L'indépendance belge

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s.n. 1917, 17 Janvrier. L'indépendance belge. Accès à 09 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/vt1gh9cj02/
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SSème aimée. No 15 L'INDÉPENDANCE ROYAUME-UN? : ONE PENNY BELGE. CONTINENT: 15 CENTIMES (HOLLANDE : ® CENTS) ADMINISTRATION ET REDACTION -: , BUREAU A ,PARTS • ÏUDOR HOUSE, TUDOR ST., LONDON., E.C. ll' PLACE DE TELEPHONE: CITY 3960. TEUEPH : 16t MERCREDI 17 JANVIER 1917. En vente à Londres à 3 h. le mardi 16 janv. ABONNEMENTS MOlll 17 SHILLINGS.! CONSERVATION PAR LE PROGRÈS il AN, 32 SHILLINGS. } LA SITUATION. Mardi, midi. D.ans le but évident de pallier la perte de prestige subis par les Puissances Centrales du fait de l'écliec de leur manœuvre ds paix, les journaux allemands publient Ja lettre autographe que 1© Kaiser a adressée au Chancelier de l'Empire pour Jui faire part de l'inspiration pacifiste qui, prétendument, a été la genèse do la fameuse N.ote allemande sur la Paix. Dans cette lettre, Guillaume-Moloch pose à l' "homme unique possédant ie courage moral de parler de la paix," au ''souverain possédant une conscience,'' au "monarque responsable devant Dieu et qui possède la volonté de libérer le monde de ses souffrances." Ce morceau de littérature impériale figurera dignement à côté des innombrables élucubration» qui, depuis long-i-emps, ont placé ce Hohenzollern mégalomane à la tête des oabotins de marque qui évoluent sur la scène des Folies Européennes. Il n'étonnera que ceux qui oublient que Guillaume II a toujours été, et Test encore, le plus fervent adepte de la doctrine du "Gottesgnadentum" (par la grâce de Dieu), et qu'il se croit bel et bien l'envoyé de Dieu, le régénérateur du Monde! L'association par trop fréquente des actes du Kaiser avec le nom du Seigneur a dû passablement énerver bon nombre de croyants eu dehors clu camp retranché allemand, et ces associés malgré eux du christianisme teuton doivent être heureux de voir le Saint-Siège se départir lentement, et combien tardivement et par trop prudemment, de la neutralité compromettante observée jusqu'à ce jour à l'égard du blasphémateur impérial. Le père franciscain Draghetti, au cours d'un sermon à Santa. Andréa délia Val le à Rome, a exhorté son auditoire, nous annonce un télégramme Reiiter, à prier pour la paix et "la victoire pour l'Italie et ses Alliés." Le prédicateur ajouta, et c'est là le passage capital de son sermon, "qu'avant de monter en chaire, il s'était jeté aux pieds du Pape, qui lui avait recommandé de dire qu'il était nécessaire, au nom de la civilisation, de prier Dieu pour une paix basse sur le triomphe de l'amour, de la justice, de la fraternité et du droit." La dépêche ne nous dit pas si l'interprétation donnée par le Père Draghetti aux paroles sentencieuses mais trop diplomatiques du Saint-Père a été approuvée par le Pontife, et c'est bien dommage, car les croyants ont tout de même, nous semble-t-il, le droit de savoir si Benoît XV estime, avec le Président Wilson, qu'il n'y a dans oe conflit que des belligérants d'une même catégorie ou, comme l'estiment tous les Alliés, des agresseurs—nos ennemis—et leurs victimes—les Alliés. Mais les jugements de Dieu—et de son délégué—sont lents, et la situation militaire n apparaît pas encore a?sez nette pour éclairer la religion des neutres, qui attendent courageusement l'issue de la lutte pour voler a.u secours du vainqueur comme l'a si finement prédit un diplomate français. Cependant, la balance commençant à pencher du côté des Alliés, les neutres préparent les voies au revirement nécessaire. De source romaine on* nous apprend que la neutralité passée du Yati can provenait du désir du Sa-mr.-1ère de montrer des égards à l'adresse de François-Joseph, le "vétéran souverain catholique,'' mais que le Pape n'a plus les mêmes obligations vis-à-vis -do l'empereur Charles ! Nous nous garderons bien de tirer des conclusions irrévérencieuses do cette explication, mais si celle-ci émane de milieux catholiques, comme le fait supposer leur source, nous ne pouvons que reconnaître que le Pape a des amis bien maladroits. C'est le cas ou jamais de dire: de mes amis, préservez-moi; de mes ennemis, je m'en charge! Les nouvelles du théâtre roumain signalent un nouveau succès de nos Alliés dans la vallée du Casin où les Roumains ont repoussé de plus d'un kilomètre les détachements ennemis qui avaient occupé des positions au sud du monastère de Kachinal. Dans la région adjacente les Russes onb refoulé l'ennemi de plus de deux kilomètres et demi vers le sud. Sur le Ras-Sereth, l'ennemi progresse et la ville de Galatz est soumise à un bombardement intensif par l'artillerie bulgare postée sur-la rive droite (sud) du Danube. Signalons, à propos de la campagne de Roumanie, l'article publié par l'amiral Fournier dans le "Matin" de Paris, consacré à 1' "erreur" de la Roumanie. Celle-ci, d'après l'amiral, a pris l'offensive sur la frontière occidentale au lieu de la prendre sur la frontière sud, c'est-à-dire bulgare, comme le préconisait également le général Averescu. La retraite de Transylvanie qui fut le résultat de cette erreur stratégique, fit perdre aux Roumains une artillerie précieuse et mit fin à l'offensive du général Brou'ssiloff, qui dut renforcer l'aile droite roumaine sans parvenir cependant à couvrir la Valachie et la Dobroudja à temps pour arrêter les progrès de l'envahisseur.C'est l'avis que nous émettions à cette place au moment de la retraite de nos Alliés, mais la censure ne crut pas devoir permettre alors cette appréciation. Et maintenant, que vont faire nos ennemis une fois qu'ils seront en possession de la rive sud du Sereth ? S'arrêteront-ils là ou pousseront-ils plus loin une offensive qui risque de les mettre en mauvaise posture pour le printemps.?. Nous croyons que la prudence l'emportera et il se pourrait, comme nous l'avons dit déjà, que ce soit le front macédonien qui fût choisi par nos ennemis pour de nouveaux exploits. Déjà on signale une activité plus grande, tant dans le secteur italien que du côté du Lac Ochrida, où, comme nous l'apprend le communiqué français, des détachements indo-chinois ont été en action. Quant au front russe, il rentre petit à petit dans le calme, et l'offensive de Riga ayant abouti à améliorer la position de nos Alliés dans ce secteur et à y attirer des renforts ennemis en grand nombre, n'est pas poussée plus loin, pour le moment. UNE IMPORTANTE QUESTION INDUSTRIELLE BELGE. L'industrie sucrière en Belgique après la guerre. Par M. Eugène Lecroart, ingénieur. Le relèvement économique. Notre regretté compatriote M. Wax-weiler, économiste distingué et dont la mort prématurée a laissé un si grand \ide, était arrivé à recueillir sur toute l'industrie belge en général une précieuse collection de renseignements pour l'après-guerre. Nous voulons par la présente étude collaborer à tout ce qui peut nous donner l'espoir d'un relèvement économique prochain et l'assurance d'années prospères pour l'avenir. C'est notre devoir à tous d'apporter ici notre concours et de contribuer dar;s la mesure de nos moyens à l'œuvre commune. Régime des sucres après la guerre. Pour mettre fin à un régime de primes sur les sucres et surtout, ne l'oublions pas, en présence de la concurrence toujours croissante des sucres de canne, il était nécessaire de modifier la législation sucrière. C'est le 5 mars 1902 que les pays contractant — l'Allemagne, l'Autriehe-l'origrie, la Belgique. l'Espagne, Ja l'raiice, l'Angleterre; l'Italie, la Hol- 4 lande et la Suède — se sont réunies et par la Convention de Bruxelles ont réglé le régime des sucres de la façon vivante : 1. Suppression des primes directes et indirectes. 2. Engagement des parties contractantes do limiter à un minimum de Fr. 6 les 100 kilos la surtaxe, c'est-à-dire l'écart entre le taux des droits dont sont passibles les sucres étrangers et les droits auxquels sont soumis les sucres nationaux. Tels étaient les deux article.» principaux de la Convention de Bruxelles.Plus tard, en 1908, cette dernière fut prolongée, et le Pérou, le Grand-Duché de Luxembourg, la Suisse et la Russie y donnèrent leur adhésion. .11 est évident que les Etats centraux furent favorisés par la suite: leurs grai-de betteraves étant plus riches, leur puissance d'outillage plus grande et, de plus, l'application du principe coopératif de la culture et de la fabrique, leur donnèrent un avantage incontestable. (Juant k la Belgique, elle n'avait pas « suffisamment songé aux mauvaises an- c nées lors du régime des primes. î En 1902, elle possédait 107 fabriques, qui travaillaient 2,506.000 tonnes de ' betteraves, 5 En 1911 elle n'en a plus que 77, qui travaillent 1,932,000 tonnes de bette- ' raves. L'Allemagne en 1902 a 395 fabriques 1 travaillant 16,012,867 tonnes de betteraves. En 1914 elles travaillent 16,039,450 tonnes de, betteraves. Quant à la Russie, en 1902 elle a 278 e fabriques qui travaillent 8,270,645 tonnes, en 1911 elles travaillent i 13,132,400 tonnes de betteraves. c Pour ne parler que des sucreries de betteraves en Europe cet aperçu nous indique que l'industrie sucrière belge va en décroissant, alors que celle de l'Allemagne se maintient très aisément st que celle de la Russie progresse dans des proportions très sensibles. La Convention de Bruxelles. La Convention de Bruxelles subsis-tera-t-elle après la guerre, et quelle sera alors la situation de l'industrie sucrière belge? — Comme je le signalais dans une lettre ouvert® que j'adressais au "Journal des Fabricants de Sucre," en date du 2 mai 1916, aucun des Etats contractants n'a réellement renoncé à la convention, cependant devenue caduque depuis la. guerre. Le gouvernement français, par l'organe de M. Thomson 'et de M. Clementel, son successeur, continua à en respecter les clauses. La Grande-Bretagne, d'autre part, n'a pa3 donné le préavis de six mois qu'elle s'était engagée à communiquer aux Etats contractants le jour où elle serait disposée à modifier son régime des sucres. Elle a, il est vrai, augmenté les droits d'entrée dans une large miesure, mais la différence entre ceux-ci et les droits d'accise a été maintenue à un taux inférieur à celui fixé par la convention; par conséquent, la Grande-Bretagne n'a pas enfreint- à la stipulation de l'accord international. Il est intéressant -néanmoins d'examiner quelle a été pendant la guerre la situation de la sucrerie belge. Alors que les fabriques françaises situées dans la zone des armées étaient incendiées et détruites, les sucreries belges reçurent l'erdre de livrer à l'ennemi une partie de leur matériel, qui fut envoyé en Allemagne. Pendant les dernières années de guerre, les fabriques des Etats centraux n'ont pas eu à souffrir; certaines d'en-tr'elles ont eu même leur outillage perfectionné en vue de l'après-guerre. Leur production de sucre, incontestablement, s'est trouvée diminuée dans de sensibles proportions, mais cette diminution n'est due uniquement qu'à la difficulté de se procurer de la main-d'œuvre. Le prix de la betterave. Alors qu'en France, pendant l'année 1916-1917, on a payé la betterave Fr. 50 la tonne et que le gouvernement a réquisitionné les sucre3 à Fr. 75 les 100 kilos, nous constatons que l'Allemagne va payer pour l'année 1917-1918 Fr. 75 la tonne de betteraves, alors qu'elle taxera les 100 kilos de sucre à Fr. 62.50. Cela paraît, à première vue, inadmissible, mais n'oublions pas que l'Allemagne atteint un rendement de 15.50 p.c. en sucre brut,, alors qu'en Belgique notre rendement en sucre brut peut atteindre 13.85 23-C. La tonne de beUenve fournit donc 155 kilos d'une valeur de Fr. 96.87, d'où écart- de prix de Fr. 21.87; de plus, il y a lieu de tenir compte de la vente des pulpes et des mélasses. Rendons-nous. compte également quelle a été la situation de la sucrerie de canne pendant la guerre. . En 1913-1914, Cuba importait en Grande-Bretagne 275,000 tonnes de sucre et, en 1915-1916, dan^lemême pays, 600,000 tonnes. En 1915, l'exportation dès sucrés cubains atteint 197,521,000 dollars. MM. Vvillett et Gray estiment cette année la fabrication de Cuba à n 3,400,000 tonnes de sucre; nous devons nous attendre avant peu à une plus-value, qui portera la production à 4,000,000 d© tonnes avec un prix de revient ne dépassant pas Fr. 22 les 100 kilos; avant la guerre sa fabrication n'était que de 2,250,000 tonnes. On peut voir également que les sucreries de Porto Rico, .de la Louisiane, d'Egypte, d'Haïté et de l'Amérique t augmentent leur production d'un ^ quart. j Cette année Cuba, Java, l'Ile Mati- c rice et les Antilles Britanniques ont importé en Angleterre 2,000,000 de tonnes ; de sucre. C'est assez dire l'importance \ qu'ont prise les sucres de canne pendant c la guerre Enfin, pour nous rendre un c compte plus exact encore de la situa- 1 tion sucrière : D'après MJL Wjileit ci Gray^ la t luction mondiale du sucre en 1914-1915 <. été : Tonnes. Sucre de canne 10,216,511 sucres européens do betterave 7,583,325 Sucres de betterave Etats- Unis 646,257 3t divers 13,979 Total 18,460,072 En 1916-1917, les sucres de canne ont ,tteint 11,425,000 tonnes. La production des sucres de bette-aves européens est donc d'un peu plus le la moitié de oelle des sucres de canne. La consommation du sucre. Etant donné la concurrence de ces [erniers et de celle, du sucre des Etats-Jnis du centre, admettons que par la uito la Belgique soit réduite à fabri-(uer son sucre pour sa consommation. 311e avait avant la guerre 7,300,000 labit-ants. En admettant une con-ommation de 15 kilos par habi-ant, la production serait d'environ .05,000 tonnes. Or en 1912 nous •oyons que la Belgique cultivait 15,200 hectares de betteraves avec me moyenne de 30,000 kilos à 'hectare et un rendement en sucre brut le 13.89 p.c., soit une production de 170,906 tonnes, une diminution de abrication de 165,000 tonnes environ 'imposant pour le cas où elle ne polirait pas exporter ses sucres. Il faut [onc pour la vitalité de son industrie ucrière ou retourner aux anciennes irimes, ce qui est peu probable, ou re-ourir à une nouvelle convention avec es pays alliés. L'économiste anglais si apprécié, ïeorge Martineau, n'est pourtant pas de et avis et déclare qu'il n'est nullement >esoin d'un accord international pour aettre obstacle au système des primes. Il suffit, «joute-il, que chaque Etat pplique, comme en Amérique, des [roits compensateurs sur les sucres trangers primés à leur entrée dans le lays intéressé. Cette solution ne permettrait pour-ant pas à l'industrie sucrière belge de e relever après la guerre; il faut remer-ier la Convention de Bruxelles et l'ap->roprier aux besoins des Alliés. L'An-;leterre, avec juste raison, aurait le Iroit de considérer ses sucres coloniaux u même titre que ceux originaires des Stats contractants, d'ailleurs ses sucres oloniaux atteignaient avant 1a- guerre '.53 p.c. de la consommation de la-Grande-Bretagne, si nous admettons nême 10 et 12 p.c., il resterait pour les jays alliés 88 p.c., en admettant que a consommation soit de 2,000,000 d6 ionnes, il resterait donc 1.760,000 ton-îes que les pays alliés auraient- à se jartager d'après convention. Quant à la Russie, elle serait limitée i un maximum de production, comme 'admet un des articles du protocole de a Convention de 1908. Mais si, d'une part, je me suis beau-:cup attaché à la question de législation, pli est le point essentiel du relèvement iconomique de l'industrie sucrière, j'ai îâte, avant de terminer ce travail, de lire que nous avons également à nous irécccuper des progrès constants de l'in-lustrie. Occupons-nous tout d'abord l'obtenir une graine de betterave plus •iclie. M. Clementel, eu France, a compris et vient de former une commission hargée uniquement de s'en préoccuper. V peine celie-ci est-elle formée qu'une jersonnalité fait don de Fr. 500,000 à ;ette commission. C'est assez dire son mportance. Le rendement du charbon. Ce que nous ne devons, pas négliger lussi c'est un meilleur rendement en barbon à la tonne de betterave, nom-)reuses sont les fabriques en Allemagne, m Autriche, même en Italie-et en llol-ande qui ont un rendement de 60 et nême de 50 Éilos à la tonne de bette-■ave alors que celui de nos fabriques ,-arie de 95 à 120. Au lieu d'avoir des usines modernes. I Modifications aux Services des MotoivBiis. v g v. • \ ' - -v• Journellement à païtir du 22 janvier 1917. Changement d'itinéraires. SERVICE No 5— Cet itinéraire suivra, depnic la jonction de Penwith Road WIMBLEDON et de Gaïratfc Lane, Garratt PARK AND Lane et Eaat Hill, Wanda-S. HACKNEY. worth, repreuaut sou itinéraire actuel à Clapliam Junc-tion, continuant ensuite vers South Hackne}', par l'itinéraire actuel. Cette modification sera appliquée également les dimanches, lorsque ce service fonctionnera vers Wimbledon Common, venant de South Hackney. SERVICE No 7 7—Cet itinéraire suivra depuis la jonction d'Earlsfield Road TOQTING AND et deGarratt Lane, Earlstield KING S CROiS. Road, Windmill Road, Bat-tersea Rise, St. John's Road, reprenant sou itinéraire actuel à Clapham Junetion, continuant ensuite vers King's Cross par l'itinéraire actuel. Cette modification sera appliquée également les dimauches lorsque c» service fonctionnera vers Belmont, venant de King's Cross. SERVICE No 44 Le terminus actuel de ce service à Harrow Road sera KILBURN supprimé ; il sera reporté do AND l'extrémité de Harrow Road LONDON par Edgware Road jusqu'au BRIDGE. "Lord Palmerston," Kii- burn, pour suppléer à l'itinéraire effectué par le service No 26, Kilburn et Liverpool Street, qui sera supprimé à cette date. The London Général Omnibus Co., Ltd., Electric Railway House, Broadway, Westminster, S.W. 94 iiiiiiiiiiii[iiii!ii!iiiiiiiiiiiiiiïiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii¥in nous n'avons trop souvent que des appareils démodés. Suivons avec soin les découvertes intéressantes, essayons des appareils nouveaux.MM. Kestner, Praclie et Bouillon ont inventé des appareils remarquables pour l'évaporation. C'est l'Allemagne qui en a fait la première l'évaporation. Ecoutons les comptes-rendus de nos grands chimistes tels que Pellet et Sail-lard, dont la compétence sincère n'a jamais été mise en doute. Lisons attentivement les études détaillées de M. Bureau dans le "Journal des Fabricants de Sucre," l'organe le plus apprécié en la matière. Suivons avec intérêt les travaux de M. Ernotte et apportons-}', si possible, ncj^re concours, notre approbation ou nos objections puisque c'est de la discussion que doit jaillir la lumière. Soyons toujours sur la brèche, travaillons d'arraclie-pied, militairement, économiquement pour le salut de -l'indépendance belge. La guerre a été pour nous une dur© épreuve; qu'elle soit féconde en résultats pour la sévère leçon qu'elle nous inflige. EUGENE LECROART. LETTRE DE HOLLANDE. (De notre correspondant.) La préméditation. Lorsque les Allemands violèrent bru-alement la neutralité belge, ils'ne se ont certes pas attendu à voir le crime (rendre de telles proportions devant la on science universelle. Ils croyaient entrer victorieux à Paris iprès quelques semaines, et alors l'en-ahissement de la Belgique n'était plus' |u'un incident sans importance, une pec-adille que l'on se serait empressé d'ou-►lïer.Depuis lors la réalité leur est apparue t il n'est Dcta de uetit àrs'ument oui ne soit utilisé pour diminuer l'énormité de l'attentat. " Les Belges, eux aussi, étaient préparés à ia guerre," dit la " Kôlniscne Zeitung, " sans s'apercevoir que le "eux aussi " est tout un poème ! Et le journal raconte une histoire de conversations particulières dans une ville balnéaire ! Faut-il être vraiment à court d'arguments ! Une sotte accusation. Le journal boche écrit dans son numéro du 4 janvier : "Précisément maintenant, à l'occasion des lli^uosioui 4e oi'u m Pécuplè-Eïiteut*

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