Le nouveau précurseur: journal du soir

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s.n. 1914, 16 Mars. Le nouveau précurseur: journal du soir. Accès à 28 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/fb4wh2f706/
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ÏAuicii 16 mars ±9X41 «se CI2V0 CEI\TIllffl8 »öwaannée — I\'° >K AN VERS, INTERIEUR, HOLLANDS, LUXEMBOURG, UNION POSTALE, UB an 12.00 fr.; six mois 6.50 fr.;trois mois 3.60 JEr. » 15.OO fr.; • 8.00 fr.;m 4.50 fr. • 32.00 fr.; » 16.00 fr.;m 8.00 fr. »• 82.00 fr.; * 16.00 fr.;• 8.00 fr. » 42.00 fr.; » 21.00 fr.;» 10.50 fr.Tont abonnement se poursuit josqu'a refus formeL ON STABONNE a Anvers au bureau da journal et daag ioag ka bureaux qu'Eversley aimait a étudier. Tous les deux regardèrent par- hasard le point du salon ou Stambolof et Faring causaient avec la maïtresse de ia maison, et- le colonel fit un signe de tête. Ce sont deux hommes charmants, ditil.Vous chercheriez longtemps avant de trouver mieux. J'aimerais connaitre davantagece Faring. Je ne l'avais jamais rencontreavant ce soir, mais j'avais entendu parier delui ; il. fit quelque bon travail en Afriqirei'année dernière. Comme ils se ressemblent M. Stambolofet Harry Faring! dit Miss Trevor. Eversiey mit son monocle. — Oui, par JupiterI s'écria-t-il, je ne lesavais pas encore vus ensemble. Par Jupiter, ils se ressemblent, c'est un peu le mêmetype. Bien entendu ils sont tout a fait dis- eune d'ac- ceux d'un mendiant. Il avait plutót l'allure d'un serviteur renvoyé ou quelque chose comme cela. Je me souviens qu'il avait une longue cicatrice blanchatre sur une joue; je la vis tres nettement de la voituce, une anciennë.cicatrice mais... Une exclamation de Buchanan Tinterrompit.: ~ Qu'y a-t-il? demanda-t-il. semblables sur* différents points. Le j Faring est esgentiellement un homme I tion ; je le choisirais pour prendre le commandement d une situation difficile ; il est a la hauteur — c'est tout a fait le mot — a la hauteur de tous les óvénements. Il n'est pas briliant, je crois, mais sür et fidele et ne laissera jamais échapper ce qu'il tient Regardez ses yeux et sa machoire I... Oui, c'est un brave homme, j'aimerais travailler avec lui. La petite Miss Trevor fit un mouvement de protestation. Oui, dit-elle, sans doute, mais j'auraispensö... M. Stambolof n'est-il pas aussi tout ce que vous dites ? Stambolof ?... oui, je le suppose, maisvous voyez un homme fini ; Stambolof estune sorte de pierre tumuiaire ; il donnel'impression d'avoir vécn sa vie, de i'avoir — Je suis doublement heureux que vous m'ayez parlé de cette rencontre; cet homme a ia joue cicatricée, je le crois un voleur ou un bandit quelconque. Il vint a mei hier, pendant que j'étais sur la terrasse, et me demanda du travail. Je n'avais rien pour lui, car mon majordome, mon pocher et mon chef jardinier engagent eux-mêmes leur jamais. Mais ce chenapan fut si amusant personnel particulier et je n'interviens en répondant a queicpes questions que je le fis entrer dans mon cabinet. Je me sentais plus patient. a ce moment-la. Je lui parlai et le renvoyai avec un billet de cinq dollars. Je réfléchis après qu'en intioduisaut un tel homme dans la maison j'avais commis une veritable imprudence. Je crois qu'il a dü prendre de nombreuses notes pendant sa visite... Oui, je suis tres content que vous m'ayez averti. Il n'est revenu ici pour rien de bon, j'en suis sür. Je vais dire au jardinier de le sur veil er de prés.- Il s'arrêta et eut un petit rire rétruspectif. •— Le compere était des plus amusants, dit-il. Il a été partout et connaït quantité de choses. Il a dü connaitre des temps meilleurs. Ses manières sont excellentes. Buchanan s'inclina et ptoursuivit s«»n chemin vers lady' Eversiey. Le jeune Faring traversa la piece pour se rapprocher de son hótesse et de Stambolof debout prés d'une des fenêtres. Le colonel Eversiey avait attiré la petite Alianor Trevor dans un coin éloigné. II se plaisait dans la société des jeunes filles du 9 JAPON notre ville, qui a condamné M. Guichard k une amende de 1,000 francs, au double décime et demi de cette amende, soit 250 francs, et-a tous les frais du proces. M. Guichard est en outre condamné k restituer les vingt milles kilos de sucre k la régie et, comme il ne peut le faire, puisque ce sucre est vendu, le tribunal l'a en outre condamné k payer la somme de 10,000 francs k l'administration des -contributions indirectes. La tempète en Prance La tempète continue de sévir avec violence, sur les cótes bretonnes. Plusieurs steamers, qui étaient en partance, ont dü rentrer au port de Brest, attendant une accalmie. Le cargo-boat Bougainville, qui était venu en rade pour effectuer des essais de recette a dü rester a l'ancre, la mer étant intenable en dehors du goulet. A GranvWjie, le mauvais temps, coïncidant avec la grande marée, a cause des dégats importants, notamment sur la plage, oü la mer déanontée a déferlé avec une violence inouïe. La terrasse, qui surplombe la mer, est dévaste sur une longueur de plus de deux cents metres. Des bloes de maconnerie, provenant du parapet, ont été arrachés et projetés a plusieurs metres sur la chaussée. Une forte bourrasque du sud-ouest s'est éle▼ée▼ au Havre, gênant considérablement la navigation. De nombreux navires ont dü différer leur depart. Depuis samedi après-midi, une violente tem* pète d'ouest-sud-ouest souffle sur Calais et le littoral. De nombreuses barques "de pêche ont dü chercher un refuge dans l'avant-port. La mer est démontée et d'énormes paquets d'eau balayent les jetées. Ouragan en Russia,*Wc Un violent ouragan a traverse la province de Kuban. Les eaux de la mer d'Azof, soulevées par le vent k trois metres de hauteur, ont inondé Sfanitza et *Atchouyevskaia,oü plus de mille personnes ont péri. A Yasenskaia l'eau a fait 150 victimes. Sur le chemin de fer de la mer Noire, des lo-» comotives et des voitures ont été renversées. A Atchouyevskaia, 380 edifices ont été emportés par la mer. L'ouragan provoqua un raz-de-marée sur la cöte de la mer d'Azbt, Prés du village cosaque de Achtyrskaia(Kurban), deux cents ouvriers, dormant non loin du rivage, furent emportés par les eaux et noyés. Beaucoup d'habitations ouvrières sont sous les eaux. A Tenerjuk, une digue en ciment fut détruite. Une grande partie de la ville est inondée. Plusieurs personnes ont péri. A Tiflis, on a observe dans la ville et dans les environs un phénomène rare. Depuis les premières heures du matin le ciel était couvert de nuages d'un jaune sale et alors qu'il régnait un brouillard intense, une sorte de neige fondue mêlee de boue s'est mise a tomber. On rattache ce phénomène k l'ouragan qui a sévi dans la region de Bakou sur le chemin de fer transfeaucasien et qui a soulevé de tels tourbillons de poussière que ces masses de poussière amoncelées ont empêché le trafic dans les garea et sur la ligne. A Vladicaucase, une violente tempète a sévi pendant prés de dix heures. La ville était recouverte d' une épaisse couche de poussière. A 3 heures de l'après-midi, il y avait de la fumée dans l'air et.pendant des heures et, des heures, la ville a été enveloppée d'un brouillard épais et jaunatre. Une pluie argileuse est alors tombée. NOS ÉCHOS Le monument Leopold II Le comité de la souscription dont les presidents du Sénat et de la Chambre ont pris l'initiative n'est pas encore constitué. MM. le baron de Favereau et Schollaert comptent faire appel a des personnalités éminentes de tous les partis en vue de donner h cette ceuvre un caractère vraiment national et de rendre ainsi plus eclatant 1'hommagQ dü è cette grande mémoire. On ignore naturellement — car ce sera l'ceuvre du futur comité — ce que sera la memorial du roi Leopold. C'est au comité aussi qu'il appartiendra de decider du choix de remplacement et de l'artiste appelé h exécuter le projet. Depuis que la presse a parlé de la souscription nationale, des artistes se sont déja mis en mouvement, ont ébauché des projets, esquissé des plans du monument. .. Le geste du roi Albert va donner un bel élan a la souscription. On nous a assure samedi, dit le XXe Siècle, que deux personnalités avaient mis chacune a la disposition des promoteurs de l'ceuvre une somme da cinquante mille francs. Le gouvernement proposera sans doute aux Chambres le vote — Ohl non, dit-elle vivement. Non vraiment; je suis tres heureuse de savoir...Comme il y a des homme? éprouvés, n'est-ce pas colonel? Si on pouvait seulement les soulager, les rendre a eux-mêmes!... Bien entendu, on ne peut pas. Elie s'arrêta un instant, espérant qu'Eversley ajouterait quelque chose, qu'il répondrait peutêtre a son insinuation; puis elle s'inclina en disant: „Bonne nuit!" et so dirigea vers Beatrix Buchanan. Les Eversiey présentèrent leurs excuses et se -retirèrent aussi, lady Eversiey protestant qu'iis avaient été si agités a Washington et a New-York la dernière quinzaine qu'ils ne connaissaient plus le sommeii. Eile semblait en effet tres fatiguée etTéellement malade. Et vous, chère Madame, dit Stambolofa son hótesse quand ils furent partis, si jepeux me permettre de vous donner un con.seii. je vous dirai de vous retirer aussi et dedormir. Nous vous liendrons probablement levée ie restant de la semaine jusqu'a des heures indues. Dormez pendant que vousle pouve&; vous aussi, vous êtes fatiguée. Eile va venir avec moi, dit ArabellaCrowley; elle est fatiguée et moi aussi. Nous allons vous laisser, Messieurs, a vos vices...*le whisky et le tanac... Stambolof, vousm'accompagnerez a Rose-Rouge demain; les Tommy Carteret sont la, et je veux que vousles voyiez encore. Bonne nuit! Les trois homme?. demeurés seuls, causèrent quelques moments, du moins Stambo1 ,e5 ?armS' °ar Buchanan semblait retombé dans ses humeurs sombres. Il dit enfin: — Je vais aller dans mon studio pour fumer une pipe avant de me coucher; voule^"vous venir ? (A continuer.)

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