Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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s.n. 1915, 30 Janvrier. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Accès à 30 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/0r9m32nz7b/
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t xTTrfDC Çotvi/%rli TomMûr 1Q Cinquante-septième Année - No 17.221 'Â> -— direction -'u$ rédaction: 14, RUE HEMINCKX, 14 • * / • --"ANVERS Téléphone : 3761 LLOYD ANVERSOIS Annonces : 25 centimes la petite ligne. — 50 centimes la double ligne 1 franc la ligne sur double colonne. Émissions et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au lignomètre. — Les titres se paient d'après l'espace qu'ils occupent. Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires Astronomie 31 janvier ■ ver du soleil 7 h. 22 m. matin — ( 7.22) rocher du soleil 4 „ 31 „ soir = (16.31) de la lune 5 „ - „ soir = (17.-, Coucher de la lune .... 7 „ 37 „ matin — ( 7.37) Pleine lune le 31 janv. ... 4 .. 41 „ matin - ( 4.41) panier quartier le 7 fév. . . 5 .. 11 „ matin = ( 5.11) Nouvelle lune le 14 f-.v . . . 4 „ 31 „ matin = (4 31: pietnier quartier le 22 fév. . . 2 „ 38 „ matin - ( 2.38) Haute marée à Anvers Matin Soir ii janv. 3 h. 40 m. = ( 3 h 40) | 3 h. 59 m. = {15 h. 59 évr 4 h. 17 m. ; 4 h. 17) 4 h. 35 m (16 h. 35 2 jèvr. 4 h. 54 m. = ( 4 h. 54) | 5 h. 9 m. (17 h. 9 Hauteur du Rhin Pologne 27 janv. 3.23 m Strasbourg 27 janv. m Hunmgen .. - „ Lauterbourg Kehl .. - - Maxau .. - „ Mannheim .. 3.46 Germersheiir „ — i'aub 2.67 „ Mayence ,. 1-46 „ Kuhrort „ — .. Bingen „ 2 28 Hmsbourg 2.80 . Coblence 3.07" „ I Walishiit — Dusseldorf „ 3.10 .. Lobilh 28 janv. 12.46 „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar Francfort 27 janv. 2.45 m. Heilbronn 27 janv. 1 34. m Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodensee Trêves 27 janv. 1 72 m | Constance 27 janv. — m Port d'Anvers ARRIVAGES DU 29 JANVIER I steamer Union I, de Bruxelles. „ telegràaf 4, de la Hollande. Stad Amsterdam 6, de la Hollande. Wilford 4, de Tamise. „ durmk, de Hamme. Bateau-moteur Ringrosê 3, de Bruxelles. Allège Fendel 21, de Heinixeni. „ Leuven, de Bruxelles. » Boldur, de Hoboken. » François, de l'Allemagne.. » Bruxelles, de Louvain. » Jules, de Bruxelles. » Emma, de Bruges. Virginie, de Boom. Joseprine, de Bruxelles. Heisrich, de l'Allemagne. i) Eben Ezer, de l'Allemagne. Intarissable, de Réthy. ,, Iéclair 4, de Bruxelles. Arnold, de Puers. De Onderneming, de la Hollande. DEPARTS DU 29 JANVIER Steamer Telegraaf 2, pour la Hollande. Union II, pour Bruxelles. Allège Fendel 71, pour Heinixem. Jne Adrien, pour Louvain. Arbeidsvrucut, pour Boom. Vhreinigung 62, pour Rupelmonde. » \ ere1n1gung 33, pour Rupelmonde. Antoon, pour Cruyb'eke. » C. Ci. Maier 1, pour Burglit. >. Voss & Langen 1, pour la Hollande. « Catharina-Sophta, pour la Hollande. » Herder, pour la Hollande. Ni m, pour l'Allemagne. Badenia 51, pour l'Allemagne. St-Hubertus, pour Wyneghem. » Quervette, pour Liège. • Ems, pour Liège. Julienne, pour Seraing. » Rembrandt, pour Seraing. » Jules, pour Moll. Clémentine, pour Moerzeke. t'svee (jëbrdedkh's, po\ir la Froiiariae. Vrouw Adrianna, pour la Hollande. De Zweryer, pour la Hollande. Eenige Zoon, pour la Hollande. Jonge Zacharias, pour la Hollande. .,o.nge Jan, pour la Hollande. » Twee Gezusters, pour la Hollande. » Rivière la Senne, pour Wetteren. » Matthias, pour l'Allemagne. » Maria, pour Bruxelles. » Par Confiance, pour la Hollande. VILLE D'ANVERS Emprunt de cent millions de francs 1913) 71e tirage pour primes et amortissement Les bourgmestre et échevins, proviennent les in téressés qu'il sera procédé le mercredi 10 ferrie prochain à 11 heures du matin, au 71e tirage pou primes et amortissement de l'emprunt susmen tiônné. Le remboursement; des obligations sorties se fer; à partir du lr mai 1915. Anvers, le 29 janvier 1915. Le bourgmestre, Par ordonnance : Jean De Vos. Le secrétaire, H. Melis. ARRÊTÉS Abrogeant la loi du 4 août 1914 sur la délégation de pouvoirs en cas d'invasion du territoire, et réglan i exercice des pouvoirs qui appartiennent aux gou verneurs provinciaux et au Roi des Belges et vertu des lois sur l'administration des province et des communes. Art. 1er. _ La loi du 4 août 1914 relative à i; délégation des pouvoirs en cas d'invasion du tei ritoi re est abrogée. Art. 2. — Tous les pouvoirs appartenant aux gou verneurs provinciaux en, vertu des lois sur l'admi nistration des provinces et des communes sont exei ces par les" gouverneurs militaires de l'Empire aile inaiid. Les présidents du gouvernement civil ressor lissant aux gouverneurs traitent, au nom de ceux-ci les affaires courantes de l'administration provin ciaie et pourvoient aux affaires et à la président îles députations permanentes. Les pouvoirs apparte nant au Roi des Belges sont exercés par moi, ei ma qualité de gouverneur général impérial. Art. 3. — Les résolutions prises depuis l'entrée ei vigueur de la loi susmentionnée du 4 août 1914, pa: les députations permanentes, les conseils provin ciaux et les conseils comrrîunaux doivent, pour être valables, être approuvées, après coup, par les auto rites désignées à l'article 2, pour autant que ces dé lisions eussent dû être approuvées par les gouver 'leurs provinciaux ou par le roi. Bruxelles, le 3 décembre 1914. Le Gouverneur général en Belgique, Baron von Bissing. Les surtaxes prélevées sur la margarine sont sus pendues jusqu'à nouvel ordre. Désormais, la niar garine introduite de l'étranger dans, le territoire, oc cupé de la Belgique n'est, plus sujette, tout connut la margarine fabriquée dans le pays, qu'au prélève nient de l'impôt de consommation de 5 francs pai 100 kilos au moment de l'entrée dans le pays. La farine étrangère faite de blé, qui est justifiée devoir être livrée au Comité national de secours el d'alimentation peut être admise jusqu'à nouvel or die, exempte de droit de douane. Bruxelles, le 17 décembre 1914. Le Gouverneur général en Belgique, Baron von Bissing. Général dé Cavalerie. .art. 1er _ j es ressortissants de l'Empire allemand et des états qui ne se trouvent pas en état de guerre avec l'Empire allemand, peuvent, s'ils en •ont la demande, obtenir soit des facilités et des délais pour le payement des impôts belges directs dus a l'Etat, aux provinces et aux communes, soit la- remise partielle ou totale de ces impôts. Les dits contribuables peuvent obtenir l'une de ces faveurs s'ils ont. été forcés, par suite de la déclaration de guerre, de quitter leur domicile ou résidence en Belgique, et que cette circonstance leur a occasionné 11,1 préjudice, économique si considérable que leurs facultés et moyens en tant que contribuables en paissent sérieusement atteints. . l'outes les demandes doivent être motivées minutieusement, accompagnées des billets de contribué ''ons et de tous autres documents utiles, et adresses à Mr le président de l'administration civile de l!! province dans laquelle l'assiette des impôts dont SaRit se trouve être établie. Art. 2. — Jusqu'au 30 juin 1915, les prescriptions articles 15, § 1, n° 1, et 19, n° 2 de la loi belge du 12 décembre 1912 — 11 3035 — sur la suppression du droit de licence pour le débit de l'alcool et de boissons fennentées, ainsi que sur la perception d'une taxe lors de la réouverture d'un tel débit, ne seront pas appliquées aux contribuables qui se trouvent dans les conditions prévues à l'article précédent.Art. 3. — Cet arrêté entre immédiatement en vigueur.Le Chef de l'administration civile près le Gouverneur général en Belgique est chargé de l'exécution du présent arrêté. Bruxelles, le 16 janvier 1915. Le Gouverneur général en Belgique, Baron von Bissing. Colonel général. Les délais pendant lesquels doivent être faits les protêts et autres actes conservant les recours, dé lais prorogés jusqu'au 31 janvier 1915 par l'arrête du 18 décembre 1914 (N° 22 du Bulletin officiel des Lois et Arrêtés pour le territoire belge occupé), soni prorogés à nouveau par le présent arrêté jusqu'au 28 février J915. Bruxelles, le 20 janvier 1915. Le Gouverneur général en Belgique, Baron non Bissing. Colonel général. L'arrêté du Roi des Belges du 3 août 19l»i, concer nant, le retrait de fonds sur les dépôts en banque reste en vigueur jusqu'au 28 février 1915 avec 1; restriction qu'il a subie par suite de l'arrêté du Ro des Belges du 6 août 1914 et avec l'extension qui lu a été donnée par l'arrêté du 23 septembre 1914 (N< 4 du Bulletin officiel des Lois et Arrêtés pour le territoire belge occupé). Bruxelles, le 20 janvier 1915. Le Gouverneur général en Belgique, Baron von Bissing. Colonel général. Recencement des noyers Le Gouverneur général pour la Belgique occupée a ordonné aux bourgmestres des villes et des coin munes de faire procéder à un recensement, dey noyers se trouvant aussi bien sur 'les terrains corn munaux que dans les propriétés particulières. Actes de Sodétés, déposés au Greffe du Tribunal de Commerce d'Anvers Il résulte d'un acte sous seing privé en date du janvier 1915, que la procuration donnée, le 16 mars 1911, à MM. Van Geetruyen et Craen, à Anvers par la « Deutsche Ruckversicherungs Aktiengesell schat », à Dusseldorf, est transférée au nom de M Joseph Van Geetruyen, à Anvers, la firme Van Gee truyen et Craen ayant cessé d'exister. Les autres conventions du pouvoir restent en vigueur. Il résulte d'un acte sous seing privé en date du 3i décembre 1914, que MM. Van den Broeck et C° courtiers d'assurances, à Anvers, retirent et ce de commun accord, la procuration donnée, le 29 févriei 1912, à Mr Edouard Van den Bleeken, employé à Anvers. Compositions de conseils d'administration et de collèges de commissaires. Bilan. — Société anony me « L'Industrie Forestière », à Anvers. Administrateurs : MM. Frédéric Spetli, négociant à Anvers ; Charles Good, négociant, à Anvers ; Alb Maquinay, négociant, à Anvers ; Alexandre Rouffet négociant, à Bayonne ; Georges Castelbon, à Bayon ne ; Golt. Ferd. Stahl, à Anvers ; Edouard Beek man, à Mortsel. Commissaire : Mr Henri Geley comptable, à Anvers. Bilan au 30 avril 1914. Socié té arronyrnt; Argentine-« La Ediflcadora », è Buenos-Aires. Administrateurs >MM. Remigio Tomé, propriétai re, président ; Euvique Lancesse, commerçant-im portateur, vice-président ; Carlos de Alzaga, proprié taire, commerçant-importateur, trésorier ; Dr Juste Carié, médecin et propriétaire, secrétaire ; José R Pnig, propriétaire ; Luis Àndrès Repetto, propriétai re, et Santiago Capdeporit, propriétaire, membres César C. Corti, syndic ; Manuel Caelret, propriétaire sy-ndi c-suppléan t. Bilan au 31 mars 1914. Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES, ETC. Angelo Parodi. ■— Norfolk (Virg.), 28 janvier. — Le i" st. ital. Angelo Parodi a fait naufragé à 300 mille: du Cap Henry. Tout l'équipage, composé de 2" hommes, est perdu. Le steamer Angelo Parodi a été construit.en 1901 i à Middlesbro, jaugeait 3825 t. brut et 2488 t. net reg et appartenait à l'armement A. Parodi f. B., i Gènes). Berlin. — Glasgow, 25 janvier. — Le steamer Ber i.in, appartenant à la firme James Currie & Co, ; Leith, est retourné à Hull après avoir été en colli sion, avec des avaries à l'avant. Cedarbank. — Londres, 26 janvier. — La cargaisoi de la barque Cedarbank est assurée ici pour £ 30.000 Voir Lloyd Anversois d'hier). 5 Hogarth, City of London. — Aberdeen, 26 janvier l - En entrant dans le dock le steamer Hogarth es entré en collision avec le steamer City ok London , L'avant de I'Hogarth et quelques plaques du secoue 5 navire ont été endommagés. Onitshra. — Londres, 26 janvier. — Suivant un rap port de Sierra Leone le steamer Onitsha qu'on avai 1 mis au plein pour réparer est de nouveau mis à flot. (Voir Lloyd Anversois du 19 janvier). Skotfos. — Londres, 27 janvier. — Suivant un télé gramme reçu de Kirkwall le feu s'est déclaré à bord du steamer Skotfos, qui contient un charge nient de 200 tonnes de carbure. Il paraît que le na vire sera perdu totalement, (Ce steamer a été échoué la nuit du 16 janvier à Seal Skerry, au N. de Ronaldsbay. L'équipage quitt;i le bord parce que le navire se trouvait dans une position dangereuse. Le steamer a été construit on 1903 à Christiania et appartenait à l'Armement 1 Aktieselskab Manchester, à Christiania. Il jaugeait 1260 t. «brut et 767 t. reg. net. (Voir Lloyd Anversois 1 du 20 courant). Vinstra. —• Londres, 27 janvier. — Hier le feu s'est déclaré dans le chargement de coprah du st. norv. Vinstra, se trouvant à Barry. Le steamer est fortement endommagé. Le Vinstra était en route de Colombo à Aarhuus. et représentait une valeur de £ 130.000. Dernièrement il a été en collision avec le st. esp. Giralda et entra à Barry avec des avaries. 50 gns de réassurance ont été clôturées sur le chargement. Réassurances Londres, 26 janvier. — Dernières primes payées : Ashdene (s.), 90 gns..; Buubridge (s.), 60 gns.; Clan Stuart (s.), ho gns. ; Delhi s. . échoué", 50 gns-, : En-gelhorn (voil.), 75/80 gns. ;-Gi.enmorven (s.), 90 gns. : Hemisphere (s.), 80 gns. ; Hendonhali. s.), 80 gns. : Leconfield drag. , 25 gns.: Lotusmere (s.), 20/25 gns.; Mai.\kka (s.), 70 gns. ; Potaro (s.), le 24 décembre dernier de Liverpool à La Plata, 5 gns. ; Tuere.se Heymann î's.). 90 gns. ; Vinstra (s.), en feu à Barry, 50 gns. Belgique NOS CHARBONNAGES La production totale des charbonnages avant la guerre s'elevait-, n 80.000 tonnes par mois, actuellement, le chiffre n'est plus que de 32.000 tonnes qui sont fournies comme suit : Liège 9.000 tonnes Charleroi 14.000 tonnes Mons ........ 9.000 tonnes Le total des ouvriers s'élève à environ 100.000 contre 144.000 avant la guerre. A cette heure, il ressort (pie 70 % des mineurs ont repris le travail et l'extraction du charbon atteint 40 %. La Société Monceau St. Fiacre qui avait cessé son exploitation tout un temps pour l'extraction des minerais à Rumelange et, Luxembourg est dirigé actuellement par les autorités militaires allemandes. Hollande NOUVELLES SOCIETES Utrechtsche Expédition en Voernians Vereeniging, transport, siège à Utreclit. Vente de Navire Rotterdam, 27 janvier. — Suivant Lloyd's Agency le st. néerl. Helena-Margareta, de la firme W. F. Henry van der Zee, à Sinyrae, a été vendu et rebaptisé Helena-Margaret. Ce steamer a un tonnage de 2588 t. brut et 1556 t. N. IL Ce steamer construit en 1890 à Newcastle a eu les noms suivants : Benan, Georgios P., Boubounis et Amalia. La navigation sur le Rhin Rotterdam. — Le niveau d'eau était un peu crois sant vers le haut-Rhin. 11 n'y avait pas de demande et très peu d'arrivages et le tonnage disponible était limité. La tendance était très faible. Vers le bas-Rhin le niveau d'eau était favorable. Très peu de demandes et d'arrivages., mais assez de tonnage disponible. La tendance était très faible. Minéraux 1/4 temps de déch.. 17.1/2 c. ; id. 1/2 temps de déch., 27 1/2. Le taux de remorquage se calculait suivant le tarif-de 32 1/2 cts environ. La fermeture du Canal de Suez La Haye, 29 janvier. — Le ministre des Affaires Etrangères a communiqué que les autorités militaires anglaises ont pris des mesures pour fermer le canal de Suez ;ï la navigation. La compagnie du canal décline toute responsabilité pour les dommages et avaries qui pourraient être occasionnés aux navires. Nouvelle ligne de navigation Un consortium de capitalistes chinois et américains aurait constitué, une ligne de navigation entre la Chine et New-York. La fève de Soya (Suite. — Voir nos numéros des 23 et 26 courant). En Mandchourie, on distingue couramment trois , variétés basées sur la couleur des graines, mais aucune caractéristique ultérieure ne se rattache à cette division en teintes, si ce n'est une certaine teneur en huile. Ces trois variétés sont la jaune, la verte et la noire. Une autre classification est celle i en noire, brune, bigarrée, verte, jaune-verte, jaune. La brune et la bigarrée sont inconnues en Mandchourie, mais croissent en Corée, au Japon et dans la vallée du Fleuve Bleu. Le climat, de ces deux dernières régions, Fleuve Bleu et. sud du Japon, diffère > essentiellement du climat mandchourien, dont les variations thermoinétriques peuvent dépasser 60 degrés centigrades. La composition du sol et la nature du climat ont une grande influence sur les caractéristiques extérieures de la plante (apparence géné-1 raie, hauteur des tiges, variétés plus ou moins hâti-_ ves) ; c'est sur l.a couleur de la graine que ces deux facteurs semblent en avoir le moins. Des études dé-, ( tailées sur ces différents sujets n'ont pas encore été faites, pas plus que sur les possibilités de transformation des-différentes espèces par des procédés de culture scientifique. La plante est une légumineu-se annuelle ; ses tiges droites, n'ayant qu'une légère tendance à grimper ou à retomber sur le sol, facilitent la moisson. Sa hauteur varie de 50 centimètres à l mètre, «exceptionnellement l ni. 20. Le nombre des gousses varie selon les lieux et les années de production. Des chiffres donnés pour un district sont îles suivant : 1908, 35 à 80 gousses ; 1909, 40 à 76 gousses ; 1910, 42 à 105 gousses par plante. Chaque gousse contient de deux à trois fèves. C'est ici qu'interviendrait le plus avantageusement la sélection des espèces. La Heur de la plante, à autofécondation, est d'un lilas pâle tirant sur le violet. La plante a une grande vitalité, elle résiste fort bien à la sécheresse, à des gelées légères, à des excès d'humidité. D'expériences faites, il résulte que des sols moyens contenant des quantités suffisantes de potasse, de chaux et d'acide phosphorique sont ceux qui se prêtent. le mieux à sa culture. Elle se contente toutefois des autres terrains et. en Mandchourie, elle • croit en beaucoup d'endroits dans un sol sablonneux.Voici une moyenne d'analyse de la fève. Les écarts ; entre les chiffres de ses divers constituants peuvent être assez considérables selon les espèces et les lieux de production : eau, 17,71 % ; huiles, 9,60 % ; matières albummoïdes, 42,16 % ; hydrates de carbone, 19,43 % ; matières ligneuses, 6,54 % ; cendres, 4,54 %. Nous avons eléjà parié plus haut ele l'agriculture chinoise en étudiant la population agricole de la Mandchourie. La grande culture et la grande propriété sont inconnues en Chine ; l'usage des machines modernes qui devraient être importées de l'étranger ne s'y rencontre pas non plus. Tous les travaux requis pour la culture des fèves s'accomplissent, donc par les anciens procédés. La graine est déposée en terre au mois d'avril et, dès que la plante se montre, on amonceltle à son pied la terre en tas, de façon à lui permettre de tirer du sol le plus de nourriture possible. Par après, elle ne requiert plus beaucoup de soins ; les cultivateurs ont l'habitude de désagréger un peu la croûte du sol. La moisson se fait en septembre. On arrache les plantes à la main, ou bien on les coupe au moyen d'une fauciltle ; on les laisse sécher en petits tas, puis on fait passer sur elles le minuscule rouleau de pierre dont nous avons déjà parlé, de façon à ouvrir les gousses et à en recueillir les fèves. Après quoi, les fèves sont vannées en les lançant en l'air contre le vent. La plante ne requiert pas beaucoup d'engrais, surtout azotés ; comme les autres légumineuses, elle possèele à un haut degré la propriété de retirer l'azote de l'atmosphère.Le mode de culture du paysan chinois, en Mandchourie est, à ce propos, tout à fait irrationnel : il épuise la terre en ne laissant même pas dans le sol, pour lui restituer les éléments enlevés, les racines des plantes. En effet, s'il ne les arrache pas lors de la moisson, il les retire, celle-ci une fois faite, pour les utiliser comme combustible. Dans une région de la Mandchourie, au sud-ouest, le sol ainsi cultivé a fini par ne plus donner de moissons. Dans d'autres régions du nord, où la terre n'est cultivée que depuis une quarantaine d'années et où la loi de la restitution n'est pas ou n'est guère appliquée, elle est encore très fertile, mais tout naturellement destinée à s'épuiser. Voilà donc une première façon dont le paysan en Mandchourie appauvrit sa terre ; une autre consiste à exporter un engrais qui devrait lui revenir. Les résidus de la fabrication de l'huile de soya, les tourteaux forment un article important d'exportation. 1 s sont envoyés dans le sud de la Chine pour les champs de canne à sucre, ou au Japon. Il est a remarquer, toutefois, que si le paysan* en agit, ainsi et appauvrit son sot, c'est parce qu'il peut le- faire sans détriment actueiL Là où la population est dense, il n'y a pas d'agriculteur plus soucieux que le cultivateur chinois de rendre à la terre ce qu'il lui enlève. Il est difficile de calculer le coût de culture de cette légumineuse. On a évalué approximativement que les frais du travail nécessaire à la culture de quatre hectares s'élèvent annuellement, à 160 dollars chinois (le dollar argent vaut en moyenne fr. 2.50) : salaire des ouvriers, 70 dollars ; nourriture, 30 ; graines, 10 ; entretien des animaux, 35 ; impôts, 10 ; divers, 65. Les usages de la fève ele soya sont multiples. En Extrême-Orient, elle sert tout d'abord à la nourriture et se prépare sous diverses formes. Son huile est une huiûe alimentaire qui, sans valoir celles de colza ou de sésame, remporte sur elles par son bas prix. La demande étrangère allant toujours croissant pourrait bien toutefois intervertir leur ordre relatif de valeur. Cette huile sert également à l'éclairage, mais avec le développement, toujours croissant de l'emploi du pétrole, cet usage paraît devoir se restreindre. Elle est encore employée comme huile ele graissage élans le nord de la Chine ; dans le sud, on s'en sert aussi pour préparer des toiles imperméables des lanternes et des parapluies de papier. Les tourteaux servant à la fumure des champs et à l'engraissement du bétail sont, comme nous venons de le voir, exportés au détriment du sol qui a donné leur substance. En dehors de l'Extrême-Orient, la fève de soya n'a guère d'usages alimentaires. C'est sous la forme de condiment, de sauce de soya qu'elle est le mieux-connue. IJn industriel chinois a établi près de Paris une usine de produits alimentaires à base de fève de soya. L'huile raffinée peut être employée à la fabrication de la margarine et comme huile de salade. L'importation européenne et américaine de ce produit sous trois formes principales, fèves, huile et tourteaux, se fait principalement en vue d'usages industriels. L'huile sert surtout à la fabrication du savon. Le manque d'huile de coton durant les dernières années a obligé les fabricants à chercher quelque autre huile pouvant, la remplacer, et leur choix s'est porté sur l'huile de soya. Celle-ci ne va cependant pas la première, car ses caractères so inoins uniformes et elle rancit plus facilement. D recherches ont établi qu'elle appartient à la clas des huiles., semi-siccatives, et des études faites < Allemagne ont prouvé que, mélangée dans la pi portion de un tiers à deux tiers d'huile de lin, el ne peut être distinguée de cette dernière que p une analyse exacte. L'huile de soya ne se prête p à la fabrication des bougies parce qu'elle n'est p assez combustible. En Europe, les tourteaux serve à l'alimentation du bétail ; leur valeur nutritive e égale à celle des tourteaux de graine de coton ; se vendent à bon marché et sont de plus en pl demandés. En Hollande et au Danemark, on av.-d'abord appréhendé que cette alimentation ne ni sît aux qualités du beurre, dont le dernier pays € porte de si grandes quantités. Des essais d'usages assez intéressants ont été fa avec la. fève de soya. Des expériences de panifie tion ont été tentées avec un mélange de farines fèves et de céréales. La proportion de fèves recc nue comme étant la meilleure était el'un cinquièr ou el'un sixième ; elle donne, paraît-il, un goût agi able au pain et le rend plus nutritif, car cette lég mineuse contient trois fois plus de matières albun noïdes que les céréales. Cette farine, ele coule grise, ne peut naturellement convenir à la fabrie tion de toute espèce de pain ; de plus* sa teneur huile ne facilite pas cette utilisation. C'est à la 1 brication de biscuits qu'elle se prête le mieux ; dei firmes la pratiquent déjà en Angleterre. On a au: fait observer que le goût du pain noir tendant à répandre pourrait amener une utilisation plus cc sidérable de la fève. Des autorités médicales jaj: naises ont affirmé la valeur de celle-ci, ne contena ni sucre ni amidon, comme nourriture pour les el bétiques. On peut également préparer ce que 1' appelle le lait de soya, en faisant macérer les fèv dans l'eau, puis en les écrasant et en les faisa bouillir. Il est possible de préparer avec ce proch une espèce de lait condensé de goût peu agréab mais nourrissant et se conservant bien dans 1 pays chauds, tout en ne convenant pas à l'alime tation des enfants. Des Allemands ont. pris un b" vet pour la fabrication du caoutchouc artificiel , moyen de l'huile de soya. Elle est mélangée à u moitié de son poids cl'acide nitrique ; le mélan est chauffé et cîonne une masse homogène qui < lavée à l'eau froide, puis dissoute dans une so' tion d'ammoniaque à 50 %. Elle subit alors l'acti d'un acide dilué, est lavée une deuxième fois, pi pressée de façon à en rejeter l'eau et, enfin, chai fée à nouveau. Le résultat de ces opérations < une substance élastique susceptible d'être vulcai sée. Bien (pie la chose ne se rattache pas directeme à notre étude, il est intéressant de signaler les ■> sais d'ultilisation nouvelle el'une plante très cul vée, non pas seulement en Mandchourie, mais da tout le nord de la Chine : le sorgho, communéme désigné sous son nom chinois de kao-liang (haï céréale). Un laboratoire de Dalnv s'est livré à ci expériences en vue de fabriquer du papier moyen de la fibre de sorgho. Elle ressemble bea coup à celle ele la paille et du bambou ; mélangée une moitié d'écorce de mûrier, elle donnerait excellent papier. Le prix des tiges de sorgho n'< pas élevé. Elles valent environ 3 yen 50 japonais la tonne en Mandchourie. Elles donnent 35 % de n tière utile, ne portant le prix ele la matière p mi ère qu'à 0,09 yen.par kilogramme. Le grand intérêt de l'étude de ce produit est foui par le développement extj-aorelinairement rapide son commerce en un temps très court. On voit un produit national, tenant une pla nulle dans les exportations du pays, prendre pri que subitement une importance égale à ce qu'avait autrefois le thé, venant actuellement : cond dans'la liste des exportations, après y ave occupé le premier rang, et se rapprocher ele ce! détenu en tête par la soie. Nous n'abuserons pas des chiffres, mais il faut en donner et en commenter quelques-uns pour fai saisir la chose. En 1867, la valeur totale des exp( tations du commerce chinois était ele 57.895.713 tae en 1910, elle était de 380.833.328 taels. Pour appi cier à leur juste valeur ces chiffres, représenta des sommes brutes, il convient toutefois de bi tenir compte cles principes sur lesquels doit se bas l'interprétation des statistiques et de se rappeler q le tael, poids d'argent non monnayé, ne représer pas actuellement ce qu'il représentait en 1867, ava la baisse du métal blanc. Ce qui est plus intéri sant, c'est la proportionnalité des produits dédu. des tableaux de chiffres. En 1867, le thé représeï: 59 % et la soie 34 % des exportations. En 1905, 1 proportions sont, pour le thé, 11 % et pour la* se :ll %. En 1910, le total des exportations a une vale de 380.833.328 taels, dont 21.472.821 pour les fèv< 15.010.902 pour les tourteaux et 13.220.166 pour l'hu (ce chiffre comprend, il est vrai, des huiles el'ai chide et de thé n'ayant toutefois qu'une iinportan secondaire), 208.631 pour le fromage de fèves. Les causes du déclin de l'exportation du thé so bien connues; elles résident dans la concurrence l'Inde anglaise, aidée par les taxes multiples à production, au transit et à la sortie perçues • Chine. On peut ici faire une comparaison avec un aut produit agricole de la Chine : le coton. La proeli tion du coton en Chine est énorme, mais elle t principalement absorbée par la consommation in rieure. Pour la fève de soya, c'est l'inverse : l'expe tation est beaucoup plus considérable que la co sommation nationale. l.a culture de la fève de soya en Chine et Mandchourie, comme ses usages alimentaires autres, remontent, nous l'avons déjà dit, à des tem immémoriaux. Quand le premier consul angle vint s'établir à Niou-tchoang, il put y constat i existence d'un commerce ancien et florissant tourteaux de fèves entre la Mandchourie et le si de la Chine, mais ce ne fut qu'après la guerre rus-japonaise, en povembre 1908, que la première c; gaison de fèves arriva en Angleterre. Ce fut seulement en 1896 que les premières mael ries à vapeur furent introduites en Mandchourie, ( prédominent encore les anciens procédés de p'rc sage a la main. On a reproché à ces nouveaux sj tèmes d'être troj) rapides pour bien extraire ton I huile ; d'un autre côté, le procédé d'extraction à gazoline fait donner aux fèves absolument ton l'huile qu'elles peuvent livrer. L'énorme territoire de culture de la fève a quat marchés principaux : Tch'ang-tch'oun, Kharbir Kirin et. T'iehling. Tch'ang-tch'oun et Kharbine e voient toutes leurs fèves : le premier à Dalnv le < cond à Vladivostock. Les fèves de la région de Kir vont en partie à Tch'ang-tch'oun, en partie à Khr bine; celles de la région de T'iehling vont à Dali et a Niou-tchoang. Au delà de Kharbine, la cultu continue de plus en plus à s'étendre au nord-e; Dans cette elernière ville, l'époque des transactio: commence beaucoup plus tard qu'à Tch'ang-tcli'ou les achats se font par l'intermédiaire de courtie chinois et russes. Des chiffres cités il résulte epie le prix des fève à la dernière saison, y était de '*5 à. 70 kopecks p. pond russe.De Kharbine à Vladivostock, le transpe par voie ferrée revient à 14,50 roubles par tonn Un wagon russe contient environ 15 1/2 tonnes ; 1 fèves sont mises dans des sacs coûtant 22 kopec et contenant 196 livres. Le fret vers l'Europe étr de 26 à 30 shillings par tonne ; à la dernière sais( dont nous possédons les chiffres, Vladivostock e porta 200.000 tonnes ; à la saison précédente il ( avait exporté. 250.000. A Tch'ang-tch'oun, les 'acha se font par des intermédiaires chinois qui s'adre sent directement aux cultivateurs. Les transactio] se font en mesures de capacité chinoises. Ces m sures chinoises ont un caractère bien spécial : ell portent partout le même nom et varient, non p seulement d'une pince à l'autre, mais encore < profession a profession. L'unité monétaire nomion elle-même varie dans chaque centre commercial il arrive epie dans un même lieu elle offre des dift rences. Depuis plusieurs années, il est vr-i. le Go vernement s'est occupé le réorganiser toutes c choses, mais, pratiquement, les anciens usages su sistent et subsisteront longtemps encore. Examinons l'unité monétaire de fait le fiel. F.l représente un poids d'argent non mnonnvé à. p< près identique partout, m:ijs oui. néanmoins, i sera pas le même dans de--v villes différentes ; ( plus, dans une même 1er- ^it»*> vous rouvrez renco trer le tael du Trésor pubMc, le tael des marchant" le tael de la douane. Prenons la mesure de longueur, le pied. Elle va généralement environ 30 centimètres dans tort pays, mais elle varie aussi de localité à localité dans un ""'me lieu variera légèrement selon qu ' "~"it rie la mesure des tailleurs ou de celle .des m çons ou bien encore des menuisiers. I ut Pour en revenir au marché de Tch'ang-tch'oun, ut disons que les achats y commencent vers le milieu es d'août. Sur les contrats de ventes à livrer, on exige se parfois le paiement à l'avance de 85 % du prix. ;n Durant la dernière saison, Tch'ang-tch'oun en-o- voya 170.000 tonnes de fèves ; à la saison précédente, le ce marché en avait expédié 278.000. Le coût du transir port jusqu'à Dalny revenait à environ 8 yens par as tonne. as Le marché de T'iehling, au sud de Tch'ang- nt tch'oun, préfère naturellement, à cause de sa proxi st. mité de la rivière Liao, la voie fluviale moins coù- ls teuse. JS (A suivre). lit 1 ^ £ L'osmose dans le sol Malgré les nombreux travaux exécutés à ce sujet, ts le problème de la circulation de l'eau dans le sol a- n'est pas encore élucidé d'une façon complète et l'on :1e doit se borner encore à enregistrer les diverses expé- n- riences susceptibles d'éclairer cette question si im- ie portante. On a constaté récemment que les sous-sols 'é- argileux fonctionnaient comme des membranes semi- u- perméables et que l'eau les traverse tandis îi- qu'une solution saline ne les traverse pas. La vitesse nr de passage de l'eau augmente avec la température ; a- la pesanteur intervient, bien entendu, dans les effets m produits par cette osmose. Enfin, l'efficacité du sol à- agissant comme membrane semi-perméable augmeu- îx te avec, la profondeur. Ces nouvelles recherches sont isi susceptibles d'applications agricoles, notamment au se drainage des terrains argileux. S Service des trains a- Par les tableaux ci-après nous commençons la pu- m blic.atioii des divers horaires des trains en vigueur es dans le territoire belge occupe. • nt lit, 1. — Ligne Bruxelles-Nord—Louvain es Aller Retour n- 2,35 de Lille à 1.30 •e- iu Km. 402 454 Stations 453 '*01 :ie ge, 11.54 9.34* de Bruxelles (Nord) à 7.49 5.09 st 2.8 12.02 » Schaerbeek (a) de 5.02 u- 5.7 12.0S » Haren (Sud) » ' 4.56 in 7.6 12.12 » Dieghem » 4.52 lis 9.7 12.17 » Saventhem » 4.48 if- 12.3 12.22 » Nosseghem • » 4Ji3 >st 15.1 12,28 10.06* » Cortemberg » 7.17 4.37 li- 18.1 12.34 » Olmenhoek » 4.31 21.5 12.41 » Velthem » 4.24 lit 24.4 12.47 » Flerent, » 4.18 -s- 26.3 12.51 » Wilsele ». 4.14 ti- 29.2 12.58 10.38* à Louvain » 6.46 4.06 us nt 4.25 2.15* à Liège de 3.26* 12.42 te 7.14* 4.44* » Herbesthal » 1.40* 10.40 es 8.21* 6.26 » Aix-La-Chapelle » 12.30* 9.12 m 10.28* 8.00 » Cologne » 7.56 u- 8.54 » Berlin Potsd. Bf. » 9.26* a «• „ - 111 2. — Ligne Bruxelles-Nord -Termonde >st - , & Aller Retour a- Km. 801 Stations 802* ve 7.02 de Bruxelles (Nord) à 11.01* ni 2.8 7.10 >. Laeken de 10.54* rte 4.7 7.14 » Jette » 10.50* 9.9 7.28 » Zellick » 10.40* ce 15.1 7.39 » Assche » 10.32* ?s- 19.3 7.46 » Molhem » 10.23* le 22.7 7.51 » Merchtem » 10.16* ;e- 25.0 7.58 à Opwyck de 10.03* iir 25.0 8.18 de Opwyck à ni 28-.5 8.2ii » Lebbeke-Heizijele de 10.02* 31.2 8.29 >. Lebbeke » 9.57* ti 33.5 8.37 à Termonde » 9.48* ,r 10.04 à Gand St-Pierre(lO) de 8.26" Is; ■é_ Observations. — Les heures sont indiquées d'après nt l'heure allemande. — Les heures de nuits de 6 lieu- 2n res du soir à 5.59 h. du matin sont suivies de. *. er Aux stations où se trouve (a) une halte est faite je pour les voyageurs civils à la descente seulement te (A suivre). 'tse Rhein- und See-Speditions es Gesellschaft m. b. H. ie En diarge pour Mayence & Francfort le bateau MANNHE1M 13 A suivre par des départs réguliers Pour frets avantageux pour TOUTES LES DESTINATIONS je RHÉNANES s'adresser aux bureaux Canal au Sucre, 5, Hansa Huis c- Transports pour toute la Belgique t de marchandises par service accéléré et à prix réduits pj S'adresser : Té 65, RUE SANDERUS, ANVERS. ^ La maison s'occupe des formalités de sortie. SERVICE DE MESSAGERIES ï Auguste VËREYCKEN la 32-32a, rue Picard, Bruxelles-Maritime Camionnage. Transport de marchandises dans re toutes les villes autorisées. Service accéléré. n' CONDiriONS RÉDUITES £ DEMANDEZ TARIF DÉfAILLÉ | SERVICE DE BEURT " entre 2 ANVERS-GAND | ANVERS-BRUXELLt S .ïî et vice-versa ^ Pour conditions et renseignements s'adresser à SIMON SMITS & Co e ANVERS : 13, Rempart Ste-Cathéiine. ^ GAND : 17, Quai des Tanneurs' l PLOUVIER Ta, Tiansports par allèges pour toutes destinations Départs réguliers pour la Hollande par vapeurs 1p -ZUIB BEVEUND-, « VR VCHTZOEKER -, «STAD G0ES-, ele £ Arrivages réguliers de Ymuiden t Mème "Min* à Rotterdam se chargeant de traiter l'achat de )p toutes m rchandi<es el de leur expédition \ers la Belgique •j] Pour frets et renseigneoienls s'adiesser : 25, Rue Osy, Anvers.

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Cet article est une édition du titre Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires appartenant à la catégorie Financieel-economische pers, parue à Anvers du 1858 au 1979.

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