L'indépendance belge

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s.n. 1917, 13 Novembre. L'indépendance belge. Accès à 30 septembre 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/q814m92j9k/
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Lwe année. No 268 L' INDÉPENDANCE I ROYAUME «UNI : ONE-PENNY BELGE CONTINENT : 15 CENTIMES (HOLLANDE; 5 CENTS) t[ADMINISTRATION ET REDACTION : LDANE STR., Eicn IIOLBORN, W.C. 1. ! TELEPHONE: HOLBOEN 1773-4 BUREAU \PABIS: 11, PLACE DE LA BOURSE. TELEPH. : « MARDI 13 NOVEMBRE 1917 En venteà Londres à 3 h. le lundi 12 novembre (3 MOIS, 9 SHILLINGS. 1 ABONNEMENTS : j 6 MOIS, 17 SHILLINGS." VCONSERVATION PAR LE PROGRES. V1 AN, 32 SHILLINGS. J LA SITUATION Lundi midi, le gouvernement provisoire russe est iarvenii à saisir la principale station de ^graphie sans fil et nous sommes à lème aujourd'hui d'entendre d'autre 5a de cloche. 1! diffère sensiblement de celui d'il y [quarante-huit heures'et si les nouvelles pi nous parviennent se confirment le ré-,jme anarchique en Russie toucherait à ,i fin. Tout d'abord, M. Kerensky est parvenu ! éviter l'arrestation dont le ménaçaient esléninistes et il a groupé autour de lui Réléments loyalistes de l'armée, prêts à lefendre le gouvernement contre la liffide d'anarchistes qui s'est emparée la pouvoir. I ùs troupes loyalistes sont en marche LiSétrograd et, en avançant, forment joule de neige. Tant à Pétrograd qu'à Moscou, la région contre les extrémistes se fait jour : les éléments pondéïés de la populatéen finblent au moins vouloir faire un ef-ortpour sauver le pays de la ruine et du iéàonneur. Les léninistes, «'attendant- à ce que eur règne serait de courte durée, ont [ublié un "manifeste de p.aix" dans le-ael ils proposent un armistice immédiat, l'une durée de trois mois (pendant lésion négocierait sans doute la paix), 'abolition de la diplomatie secrète et la jjblication.de tous les traités secrets. Ce S'est déjà plus, on le voit, la paix immérité qu'ils exigent, et on a beau être bareliiste, du moment qu'on veut gou-aner on est obligé de mettre de l'eau lans son vin. . Entretmp-s, les bruits les plus fantas-îques circulent, et c'est surtout à Ber In, où on ne vit plus que (.ans .l'espoir l'une paix prochaine, qu'ils trouvent délit. C'est'ainsi que le "onvernement im-Sérial dément le' bruit qu'un armistice [lirait été conclu avec 'la Russie et que les délégués italiens se seraient rendus in Russie en vue de la signature d'un imistice russo-italien ! \ Les gouvernants allemands ont peur de [oirla population, avide de paix, se hris-fer abandonner à de vains espoirs, et fc'est pour éviter une fâcheuse reaction [u'ilsont cru prudent de couper les ailes ^ ces canards. I Les événements en Russie sont d me iature tellement chaotique et incohérente ]n'on ne saurait pfédire, à l'heure ac-uelle, qui en profitera en dernier ressort. Quant à l'Italie, nos ennemis ne salent que trop bien qu'elle est loin de louloir entendre parler d'un armistice. L'armée dé nos alliés continue, il est frai, de battre en retraite,* et le dernier lommumqué de Berlin fait état de l'occupation de la tête de pont de \ idor, s(ur la rive gauche, c'est-à-dire orientale, du riave. Le communiqué de Rome confirme la nouvelle et ajoute que, dans ce secteur, les troupes italiennes se sont retirées sur [a rive droite du fleuve, après avoir fait buter les ponts derrière elles. L'état-major austro-allemand s'efior-p'a, on peut en'être certain, d'enfoncer p lignes italiennes sur le Piave,dans l'es-joir de couper la retraite aux troupes Miennes du Cadore, qui n'ont pu, jus\ ju ;! présent, ou voulu, pour des raisons fratégiques, suivre le mouvement de re-p.ite générale aussi rapidement que les troupes venant de l'Is-onzo et des Alpes prniques. A Belluno, sur le Piave supérieur, nos alliés sont violemment atta qués, mais résistent bien, pour autant que nous puissions en juger par lies renseignements mis à notre disposition. Pour le moment, lo danger le plus immédiatement menaçant est de voir l'ennemi forcer la barrière du Trentin qui, si elle devait céder, alors que l'armée italienne se trouve encore dans les plaines de la Vénétie, aurait des conséquences "désastreuses. C'est pour cette raison que notre émotion a été vive hier en 'apprenant que les Allemands avaient pris Asiago. C'était le forcement d'un des verrous de la porte qui barre l'accès de l'Italie par le nord, mais le dernier communiqué de Rome nous apprend que la situation dans cette région est rétablie et que l'ennemi a été refoulé. Il est indispensable que lo frogat nord tienne, car avec une menace de rupture aussi grave que celle-là dans le dos, il ne serait pas possible à un chef d'armée d'opérer en sécurité à l'est de l'Adige. C " Jusqu'à pissent, le corps expéditionnaire francj-britannique, placé sous le commandement- du général Fayolle, n'a pas révélé sa présence, En Palestine, fle général Allenby coit-tinue de chasser les Turcs devant lui, et les progrès de nos alliés, dans ce théâtre de la guerre, soiït rapides. Aux dernières nouvelles, les troupes brita-unicftîes ne se trouvaient plus qu'à une cinquantaine de kilomètres de Jérusalem, et leur %vance le long de la côte a été, depuis Gaza, extraordinairement rapide. L'armée turque est en pleine déroute, elle a perdu,.d'après les évaluations de nos alliés- 10,000 hommes au cours des derniers combats, sans compter les prisonniers (quelques milliers) et le-matériel capturé comprend 70 canons. .L'avant-garde britannique a atteint un. point à proximité d'Esdud, ce qui équivaut à dire que nos alliés se trouvent à peu près à hauteur de la ligne (embranchement) de Jérusalem. Sur le front des Flandres, nos amis ont également étendu leurs gains, et si ceux- . 1 • N ci ne se mesurent pas par kilométrés, ils n'en sont pas moins des plus importants. Passant de nouveau à l'attaque, samedi matin, les troupes du maréchal Haig ont avancé au nord et au norij-ouest de Passchendaele, arrachant au s: Allemands une nouvelle bande de territoire sur la crête du coteau. Au nord-ouest-, nos alliés ont dû céder un peu de terrain en présence de la violence des contre-attaques ennemies, mais les résultats de la journée sont très satisfaisants. Le but de nos ami? est de refouler les Allemands complètement du terrain surélevé et de les obliger àT-passeç l'hiver dans la plaine marécageuse, qui n'offre que peu d'abris, et où l'établissement de travaux défensifs est — comme dans la zone occupée par les troupes belges — des plus difficiles. L'artillerie allemande déploie une activité extraordinaire dans le but d'enrayer les progrès de nos alliés, mais ceux-ci ont leur objectif en vue et ne lâcheront- pas tant qu'iLs ne l'auront atteint. ___ _ SUR I.E FRONT BEIGE 0 Une attaque aux gaz ' a .communiqué officiel du Havre. pté du 10 novembre, dit i/Au cours de ? semaine passée, notre artillerie a Pntinué son feu destructif sur de nom- pux ouvrages et batteries de l'ennemi. 'fi feu a été particulièrement dirigé pntïe les fermes que les Allemands oc- ppent sur la rive gauche de l'Yser, fns le village de Nieuport et contre les pragçs dans les environs de Dixmude Mu sud de Woumen. Nous avons Pel'SK|uement répondu à l'aide d'obus Pai'gé de gaz, à un bombardement aile- n;md de même nature. De plus, le ré- |au des communications ennemies a e constamment maintenu sous notre su. s Le duel d'artillerie a été très violent près de Dixmude. L'ennemi a fréquemment ouvert un feu très violent sur nos ouvrages avancés au sud de cette ville. Nous avons répondu par un contre-bombardement' énergique. Nos patrouilles ont journellement envahi les tranchées ennemies autour de , l'Yser. Aviation. —- Dans le voisinage de Dixmude, malgré le mauvais temps qui a prévalu la plus grande partie de la semaine, un très grand nombre de vols ont été exécutés. Les aviateurs d'artilleurs ont largement contribué à l'exécution efficace de nombreux tirs contre les communications et les ouvrages ennemies. Nos aviateurs de chasse ont protégé nos autres appareils et ont également exécuté de nonibreux raids offen sifs'. Le 4 novembre, l'adjudant De Meu-lemeester a abattu son sixième avion ennemi. m PALESTINE ^ L'avance,du général Allenby Les troupes du général Allenby sont à environ 48 k. de Jérusalem. Dans leur avance le long de la côte, elles ont occupé ^l'ancienne ville d'Ascalon, ec samedi elles étaient signalées près d'Esdud. Depuis le 31 octobre l'ennemi a> perdit 960 k. carrés de territoire, et 70 canons, dont plusieurs howitze'rs de 5.9 pouces ; ses pertes sont évaluées à 10,000 hommes, sans compter les prisonniers, qu'on estime à plus de 5,000. El mim ORIENTALE ' Lourdes pertes allemandes Londres, dimanche soir.—Dans la région occidentale du>t 23 octobre au 8 novembre, * les colonnes britanniques, opérant au sud-est de Mahenge, ont refoulé méthodiquement les détachements de couverture ennemis vers l'est, dans la direction de Mganjira (à 80 k. au sud-est de Mahenge), capturant des prisonniers ainsi que du matériel. Le 6 novembre, à Kabati Mtoto (sur la rive gauche de la rivière Lmvegu, à 24 k. de Mgaujira), trois officiers et 139 allemands (blancs); ainsi que 140 indigènes et quelques porteurs se sont rendus à l'une de nos colonnes, ec le même jour 89 indigènes se sont rendus aux colonnes belges, plus au nord, ^ous étaient malades ou i-onvalescents. ' Depuis lors et sous notre pression, l'ennemi a évacué Mgau.ira et se retire vers le> sudf dans la dire' -.ioatdc Lhvale. Dans la vallée du Lukeledi (dans 1 hinterland de Lindi, au sud-ouest du paj's), notre mouvement en avant a été repris le 6 novembre, et le corps principal des forces ennemies a été refoulé de Maliiva (au sud du Lukeledi et à 64*' k. à l'ouest tfê Lindi) vers le sud-ouest. Dans sa retraite d'ans la vallée l'enne-mi/a subi de lourdes pertes et a abandonné une quantité de matériel, y compris un canon de marine de 4.1 pouces, de nombreux fusils et mitrailleuses, et beaucoup de munitions. Des patrouilles de nos colonnes qui ont traversé la partie méridionale de l'Afrique Orientale allemande, venant de Wiedhafen, sur le lac Nyasa, ont fait leur jonction avec'des patrouilles des troupes belges qui ont débarqué à Ivilva et occupé récemment Liwale (le 29 octobre), simultanément avec notre colonne de Fort Johnston, à l'extrémité méridionale du lac Nyasa. Les troupes portugaises" sont actives sur le fleuve liovuma. le coup d'etat rosse Kerensky marche sur Pétrograd Les communications suivantes trans- : mises par les stations de télégraphie sans-fil du gouvernement russe ont été reçues hier à Londres : . A toutes les organisations et tous les Commissaires d'armée : La révolte contre les Bolsheviks (Maximalistes) grandit à Pétrograd. Aujourd'hui des attaques. ouvertes ont commencé contre eux et des fusillades ont eu lieu en certains endroits. Le téléphone est aux mains des cadets.de l'armée. Do\v(bin (i 1) a été occupé par le comité général de l'armée, qui a remplacé la garde Bolshevik. A .Moscou, la "Garde Rouge" a été battu. M. Kerensky approchera de Pétrograd vers le soir. Des communications ont été éta-bliés avec lui. Une délégation du comité pour le salut du pays lui a été envoyée. La liquidation de l'aventure Bolshevik n'est qu'une question de jours ou même d'heures. Afin d'en terminer au plus tôt avec cette aventure, il est nécessaire que toutes les forces démocratiques. s'unissent autour du 'comité de toutes les Russies pour le salut du pays et de la Révolution, (s.) Commissaire W. HANKEVITCH. Appel à la garnison Soldats de Pétrograd! De vaillants régiments du front, fidèles à la Révolution et à la patrie, approchent de la, capitale. Afin d'éviter l'effusion de sang", arrêtez immédiate ment tous ceux qui trahissent et ruineni leur pays. Afin de découvrir quels soni les régiments fidèles à leur devoir, en voyez des délégations aux régiments venant de front. (s) MALEVSKI. Occupation de Tsarskce Seîo Des régiments fidèles au gouvernement et à 1a- Révolution? en plein acçorc avec le Soviet des troupes cosaques et toutes les organisations démocratiques, ont occupé la ville de Tsarskoe Selo et ls principale station de télégraphie sans fil. Les rebelles se retirent en une cohue désordonnée vers Pétrograd. Dès mesures sévères sont prises contre les maraudeurs. Ceux qui sont trouvés en possession d'objets volés sent immédiatement fusillés. Les rebelles sont livrés au tribunal militaire révolutionnaire. (s) KRASNOFF. Réaction anti-maximaliste L'union des ouvriers des chemins de fer, qui avait d'abord travaillé sous les ordres de Lenin, s'est déclarée ouvertement pour le Comité de Salut public ef n'exécutera plus les ordres des Extrémistes. C'est un grave échec pour ces derniers. Les fonctionnaires des postes et télégraphes ont fait de même. Dans les 1G ministères, l'Union des employés du gouvernement a donné ordre à ses membres de faiVe grève (paralysant ainsi le mécanisme gouvernemental) et de se placer à la disposition- du Comité du Salut public. La plus grande partie de la garnison île Moscou aurait, dit-on. reconnu l'autorité du gouvernement provisoire, après avoir livré bataille aux Extrémistes au Kremlin, où ils avaient cherché refuge. On'dit aussi qiw M. Rodzianko forme un gouvernement à Moscou, où le général KornUoff, qui serait parvenu à s'échapper de Byklioff, serait arrivé. Le général Kaledin s'est proclamé 'chef de tous les cosaques. A Pétrograd tous les socialistes modérés ont quitté l'Institut Smolny, quartier général des Extrémistes, et ont rejoint le Comité de Salut public à l'Hôtel de Ville. — "Times." L'age"nce Reutar annonce que l'ambassade de Russie , aux Etats-Unis a refusé de reconnaître l'autorité du gouvernement maximaliste. En ce qui concerne les mouvements de M. Kerensky, on croit qu'immédiatement après le coup d'état-, il s'est rendu en automobile à Pskoff, pour se placer à la tête dès troupes d» front septentrional qu'on savait être adversaires du mouvement maximaliste. Les soldats russes de France Les officiers et soldats russes en France- ont adressé à M. Kerensky un télégramme par lequel ''ils envoient leur salut au grand leader démocrate qui lutte contre les Bolsheviks et les contre-révolutionnaires, et l'assurent de 'leur résolution de 'prendre part au combat acharné entre la démocratie et l'autocratie allemande." le dernier programme de tirp1tz L'amiral Von Tirpitz a prononcé à Munich un discours organisé par le Vaterland Pa-rtei; il est vdes pus instructif., C'est la Belgique, dit von Tirpitz, qui constitue la sauvegarde militaire contre les agressions de la France st de l'Angleterre. Songez, a-t-il dit à ses auditeurs, à ce que serait la situation de l'Allemagne si l'actuel front de bataille 3e trouvait sur la frontière du Rhin. Il îst absolument nécessaire que l'Allemagne conserve le triangle des Flandres ïomme -future base sous-marine contre l'Angleterre et que l'Allemagne devienne la puissance protectrice^de la Belgique. Toute paix sans indem'nté économique signifierait la défaite de l'Allemagne et la victoire du capitalisme anglo-améri-sain. L'Allemagne- doit se souvenii qu'Anvers a appartenu à la Ligue Haîi-séatique. Il faut mettre la main sur Anvers et l'hinterland" pour prévenir l'Angleterre. L'Autriche aussi doit avoir un contrôle plus étendu sur les bouches' du Danube, sur Triesté et sur l'Adriatique: cette question est également une '-question allemande. Le Reichstag, a dit l'amiral, verra qu'il a commis une errera et reconnaîtra les faits et les néoessité> de l'avenir de l'Allemagne. AUT0UB de la GUERRE ALLEMAGNE ^ MM. Helfferich et von Breitenbacb ont été nommé à leurs nouveaux postes. M. von Breitenbach aura le Dr Fried-berg pour successeur à la vice-présidence du ministère prussien. — Dans la "Post," Otto Ernst a adressé récemment au Président Wilsou une lettre ouverte dont voici un passage 1 significatif : "Vous dites qu'il faut distinguer chez no^s le gouvernement et- le peuple, c'est-à-dire entre les Hohenzollern et le peuple, donc qu'il y a scission. Qu'en savez-vous ! Moi, je vous affirme qu'il n'y a dans le monde entier aucune dynastie plus vénérée et- plus aimée que nos dynasties princières, y compris celle des Hohenzollern. Jamais, dans l'histoire un peuple n'a fait la guerre uni par un accord aussi étroit avec son gouvernement. Certes, il y a chez nous une poi, •gnée de gens qui sont las de la guerre (notre_j>euple compte 70 millions d'âmes et je parle de l'arrière): il y a auss^une poignéè de théoriciens qui veulent libérer le monde par leurs discours; il y a enfin une poignée de misérables qui, par intérêt- personnel, souhaitent une paix boiteuse. Mais le peuple allemand est uni comme il y a trois ans et il rit de votre distinction entre gouvernants et- gouvernés."ARGENTINE — En témoignage de l'amitié qui lie la République argentine au Brésil, le plus grand croiseur argentin visitera , Rio de Janeiro le 15 novembre prochain.— 51. ^ron Kii'hlmann, ministre des affaires étrangères allemand, a exprimé au ministre argentin à Berlin, sa désapprobation des deux nouvelles dépêches par lesquelles le comité Luxburg révéla 'les intrigues allemandes dans le Brésil méridional. ALTKlCHE-HONGIÎIE — Un télégramme cle Budapest à Amsterdam dit que le gouvernement hongrois a réquisitionné tous les stocks de blés existant en Hongrie. — L'Empereur Charles au cours de sa visiit#à Gorizia et Palmanova, a failli se noyer. Son automobile traversant un torrent, se trouva subitement bloquée; en voulant gagner la rive l'empereur et son valet de pied furent entraînés par le coura-nit, mais en furent quittes pouV un bain forcé. BULGARIE — M. Raeloslavoff, premier ministre bulgare, a prononcé un discours avant l'ajournemeat du Sobranjé, et a déclaré entre autres, en parlant des buts de guerre de la Bulgarie, que celles-ci (exigeait la réunion des Bulgares dans leurs frontières historiques. -"Nous demandons, a-t-il dit, la Macédoine, la Dobroudja et le territoire bulgare annexé par la Serbie avant l'établissement- de l'Etat bulgare." CHILI —• Les producteurs de salpêtre chiliens, "alarmés par la centralisation des achats,, projetée par les Alliés," demande une centralisation des ventes afin d'éviter la baisse des prix du salpêtre.DANEMARK — Le roi Gustave de Suède a été l'hôte du roi Christian de Danemark. On attribue l'objet de cette entrevue au danger que présente la maîtrise allemande dans 1a- Baltique pour les intérêts scandinaves et aux mesures à prendre pour les sauvegarder. FRANGE — M. Vénizélos est arrivé à Paris dimanche matin et a été reçu par MM. S.teeg et Clémentel, ainsi que par le colonel Leroy Lewis, attaché militaire à l'ambassade britannique. Il a dîné, à 5 h. 30, avec M. Lloyd George. PAYS-BAS, — Le gouvernement britannique a adressé deip: longues notes au gouvernement des Pays-Bas au sujet du transport du gravier et du ciment. On annonce d'autre part que l'exportation du beurre hollandais vers la Grande-Bretagne est arrêtée ; la raison donnée est que le prix maximum fixé par le contrôleur de l'alimenfEition ne laisse aucun profit aux producteurs.

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Cet article est une édition du titre L'indépendance belge appartenant à la catégorie Liberale pers, parue à Bruxelles du 1843 au 1940.

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