Informations belges

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s.n. 1917, 03 Oktober. Informations belges. Konsultiert 19 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/vd6nz81p61/
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N° 474 3 Oolobre 1SI7 Informations Belges Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelle»de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, encertains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur seurce premièrede publication.« On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, /l'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les oommunioations de servioe : 53, rue des Gobelins, LB HAVRE (Seine-Inférieure) fraace. (xx).— Les conditions d'existence à Anvers.— Ce qu'en dit un journaliste anversois. — Le Nieuwe lîotterdamsche Courant, du 22 septembre 1917 (édition du soir), publie une lettre de son correspondant ordinaire E. d. B., d'Anvers, datée du 10 septembre 1917, dans laquelle il est question des préoccupations qui assaillent, en ce moment, la population anversoise. "A quoi pense le public" ? se demande E. d. B. Et il répond : " Les gens qui peuvent encore penser et parler, pensent et parlent actuellement de...pommes de terre ! " C'est la grande question du jour. C'est par milliers que, chaque jour, les citadins se répandent dans les campagnes pour y implorer les cultivateurs, afin d'obtenir de leur compassion quelques kilos de précieux tubercules. Le danger couru par ces malheureux n'est pas mince, puisqu'ils risquent l'amende et la prison, le transport et l'importation des pommes de terre en ville étant interdits, défense à l'observation de laquelle veillent la police civile et militaire. Maintenant, on annonce que le Comité de secours et d'alimentation sera en mesure, à partir du 15 septembre, d'assurer une distribution régulière de 190 grammes par personne soit 53 kilos par tête pour une période de 9 mois ! Il y a bien le pain, dit le correspondant du a N. R. C. » ou ce que l'on appelle ainsi, car « un paquet de son ne mérite pas toujours ce nom ». On en reçoit encore 335 grammes par jour, mais il est question de réduire la portion à 300 grammes ! Bien d'autres problèmes du même genre réclament une solution; telle est la question du charbon, que l'administration communale espère résoudre favorablement et celle du couchage, car « nous avons dû, soigneusement, vider nos matelas de leur laine et la livrer à l'occupant ». Depuis lors, on se couche sur du crin de cheval ou du varech quand on en possède. Il y a encore l'équation du vêtement, car l'acquisition du moindre costume exige des centaines de irancs. Il y a « nos souliers... mais en voilà assez, n'est-ce pas ? » E. d. B. dont les opinions pacifistes sont bien connues, met à profit les faits qu'il vient de retracer pour rompre une lance en faveur de la paix à tout prix, mais il est obligé de convenir que le désir, bien naturel, de voir cesser le martyre de la nation n'a pas éteint l'espoir au cœur des patriotes. Une personne qui occupe un poste de « haute responsabilité » lui déclara tout récemment : « Que disparaisse le dernier arbre de notre sol, que le pays entier soit dévasté plutôt que n'advienne une paix qui ne serait pas la paix telle que nous la souhaitons. » (xx) — La crise alimentaire en Belgique occupée. — Augmentation continue du prix des vivres. — Difficultés financières des communes. — L'information ci-après, que publie une feuille bruxelloise teutonisée (no du 22 septembre 1917), donne une idée claire à la fois de l'augmentation continue du prix des vivres et des difficultés financières auxquelles se heurtent les administrations communales en Belgique occupée : « Un subside mensuel de 300,000 francs avait été accordé jusqu'ici par le Conseil communal de Laeken-lez-Bruxelles, aux services de l'alimentation populaire aux nécessiteux de la commune. « Par suite de l'augmentation du prix des denrées de première nécessité, ce crédit a dû être porté à 400,000 francs. Si la hausse des produits, qui est constatée partout en ce moment, persiste ou s'amplifie encore, il est à craindre qu'à bref délai cette augmentation ne devienne insuffisante et que le crédit doive être porté à 500,000 francs par mois. » Destruction des voies ferrées en Belgique occupée. — Les tramways vicinaux de Namur à Eghezée, de Dinant à Florennes, de Couvin à Chimay et de Saint-Gérard à Namur ne circulent plus. Les Allemands enlèvent les rails de ces lignes. Les rails et les billes du chemin de fer de Thy-le-Château à Louette sont enlevés, de même ceux de la ligne Walcourt-Morialmé.

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Informations belges gehört zu der Kategorie Oorlogspers, veröffentlicht in Le Havre von 1916 bis 1919.

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