Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1916, 23 Fevrier. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Accès à 29 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/db7vm43w31/
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22eANNÉE. — Série nouvelle.—N* 471 T.(> mimer A f 10 Centimes fS CENTIMES AU FRONT) Mercredi 23 Février 1916 BÊDACTION & ADMINISTRATION JE lit rus dB la Bourse — LE HAVRE Téléphone : Le Havre n' 14,05 Sirscteur : FEBIAM KEHRÀT Tontes tes communications concernant la rédaction d.ivent être adressées sS'",rue rit la bonrse,Le Ilavre. LONDON OFFICEI £1 ,Panton Street LE XXe SIÈCLE ABONNEMENTS Francd 2 fr. 50 par mois. » 7 fr. 50 par trimestre Hngieterre.... 2sh.6d. par mois. » .... 7sh.0d. par trimestra Autres pays,. 3 fr. » par mois. • . 9 fr. » par trimestre PUBLICITÉ S'adresser à l'Administration du journal au Havre ou à Londres Annonces 4' page: 0 fr. 43 la ligne Petites annonoes4* page: 0fr.30laligii Les petites annonces sont également reçues à ta Société Européenne de Publi-cité, io, rue de La Victoire, Paris, qui en a le monopole pour Paris. Quotidien belge paraissant au Havre Le courage de nos évêques >»«— Admirable protestation de Mgr Heylen et de MgrRutten auprès du gouvernement allemand ' Un ami (H** d«t la ï|tre au Havpe, noue pXufior mente J ,Jlemandi adressée au gouTrernau „ paj çws- i"- >"*■ "SiSdSS en Se temps aux «pré ; SSI £Sn ' pour répondre comme il c»nvient axix ca. lomnies entassées dans la derniè:re P cation officielle du gouvernement de Ber '"c'est justement, le dernier des factura publiés' in Allemagne et en Europe soi* je nom de « Livre blanc allemand n qui . donné aux deux oouiageux pielats 1 ide d'écrire la lettre que notre Livre gris le . bientôt connaître partout. Ce n'est pas la premiers fois que Mff Heylan engage avec le gouvernement aile maind, pour l'honneur de ses prêtres et d ses fidèles,un duel épistotare. Le « M aie Ole » a publié dans le courant de la» k protestation rédigée par 's vaillant é™qu de Namur contre les accusations dont soi clergé a été l'objet. Nous avons également signalé en soc temps le Livre blanc publié par le gouver ïiement allemand aux fins de démontrer, . grand renfort de mensonges, Téxistence d la guerre de francs-tireurs -en général e dans le diocèse de Namur en particulier. Emu par ces agressions sans cesse re nouvelles, et décidé à tout souffrir pour de feindre l'honneur de ses prêtres et de se fidèles, Mgr Hevleai résolut d'opposer à 1; prétendue enquête allemande dont le Livr blanc avait publié les conclusions, une en quête sérieuse, minutieuse', impartiale conduite dans tout le diocèse par des hom mes au-dessus de tout soupçon. Ce travai achevé, les conclusions écrites en furen remises au gouverneur général von Bis siug et aux ministres des puissances ne/u très demeurés à Bruxelles. Le sécrétair de Mgr de Namur, M. le chanoine Tarci | sius, que tout le diocèse de Namur admir pour soin intrépide .dévouement, alla lui même en remettre un exemplaire au bar ex i von der Lanekeu, directeur du départe ment politique Cette démarche eut lieu 1 isamedi 6 novembre 1915. Le surlendemain 8 novembre, le chano: . ' ne Tarcisius était appelé chez M. von de Lâneken. La relation de cette entrevu constituera un document historique de pre ; mier ordre ; l'ami auquel nous devons ce renseignements et dont la lettre à mis plu de six' semaines- h arriver au Havre nou • écrit que différentes versions ont . circul en Belgique à ce sujet.. On a notammen [ raconté crue le bon chanoine fut invectiv avec violence par le fonctionnaire aile mahd. Celui-ci aurait reproché aux évê qties, avec force gros mots, de ne rien com prendre à la situation du pays occupé [ « Mais, je ferai -voir à ces Messieurs, se se t rait-il écrié, ce que c'est que l'autorité a] leminnde.. » Le* bruit s'était répandu c jàuT-là à Bruxelles que le chanoine Tarci sius, arrêté sur r heu te, allait être dépoi [ té en Alemagne.1 Mais il n'en était rien heu [ . reusement. Là veille ou rayant-véjlle, toujours d'à près notre correspondant belge, S. Em. 1 [■: nonce apostoliques informé des intention dé Mgr Heylen, avait essayé de dissuade Sa Grandeur d'adresser t>a protestation ai gouvernement général. Mais ses effort avaient échoué devant }a froide volonté d l'évêque décidé à tout pour défendre se prêtres et ses ftdèles. L'orage qu'on pouvait craindre, d'ail leur-, n'éclata pas* Mgr de Namur eut l'oc casion, dans la suite, de voir le gouverneu H général Von Bîssing- ; il sortit, de cet entre tion, assure-t-07), avec les honneurs de 1 guerre. Aucun de ceux qui connaissent 1 E vénérable prêta* ne doute qu'il n'ait défer du avec son ordinaire' énergie les citoyen ï belges condamnés aux poires.les,plus atre ces pour avoir servi leur pays, leur gov [ ' verriêment et -leur Roi. La nrotestation des évêques de Namur 'f de Liège a été connue en Belgique, a moins dans ses grandes lignes. Mgr He} len avait démontré antérieurement l'innc cence de tous 1rs piètres de son diocrc j. dans la prétendue guerre .de francs-tireurs par T inexistence de toute espèce d'orga-ni fiât-ion de francs-tireurs dans les province de Namur et de Luxèmbourg. Dans s deuxième protestation, signée ainsi qu nous l'avons dit par Mgr Rutten égalemen il a été établi péremptoirement qu'aucun agression, même isolée, ne s'était produit ; dans ces deux provinces de la. part do civil contre les soldats allemands. Dans le Livr blanc, trois cas particuliers avaient été a légués : un ern^ernant le village de Léglisi Un autre le village de'TPali^orle. Discutai point par noint ces cas particuliers, le coi ra<reux %êjrnie, ne .laisse rien debout des a légations allemandes. Contre l'Est Africain allemaai UN SUCCES BRITANNIQUE Londrps,-21 février. — Le général Smu 'Communique . « A la date du 18 oouran <uine force ennemie a attaqué le poste c Kaqhumbo, sur la frontière de l'Ougandi Notre détachement a obligé l'ennemi à f retirer, lui tuant quatre Européens et 53 ii dligènes, prenant 8 mitrailleuses, 45 fusils . quantité, de, munitions. Nous ne subîmes a cuiiiie perte. » — Le k Daily Telegraiph » annonce qi le générai .sir Arlçhtir Pagot vient de part pour la Russe, <>ù' il va offiSiv au tsar, c - nom du roi (ieorge d'Angleterre, le bâton e maréchal de l'armée anglaise. M. Max restera en prison C'est une dénêehe de Bruxelles, via Anus terdam, qui annonçait, il y a trois semai nés, que la mise en liberté de M. Mas, l'hc roïque bourgmestre de Bruxelles était prt chaîne. C'est une dépêche d© Bruxelles agence Wolff, qui fait part à la presse a. lemande de l'inexactitude de cette nouvel!, ajoutant que « il ne peut être questio d'une mise «n liberté de M. Max pendaii la guerre ». C'est-à-dire que le vaillant bourgm-.str restera dan<s sa nouvelle geôle de Celle juf qu'à la fin de la guerre. Ainsi l'a voul le souverain félon qui, conginatulé par IV Max, en l'hôtel de ville de Bruxelles, loi de sa visite de lia capitale belge en 1910, ai surait le bourgmestre de ses sympathie pour la Belgique et pour lui<nême... Mais aue s'est-il passé et a-t-il été que: tion de la libération de M. Max ? Nous pouvons dire que oui. Il y a env ron deux mois, le gouvernement aile 'ian par l'entremise du gouvernement espagno faisait savoir au ministre de Belgique Madrid, qu'il réclamait la mise ©11 liberl des otages pris par les Belges, au début d« opérations, et spécialement d'un in! \id nommément cité. Il s'agissait, en l'espeo» d'un artiste forain, et il est superflu d'i jouter que si le gouvernement du Ka'ss s'était donné le mal de solliciter sa mise e liberté, c'est qu'il s'agissait non pas d u clown quelconque, mais bien d'un bonhon me qui, sous cet habitas, faisait de l'espioi nage en Beflgique. Le ministre des Affaires étrangères c Belgique faisait aussitôt déclarer par n. tre ministre à Madrid que, sur les 3G8 ot; ges allemands pris en Belgique, une diza ne seulement rue tombaient pas sous l'appl cation des lois militaires et nue ceux-pournaient être libérés. Pour autant tout fois, bien qu'à 368 réunis ils ne valusse] pas de bout d'un doigt de M. Max, nue 1 mise en liberté du bourgmestre de Bruxe les fût d'abord accordée. Le gouvernement belge est, deouis res 1 sans réponse. Mais des négociations ont * lieu de la part des Allemands, la premiè: dépêche partie de Bruxelles l'atteste à su ; fisance. De Berlin, on aura consulté vc ' Bissing, J Est-il exact que des propositions aient é faites à M.Max et que celui-ci ait refu d'adhérer au « modus vivendi » qu'on 1 proposait ? La chose est probable. Et il e : certain que M. Max aura préféré rester pi sonnier jusqu'à la fin de la guerre plut que de s'engager à quoi que ce soit vis-à-v des bourreaux de son pays. ; M. Trépont, le préfet dît Nord, récer ment mis en liberté et qui eut l'occasion ( ~ passer un mois auprès du bourgmestre Celle, nous a dit quelle vaillance et quel h " roïsme étaient ceux de M. Max. Il nous vanté surtout sa constante et presque' d ' concertante belle humeur, son optimisn que rien jamais n'a pu réduire. Qu'est-ce qui le dira mieux que l'extrr ' de cette lettre du bourgmestre de Bruxell reçue hier par un de nos amis et datée 1 ' Celle, le 31 janvier écoulé : 5 « Une heureuse surprise m'a été réserv ° vendredi dernier. Jacqmain (un membre c , collège échevinal de Bruxelles) accompag: , d'un officier de Bruxelles, est arrivé ici 1 . auto pour m'entretenir de certaines que tions concernant l'administration de ville. Tu penses si j'ai été heureux de 1 j voir ce vieil ami et d'entendre confirm par lui que le moral de nos concitoyens e toujours excellent. » l M. Max ne parle pas de sa libération, u; seule chose l'intéresse' et le préoccupe : é " voir q.ue les Bruxellois sont restés" dign d'eux-mêm'iss, dignes de la vaillance de le boui^m.estre. Cet homme-là ne pouva.it rien accept l des Boclies, pas même l'autorisation d'adl " vivre librement en Suisse,' puisqu'elle e comporté l'engagement d'y rester jusqu j la fin de la guerre. s Ses amis le regretteront certes pour a santé, mais tous comprendront aa dé. ; sion. Et une fois de plus, ils seront fie 5 de lui. : La IWilï- Woior 1 »Ou D Un télégramme du baron Grenier, min s tre du Roi près de S.M. Alphonse XIII, vie . de parvenir au Havre, amionr^nt que le g< . vernement alilemand a officiellement f. .part au Roi d'I^spagne d.e la mise en libei ^ de M. Léon Thôo>dbr, bâtonnier de l'Orc j et s av3.-M.ts de Bruxelles. M. Théodor serait dès à .présent en Suis; mais on ignore à qjuel endroit, e . LES FAITS DU JOUR e La Chambre des communes a volé lur e le crédit de guerre de (iU milliards' et de s de francs demandé par M. Asqvith. e Le gouvernement de la'Grande-Brelaq 1- vient de donner une nouvelle preuve de î, détermination de huiler jusqu'au bout it envisageant la création d'un nouveau r i- nistère qui aurait pour tâche unique ■ 1- poursuivre le blocus de l'Allemagne. «yvwwvww» La délégation britannique du Comité terpaiiementaire franco-afiglais est arrii ç lundi à Paris. Elle a été reçue à VElysée j) 3 M. Poincaréj et, des allocutions très a diales ont été prononcées. Dans l'après-midi, eMe a été reçue au T xembourg par M. Antonin Dubost, pré dent. du. Sénat, puis un thé lui a été offen s l'Elysée. £ l/VVWWWWf .'e Selon le Lokal Anzoiger, le président l- conseil d^Elat du Luxembourg, M. Thoi ;e a accepté la mission de former le nouve 1- ccibinct, dans lequel entreront MM. W ït ter, chef du parti libèreet Faber, soc 1_ liste, vice-président de la Chambre. VWWWWM ~ On annonce d'Athènes lu mort de M. Coi 1e tan tin Mcvromikalis, ancien président 11 conseil, qui a succombé à la grippe. C\ u déjà là grippe qui a emporté le minis le Thcotokis, et le général Gumunduros en > gravement atteint. L'ALLEMAGNE ET LA ; déclaration des Puissances - LES PREMIERS COMMENTAIRES ;l DE LA PRESSE ALLEMANDE t Nous ne aonnaissons guère enoore le sen liment de la presse allemande sur la décla e ration des puissances à la Belgique. Cette i- presse qu'on avait bercée de l'espoir de voii J bientôt «notre -pays accepter une paix sépa -• reVe est visiblement désorientée par un lui s qui déroute toutes ses prévisions. Apparem r ment, elle n'a pas encore reçu la nouvel k s consigne et, en attendant, elile se tait ou elle patauge. t- La «Gazette de Coilogneo (n° du 17 février montre dans la déclaration des puissance: i- • une première tentative d'enlever à la Bci d gique toute possibilité de conclure une pai? I, séparée » conclusion : « L'on doit lavoii à bien peur à Londres et à Paris de voir l'ai é liée belge se détacher du bloc » !... s La <( Gazette populaire de Gologne », elle u ;n° du 17 février), prétend que les causes d< », la démarche des Puissances doivent <Mr< l- (.iierchées élans le refus de la Belgique d« •r signer le Pacte de Londres ! n Le journal colonais a découvert que (t 1* ,i dispositions de l'armée et peut-être auss .. d'une grande partie de la population » son i hostiles aux puissances de l'Entente : e (( Manifestement, écrit-il gravement, 1. ). Oua.truiple-Entente n'est plus sûre de 1; t_ Belgique ; les troupes belges qui,malgré tou [. te leur résis tance héroïque, sont méprisée i_ par les Français et surtout par les Ang/Lais et sont même, insultées, sont cordiailemen L saturées de la guerre qui ne se continu ^ qu'au profit ele l'Angleterre et ne désiren a eju'une chose, la fin des hostilités. » J Le meilleur, l'unique moyen de faire ju>s l0 tice de ces billevesées n'est-il pas de les affi cher te'jles quelles ? Si ces information ' K. K. sont digérées par le public allemand f cela prouve, il faut l'avouer, pour l'estoma teuton... La feuille de M. Bachem, na.turellemenl , - profite de l'occasion pour insulter à nouvea la Belgique, faute d'avoir pu amadouer, la, faveur de la communauté de religion, ne ^ tre malheureux pays. ?" « Il n'est pas nécessaire, écrit la « Gf ? zette populaire de Cologne », d'insister pai IS ticulièrement sur ce fait que ele pareilles d'-dlarations nous laissent indifférents. Nou j1" aussi nous aurons un mot à dire lors des fi te i lires négociations de paix, au sujet du soi ,a de la Belgique, et même im mot très puk e" sant. L' (( indépendance .politique » de 1 j1 tîelgique qui-doit être <( rétablie », nous e" cuû-te Irop cher ; nous remercions -pour cett ie (( indépendance » avec ces conventions mil t aires avec l'Angleterre, et ces violations 1 nmiitralité. Pour des raisons connues, nou 3S élevons renoncer à en dire davantage. » le Môme note, le lendemain 18 février, élan la (( Gazette de Gologne », qui croit discei -e ner dans la réponse du gouvernement belg< lu le désir de garder la neutralité : lé & m (, Cette préoccupa tion du gouvernemer s- belge, écrit-elle, de se tenir strictemer la dans les limites de sa neutralité et de ne pa e- adhérer au Pacte ele Londres, arrivé tro sr Lard. Il aurait été iplus sain pour la Belg" sî que que le gouvernement belg;"; donnât pl< ce et donnât suite 'à de pareilles préocei jetions, lorsque les représen.tants de l'Ai îe gleterre discutèrent avec lui l'intervcntio a- des troupes anglaises sur le continent, ave es Utilisation du territoire belge. » Jr Le tempérament allemand reparaît dar er iouto sa beauté. Dès que ces gens oroîën er fut-ce à tort, discerner le moindre sigr ût d "Hésitation, ils redeviennent arrogants 1 à fe nt blanc de leur épée. Quand on leur tiei tète, ils battent prudemment en retraite. L sa journaux allemands sont encore tiraille u- emtre ces deux sentiments au sujet d'une d rs marche dont ils refusent de reconnaître : vêritablé signification Les faits se charg ront bien de leur enlever leurs dernière illusions Ajoutons que la « Gazette ;populaire e Cologne » inflige au baron Beyens, noti ministre des Affaires Etrangères, l'injui le* ses louanges. M. le baron Beyens, selc j.. oetle fouille, serait convaincu que ce soi nt les Ailiés el non point l'Allemagne, qui oi ,voulu et déchaîné la guerre ! •j Dieu nous garde ele défendre le minisli .f/, a filtre un pareil outrage, répété, depuis 3 pp mois, avec une insistance qui révèle un de sriii prémédité.N'importe ! On ne nous Ôtei ;as de l'idée qu'il est temps de décourage :vi.r une po-liîiqrie précise, claire, logique 1 vôritaMement nationaile, tous les Machiave ±r .''Outre-Rhin et d'ailleurs. 1 k tarnais et la guerr di ni on ne vendra plus de cereales Le gouvernement roumain vient de dép .ser un projet de loi prohibant l'ex.portatic *a 'les céréales, des légumineux, des huiles t lin et de colza, sauf pour le stock nécessai: i'" à l'exécution des contrats d'exportatio. e c'est-à-dire quarante mille wagons de n pour l'Angleterre et cent cinquante mil pour l'Allemagne. boycottage du transit S.' Los re]>résentants des Empires Centrai de la Bulgarie et de la Turquie ont pris décision de faire passer uniquement par si jheniin de fer de Nish tout le trafic qui pa i ^ sait jusqu'à .présent, par la Roumanie. dans l'armee roumaine On télégraphie de" Berlin à la « Zurch rïit post », que d'après, les nouveHes reçues < •«, iinoàrest, le ministre de la guerre a déci< 'tu ]a création de -40 nouveaux bataillons. Il ci- aura des changements-prochains dans ta- haut commandement. echec de la mission carp On s.lit que l'ex-président du conseil ro i,ç- main, le très germanophile M. Carp, éfe du cillé ces jours derniers en mission à Vienn •,st II est rentré à Bucarest. On dit que la mi \re s on, qu'il s'était fait attribuer, concerna ;st des concessions temtoriales à obtenir i l'Autriche, a échoué. A propos de Baerle Duc UNE LETTRE DU BOURGMESTRE VAN G1LSE On se rappelle ejue dans notre numére du 29 janvier, nous avions reproduit un»e içiormaition de la « Croix » de Paris relati ve à la situation faite par les autorités hol landaises aux belges de l'enclave de Baerle Duc. Nous recevons à cie sujet une lettre de l'honorable bourgmestre de Baerle-Duc M. Van Giilse, qui se dévoue avec une ar ■ deur dont il nous est revenu maint écho ai - bi.en-être de ceux de nos compatriotes qui à l'abri d'un ruban de terre neutre, font le • nique à l'occupant boche. Ce n'est pas lu ■ qui verra sans protester les autorités ho' landaises imposer à sa commune, sou: prétexte de neutralité, un régime de vexa tions à rendre jaloux les maîtres d'en face Mais il estime avec raison, dans l'intérêt d.; la cause belge, que s'il v à des erreur: dans l'information de notre confrère pari sien, il faut les redresser. Nous regrettons beaucoup que le manqm i de place nous empêche de publier sa lettn ; « in extenso ». Mais voici les points sur les ; quels il attire notre attention : : 1° Ge ne sont pas les enclaves belges cfu ont été entourées d'un réseau de fil de fer : mais tout le territoire belge>-hollandais d« ! Baerle-Duc et Baerle-Nassau. C'est à l'in 1 térieur de tout ce territoire que l'on a inter dit l'importation des marchandises décla rées contrebande de guerre. 1 2° Les habitants de l'endroit circulent li 1 bremont en territoire belge et hollandais " 3° U ne peut être question d'exiger de 5 passeports portant le visa allemand. I | n'existe à Baerle aucune autorité alleman , de, et les Bel ces crui arrivent du territoir y occupé possèdent leurs passeports de K omm andanturs. 4° Le gouvernement hollandais n'a cess de se préoccuper du ravitaillement de la pc ~ pulation belge de Baerle. * 5 * A Nous donnons acte volontiers à M. va c Gilse de ses observations, mais nous fa: sons remarquer que sa lettre n'infirme e: rien les conclusions de l'encjuête d I (( XX0 Siècle », touchant ce que nous a.von • appelé dans notre numéro du 5 février, le • scandales de Baerle-Duc. Ces conclusion ont été au surplus corroborées par nos cor frères belges de Hollande. Nous maintenons notamment que ne compatriotes ne peuvent pas circuler 1 ibre ment à l'intérieur du territoire de Baerîë,< s de nouveaux renseignements, que nous r< , eevons à l'instant, nous montrent que 1< ^ gardes hollandais fouillent de préférenc les employés de la T. S. F. à leur passag J en territoire hollandais. p En ce qui concerne le ravitaillemen . nous ajouterons aux détails précédemmer donnés la précision suivante : Nos conip? ^ trio tes de Baerle-Duc ont failli être prive de moutarde, et ne peuvent plus recevoi de chocolat. Motif : 3e chocolat contient d beurre de cacao, et la moutarde renfenr de l'huile : ces deux produits peuvent êti utiles au fonctionnement du poste ô '' T. S. F. ! s L'BFFQRT DE LA RUSSIE p )>0« ." INTERESSANTES DECLARATIONS MINISTRE DE LA GUERRE t- Le général Polivanoff, ministre de la gue II re de Russie, a fait les déclarations que vc c ci à un correspondant du .< Times >> : « En assumant la responsabilité de dirige le Ministère de la Guerre, je me suis prop' s sé dé mener à bien une triple tâche : fourn '• aux armées des munitions en quantité su R fisante, développer le plus possible la pr '[ duction du matériel de guerre et faire l'éd n .cation d'une nouvelle armée complètemei s entraînée. A l'heure actuelle, la productic des. munitions a plus q.ue tripJé .et les b -■ soins de l'armée sont plus que largemei a assurés en raison des larges résea-ves acci n.ulées. » « Au printemps dernic-r, l'armée rus-„ avait besoin de nouveaux effectifs pour p. rer à ses besoins. La première mesure qi ,e ; ai prise a été d'appeler sous les ^rapear n 1.500.000 hommes, l'ourles recevoir, les c. ,1 sennes et les dépôts nécessaires furent con !■ truits sans retard. Depuis, j'ai maintenu môme nombre d'hommes qui «ont soumis ■e un entraînement intensif permettant n maintenir tous des régiments à leurs effe tifs complets. » i « Rendant ce temps, la production des f r, sils s'est accrue de Ï00 0/0 au minimum, ta; st clic que les approvisionnements fournis p: l'étranger augmentaient de leur côté, ma gré les glaces qui bloquaient nos ports c - Nord. » «"Je peux en dire autant en ce qui co: o corne la. fabrication des canons. Caruii d .président du conseil spécial je suis plus pa iiculiièrement intéressé aux entreprises q de près ou de loin se rattachent à la guerr et j'ai pu, à ce titre, aider et encourager 1 nouvelles et très nombreuses affaires qui créent partout en Russie. n « Mon but est d'obtenir que quelle qi le soit l'époque à laquelle la fin de la. guer •e pourri, ftre envisagée, la Russie sr.it, à i, moment, complètement équipée pour .par lé à tous les besoins et, par conséquent, pu le en situation de oontinuer les hostilités, si c la était nécessaire » Ohez las socialistes ailerai IX 'a le UN EX-DEPUTE AltltE'II. 3" Ôn ahnioncé de Berne que J'ex-député s ciaîisle à la hambre de Prusse, Borchàrc a été arrêté. 11 était fondateur de la Féd ratian socialiste internationale ateffianc ;r et éditeulr de la revue <i Lichstrahlen ». le D'après une autre information, Borchar lé a été simplement placé sous la surveillai! y .mïliiLa.i.r-e de Berlin, depuis samedi demie le On oroit qu'une action judiciaire est ou/v< la contre lui pour incitation à la.révolte. ROSA LUXEMBOURG «EMISE EN u_ LIBERTE .it Le n Berliner Tagebla.lt » annonce que e 18 février, à trois Ffeures et demie de l'aprt s- midi, Rosa Luxembourg a été rerriise . :it liberté. Bile avait été condamnée par le tr le bunal de Francfort, en mars 1914, à un i de prisa» ; en asie-mineure , f Mflfl LES TURCS sort partout refonte — » ils evacuent la region cotiere (A'WVX'WWVWW/ï i Pctrograd, 21 lévrier. — Ofliciel. — DAN: LA REGION COT1ÉRE, nos unités ont de . logé les Turcs du bassin de la rivière Viise i sou: elles les ont refoulés derrière la vivièr Botjoukdere. i Dans la voursuité (le l'ennemi DANS Li . REGION D'ERZEROVM, nous avons eneof, lait prisonniers plusieurs centanes d'aska , ris. Un détachement de cent cosaques, ren | contrant dans la montagne une colonne lur que [ormée d'infanterie et d'artillerie, l'i attaquée bravement et l'a dsversée. Notr , inlanlerie a capturé trois batteries de cam , pagne et de nombreux caissons d'artillerie DANS LA REGION DE KHNYSlsw d'Erzeroum), notre cavalerie a chargé d I grandes forces d'ntanlerie turque et un régi ment de souverks (cavalerie régulière) alla ' clié à la première. Les Turcs ont abandonn le. terrain, laissant de très nombreux tués Nous avons lait en outre des prisonniers. • »o« les russes coulent 13 voiliers turcs ' Pclrograd, 21 lévrier. — Oljiciel. — Le , torpilleurs russes ont détruit 13 voiliers su lei côtes d'Analolie l les russes exploitent vigourec 3 sement leurs succes Les Russes poursuivent sans rép.iî le i Tu/rcs battus à Erzeroum, on leur faisant d - nombreux prisonniers ; la grandie victoir remportée par nos alliés a «u comme cons. quian.ee inévitable un mouvement de reci des trouipes turques, qui s'étendaient a 1 mord jusqu'à Arkhave et au sud vers le la de Van. 1 Le groupe nord bat en retraite dans 1 1 direction: de Rize, sur la mer Noire, ti l'e: s die Trébizonde; il est probable qu'Olty (vil s ros&e de la frontière du Cauicase) a été abai s diaunéei; aucune dépêche n'est encore vent ■" le confirmer. Les troupes qui onl pu s'échapper d'Erz. s roum sont en fuite sur Mamakhatoum . Erdizànijan, MM Touest. :;t Q-uanit au groupe sud, il semble, après I .prise de Mouch par nos alliés, chercher s rojoàndre les T'urcs de Mésopotamie, e Toute cette armée turque est en pleir e désorganisation; elle manque de vivres < de niiuiniiisoœ; tes coups quç lui portent ne t; ailîiés achèvent d'en disperser les restes, . it même avac le secours que les Allemanc t.- s'eftorieeroint de lui donner, elle sera inc; s pable de rentrer en ligne avant longtemps r La prise de Mouch, au sud d'Erzeroun u es>t spécialement importante parce que cet e ville est le point de jonction de routes pris e cipales et qu'elle a étié récemm.eint utilis* e par les Turcs comme magasin et centre d'e; iiratnfcment des réserves. Deux division - qui avaient été coupées Klu corps princip. de la troisième armée, à la fin de janvie s'y étaient retirées. Maintenant, elles : trouvent coupées à nouveau et s'enfuie] vers le sud, dans l'espoir de rejqnidre 12° corjîs dfarmée que l'on dit êti-e en ma cilié venant de MossouJ. LA DEFAITE TURQUE sur le LITTOR.» r L'extrême-fianc dro-it de la ligne turqi en Asiî>Mincure, qui opérait le long du Ji toral sud de la mer Noire, paraît être dar ir une situaiton périlleuse, d'après le corre 3- pondant du Daily Telegraph h Petrograd. ir Les Turcs, qui sont iià 50,000, étaient co] f- centrés non loin, de la frontière dés pr y- vinces russes'du Caucase, dans une tri 1- forte position, évidemment organisée soi it la direction d'ingénieurs allemands. n Avec l'appui de la flotte russe, les Turc 2- furent expulsés des tranchées. Ils baltei it miaintenanit en retraite sur Trébizonde: C i- dit qu'ils devront suivre la côte. Ils seroi alors exposés au feu de la flotte russe, c ils devront, passer par Hioumiouch-Hane L_ trouveront a.Wrs probablement, leur rou ,, barrée par les troupes russes d'Erzeroun x Quel que soit le point de leur ligne qi L nojis consignions, la situation des lroup< 3. torques "en Arménie semble diésespérée. le Si les Russes peuvent poursuivre leu: a brillanits succès avec la même rapidi le qu'ils l'obtinrent, la victoire d'Erzerou c. cîécidiera du sort de la guerre dans cette r gion. !. LES TURCS SERAIENT SECOURUS v Petrograd, 21 janvier. — Le corresjH). .r dant do. la Gazelle de la Bourse de Tifl .!- télégraphie que dûux corps turcs qui ma i c basent comme renforts sur Erzeroum o rabroussé chemin en apprenant la chute i i- la îorteavss'e. .e D'auihre part, on annonce qn'Enver Pach r- vienàht de~Siva.s, marcherait au secours d ai Tua-cs en retraite. e. ^ « EN ALLEMAGNE ' ^ LES EVEQUES D'OUTRE-RHU4 VON PRECHER LA RESIGNATION A LEUF îr FSDELES. 1S On assure de source'neutre au correspo l'" daait romain de « l'Echo de Paris », que 1 évêques allemands, réunis à Cologne, pi - parent une importante lettre pastorale c< lective aux catholiques allemands. Dans cette lettre, les évêques alleman essayeront d'expliquer pourquoi ils n'o pu accepter le tribunal d'honneur propo par l'épiscopat belge, o- Us exhorteront ensuite les fidèles à su it, porter courageusement les maux de tou é- sorte occasionnés par la guerre, et à : te s'écarter en'rien de l'obéisstajace due ai autorités. dt On croit que cette lettre a été suggéré se sinon commandée, à l'épiscopat par le go r. vernement de Berlin, qui recourt à tous 1 r- moyens pour remonter le moral des pop lations, et les encourager à continuer guerre. LES TROUBLES DE BERLIN ET le D'AIX-LA-CHAPELLE g. On confirme à La Haye les troubles q ;n ont eu lieu à Berlin, le 5 février, dans -i- quartier Moabit, ainsi que ceux qui ont é m annoncés comme ayant eu lieu à Aix-1 Chapelle. DERNIERE HEURE • > Co)—- Communiqué officiel français Paris,, mardi, 15 heures. -, EN ARTOISf à la suite du violent bombardement signalé hier en fh de fournée, l ennemi a effectué une forte attaque sur nos positions du bois de Givenchy. Il a pu pénétrer dans nos tranchées de première ligne complètement bouleversées sur un front de huit cents mètres environ et sur plusieurs points dans notre tranchée de doublement dont a la suite d'une contre-attaque de notre part, il n occupe plus que quelques éléments. L ennemi, dont l'effectif peut être évalué, à sept bataillons, a subi des pertes considérables du fait de nos tirs de barrage et de nos feux d'infanterie et de mitrailleuses. Au suxl-est de Roclincourtt fennemi a fait sauter une mine dont nous avons occupé l entonnoir. Cûntfaualionde Vactivité de l'artillerie dans ta LLGWN DE VERDUN ; les Allemands - ont attaque, hier, en fin de journée nos wo-. sitions à l'est de Brabant-sur-Meuse, entre le bois Ilaumet et Herbedois ; ils ont pris pied dans quelques éléments de tranchées avancées et poussé par endroits jusqu'aux tranchées de doublement. Nos contre-atta-ques les ont refetés de ccs dernières. Nous avons fait une cinquantaine de prisonniers " DE MPPOIS (Haute-Alsace)^ ] sèes ^ allemandes ont été repous+ r nCJ?£%îi£sZez Qrm(te de Vartillerie SUR s lMFR°-NT CHÂPELOTTE'BAN DE SAPT c en> nA zeJW.elln « survolé Lunéville dans là e fT et a ieté Quelques bombes qui V" ont cause que des dégâts matériels peu i! ^Portants. Poursuivi var nos avions il u 5 est dirige vers Metz. ^ c »o« yiSJTE DE MINISTRES FRANÇAIS ,t A LONDRES e Londres, 22 février. — MM. Sembat e( i. i amlevé et des personnalités politiques e lrançaises sont arrivées dans la soirée. Le ministre de l'Instruction publieme el des Inventions a rendu visite à lord Kit< it chener. ? la coordination des efforts en angleterre e Londres, 22 février. — Selon Je « Daily :t ielegraph », un comité permanent serait hS constitué pour coordonner ies services .1e H l'aviation navale et militaire, sous ia elirec-' !s tion.de Lord Derby. LE ROI GEORGE EST RETABLI e Londres, 22 janvier. — Le Roi est complè* i. ternent remis de son accident. ic Les médecins lui ont permis de reprendre i_ ses occupations habituelles, notamment ses 3, visites aux camps d'instruction. il »o« UNE MUTINERIE DANS LES TROUPES ^ AUTRICHIENNES EN ALBANIE le Rome,_ 22 février. — Les troupes bosnia-p ques qui avancent en Albanie, composées de territoriaux, se sont révoltées, refusant de continuer la campagne, parce qu'elles souffraient terriblement des mauvaises con-te ditions atmosphériques. t% Le général autrichien commandant ces us, troupes les a fait entourer et fusiller. 3- ))0« ^ a salonique > Londres, 22 février. — On mande de Sais Ionique au « Daily Telegraph » que le pilote 18 d'un aviatik" abattu par les Alliés, avait réussi à fuir, mais il a été repris. :s —~i!0« ll une cathedrale incendiee il au canada „ Québec, 22 février. — La cathédrale de ^ Ec auport a été incendiée. e Les habitants croient que c'est l'œuvre 1 t'es germanophiles. [G Dès lettres de menaces avaient été en« ,s voyôes au ciuré de cette cathédrale. s EXECUTION D'UN ESPION Paris, 22 février. — Ded Pasi, ejui avait ? été condamné à mort, le 5 janvier, pour espionnage, a été exécuté ce matin. ?■ La Grèce & l'Entente y. »0« lt le le général sarrail a athènes a. Après avoir été annoncée, puis démentie, ;s la nouvelle d'u voyage du général Seunail à Athènes «ist officielle aujo"ifàrui On attri- . buie unaniinemerat à cette mission unie grande importance politique, et l'on fait remarquer à ce propos que l'atmosiphère diplomatique d'Athènes .est die jour en'jour plus cordiale et plus franche. T Le général Sarrail a quitté Salonique !S dimanche, ù bordi d'un "con tre-torpilleur ; il "était accompagné de son chef d'état-major n- et de deux officiers d'ordonnance. 33 II est arrivé au Pirée lundi dans la mati-é- niée, ve.t 'H a été reçu immédiatement en au-,1. dierace par le roi. La population d'Athènes a fréquemment ls acclamé le général français. La presse, même la presse gouvernementale, a salué sé scia arrivée en termes enthousiastes. la tension greco-turque P- te Genève, 20 févirier. — Les journaux de la le Suisse allemande écrivent que la tension ix entre la Turquie et la Grèce s'est sensiblement accrue à la suite de la décision du e, gouvernement turc de déporter les familles u- grecques habitant la Turquie. es j'a un incident walo grec L'Italie a fait des représentations au gour Meirnement grec à propos d'un incident survenu à la Chambre grecque, où un député ui avait interpellé sur le débarquement de cale rabiniers italiens à Carfou. té Le gouvernement grec, après avoir reçu a- la protestation italienne, a publié une note dLsaat que « l'incident était clos ».

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Cet article est une édition du titre Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique appartenant à la catégorie Katholieke pers, parue à Bruxelles du 1895 au 1940.

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