L'indépendance belge

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s.n. 1914, 25 Novembre. L'indépendance belge. Accès à 27 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/2b8v980m7c/
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85èn» aa No.316 L'INDÉPENDANCE ANGLETERRE: ONE PENf BELGE. r>AHTiMCMT • 1K CENTIME! Administration et Rédaction, Tudor House, Tudor Street «f■ p>nUAMr ■ IW rnen n inwnRES. MTTPrcphr o.ç, x'OVF.MRRE 19] LES SOLDATS BELGES BLESSES. Les personnes qui désirent avoir c nouvelles des soldats belges blessés trouvant dans les hôpitaux en Ang terre sont priées de s'adresser " Wounded Allies Relief Committee ïu Grand Hôtel, Trafalgar Square, Le (1res, où tous les noms sont enregistré: Ce comité recevra avec plaisir te renseignements relatifs aux soldats belg blessés, ce qui permettra au bureau d' formation installé au Grand Hôtel, donner des renseignements exacts. " L'Indépendance Belge " et " Morning Post " publient journelleme des listes de soldats blessés se trouv£ dans les hôpitaux en Angleterre, comité accepte également, pour la trai mettre aux destinataires, la correspc dance de et pour les soldats belg blessés. LA NEUTRALITE SUISS1 La Suisse est neutre: c'est entenc Elle a mobilisé pour défendre, sa neuti lité, et l'élan qui a porté son armée a frontières a été prompt et enthousias Est-ce à dire qu'elle se borne à gare son territoire, indifférente au drame c se déroule sous ses yeux? Ce serait faire injure à une na1 ion c a conquis l'Indépendance par son héi ïsme et dont les principes du droit, de justice, de la moralité dirigent le dé\ loppement. Comment supposer qu' peuple démocratique comme le peu] helvétique puisse envisager sans horre le despotisme allemand et en excuser ! abus? A mesure que le voile se lève s les véritables causes de la guerre, "•qti*appâri»isi»eAt dans» lô'uU. *cur 'àttbâ les responsabilités du gouvernement i: périal vis-à-vis de l'Europe, la Suisse i fléchit. Ses sentiments se firent jour d bord sous le couvert de la bienfaisanc nous avons signalé les initiatives pris pour secourir les réfugiés belges, init tires de plus en plus nombreuses et c gagnent même les Cantons de la Suis allemande. Des concerts, des confère ces, sont donnés au profit de ces ceuvr à Genève, où MM. Maurice Kufferaf Théo. Ysaye, et d'autres exilés notoir multiplient leurs efforts en faveur leurs compatriotes dans la détresse, en est de même à Lausanne et dans d'à très villes de' la Confédération. Mais la pitié n'est pas le seul mob qui oriente la Suisse vers la cause c Alliés. Il suffit d'une courte convers tion avec l'un ou l'autre citoyen du pa^ àquelqueclasse sociale qu'il appartienr pour se rendre compte de la réprobati croissante qui environne l'action mi taire de l'Allemagne et les abominab' procédés par lesquels elle s'accompl La violation de la neutralité belge a pt frondément froissé le sentiment nation, respectueux de la parole donnée. L violences commises en Belgique sur l'c dre des commandants d'années (toi équivoque à ce sujet a disparu deva des témoignages précis), la campag de mensonges par laquelle les suppoi du gouvernement germanique ont c sayé de tromper les pays neutres et nation allemande elle-même ont ache de détruire en Suisse les quelques sy: pathies que l'Allemagne pouvait y av< avant la guerre. Il n'est guère d'affic de mobilisation qui ne porte—vox pop —de rageuses inscriptions au crayo: " A bas les Prussiens ! A bas l'Ai magne." Aux vitrines, les couleurs des A!li< les portraits du Roi Albert, de Lo Kitchener, du général Joffre et du Tz se déploient dans toutes les rues, ji qu'aux échoppes des blanchisseuses, a étalages des marchands de fruits, i Presse reflète nettement l'opinion an germanique du pays, et de jour en jo hausse le ton. Parlant des atrocités al mandes, la " Gazette de Lausanne " < sait hier : " Nous ne voulions par croire, tenant pour exagérés les réc des journaux. Mais des témoignag dignes de foi sont venus nous surprend: malgré nous dans notre retraite, témi gnages qui nous ont fortement ébranl dans notre croyance au progrès des sen ments humains dans les nations n-dernes..."La Suisse, de mieux en mieux i formée malgré l'inondation de fauss nouvelles et d'avis tendancieux qu'e subit depuis le début des hostilités, s: aujourd'hui de g.uel côté est le Droit avec lequel des adversaires en prése combat ce Dieu des armées au i duquel l'Empereur Guillaume les massacrer des prêtres et incendier se cathédrales. le- Au cours de la dernière assemblée au Consistoire de Genève, le président, ■t" Alfred Martin, parlant au nom cl >n- Commission exécutive, a soulevé d 3. thousiastes applaudissements en di: ius de la Belgique: " Les malheurs in< .-es dont elle est la victime innocente s ;n. pour nous un véritable cauchen de Violation de sa neutralité au mépris traités, envahissement de son territ le par une armée étrangère qui l'a dévas ■nt destruction des villes et des villas ruine du commerce et de l'indusl Le taxes écrasantes imposées aux habita ls_ enlèvement d'otages, aucune calan )n_ n'a été épargnée à ce malheureux pei ,es qui ne menaçait personne et dont le crime consistait à vouloir rester li ■■ Parmi toutes ces infortunes, nous g comptons pas les invectives que les v queurs leur ont généreusement pr lu. guées, car une pareille iniquité ne ra- qu'à ses auteurs. Un manifeste rét ux par un groupe de savants, parmi lesq te. se trouvent des professeurs de droi 1er de théologie, traite de bandits jji citoyens qui ont pris les armes pour fendre leurs foyers ! Bandits, s jui Nous saluons dans les bandits belge -o-' vaillante race de ceux que le duc d'.,: la appelait dédaigneusement les gue ,-e- L'histoire, juste juge, se charge un transformer une basse injure en un t Die de gloire." :ur Avec leur maladresse habituelle — les leur férocité n'a d'égale que leur bê ;ur —les Allemands viennent d'ailleurs et froisser la Suisse dans sa légitime ue miatior pt»ù.* daix 'de ses Artistes m- plus célèbres : Jacques Dalcroze et 1 ré- dinand Hodler. 'a- L'un et l'autre sont grossièrement :e : sultés par la presse allemande pour a' ;es signé la protestation des artistes sui: la- contre la destruction de la cathédralc jui Reims. Mais si le peintre peut dédaig ise les attaques dont il est l'objet, le m :n- èien est frappé haineusement d ■es l'œuvre de sa vie—cet Institut d'H< :h, rau qu'il créa de toutes pièces et au< es il consacra le meilleur de lui-même. P de le punir d'avoir élevé la voix contre Il attentat qui a soulevé de dégoût tous lu- peuples civilisés, on le chasse comme valet. " Nous déclarons que notre an< ile directeur artistique — ainsi s'expr les l'administration de l'Institut Jacqi ;a- Dalcroze — n'occupait que la posi ,-s, d'un employé dans l'institut, et que n ie, déclinons toute responsabilité pour on erreurs et son manque de tact (.sic) o lli- mis en dehors du code de l'institutio les A tous ceux qui savent ce que la it. thode de M. Jacques-Dalcroze a appi -o- à l'enseignement musical et au déve al, pement du sentiment rythmique, qui .es la base de la musique, cette exécu >r- sommaire causera une juste indignât lté Jugez de la colère qu'elle provoque .nt Suisse, où l'artiste si brutalement tr ne est environné de sympathies unanin rts Ce n'est qu'un fait, mais ajouté à \ :s- d'autres il explique le ressentiment la plus en plus aigu qui se fait jour coi vé les procédés de l'Allemagne, flétris m- l'opinion publique à l'égal de sa po air que et de la cruauté de ses armées, he Ce n'est plus seulement la Suisse uli mande qui manifeste des sentiments n : solument francophiles. Un mouverr le- se dessine même dans les cantons qu similitude du langage apparente à 1 ;s, lemagne. Celle-ci perd peu à peu ird prestige dont elle jouissait avant :ar s'être fait connaître sous son vérit; is- jour. Suisse, patriotiquement Su ux avant tout, la population de ces cant La entend qu'on respecte sa ncutra! ti- Pourrait-elle garder sa sympathie à ur nation qui a violé cyniquement celle le- la Belgique, bien qu'elle ait signé le f di- te destiné à en assurer la protection . y * its NOTES DU JOUR. e, — ai- (De notre correspondant.) lés ti- Les francs - maçons allemands l0_ français. Bordeaux, 20 novembr n" On avait essayé ces temps dern ies d'opérer un rapprochement entre lie loges allemandes et le Grand Orient ait Franoe. De esprits bien intentionnés et étaient employés, et malgré d'énergie ice résistances des >m à peu près arrii ait que, malgré l'a' les seil de l'ordre > tés, de nombre du rien voulu ente s'étaient refusé: 'a ils avaient dé: n" franc-maçons rendre la visite Ces derniers ® Le " Temps ' ■ " tion suivante, c £ Associée : Les loges de Ber " ' très hostiles à la 1 -Sj dans les loges d-ie, très suivie en fa\ dignitaires visitez mais encore la R pour les Etats-Ui )le Ces émissaires îlll cette thèse que Gi la guerre et que s c* elles ne répondaie ne le thème bien cou [n_ eux-mêmes expos i» le3 socialistes des Les délégués n Ult les rois de Pruss< Q'i'à Guillaume ] des maçons conv; * ' fianc-maçonnerie. |C' L'empereur ( que prince lor . , présenta lui-m ja Charles, qui d* iQe jours, sous le r |X<- Dans le oom] jg se trouve le dis< re Guillaume : " J tiennes les sain :ar de les réaliser ise sidérer toujours de Hochste), parce d- ont reconnu ce .es dépari, Luiiqitij, Le jeune apf une satisfactioi sur le glaive c l'Ordre, reçut 1 ,es le petit tablier pécha du reste lCr dant un séjour ; sl" visites, au pape ne I bienveillant, tri , Bismarck étî lel . , et se servit dœ Kulturkampf, r es sincère, ni croys un quand il avait 1 en sa maison de < ne moquer de ces ;s. imitaient les on empruntant le us testants. es Quant à Guill n- tous ses prédéc ■ " régulièrement f ie- de principes m "te même, et quant 'P" il opère lui-mêi :s* sorte en public, on tout le monde ,n' 11 ne faudrait en l'esprit maçom ite . , , , . violent n a rien ' ! franc-maconnen nt , .,, cje surtout des idee r„ siècle, auxquels ar quelques tendai t;_ bien que pourra française est ir •q. à se débarrasse -é- laines médiocril nt nécessité et enl la force morale q M- décisives action le Les francs-m; de l'organisation u >le nation prussien se avant, et suri ns Prague. On :c- jourd'hui. ne On n'a pas i de ^ maçons prussie lc" derniers congre Berlin et auc cents journalisé toutes opinions, parèrent des joi à l'Ordre des e nSsèren t une ten et voir ces frères français comme une commissio travaux. Les A ;rs demandei' qu'o les dont il valait m de et ils demandât s'y tât la tenue ava ies Pour les irvitii i>£ es de Paris, on y ét; , J ; dis à peu près, par 0 d intervenu avec le co et t j'igne>re les moda x f anc-maçons n'avaie d<-<-, et ele même qu' à a s r à Berlin, de mêr rte e temple quand 1 lien mds étaient ven rue "adet. ivai it été bien inspirés pub if, en effet, l'inforrr l'il. jniprunte à la Près n t. > se sont toujours montr an'..i depuis 1870, ont e-ntrep p:i s neutres une campas ur r! la thèse allemande. I , ne i seulement la Hollart ur \ .e et certains sont paî Ï t 'Amérique du Sud. s ' e de Berlin développa lia i t' II a été obligé de eu .olenoes ont été commis t <ji. i d'au?tres violences; c' u ti f les socialistes alternai it a ns leurs entrevues a ïayjs neutres. çoi>. ques rappelent que t< dep is Frédéric le Grand j et ! roi Frédéric III ont ne*.! et des protecteurs de iili:u»ie 1er n'était ence ju'e.i novembre, 1853, me son fils Frédér ait <'tre l'empereur des m de Frédéric III. ;e-reridu de cette récepti ■urs que prononça le prir t'adjui'e, lui dit-il, de fa s doctrines de notre ord- 1 action et vérité, de ce le divin, le Très-haut (c juc | mi les hommes c r '^1 il y a un point ,i^ j L itnai u iiv|it..'. enti 'princier accepta a\ visible ces conseils, je suivre les principes lumière et on lui attac ymbolique. Cela ne l'e as, dçux mois après, pu Rome, de rendre plusiet 'ie IN, qui se montra ti paternel. t également franc-maçc loges dans la période ais le chancelier n'était it, et il lui arrivait souve* en mangé et hien bu, da mpagne de Varzin, de rédicants maçe>raniques e ■rénionies catholiques m gage des pasteurs p urne II, il fut initié comi >9eurs, mais il n'a jam: iquenté le temple ; en f çénniques il se suffit à 1 aux rites et aux svmboli ei«i officiant en quelq renonçant des discours q oMiaît. a|d'ailleurs se méprendi qtie allemand autoritîù à'voir avec l'esprit de française qui s'insp j'hilosophiques du XVI] ertaines loges ont ajoi ■et d'Auguste Comte. : faire la franc-maçonne aculable si elle parven ie l'encrassement de o s qui sont intolérantes p ïkït à l'institution ce i lui permit autrefois ;i ns berlinois voient da noyen d'étendre la dor e et Bismarck s'en ser a t après, le traité ssaie de continuer < i; de la raideur des frai s. Au moment d'un c de presse qui se tint ■1 assistaient cinq à : de toutes nations et 1rs maçons berlinois s'ei nalistes qui appartenait tarses obédiences et orj ? exceptionnelle ix>ur rei Strangers. On invita (es autres, et on nomr pour régir l'ordre c mands commencèrent fixât quelques questio |ux ne pas parler en tent it qu'aucun frère ne qu t la fin. rit s'agissait d'éviter tout ce qui se rapp ce aux duchés danois et à l'Alsaoe-Lon n_ et il était si facile d'en parler en dé' .. pant les idées du droit et de la justic sont à la base de la maçonnerie. Enfin l'interdiction de quitter le t "s avant la fin de la tenue avait pour bu ne dent d'obliger tous les assistants à pc les le " Hoch " pour l'empereur, qui e us règle là-bas avant de se séparer après prêté l'habituel et inoffensif sermet silence. Les Prussiens auraient été he dans leur orgueil un peu lourd de vo ,a" français empêchés de rrgretter l'A :se Le>rraine, crier " Vive l'Empereur " deux batteries d'allégresse. ées Les Français se refusèrent énergiqth ,lis à cette double obligation, soutenus p :no Portugais, les Italiens et les Danois, £ tenue maçonnique des journalistes rtis pas lieu. LETTRE DU HAVRE. ec 20 novembre lUS C'est avec une angoisse croissante < is- l'on songe ici à la situation dans laqui est plongée la Belgique, car les fre sont venus, les économies ont à peu p rc disparu et le mot " lendemain " pn il une signification de plus en plus red c_ table pour les gens de la campagne p go encore peut-être que pour les citadi car il paraît que les Allemands razzi non seulement les récoltes, mais mê >n le bétail. ce On estime qu'un million environ " Belges ont émigré, soit en Angletei e' soit en France, soit en Hollande. Au n" but d'octobre il y avait six cent mille as nos compatriotes dans les Pays-B ^ Mais beaucoup d'entre eux sont renti ds Néanmoins il en est resté au moins tiers che<: nos voisiri* du X6rd, ec compte, d'autre part, que trois cent m ra Belges ont trouvé refuge^ en Anglete de et quatre cent mille en France, ha Mais les autres, que devienuent-n- puisque les maisons sont incendiées, n- villages détruits, les villes bombarde trs et les campagnes ravagées, les usi ès arrêtées? Quand pourra-t-on reprendre le tra1 „ qui abonderait tout de suite si les A mands étaient boutés hors du pays? Une personnalité qui d'habitude n pas exagérément optimiste m'a cor 1 ' mé ce que faisait entrevoir le corresp ns dant dans les Flandres du " lemp quand il disait que bientôt luiraient U1 meilleurs jours. en —L'espoir, m'a-t-on dit, est très de déloger bientôt l'ennemi de nos FI dres tout au moins. Une dernière arr ne allemande vient d'être envoyée v «s Ypres et Dixmude, mais on esti rit qu'après avoir brisé le nouvel effort, îi- Alliés pourront prendre l'offensive. î1 s, pas que les Allemands soient à bout ue force, mais leur puissance offensive, ue atteignit le point culminant de sa cou sur la Marne va désormais aller det p. scendo. Le pendule a oscillé deux m .e' durant, et si l'Allemagne avait eu ];j la Russie une supériorité marquée, d la dernière bataille, il est certain < j les Alliés auraient dû fournir, d'Yp aux Vosges, un nouvel et long effort ,te n'en a point été ainsi, heureusement. f si même la fortune des armes étai ^ présent défavorable aux Russes, la pi ut sance de résistance de ceux-ci restei >r" telle que les Austro-Allemands ne po 31 raient plus distraire de forces suffisan te pour nous mettre en échec. Le suc de final ne fait plus aujourd'hui de>ute pi personne, et je puis vous affirmer < ns dans les milieux compétents on esti ri- que la balance a définitivement penc rit quoiqu'il arrive sur terre et sur mer. de Ajoutez, dit un officier supérieur p u_ sent à la conversation, que l'armem français se complète chaque jour [C façon fort efficace et que son infério; ^ en artillerie lourde ne sera plus, à t délai, sensible. On ne saurait assez ren hommage à ce propos, à l'armée rus ^ Beaucoup de gens oublient en effet i les Russes ont eu affaire non seulem n" aux Allemands, mais encore aux Au nt chiens, dont l'armement était supériei a" il suffit, pour s'en convaincre, de se r ;e" peler, que ce sont leurs " howitzers " es ont bombardé Anvers. Et l'armée au la chienne comptait, au début de la guei ef deux millions d'hommes. ns — Bref, peut-on espérer une délivra: prochaine? it! —Très sincèrement, oui. Espérons. il PIERRE NODRENGE it V By Spécial to TT3C J1 Appoitttment /S ®n8ea> ™ NOS VISITEURS ' FRANÇAIS [T BELGES. Nous avons l'honneur d vous inviter a faire une visit* a nos magasins sans ohliga tion aux achats. Je Nos magasins sont les plu: u complets du monde. Nom \s vendons ABSOLUMENT TOUr . ce que peuvent desirer le dames, les messieurs, les en fants et les domestiques, auss " bien pour rameublement qu< pour les consommations d< toutes especes. ie Notre Restaurant, qui peu accommoder 1,000 personnes ^ est un des plus grands d< e Londres. Tout le monde de\ é'. rait s'y rendre pour y prendr je le dejeuner ou le the. 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Cet article est une édition du titre L'indépendance belge appartenant à la catégorie Liberale pers, parue à Bruxelles du 1843 au 1940.

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