L'indépendance belge

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s.n. 1918, 29 Janvrier. L'indépendance belge. Accès à 23 septembre 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/rf5k93288v/
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L'INDEPENDANCE BELGE ROYAUME-UNI : ONE PEN8W CONTINENT: 15 CENTIMES (HOLLANDE ; S CENTS) ADMINISTRATION ET REDACTION : BUREAU A PAlïIS : WïAEmj OO» ,iAMU|CP 1<5l!PS f 3 MOIS, 9 SHILLINGS. ÏUDOR HODSE, TUDOR ST.. E C. 4. 11, PLACE DE LA BOURSE. WIWHUI «SW JHraïl^n l ^ ABONNEMENTS :< 6 MOIS. 17 SHILLINGS. CONSERVATION PAR LE PROGRES. TELEPHONE: CITY 3960 TK?.E.: 311-57 et 238-75 ^ V8îlt0 à Londres & 3 h. le lUElCSS 28 j«&nV8fîïtt - Il AN, 32 SHILLINGS. nmi.mi iBMiinijua——m—a—— iihim ■■ —■■■■■.bii»■twi— thc»>;aariM3tBWB i«i iihibi ■ —nfiwwiinwwmiiTMnnwrwinmni m """" 1 ■■■'■■m "a""1*'"'"1' i LA SITUATION Lundi midi. , Le bruifc fait autour des discours des deux comtes ne s'est pas encore calmé. En France, le refus catégorique des Puissances Centrales de lâcher l'Alsace-Lorraine, que même le "Vorwaerts" entend retenir comme "terre allemande," ainsi que la tentative de désunir les Alliés, se traduit par une résolution de plus en plus décidée de continuer la lutte jusqu'au triomphe du Droit. Nos amis les Français estiment que le moment est venu, pour les Alliés, de répondre aux Puissances Centrales par une note conjointe, et ce vœu répond également, croyons-nous, au sentiment de la grande majorité de tous les peuples alliés. Il est nécessaire, à notre avis, que cette réponse soit rédigée le plus rapidement possible, d'abord pour présenter à l'ennemi, au point de vue politique et diplomatique, un front uni, et ensuite pour profiter de la lassitude générale qui .^e manifeste chez nos ennemis pour en affaiblir, si possible, la situation intérieure. Celle-ci est plus sérieuse qu'on nous le dit, et malgré toutes les précautions prises par les autorités allemandes, nous savons, par les informations qui transpirent de tous côtés, que l'Allemagne traverse en ce moment la crise la plus grave de son histoire. L'Empire est divisé en deux camps : les pangermanistes annexionnistes et militaristes d'un côté, et, de l'autre, les socialistes et libéraux modérés, qui ne veulent pas prolonger la guerre pour la réalisation du programme pangermaniste. Certains députés et journaux socia: listes disent ouvertement que lé prolétariat allemand imitera celui d'Autriche - Hongrie si le gouvernement se rallie à la politique annexionniste. Des pamphlets ont même été distribués, préconisant la grève généralje, et ce danger a décidé le secrétaire d'Etat pour l'intérieur de déclarer au Reichs-tag "que l'Allemagne et ses alliés prendront toutes les mesures nécessaires pour maintenir l'ordre." Mais ce sont là de vaines menaces. L'Allemagne dépend, plus que quiconque en co moment, des ouvriers d'usine, et ceux-ci demandent la paix afin de ne pas succomber à la faim. Des ouvriers neutres, rentrés d'Allemagne, disent que la situation y est intenable. Les gens souffrent sérieusement du régime de sous-alimentation auqual ils sont soumis et le travail dans les usines de tout genre s'en ressent d'une façon inquiétante. Les évanouissements pour cause de faiblesse sont fréquents, les moindres blessures s'aggravent rapidement et ne guérissent que lentement, et le moral est profondément atteint. Le Kaiser n'est plus l'idole de jadis, et même les soldats ne se gênent pas pour tenir à son égard un langage insultant. Bref, l'Allemagne est arrivée à la limite de ses foroes, et si un revers militaire venait se greffer sur l'échec des négociations de Brest-Litovsk et sur le danger d'une séparation de l'Autriche-Hon-grie du bloo central, la mesure déborderait.L'attitude de la monarchie dualiste est nettement en contradiction, sur plusieurs points importants, avec la politique allemande, et l'annonce que le comte Czernin a fait parvenir son discours au Président, Wilson avant de l'avoir prononcé, a produit une très vive sensation dans les milieux pangermanistes et conservateurs allemands, qui orient déjà à la désertion. Mais il n'y a pas lieu d'attribuer une importance exagérée à ces braillards, et c'est plutôt M. Théodor Wolff, dans le "Berliner Ta.gblatt," qui a raison lorsqu'il exprime l'opinion que si le comte Czernin a proposé aux Etats-Unis d'entrer en pourparlers avec eux, il Va fait xan.s aucun doute avec l'approbation du comte Tlertling. En effet, s'il devait en être autrement, l'alliance austro-allemande serait rompue de fait, et nous n'en sommes pas encore là. Il semble, au contraire, que Ber-lin et Vienne sont parfaitement d'accord pour essayer de nous diviser nous-mêmes et que, dans l'offensive diplomatique qui a été déclenchée, c'est Vienne qui a été désignée pour essayer d'ouvrir line brèche dans notre front de bataille. Car s'il est indiscutable que le désir de paix du peuple autrichien est sincère, :1 n'en semble pas moins prouvé que le oomte Czernin ne se sert de ces aspirations populaires que pour -les utiliser contre nous. C'est à nous qu'incombe la tâche de prouver aux masses populaires, tant en Autriche qu'en Allemagne, que leurs dirigeants les bernent pour mieux les exploiter et que leuf désir de paix cache en réalité des visées impérialistes. Or, c'est dans cette tâche : la conversion du prolétariat chez nos ennemis, que nos socialistes à nom ont une mission capitale à remplir. C'est en accomplissant oette tâche-là qu'ils peuvent nous montrer quelle influenoe ils sont capables d'exercer sur ces fameux "Genossen" qui, avant la guerre, dirigeaient l'Internationale socialiste et qui ont mis plus de trois ans à s'apercevoir qu'ils étaient le jouet du Kaiser et de sa camarilla. Certaines sections de no? organisations ouvrières à nous ne semblent trouver de l'énergie que pour mettre ci s bâtcns dans les roues des gouvernements alliés qui, quelles que soient leurs fautes passées, présentes et futures, n'atteindront ja-n.'Eus au degré de qulpabilité qu'ont atteint les gouvernements des Puissances Centrales. C'est ainsi que les mécaniciens de l'Amalgamated Society of Engineers, eu préconisant un armistice à l'heure même où l'Allemagne réaffirme sa politique annexionniste, travaillent non pas pour la (lémocratie, mais pour l'autocratie militaire prussienne, exactement comme le font les Bolshévistes russes. Tous ces extrémistes sont dangereux, au môme titre, au point de vue du progrès démocratique dans le monde, et ils t/ raier.t à la solde des autocrates militari > qn'ils «e pourraient mieux faire, iia-r, en définitive, c'est en faveur du retour à la tyrannie d'un Tsar autocrate que travaillent les assassins de bas étage qui, en Russie, se sont emparés de la Révolution pour ia transformer en Jacquerie.N'est-ce pas parler en autocrate pur que de dire, comme l'a fait Lénine au Congrès des Soviets à Pétrograd : "Nous sommes pour la guerre des classes, et les lamentations de ceux que nos violenœs déconcertent nous laissent indifférents.' Selon Lénine, "il faut, entre l'Etat capitaliste et l'Etat socialiste, une période transitoire et cette période c'est la dictature!" "C'est sur cette route que le prolétariat russe et l'autorité des Soviets se'sont engagés." Un général Hoffmann n'aurait pas pu mieux dire, mais Lénine et consorts feront bien de se rappeler que la violence appelle la violence et que le jour où les gardes rouges qui terrorisent le pays trouveront que les Trotsky et les Lénine sont des "bourgeois" trop modérés à leur avis, ils n'auront peut-être pas le temps, comme Kerensky, de se mettre en sûreté. En Ukraine, la situation ne s'est pas améliorée. La Rada centrale a proclamé l'indépendance complète du peuple ukrainien, mais un communiqué de Pétrograd annonce l'occupation, par les Bolshévistes, de plusieurs villes dans les régions de Poltava èt de Kieff, la déroute suivie de la reddition d'un groupe de cosaques, l'établissement de l'autorité des Soviets à Sébastopol et l'envoi de dix-huit batteries d'artillerie, retirées du front, dans la direction de Kieff. D'autre part, on annonce un mouvement hostile, de la part de certains détachements de cosaques, contre le général Ivaledine (hetman des cosaques), ainsi qu'une bataille en règle entre les troupes roumaines et deux divisions russes (sibériennes) dans la région de Galatz, au cours de laquelle la grosse artillerie et les monitors du Danube sont intervenus ! Toutes ces nouvelles, transmises par l'Agence bolshéviste, sont plus ou moins sujettes à caution. Les communiqués du front occidental signalent une très grande activité aérienne qui s'est traduite par la mise hors combat de 31 appareils ennemis et le bombardement de plusieurs centres allemands : Trêves, Thionville, Fribourg, Ludwigshaven, etc. A noter également la reprise par les Anglais d'une nouvelle portion du front français. Le cordon britannique s'étend maintenant jusqu'au sud de Saint-Quentin.Signalons encore la retraite du général Faurie (qui- commandait la quatrième région) et dont le nom avait été prononcé îans l'affaire Caillaux, i 5 3 L L t 3 3 > 3 b s s J c S B r e s i e a 1 r i, s s s e e ■s e s s e à, e i s é Q S 5 e s i 1 s 1 t ! r s 1 s e ? s t I 1 6 a LA GUERRE EUROPEENNE » ^ * - SUR LE FBOrr OCCIDENTAL Trois échecs allemands Trois tentatives: de raids allemands ont été tefiues en échec, la première vendredi sur la lisière ticcidentale de la forêt de St-Gobain (à l'ouest de Laon) et les deux autres dans la nuit de samedi à dimanche, dans la région dç la F ave. L'activité de l'artillerie a été particulièrement intense dans la région de la Butte de Mesnil,drohs le secteur du Mort-homme et sur le front du Bois des Cau-rières-Bezonvaux, jet dimanche, dans la région à l'est de 1 1 route de St-Hi]aire à St-Soupplet. Raiis allemands Les communiqués britanniques de samedi signalent que les Allemands ont exécuté deux raids sur les lignes britanniques, le premier au sud de Fontairïe-les-Croisilîes, le second, qui fut complètement refoulé, au nord de Passchen-daele. Les communiqués de dimanche annoncent qu'un troisième raid e.nncmi au sud de Lens esi resté sans succès. L'artiHerie ennemie a été active au sud-ouest de Cambrai, dans la vallée de la Sc^rpe et au^ environs de Poelcap-pelle.Extension du front britannique Un télégramme Reuter annonce que l'armée méridionale britannique sur le front occidental a étendu sa ligne dernièrement, prenant position jusqu'à un point légèrement au sud de St-Quen-tin. Cette extension du front britannique. a,étc exéçu' 'c^ayeç discrétion, à la faveur du mauvais temps, et n'a été découverte par les Allemands que lorsqu'ils tentèrent un raid, dans la nuit du 24 janvier, sur des positions qu'ils croyaient françaises. Les soldats russes en France La légion des volontaires russes, recrutée par le général Lochvitzky parmi les Russes se trouvant en France, a envoyé un premier contingent de deux bataillons sur le front français. Deux à trois mille autres Russes ont exprimé l'intention de se joindre à ce premier contingent. sue LE FRONT MERIDIONAL Activité d'infanterie dans les lagunes Samedi soir, à Capo-Sile, des détachements ennemis ont tenté de s'approcher des défenses de la tête de pont italienne, mais ils ont été rapidement repoussés par un feu violent, puis contre-attaqué par les Italiens, qui ont ramené quelques prisonniers. L'artillerie a été active tout le long du front, et plus particulièrement dans la vallée de la Lagarina, sur le plateau d'Asiago et sur la Piave moyenne. EN AFRIQUE ORIENTALE Un succès portugais On mande de Lisbonne, à la date du 26 janvier, que les forces portugaises en Mozambique, opérant en conjonction avec les troupes britanniques dans la région du lac Nyasa, ont capturé Lico-polw-Mwembe, après en avoir rejeté les Allemands et leur avoir infligé des pertes sérieuses. OPERATIONS NAVALES Paquebot britannique torpillé Le paquebot "Andenia" (13,405 tonnes), de la Cunard Line, transportant une quarantaine de passagers et plus de 200 hommes d'équipage, dit le "Jrish Daily Telegraph," a été torpillé, dimanche matin, au large de la côte de l'Ul-ster. La première torpille lancée par le sous-marin manqua le paquebot, mais Ta seconde l'atteignit par le travers. L'ordre fut donné par le capitaine d'abandonner le navire. Les passagers et l'équipage prirent place dans les barques de sauvetage et l'on croit qu'il n'y a pas eu de victimes. Après avoir navigué pendant environ une heure, les escapés furent recueillis par des chalutiers et des bateaux patrouilleurs et débarqués dans une ville de la côte de nord de l'Irlande. Le paquebot n'a pas encore coulé et on | espère pouvoir le ramener dans un nort. OPERATiOMS AERIEMHES GRANDE OFFENSIVE ALLIEE 31 avions allemands abattus.—Raids français et britanniques en Allé» magne et en Flandre Le beau temps de vendredi a ravivé l'activité aérienne sur tous les fronts. Sir Douglas Haig a signalé que samedi après-midi de vifs combats aériens ont eu lieu tout le long du front occidental "leurs résultats étant largement en notre faveur... Dix appareils ennemis ont été abattus et six autres ont été contraints d'atterrir en mauvais état. Un seul appareil britannique n'"est pas rentré. En dehors de cela les aviateurs britanniques ont bombardé, vendredi, les dépôts de chemin de fer de Courtrai, les logements ennemis à Roulers et de nombreux autres objectifs. Vendredi soir les aviateurs-britanniques ont jeté plus de huit tonnes de bombes sur divers objets ennemis. Plusieurs pilotes ont fait deux expéditions. Plus de 160 bombes ont été jetées sur un nouvel aérodrome ennemi près de Tournai et cinq grands aérodromes allemands près de Gand ont été attaqués. Tous les appareils .v: ianniques sont rentrés.Le 25 ianvier les pilotes français ont pris de nombreuses photographies, survolant la zone ennemie jusqu'à 30 kilomètres derrière les lignes allemandes. Plus de 300 clichés ont été pris pendant la journée. Les appareils de chasse français ont détruit quatre avions allemands. De plus,, les pilotes français, dans la journée et la nuit du 25 janvier, ont jeté plus de huit tonnes d'explosifs sur des établissements ennemis, et notamment sur les gares de Thionville et de Fri-bou,rg, en Jjreisggu, sur les usines (de. la compagnie des anilines de Bade, à Ludwigshaven, et sur les cantonnements dans la région de Longuyon. Enfin, dans la soirée du 29 ianvier les canons antiaériens français ont abattus trois appareils allemands. Samedi les aviateurs britanniques ont abattu .un aéroplane allemand et ont bombardé la gare de Trêve, sans subir aucune perte. En Italie, les ariateurs de toutes les armées ont également été très-actifs. Les Austro-Allemands ont bombardé trois hepitaux à Mestre. Six de leurs appareils ont été détruits, dont quatre par des pilotes britanniques, et deux de leurs ballons captifs 'ont été abattus en flammes.En Palestine, une colonne ennemie d environ 2,000 hommes, a été dispersée par les aviateurs britanniques, qui jetèrent sur elle une demi-tonne de bombes. Li 24 janvier, deux aéroplanes ennemis ont été détruits au cours de combats aériens. Adinkerke bombardé Un communiqué du G.Q.G. de l'armée belge signale que d", aviateurs allemands ont jeté une dizaine de bombes dans les environs d'Adinkerke (entre La Panne et Dunkerque), sans causer aucun dommage.LES EVENEMENTS EN RUSSIE La lutte des classes Au troisième Congrès des délégués ouvriers et paysans, Trotsky a dit : "De nombreux efforts et beaucoup d'énergie sent encore nécessaires pour vaincre l'hégémonie capitaliste de l'Europe. Mais il ne faut pas être pessimiste quant à l'issue,, de la lutte contre les anciens systèmes; le mouvement est lent, mais sûr. Nos camarades étrangers sont les précurseurs d'une révolte générale et iir-vincible. Le suffrage universel a fait son temps. La dictature du prolétariat sauvera seul le pays." Parlant au Congrès des Soviets, Le-nine a dit que tous les socialistes' reconnaissaient qu'il devait y avoir une période de transition entre le capitalisme et le socialisme, et que cette transition doit se faire par l'intermédiaire d'une dictature. Il s'est déclaré en faveur de la violence d'une classe contre les autres et a prétendu que c'était un préjugé de croire qu'un simple ouvrier ou un simple paysan ne pouvait gouverneur le pays. Un ultimatum de la Finlande La guerre civile semble imminente en Finlande. Le Sénat finlandais a envoyé ur ultimatum au 'gouvernement' russe, disant aue si ce dernier n'arrête pas la Y1 iTf iWn <11 I I tjgrif-timjtA. mmwKxnm BIBLIOTHEQUES PUBLIQUES À LONDRES No 5 BISHOPSGATE INSTITUTS La Bishopsgate Institute cet bien l'université du travailleur dans la Cité. La Bibliothèque de Référénca se classe à la suite de celle du Guildhall parmi les ' bibliothèques publiques de la Cité. A coté des collections d'ouvages sur la Sociologie et l'Economie de Geo. Howell st de Geo. Jacob Holyoake, la Bibliothèque contient environ 55,000 volumes, représentant toutes les branches de la littérature et elle est particulièrement remarquable par les ouvrages types sur la topographie, les beaux arts, la jurisprudence, le commerce, la comptabilité et les suiets traitant généralement des affaires. Une section intéressante s'adressantà l'histoire et à la topographie de la métropole anglaise se distingue de plus par une collection de valeur d'imprimés et d'aquarelles du vieux Londres qui ornent les corridors de l'institut. Les revues courantes et un grand nombre de Botirfs et de publications annuelles sont à l'usage du public dans la bibliothèque de référence, et une section remarquable contient une sélection (accessible Sans ticketsl d'ouvrages aio-dernes, spéoii^cnnptr d-? volumes traitant de questions spéciales locales. Des livres peuvent être emportés à. domicile, sous réserve de certaines conditions. La Société Archéologique de Londres et Middlesex a son local dans l'institut. Heures d'accès : 10 h. du matin à 7 h. du soir; les samedis jusqu'à 4 h. Par les Services Nos 7, 9, 11, llA, 34, vers Liverpool Street ; ou les Nos 6, 8, 22, 35A, 47, 47A, 78 vers l'Institut. London General Omnibus Co. Ltd. Broadway, Westminster. fourniture d'armes aux apaches finlandais, assistés des soldats ruëses, l'état de guerre serait immédiatement proclamée. La réponse russe contient la promesse de "réclamer les armes empruntées."Les combats entre les gardes rouges et les gardes blancs, ces derniers étant recrutés parmi les classes les mieux élevées de la communauté,'alors que les piemiers se composent de soldats envoyés à Viborg d'autres villes de Finlande, ont pris une sérieuse extension à Viborg. La séance du Sénat finlandais, à Hel-singfors, a été interrompue par les social-démocrates qui étaient appuyés par le.; membres du Soviet du district et par la Flotte. Amiraux élus au suffrage universel ! Un décret visant à la démocratisation de la flotte a été publié à Pétrograd. 11 dit: "Le personnel de la marine de la République russe se composera de citoyens ayant tous les mêmes droits, qui seront désignés par les marins de la flotte militaire de la République russe. Le personnel sera sous les ordres de la * section stratégique et technique du gouvernement, en conjonction avec les comités choisis par la section administrative de la marine. Tout le personnel chargé de commandements sera élu au suffrage universel et les nominations seront confirmées par le comité central de la marine.A l'avenir la marine de la République russe constituera un service volontaire et payé. Cette résolution a été adoptée par 202 voix contre 2. Fn Ukraine La Rada centrale de l'Ukraine, paf 308 voix contre 4, a proclamé l'indépen- &uite à ia <$e paga 89e aririéf NO 25

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Cet article est une édition du titre L'indépendance belge appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londres du 1914 au 1918.

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