Onder ons: oudleerlingen van Onze Lieve Vrouw College Antwerpen = Entre nous: anciens élèves du Collège Notre Dame d'Anvers

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s.n. 1918, 01 Mars. Onder ons: oudleerlingen van Onze Lieve Vrouw College Antwerpen = Entre nous: anciens élèves du Collège Notre Dame d'Anvers. Accès à 07 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/1j9765b13q/
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Publication autorisée par l'Autorité militaire. Troisième année. N° 16. Mars 1918. ENTRE NOUS. ONDER ONS. Bulletin des anciens Elèves du Collège N.-D. d'Anvers. Oorlogsblad der oud- leerlingen van het O.L.V. College, Antiverpen. Directeur : Fraiçois DE RAEDEMAEKRR. Brancardier Z. 190 6" Cle. Maria Mater grattas Tu nos ab hoste protégé " LE SOURIRE D'ATHÈNA" Si vous voulez connaître l'esprit dans lequel est conçu ce beau livre d'André Beaunier, vous n'auriez qu'à lire ces quelques lignes qu'on y rencontre : cr Nous nous promenions ainsi, ranimant de la mort au passage et puis la laissant peu à peu se rendormir. Ce fut un extraordinaire appel des ombres. » A l'aspect des ruines fameuses du Parthénon, du Temple et du Stade d'Olym >ie les souvenirs s'émeuvent Ces ruines n'excitent pas la haine — comme celles de nos Flandres — ; il en est d'elles comme de ces visages très vieux qui retiennent dans leurs rides le souvenir d'un âge lointain Autour d'el le.» (lotte un mystère. L'imagination s'y plaît KlIe remue ces cendres d'où monte comme une fumée éni-vrante le souvenir de vies d » iis longtemps éteintes et l'image du cadre où elles s'écoulèrent. Les tambours se superpo m en colonnes, les sculptures mutilées se groupent en frontons, le temple s'élève, les gradins t'ont cercle, les villes surgissent, les anciens grecs eux-mêmes se promènent visibles dans ce décor antique. L'Iliade, les discours de i)enn>sthène, les histoires d'Hérodote dont non- recherchions, avec quelle angoisse ! — le sens enlié, s'éclairent d'un jour nouveau à la lecture de ce beau livre. Pour goûter ces œuvres il fuit pénétrer l'âme des Grecs, le sens intime qu'ils avaient de la vie et de la mort ; il importe d aller jusqu'au fond de ces âmes complev. - où s'élaborait leur vie intérieure, d'où a j i ti leur œuvre. Aux études nous nous embarax» mis de diffi cultés philologiques, et le sens de l'œuvre nous échappait. Pénible et fastidieuse recherche de cas, de temps et de modes, tant qu'elle en reste là l'étude des langues anciennes n'est qu'une préparation. Elle nous apprend la lecture des auteurs de l'époque qui eux nous font connaître peu à peu le génie d'un peuple. Il nous est relativement facile de revivre la mentalité des hommes du 13e ou du 15e siècle. Ce que nous savons de leur simplicité et de leur foi, de leur esprit d'ordre et de discipline, nous explique la richesse de leurs villes et la beauté de leurs cathédrales. Mais vivant depuis des siècles de la tradition chrétienne, le sang chrétien nous coulant dans les veines, comment adapter notre pensée à celle d'hommes à qui manquait cette direction précise pour la vie que nous trouvons dans la doctrine du Christ ? La justice — ce principe intransigeant — n'était guère en pratique qu'une convention sociale, formulée par quelque grand citoyen : un Lycurgue, un Solon. Quant à l'honnêteté, les dieux n'en donnaient guère l'exemple, et malgré le « quod licel Jovi non licet bovi » ils n'entendaient pas imposer davantage aux mortels une inorale qu'un dogme. La conviction de l'immortalité de lame semble avoir eu une emprise peu profonde sur leur esprit — leurs monuments funéraires le prouvent et la foi dans les dieux était plutôt une vertu d'état. Un bon citoyen sacrifiait aux divinités et participait aux fêtes religieuses : c'était un rite, et non l'expression d'une foi vivante. Dépourvus d'une direction précise, de toute notion surnaturelle du sens de la vie et de la mort, quelle idée se sont faite les Grecs de

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