IN E OR MATIONS BELGES. '«»« ■*- - - N° 764. du 28 juillet 1918. LES ÏTAMINGANTS ÏÏ^'EXII^ ASSEMBLES A gAlMTIKADRESSE^ LE 21 JUILLET 1918, MANTOESTENT LEURS SENTIMENTS LOYALISTES.- a l'issue d'une grande assemblée flamande, réunie à Sainte-Adressô, à l'occasion de la fôte nationale, le télégramme suivant a été envoyé au roi Albert: " AfS.M. le Roi. " Réunis a Sainte-Adresse en une assemblée solennelle, à l'occasion du 21 juillet, -en présence de Ministres, de Sénateurs et do ^eprnsort- nto du peuple, ios Belges flamands acclament d'un môme eth u: que fleurs ^frères Valions, avec enthousiasme leur roi héroïque, jureit fidélité éternelle-au prince et à la Patrie et affirment leur inébrr<-lable confianc.e en; la victoire du Droit et en la résurrection triomphante de la liTtrre ' et-indépendante Belgique". i ~ (s.) VERWILGHEN "Commissaire d'arr-cmdissemoiiJ " 1 Réponse.. "Le chef du' Cabinet du Roi à Mr„ Yermlghen, commissaire d'arrondissement, . •' " 'C'est avec une profonde satisfaction que le Roi a pris connaissance de votro télégramme cordial. Sa Majesté se réjouit des sentiments d'inébranlable fidélité à notre' chère Patrie, qui unissent étroitement Flamands et Wallons et romeroie tous ceux qui en ont été les aimables interprètes" . ! * ( X X ) "L'ABORD LES VTVRES^AUX POPULATIONS LE LA BELGIQUE ET LU NOP. LE LA ERANCE" - rappelle M» Herbert HOOVER. - Au cours du diner donré à la Mansion House, par le Lord Maire do Londres, le 23 juillet I9IP en l'honneur de K. Herbert Hoidvor qui a dirigé avec tant de compétence et d'énergie le travail de la C,H,B«, en-Belgique envahie et oni remplit, à présont,, les fonctions ^d" administrateur .aux"'YiTr\^-ixuix~3rt^-' Unis, M. Herbert Hoover a prononcé ur très intéressant dibcours sur la question alimentaire au point de vue des Alliés. Parlant dos populations subjuguées et affamées par l'Allemagne, il a dit, notamment: " Nous ne pouvons secourir ces populations qu'on un point, c'est à dire en Belgique et dans le Nord de la Eranze.- Malgré l'hiver que nous avons eu à passer et les difficultés quo nous avons rer-contrées, notre sentiment d'obligation envers ces populations, los premières à souffrir, leur a donné la première place dans la distribution de tous nos vivres. Aussi grandes soient leurs souffrances, elles ont au moins l'espoir que les Alliés pour les tenir en vie, feront tous los sacrifices, hormis celui de se laisser battre et do laisser er;étcindre le flambeau do la oivilisation" . . ( X X ) LES DEPORTES BELGES MANIFESTENT, EN ALLEMAGNE, LEUR HAINE LE £'OPPRESSEUR. - UN AVEU ALLEiJAND.- Sous le titre: "Arrogance-belge" , le journal "Kloine presse" de Francfort s/M-., publie l'information ci-après traduite dans son n° 'du 3 juillet 1918: " Zweibruoken, 2 juillet,,- Dans la "Dinglersol on Maschinenfa-brik" les ouvriers do Belgique y occupés salissent les parois d'inscriptions hostiles aux Allemands0 Un beau j our on a pu lire: "A "bas les bochos'.". Comme meneur, le monteur Louis Lechi-en fut dénoncé. Le tribunal-JL-ta---cparidamné à trois mois do prison.".

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