Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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s.n. 1917, 16 Mars. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Accès à 12 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/mp4vh5df5h/
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ANVERS, Vendredi 16 Mars 1917 Le numéro 10 centimes Cinquante-neuvième Année - N° 17.867 DIRECTION & REDACTION : 14, RUE VLEMINCKX, 14 ANVERS ABONNEMENTS : Les abonnements pour la ville et les faubourgs sont acceptés au bureau du journal, 14, rue Vleminckx.— Pour l'intérieur et l'étranger on peut s'adresser à la poste. LLOYD ANVERSOIS Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires Annonces : 25 centimes la peti** ligne. — 50 centimes la doublr ligne 1 franc la ligne sur double colonne Adresses industrielles 50 centimes Émissions et Annonces financières : Prix à contenir Les annonces sont mesurées au lignomètre.— Les titres se paient d'après l'espace qu'ils occupent. na»**———a—M—■—a—MM—E————■ AVIS l'outes les heures renseignées dans notre journa sont indiquées d'après l'heure de la Tour. Observations météorologiques de M. F. Agthe, opticien rue Léopold, 51. Anvers, 16 mars 1917, 11 b. du matin.— Baromètre 781 -Thermomètre cent Imaxi 5. — Thermom. cent. (min . — 1. -Pluviomètre : — Vent : N -N.-E. — Prévision : Beau (gelée). Astronomie 17 mars [Communiqué par l'Observatoire Roval de Belgique à Uccle lez-Bruxellesi Lever du soleil 6h '4rr,. Nouv. lune le 23 mars 5 b. 5n Coucher du soleil.... 18 50 ., Prem.quart, le 30mars ! 1 „ 36 Lever de la lune 3 39 „ Pleine lune le 7 avril 14„49 Coucher de la lune.. .11 36 „ Dern. quart.le 1-î avrij.21 12 Haute marée à Anvers Matin Soir 17 mars ... 1C h. 15 m ! 17 mars ... 22 b 57 ru. 18 „ . 11 „38 „ 18 _ ... 24 ..24 „ 19 „ „ I 19 13 9 .. Hauteur du Rhin Cologne H mars ' .66 m. Strasbourg 13 mars 185 m Htmingen !3 „ 1-05 „ Lauterbourg „ 3 36 „ Kehj „ Maxau m 3.26 „ Mannheim !, i.29 „ Germersheim 2.70 Caub „ '-59 „ Mayence „ 0.28 „ Ruhrort „ 0 90 „ Bingen „ 1.30 „ Duisbourg » 0.27 „ Coblence (t 2.01 „ Waldshut „ '-.83 „ Dusseldorf „ 1.2? „ Lobith 14 „ 10.16 „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar Franclort 13 mars. 2.26 m. Heilbronn 13 mars, 1:05 m Hauteur de ia Moselle Hauteur du Bodensee Trêves 13 mars. 1.12 m. Constance 14.mars, 2.68 m Port d Anvers ARRIVAGES DU 15 MARS sieamer Wilford III, de Tamise. Union VI, de Bruxelles. Remorqueur Mowe, de Hobokeu. >< Elsk, de Gand. Baieau-moteur Pierre-Joseph, de Rupelmonde. » Eclair 3, de Bruxel'les. Allège Transport 34, de Hobokeu. » Auguste, die Hobokeu. Marie Louise, de Tamise. » Koophandel, de Audeghern. » Amata, de Gand. Infatigable, de Band. » Nénuphar, de Gand. » . Juliette, de Garni. » Couronne 2, de Meaxem. » Vier gezusters, de Schooten. Insula, de St-Job. » Eugène, de Grobbendonck . > » Semois, de Desscliel. » Gabriei.le 2, de Brée. » Fintje, de lieeriiigeijL. •» Oliva, de Liège. Vijf Gezusters, de Liège. Anglo Belgian Coal C.y 5, de Liège. » Flora, die Liège. » Christine, de Liège." » Achille, de Liège. >» St-Antoine, de Liège. » Marie, de Retuory. » Jeune Pierre, die Reuory. » Agko, de Tilleur. Mac Kinley, de Tilleur. » Helnrich, de l'Allemagne. « Bayern 37, de l'Allemagne. » Rhenania 10, die l'AlLemagnie. DEPARTS DU 15 MARS Steamer Wilford III, pour Taimisie. » Union III, pour Bruxelles. » Telegraaf iv, pour la Hollande. Remorqueur Henri 6, pour la Hollande. » Secunua, pour la Hollande. » Ayontuur 2, pour la Hollande. Allège- Coletta, pour Burgtit. (iuano werke, pour Burght.. » Robert Bertrand, pour Hoboken. » Juli.a, pour Hemlxem. » Vier gebroeders, pour st Arnaud. » Emile, pour St-Aïuand. » Madeleine, pour St-Amand. » Emmanuel, pour Hamme. » La Mathilde, pour Boom. « St-Antoine, pour Boom. Virginie, pour Willebroeck. » Nieuwe Zorg, pour Bruxelles. » Je Maintiendrai, pour Bruxelles. » Koekelberg, pour Louvain. Mijn Gedacht, pour Moerzeke. Gustave, pour Wyneghem. Anglo Belgian Coal Cy 4, pour Looybroerk. Eleonore, pour Lommel. " Noël, pour Lommel. » Charles, pour Charleroi. » Chercheur, pour Charleroi. » Anna Maria, pour Gha.i-le.roi. » Reflexion, pour Charleroi. » Corine, pour St-Gh islam. Henriette, pour la Ho lia iule. » Juliette, pour la Hollande. Louise, pour la Hollande. entreprise, pour La Hollande. Bayern 21, pour L'Allemagne. Bayern il, pour l'Allemagne Elise, pour l'Allemagne » Pour, pour l'Allemagne. » Emile, pour l'Allemagne » Sibilla pour l'Allemagne Baykrîi 13, pour l'Allemagne » Laboremus. pour l'Allemagne. Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES, ETC. Algonquin. — Londres, 14 mars. — Le steamer américain Algonquin, de la Clyde S. S. Co, à New-York, allant de New-York à Londres avec une cargaison de vivres, a été canonné par un sous-marin allemand et coulé au moyen de bombes placées à bord. L'équipage est, sauvé. La Campine. — La Haye, 15 mars. — On annonce que Je sifceamer La Campine a été torpillé dans la nier du Nord. L'équipage, se composant de 32 hommes, a été amené à bord du bateau-feu Doggersbank-Zi:id d'où il sera repris demain. Le vapeur La Campine, de la American Petrole: m Co, a Rotterdam, était construit en 1890 à Newcastle et jaugeait 2557 tonnes brut. Il avait quitté le Nieuwe Waterweg le 10 courant, en d'estina/tion de New-York. Vlaardingen 100. — Le chalutier à vapeur Vlaar-dingen 100 a coule a la suite de l'explosion d'une mine se trouvant dans les filets. L'équipage a été recueilli par le lougre M. a. 42, d'où il a été transmis au bateau-pilote qui a débarqué les hommes à Hoek van Holland. AVIS Abatage des veaux Se référant a l'arrêté du 27 mai 1916 IY> 4225, réglementant l'ai otage des porcs et (tes veaux Son Excellence VI. lie Gouverneur générad a autorisé ce qui suit : A partir diu 15 mars 1917, 1 abatage des veaux mâies âgés die moins de 4 semaines et impropres à l'élevage, pourra être consenti sur demande. Les demandes devront être adresées au bourgmestre compétent ou bien, s'il s'agit die communes pourvues d'un abattoir, au vétérinaire de cet établissement. Le bourgmestre ou lie vétérinaire de l'abattoir, selon le cas, ne pourra donner l'autorisation requise que lorsqu'il isera établi, par un certificat du vétérinaire agréé compétent, qu'il s'agit d'un veau mâle rentrant dams la catégorie désignée ci-dessus. Le bourgmestre est tenu d'envoyer immédiatement ce certificat au chef d'arrondissement (Kreischef) compétent ou bien, en ce qui concerne l'agglomération bruxelloise, à la « Kommandantur ». Le vétérinaire agréé qui délivre lie dit certificat doit en transmettre immédiatement une copie au vétérinaire compétent du Gouvernement (Gouvernement-veterinar) tentIT,P aUtrie à l'inspecteur-vétérinaire belge compé- Bruxelles, le 6 mars 1917. De»: General Gouverneur von Brussel u. Rrabanl Hurt, G enera 11 eu tna nt ————m n ■■hhiimiiii il imimwiiii mirr «a Notes économiques brésiliei.nei 1 Suite. Voir Li.oyd An verso is, 12, 15, 20, 22 févrie et ir mars En ce qui concerne les importations de marchai dises étrangères au Brésil le bureau de statistique donne les chiffres pour toute une séHe d'années • h térieures. Nous nous bornerons à reproduire e. n: des cinq dernières. valeurs en milliers en'-contos papier de livres sterlin 191 0 713.863 47:8-72 191 1 793.716 52.822 1912 951.370 63.425 191 3 1.007.495 67.166 1914 561.297 35.473 „ L'année 1913 clôturait avec 1 milliard 700 million „ de francs, d'importations diverses. Plus de 3 mil „ liards.334 millions de francs de con :i.J,ree j^énéial avons-nous vu dans notre n" du 12 février! Ce tableau est suffisamment suggestif et montr bien quelle ampleur prenait, au moment où le cata clisme s'est décharné sur l'Europe, l'essor du pays dans toutes les branches de son activité économique Les grandes nations commerçantes du monde s disputaient ses nombreux et importants marchés Elles en avaient suivi les progrès et elles les écu (lieraient de près, parce qu'ils leur offraient le plu magnifique champ d'action que l'on peut désirer e des débouchés dont le pouvoir d'absorption s'accen tuait chaque année d'avantage. Il n'y a guère plus d'un siècle que le Brésil peu ■ commercer librement. Et encore, pendant plusieur années, cette liberté économique se borna à de, échanges avec l'Angleterre dont les1 navires étaien pour ainsi dire les seuls à navuu r 1 <bren eut tra vers l'Atlantique. Cette situation privilégiée permettait à cette na tiori de prendre, dès le principe, une grande prépon dérance qu'elle conserva jusqu'à ce jour. Ceux qui ont étudié l'histoire du Portugal et dt ses colonies savent que les poils brésiliens furen ouverts au commerce des nations en 190K. Jusqu'à lois la colonie ne pouvait faire de coin merce, soit d'importation soit, d'exportation, que pa la métropole et au moyen de navires portugais. Lorsque, en cette même année, éclata la guerre en tre ce pays et la France,et lorsque cette dernière fit b blocus de toutes les côtes de la péninsule ibérique l'Angleterre s'empressa de profiter de la situation e d'envoyer ses navires au Brésil, où elle ne tard; pas à s'implanter tout a fait. Elle en profita même au point d'obtenir du Princ( Régent, entre autres avantages, un tarif de l'aveui pour toutes les marchandises dont elle àpprovision nait les trois ou quatre marchés de ce pays. Elles u.f payaient que 15% de droits d'entrée, tandis que toutes les autres productions même celles de la iuck patrie, étaient grevées d'une taxe de 25 %. Le commerce du Portugal avec le Brésil, nul peu dant cette guerre avec la France, ne reprit plus dam les mêmes proportions. 11 déclina d'ailleurs extra, ordinairement après la proclamation de i'ind-^j >» ;i dance brésilienne. Lorsque la France retrouva la paix, après l'odys sée napoléonienne, elle chercha a entretenir égale ment des relations commerciales avec ce pays. Mai: elle voulait bien y expédier ses produits, tout ci irendrant l'échange difficile, sinon impossible. Elit avait instauré le régime de protection pour les pro (luctions de ses colonies et le Brésil ne pouvait lut ter contre le café, le sucre, le coton, et autres den rées de la Martinique de Bourbon, de la Guadeloupe Malgré cela, l'influence de la France ne fit que grandir et, pendant de longues années, ce pays conserva la seconde place dans les relations commerciales qui se développaient chaque année d'avantage.Quant aux autres nations commerçantes, ^elles n'avaient, pendant toute la première moitié du i8c siècle," qu'un mou venu-;.i d'affaires assez réduit : elles ne constituaient pas pour la France et l'Angleterre des concurrents redoutables Ces deux nations accaparaient près de la moitié du commerce br«"si-lien, l'anglais de par la force de ses capitaux et de son esprit commercial; le français grâce à l'influence d'une sympathie qui avait sa "source dans d'étroites affinités de race et de civilisation et également dans la grande vogue dont jouissaient au Brésil les produits de l'industrie parisienne. Le temps n'est pas si éloigné où toute maison brésilienne quelque peu importante avait à Paris son commissionaire attitré à qui elle passait toutes ses commandes et faisait en retour toutes ses consign i tions. • Plus tard, de tous les financiers européens, l'anglais mieux inspiré et mieux renseigné était le seul qui ne se laissait pas entrainer a envelopper dans la même méfiance toutes les affaires sud-améric i i-ri.es, les bonnes, les mauvaises et les médiocres, et à englober le Brésil parmi les pays de révolutions, de pronjiinciamentos ù jet continu, ou parmi ceux qui faisaient fi, avec désinvolture, de leurs engagements financiers. Lorsque les autres n'y risquaient leurs capitaux qu'avec la plus mesquine prudence et la plus grande parcimonie, l'anglais prenait une part de plus en plus importante dans la création et le développement des voies ferrées, préparant l'évolution à laquelle nous assistons aujourd'hui. C'est lui qui se faisait le principal commanditaire de toutes les grandies entreprises brésiliennes. C'est sur la place de Londres que le Brésil réalisait a .lors déjà les opéra;tions de crédit qui exigeait son évolution économique. C'est à Londres que plus tard il paya les coupons de sa dette extérieure. C'est le marché de Londres qui toujours accueillit ses titres -et ses tonds tandis qu'ils n'étaient même pas côtés à la bourse de Paris. Aussi, il va 30 ans, pour ne pas remonter phis haut, l'anglais faisait annuellement avec le Brésil des affaires pour 304 millions de francs, 128.000 d'importations et 16 millions d'exportations. La France pour 178 millions, achetant pour 82 millions et vendant pour 96 millions de francs. A cette époque le mouvement total du commerce brésilien, d'échéanges se chiffrait déjà par un milliard et 200 millions de francs, 557 millions pour les importations et 566 millions pour les exportations. Un demi siècle auparavant, en 1837, il-n'atteignait guère plus de 70.000 conto's, soit 180 millions de francs, 100 millions pour les importations et le reste pour les exportations. Dans les chiffres de 1887, les Etats Frtis venaient en 3e lieu avec 145 millions de francs et l'Allemagne en 4* avec un commerce total de 45 millions, quatre fois inférieur à celui de la France. Mais bientôt la concurrence de ce pays devint for-midable, irrésistible. Par Les efforts constants de son ta?1™ • ovsanisation commerciale, son expansion tfiiilïo'V1 Vi1l)icle et évinçait de tous les marchés bi-i'-t ,c™currents routiniers ou moins bien or-gamses. L Allemagne étendait partout à la fois et. ffï 1>ouvoir économique. hii i. déjà, elle accusait un mouvement com-mercial, a 1 importation au Brésil, de 23.670 contos-or, .sort près de <0 millions de francs. En 1905. ce chiffre passait d'un bond à 35.353 contos-or, ou plus de 100 millions de francs. En 1910 elle v importait pour une valeur double : 70.000 contos-or Entre temps le commerce français restait quasi stationnan<e atteignant a grand peine en 1910, 40.000 contos. L Allemagne prenait, dès lors la seconde place qu'elle conservait encore en 1913 ainsi que nous le prouveront le tableau ci-après et 1p rhiftvp de 105.000 contos-or, — 20.871.000 livre* sterlin " -soit 522 millions de francs qui représentent son mouvement d'affaires, dont 250 millions de ventes au Brésil. La France était réléguée au 5° rang, après l'Argentine. « La. faute, dit l'économiste français Turof., en est toute entière à notre inertie, à notre pusillanimité, à notre manque d'initiative, à notre ignorance des belles affaires à traiter, à notre manque d'audace dans la bataille économique». D'ailleurs de cette grande sympathie que nous venons de constater, le brésilien, depuis longtemps déjà; était seul à, se souvenir, le français seul à bénéficier. Cependant nous avons pu remarquer, dans les années qui ont précédé la guerre, comment ce pays s'entendait à faire à la république sœur, comme il appelait le Brésil, une cour aussi assidue qu'inté-ressée. Nous avons même assisté à l'éclosion d'un tas i de publications, livres, brochures, conférences, que nous offrait, une pléiade de conseillers du commerce extérieur, d'écrivains, de journalistes, de conférenciers. Doumer en tête, allant en groupe ou isolément étudier le Brésil, dévoilant ses incalculables richesses et la rapidité de son évolution, découvrant même parfois des choses connues depuis longtemps et. employant les plus louables efforts à vouloir faire reconquérir par leur patrie la place et les brillantes affaires que d'autres leur avaient ravies. C'est que la France s'était ressaisie dès qu'elle vit 1e% piètres résultats de sa politique. Recherchant alors toutes les grandes entreprise ' brésiliennes, elle se mit à fournir à ce pays la ma r jeure partie des capitaux dont il avait besoin, pou son développement économique, surtout pour la cor struction de ses chemins de fer, pour l'amélioratioi de ses ports auxquels elle fournissait un outillag s perfectionné. Cet effort lui permît de reprendre en 1912 la i v place et de finir l'année 1913 avec un chiffre d'iu porta tions de près de 60.000 coritos or soit 171 ' m lions de francs. - Elle s'est parfois, souvent mise à la remorque de Etats-Unis dont les" « business men » ont, depui quelques années, inondé le pays de capitaux pou 1 aider à développer davantage toutes les branche de son activité industrielle, pour créer sur.tous le points du territoire des « Light and Power » pou 5 établir de vastes exploitations agricoles à l'instar d celles de l'Amérique du Nord. Ils sont apparus partout où il y avait des concessions a enlever aux anglais et aux français. Ils n'on s jamais hésité un instant à aller sur place étudier le affaires et conclure les marchés ou a enlever le adjudications, lorsque les concurrents européens ei étaient encore aux étm'es préliminaires et aux de mandes de renseignements complémentaire, pa correspondance. Nous pourrions même prouver qu'ils n'hésitai en pas à faire de la politique de compensation. Mai. entrer dans tant de détails nous mènerait trop loin Nous nous rappelons très bien, d'ailleurs, leur exigences pour obtenir des tarifs de faveur,exigence t auxquelles le Brésil ne pouvait pas se dérober ' car, elles étaient appuyées par des menaces de droit ' d'entrée sur les cafés, dont les Etats-Unis étaient b t principal acheteur. Le tableau des importations générales nous mon trera a suffisance les résultats pratiques qui obtin rein ces façons de procéder de l'américain du nord. Et les trois années de guerre auront avantage ci pays dans (les proportions étonnantes. Car le Brési ■ reçoit aujourd'hui des Etats-Unis la majeure partit ^ de ce que lui expédiaient les pays belligérants. La seule chose que l'Amérique ne peut lui fourni: et dont llEurope lui envoyait de nombreux contin gents, la main d'œuvre, l'empire du Soleil Lev m s'offre à lui en expédier, par contrat, des cargo i sons entières. - L'année dernière, nous apprenions qu'un groi pi japonais s'occupait sérieusement d'établir vers b ; Brésil un courant d'immigration jaune. Et depuis nous avons déjà pu lire à plusieurs re prises, que les exportateurs japonais cherchent eu> : aussi a entreprendre des affaires avec le Brésil. L; semaine dernière, Je Li.oyd Anversols annonçai qu'un groupe de capitalistes et d'industriels japonai-• venait de rentrer du Brésil, où il avait fait ui voyage d'études pour examiner sur place les possi bilités d'établir de nouvelles voies maritimes entre les deux pays, via Singapore, Ceylan, Madagascai et le Cap de Bonne Espérance. Le Japon ne figurait avant la guerre dans le tota! des importations au Brésil qu'avec des chiffres in signifiants, 320 contos-or, ou environ 900 mille francs tandis que réexportation brésilienne y était presque nulle, quelques centaines de sacs de café. Allons-nous le voir prendre une place en vue ei ; supplanter plusieurs nations industrielles du vie un monde ? : (A suivre.) INFORMATIONS FINANCIERES BOURS£ OFFICIEUSE D'ANVERS Séance du 15 mars. — Le centre de l'activité à la séance de ce jour s'est déplacé vers les valeurs pé-trolil'èVes et davantage encore en faveur des valeurs caoutehoutières. Le marché en est du coup devenu bien plus intéressant, car il est certain que l'imprévu des mouvements propres au genre de valeurs susdites, offre pour, le public boursier un attrait, que Les autres départe:..ents de Ja cote, aux oscillations étroites et monotones, ne sauraient offrir dans la même mesure. En actions Grosnyi on a voulu ratrapper au début les cours élevés qui avaient été pratiqués à Bruxelles hier, mais l'avance n'a pu être complètement, maintenue à la suite de réalisations. A propos des mouvements récents de la Grosnyi on entend s'exprimer en bourse un certain mécontentement au sujet du mutisme absolu observé depuis le début de la guerre par le conseil d'admi-nistratiôn à l'égard des porteurs de titres, si particulièrement nombreux sur la place d'Anvers, et on est d'autant plus étonné die-voir ailleurs se déclan-cher un mouvement qui ferait croire qu'on ne se trouve pas partout dans la même ignorance des faits qui concernent la société. Les valeurs caoutchouliè-res ont eu des négociations plus larges qui embrassent presque toutes les rubriques et dont toutes ont bénéficié dans une certaine mesure. Les fonds d'états sont eailmes mais pas toujours exempts d'unie certaine lourdeur. Passons rapidement sur les rentes belges et ies lots de ville qui ne modifient pas leur tenue. Belge 3% mai 70,50-71,50, ('mission Anglaise 80,50 P., Bon du Trésor 100,25-101,25, Annuités 78,50-79,50, Anvers 1887 83,60-84,80, Anvers 1903 7Q,85-71,85, Bruxelles 1905 69,75-70,75, Gand 1896 64-65, Liège 1897 64-65, Ostende 56-57, lot du Congo 86,25-87,25. A l'exception des emprunts fédéraux or argentins et des rentes brésiliennes fjui se maintiennent à leurs prix d'hier, on constate un certain déchet dans les cours des valeurs internationales y compris les Cédules, cette fois en recul d'une fraction plus importante. On ne fait plus les nouveliles qu'entre 111,50-112,50 et il n'y a acheteur en L que vers 114 et en K vers 97, les cours moins favorables n'ont pas manqué d'enrayer les transactions en Cédules. Notons l'Argentin 4 1/2 Intérieur entre 97,25-98,25, l'Extérieur entre 96,50-97,50, le 41/2 1911 à 95,50-96,50, le 4 % LiOO français 83-84. Brésil funding 1914 99,25-100,25, le 4 1/2 1880 83,50 A., le 5 % 1908 84,25-85,50, le 4 % 1910 74,25-75,25, le -î "0 1889 75-75,75, le Rescission 75-76, Chili 5 % 1911 95 nominal, le 4 1/2 1889 90,75 A., 91,25 P., Uruguay 3 1/2 72,25 P., lé 5 % 1914 91,50 A., la Cédule uruguayenne est mieux à 102-103. Dominicain 113 A., pour petites coupures. Buenos-Ayres 4 1/2 93,50-94,50. Dettes asiatiques en tendance plus faible. Le Chinois 4 1/2 1898 ne vaut que 82-83, le 5 % 1896 est offert à 91, Japon Bailway est moins bien à 103-104, le 4 1/2 1905 est au même prix à 103,50 A., le 4 % 1905 93,25-94,25.Les dettes continentales sont à peine soutenues. Russe 3 8/10 % 71,50 A., »le 4 % 1880 81-82,50, le Nicolas 87,50-88,50, le 5 % 1906 95 A., 95,75 P., Roumain % 1890 79,25-80,25, le 4% 1908/10 65-66,75. avec des vendeurs en clôture, le 4 1/2 1913 71,50-72,50, Le 5 % 1903 ■>,50-84,50, Bulgare 41/2 74 A., Portugais 52 A., Métalliques 57,75-58,75, lots Turcs en hausse à 217,50-227,50. Les a étions diverses restent quasi sans a ffaires faites. Nous ne voyons que l'ordinaire Crédit National à 275-280 et la priv. à 282,50-289, dividende Escaut 90 P., capital Tram. d'Anvers 124 A., 127 P.. dividende Rosario 38,75 P. La tenue des titres hypothécaires est irréprochable. Priv il; hypothécaire du Canada 1160 A., l'oblig. ',81-483, Tornquist 1095 A., • Pastorale 1095 A., privil. Banque Belge 1085 environ, obligation 481,50-484. Dans le coin des pétrolifères on débute en avance trop accentuée pour pouvoir se maintenir, on ne recule cependant que graduellement, les dispositions du marché restant favorables en dépit de la présence de quelques vendeurs attirés par la- brusque reprise. L'ordinaire Grosnyi s'établit en définitive entre 2820 et 2905, la privilégiée n'a pas été traitée, mais était obtenable à 3175 P., Nafta dividende 230 A., 235 P., capital Roumanie 110 A.. 125 P., capital Bo-rvsla w 46-50. Le groupe des caoutchoucs est affairé. Les actions Tjisalak ont leur tour de faveur et s-'incrivent en, progrès, la capital à 66,25-69,75, les parts à 187,50-195, , Kalitengah parait in variée entre 45 et 48, Galang ; 5,70-5,90, la Financière est demandée à 172,50 A., capital Delii Moeda 247,50 A., 250 P.. la dividende 65 A., 67,50 P., Federated 675 A.. Kuala 143-149, Senna.h 65-68,50.Obligations Tangan-vika 208,50-212,50. Cours des florins P. B. 213 1/2 A., 216 1/2 P. BOURSE OFFICIEUSE DE BRUXELLES Séance du 15 mars. — Contrairement à ce qui s'est passe depuis bien des semaines, cette séance de jeudi a conservé les tendaces générales des premières vacations. D'ordinaire, la séance plus animée du mercredi épuisait la capacité du marché, et il est très intéressant de constater qu'il ne fut pas de même au-jourdhui.Les indications générales restent les mêmes que celles données depuis lundi ; dans quelques groupes, la fermeté des cours est à signaler. Peu de chose a dire des rentes et lots de villes. Voici les cours faits : Bente Belge 3 %, 70-70,50 ; Bons du Trésor 4 % 1917, 100 1/8-101 ; Cong'» lots, 86,75-87 ; Anvers 1903, 71-71 7/8; Anvers 1887, 83,75 A.; Bruxelles !005, 69 7/8-70 1/8; Liège 1897, 64 25; Schaer-beek 1898, 62. s Les obligations industrielles jouissent toujours d'un certain mouvement d'affaires. Blaton-Ath est mieux r à 187 ]/2, 190 ; on demande la Sierra de Carthagène à 120, la 4 % Tramways de Livourne à 415, la 5 % i Tramways Toscans à 460, la 5 % Tramways de Lorn-3 hardie et Roiriagnes à 472 1/2, la 5 % Brugeoise: à 485, la 5 Charbonn. et Glaces de Bohème à 485, les i 1/2 % Huileries d'Odessa à 420. D'autre part, on fait 482 1/2 en 5 % Ham-sur-Sambre, on offre les 5 % Tubes de la Meuse a 502 1/2, et on cote 450 en 4 % Gaz Belge. s Les actions bancaires gardent une certaine ani-s mation. I.a Banque Belge de Chemins de fer re-f \ ient à 460 papier, la Caisse de Reports est indécise s à 1350, 1340, la capital Crédit Général de Belgique } se -soutient à 115, l'ordinaire Crédit National In-i- dustriel est en îeprise à 280, 282 1/2, ia dividende ? Hypothécaire Belge-Américaine est bien à 2040, 2050, la Part de Réserve est demandée à 5965,1a privilégiée Travaux du Caire est à 100 argent et la dividende est ^ mieux à 13, 14, 15. 5 Les affaires sont très limitées en valeurs de . transports. La dividende Bruxellois se retrouve à l 840, s47 I 2, la fondateur Espagne Electriques est lourde à 1200, la capital Mutuelle est offerte à 73 3/4, la dividende Vérone cote 11. Les transactions sont limitées également en valeurs t sidérurgiques. La capital Constructions Electriques de Charleroi es: ferme à 335, la fondateur Energie est lourde à 43, la (.ilsou est demandée à 505, la Mi-! nerva est offerte à 195, la jouissance Olkovaïa est. ' s'uuenue a 395, et la privilégiée Taretzkoïe est à 815 argent. En Providence Russe, la fermeté domine '. encore ; la B est même mieux à 660, 662 1/2, et la C ' se retrouve à 300, 302 1/2. Eu lï, les cours du 13 courant ont été définitivement retirés. \11x charbonnages, les valeurs à étiquette hollandaise seuls retiennent l'attention. Ainsi on est mieux en Lama dividende a 855, 865, et en Willem-Sophia on progresse de 1045 à 1065. Le Centre de .lumet à , 18',5 est lourd ; il eu est de même du Grand-Conty à ' 337 1/2. Les cours de 400, 405 hier en Ham-sur-Sambre ont été retirés. Les petites rubriques sont presque dépourvues d'affaires. On offre l'ordinaire de Saint-Pétersbourg à ' 650, et la capital Electricité d'Odessa cote 137 1/2. L:i peu de lassitude en valeurs coloniales. Le Commerce au Congo est demandé à 3300 et offert à 3450, la Compagnie du Congo Belge est bien à 70, l'ordinaire Katapga bouge peu à 2290, 2280, la capH^ • Lacourt est lourde à 445, la capital Végétaux du Haut-Kasaï est ferme à 25 1/2, la capital Union .Minière est hésitante à 1340, 1337 1/2, 1340, mais la dividende est mieux à 1250, et la 'J'auganyika reprend vigueur à 72 1/4, 72 1/2, 72 3/4. Au groupe caoutchoutier, c'est la fermeté qui pré-; vaut. La capital Java se maintient à 146, 146,50, et H fondateur poursuit sa marche en avant à 735, 74b, 745. La production de cette société en février écoulé s'est élevée à 19.000 lbs, contre 11.150 Ibs en février 1916. C'est une progression intéressante. La Financière du Caoutchouc est mieux à 172,50, l'Hévéa garde sa belle allure à 207,50 208,75, 210, la Sennah est soutenue à 65, 65,25 , 65,50, 65,75, et la Siengei-Lipoet se maintient à 432,50, 434,50. La Zuid-Préanger ne 'cote pas aujourd'hui. La production de février écoulé atteint 14.500 lbs, contre 12.000 lbs le mois précédent. Aux diverses, les titres sucriers retiennent, la plus belle partie de l'attention. Les Sucreries Saint-Jean sont même en reprise assez notable à 130, 135 en capital, et de 180 à 196,25 en fondateur. La capital' Sucrière Européenne est. bien aussi à 85, s.o. D'autre part, les Pétroles de Grosnyi, si fermes hier, font mine de lâcher pied à 3275, 3295 en privilégiée, et à -MiO, 2325, 2855 en ordinaire. La capital Floridieone est à 410 papier. Lés valeurs étrangères sont aussi calmes que p ,s-(sible, à part cependant les titres égyptiens, qui c n-tinuent à faire preuve d'excellentes dispositions. Ainsi, l;i capital Agricole d'Egypte à 122,50, '121,85, 125, la dividende à 110, 105. 107,50, et l'obligation 4 à 285 sont toutes en progression. La capital Egypti m Entreprise est bien aussi de 96,25 à 102,50, et la capital et fondateur Allotment respectivement à 70 et .12 ont bonne contenance. Eii Rand Mines, il y a argent à 125, en Barcelona on se maintient à 77, 77,50, en Central Catalan (var.) on cote encore 148,75, et en Port de la Havane on fait 265, et en Kolonma 700, 705. COURS DU CHANGE Rotterdam, 1.4 mars. — Londres, fl. 11,821/4. Berlin, fl. 39,57 1/2. Paris, fl. 42,50. Amsterdam, 14 mars. — Londres. II. 11,82 3/4. Berlin, 11. 39,65. Paris, fl. 42,55. Suisse, fl. 49,30. Vienne, II' 25,10. Copenhague, (L 70,30. Stockholm, fl. 73,50. BOURSE DE PARIS Paris, !4Mars |?4Mars 113Mars 14 Mars ; 13 Mars 3% rente française. I 61 35 | 61 25 Est trançais. — Russie 1Q89,Con.4% j Rio Tinto, parts .1750 - 1750 - 4-1/2% Russie 1909 1 72 72 50 Mexique Int. 5% ' — Serbie 4% 1895 Lots Turquie — - - — Espagnp 4%, Etr '01 95 | '0'. 45 Chan?9 Berlin, cojrti — Portugal 3% . . 59 — 59 20 Chg*s.Amsterd..court 235 235 50 Turquie 4% unifié . 67 50 67 '0 ChK»s.Londres,court: 27 79 27 79 Danone nltomanfl . 437 — 454 :Fsnnmo!e BOURSE DE LONDRES Londres 14 Mars | '4 Mars jl3 Mars : 14 Mars 113 Mars Consols. , . j 5:1 3 3 | 52 7/8 j-South. Railway. .| 29 1/8 j - — RépuDiiq Argentine . 67— - Union A . 142 7 8 4% Brésil . - - — - -Wab., préf. . -- l — — 4% Japon 69 7/8 70 — iU. S, 8 pel A. . 116 V4 116 — Japon 1905. .j 913M 91 1/4 Amalg. C. . . .I — - Mexique inter. . . j j - - Great Cobar. . .1 Pérou, ord. . . 4 b/8 j , Columbia . . .; —— — Pérou, prêt . j 1 — Ver. Dip!. . -, . — — 551/2 Portugal. . -- ! 52 — Mexic. pr. . , — 1 Russie 1889 . 63 a/4 64 — Rock Isl. . — Marc, of A . . . 16 1.8 16 1,4 Randmine — — — — Turquie.... - - — 'Marine, Dr. . % Uruguay. . 65 3/8 65 118 Shell 5% Uruguay . . - — ! Rio Tinto . . - — - - Acht. Top ... - — - -- Anaconda . - Préf. d<» A . , — - ' ~ - jSchib., pré!. . - Oenver ? R.o Rreniii? — - - — jSchib., ord. . — Erie, ord. ... 28 5/8 - — jKcn. Petr. — Missouri J — — Escompte 49/'6d 4 II 16 0 Ontario A. . . i — — - Argent . . 36 — d 36 1 2 d South. Pacific . I —— . 98 7,8 BOURSE DE NEW-YORK New York 14 mars .14 Mars ,13 tors 1 11 Mars 113 Mars Hypothèques i%-2— Wk-Hi Oniar o<SWestern,or 231/2 23 Cnane«s.Lonrir. C.l 4.76 45 4.76.45 Nortnern Paci.'., ord. 103 3/4 10 ' 7/8 Ch8«s. Ltindr.60d.v 4.71. J,7! — Norfo.KiWestern,ord 128 — '27 1 -> Changes. Paris vue. 5.85 — 5,85 — Norf.AWest.4%c.obl!34 - 'T. Change s. Berl n . 68 3/î 6- - Pennsylvania, ord. 53 5/8 53 7.8 Argent .... 73 V4 75 Philao. i Read., ord. 93 *4 9112 Philad.4Read.,1*prél 41 3/2 -u i,-> FONOS GreatNortherr,l«préf 112 3/4 j '13 — Amérique 2 p. c. obi 99 - ,99 - Texas A, Pacific, ord. 15 V4 ' i F> i,» Atcli. T, & S. F. 4% ; 102 il021/2 Southern Pacif., ord. 93 3/4 93 3/4 Atch.T.AS. F. aord'101 1/2 102 ï/j Southern Rail//., ord. 27 — 27 3 8 Atc.T.AS.F.Mgb.4 7, 34 1/4 341/4 SouthernRailw.,prêt. 58 -- 58 — Atch.T.AS.F. a.p'éf. 98 7IJ : 99 - Union Pacific, préf. '3^ "35 1,-j Am.CariFoundryor.; 65 1.2 66 Union Pacif.4%, obi. 97 3'4 97 3,8 Baltim. A Ohio.ora. T5 Uj 76 L'4 Wab.S»LouisAPac ,0 : a 7 8 Canad. Pacific, ord. ,;3 - '53 l'a Wab.S'LouiSiÊPac, pr 48 -- 48 — ChesaD <fcObio,oro. 5*3/4 0634 Amalgamat.Copper.o - — Chic. <§Norlh Wesî.o.j-' 13 1 '8 114 — AnacondaGopper, n. 3 ; 3/8 83 5/8 Chic.Milw.^St.Pauio, ciO 3/4 q: _ U ; S. Sîeel Corp..ord. I 0 - HM.i R«ck Island ord. 5:8 . 37 5/5 U,S. Steel Corp.,préf '17 02 1 ] ~ ' - Am. SmeltitRef.C°,c, '0' — '04 1/4 U.S. Steel Corp. 5% Bethl.SîeelCorp.,ord 139 133 2e H. Obi. 105 3/4 '06'1 8 Denv.A Rio Grande,o.j 12' 2 "1 — Americ.Beet St>g.,ord 91 ' 2 92-ErieRailway, ord. < 26 1/4 26'/4 American,Can. ord. 45 5"S 4C> — Erie Railw., 1« préf. 39 — 39 3/6 Unit. Sugar Cn, ord. 43 43 -Erie Railw., 2« préi. >: 31- Amer.HidedLeath .pr 66 66 3'4 Erie Railw. Gen.Lien 66 661,2 Amer. rei.«£Tel.,oid. 127 — 126 7/8 Illinois Contrai,ord."00 1,2 [ICI Vi Am.Tel.4%conv.obl. 102 — lO'— Kans City South., ord; 21 V4 2' % |ntem.Cont.Rubb«',o 11 - I'i;3 Kans. City South., pr. 54 1,2 541/4 !nterr.Merc.Mar.,ord 76 7/8 27 1,8 Louisv.ANashv.,ord.'125 — 125 ntern.Merc.Mar.,pr,' 75''2 7ô Nat.Rlw.ofMexJpr. 23 23 — | ni. Merc. Marine Nat.Rlw.ofMex.,2pr. 7 - G 4'2%,obl. 91 9! 3/8 Miss,Kans.ATex.,ord 7 7 8/4 Pittaburg Coal. ord. 45 1/4 4o 7 8 Miss.KansasiTexas Centrall.eather,ord. 90«,4 : 9 3/8 2* b.g.-obl. 4î— t 46 — lnterbor,Metrop.,préf 64 ! 64 1,0 Mi$soun Paciiic.,ord: 29 1/8; 29 1,4 !r.lerbor.Metrop,,ord. '.2 7/8 13 1/4 N.-Y.Centr AHuds.,o! 94 1/4 95 1/2 Slud9hak*r0or..ora ?02 - ! 102 — i Mnnt Dr.m.S'.fiorfl * _ Banque Suisse et Française. — Cette société, au capital de A0 millions de francs, a réalisé un bénéficie net de 3.505.759 francs (2.520,991 fi\). Le dividende est fixé à 30 francs (25 fr.). Banque Générale Belge. — Gette banque distribuera encore un dividende de 6 % pour 1916. Crédit Anversois. Il ne sera pas encore réparti de dividende, L'excédient clés derniers exercices est affecté à des amortissements. Compagnie Générale Parisienne de Tramways. Cette société, au capit.nl de 45 millions de franes, nie distribue pas encore de dividende. Charbonnage cie Marcinelle-Nord. Par décision du Conseil général en date du 2 février 1917, prise en conformité de l'art. 7 des statuts, il est créée 9000 obligations nouvelles de 500 francs chacune, rappor-t'int 5 % d'intérêts payables,-par coupons semestriels de fr. 12,50, nets d'impôts, échéant, les. I1' avril et lr octobre de chaque année. En y coi 1;prenant les 2.640.000 francs d'anciennes obligations restant en circulation, la dette- obligataire totale s'élèvera à fr. 7.140.000. Société Nobel. — Depuis quelque temps, cette eut reluise dirige son attention sur les grandes sociétés de transport de naphte et d'assurances sur les transports. Son intention évidente est de s'assurer le contrôle sur les entreprises de transport. Dans ce but, elle a racheté line grand© partie des actions de la Société Orientale pour l'Entreposage, Assurance, Transport et Warrantage de Marchandises, ainsi que de la .Société Internationale de rétrograde pour procurer des moyens de transport et l'affermage de dépôts de marchandises de la Société du Sud de la Russie (élévateurs flottants), et de la Société de Varsovie (entreposage). Les, sociétés susnommées seront réunies en communauté d'intérêts(et une direction, commerciale unique les régira. Production du caoutchouc. Soengei-Lipoet a produit en février 1917, 60.0(30 .lbs, contre 55.033 lbs en février 1916 : leis Hu.ii.emes de Deli omit fourni 44.150 lbs, contre 27.814 lbs ; la Compagnie du Sélan-gor, 30.000 lbs, contre 28.000 lbs, et Fauconnier Poath, 33.298 lbs, contre 20.000 ll>s, Holland-Gulf Stoomvaart Mij, à RotterdioJU. — Cette compagnie distribuera un dividende de 40% contre 10 % en 1915. Broodfabriek De Zeeuw, ;i Leyde. — Le dividende a été fixé à 5 % contre 6 % en 1915. Zuid-Nederlandsche Handelsbank, à Tilbourg. — Cette banque ouvrira une filiale à Vente), le lr avril prochain. Dordrechtsche Hypotheekbank, à Dordrecht. — Le bénéfice brut s'élève à fl. 444.494, contre fl. 354.179 en 1915, dont fl. 405.774 (fl. 325.183) en rentes hypothécaires. Le bénéfice met a été de fl. 55.257 contre fi. 43.360 en 1915. Le dividende a été fixé à 9 % (8 % en 1915). Le solde de fl. 7543 a été reporté à nouveau. Le capital versé s'élève à fl. 200.000. MEMENTO DE "'ACTIONNAIRE ASSEMBLEES ANNONCEES 17 mars Savonnerie Modèle, société anonyme, à 3 h. 1/2 de l'après-midi, au siège social, h Gosselies. Tuileries et Briqueteries de Lobbes et Extensions, société anonyme, à 11 heures du matin, 33, rue Le Corrège, à Bruxelles. 19 mars Nouvelle Société des Carrières de Elorzé, société anonyme, à 3 heures, au siège social, 62, rue Adolphe Lavallée, à Molenbeek-Saint-Jean. Société anonyme des Chemins de Fer Vicinaux des Ardennes, à 3 heures, à l'Hôtel Verlhac; boulevard de la Sauvenière, 153, à Liège. - Société anonyme Produits Réfraotaires de Char- -leroi, à 3 heures, au siège social, rue de l'Ange, a Ma rein elle. Union du Crédit de Bruxelles, à 2 h. 1/2 de relevée, au siège social, rue des Comédiens, 33, h Bruxelles. Crédit Colonial et Commercial Anciennement L. & W. Van de Velde Société Anonyme à Anvers MM. iets actionnaires sont invités à assister à l'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE qui se tiendra a Anvers, au Siège social, n° 11, rue du lard in des Ai bal ét ri ers, le MARDI 3 AVRIL 1917, à 12 heures (H. G.). ORDRE DU JOUR : 1° Rapports du Conseil d'Administration et du Collège des Commissaires ; 2- Bilan, Compte de Profits et Pertes; 3" Décharge aux Administrateurs et Commissaires. Pour assister à cette assemblée, MM. les actionnaires sont priés de se conformer cà l'article 32 des statuts, et de déposer leurs Titres, au moins 5 jours avant l'assemblée : au SIEGE SOCIAL, à ANVERS, 11, rue du Jardin des Arbalétriers ; ou au CREDIT GENERAL DE BELGIQUE, 14, rue du Congrès, à Bruxelles. Domaines de Schootenhof Société Anonyme En pxi'cution de l'article. 28 des statuts, Messieurs les actionnaires sont convoqués eu assemblée générale ordinaire pour le MARDI 3 AVRIL 1917, à 16 heures (H. C.), au Siège social, Il rue du Jardin des Arbalétriers, à Anvers. ORDRE DU JOUR : 1° Rapport du Conseil d'Administration et du Collège des Commissaires ; 2 • Examen et approbation du bilan et du Compte Profits et Pertes arrêtés au 31 décembre 1916; > Décharge à donner aux Administrateurs et Commissaires ; 4» Proposition d'Appel de Fonds de 30 % sur les actions privilégiées. Pour assister a cette réunion MM. les actionnaires devront se conformer à l'article 31 des statuts et déposer leurs titres, soit au Siège social, 11, rue du Jardin des Arbalétriers, à Anvers, soit à la Banque de Commerce, Longue rue de l'Hôpital, 9, à Anvers. Le Président du Conseil. Soc. Anon. " LA PHILOTAXE " Siège social, 32, Longue rue de l'Hôpital Anvers MM. les actionnaires sont invités à assister ii l'assemblée générale ordinaire, qui aura lieu, au Siège social, le VENDREDI 30 MARS 1917, à 3 h. 1,2 (H. T.) après-midi. ORDRE DU JOUR : 1° Rapport du Conseil d'Administration sur l'exercice 1916 ; 2° Examen et approbation du bilan et du Compte Profits et Pertes ; 3° Décharge à donner à MM. les Administrateurs ; 4° Nominations statutaires ; 5° Divers. MM. les actionnaires qui désirent assister h cctte assemblée sont invités à se conformer à l'article 18 des statuts. Soc. Anon, pour la Construction de Maisons Bourgeoises (Quartier Est) L'assemblée générale ordinaire prescrite par l'art. 29 des statuts se réunira le MARDI 3 AVRIL 1917, à 3 heures de relevée, au Siège social, n° 44, rue du Grand Chien, à Anvers. ORDRE DU JOUR : 1° Rapports des Administrateurs et Commissaires; 2' Bilan et 'Compte de Profits et Pertes au 31 décembre 1916 ; 3° Décharge aux Administrateurs et Commissaires. Pour assister à cette assemblée MM. les action-, n a ires sont priés de déposer leurs titres au plus tard le 30 mars prochain, au Siège social désigné ci-dessus.- Brasserie " DE BARREEL " Société Anonyme à Wilryck MM. les actionnaires sont priés d'assister à l'assemblée générale extraordinaire qui aura lieu le SAMEDI 31 MARS 1917, à 3 h. 1/2 de relevée, au Siège social. ORDRE DU JOUR Approbation du bilan et du compte Profits et Pertes ; Décharge aux Administrateurs et Commissaires. La Maison de l'Employé Société Anonyme à Anvers MM. les actionnaires sont priés de bien vouloir assister à l'assemblée générale ordinaire qui aura lieu le JEUDI 5 AVRIL 1917, à 4 heures du soir au siège social, Courte rue Neuve, 44. ORDRE DU JOUR : Rapport du Conseil d'administration et du Collège des commissaires ; Bilan compte de profits et pertes ; Décharge à donner au Conseil ; .Nominations statutaires. Nomination d'un Administrateur en remplacement de Mr Au g Van Host, décédé ; éventuellement élection d'un nouveau Commissaire. Le Conseil d'administration.

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Cet article est une édition du titre Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires appartenant à la catégorie Financieel-economische pers, parue à Anvers du 1858 au 1979.

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