Le nouveau précurseur: journal du soir

1600 0
close

Pourquoi voulez-vous rapporter cet article?

Remarques

Envoyer
s.n. 1914, 25 Juillet. Le nouveau précurseur: journal du soir. Accès à 18 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/f47gq6rx5j/
Afficher le texte

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

^ Untiil loti' ~fl ^S. esraçg ceivttmis» 80™ année - IV SG6 et SOI Le Nouveau Précurseur yCB03ST3SrEnvrEnSTTS ? »«vrm<* «n an 13.00 fr.; six mois 6.50 fr.-, trois mois 3.50 fr. ANVERS* 15 qq . . 8.00 fr.; » 4-SO lru gSfl ; iloo: îi.oS&i : i.oo|: ÎS^OStS-E, -• 43.00 Ir.; - 31.00 fr.; • 10.50 fr. Tout abonnement ae poursuit jusqu'à refus formel. „„ c. abonne à Anvers au bureau dn journal et dans tous los bureaux des JOURNAL DU SOIR TÉLÉPHONES { *• «g^ { 39, VIEILLE BOURSE. - ANVERS. AisrisronsroE 3 - Ordinaires, la petite ligne, fr. 0.30 I Réclames, la ligne. . . fr. 1.50 4 à 4 lignes . » 1.00 Faits divers, la-ligne. . » 2.50 Financières, la ligne . » 0.50 ! Chronique Anvers . . . » 3.00 Les annonces de l'étranger et de La Belgique sont reçues aussi par l'Agence Jlams, 8, place des Martyrs, à BruaxUes, 8, Placé dé la Bourse, à Paris, et 20, Eigh Holborn, à Londres. Ijenors . ~ . i r- r- -r ccnolt La note Autrichienne I Cn général on s'accorde à trouver les ex K l'Autriche incompatibles, avec la il W' d'un état indépendant. Plusieurs ]ou ■g" V disent que, si même la Serbie eta Whm de vassalité de l'Autriche, . cell ^Kin'aurait pas pu pousser plus avant la riguet ■t°s« exigences. Cependant presque tous r KfnnTissent que les accusations précisés RÏÏriche £i elles sont justifiées méritent d urines en sérieuse considération. Pre KuauS journal n'ose prendre ouvertemei Knarti de la Serbie et même la presse russ KhUe n'ose pas prendre la responsabilité c Kuèlller à la Serbie de refuser purement ■Sèment les exigences de l'Autriche, ce q. ■ «mènerait infaillibement une guerre entre li ■ deux Etats. Ces journaux réclament seu'emei I do l'Autriche qu'elle justifie ses accusations. u communication de la note aux puissanc I L'ambassadeur d'Autriche-Hongrie à Paris Hsiéreçu par M.Bienvenu-Martin,ministre jfntti ■ maire des affaires étrangères, auquel il a cor Brouniqué la note remise à Belgrade,ainsi qu ■ ne note jointe du comte Berc'ltold i$àrd( ■ la nécessité de la démarché faite à 1 egarci c I Pareille communication a été faite par L ■ ambassadeurs d'Autriche-Hongrie à Berli I Londres, Rome, Saint-Pétersbourg et Consta H tinople. La rupture des relations diplomatiques I ,e ministre d'Autriche-Hongrie à Belgra< Bn reçu l'ordre de quitter Belgrade avec tout ■personnel de la légation si le gouverneme Bserbe n'a pas donné satisfaction à l'Autric Bavant 6 heures demain soir. ■ Les mesures militaires austro-hongroises I \ la suite des différents appels des réserv R multipliés depuis l'attentat de Serajevo, l'r ■ mée austro-hongroise a sous les armes em Wron cent mille hommes en plus des effeeti H de paix. En Serbie I Les appels de résérves continuent. Une ? ■ tivité militaire intense règne sur les voi H ferrées et aux gares de concentration. H M. Pasitch, chef du cabinet et ministre d ■ affaires étrangères,qui était en voyage,est re ■ tré à Belgrade. | La Serbie est prête à toutes les éventualiti S On dit même qu'elle laisserait occuper p ■ l'Autriche, le nord du pays pour avoir ■ rozips et l'occasion de négocier. Vers l'entente r On affirme que d'un côté la Serbie deme ■ deta la justification des accusations formule | contre ses nationaux, et que de l'autre, e I ne rejete pas le principe de la note autrichh I ne mais réclame un arbitrage. [ L'impression générale s'est beaucoup an ■ liorée dans la journée. En Angleterre Le «Times» écrit: A Berlin comme à ■ Pêtersbourg on tient la note autrichien ■ comme un ultimatum qui demande un < ■ ou un non dans le 48 heures à un Etat ti I faible pour se défendre. A St. Pêtersbourg, ■ mécontentement contre l'Autriche ne conn I plus de bormes. La Serbie a aussitôt împl ■ le secours de ln. Russie et on ne peut dou I mie cette aide lui soit acquise. Probablem ■ Autriche se fie-t-elle à. l'appui de l'AUemag ■ quoique à Berlin on certifie que le texte | la note autrichienne n'a été connue a ■ Chancellerie qu'au moment où la note'a ■ transmise à la Serbie. Comme la Wilhe 1 strasse a pris soin d'informer les autres pi I sances, on a le pressentiment que cette ■ claration a été faite à, Berlin pour permet K au gouvernement allemand de dégager ■ responsabilité au sujet du texte de la n< I A Londres on ne croit pas que la guerre pui ■ rester localisée. La Serbie n'est pas iso. ■ toute l'attitude de la Russie le démontre. G I donc une épée de Damoclès suspendue B la tête de toutes les puissances. LAurtu ■ . Tenconnaitra trop tard peut-être qu elle M hnilée ses vaisseaux et mis sa propre existe 1"^ en jeu. On peut être certain <yie tout s I fenté pour éviter la catastrophe immine] En Russiô La note de l'Aùtrich e-Hongrie â la Serbi I causé en Russie une forte impression. Le conseil des ministres s'est réuni, à d I heures, hier après-midi, afin d'examiner I situation internationale. Une note officielle annonce que la Russi' I la France entreprennent des démarches ( I certées en vue d'assurer la paix entre l'Ai I che et la Serbie. L'«Echo de Paris» mande de Londres I Von prépare pour ce soir a Pêtersbourg I. 'démarche décisive et que si l'Autriche n< ft rend pas aux observations de la Russie, c< I ci prendra une décision qui pourrait chai K la face de l'Europe. L'«Echo de Paris» dit q | Autriche on voudrait la guerre pour éviter I complications intérieures qui pourraient R 'laite jour ci la mort de l'Empereur 1* ran F Joseph. En Allemagné M. de Jagow, secrétaire d'Etat <ï l'Office I affaires étrangères, a eu vendredi avec [ sieurs ministres et ambassadeurs des e I vues au cours desquelles il s'est entreten la situation politique actuelle. Il a exp en particulier le désir de l'Allemagne, s | conflit devait s'élever entre l'Autriche c r Serbie, de le voir localiser. Il a donné ù tendre que la note autrichienne avait été [ parée à Vienne et envoyée sans que le goi 1 nement allemand ait eu /i donner son f mais que d'ailleurs, l'Allemagne approi entièrement l'Autriche. L'attitude du Monténégro Le président du conseil des ministres Monténégro a déclaré au « Piccolo de Trie avant la remise de la note autrichienne, c toute hypothèse le Monténégro se tiendrait côtés de la Serbi»e. ANGLETER Echeo de la conférence du Roi Comme c'était à prévoir, les négociatior la conférence réunie par les soins du roi, donné aucun résultat, malgré la bonne v té évidente de part et d'autre pour arri\ une entente. Les délégués de l'Ulster rest fermement attachés à leurs exigences p dentés et les nationalistes irlandais ne lurent pas faire de nouvelles concessions. Ils \ craignent, en effet, d'être reniés par leur pro pre parti. Hier il y eut encore une dernièr< réunion pour fixer définitivement le texte de: déclarations faites au cours de la confèrent - par les leaders des deux partis. Immédiatement les unionistes se sont réu nis pour délibérer. M. Asquith a annoncé cet échec à la .Chain bre des communes, ajoutant qu'il ne pouvai pour le moment donner à la Chambre quelque ,t indications sur les divergences de vues qu avaient empêché la conférence d'aboutir à m ■r règlement de la question. 3. Le speaker, qui présidait la conférence, ; [e fait un rapport particulier au Roi. Le Home-rule > M. Asquith a déclaré qu'il demanderait mard le à la Chambre des communes de reprendre im ?t médiatement la discussion de l'amendemeh îi du bill. s Contre le roi ît Il paraît que le ministre Asquith qui s'étai déclaré responsable du discours prononcé pa 53 le roi n'en avait , pas pris connaissance. Cett constatation et le résultat négatif delà confé a rence ont fourni aux libéraux de gauche et au •i- membres du Labour Parti une nouvelle occr a- sion de dauber sur le roi. On l'accuse nette a- ment d'avoir transgressé la constitution. it le Excitation en Irlande îs L'excitation devient très grave en Irlande 3. des deux côtés on se prépare à la guerre c: çi- vile. Le lord-maire de Dublin a présidé hier un réunion à l'hôtel de ville, dans le but de r( chercher les moyens de venir en aide aux vc lontaires nationalistes. Le lord-maire a dit qu le le développement rapide du mouvement .ri le suite du sentiment que le «Home rule» K nt en danger. Le colonel Satte a développé une résolutio en faveur des volontaires de l'Ulster. Cett résolution a été adoptée. Réduction des dépenses militaires es r- M. Lloyd George a déclaré à la Chambr 'i- des communes jeudi soir qu'à son avis on f< fs rait l'année prochaine sur les dépenses navale une économie considérable sans amoindrir 1 puissance de la marine. Les dépenses des ai nées précédentes avaient pour but de faii face à une situation temporaire. L'augment; c- tion des armements ne peut être arrêtée qu ES lorsque les grands intérêts financiers du moi de commenceront à comprendre ce que de te armements ont de menaçant pour le capita n- la propriété, l'industrie et la prospérité d monde. Et je crois, a ajouté le ministre,qu'i ;s- commencent à. le comprendre. ar le FRANC! Le voyage de M. Poincarô Pendant lai nuit de jeudi à. vendredi le eu n" rassé h France » a levé l'ancre â Cronstadt es est parti pour Stockholm, où le président de lle République française doit être arrivé ce mati L'ambassadeur anglais lé- L'«Exchange Telegraph» annonce que s Francis Bertie, ambassadeur de Urande-Br tagne h Paris, serait prochainement rempla par sir Arthur Nicolson, ancien ambassade' ' à Saint-Pétersbourg et actuellement sécrétai ne d'Etat permanent au ministère des Aîfair '"p étrangères. ait BULGARI ^ Préoccupation politique ^ Le roi de Bulgarie a fait savoir qu'il ne poi rait assister, comme il l'avait promis,aux fêt de Bayreuth, en raison de la situation poli ét'é que qui ne lui permet point de quitter la Bi m- garie. dt- A L BAN i 5® Négociations rompues jte sse Les ministres des grandes puissances à ï ée, \ razzo ont décidé de ne pas donner, pour est ! moment, aucune réponse aux insurgés. gur j La lettre des insurgés a été communiquée ihe ' roi d'Albanie, qui a exprimé l'avis qu'il ft a : attaquer les insurgés. On attendrait dans nce but l'arrivée des volontaires roumains. era lté. A Durazzo Durazzo se trouve sous le canon des rebell qui peuvent à tout moment, quand bon 1< e a semblera, prendre la ville d'assaut. C'est le sir formel des rebelles que le prince quitte 3ux pays avant les fêtes du Bhamadan, fêtes i la ; se célébreront dans quelques jours. Si les ; vires des puissances tirent sur les insur. i et ! ceux-ci affirment qu'ils réduiront la ville on- cendres et que pas un habitant n'échapper; itri- i leurs coups. Il paraît certain que journe I ment les rebelles reçoivent des armes et que | munitions de la Serbie et du Monténnégro. U1Je J Le prince de V/ied r]er | On mande de Rome au « Daily News ; n'en Leader .» crue malgré toutes les assertions c des ' tra'ires, ler prinpe de Wied abdiquera sur se conseils pressant qui lui sonf ygpus de Ber jois- Par contre le «Times» annonce, sur hi d'une correspondance privée autrichienne, le prince a reçu des renforts qui lui péri tront de se maintenir envers et contre tou deS ^ A Vaionà plu- j itre- 1 La commission de contrôle a adressé j de j protestation à M. Zographos au sujet de ' l'imé ' titude des Epirotes et des Grecs à Valona. i Un M. Zographos a répondu que les Epir> t la n'avaient pas d'intentions agressives coi en- Valona, et que les troupes grecques ne i pré- péraient pas avec eux. iver- ivf MEXIQl ivait Huerta est parti Vendredi, le général Huerta et des con gnons ont débarqué à Kingston en Jamaï du l'a sont arrivés n bord du croiseur allerr ste», «Dresuûn». . u'en Us ont pris leurs dispositions pour faw aux séjour d'une semaine à*a Jamaïque. Craintes ospagnoles R E- Les journaux madrilènes se montrent quiets des conséquences que pourrait a-pour les 15,000 Espagnols résidant à Me: l'entrée dans cette ville des chefs révolu s (te naires Villa et Zapata qui se sont distin l'ont par leur cruauté contre les Espagnols. Dion- n demandent au gouvernement de si er à l'exemple de la France cn faisant une nou ïrent démarche à Washington pour que le goi récé- nement américain assure la protection der vou- tionaux espagnols au Mexique. Administration modèle s Les directeurs des postes, sous la présiden-; ce dlu général Huerta avaient brûlé 5,000 sacs ; de lettres provenant d'Europe et d'Amérique avant l'entente survenue au sujet de l'échange des sacs postaux. Après l'enquête financière, qui avait été ordonnée par le président Carbajal, un mandai t d'arrêt a été lancé contre M. Lugenio Parades, trésorier de la République sous le gouverne-• ment du général Huerta. 1 M. Çaradès est accusé d'avoir commis deî détournements s'élevant à deux millions de pesos. M. Paradès serait actuellement à Puerto Mexico. HAÏTI La guerre civile 1 Les troupes du Cap Haïtien se sont emparées des villes de Limonade et du Quartier Morir oui ont été évacuées par les rebelles. Toutefois le combat continue, r ^ 11 — ° Â l'école professionnelle pour jeunes fille: C'est l'époque des distributions de prix e des expositions scolaires. . Dans tous les établissements scolaires, le: ' classes sont transformées en «stands d'ex hibition» où les élèves étalent les petit: e chefs-d'œuvre qu'il sont parvenus à com poser grâce à l'enseignement reçu. - Nous avons visité beaucoup de ces expo e sitions déjà, mais rarement nous en à von: vu d'aussi complètes, d'aussi remarquable: que celle de .l'Ecole professionnelle pou; n jeunes filles, de la rue des Architectes. e C'est un fouillis de dentelles, de broderies de soies fines, de draps délicats, travaillés dirait-on, par des doigts de fées. Chaqu année, nous croyons y voir la perfectioi dans les ouvrages exposés et, cependant e chaque année, la nouvelle exposition nou :s montre des travaux plus remarquables en a core. C'est assez dire à quel point Mlle Ver i_ beeck et ses institutrices poussent la per e fection dans leur enseignement, i- Aujourd'hui, nous avons vu des toilette e dignes de sortir des magasins des grand i- faîseurs de la rue de la Paix et, cependant elles ont été fabriquées, de toutes pièces par des fillettes et des jeunes filles don " l'aînée n'a pas 18 ans. Et c'est clans tous les genres, dans toute les spécialités que ces élèves sont passée 7 maîtres. Depuis le linge le plus simple jus qu'aux combinaisons des plus compliquées depuis l'humble tablier jusqu'à la plus lu xueuse toilette de soirée; depuis la layett ^ du bébé jusqu'au corset de la maman; de "a puis la pantouffle de maison jusqu'au cha 1 peau de grand luxe, tout y est enseigné tout y est exécuté à la perfection. Ce n sont que chefs-d'œuvre qu'on y voit. Il y a aussi la manière dont tout cel ir est enseigné! Voyez les «patrons» découpé par les élèves elles-mêmes et les dessin des costumes à exécuter. Ce sont des des sins dignes de figurer dans les plus grand BS journaux de mode. i Cependant, ce n'est pas seulement a ! point de vue couture et modes que cett p j école s'est créé une grande réputation < j s'est placée au premier rang des établiss< I ménts professionnels. t L'allemand, l'anglais, le dessin et la peii ir" ! ture, le droit commercial, la géographi ^ ! commerciale, la dactylographie, la compU 2l_ ; bilité, la sténographie, y sont égalemer ! enseignés d'une manière pratique et ce! i assure ainsi aux jeunes élèves une carrièi p 1 digne de la femme moderne. j Lorsque, ce matin,nous parcourions cet" longue série de classes où Mlle Verbeec ' nous montrait toutes les finesses des oi 2g vrages exposés, nous nous reportioi i involontairement à l'époque où no\ au 1 même nous étions encore sur les bani i ut scolaires. Quelle différence! Quels pas ( ce géant faits par l'enseignement moderne ( ■ un temps si relativement court. C'est à i • plus s'y reconnaître. Et que de reconnaissance doit la jeunes: | d'aujourd'hui à cette pléiade de philanthr ^ pes, aux Del vaux, Casman, Van Regemc lié. ter, Osterrieth, de Roubaix, van der Cruy le sen, Dermond, Van Camp, Zech, Peche jui De Guelclre, Heinz, Schwenn, Maeterlinc na- Kri'jn, Van de Vin, qui administrent uj ?és institution pareille et l'ont menée au poi en où elle est. Ce n'est pas la jeunesse seu 1 à qui leur doit cle la reconnaissance,c'est toi] L i une classe de la société qui leur doit ui j position sociale, lui permettant de pou I voir dignement à ses besoins personnels. I Et cette reconnaissance va de même ; corps enseignant et surtout à la dévou md ! directrice, Mlle Verbeeck, qui, en vra on" ! mère, sacrifie le meilleur de son existen !es I au bien de ses élèves, — ses enfants, — l|n: | à la renommée de son école, son gra: -j- I enfant, ^ Pierre Ccrrl S. ' —;—:—? —***■ Nouvelles de l'Etrange ître ïo'o- un nouveau port chinois Le bruit court à Pékin que le gouvernera j P mirait l'intention cle contracter un enipr pour construire un p.ort militaire à Sin V' sur le littéral de l'Océan Pacifique, lies conditions de l'emprunt, cdnsenii p&c îpa- groupe américain, seraient les suivantes: 511e. millions de dollars remboursables en ; anu intérêt 5 p. c., escompte 20 p. c. La direct des travaux r^vxait être confiée i (les ii un nieurs américains et les niufc-ria#ux à la construction du port seraient iuui par le groupe américain intéressé. L'empi serait garanti par le port lui-même et ses •cessoires. in- ^oir, Las grèves à Sa!ni Pêtersbourg :ico, ;ion- D'après des communiqués officiels, le non £ués des ouvriers d'usine et des typographes en ve se montait jeudi à cent trente-cinq m ivre Une partie d'entre eux ont essayé de se /elle sembler et *îe chanter des hymnes révolut iver- naires", mais ils ont été aussitôt dispersés, na- cosaques ainsi que les agents ont tiré en q ques endroits des coups de feu contre des nôtres ouvertes par lesquelles on leur jetait des pierres. Quatre agents de police ont été grièvement blessés. 61 personnes ont été arrêtées pour avoir commis des excès. La circulation des trams est rétablie. Les ouvriers ont essayé vainement d'arrêter les trams sur quelques points. Ils ont cassé les glaces de trois voitures. Un conducteur a été blessé d'un coup de pierre. Par suite de la grève le «Retch», le «Courriel de St-Pétersbourg», la «Gazette de la Bourse», le -Journal officiel du commerce et de l'industrie» n'ont pas paru. Les journaux ouvriers on) , cessé leur publication, presque tous les rédac teurs étant arrêtés. Selon les journaux, le gouvernement est dé cidé à prendre des mesures très énergiques pour prévenir les troubles. Les directeurs d'usines, fabriques et ateliers de Saint-Pétersbourg ont décidé le lock-out s: la grève continue. Dans le faubourg de Staraja-Dorevnia, à St i Pêtersbourg, la police à cheval a chargé les [ grévistes qui lui jetaient des pierres et ti i raient des .coups de revolver. Plusieurs grévis tes ont été blessés. Dans le quartier de Schusselburg, les mani festants ont saccagé, vers midi, deux auber ges. Plusieurs ouvriers ont été blessés. Quel ques-uns ont été arrêtés. La nuit dernière a eu lieu en dehors de h k ville, un grand meeting auquel assistaient d) > 8 'à 10,000 personnes. A Libau Les ouvriers du port de Libau se sont mis ei > grève. Ils. réclament une amélioration de leu: situation matérielle. A Nicolaïef Huit mille ouvriers des chantiers de Ni colaïef se sont mis en grève. Les ouvrier! ont entonné des chants révolutionnaires e ' déployé le drapeau rouge. La troupe est ar i rivée. Une collision s'est produite. Plusieur: personnes ont été blessées. La robe fait le Chinois ^ A peine proclamée, la République chinoisi 3 s'est attelée aux réformes et l'une des plu i urgentes lui a semblé celle du costume. Tan , dis que les vieux Chinois, fidèles à leurs p'rin 5 cipes conservateurs, continuaient de s'habil 1er à la mongole, les jeunes Chinois s'em pressèrent d'adopter les modes européennes bien plus, ils jugèrent, nécessaire de décrété une tenue officielle et de fixer le costume ré publicain. Une loi décida qu'aux jours d' 3 fête, tous les fonctionnaires devraient endos ? ser le frac et coiffer le haut de forme; dan , la vie courante on les autorisait à user leur vieilles frusques, mais dans les grandes cir î constances, aucun ne serait plus admis à s montrer en robe. Le président Yuan Chi Ka donna le premier l'exemple; on vit même so] 5 fils, qui n'a guère que onze ans, affublé d'un s queue de morue et surmonté d'un huit reflets Mais on avait compté sans le commerce qu ; ne trouva pas son. bénéfice à ces modes venue d'Occident; les soieries aux riches couleurs e les crépons même ' ne se vendent plus; le tailleurs "restent sans ouvrage; réduits a 1 misère par les marchands de confection. L commerce a réussi à faire entendre ses de léances; le président a reconnu que l'adoptio: e du costume européen avait été une erreur e qu'en dépit des apparences, notre modest x habit coûtait davantage à la Chine que le s soies les plus somptueuses puisqu'il risquai de la ruiner. La loi sur le costume a ét rapportée; un nouvel uniforme a été mis a concours et l'on recommande aux concurrent remploi (les oenes eiones nationales. i NOS ECHOS Anniversaire royal t- C'est aujourd'hui le jour anniversaire d e la naissance doaJa reine Elisabeth de Be l- giquê. it Elle est née à Possenhofen le 25 juill< a 1876. e L'anniversaire de la Reine est fêté en fî mille au château de Laeken. Mais tous 1( e monuments et bâtiments publics sont p; k voisés et l'armée a le service du dimanch i- * * * ls L'exposition de 1920 |s Hier, après le tirage du journal, noi "s avons reçu du comité de l'exposition un le verselle d'Anvers pour 1920, le communiqi n suivant: ie • Le comité de l'exposition universelle et i: ,p terhationale d'Anvers 1920 a été reçu a jourd'hui par le baron de Rroqueville, mini tre de la guerre, chef du cabinet des mini r" très. s- il a insisté afin d'obtenir une réponse d r, cisive du gouvernement au sujet du patronaj k, i officiel par le comité. M. le ministre de lQ ■ guerre a répondu qu'en ce moment il a d raisons de croire que les grandes puissanc , n'accueillent pas favorablement les invitatioi que le gouvernement leur adresserait, et qu'< t-e conséquence, après de fréquents échanges < ie i vues sur cet objet en conseil des ministres, r- j se croit à son grand regret obligé de répond 1 au comité exôGutif que le gouvernement c tu • dans l'impossibilité d'accueillir sa demand ' Il a ajouté que le gouvernement a fait to . ! ses efforts pour amener à Anvers, en 1920, 1 ie Jeux Olympiques, et qu'il est disposé à so ce : tenir moralement et matériellement de tout et ; ses forces les manifestations auxquelles A id i vers se préparerait pour 1920. Notamment, i comité peut compter entièrement sur le go 1 vernement en vue d'i]ne eypositiqn colon!a ! et maritime, la question des-a eux Olynïpiqu ! restant encore ouverte. ' Le ministre nous la baille belle! Après de fréquents échanges de vues e tre les ministres, M. de Broqueville regrei f' de ne pouvoir accueillir la demande du < j mité anversois, 4loi:,s, à quoi rimait le langage de M. Il ! bert, engageant les Anversois à faire c j démarchés à, l'étranger., ent démarches, nous l'avons dit souvei L1 nt ! ne pouvaient être faites que par le gouvi ['Où 1 nement, leâ communes n'ayant aucune : j présentation diplomatique à l'étranger, un i ! Le gouvernement s'eîst tout simplemf 30 ! moqué et des Anversois et des Liégeois. Li"sj i a lëiuTé'les Wg et les autres; ne falloii igéî I Pas lalssé 103 é'ections de juin d y'és | nier, surtout a Liège. ' Maintenant, \M, cle Broqueville dérU unt qu'il n'y a plu^ rien à faire. En réalité, 3e- n'a jamais rien voulu faire pour une ex; sition en 1929. * *. Des calomnie: bre La Métropole s'amuse à reproduire ; -rè* jourd'hui une des nombreuses attaques l^0- nouveau journal socialiste d'Anvers con les écoles de la Ville. Les Ces attaques sont aussi' insipides t □ e}- faUqSQS. fc- Ce journal socialiste relate que dans écoles de jeunes filles les élèves sont forcées d'effectuer des travaux manuels pour le compte de fabricants. Le journal socialiste ajoute et la Métropole reprend la phrase: «La nouvelle inspection ne pourrait-elle nous dire si les enfants reçoivent, de et chef, un salaire, ou bi'en M. Desguin lui a-t-il défendu de faire son devoir?» M. l'échevin Desguin n'a jamais défendv aux inspecteurs, ni à d'autres fonctionnai res de faire leur devoir. Jamais les inspecteurs n'ont eu à signalei un fait semblable parce que c'est une pure calomnie inventée par le journal socialisé et reprise par la Métropole. Notre confrère clérical qui tombe tou jours sur les socialistes ne met pas de gant: pour ramasser leurs calomnies contre le: ; libéraux. Mais pourquoi1 ne reprend-il pas toute: les attaques du même journal socialisé contre un jeune magistrat du tribunal civil Est-ce parce que ce magistrat est clérical * * * Les Heikneuters L Les versements totaux effectués par 1 ' cercle de bienfaisance «De Heikneuters» ai profit de la caisse de secours de «Diester weg» (colonie "scolaire de Heide), se son élevés, au cours de l'exercice 1913-14 ; i 4,737 fr. 47. La majeure partife de ce montant se com pose du produit du grand concert artistiqu du 27 juillet 1913 à Heide et de l'inoubliabl soirée de gala, organisée au Théâtre roya ; le 17 décembre 1913, avec le concours d ■ MM. Jean Noté et Jaunie. Grâce à cette augmentation de ressource > l'œuvre de la colonie scolaire permanent de Heide est parvenue à clôturer son bud get sans trop grand déficit et ne devra pa envisager, au moins pour cette année-ci , de réduire le nombre d'enfants hébergés i la colonie. Le comité des «Heikneuters» nous pri d'être son interprète pour remercier de tou cœur les nombreuses personnes qui l'on ; aidé à obtenir ce beau résultat. Il exprim ^ toute sa gratitude, et aux artistes qui le ont donné l'appui inappréciable de leu î talent,et aux personnes charitables, qui on répondu si généreusement à son appel, e 5 à tous ceux qui ont travaillé dans la nu 5 sure du possible à l'augmentation de sé ^ ressources. \ En attendant, les vaillants «Heiknueters ! ne se reposent pas. Rappelons la superb î fête artistique qu'ils organisent demaii: • dimanche, à 4 heures, dans les jardins d 1 la colonie scolaire à Heide-Calmpthout, a 5 profit de l'œuvre du «Diesterweg», avec 1 ^ gracieux concours de Mlle Hélène Krinkel' J soprano; de M. Louis Morisson, ténor; d 2 MM. Jos. Camby, virtuose et H. Everaert' celliste. Au programme figure en outre 1 r création, en Belgique, de Le Vieil AigU 1 drame lyrique en un acte, poème et mus 3 que de M. Raoul Gunzbourg, interprét ^ par Mme Gerardy, du Théâtre royal de 1 i Monnaie; de M. Louis Morisson, téno: a Jules Colbert, baryton au Grand Théâti s de Verviers, et du Dilettanten Orcheste. sous la direction de M. Kuno Klein. Si' le temps n'est pas favorable, la fête s donnera dans la grande salle de la colonii * * * Flèches de tout bois La Métropole profite du procès Caillau e pour attaquer la morale et l'éducatio l- laïques. Ne doit-elle pas faire oublier so curé français qui, tout en restant en fon »t tions,pratiquait le métier d'espion pour l'A leniagne et son curé allemand condamné d l- chef de tentative de chantage? :s Mme Caillaux, accusée d'assassinat d'u i- journaliste, serait le produit de l'éduc; з. tion laïque. La Métropole oublie qu'aussi bien qi son mari, fils d'un minîstre conservatei 1S et clérical, Mme Caillaux a reçu une éd i_ cation très chrétienne; elle a été élevi ^ dans une pension religieuse et, quoique c vorcée et ayant épousé un homme divorc elle a continué à faire preuve d'une dév tion de bon aloi et très bien portée dai ^ les salons parisiens, s. Aujourd'hui la même Métropole met i compte de la morale laïque, le fait que é- femme divorcée d'un sous-secrétaire d'Et re actuel, vient d'être arrêtée au moment q la ayant dans son sac à mfrfn un revolv \s chargé, elle ameutait le monde devant l'h ^ tel où elle logeait. ,n «Ce fait, dit le confrère clérical, montre le la mentalité des gens qui président ai il destinées de la Ç'rfvnçç.^ re La Métropole ne néglige qu'un détail: st pauvre femme arrêtée était atteinte d'ali ®g nation mentale et a été colloquée. BS Cet oubli (i?) monire la mentalité de и. presse cléricale. es * * * Un athénée pour jeunes Ailles u- La commission de l'enseignement, qui le réunira lundi soiV, aura à examiner u es proposition tendant à créer des classes p: paratoires aux universités, à l'école siij rieure pour jeunes filles de la longue r n. de l'Hôpital. .te Cette école prendrait ainsi en quelq :0- sorte le vang d'athénée pour jeunes filles * * * u- Le l^ncS&'eÉ approuvé es La Députa tion permanente a enfin î prouvé le budget de la ville d'Anvers it, 1914, tel qu'il a été modifié par le Cous u*- communal, d'après les propositions de 'e- l'échevin Cools. Tout arrive, comme on voit!.., nt , * » le courage rAsomps*^; i! Parml nos concitoyens poul. a"c de courage et ^ dévouement, se troi M. P'.ct janssons, le talentueux artiste'd ".j matique, un des acteurs favoris du pul anversois. M. Piet Janssens a largem 1n" înérté la distinction qui lui échoit en prodiguant d'une façon toute particuli pendant l'incendie qui dévora le théâtre '' lllippodrome. Au péril de sa vie, i) sai «i- un homme qui allait être écrasé sous du nmr 'A s'écrouler. Ce beau trait de tre vouement méritait d'être récompensé. Les nombreux omis de Piet Janssens [u.e yofjt heureux de rencontrer son nom ai ! dans la liste de ceux dont le Roi a vo 3es honorer la bravoure et l'abnégation. llllll —«t LOJULU m «■■iim-unnumi imj Un conflit en perspective Un conflit s'annonce entre les démocrates-chrétiens et le gouvernement auquel on prête l'intention de laisser défaire par le Sénat le projet de loi1 sur les assurances sociales qui a été hâtivement voté par la Chambre dans un but électoral. Il est probable que cela n'ira pas tout seul car les ouvriers catholiques que l'on a gavés de promesses,ne semblent pas d'humeur à s'accommoder des lois sociales de façade qui ont. été adoptées jusqu'à présent. Lors du banquet qui vient de réunir les membres de 1 l'uUnion démocratique chrétienne» de Liège pour célébrer l'anniversaire de l'apparition de l'encyclique Rerum Novarum, M. De-J presseux a dit: «Certes, des lois sociales ont ' été votées, mais nous ne devons point nous illusionner sur leur insuffisance. Elles ne | doivent pas nous faire perdre de vue la ; réalisation «intégrale» de nos idées. Ainsi en est-il pour les habitations ouvrières, les assurances sociales. 11 faut que notre programme passe dans les faits entièrement (Applaudissements).» 3 Et cela est dit au moment où le gouver-! nement, poussé par une partie de la presse . cléricale, veut faire machine arrière, en t dépit des résolutions des congrès de la Li-! gue démocratique qui, notamment, se sont prononcés en faveur du caractère obligatoire des assurances sociales, î » * « \ Distinction Notre ami et collaborateur Gustave Jas-paers, a reçu du comité officiel de la Croix 5 Rouge de Bulgarie, l'avis que pour témoi-3 gner des services qu'il a rendus à cette ' œuvre philanthropique pendant les derniè-s res guerres des Balkans, ce comité lui a décerné la Croix spéciale que l'institution J peut conférer en vertu des accords internationaux.e Ajoutons que cette distinction est très t méritée et que tous les amis de Gustave t Jaspaers sont heureux de le féliciter. e * * * i Les examens r Nuos apprenons également que M. Léon t Gyselynck, fils de l'honorable directeur des t propriétés communales et ancien lauréat i- de l'Athénée, vient de passer avec distinc-s tion le premier examen de doctorat en droit devant le jury de l'Université de Bruxelles. „ Toutes nos félicitatibns. e * * » , Le grand concouru de chant e C'est, comme nous l'avons dit, le 9 août, à n ; 2 heures de l'après-midi, qu'aura lieu en f , la grande salle des fêtes de la Société royale i. de Zoologie, le grand tournoi orphéonique e d'honneur organisé par la Wallonie, à l'oc-i. casion du 25me anniversaire de sa fonda- 6 tion. 'i j Nous sommes en mesure de publier les i- titres der morceaux qui seront exécutés par j les divers concurrents: •i «Les Mélomanes»: l'Illusion, de II. Maré-( chai, et De Visschers, de P. Lebrun — «I a e | Légia»: Le Retour, de S. Dupuis, et La '■ 1 Mer, de C. Smulders. — «L'Emulation»: Le i Chêne Renversé, de Fr. Riga, et La Marche e des Pèlerins, de R. Wagner. — «Les Bardes !• j de la Meuse»: Au Soleil, de C. Smulders, et j La Grande Route, de F. A. Gevaert. — ! «L'Orphéon»: Le Rive, de L. Dubois, et x 1 Hymne au drapeau, de J. Berleur. — «La n Wallonie: Le Fleuve, chœur inédit, de E n Wanibach, et Lés Veneurs, de Th. Radoux. ; Prix des places: réservées, 5 fr.; premiè-J, res, 3 fr.; secondes, 2 fr.; troisièmes, 1 fr. u On peut se procurer des cartes chez le président M. E. Meunier, 4, rue Dambrn0"-n ge, chez le directeur des fêtes, M. J. Demou-lin, avenue du Sud, 220 (téléph. 6893), chez les membres du comité et dans les princi-ie paux établissements de la ville, ir ' * * » x- j Prêtre maître chanteur ;e | Après le curé" espion arrêté en France, i- voici un curé condamné en Allemagne dii é, chef de tentative de chantage, o- j Devant le tribunal correctionnel de Iiei-is i delberg a comparu lé curé Gailer, de Muhl-j hausen, sous l'accusation de tentative de u chantage. Voici à la suite de quelles oir-1s | constances. Le cultivateur Cornélius Iias-ït ! sel. mort il y a quatre ou cinq mois, était U, 1 propriétaire d'un lopin do terre contigu 2r à l'église et au presbytère. Or, le curé pré-ô- tendit que de son vivant Hassel promit dj ' léguer à l'église une parcelle du terrain ;rv . pour de futurs travaux d'agrandissemeni ix et qu'il confirma encore cette 'intention â , l'article de la mort. Mais la veuve et ses la enfants se refusèrent à toute cession gra-é- [ tuite en disant que le défunt n'avait jamais ! fait connaître une semblable intention. Lj la ! curé alors écrivit à la veuve et dit entre I autres: j «...Devant la justice humaine, le terraii en question est votre propriété, mais de se ' Dieu, il est à l'église.,.. Au momen : de comparaître devant io Juge éternel, vo ■«. i ^re mal'i en a '"ait Iti promesse formelle e )(L i vous deveZ exécuter cette volonté du mou u» . rar!f>. SI vous cherchez à vous, soustraiïe i ! eette impérieuse obligation, vous vous at ! tirerez la colère du Tout-Puissant. Le pap j lui-même ne saurait vous en dispenser.. I Vous ne pourrez obtenir, ni vous ni vos en fants, l'absolution dç. vos péchés et vou . devrez donc vous priver de ln_ confessioi ip- ' votre vie .i»rant. Ne voulez-vous donc pa de I donner le repos à l'âme de votre époux e eil père?» M- | Le tribunal a jugé que le délit de *tent' j tive de chantage était bien caractérisé m'ai i qu'il y avait ;;êu d'accorder des ci'rcon; ■ tflr,.C"s atténuantes, l'accusé n'ayant pa 5 j agi dans une intention de profit personne: tes En conséquence, le curé s'est entendu cor ive 1 damner à huit jours de prison, ra- j * * * ilic | Est ce vrai ? înt l lin financier allant se mettre au lit, cri se ; entendre du bruit dans son appartemen ère j il sonne' ses domestiques et leur dit toi de j effaré: iva — u doit y avoir un voleur ici, un Après bien des recherches, ne trouvai dé- rien, les domestiques veulent se retirer: Mais lui, pour les, retenir, leur répète: se- — Je suis sûr qu'il y a un voleur dai mé | ma cliamhvô,: ulu , — Monsieur, répond un domestique, n'y a ici que vous,

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.
Cet article est une édition du titre Le nouveau précurseur: journal du soir appartenant à la catégorie Liberale pers, parue à Anvers du 1902 au 1914.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Ajouter à la collection

Emplacement

Sujets

Périodes