Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1914, 26 Avril. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Accès à 03 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/959c53fz97/
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L'UNION DANS L'ACTION VINGTIEME ANNEE N° 116 ABONNEMENTS Pour toute la Belgique On an fr. 0.00 Six moi* . , . .... «.00 Tro» mois . 2.11 Sr.-DncM d» Luieml. 20.C0 Unloe ..... 30.00 Directeur : Fernand NEURAY Edltlcn (6 h. soir) Edition JjS-Jf {10 h. soir) Edition JjC (minuit) LE XXe SIÈCLE ANNONCES Annonces ordin., petite ligne . Réclames (3* page), la ligue. 1.59 Faits divers corps . , * 4.0 Q Faits divers fin. , . » 8.00 Réparations judiciaires v 3*00 Nécrologies . . . . » 2420 Les annonces sont rnçues au bureau du journal 5 centimes »e numéra Téléphones 3643 et 3588 Instar-are omnia in Ghristo Rédaction et Administration : 4, impasse de la Fidélité, 4, Bruxelles EDITION * Le jubilé parlementaire de M. Helleputte M. Georges Heileputte "L'arrondissement de Tongres-Maeseyc célébrera aujourd'hui le jubilé de M. Georgt Beileputte, ministre de l'Agriculture et ac Travaux publics, représentant de Maeseyc depuis 1889. Toute la Belgique catholiqu s'associera à cette manifestation. Par so talent, son caractère, son infatigable activât et 1!éclat de ses services. M. Heileputte aj partient à cette élite, à la fois dirigeante ( représentative, qui a imprimé sa marque, d< puis 1884, sur notre parti et sur le pa^ même. Ingénieur artiste, professeur, déput ministre, il a pris part, et toujours au primer rang, à toutes les batailles intelle tuelles de ces trente dernières années. Ch< beaucoup d'hommes, il arrive que l'idée par; lyse l'action ou que l'action tue l'idée. Con bien de vigoureux esprits ont perdu, dans h délices de la méditation solitaire, la faculi d'agir ! Combien d'homnies d'action ont al jure, dans la fièvre et l'ivfesse de luttes sar cesse renouvelées, la* religion de l'idée, doi ils finissent par aire, comme les bourgeo voltairiens disaient au catholicisme, qu'el. est bonne pour le temps de la jeunesse un quementl M. Heileputte, lui, a été, toute î vie, un homme d'idée et un nomme d'actioi Il a défendu avec ardeur, avec éloquenc avec courage les idées qu'il croyait néce saire6 au succès de sa cause et au bien de se pays. Et il a créé, pour les réaliser et lei gagner l'opinion, des œuvres que le succès tout de suite couronnées et dont l'une a moins — les « Boerenbonden » — a servi c type à toutes les associations agricoles qi ont relevé et sauvé l'agriculture en Belgiqu *•* M. Heileputte a été un des premiers € Belgique à aiguiller le parti catholique vei la politique sociale et la législation ouvrièr-Assurance obligatoire contre la vieillesse, 1 maladie, les accidents ; intervention législi fcive en vue d'améliorer les logements oi vriers ; droit de posséder et de faire con morce aux associations ouvrières: limitaio de la durée du travail; tout cela, qui de raissait téméraire en 1890, quand M. Heîl< Futte et ses amis commençaient de leve étendsnf #11 catholicisme social, est entr dans notre législation ou y entrera tout l'heure. Il y a trois ou quatre ansr, M. Aristid Briand mettait à la mode en Franco ce qu' appelait « Pactionuariat ouvrier », c'est-; dire la participation des travailleurs et de associations ouvrières, en qualité d'actior naires, à la direction des entreprises indu; trielles. M. Aristide Briand n'a rien inventf L'« actionnariat ouvrier » a été défini et pr'e conisé, en 1890, à l'un des congrès de Liège par M. Heileputte, devant un auditoire auss enthousiaste* de sa chaude éloquence qu rétif à l'endroit de ses « témérités ». Quell joie pour un homme que de vivre assez long temps pour voir les idées de sa jeuness triompher de l'inexpérience, de la passion de l'intérêt, de toutes les contradictions, e estimées à la fin si pratiques et si belles au tout un bataillon d'hommes d'Etat se ais putent l'honneur de les avoir inventées! Toute la doctrine sociale et politique d •M- Heileputte découle d'un principe clair Postulé par les exigences de la morale et d «a- civilisation chrétiennes, qui a fait se preuves dans l'histoire et que l'expériene Vérifie : relever la classe ouvrière, augmente son bien-être matériel, intellectuel et moral et lui donner la plaee à laquelle elle a droi «ans la société sans livrer l'Etat à sa dicta ture. Toutes ses idées ont jailli de cett< jf0®» toutes ses œuvres aussi. l'ouvrier puisse avancer e • élever sans être oblige de sortir de Si k classe : d'où la corporation, qui formera ur s élite d'artisans et d'artistes assez instrui s pour s'imposer à la clientèle la plus exigeant k et pour goûter les délices du travail persoi e nel au sein d'une organisation sociale fonde n sur le labeur impersonnel et sans joie ; d'o é les «Boerenbonden», que d'aucuns traitaier )- de chimère en 1890, et qui couvrent aujoui :t d'hui tout le pays. Il faut que la classe çi ï- vrière ait sa part d'influence politique dan s l'Etat; d'où la représentation des intérêt: ï, qui établit, organise et limite le suffra-y î- universel. Passera-t-elle jamais du laboratoir ï- des sociologues dans les législations1? Il fai :z drait être devin pour le dire. Des qu'il a ét i- question de remettre sur le métier nos loi i- électorales, une élite s'est levée, en Belgique !s pour la défendre. Ce ne serait pas la pr< é mière fois qu'on verrait une élite créer u )- courant et entraîner l'opinion. Partout e is Europe, les signes d'une réaction intelle< ft tuelle contre le suffrage universel inorganis is s'accusent et se multiplient. Ainsi que notr e ami Graindorge l'écrivait l'autre jour, le m i- rage s'est évanoui, les voiles sont déchiré; a on demande au suffrage universel des compta i' positifs et précis, et le bilan de ce qu'il a fa: 3, pour le bonheur ou le malheur des peuples s- Spectacle composé a souft.iifc pour l'amuse n ment des hommes accusés de trahir le peupl ir juste au moment où ils défendaient son ave a nir en opposant le fait social à la sentimer u talité ou a l'idéologie ! e J1 Fou Charles Tardieu louait en ces termes "* au mois de juillet 1899, dans 1' « Indépen dance belge », le discours que M. Helleputt venait de prononcer à la Chambre contre 1 n représentation proportionnelle : « L'honorable député de Maeseyck est u '• homme de grand talent. Architecte, il sait cor a struire un discours. Son plan tracé, il le re l" hausse de touches vives qui tapent à l'œil. Ora l" teur élevé à l'école apostolique, il le développ i' avec une sorte de furie affirmative qui échauff n les adhésions anticipées et même ébranle u instant les hostilités. Voiià certes 1e plus jo' i- compliment que notrç sincérité puisse lui ac r corder, s é Ecole apostolique nous semble un pc à baroque. Mais n'importe, de la part d'u: adversaire, à la fois anticafholique et pic e portionnaliste, le compliment est en effet joli il Dans leurs moments do sincérité, les adver - saires de M. Heileputte le ratifient en l'ac s centuant. Personne à la Chambre n'est insen ■" sible à sa chaude et vivante éloquence. Com i- bien de fdîs avons-nous vu rassemblée fré '• missante, et partagée à son endroit entr< - l'enthousiasme et Ta fureur! Nerveux, souple j incisif, alimenté par une culture étendue, h 1 talent oratoire de M. Heileputte ne peut lais e ser personne indifférent. Il a une façon d< e ramasser et de camper l'argument qui l'a mi: - tout de suite aux premiers rangs de nos ora 3 teurs parlementaires. Aucun ne sacrifie moin: , que fui à la banalité et à la rhétorique t Comme il n'apprend jamais ses discours pa: 3 cœur, aucune interruption, aucune clameu; - ne le trouble. Bien au contraire ; chaque in terruption l'excite et l'éperonne. C'est ur î régal que de le voir arrêter l'interrupteur, 1< , poursuivre, le larder. De tous nos bon: 2 debatçrs, les habitués des tribunes, excel î lents juges en général, le tiennent pour 1< î plus spontané, le plus naturel, le plus vivant t" Un rare et heureux mélange d'idéalisme e , de positivisme, de sensibilité et d'exact t tude, de finesse et de géométrie : voilà, ï - notre avis, avec une foi ardente et invin î cible, la caractéristique du talent, de la per sonnalité, de toute la vie de M. Georges Hel t- leputte. Un article ne suffirait pas à. résumer^arôcx BULLETIN POLITIQUE C'est aujourd'hui tjiïont lieu, dans toute la Francet les élections législatives. Comme Vexpose plus loin notre correspon-dantt parisien, il ne sera guère possible d'en déterminer avant quelques jours l'issue véritable. — S'il faut en croire une information parue dans la presse de Saint-Pétersbourg, au cours du séjour des souverains anglais à Paris aurait été conclue au moins dans ses éléments essentiels une convention militaire réglant la coopération éventuelle des forces anglaises et françaises. Vin-formation ajoute que cette convention, dont l'initiative avait été prise par la Russie, avait déjà été approuvée par les diplomates de la Triple-Entente. Cette information, que nous ne signalons que sous bénéfice d'inventaire, nous parait très sujette à caution. — Dans le conflit qui met aux prises 'les Etats-Unis et le Mexique, il n'y a guère de changement à noter aujourd'hui. De part et d'autre on se prépare à une lutte qu'on prévoit devoir prendre une certaine \ ampleur. Ce qui mérite d'être noté, c'est l'inquiétude qui se manifeste en Allemagne et l'attitude très irritée de la presse allemande contre les Etats-U nis. On s'expliquera cette 'uiquiétude et cette irritation si l'on considère que le commerce de VAllemagne avec le Mexique a passé de ■ 55 millions, en lçOS,à 80 millions en 1912. , — Dans les sphères diplomatiques grecques il se dit que la Porte a refusé comme insuffisante la proposition du gouver7ie- 1 ment hellénique concernant le règlement de la question des îles. La Grèce proposait , dit-on, de conférer aux consids turcs \ dans les îles, ou à des commissaires spé- j ciaux, des pleins pouvoirs leur permettant 1 de surveiller la contrebande et d'empè- , cher que les îles ne fussent fortifiées. La i Turqi\e mainti\ndrait Actuellement sa première idée, consistant dans Véchange ' de Chio et de Mytilène contre le Dodéca- ] ne se. En outre la Grèce obtiendrait à titre de compensation certains avantages pour son commerce. ' ^ c -1, i Deux discours à répandre ■ sOi Nos lecteurs trouveront reproduit plus loin d'après les Annales parlementaires le texte des discours prononcés au Sénat par MAI. les ministres de Broqueville et Poullet au ] cours de la discussion du projet scolaire. C'est un exposé clair et solide de la politique catholique en matière scolaire, une justification irréfutable du projet de loi sur equel nos adversaires s'efforcent de tromper l'opinion. La lecture de ces discours est de nature à iissiper bien des préventions accumulées par < me lougue campagne de mensonges. A nos amis de les répandre dans tous les ' irrondissements où la bataille électorale est f mgagée. Voulant les y aider, nous avons dé- : 1 ;idé de leur offrir à des conditions excép- < ionnelles de bon marché le tract de quatre l >ages contenant ces deux discours. I < Ce tract est mis en vente au prix de : j 1 francs le mille, les frais de port restant à !v a charge de l'acheteur. Adresser les demandes, accompagnées du ! * nontant de la somme due, au bureau du ' j, ournal, impasse de la Fidélité, 4, à Bru-1 a :elles. |a i c •j fiTii ...ni " ' ' V >rièvementj son œuvre parlementaire. Avant in'il fût ministre, ses rapports sur les bud- 1 ;ets extraordinaires passaient à juste titre n jour des modèles. S'il n'a pas réussi à em- n >êcher l'avènement de la proportionnelle, à € aquelle il préférait, pour des raisons aussi ]' ilevées que solides, la représentation des i V ninorités, il a fait échouer, heureusement, la T îrantle Coupure,^à force de ténacité et de A >ersévérance. En 'matière scolaire, il défen- R lit, en 1895, avec le baron de Broqueville lotamment, un projet original qui aurait c émis aux pères de famille associés la direo- rj ion des écoles. Le Oiel nous garde d'écrire ^ in seul mot, au moment où la nouvelle loi Q ra contenter enfin les légitimes revendica- ions des catholiques, qui puisse ranimer des r> [uerelles évanouies, il faut l'espérer, pour j ^ oujours. Mais on ne nous ôtera pas de l'idée n lue la question scolaire serait résolue depuis r( ingt ans si la Droite et !e Gouvernement v; 'étaient ralliés à ce système, qui avait reçu n 'adhésion de quelques-uns ae nos adve-r- p aires politiques. Ajoutons que, ministre des fi hemins de fer, en 1907,dans le cabinet formé iar de Trooz, M. Heileputte prit une part v mportante à l'élaboration et au vote de la a oi militaire de 1909, premier pas vers la réor- À! anisation de l'armee, qu'il eût été difficile, our ne pas dire impossible, d'opérer en une d eule étape, dans un pays où les traditions 1' ont plus lentes que partout ailleurs — et il U e faut pas s'en plaindre — à s'ébranler et d se modifier. *«• o Les catholiques de son arrondissement le j smercieront tantôt pour tout le bien qu'il p îait à ses manelants, au parti catholique et [g u pays.Qu'ils nous permettent de joindre no- v] 'e voix à leur concert.Nous y avons quelque a; tre. Le «XX# Siècle» doit la vie à M. Helle- ^ utte. Avec le baron de Broqueville et le feu C( uc dTJrsel, c'est lui qui a fondé le journal, ^ ui l'a soutenu aux heures difficiles et aux v. mrnants dangereux. Pendant plus de dix ns, il lui a donné le meilleur de lui-même, ous aussi, nous aurons bientôt un jubilé à îter. Ce sera le sien en même tempe que le r{ ôfcre. Et nous osons nous flatter qu'il lui 3ra au moins auasi agréable que la fête de ^ emain. j F.N. ii Le Congo n'est pas à vendre 0^0*0 À propos d'une suggestion folle ou criminelle Un Belge vient de proposer de vendre a l'Allemagne une partie de notre colonie. Nous n'avons pas cru devoir prendre la peine de discuter cette suggestion, mais certains journaux lui ont accordé plus d'attention et l'un ou l'autre se met même à la discuter sérieusement. C'est une erreur contre laquelle il est nécessaire de mettre l'opinion en garde. Nous sommes heureux de pouvoir reproduire ici l'avis plein de clairvoyance et ae bon sens exprimé à ce sujet par le t Matin » d'Anvers : « Alors, quoi, c'est sérieux, demande notre confrère libéral. On discute çà et là la question de savoir s'il ne conviendrait pas de vendre une partie du Congo, de la vendre pour consolider la situation financière de la Belgique. Ce serait simplement comique si des confrères ne se donnaient la peine de discuter ce ballon d'essai, de telle sorte que les adversaires de la politique coloniale, les gens restés hostiles malgré tout à l'œuvre de Léopold II en sont à se demander si cette idée n'est pas à :reuser 1 II s'agirait de vendre à l'Allemagne 380,000 kilomètres carrés, toute la région du nord du fleuve et limitée à l'est par les lacs. L'Allemagne pourrait ainsi relier le Kamerun k l'Afrique orientale allemande. Il y a bien le iroit de préférence de la France, mais on tourne la difficulté en un tour de main : l'Allemagne céderait à son tour 260,000 kilomètres i la Franoe et tout serait dit. La Belgique, elle, ;oucherait une somme énorme, queleiue chose :omme deux à trois milliards — de quoi remplir les caisses du trésor belge pendant des innées... C'est de la folie pure — et de la folie dange-euse—parce qu'elle peut entraîner les adversai-es du Congo dans un mouvement détestable. Est-ce parce qu'on se heurte actuellement à des lifficultés d'organisation parce qu'il y a un ef-ort énorme à faire ah Congo; parce que cer-aines convoitises s'affirment çà et là que la 3elgiq»ie va abandonner la partie et se résigner iu plus lamentable aveu d'impuissance. Est-:e pour faire de l'argent pour les nécessités nétropolitaines que la Belgique a librement ac-:cpté une grande mission civilisatrice en Afrique? Et si l'on se figure sauver une partie du "ongo en vendant très cher une autre partie, >n a d'étranges illusions. C'est la conception le gens qui se font une idée absolument fausse le la situation internationale en Afrique équa-oriale — situation qui ne peut être réglée sans e concours de l'Angleterre ». Tout cela est navrant, comme l'écrit le i Matin », "parce que de telles discussions ians le vide ébranlent la confiance de l'opi-lion belge dans l'œuvre coloniale — et sans nie confiance solide, sans une véritable foi lans l'avenir du Congo, il sera impossible lux Belges de mener cette œuvre à bonne fin. ■ LES GASPILLAGES do L'HOPITAL DE JETTE îotre incomparable Conseil des Hospices en est réduit à demander deux millions de crédits supplémentaires Le scandale des hospices continue. Nous ivons dit que l'hôpital de Jette, qui a déjà ■nglouti près du double de la fondation îrugmann, finirait par coûter une douzaine le millions. Les défenseurs du conseil des îospices l'ont toujours contesté. Mais à meure que le travail avance on est bien obligé le reconnaître que les prévisions premières eront considérablement dépassées. Voici que e conseil communal va être saisi lundi pro-hain d'une demande dç crédit supplémen-aire de 1,953,259,13 fr. On va voir qu'après .voir a négligé »" de construire les égoûts, le onseil des hospices, responsable de tout ce "âchis, avait omis ae prévoir quelques tra-aux tout aussi dispendieux. Voici comment le conseil des hospices ex-ilique l'augmentation de la dépense prévue : « Depuis ^l'établissement du devis, en 1909, ï prix des matériaux ainsi que les salaires, ont ugmenté ; les maçonneries ont été exécutées u moi'tier de ciment au lieu de mortier de ' haux, pour permettre de poursuivre les tra- : aux pendant lés grands froids; au cours de 1 exécution des travaux, il a fallu,, comme dans < )ute entreprise importante, faire face à des < nprévus. » Le réseau de la Compagnie intercommu-ale des eaux, auquel l'hôpital sera raccordé, 'a pas une pression suffisante pour combattre ficacement un incendie au point culminant de hôpital, et il a fallu, en conséquence, PRE-01R LA CONSTRUCTION D'UN CHA-EAU D'EAU DE GRANDES DIMENSIONS VEC INSTALLATION D'UNE POMPE DE EFOULEMENT. d Dans la présente demande de crédit est imprise l'acquisition des installations de sté-lisation des salles d'opération, les installa- j ons des cuisines, de la radiologie ainsi 1 ae l'acquisition du gros mobilier. < » Il est indispensable de créer des voies d'ac- < is vers l'hôpital; les communes de Jette-St- i ierre et de Laeken ne veulent ni supporter les Ipenses, ni intervenir dans les frais occasion- c 5s par la création des voies publiques qui au-mt d'ailleurs pour conséquence de mettre en Ueur les 12 hectares de terrains que l'admi- 1 istration charitable possède autour de l'hô-ital et dont une grande partie sera ainsi à ont»d'e.rue ». N|est-ce pas stupéfiant? Mais si nos sou-înirs nous servent bien, tout cela avait été € inoncé et prédit au conseil communal par J .. Brassine, conseiller communal catholique. L'insuffisance de pression d'eau avait été énoncée par lui et M. Brassine avait signalé urgence qu'il y avait de procéder à cer- p Lines adjudications en présence de la hausse r 11 prix des matériaux. j Aujourd'hui MM. Bauwens et consorts sont c îligés d'avouer les erreurs grossières qu'ils a it commises. Mais ce qu'il y a d'admirable j mS le document dont nous venons de re- 1: :ocluire un extrait, c'est la tranquillité avec £ quelle ces administrateurs du bien des pau- e •es viennent nous dire qu'il leur a fallu, — c ors que les travaux de gros œuvre sont v rminés depuis longtemps, — « prévoir » la r instruction d'un château d'eau de grandes c mensions. N'est-ce pas parce qu'ils n'a- c tient rien prévu du tout qu'il s'est commis -bas de si scandaleux gaspillages t c Plusieurs libéraux du conseil communal c >nt reconnu, mais ils n'ont pas eu le eou-,ge de prendre les décisions nécessaires r >ur mettre fin à ces gabeçies. Tls ont craint, é ie fois de plus, de aéplaire à leurs amis et c liés radicaux-socialistes et c'est deux mil-îns encore que va oûus coûter le cartel!... s La douloureuses * » {►£>£)« •— Je chantais, ne vous déplaise. — Vous chantiez? J'en suis fort aise Eh bien J dansez maintenant. La loi sur les assurances sociales sera t-elle votée avant mai? Nos honorables dé pu tés paraissent en douter. Si vous rencontrez un socialiste, en rue, en chemin de fer ou dans un salon — dame ! il en est cjui vont dans le monde — vous pouvez être certain que, du plus loin qu'i vous verra venir, il criera à tue-tête : — Ce n'est pas de ma faute ! Tel est actuellement le cri de guerre, inquiet et penaud, des socialistes en mal d'élection.A la Chambre, c'est M. C. Huysmans qui attacha le grelot, allant au devant du reproche que nul ne lui avait adressé. II.est ainsi, des écoliers naïfs qui, lorsqu'ils ont commis quelque crime professionnel, s'empressent do cçier, avant même que le maître ait cherché le coupable : — Ce n'est pas moi, M'sieu! M. Vandervelde lui-même accourut à la rescousse, M. Hymans, aussi, paya de sa per sonne et, après que toute l'opposition eut occupé une heure à se disculper à ses propres yeux, elle se tourna vers la droite, vers le pays en chantant un chœur de soulagement et d'allégresse : — Vous voyez bien que ce n'est pas de notre faute 1 Les pauvres gens! Les faits sont là, qui les condamnent. On ne peut dire si les assurances sociales seront ou non votées au cours de cette session. Si elles ne le sont pas, ce ne sera point à cause d'une hostilité de principe, mais faute pour la Chambre d'avoir pu trouver le temps de la réalisation. Plusieurs questions sont posées; toutes sont très graves et très importantes, plusieurs solutions s'offrent au choix du parlement. On est d'accord pour construire l'édifice, mais il faut examiner et choisir parmi les différents matériaux en présence, des fondations jusqu'au toit, les assembler, les maçonner. M. Vandervelde déclara lui-même, vendredi, que la question n'était pas mûre et M. C. Huysmans, avec une présence d'esprit qu'il doit bien regretter aujourd'hui, ajouta : a C'est le temps qui fait mûrir; gagnons du temps. » La réalisation des assurances sociales est une question de temps. C'est très justement dit. Si les assurances sociales n'abo'>tissent pas, ce sera faute de temps. Et si la Chambre n'a plus le temps qu'il faudrait pour cela, c'est parce que l'opposition et, particulière ment, les socialistes lui ont fait perdre quatre mois par leur stérile obstruction à la loi scolaire. Ils sont sans excuse, parce qu'ils savaient parfaitement ce qu'ils faisaient, parce que les avertissements ne leur ont pas manqué, donnés en période non suspecte. Tout mauvais cas est niable. On s'en aperçoit bien. J.ls nient, désespérément. Ils ont trouvé un argument : le rapport sur les assu rances sociales n'a été déposé que le 14 janvier 1914. Donc, disënt-ils, la Chambre ne pouvait discuter plus tôt. D'abord la discussion scolaire a duré jusqu'au 18 février, soit encore plus d'un mois après le dépôt du rapport sur les assurances sociales. Ensuite — il n'est même pas besoin de le faire remarquer — il était parfaitement inutile de déposer plus tôt le rapport sur les assurances sociales tant que l'on ne pouvait prévoir la date où prendrait fin le débat scolaire, lequel devait, obligatoirement, être suivi de la discussion cles nombreux budgets, après lesquels encore la Chambre avait dé cidé de discuter plusieurs lois sociales sur les habitations ouvrières, le travail des femmes et des enfants, la journée de travail des machinistes dans les mines. Le rapport sur les assurances sociales — le projet avait été déposé par le gouvernement en 1912! — eût été déposé quatre mois plus tôt s'il y avait eu la moindre chance de voir la «Chambre gagner quatre mois de séances. Les socialistes sont mal venus à se réfugier dans leur argument puéril, eux qui, dès l'hiver, proposaient déjà d'aborder la discussion des assurances sociales dans des séances du matin. Ils savaient très bien que la Chambre était prête à aborder ce débat dès qu'elle en eût eu le temps et que le [•apport eût été déposé dès que c'eût été itile. Aujourd'hui,ils ont beau dire et beau faire. Le gouvernement s'y est pris dès 1912 pour ïue les assurances sociales aboutissent. L'op-losition a saboté le régime parlementaire et. naintenant, il ne lui sied pas de rejeter sur l'autres la responsabilité de ses actes. Qui ;asse paie. Le moment de payer est venu. OAZ. LES NOUVELLES Au PaSais de Bruxellss Le Roi a reçu, samedi matin, en audience olennelle ,avec le cérémonial traditionnel, es nouveaux ministres de Ohine et du Brésil, jui venaient lui présenter leurs lettres de iréance. Le souverain a également reçu en ■ ludientie de congé le ministre de Turquie. M. Davignem, ministre des Affaires étran- . ;ères, assistait à ces trois réceptions. Les ministres ont été conduits au Palais et econduits à leur hôtel dans les équipages de a Cour. ^ Au ch&teau de Laeken Le Roi a reçu, samedi après-midi, à 5 h. 1/2, n audience, au clhâteau de Laeken, M. de ïroqueville, chef du Cabinet. L'avancement des officiers de gendarmerie 1 M. le chevalier de Selliers de Moranville, , énéral commandant le corps de çendarme-ie, vient de soumettre à M. le ministre de 1 Guerre un projet relatif à l'avancement ( es officiers de ce corps. M. de Broqueville t soumis ce projet à l'examen du service com A 'étent qui lui a fait rapport. L'honorable < linistre procède actuellement à une étude c ersonnelle de la question qui, croyons-nous, st à la veille d'aboutir. Le projet améliore * onsidérablement les règles actuellement en r igueur. Les capitaines commandants pour- t aient poser leur candidature pour le grade c e major au début de l'année où une place e major doit devenir vacante. c Les majors seraient autorisés à poser leur c audidature au grade de lieutenant-colonel r eux ans après leur dernière promotion. 1 Les promotions au (grade aofficier supé- r ieur n'auraient plus lieu qu'après une ^ preuve pratique comportant la preuve de r onnaissances militaires et judiciaires. Les candidat* maiors devraient égalecsent ] ubir une épreuve d'endurance physique. p Les H«î?«p!si line vue densemble sur les conditioi où s'engage la bataille de dimanche (De notre correspondant particulier) T T, , Paris, le 24 avril 19-14. La «Radical, a publié la liste complè des candidats de la rue de Valois. Ils so exactement 209. Or, le nombre des circo scriptions est de 602. Le parti qui détiei provisoirement le pouvoir renonce donc -inga^er la lutte avec son drapeau dai 473 circonscriptions. Ce ne sont pourtant pas les candidats qi n^ent, puisque l'on en.compte en tôt -,800, dont près d'un millier se procîamei radicaux. Est-ce que le comité do la rue 6 Valois leur a refusé l'investiture, ou bie 1ont-lis repoussée comme compromettante L est une question intéressante, et dont I réponse permettra de juger de l'état d'espr au pays. r Mais comment l'obtenir, cette réponse! J ne pouvais sérieusement m'adresser au c< mite executif. Quant aux candidats, ils son trop, ils sont trop loin et trop occupés. J'a trouve cependant ce que je cherchais. Parmi les 229 candidats, j'ai compté exac tement 106 députés sortants. Comment 10 seulement; je dois me tromper? Et j'ai re commence l'opération. C'est bien 106 Or quelques jours avant la séparation de | ( hambres, on nous communiquait la liste de< j députés inscrits au groupe unique du part radical et radical-socialiste à la Chambre après approbation du comité exécutif. Il cta.'ent 165. Sur ce nombre, une douzain* seulement ne sollicitent pas le renouvelle ment de leur mandat. J'en conclus donc logi quement que plus de quarante se sont reti res de l'Unité, ou ont demandé au comité exécutif de ne pas les faire figurer sur sei listes. Les mauvaises langues insinuent qu< les uns ont traité avec M. Bria!nd, et que les autres se tiennent dans une expectative pru dente, prêts à voler au secours de la victoire Sur les listes du «Radical», figurent bien les candidats radicaux qui ont fait parlei d eux, ces jours derniers, en se déclaranl partisans de la loi de trois ans, MM. Bonnet Dominique, Eydoux, Chazot, etc. Mais. su.i douze^ ministres et sous-secrétaires d Etal députés, on n'en trouve que trois : MM.Ren^ Ken oui t, Métin et Malvy. Je ne m'étonne pas de l'absence de MM. Lebrun, Maginot, Raoul Péret,qui sont républicains de gauche, de M. Viviani, oui est républicain socialiste. Mais les autres? Eh cjuoi / MM. Fernar.d Da-vid, Noulens, Jacquier, Ajam, Ray n and re-: usent le patronage du comité exécutif! On nous ayait donc trompés lorsqu'on nouî avait annoncé à grand tapage l'adhésion de M. Raynaud? Comment M. Ajam a-t-il eu l'affreux courage de laisser son protecteur, son compatriote et son ami, M. Ôaillaux, à son isolement? Car si, dans la Sarthe. quatre députés sur cinq sont radicaux et blocards, un seul se présente avec l'investiture du comité exécutif, et c'est M. Caillaux. La Fédération des gauches et l'Alliance républicaine démocratique ont investi deux cent quarante candidats. L'Action libérale populaire et la Fédération républicaine (progressistes) en patronnent 300 environ. De tous les partis organisés, c'est le parti socialiste unifié qui met en ligne le plus grand nombre de candidats réguliers. La liste publiée par l'nHumanité» n'en comprend pas moins de 420. En additionnant tous ces chiffres, nous n'arrivons pas à 1,200. Plus de la moitié des candidats — 1,600 environ — n'appartiennent donc pas aux partis organisés, et c'est là qu'éclate l'anarchie des partis. Prenons, par exemple, la deuxième circonscription du 18° arrondissement de Paris, vingt-cinq candidats se la disputent, représentant toutes les nuances de l'arc-en-ciel. Un seul, le député sortant M. Rouanet, appartient à un parti organisé ; il est socialiste unifié. Les étiquettes que se donnent les candidats ne renseignent point ou renseignent mal sur leur véritable état d'esprit. On peut même dire que dans certains département, elles ne signifient plus rien du tout. Un républicain socialiste, un socialiste indépendant, un radical non unifié, est tantôt un fort brave homme qui se présente avec un programme très libéral, tantôt un affreux sectaire, souvent un compère qui rfait le jeu de tel autre candidat de droite ou de gauche. C'est une confusion telle qu'une chatte n'y reconnaîtrait pas ses petits. Elle permettra iu gouvernement de se dire vaineiueur, le iour du scrutin et, peut-être, le lenetemain. Ce ne sera que mercredi ou jeudi que nous îommencerons à voir un peu clair dans les résultats et à prouver à M. Malvy qu'il s'est couronné de lauriers immérités. Le ministre le l'intérieur entrera alors dans la voie des iveux, mais se consolera en jurant que les oallottages sont favorables au cabinet. Je sais tout de môme qu'on est très inquiet, alace Beauvau. A. Virey. . ■» . • Un beau succès iour l'école d'équitatioa d'Ypres jOJ « Samedi matin, s'est terminée, à l'Ecole nilitaire, la troisième journée du Military lational, doté par le Roi d'une jolie Coupe. )ette coupe est attribuée au régiment dont 'équipe a remporté le plus de points. Le Military comprenait une épreuve de Iressage qui a eu lieu jeudi à l'Ecole mili-aire, une épreuve de saut qui s'est disputée endredi sur la piste de steeple de l'hippo-[roine de Stockel, et une épreuve de sauts l'obstacle qui a eu lieu samedi à l'Ecole. Le général Clooten présidait aux difficiles preuves, assisté du général de Witte, com-nandant la division de cavalerie, et du lieu-enant-colonel Védrines, commandant l'Ecolo l'équitation d'Ypres. La Coupe a été remportée par les cavaliers le l'Ecole d'équitation qui se sont montrés xtrêmement Grillants. Les e>fficiers qui .ssistaient aux exercices ont été littérale-emetit stupéfaits des progrès réalisés par ios officiers depuis quelques années, procès qui leur permettront de rivaliser désormais avec leurs camarades de France dans es grandes épreuve» hippiques. 1 restait samedi cinquante ooncurïeiiU <en irésence po"T l'^nr^uve final<v

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Cet article est une édition du titre Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique appartenant à la catégorie Katholieke pers, parue à Bruxelles du 1895 au 1940.

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