L'indépendance belge

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s.n. 1917, 15 Mars. L'indépendance belge. Accès à 05 juillet 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/kk94747x96/
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ggèise a*a<Ms No 1*4 L'INDÉPENDANCE ROYAUME-UN! : ONE PENNY BELGE. CONTINENT: 16 CENTIMES (HOLLANDE: % CENTS) ADMINISTRATION ET REDACTION: £.P£5î?~Cr» rjTDOE H0T7SE. TT7DOR ST.. LONDON. E.C. L i"ACE m' EOURSm_ TELEPHONt: CITY 3960. TELEPK : { 23S-*7 5. . - — I * JEUDI 15 MARS 1917. En vente à Londres à 3 h. !e mercredi 14 mars. NEMEXTS: fê MOIs! 57 SHILLINGS! 1 CONSERVATION PAR LE PROGRÈS, il AN. 32 SHILLINGS, j A partir du 15 Mars 1917 les bureaux du journal r " INDEPENDANCE BELGE" seront transférés 5. PANE STREET (HIGH HOLBQRN) W.C. 1. ^ AN /« A U AIUMMM ÏÏZ ** Sma\ LA SITUATION. Mercredi midi. Codant sous la pression continue d )s Alliés britanniques, les Allemand ît dû évacuer une nouvelle et larg endue de terrain et reprendre le mou :ment rétrograde que l'inclémence d mps avait momentanément arrêté ette fois, nos amis ont avancé sur u ont de cinq kilomètres et ont pénétr c 1,600 mètres dans les positions d ennemi, occupant, entre autres point «portants, le village de Grévillers, eux kilomètres à l'ouest de Bapaume insi que le Bois de Loupart. D'autre part, dans la région de Gom lecourt, nos Alliés ont avancé sur ui ont d'un kilomètre et demi dans la di :ction de Bucquoy et des Essarts, mai communiqué du général Haig est se e de détails sur cette dernière avance es correspondants spéciaux attachés :tat-major britannique laissent enten e que le mouvement est loin d'êtr ii et que le haut commandement bri nnique ne laisse aucun repos à l'enrie i, qui doit trouver la poursuite plu laude et plus rapide qu'il ne l'avait es impté. A Grévillers, nos Alliés se trouvent oins d'un kilomètre de la ligne de elle in de fer et la retraite de la garniso: : Bapaume par rail, vers Arras, est cou :e. La seule voie ferrée dont il dispos t la ligne de Cambrai, laquelle, mo entanément, n'est pas en danger uant à l'avance dans la secteur d ucquoy, elle menace le Bois de Logeas ai domine la voie ferrée au delà d'A hiet le Grand, où bifurquent les ligne e Bapaume et d'Albert. Le débordement de Bapaume pren nsi une forme plus précise et l'état ajor allemand sera bientôt obligé d vêler ses plans. La raccourcissement du front qu'il es train d'exécuter restera-t-il confiné Somme et à l'Ancre ou s'étendra-t-: nord ou au sud? Le général Hindenburg garde jalouse înt son secret et toutes les précaution nt prises pour éviter que des rensei iements révélateurs transpirent. L: mtière belge est, dit-on, complètemen 'mée pour six semaines ; les aviateur elles, considérablement renforcés, fon une garde au-dessus des lignes enne es et rendent difficile l'observatioi s mouvements de nos adversaires, e ; journaux allemands ont reçu le mo Drdre de présenter la retraite de Picar ; comme un mouvement stratégique vant, équivalant à une victoire ! La "Gazette de Francfort" qui sem ■ donner Je "la" dans cette campagne stinée â préparer le public à la nou lie phase de la guerre, annonce qu :ndant que la Roumanie a été battue e Russie immobilisée par le regroupe ent de ses armées, l'Allemagne a cré • nouvelles unités de combat et a ren rcé la production de munitions par 1 éation du service national auxiliaire >:ec l'intensification de la campagn us-marine, dit le journal francfortois commencé la période "décisive" de 1; terre et, en matière de conclusion, an >nce mystérieusement que la cam '3"ne de 1917 réserve des surprises tan r terre que sur mer ! Tout en faisant la part du bluff et d< nécessité de remonter le moral de Jupes allemandes, il est certain que no nenris s'efforceront de tirer parti di ccourcissement obligatoire de leu — front pour essayer de frapper un coup 2 sur l'un ou l'autre secteur du front occi-s dental qui puisse les compenser de la s perte de prestige qu'implique nécessaire- - ment leur retraite sur la Somme. r Si, comme beaucoup le pensent, nos • ennemis se préparent à risquer leur i flotte dans l'une ou l'autre tentative, il é n'y aurait rien d'impossible à les voir e tourner une fois de plus leur attention s vers le front belge et la route de Calais, i Car si un débarquement en Angleterre , est: un des hypothèses qu'il soit permis aujourd'hui d'écarter comme étant trop - hasardeuse, il n'en est pas de même i d'une tentative de ce genre sur les côtes - de France, qui offrirait l'avantage, en s cas de réussite, de compromettre, ou - tout au moins de gêner, les communica-. tions entre la France et l'Angleterre, 1 tout en menaçant les derrières du flanc - gauche des Alliés. Même en faisant le 2 sacrifice de toute la flotte allemande, ce - ne serait pas payer trop chèrement un - succès de cette importance dont nous s ignorons, au reste, les possibilités de - réalisation. De toute façon la fermeture herméti-1 que de la frontière belge indique que les ■ Allemands désirent cacher certains mou-1 vements qui peuvent tout aussi bien ré-" pondre à une retraite qu'à une nouvelle e offensive. Toutes les spéculations à ce " sujet sont permises mais nous estimons • que dans la situation actuelle les Alle- - m and s doivent être bien plus préoccupés 1 de l'organisation de leur retraite que ~ d'une offensive sur leur flanc, droit, me-s nacé déjà par les opérations en Picardie. Les derniers communiqués signalent une grande activité de l'ennemi dans le secteur de Soissons et en Champagne. 6 Dans le premier, elle s'est produite sous forme ■ de raids, dans l'autre, sous forme de nouvelles et infructueuses at-' taques contre les positions françaises de la Côte 185, dont l'ennemi déclare détenir encore la plus grande partie. En Mésopotamie, les troupes du général Maude gardent contact avec l'ar-rière-garde turque et le dernier engagè-t ment a eu lieu à .quelques kilomètres au , nord de Bagdad ou nos Alliés ont fait t une centaine de prisonniers et capturé quatre aéroplanes. Les canonnières bri-tanniques participent à la poursuite de t l'ennemi qui s'effectue au milieu de difîi-t cultés climatiques considérables. : Le général Maude signale que les , Turcs ont, depuis la chute de Ivut, commencé à détruire ou à expédier vers le . nord tout ce qu'ils craignaient de voir tomber aux mains des troupes britanni-. ques, mais le butin fait dans la capitale „ mésopotamienne n'en est pas moins im-t portant. Quant à l'accueil fait aux vainqueurs par la population de Bagdad, il a i été presqu'enthousiaste, et l'arrivée des troupes britanniques a mis fin aux désor-, dres qui avaient éclaté, en corrélation avec l'évacuation de la ville par les „ Turcs. Des autres fronts on n'annonce rien , de particulier à part un raid allemand en . Galicie (secteur de Zlaczow-Tarnopol), . au cours duquel nos Alliés auraient j- perdu 320 prisonniers et 30 mitrailleuses.; En fait de nouvelles • maritimes, on 5 signale la destruction d'un navire du s Relief Fund (en dehors de la zone dan-j gereuse), et" l'échouement d'un sous-r ! marin allemand sur la côte hollandaise. Le RECUL ALLEMAND de l'ANCRE {->"■ notre correspondant particulier.) sur l'armée française " qui ne bou Uv critique neutre. guère." Où est donc l'unité d'action s * Dr i ront, mars 1917. tous '-s fronts ? demande-t-il pour sa . Le collaborateur militaire d'un grand . lcs appartncc3 de son Premi tournai neutre commençait ces jours-ci A • .. j> •« i r ,m , . ; ... '. u Ce n est d ailleurs pas la prenuere fc c oeiçu de la situation militaire au qUe £on parti-pris lui joue de mauvé ■ ont Ouest en nommant un réveil "mi- tours. N'annonçait-il pas l'offensive d Niable, ' la nouvelle poussée anglaise Allemands en Roumanie comme u en Picardie. Depuis, les Allemands pour entreprise de grands capitaines, tanc lesquels il montre tant de prévenance, qu'il ravalait la victoire française pr se sont rendus compte que les " misera- d.e Verdun à dcs minimes résultats ta oies" débutants du mois d'août 1914 ti(lues- 'eur ont enlevé en un tour de main Hindenburg? ■•jrandcourt, Baillecourt, Ioutvent, Serre Où en sommes-nous maintenant ? L aau™°"t' Pys, Warlencourt, Hébu- germanophiles contaient à qui voulait 1 ; ï!\ ? b^que, Gommécourt, Puisieus entendre qu'Hindenburg allait écras uuiby. Lt le collaborateur militaire les Roumains. Il se flattait, disait-on, < lna;rSt,°n, de .talrc uîle pirouette : garder pendant ce temps-là le fro aiirri- î] qualifie l'action de l'armée ouest intact, et ces adorateurs anno » aise de vigoureuse " et il se rabat çaicut qu'une fois les Roumains écrasî le maréchal de fer, avec ses armées devenues disponibles, s'en reviendrait chercher la victoire décisive au front de France. Dans les pays neutres.ayssi, ces fanfaronnades furent répandues et combien de lecteurs voient actuellement qu'on les a leurrés ! Non seulement la Roumanie n'est pas écrasée—son armée a échappé à l'envahisseur comme lui échappèrent les armées belges et serbes—mais au lieu d'une offensive allemande décisive à 1 Ouest, voilà que Hindenburg fait le geste pour lequel von Falkenhayn est tombé en disgrâce : il bat en retraite pour rétrécir son front, non pour l'attaque décisive, mais devant le péril formidable de l'offensive des Alliés. Ses plans. Dans la presse Alliée et neutre l'on n'a pas saisi que l'intention que l'on prêtait à Hindenburg de garder de front Ouest intact n'était qu'un bluff allemand. La nouvelle nous venait de Suisse. Me permettra-t-on de rappeler qu'à ce moment même un autre son me parvenait de Suisse ? Je l'ai signalé dans mon article " La Retraite d'Hindenburg." D'après mes informations le pian d'Hindenburg n'était pas de maintenir " mordicus " les Allemands sur leurs positions, mais de tenter une résistance suprême avant de se résigner à un recul. Rappelons aussi que le généralissime allemand se rendit en personne sur le front de la Somme pour s'assurer si, sous le martelage d'enfer des artilleries anglo-françaises, la situation était1 tenable. Résister le plus longtemps possible fut son mot d'ordre. Il n'a pu espérer qu'un coup de fortune au front de l'Est améliorerait sa position à l'autre front. Il ne faisait qu'y perdre des hommes, comme il en perdait en Roumanie, tandis que les Anglais et les Français jouissent non seulement d'une industrie de guerre allant se développer, mais des ressources inépuisables de munitions qu'ils se procuraient outre-mer, renforçait leur force destructive et amenaient un nouveau million d'hommes sur le terrain. Le mouvement de recul allemand sur l'Ancre après la campagne de Roumanie prouve la gravité de la situation dans laquelle se débat l'Allemagne, malgré son maréchal de fer. Dans le "Times," le colonel Rèping-ton émet l'opinion que la retraite allemande pourra, dans certaines régions, déranger temporairement les plans de l'offensive britannique du printemps. Tout était prêt, dit-il, pour attaquer l'ennemi sur un front. Puisqu il se os-robe, des nouvelles dispositions sont à prendre qui peuvent demander quelque délai. Si le colonel Repington considère Poffensive anglaise comme étant 1 "of-fçnsive" son raisonnement est compréhensible, mais il se méprend sur la portée de l'offensive de Picardie. Opérations d'avanf=scène. Cette offensivç n'a jamais été entreprise dans un but stratégique. Le martelage et l'avance qu'elle a procurée aux Français et Anglais n'a eu d'autre signification qu'une opération d'avant-scène. Elle devait rendre plus facile une offensive sur le point faiblp du front allemand. Certes le résultat n'est pas complet : il aurait obtenu toute son ampleur si les Alliés avaient attaqué sur le cœur de la résistance allemande avant que ceux-ci eussent pu masser leur troupes derrière les lignes menacées. Quoiqu'il en soit, les Allies disposent des troupes et du matériel nécessaires pour ébranler ie bloc qui leur est opposé et la retraite en Picardie risque de mettre les Allemands dans l'alternative d'être pris dans le flanc, ce qui lie ferait qu'accélerer leur retraite finale. Je suis d'accord avec l'éminent critique militaire pour dire qu'au point de vue de la situation générale et malgré les beaux succès des Anglais sur l'Ancre, des signes d'actions de grande envergure ne sont pas encore visibles. Je ne désespère même pas qu'une démonstration de leurs forces militaires et de leur entente politique internationale suffira aux Alliés pour obliger les Puissances Centrales à composition. Une offensive générale serait un carnage sans pareil dans les annales de l'histoire. Que de sang d'épargné si les Austro-Allemands se rendaient compte de la vanitc de leur résistance !... E. P. LA VIE DE PARIS. Paris, le 10 mars. Il s'est trouvé hier un député socialiste du Rhône, M. Montet, pour monter à la tribune et pour prononcer quelques paroles énergiques et brèves: "Je ne vois que des ambitions et des appétits." Le mot a eu beaucoup de succès dans le public. Vraiment, la France actuelle, si belle dans sa fermeté, tout entière tournée du côté de la victoire, n'a pas la Chambre qu'elle mérite. Il y a trop de gens qui veulent devenir, ou redevenir ministres, et certains titulaires de portefeuille eux-mêmes cèdent trop, parfois, au désir de le garder. Je suis très embarrassé pour m'exprimer ainsi, car je compte de vieux et fidèles amis des deux côtés; les uns et les autres n'ont, ni complètement tort, ni tout à fait raison. D'ailleurs, tout devrait disparaître devant la seule, l'unique volonté de vaincre qui nous anime tous. Personne n'a oublié qu'il y a trente mois, au moment de la bataille de la Marne, nous avons vu de près la mort nationale, la ruine du pays. Que compte devant cette vision douloureuse, écartée pour toujours mais non effacée ? Que comptent une douzaine de maroquins 1 On semble oublier qu'après la victoire que nous aurons, c'est' certain, nous nous trouverons en face de formidables difficultés économiques, et M. de Monzie a prononcé à la tribune, avant-hier, le mot cle révolution. C'est peut-être exagéré, nous n'en savons rien. Dans tous les cas, il faudrait placer nos âmes au-dessus de ces ainbitions et de ces appétits dont a parlé, avec un accent méprisant, le député révolutionnaire. Un neutre, qui n'est pas un pleutre, un écrivain indépendant suisse des plus éminents, Virgile Rossel, a publié dans la "Bibliothèque Universelle" do Lausanne, une étude des mieux pensées qu'on devrait faire lire à tous les députés.M. Virgile Rossel, en s'occupajit de "La France et de l'Allemagne de demain," est amené à parler de nos représentants, dont il est loin de méconnaître les services : " Il u'oii rèjjue pas moins nu certain malaise effune sourde impatience dans le pays, écrit-il. On supportait avec unpeu d'humeur et sans beaucoup de fierté !e Parlement d'avant 1914. On s'afflige de ce que, apres la courte trêve des premiers mois, il retombe à ses péchés d'incohérence, de discorde et de chasse au portefeuille. Son action n'a pas été vaine et l'équité exige qu'on le déclare ; il a stimulé, contrôlé une administration volontiers routinière et qui n'a pas toujours été à la hauteur de ses écrasantes responsabilités. Que de tapage inutile, cependant, que d'intrigues, quel déchaînement des ambitions et des rancunes personnelles, quelle obsession de l'intérêt électoral ! Au sentiment de tels députés ou sénateurs, et non des moins influents, la présence de M. Poincaré à l'Elysée, de M. Briand à la présidence du Cabinet, est plus redoutable que la présence des Allemands à Noyon ou sur la Meuse. On fait la guerre, avant tout, au chef de l'Etat, à ses ministres et à quelques généraux français." "Que de tapage inutile !" C'est bien le mot de la situation. M. Virgile Rossel rappelle, en passant, le beau spectacle donné au Parlement anglais le 9 décembre 1916, quand M. Lloyd George remplaça M. Asquith. Après le discours de M. Lloyd George, M. Asquith se leva et prononça la simple allocution suivante : Mon premier devoir est de féliciter de tout cœur M. Lloyd George de ce qu'il a assumé lo poste le plus élevé et le plus lourd du Gouvernement. Si je parle de ce côté de la Chambre, ce n'est pas parcs que je prétends être le olief de l'opposition. Il n'y a plus d'opposition, et mon désir est de mettre au service du Gouvernement et du pays toute l'expérience que je peus posséder.Pourquoi des voix autorisées n'ont-ellcs j pas prononcé des paroles semblables au Palais-Bourbon ? Elles correspondent au vœu général du pays. Beaucoup auraient des réserves à faire, des critiques à formuler contre celui-ci ou contre tel autre; ce n'est pas le moment. Rancunes, antipathies, tout doit disparaître, et l'opposition doit cesser devant le devoir qui est de ne penser qu'à une seule chose: la défense aujourd'hui, la défense formidable pour.la victoire de demain. Voilà ce que pense le pays tout entier, à part une très petite exception, dont font malheureusement partie un trop grand nombre de députés. Par son sang-froid, ce pays imposera tout de même le calme et la raison à ceux qui se laissent entraîner plus loin qu'il ne faudrait. JEAN-BERNARD. Poésies sur la Prudence. Entre le Parlement et le Temple célèbre De Westminster, il est un grand square fameux, Tout à fait dépourvu du moindre aspect funèbre Pittoresque, animé, n'est-il fier et heureux, Des cinq Premiers en bronze au piédestal de pierre, Veillant sur son trafic. Square monumental, Que célèbre à bon droit l'esthétique Angleterre.Peel, qui se hausse au nord, voisin de Whits- hail, A souvent contemplé des accidents tragiques... Avez-vous peu de goût pour être écrabouillé? Courez vers le trottoir dans les moments critiques.Au sud, Bsaconsfield, au bronze non rouillé, Rêve là dans un coin clair, paisible et tranquille,Palmerston et Derby ne sont point si heureux, Et tandis que toujours Disraeli jubile, Eux déplorent souvent des accidents affreux. Canning, de leurs regrets partage la souffrance,Nombre de promeneurs ayant été fauchés Non loin de sa statue. Imprudence! imprudence ! De braver le péril soyez moins entichés! Regardez, ouvrez l'œil, montez sur les rerfuges, Longez donc les trottoirs en traversant, heureux,Ce square si vivant! Gardez-vous des déluges D'autos! Soyez prudents! Jamais audacieux. The Londou General Omnibus Co„ Ltd., Electric Railway House, Broadway, Westminster, S. \X'« 94 QUESTIONS PARLEMENTAIRES. Questions posées au gouvernement et réponses de M. le Ministre. 7 janvier 1917. — Question (en flamand) à M. le ministre de la guerre. La 4e division d'armée a érigé â Wul-pen un monument en l'honneur des soldats tués à l'ennemi. Lcs inscriptions sont uniquement en Irançais. Lcs soldats ayant demandé d'y faira figurer également les inscriptions en flamand, ce qui est simplement raisonnable et répond à la situation tle la Belgique. 1*; commandant les traita de germanophilesM. le ministre voudrait-il ordonner une enquête au sujet cle ce fait? 13 janvier 1917.—Première réponse (en flamand) de M. le ministre. Une enquête sera ouverte sur les faits signalés par l'honorable membre. 21 janvier 1917.—Seconde réponse {en flamand) de M. le ministre (traduction Littérale). Le monument dont parle l'honorable membre n'est pas encore fait. 11 n'en existe qu'une ébauche. Sur une pierre placée devant le monument seront gravés des vers de Verhae-ren et Rodenbach. 'L'inscription figurant sur le monument sera également bilingue. L'assertion, d'après laquelle le commandement supérieur aurait traité de "germanophiles" les soldats qui se seraient simplement enquis de l'exécution de l'intention des inventeurs est dépourvue de tout fondement, comme tout le faisait croire. Je suis heureux de signaler la chose à l'honorable membre.

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Cet article est une édition du titre L'indépendance belge appartenant à la catégorie Liberale pers, parue à Bruxelles du 1843 au 1940.

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