique et en histoire et géographie. La section scientifique de, la seconde des humanités modernes a le concours en physique et la section i' dustrielle et commerciale de cette classe le concours en chimie et physique. Au* Conservatoire Hier a eu lieu le concours du cours d'alto de la section «conservatoire» (professeur adjoint M. Nap. Distelmans). A l'unanimité le jury a décerné à M. Strijmans le diplôme avec grande distinction. Il a voté des féliciattions au professeur.Le jury était composé de M. Emile Wambach, directeur du Conservatoire, président, de MM. Edm. Eeckhautte et L. Van Hout, professeurs au Conservatoire royal de Bruxelles; Johan Smit, professeur au Conservatoire royal de Gand, et II. Van Steenbeeck, professeur à l'école de musique de Louvain, membres, et de M. A. Matthys, secrétaire. L'examen pour contrebasse, annoncé pour hier, a été remis au 30 juillet, à cause d'une grave indisposition du récipiendaire. Lundi, 13 juillet, à 11 heures, examen public pour violon au local du Conservatoire. La sauté de M. Discaiïles M. Ernest Discailles, le savant et intéressant historien qui enseigna la littérature à l'Université de Gand, souffre d'une maladie qui ne pardonne pas; sa mort n'est plus qu'une question de jours. Il y a trois semaines, il présida encore la Fédération de l'enseignement moyen, qu'il avait créée, et dont il avait fait la prospérité. Mais l'élément flamingantisme s'était infiltré dans cet organisme; il alla jusqu'à reprocher à ce vieillard, quasi quadragénaire de ne pas posséder le flamand. Discailles en éprouva un vif, un douloureux chagrin et se retira comme s'il venait d'être frappé au cœur: — Je ne survivrai pas à ces injures ni a cette ingratitude! dit-il. Et, en effet, le lendemain, il prenait la chambre qu'il ne devait plus quitter. i— je suis victime des flamingants, décla-ra-t-il; cç sont eux qui vont me tuer! M. DiscaiHes était un esprit combatif et un cœur d'or. Souhaitons encore que sa grande énergie triomphe du mal qui le paralyse sur son lit de douleur! Enregistrement et domaine Les bureaux de la direction de l'enregistrement et des domaines, ainsi que ceux du timbre extraordinaire, actuellement établis à Anvers, rue Kipdorp 18, seront transférés à la rue de l'Amman, 2, à partir du lundi 13 juillet 1914. Le «D» de Diesterweg La caisse de secours du cercle «Diestre-weg» nous fait savoir que la vente des insignes «D» sur le parcours du cortège du 5 juillet a produit un bénéfice net de 577 fr.17 au profit de l'œuvre. Rendons hommage aux membres du «Da-mes-en Juffersbond»,du «Vrouwenbond Jan Van Rijswijck» et de la section des femmes de la «Vereeniging der Stadswerlieden», qui se sont chargées de la vente. Au Conseil communal Voici l'ordre du jour supplémentaiie de la, séance publique du lundi 13 juillet, ti 8 heures du soir: Construction de hangars aux quais n. 101 et 102 de la deuxième darse. Adjudication. * * * Naissances et décès Dans la semaine du 28 juin au 4 juillet 1911, il est né à Anvers 120 enfants, dont aucun de parents étrangers à la ville. 11 y est mort 77 personnes, dont 5 appartenant " la population flottante. 1 La population normale de notre ville s'est donc accrue de 4-8 habitants. L'âge avancé a été assez atteint pai la : mort; il est décédé 6 octogénaires et 7 per-' sonnes âgées de 70 à 80 ans. 5 Les enfants ont été épargnés puisquon ne doit enregistrer la mort que de 15 en-î fants de moins de 2 ans, dont 11 n'avaient * pas 6 mois.

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Cet article est une édition du titre Le nouveau précurseur: journal du soir appartenant à la catégorie Liberale pers, parue à Anvers du 1902 au 1914.

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