Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1918, 31 Mars. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Accès à 27 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/fb4wh2fc4j/
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LE XXE SIÉCLE JOURNAL BELGE PARAISSANT LE DIMANCHE De quelques vilii DE BELGIQUE JJn. Français du à un ami Belgt Mon irai, tous figurez-vous suffi ment combien nous aimons vos villi çuelle hâte nous avons de les retroui Les nôtres étaient si proches d'elles trains si commodes, les routes si bellas tes pour tenter le promeneur et le tour De Roufoaix, on était en dix minute train à Courfcrai, où l'an visitait un b-nage exquis et vrai, une église qui abr un Van Dyck célèbre, à lSastar de ce A du Louvre, par upe fugne. De Roubaix, encore, les autos filalei dimanche, vers Ostende, traversant au sage Ypres, Furnes, Nieiuport. — Mon ; qui êtes otage, maintenant, qui, peut-ne cesserez pas de l'être que cette gi n'ait pris fin, vous vous rappelez cette . promenade en auto. Vous aimiez tant \ ger ! Vous saviez si bien voir les pays; les mœurs, les monuments : vous avez appris à voyager, et ce fut d'abor Belgique, où nous appelaient des p; tées qui étaient en même, temps de so amitiés ; entre les pères, entre les f: Nous allions à Charleroi, nous allie Thuin, nous allions à Mons, toutes 1 nommées par Verlaine, où il passa il séjourna, où il écrivit les poèmes Romances sans paroles — « Pays Belges » — et de Sagesse. Le ciel est par-dessus le toit Si bleu, si calme ! g 0 . . . ; . . . . . » • f* f« Mon Dlsm mon Dieu, la vie est là, Si' «le et tranquille . C«9! paisùjte rtirfiaor-ts. Vient de la ville. Il exhala cette chanson, murmure cœur brisé et d'un cœur pénitent, entr murs peints à la cihaux de la priso: M'ons qui lui fut « le meilleur des <eaux ». *** Nous allions à Bruxelles et descenc à l'hôtel du Miroir, sans penser qu'il été celui de Baudelaire. Nous adçnir sans songer à Hugo qui les vit, les mai ornées et dorées de la graod'place, pi tes de celles d'Anras. Nous aillons à Anvers. Quelle merv eet Escaut devenu un bras de mer : qu'à Valenciennes il n'était qu'un fl à bélandres ! Ici'il eût porté des corv mais il préférait porter, plus moderne: navires des importantes compagnies mer-ciales. Nous allions à Anvers et ignorions, — et j'étais un enfant, eu de tout, il est vrai — que Max Elsl v rimât, ou mieux y assonançât, chansons aussi ingénues qu'une comi te de marché chantée par des paysan Marie, épandez vos cheveux : Voici rare les anges bleus IA dans vos bras Jésus qui bougf Avec ses pieds et ses mains rouges. Nous ignorions qu'il y taillât des d'images tels que l'on en faisait jadis toutes les provinces de France et qu': a plus qu'Henri Gros à Boulogne-sui pour tailler si bien. Avez-vous vudans roanàch de l'Amitié de F tance et ae Fit son image de sainte Gode! eine quen dre vous nommez GodeAieive ? Mais à Anvers, nous regardions la cathédrale, nous pensions à Rubens, payions la race avaricieuse dés sacris jpour soulever la toile verte qui cac Descente de Croix. Nous allions au r Plaotin ; j'y ai entrevu les délices de pographie, celles aussi de. la vie paisi retirée. « Dire son chapelet en cultivai entes » c'est bien là justement Le Boi de et monde. Il y a quelqu'un en F: qui a compris cala, c'est Francis Jai dans Oribez où il dit 6ou rosaire. Je crois bien d'ailleurs que Plantin d'origine française, Angeoin. Bazin dirait cela. n y aurait trop à, dire sur vos ville rs, mon ami. Elles nous tiennent au i nous Finançais du Nord.. Et voulez savoir celle que je place par-dessus t< accordé dans ce elioix entre ma. rais nta sensibilité, c'est Tournai qui fut ceaax de la monarchie franque et dei: le, lieu, élB *3e nos rêveries. Tournî ville aux cinq clochers, à là ca.th< K éternelle parce qu'elle est construi pierre bleue de "tournai. Et des cin chers, et du befîroi, on voit Fontenc charger 'a maison du roi. Tout nati ment'ls 1 .lots ici s'assemblent en ch légère. ( \ qaa.nous sommes près de ci qui y 'fsot'cent dans l'air : « Messieurs les Anglais, tirez les Kord miers ! » Ah ! la jolie révérence de cour, sam- fines manchettes de valenciennes s îs et aroàia du mousquet, 'er ? i i •* * t its ; fai- Tournai ! Nous y allions en bicy ste ! trois jeunes gens de vingt ans ; c s de chemànerént à pied ces trois-là de la ■gui- plainte, « trois pèlerins de Dieu ». L' itait nous l'a trouvé André Pierard qui rir.ci d'honneurs humains que le simple neur de mourir pour la France. M-,1 ij Réal dal Sarthe a perdu la main g; 'a- J'écris de la main droite, encore qu e %Ie été marquée, parce qu elle fut mai être' Nous reconnaissons des signes, n'est-i ierTg mon ami, nous sommes de ceux-là q balle connaissent des signes dans le ciel ova- ^ teTxe- iges, C?est ensemble, mes compagnons nous nous disons avec ameur, aivec grà.vi d en w Tournai nous est aussi sacrée qt tren- ris et que Reims ; elle est la ruebe . lides tive d où S'évada l'essaim. Notre ■ls. saute aussi bien dans notre poitrini ns à nommer qije «es sœuTs qui firent fc 'illes par le moai.de. Sa cathédrale, plus a on ne comme il convient, est la sœu ' des Notre-Dame de Paris et de Reims, âges miens et de1 Chartres. Montrant à . zon son bonnet un peu archaïque s clochers, de lin elle se penche tendr sur elles comme sur des cadettes la coiffe rajeunie n'en a que deux ; K '* avertit lr,sévère Sainte-Gudule et ls riante t'- me-d'Anvers, châtelaine cc ir.ii aâfsy» l'Escaut ses bijoux, jôindr.: % 'j^nti'qiiB et jeune troupe i conduit. d un « Le transept de Tournai, où Roger a '®s Pasture fa.it se réunir les personnaj 1 ,de ja présentation au Temple, est le r châ- vous auquel nous convions au sort tranchées, pour examiner le plan des tructions futurs, les jeunes gens qui s i;ons sidèrent comme les fils des liibres F pf,t Et de là volontiers irions-nous guidt s la grande âme de Péguy désormais «ions parmi les étoiles de la patrie pèleri LT-pn Chartres, où la statue de saint Pis Tournai, accoste à un portail celle dï ... Denys. de Paris, comme pour a^oul , ' symbole probant à notre amitié de E ll0TE et de Flandre. » |hIs Mon ami, vous savez que nous ne s . Jes rons point dans cette amitié la Fra com la Belgique, dont les cathédrales pa nous ment sont les points d'émergence spir -ieux et psrpétuent une séculaire attractioi ;amp André M. de Ponchev ;er"!n Christus vincit S.. ï clo- ■y. où Lorsque, il y a dix-neuf siècles, l'Eu irelle- pj.re romain recouvrait le monde de la pui inson sance flje S6S armées ; lorsque Auguste T ceux" bère, entourés d'une élite de patriciens, t naient sous leurs pieds, tremblantes, ine pre- tes, avilies,Tes folies esclaves chargées c pourvoir à leurs délassements raffinés, ni ît les assurément parmi eux, s'il se fût avisé c ar la jeter un regard vers l'avenir, n'eût song qu'une peitite pierre se détachait, à ce m ment-, d'une humble colline de la Judée < . que, sous son choc, le vieux colosse pafe 3iruné s6rait> après une violente résistance c oojq. trois siècles, couché dans la poussière, un de Colnçoit-on rien de plus stupéfiant qr n'eut cette merveille qui est l'histoire primitii hon- du christianisme sur laquelle nous avoi ixime peine à arrêter longuement nos regar* ,uohe. tant elle nous est devenue familièire, ma le ait qUj n,€n Tes(e pas moins le renversemei ,ç'i0a3 de toutes les prévisions humaines : Doc: ui re- hommes illettrés ; ils ne comnaisseint qi 3t sur l'industrie grossière de la pêclie ; sai ressources, ils se sont défaits même c que leurs filets et de leurs barques ; étrange! té : au monde, ils n'ont pas quitté le voisinaf e Pa- de leur lac de Génésareth douze artisan Drimi- disciples d'un Maître que ses compatiriot» coeur ont honni, - bafoué, pendu ignominieus à la ment, entre deux orimineils, à un gibet st ►rtune [equei jj a rend<u l'âme ; ces hommes viei ncl®p- r,ent dire qu'ils l'ont revu, après t.ra r i-i! jours, ce Martre qu'Israël avait crucifié i l'hort- teV a âifc : « Allez, enseignez tonti ' cinq les nations de la terre ; je demeurerai avi jment vous jusqu'à la consommation des siècles dont Et les pouze partirent et versèrent lev et elle sang en confirmation de la foi qu'ils pr i sou- osaient ; et. de nombreux disciples firej mblée comnle et comme eux vécurent de pi , ,?e vatùwis, 4e souffrances et subirent le ma [u eue 5 ct ifs trente-trois premier - paipes, c saint Pierre à saint Sylvestre, l'un aprf °e ■? l'autre durant trois siècles, tombèrent ma mdez- tyre jusqu'à ce qu'en 313 l'édit de Constai ir des tin attestât solennellement le triomphe c cons- la petite phalange des douze messagers g: e con- liïéens sur toutes les forces réunies d rancs. paganisme de la Rome impériale. s par Qardina! Mercier, entrée . - - ■ ■ - -n «r à LIRE PAGE 2 it, de saint Les convoitises allemandes sur la Belgiqi «r 11n en 1875. fin™ LIRE PAGE 3 La dernière journée de Judas, conte évan# ïpa.re- ligue, par Emile Gebhart. ™„!l LIRE PAGE Z reille- — Ltu-elle Pour ïo lendemain de la guerre : La motoil ( sation des irtunetubles. par RyckmaruBetz. Croquis parisien : Le deiinie® -pinceau, pe ilie. Ju'lien Fiajmsnt. des >lain- —— ^uwunmiJuiM nés : VERS LA RESURRECTION dans Mon Dieu, console le trépas Au petit part tristement 1 n'y Dés vaillants frappés aux combats, Sans les baisers de sa marnait, •-Mer Héros de l'obscur devoir. Sans les adieux de l amour. 1 l'Al- mdre p^s comprendre à ceux de là-bas Couchés sous les arbres des bois _ Ften" Qii peut-être ne savent pas Ou le printemps fleurit les croix {jne : Qu'au ciel on peut se revoir, Vn jour tu les reprendras. tains Q"*e dœrts les splendeurs du repos Zan% -fur ^apo[e ensevelis he la l'fs yeux, de la nuit des tombeaux Garde-les des honteux oublis îusée S'ouvrent sur des jours meilleurst Et du froid des cœurs ingrats. jle et El que, les voiles \déchirés, Quand novembre sera venu it ses çlux que la mort a séparés Puisse quelque fier inconnu _ [ Se retrouveront ailleurs, S arrêter les yeux m-ouilles. nmes _ , Puissent tous ceux qui passeront Les sentinelies dans la mmSnluer découvrant leur front était d°vjs.j * JnTwïè Tendrement agenouillés. nous Seules, face aux ennemis t 3 Quand tout semble éteint pour jamai s bel- le soir tombe, gu ils sont bien lasx seul, ô mon Dieu, tu promets :ceur, Abrite les pauvres soldats qu& i<yut renaît dans les deux. -vous sur Vherbe dure endormis. ™ept' . . , '■ Attendant l'heure du réveil, Souris au mourant qui s en va Qu'ils dorment en paix leur sommeil îeure ^°'n des tendresses quil rêve Jusqu'au, matin radieux. i, la Pour, aider, son dernier ïfMrx — i, Bjellôjjabd. L'EGLISE DE LA RESURRECTION • gUne ïisîlg ay Seint-SéjDlore c. Pour la première fois depuis trois siècles, e ies offices de la Semaine Sainte auront Lj pu être célébrés à .Térusalem sans que le ' joug ottoman y rendit plus douloureux les gi'ands souvenirs de la Passion. ■e On n'y aura pas reçu les foules innom-> toables de pèlerins qui envahissaient d'or^ ït dinaire, à cihaque pnntemps, la Ville Sain-n te, mais les soldats alliés auront été nom.-e breux à visiter avec une particulière émotion la vénérable basilique qui enserre 6 'dans ses murs les saints lieux du trépas et „g du triomphe du Christ. La porte d'entrée qui donne accès eri même temps qu'à l'église aux trois cou-■s vents latin (des Franciscains), grec et ' 'Arménien y adjacents est gardée par >t deux musulmans nonchalamment étendus :e sur une sorte d'estrade sise à gauche et le élevée d'un mètre environ au-dessus 'dti ls sol. L'un d'eux possède la clef, l'autre les [e droit d'ouvrir et cette division de pouvoirs ,s remonte dans leurs familles respectives à Saladin. La porte est fermée le soir dès ' 8 heures et n'est rouverte le lendemain, s' matin que moyennant le paiement d'un •s droit fixe par les communautés'intéressées, ï- chacun des trois couvents l'acquittant à son ir tour. Quant aux pèlerins, ils peuvent sé-i- journer dans l'église la nuit, mais ne doits vent, dans ce cas, songer à en sortir quei >» l'aube venue» ss '« J ;c En face de la « Loge »> des gardiens s'a-„ inorce un escalier tournant. On gravit une vingtaine de marches de pierre, et on dé-s bouche, au fond d'une chapelle basse et som-"I bre divisée par deux énormes piliers eii . deux nefs égales. C'est le calvaire* ; c'est ici que tout s'est passé. Les flancs de là petite r" colline ont été taillés, son arête à été légè-!e rement aplanie,..mais sous le marbre etlel isi.pawé demeurfl l'Immuable rocher enseveli r- par l'empereur Adrien et retrouvé par Sain-1- te Hélène. e Du IV» au VII» siècle le roc sacré demett» • ra visible entouré d'une simplp balustrade d'argent et orné d'une grande croix, mais plus tard on le recouvrit d'un monument spécial, puis de l'édifice actuel. C'est dans celui-ci que Godefroy de Bouillon et ses; " compagnons chantèrent le Te Deum de la' victoire le 15 juillet 1099. Q La nef de droite appartient aux Latins celle de gauche aux Grecs qui ont, seuls, le droit "d'v célébrer la messe devant lo grand crucifix marquant l'emplacement où ^ fut dressée la Croix et où Jésus expira-Sur la droite de l'autel, on peut voir la fenté miraculeuse verticale produite dans 1© ro-. cher au moment de la mort du Sauveur. Quelques lampes d'argent brûlent sous leë j. voûtes enfumées et sur les dalles sombres se pressent sans cesse les foules agenouillées. Où sont les Russes qui passaient jadis ! dans oe sanctuaire la nuit du vendredi au samedi, coupant leurs prières passionnées de mélopées plaintives où frémissait l'âme, rêveuse et inquiète de la race ? Par un second escalier semblable au premier on redescend dans le portail d'entrée) et après avoir salué les pierres tombales de nos grands ancêtres Godefroy de' Bouillon' et de son frère Baudouin I*r, on arrive devant la Pierre die l'Onction. C^st une immense dalle rectangulaire en pierre rou-geâtre, ornée à chacun des angles d'un! pommeau doré et qui rappelle le souvenir de l'embaumement de Notre-Seigneuij par Joseph d'Arimathie et Nicodème. En s'arrêtant detvant tet.te pile,me, le visiteur a la porte d'entrée de la basiliqus tout juste derrière soi, le Calvaire à droite,, les gardiens à gauche. Au delà de la Pie-r' re s'érige un mur qui s'en va vers la droite faire le pourtour du choeur. On prend à. gauche et vingt-cinq mètres plus loin oiï atteint la vaste rotonde qui forme le corpsi de l'église et est surmontée de la coupole, centre de toutes les vues panoramiques de Jérusalem. Sous cette coupole, reconstruite en 1868, mais déjà ablméTe, s'élève un petit édicule en marbre reuga qui couVrè' les restes du S Saint Tombeaur Sa forme est celle d'un oratoire allongé, coupé, droit sur. le devant, à l'orient, vers le choeur, et pentaigonail à l'occident, vers le fond de la rotonde. Sa longueur est cla huit mètres vingt-six centimètres et_ sai plus grande largeur de ciniq mètres qua-. rante-sept centimètres: Tout entier bâti en marJye il est pjn:é exté.ricijreaijeîit de seizei. I 'QUE ANNEE. >— N° 2.038 L© 3Vuméro , ÏO centimes DIMANCHE} 31 MARS i9i§

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Cet article est une édition du titre Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique appartenant à la catégorie Katholieke pers, parue à Bruxelles du 1895 au 1940.

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