Le nouveau précurseur: journal du soir

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s.n. 1914, 18 Juillet. Le nouveau précurseur: journal du soir. Accès à 01 juin 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/028pc2tw75/
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ganiedi 1S et Dimaoclie 19 Juillet 1914 CIMQ Cï2rcYIMIÎ& J!-l!—L-^-L—.I '"H"l" I IMUbl J | JI|P«WPW»W»«IWWWWWW»»WI 80»' Mimée — 199 et SOO Le Nouveau Précurseur AB03ST3STDEnVCE3Sra:S z .,„,coa BO an 12.00 fr.; six mois e.50 fr.; trois mois a.50 fr. âSëniwVm. » 15.00 fr.; . 8.00 fr.; - 4.5° fr. SÎÏÏnDF * 33.00 fr.; » 16.00 fr.; - 8.00 fr. ?tttt^BOURG » 83.00 fr.; » 18.00 fr.; » 8 00 fr. i®To&, - 43.00 fr.; . 31.00 fr.; - 10.60 Xr. Tout abonnement se poursuit Jusqu'à relus formel. ON S'ABONNE à Anvers »a bureau du journal et dans toua ha bureaux des «n BdgQn». JOURNAL DU SOIR TÉLÉPHONES { ?gi!!; { 39, VIEILLE BOURSE. - ANVERS. Aisrisroisrcœis : OUDiNAlEiis, la petite Hgne. fr. 0.30 I IUclambs. la ligne. . fr. 1 50 » 1 à A lignes . » 1.00 Faits divers, la ligne . '. » ' 3 50 Financières, la ligne . . - 0.50 I •hrgniqoti Anvers . . . > 3!oo Les annonces de l'étranger et de la Belgique sont reçues aussi par f Agence Bavas, s, place des Martyrs, à BruatUts, 8, Place d* la Sourie, à Paru* tt 20 Sigh Bolborn, à Londres. V' Au Dehors ANGLETERF Autour du Home rule ■ m MSniiB a annoncé aux Communes H i,,ml! et mardi de In semaine proche ■•'ierS consacrés à la discussion de la q, ■l 'attodant, les conférences continu. ■I Lloyd George a eu plusieurs entrevues a M, ci,e(s nationalistes. Il est possible B'epl« fassent encore quelques concessi K,S ils n'iront certainement pas jusquà 1 ^Klusion des comtés catholiques. Les gens ^Bl'lster, d'autre part, restant également î Kotiblès, la situation demeure toujours 1 Bjusïu'i présent, aucun accord n'a été e ■,( gutre le gouvernement et les chefs de Wjositiou unioniste. I 8ir Arthur Paget n'est pas démissionnai! B l'information publiée sur le confinant Hioncant la démission de sir Arthur Pa, Bommandant en chef des troupes d'Irlar Kh dénuée de fondement. H lVi:is les sphères officielles 1 on affirme ■i°„ siyofr l ce sujet. Il s'agirait d'une n HjVelle invention des Ulstériens. La prochaine session parlementaire ■ .M Asquith a déclaré à la chambre que prochaine session parlementaire eommen fa fin novembre ou commencement déc( br9' un discours de M. Lloyd George ■ M Lloyd George, parlant au banquet iuei offert par le lord-maire aux banqui et financiers de la -Cité, s'est félicité de oue "râce à la ligne de conduite propo Bar'sir Edward Grey, la guerre des Balk Bi'ait pas dégénéré en l'un des plus gra: HKêsastres dont l'Europe ait jamais souff BEl déplore qu'une si forte portion des c; I taux du monde soit gaspillée en armemei La somme ainsi dépensée s'est élevée ces Sflermères années à 112 1/2 milliards de frai: ■es dépenses ne s'arrêteront, que lorsque f^HKnanciërs ïntôrviendront pour s^uver WÊnonde d'une catastrophe. Il faut a 1 An| terre la paix à l'intérieur et à l'extérie ^■Dans quelques mois, dans quelques semai] ^Expirent les accords qui avaient été faits pc ^Btssurer la paix dans le monde de l'ind Déjà on entend formuler de nouvelles ^Riandes. Les travailleurs forment <le puiss fë- Ses combinaisons. Les ouvriers des transpe nf% les mineurs, au nombre de 2 1/4 de n Bwlons. sont fédérés. La perspective d'un rèj; ■■ment équitable et décisif de la question ^Kavail et compliquée et obscurcie par la i ■ tiution en Irlande. Si jamais une guerre i vi'.e éclatait à l'occasion du home-rule, ,? ^vernement anglais se trouverait aux ] Bjse> avec une des crises les plus graves q ; ai: vues depuis plusieurs siècles. Il irnpo F-Blonc que les hommes de tous les partis f ^Kent un effort, pour s'entendre en vue d'ot H' jiur la paix à l'intérieur. Quoique la paix Ksét' maintenue dans le inonde il y a enci Hmiielques nuages dans le ciel internation ^Briais le bon sens, la patience et .les boni ^dispositions en auront certainement raisi L Pour augmenter la flotte H Le «Daily-iMail» veuij que -l'amirauté : .-moment de ia concentration de la flotte Spitiiead, ne se repose pas sur ses laurie ■■puisque d'autres puissances ont ces derniè: ^aniices augmenté fortement leurs effectifs ^narine. Co journal fait remarquer que M Dreadnoughts, qui forment maintenant noyau de la flotte en revue, ne sont pas éffectif suffisant, puisque 3 de ces navi: ï. sont, affectés à la .place de Gibraltar, tan qu'une autre puissance à dans la mer [ Nord une flotte permanente de 23 Dre: Inoughts. Il faut, dit ce journal, que l'Ane terre, ait une flotte dont la valeur numé que sx>it telle qu'elle assure toujours le trio plie sur les ennemis éventuels. FRANC La visite du Tzar à Paris H11 Paraîtrait que la visite du Tzar à Par annoncée pour le 2 octobre, serait reculée. AUTRICHE-HONGRI Contre Ea Serbie ■[Les cercles bien informés de Vienne as* Kent que l'enquête sur l'attentat de Seraje | fera, close à la fin de la semaine prochaii a i.r?8 tol(i en communiquera-le rés I à 1 Empereur après quoi une démarc lomatique a Belgrade aura lieu. On i t convaincu ici que la Serbie donnera « action. L'instruction judiciaire 'instruction ouverte àSerajevo, à la su l'assassinat de l'archiduc héritier Fra s-Ferdinand et de la duchesse de Hohe 'g, a démontré la participation directe ze personnes au complot. Sur ce nomb sont des Serbes de Bosnie, 2 des mus ps et 2 des Serbes catholiques. Renseignement, nous vient de soui Les arrestations continuent )n mande de Ljoubljana, en Croatie, ç Judiant Slovène Kozjak vient d'être écrc la prison de cettè ville, où se trouvent d autres étudiants slovènes, inculpés de cc cité dans l'attentat de Serajevo. )ix jeunes filles, élèves de l'école su ure de Ljoubljana, qui avaient été arrèti us la môme accusation, mercredi, ont Mises en liberté le lendemain, aucune ch n ayant pu être relevée contre elles. SERBI Los mobilisations ^affirme officiellement que la Serbie i ciaé aucune mesure militaire que, i ^ent> elle n'a pas rappelé des classes I paraît qu'on a tout simplement rapp< soldats en congé pour que l'armée se ir< sur pied de paix. Seulement plus de 100,i nmes sont présents sous les drapeaux. BULGARI L'emprunt allemand J Roi a signé un ukase ratifiant l'empri é Par le Sobranié. Vacarme au Sobranié. ®s incidents qui avaient marqué merert >eance du sobranié ont eu leur répercussi au milieu d'un vacarme incessant. Les députés 3 de l'opposition ont protesté contre le vote de mercredi, surtout lorsqu'on a apporté le «Journal Officiel» contenant l'ukase royal. Deux dé-[ E putés ont été exclus pour trois séances. ALBANIE Iue A Durazzo me ies_ Les insurgés se sont emparés jeudi de Spi-tall, localité située sur une colline à l'ouest de ;nt, ia ville. Ils y ont installé xles retranchements vec et leur quartier général. Iue Un parlementaire fut envoyé aux insurgés, mais ne fut pas reçu par les postes avancés ex- qui lui confisquèrent sa monture. Le parle-de mentaire étant retourné chez les insurgés, rré- ceux-ci lui confièrent des lettres pour les mi-ien nistres de France, de Russie, d'Italie et d'Angleterre.on- Le mécontentement règne parmi les volon-op- ta ires qui comptent actuellement environ 150 Roumains, Autrichiens et Allemands, parce qu'ils sont mal logés et mal nourris, si bien 0 que nombre d'entre eux regagnent leurs pays. De nombreux Mirdites quittent également an- Durazzo. jet, A Valona de, La ville est tranquille. Les Epirotes l'as-ne siègent au Sud et les insurgés au Nord, ou- Les Epirotes, avec quatre canons ont forcé le passage de Logara Le major albanais I-Iusni, aidé du chef d'état-major Kliilan, a pris le commandement de la place qu'occupait le major Schleuss. Ahmet la Effendi a pris le commandement des troupes ce- du gouvernement. :m- La population civile L'amiral italien a pris ses dispositions pour an- faire établir un campement franc où la po- ers pulation civile de Valona pourra se réfugier, ce • L'amiral a informé les insurgés et les Epi- sée rotes qu'en cas d'attaque il serait obligé de ins faire protéger ce campement par les navires îds italiens. Cette décision a rassuré les habi- îrt. tants. On assure que des instructions identi- ipi- ques ont été envoyées à l'amiral austro-hon- îts. grois par son gouvernement. iix es. A Scutari les le On mande de Scutari à la «Correspondance le- Albanaise»: ur. a En raison de l'agitation à laquelle on se îes livrait depuis quelque temps pour déterminer >ur la population musulmane de la ville à se join- us- dre aux rebelles, le: colonel Philips a interdit tous les rassemblements en ville. Le 12 juillet le- la police a aperçu, à la pointe du jour, plus m- de 50 musulmans armés qui voulaient partir rts rejoindre les rebelles. La police intervint im- ul- médiatement et on fit même appel aux troupes "le- internationales. Il en résulta un échange de du coups de feu au cours duquel quatre musul- si- mans furent tués et deux blessés. » ci- ' le Pas d'intervention austro-italienne iri- l'il Le comte Berchtold a eu une importante rte conférence avec le duc d'Avarna, ambassadeur as- d'Italie, au sujet des questions albanaises. On 'te- déclare au Ballplatz qu'au cas où Valona tom- ait berait, les puissances n'interviendraient pas >re dans les affaires intérieures de l'Albanie, mais al, qu'elles ne suporteraient en aucun cas une les modification quelconque des décisions de Lon- >n. dres relatives ii la constitution d'un Etat autonome.Le gouvernement austro-hongrois est aussi - opposé à une action isolée de l'Italie qu'à au une double action isolée austro-italienne. 1 ITALIE de Le sénat s'ajourne Les le Le Sériât, après avoir voté tous les projets approuvés par la Chambre, s'est ajourné «sine '®s die». iIS Le rappel des classes du l(*~ Une. note officieuse déclare dénuées de fon-dement toutes les nouvelles relatives à des n" concentrations ou expéditions de troupes. On ajoute que les classes rappelées sont destinées à, la Tripolitaine et non à l'Albanie. £ Des désertions On mande de Lugano aux «Bas'er Nachrich-ten»:is, On sait que les réservistes de 1891 viennent d'être convoqués. Cet ordre de mobilisation a été fort mal accueilli par les intéressés. Une E véritable émigration de réservistes a commencé. 'Ils s'enfuient en masse vers le canton du Tessin (en Suisse). Les fugitifs arrivent d'une façon ininterrompue ci Pontetresa, Porlezza, Chiasso. La plupart d'entre eux sont des ou-' vriers qui professent des opinions socialistes, lesquels ne veulent plus entendre parler de ' service militaire, mais on reconntre aussi des r*1" jeunes gens appartenant aux classes supérieures, qui tournent le dos à leur patrie parce |a" qu'ils ne veulent pas s'exposer aux fatigues ,a" d'une campagne d'été. C'est une véritable panique qui ne s'explique que par la campagne en Tripolitaine qui a tant coûté en hommes et en argent. t MEXIQUE de Le président Carbajal 'e, Jl- Le nouveau président du -Mexique a la ré* putation d'être un homme très honorable, ce à vues larges, et décidé à se rendre utile à ; toutes les classes de citoyens. D'après le «Times»,, il s'occupe de la for- i •mation de son cabinet, et aurait entamé des ! ;ue négociations avec les constitutionnalistes. ué Le président Carbajol a ordonné la libéra-5jà tion-immédiate de tous les prisonniers poli- ■ m- tiques. Président intérimaire ?é- ies Le président Carbajal aurait informé of/i-êté cieusement, le gouvernement des E.t<ats-Unis ar- clu,il a l'intention de démissionner en faveur du général Carranza. On dit que c'est M. Gastellot, ancien mexi- Ecain, qui a apporté à Washington le message dans lequel M. Carbajal informerait le gouvernement des Etats-Unis qu'il a. l'intention de démissionner en faveur du général 1>a Carranza. l0l. La famille Huerta de La femme du général Huerta irait en Euro-pe à bord du croiseur anglais «Bristol», tan-iu- dis que 1,aricien président s'embarquerait sur )00 ie croiseur allemand «Dresde». Les mines et les puits .E Les gouvernements de l'Angleterre et des Etats-Unis ont décidé de ne pas soutenir les intérêts de leurs concitoyens qui auraient des mines ou des sourc.es de nétrole depuis le nt mois d'avril 1914, parce qu'ils veulent que ces bien- fassent retour aux propriétaires antérieurs.A Mexico di .Deux trains venant de Celaya et transpor-on tant des troupes constitutionnalistes sont nt. Les troupes fédérales ont évacué la Guad; lajara et Aguas-Calientes et se sont concei trées à Celaya. Elles ont également évacu Cuermoraca, ce qui a permis aux troupes d général Zapata d'approcher à 20 kilomètre de Mexico. Les progrès des constitutionnalistes Une dépêche de La Paz, en Californie, ai nonce que l'évacuation de Guaymas est con plète. Un gouvernement provisoire a été coi stitué. La tranquillité règne dans la ville. L bruit court qu'une fusillade très vive a lie a Acapulco et que les biens des étrangers sor en danger. Les Etats-Unis viennent d'envoye deux bâtiments vers cet endroit, Suivant une dépêche officieuse de Mat£ •mores San Luis de Potosi aurait capitulé ei tre les mains des constitutionnalistes. SAINT-DOMINGUE Progrès des insurgés Le commandant du croiseur américai «Tennesse» annonce la prise de San Crist et de Vana, localités de la banlieue de Sain Domingue. Les étrangers habitant la cap taie craignent une attaque de la ville. LAFÊTEPATRIOTIOUF i i. ■ 3 ni ggaws a ^ w a I»U » 1 JUILLET Le programme de la fête patriotique di 21 juillet est semblable à celui de Tanné, dernière. Les écoles communales et libres et les so ciétés se réuniront le long des avenues : partir de la statue de Teniers. Elles défi leront dans l'ordre habituel:police à cheval écoles communales, écoles privées, société: civiles et militaires, le tout entrecoupé di divers corps de musique. Au drapeau ou à l'étendard de chaqui société, il y aura un nœud aux couleur; belges, si le drapeau ne les contient pas. Si le défilé est contremandé à cause di temps, on retirera avant 10 heures le dra peau flottant à la tour de la cathédrale e aux divers commissariats de police. Même dans ce cas, la- fête traditionnels aura lieu dans la grande salle de la placi de Meir. Le défilé commencera à 11 1/2 heures. Voici le programme de la fête patriotique Sonnerie de trompettes. Brabançonne. Chœurs par les élèves des écoles commu nales: Naar Wijd en Zijd, de Gévaert e: Antiverpen Boven, de C. Lenaerts. Fragments de la Pacification de Gand de P. Benoit. De Wereld in, cantate pour voix d'en fants, de P. Benoit. Discourt du bourgmestre. Manifestation symbolique à la Patrie. Hommage à la Belgique, par C. Lenaerts. Brabançonne. Les chœurs sont dirigés par M. Constanl Lenaerts. Nouvelles de l'Êtranaer « Le procès de Mme Caillaux Voici, d'après le «Temps», les peines qui pourraient être prononcées contre Mme Caillaux, si le jury reconnaît sa culpabilité: Mme Caillaux, étant renvoyée devant les assises sous l'accusation d'homicide volontaire avec préméditation, c'est-à-dire d'assassinat, c'est l'article 302 du Code pénal qui lui 3St applicable; or, ce texte prévoit la peine le mort. Si donc aux questions qui lui. seront posées: l. Mme Caillaux est-elle coupable d'avoir commis un homicide volontaire sur la personne le Gaston Calmette? 2. Cet homicide a-t-il été :ommis avec préméditation? le jury répondait affirmativement, la cour serait forcée de prononcer la peine capitale. Mais ce verdict peut être atténué de plusieurs façons. Le jury peut répondre «oui» sur la question l'homicide et «non» sur celle de la préméditation — alors il y aurait meurtre simple et la cour devrait condamner aux travaux forcés \ perpétuité. Le jury ayant répondu «oui» aux deux questions d'homicide volontaire et de préméditation, peut déclarer «qu'il y a des circonstances atténuantes en faveur de l'accusée». Dans »e eas, la cour peut abaisser la peine dé deux iegrés, c'est-à-dire aux travaux forcés à perpétuité. ou aux travaux forcés à temps, dont le minimum est dè cinq années. Le jury ayant répondu «oui» à la question l'homicide, et «non» à celle de la préméditation, peut admettre les circonstances atténuantes. Alors la peine qui punit le meurtre — travaux forcés à perpétuité — peut être abaissée de deux degrés, et la cour aurait la [atitude de condamner à vingt ans de travaux forcés comme maximum, ou à cinq ans de réclusion comme minimum. Enfin, le président de la cour d'assises a le iroit de poser, comme résultant des débats, la question des «coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner». L'article 309 édicté, en ce cas, la peine de travaux forcés à temps, que l'admission des circonstances atténuantes peut réduire à deux ans de prison, et la loi de sursis peut être appliquée. Hier au palais de justice de Paris, on discu tait beaucoup sur l'issue probable du procès. On parait en général ne pas croire à un ac :juittement pur et simple de l'accusée .En effet ['acquittement ne peut être obtenu si le jury ré-)ond négativement à la question de meurtre vo lontaire. Pourtant il appartient au président les débats de poser la question des coups ei blessures ayant occasionné la mort sans inten tion de la donner. Il pourrait que ce soit lè □ne petite porte de sortie que l'on prépare t>. l'accusée, en y ajoutant, pour la libérer immé-iliatement, la faveur de la loi de sursis. Une femme jalouse Le «grand jury» de New-Yorlc, qui s'étail réuni pour décider du cas de Mrs. Carman. vient de faire connaître le résultat de ses déli bérations. Considérant qu'il existe contre elle de gra ves suspicions, il la met'en état d'accusation On sait que Mrs. Carman est la femme d'ur médecin de Freeport (Long-Island), et qu'or la soupçonne d'être l'auteur du meurtre corn mis contre une cliente de son mari, Mrs Louise Bayley, au moment où elle se trouvait en consultation dans le cabinet, fin rinrtpnr i- liberté provisoire moyennant le verseme; i- d'une caution de 100,000 francs, é Plusieurs de ses amis, persuadés de se u innocence, sont d'ailleurs prêts à verser poi s elle une caution de 2 millions de francs. Cette affaire, par les circonstances myst rieuses dont elle est entourée,provoque un v intérêt que va encore accroître la dêcisic prise par le «grand jury». i- Mrs. Carman est incarcérée dans une ce l- Iule, ornée de fleurs envoyées par son mai g La peste et le choléra u D'après une information officielle en da t du 15 juillet, on a constaté, en Russie, 19 ci r de choléra dans trois cercles du gouvern ment de Polodie. Il y a eu dans le gouvern > ment d'Astrakan, du 25 mai au 15 juillet, t- cas de peste, dont 42 suivis de mort. D'un autre côté, les autorités sanitaires c Tatar-Bazardjik, en Bulgarie, viennent c [ constater deux, cas de choléra dans cet ville. Les malades ont été immédiatement is lés. Un cas de choléra est également signalé Gumukljina, où les mesures de précaution 1< J plus énergiques ont été prises. Les allemandes et le nègre Des scènes fort curieuses se sont produit) à Hombourg, au moment de l'arrestatic d'un nègre convaincu de vol et d'escroqueri 9 Un grand nombre de jeunes femmes le su , virent à travers les rues de la petite vil jusqu'au moment où les portes de la prise se furent refermées derrière celui qui ava pu, durant des semaines, exciter si vivemei leur sympathie. i Les lenteurs de la justice française i Nous avons . annoncé hier que M Arman Deperdussin devait être interrogé la veil! par M. Hirsch, juge d'instruction, sur le fon l des poursuites qui lui sont intentées. Ma: souffrant de troubles nerveux, M. Deperdu sin n'a pu quitter la prison de la Santé < ! aller au Palais. M. Hirsch devant, ces jour [ ci, prendre son congé annuel, a, dans ces coi ditions, renvoyé en septembre l'interrogatoii qui n'a pu avoir lieu. Le magistrat -a . décid ; en outre de faire examiner M. Armand D< > perdussin par des médecins légistes. • L La crise sardinière A l'issue d'une réunion tenue à Nantes, le : membres du Syndicat des fabricants de coi serves ont voté l'ordre du jour suivant : « Le Syndicat national des. fabricants d | conserves de sardines, après examen de 1 situation faite à ses adhérents par les agiss< ments.des dissidents, constatant que les poi voirs publics n'ont rien fait pour assurer 1 liberté du travail, et pour permettre à d nombreux pêcheurs finistériens de livrer leu poisson aux mêmes conditions de vente qu celles adoptées à leur satisfaction par les p( cheurs du Sud, a déc d^ l'ouverture des us nés du Finistère. « En conséquence, il autorise ses adhérent 1 à pratiquer tel mode d'achat qui leur convier dra. » C'est donc la f-in du lock-out patronal, e par suite, la solution du conflit sardinier, la grande satisfaction des pêcheurs breton et des gourmets de tous les pays. A l'Académie française A la séance tenue jeudi par l'Académi française, le fauteuil Henry Roujon a été d^ claré vacant et l'Académie s'est entretenue d la succession de Jules Claretie, où sont car didats MM. Henry Bordeaux, Abel Hermam Paul Adam, Camille Le Senne et Louis Bei trand; la date de cette élection n'est pas. er core fixée, mais on doute qu'elle puisse avoi lieu avant le printemps prochain, vu lès que tre réceptions Capus, de la Gorce, généra Lyautey et Bergson, qui doivent passer e: premier lieu. Les illettrés dans l'armée française Comme en Belgique, à leur arrivée au r C giment, les jeunes soldats français sont exa minés, au point de vue de leur instructioi primaire, par des commissions mixtes don les travaux, transmis par les autorités acadé miques des départements, sont, pour l'ensem ble du territoire, centralisés et analysés : Paris. Voici, pour les deux classes appelées sou les drapeaux en octobre-novembre 1913, le résultats de ces examens : Classe 1912, 11,681 soldats illettrés. Classe 1913, 9,341 soldats illettrés. Pour la classe de 1911, incorporée en octo bre 1912 et encore sous les drapeaux, le nom bre des soldats illettrés s'élevait à 12,118. Soit, au total, 33,140 soldats illettrés pour L contingent des trois classes dont, se compos> actuellement l'armée active. La proportion des illettrés est, d'ailleurs sensiblement la même pour les trois contin gents; en effet, si leur nombre semble aile: en diminuant, c'est que l'examen a porté,pou la classe 1912, sur 249,163 recrues, pour l! classe de 1912, sur 223,000, et pour la classi 1913, sur 193,000 seulement. Une exécution capitale Hier matin, a eu lieu à Tours l'exécution ca pitaie de >DNoucét, l'assassin de l'encaisseu: Gizors, condamné à la peine de mort, le H juin dernier, par la Cour d'assises d'Indre-et Loire. Une foule considérable assistait à l'exécu tion. Un important service d'ordre avait ét< organisé. Dès minuit, un double cordon d* troupes avait été établi. Le fourgon portan les bois de justice est arrivé ayant deux heu res; et on a procédé immédiatement au mon tage de la guillotine devant la porte princi pale de la prison, sur la chaussée du bouievan Béranger. A trois heures moins dix, les magistrats pé nétrèrent dans la prison. MM. 'Marcombes procureur; Raynaud, substitut; Richaud, avo ■cat de Doucet; Henry, juge d'instruction; 1( docteur Héron, médecin de la prison; Lardet directeur de la circonscription pénitentiaire et le greffier* entrent dans la cellule du con damné. Celui-ci dort. Le procureur le secoue î deux reprises, Doucet s'éveille et» voyant le: autorités, il dit: «Je me doutais que c'était-pou: aujourd'hui». Puis il s'habille tout seul, en ré pétant: J«e m'en doutais». Il demande à em brasser Berthe Cognet, sa maltresse; cette fa veur^ui est refusée. Il 'boit deux verres d< rhum et, après avoir fumé un cigare et s'êtri entretenu avec l'aumônier, consent à entendri la messe. Au greffe, où on lui fait la toilette, il s< plaint que ses mains soient trop serrées e ç voyant l'excuteur des hautes-œuvres il lu dit: «Je suis heureux de faire votre connais sance.» A 3 h. 21, la porte de la prison s'ouvre. Dou cet marche résolument et crie à la foule: — Bonjour, les arrtisl Au revoir! Adieu! ! mort Tours! Arrivé au pied de la guillotine, il embras se le crucifix et compte: — Un! Deux! Trois!... "Le dernier mot est étranglé: Doucet a le coi dans la lunette... Le couteau tombe.... Après un simulacre (l'inhumation, le corp sera livré à l'école de médecine. Ï.P "nèrp flp friynrsï la viMimo ,1 a TIaumI ...-r-;.- NOS ECHOS Nos officiers aviateurs La mort accidentelle de deux des leur n tombés victimes de leur devoir, n'arrêt pas nos officiers. Cinq nouveaux élèves, le 1- lieutenants Petit, Gallez, Bussy, Hiernau: i. et Desmet, porteurs du brevet de pilot civil, viennent d'entrer à l'école d'aviatioi de Brasschaet. Six recrues nouvelles, le '« lieutenants Dumont, Noirsaux, Delfosse Verhaegen, Debary et Collignon ont ét e_ versées à l'école de Saint Job. Le lieutenan i7 Nélis a réceptionné à Saint-Job deux nou veaux appareils, le * * * e Concert de carillon 'e Le concert de carillon de lundi prochaii £ sera donné par le carillonneur de la Ville is M. G. Brees, qui fera entendre les moi ceaux suivants: Een Wistke? de F. Verhae ren; Comtesse, gavotte, de H. Wijkmans Isa et Ballade, de P. Benoit; Célèbre rc ;s mance, de G. B. Martini; Les Hameaux, d n J. B. Faure; Sérénade ët Sais-tu pourquoi -■ de F. Abt; Largo, de Haendel; Les Gnûmes de R. Eilénberg. e # n * * it port de sable ît Evtrait des journaux officieux, grand défenseurs du port de Zeebrugge: «Une délégation des pêcheurs heystoi: vient d'être reçue par le ministre des Tra a vaux publics. a » Les pêcheurs ont demandé à M. Helle s putte le 4évasement du bassin de pèche an .. nexé au port de Zeebrugge. it j » Le ministre a promis de donner satis faction aux délégués.» * * * La bonne foi cléricale A la revue de mardi, participeront de: élèves des écoles cléricales. Un journal clérical dit à ce propos: «Nous pouvons assurer que leur tenue ni s cédera en rien à celle des écoles officielles i- qui n'ont qu'à puiser dans la caisse com munale, alimentée par les deniers de tous.) e C'est en même temps un éloge et une pe a tite vilénie. | Un éloge,parce que c'est rendre un hom a mage mérité à la tenue des élètes des éco e les communales. r Une vilénie, parce que là Presse sait par e faitement que pas un sou ne sort de 1e caisse communale pour donner aux élèves - des écoles publiques la belle tenue qu'ils ont. s * * * Le Lor4 maire de Londres Le lord-maire arrivera mardi à Bruxel-fi les, accompagné de six aldermen, de deuj s sheriffs et d'une délégation de vingt-deu> membres- du conseil de Londres. Sa suite se composera de dix-huit employés et gens e de service qui amèneront trois carrosses de gala et neuf chevaux. e 11 sera reçu mardi à 5 h. 15 dè relevée à la gare du Nord, par le collège échevinal et conduit à l'hôtel où des chambres lui auront été réservées. - Le lendemain, 22 juillet, le lord-maire as-sistera à la revue de l'armée, puis à un dé j jeûner que les deux Chambres de commerce 1 britanniques (Bruxelles et Anvers) lui offriront. Peut-être ce banquet sera-t-il suivi d'une visite au champ, de bataille de Waterloo. Le soir, diner de gala au palais du Roi. Le 23, Longchamps Fleuri et concert au i Waux-Hall. t Le 24,1e lord-maire visitera le Musée colonial de Tervueren. Le soir, un grand ban- - quet officiel lui sera offert à l'hôtel de ville. 1 ,L,e jlopd-maire et les représentants de la , cité quitteront Bruxelles à une heure. 3 * * * La marche manœuvre Un confrère du matin,qui n'aime pas que d'autres journaux aient des renseignements exacts, conteste, que la semaine prochaine il y aura une manœuvre, la garnison d'An-5 ' vers devant se rendre d'abord à Vilvorde ; par Malines, puis à Bruxelles, et devant faire le simulacre d'attaque de ces deux villes. ' Seulement, ce confrère, tout en déniant l'exactitude de notre information, la con- ■ firme complètement. J U ne s'agirait pas de la garnison d'An-! vers, mais d'un simple régiment, dit-li. En effet, c'est le 7me de ligne qui est désigné pour faire cette marche de deux . jours, agrémentée dè quelques coups de fusil et de manœuvres près de Vilvorde et f de Bruxelles. Mais, comme le Matin le constate lui-même, les régiments d'infanterie sont réduits : à l'état, non pas de squelette, mais de ba-; taillon. [ Pour former un régiment au complet, on devra réunir les fantassins de toute la gar; nison. ■ En somme, on arrivera à faire exécuter 1 la marche-manœuvre par toute l'infanterie de la garnison. Il était bien inutile do nous contredire 1 pour une si simple différ nce de mots. « * # Aux écoles normales Les examens d'admission aux écoles normales de la Ville pour instituteurs et insti-L tutrices, viennent de prendre fin. i Cinquante et une jeunes filles se sont présentées à l'examen de l'école pour institutrices, alors que le nombre d'admissions avait dû être limité à trente. Ont été ad ; mises: Mlles M. Baudart, M.Bayet, E. Boon-; roy, C. Boutade, A. Christiaens, J. Cogen, 5 M. Colbert, L. Collet, G. De Boer, Y. De-hertogh, A. Goudsmidt, M. Hallemans, V. ! Hennico, J. Hofman, R. Maes, A. Mertens, f A. Mortelmans, M. Pervé, J. Thijs, P. Torfs, 1 E. Van de Caveye, J. Vanden Acker, R. Van Hemel, H. Van Vyve, M. Vermeyen, A. Ver-voort, M. Villegas, H. Vouwé, A. Willekens et M. Withaeckx. A l'école pour instituteurs, vingt-quatre candidats ont été admis. Ce sont MM. L. - Andries, F. Roullard, Ch. Bylemans, A. Claessens, L. Daems, R. De Bruyn, F. De Bruyne, H. De Coninck, W. De Greef, M. Goetschalck, H. Gonnissen, E. Heinrich, J. . Janssens, P. Kersters, E. Laureys, E. Le-fever, J. Lunken, P. Ramdonck, R. Selens, A V.n AcVai. Fi » * * A la place de l'Aurore Le Cercle libéral de Zurenborg, qui s'oc cupe inlassablement des intérêts du quar 3 tier de l'Est de notre ville, vient de recevoii 3 avis de l'administration communale, l'in i formant de ce que la place de l'Aurore serc j aménagée, éclairée et embellie d'après les i propositions faites par la susdite société i C'est-à-dire, que le terre-plein de la placi 3 sera encadrée par un trottoir en pavés ) plats disponibles avec espace libre de 2 x S £ met.autour des arbres; que le kiosque sert t entouré d'une plate bande pour plantations . et que la partie restante sera égalisée ai moyen de gravier et ensuite couverte d'un< couche de westrumite. Ajoutons qu'on n'er est pas resté aux promesses, mais que le travaux ont été commencés il y a deux jours et que les deux candélabres, promis égale ment depuis quelque temps déjà, enverron; bientôt leur bienfaisante lumière sur le place de l'Aurore, qui deviendra donc,enfin digne du beau quartier de Zurenborg,grâce à l'action dévouée de nos amis libéraux ele cette partiè de la ville: .»» Pas de prix Nobel Le gouvernement suédois a donné sor assentiment à une décision du comité No 5 bel. Les prix de physique, chimie, médecine et littérature pour 1914,ne seront distribués > que le 1er juin 1915. * U * Naissanees et décès Pendant la semaine du 5 au 11 juillet 1914, il est né à Anvers 119 enfants, dont t . do parents étrangers à la ville. Dans la même semaine, il est mort à Anvers, 65 personnes, dont 6 appartenant à la population flottante. La population normale s'est done . augmentée de, 55 habitants. Parmi les décès, signalons celui de 5 octogénaires, de 9 personnes âgées de 70 à 8C ans, et de 16 enfants de moins de 2 ans, dont9 n'avaient pas 6 niois d'âge. ; La cause principale des décès a été la diarrhée infantile qui nous a enlevé 13 petits de moins de 2 ans. Puis viennent les maladies organique:-du cœur avec 7 cas; les tuberculoses, 5 cas; les tumeurs malignes, 5 cas; les affections de l'appareil respiratoire, 5 cas; les maladies du cerveau, 4 cas. En traitement dans les hôpitaux: 11 cas de rougeole; 1 de scarlatine; 3 de croup et | 16 de tuberculose pulmonaire. * * * La retraite militaire A l'occasion de la fête nationale, il y aura une retraite militaire, le lundi, 20 juillet, par la musique du 7e régiment de ligne. La retraite partira de la Grand'Place, à 9 heures du soir, et suivre l'itinéraire suivant: Grand'Place, canal au Fromage, courte et longue rues Porte-aux-Vaches,rue Klapdorp, marché aux Chevaux, rue Von-del, place St-Jean, rue de Hollande, rue de Rotterdam, plaine De Coninck, rue Van Wesenbeke, place de la Gare, avenue De Keyzer, place Teniers, rue Leys, place de Meir, pont de Meir, marché aux Souliers, place Verte (côté Sud), rue de la place Verte, rue Reynders, rue Haute, Grand'Place. * * * La gloire moderne Eloquents, les détails que l'on publie sur les circonstances du combat de boxe Car-pentier-Smits.La recette des organisateurs s'est élevée à quatre cent mille francs, pour douze ou quinze mille spectateurs.Mais beaucoup de ceux-ci ont payé leurs places beaucoup plus cher que le tarif, des agioteurs ayant accaparé les billets; de telle sorte que les fauteuils de 125 francs ont été vendus jusqu'à 400 francs. Le droit au film a été payé cent mille francs. Lè droit de prendre de simples photogra-■ phies a été acheté vingt-cinq mille francs', j Le vainqueur, Carpentier, a touché 100,000 francs. Et à sa rentrée à l'hôtel, il a dû : paraître jusqu'à dix fois au balcon, j Inutile d'ajouter qu'aucun artiste, aucun écrivain, aucun homme d'Etat, aucun sa-| vant, aucun inventeur n'a jamais provoqué | pareil enthousiasme. * * # Da s la magistrature i On annonce quelques promotions et no-: minations de magistrats anversois dans i l'ordre de Léopold. MM. Cambresy, auditeur militaire, et Ollevier, vice-président au tribunal civil seront promus officiers. Seront nommés chevaliers: MM. Biart, Cruysmans et Montens, vice-présidents au tribunal civil; Witteveen, juge de paix (2e canton)-; Ayou, référendaire-adjoint; Do Jonge, ancien juge; De Lescluze, Relecom et Van Hemelryck, juges au tribunal de ! commerce. * * * Hymenêe Aujourd'hui, a été célébré à Borgerhout, le mariage de Mlle Berthe Maclot, fille de M. Maclot, chef de station principal à Anvers (central), avec M. Franz Basse, fils de M. Franz Basse, ingénieur en chef aux usines de matériel de chemin de fer de Ehrenfeld, près Cologne. Une suite nombreuse, a pris part au cortège dans lequel on remarquait MM. Arthur Maclot et Maréchal, fonctionnaires des chemins- de fer, témoins de la mariée, MM. von der Ileyden, ingénieur, et Auguste Basse, frère du marié, témoins du marié. Les toilettes étaient ravissantes de fraîcheur et de beauté. Un lunch a réuni les nombreux convives. Les jeunes époux ont pris leur essor vers la France, la Suisse et les bords du Rhin. # * * La fête nationale A l'occasion de la fête nationale, le 21 juillet prochain, les bureaux de la recette et de contrôle des droits de port, resteront fermés. La recette pour bateaux d'intérieur aura lieu de 9 à 11 heures du matin. Les bureaux du gouvernement provincial et de l'hôtel de ville seront tous fermés. I Les bureaux de poste de l'agglomération

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Cet article est une édition du titre Le nouveau précurseur: journal du soir appartenant à la catégorie Liberale pers, parue à Anvers du 1902 au 1914.

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