Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire

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s.n. 1915, 22 Januar. Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire. Konsultiert 20 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/bc3st7j460/
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Vendredi 22 janvier ÎDIT» ±o centimes le numéro 59me année — N0 22 JOURNAL DE GAND ABONNEMENTS : BELGIQUE : 1 T» fr. par an ; 7-50 fr. pour six mois ; rt fr. pour trois moi Pour l'étranger, le port en sus RÉDACTION & ADMINISTRATION : s 3, RUE IDE FLANDRE, 3, GANI TÉLÉPHONE (565 ANNONCES : > Voir le tarif au bas de la dernière page du journal. Avis Le Bourgmestre, par ordre de la Comman-[ dature, en date du . 15 janvier 1915, n° 5331, E porte à la connaissance de tous les habitants, I les ordres suivants : 1) Les pigeons ne doivent plus être tenus I enfermés dans les pigeonniers et peuvent voler I en liberté. Toutefois, là où l'autorité militaire elle-même | a fermé et scellé un pigeonnier, on ne peut I l'ouvrir et laisser voler les pigeons, qu'avec K son autorisation. 2) La fièvre aphteuse a éclaté à Machelen, K Nazareth, Maldegem et Calcken. En consé-I quence l'achat et l'exportation de bétail hors de I ces communes est défendu. 3) Dans ces derniers temps, des habitants ont f répandu de faux bruits au sujet de reculs des I opérations allemandes, de désaccords dans [ l'année allemande. Le Bourgmestre doit prévenir ses concitoyens f que toute personne qui transmet au delà des [ frontières des nouvelles, peu importe qu'elles I soient vraies ou fausses, au sujet de la situation I ou des mouvements de l'armée allemande, ou I qui les répand dans le pays, sera punie selon la f loi militaire. En outre, la commune tout entière j doit s'attendre à une peine sévère. Gand, le 18 janvier 1915. E. BRAUN. représentants de l'idée républicaine, de la liberté des peuples, du droit absolu de « self governtrient ». L'Angleterre avait accepté le fait accompli dans le Nord; la Sain te-Ail i. n c à son tour, devant le langage menaçant de Monroe, abandonna l'idée d'intervenir dans 'le Sud. « L'Amérique aux Américains! devint dès lors le mot d'ordre: et la réalisation de ce programme, du pôle à lequateur, de l'Atlantique au Pacifique, fut désormais le but assigné aux efforts des générations futures. Et ce but, la grande république américaine ne l'a jamais perdu de vue. Naturellement, l'énonciation d'une doctrine politique dans un message présidentiel n'a pu suffire pour transformer cette doctrine en un principe de droit international. Les Etats-Unis, néanmoins, ont obtenu jusqu'ici pour la » doctrine de Monroe» mieux que le respect théorique des nations: dans les circonstances les plus graves, ils sont parvenus, en l'invoquant, à empêcher ou à mettre promptement fin à toutes les interventions. Est-il besoin d'en rappeler l'exemple le plus mémorable, celui aussi qui est pour les Belges le plus intéressant : l'expédition du Mexque vaincue par les notes diplomatiques parties de Washington ! » La Doctrine de Monroe Qu'est-ce. exactement, que cette «doctrine de Monroe », dont on parle sans cesse, don f on reparle encore une fois, — sans en avoii [ une notion bien précise? Voici, d'après le « Quotidien », quelques dé f tails à ce sujet: « C'était au commencement du XIXe siècle. Les colonies espagnoles du centre du sud de l'Amérique s'étaient définitivement émanci-; pées: elles s'étaient constituées en république-; indépendantes et avaient maintenu leur liber té les armes à la main. Le .gouvernement des Etats-Unis reconnut les républiques en 1822: mais l'année suivante, il apprit que les puissances de la Sainte-Alliance (Autriche, Prusse, France, Russie) se concertaient pour aider l'Espagne à les soumettre de nouveau au joug de la métropole. Après George Washington, John Adams, Thomas Jefferson, James Madison, la Confédé-: ration américaine avait à ce moment pour pré-j sident James Monroe, nommé en 1817, réélu en 182 i pour un nouveau terme de quatre ans, et dont le « règne » fut pour la grande république une époque de prospérité continue. Sous l'inspiration de JohniQuiney Adams, qui était son secrétare d'Etat et qui fut son successeui a la présidence, Monroe opposa aux prétentions des puissances, dans son message annuel au Congrès (2 décembre 1823), les déclarations suivantes: « Mon administration, dans les négociations avec la Russie, a établi comme un principe où sont impliqués les droits et les intérêts des Etats-Unis, qui les continents américains, par la position libre et indépendante qu'ils ont conquise et maintenue, ne doivent plus être désormais considérés comme un domaine propre à la colonisation par aucune puissance européenne. Nous devons à la bonne foi et aux re-| lations amicales existant entre les Etats-Unis I et ces puissances, de déclarer que nous consi-[ dérons à l'avenir toute tentative de leur part I d étendre leur système à quelque portion de cet hémisphère comme dangereux pour notre [ paix et notre sécurité. En ce qui concerne les [ colonies ou dépendances actuelles d'aucune i puissance européenne, nous ne sommes pas t intervenus et n'interviendrons pas. Mais pour I ce qui concerne les gouvernements qui ont déclaré et maintenu leur indépendance, nous ne F pourrions regarder toute intervention d'une i puissance européenne, ayant pour objet, soit ; d obtenir leur soumission, soit d'exercer une f action sur leur destinée, autrement que comme la manifestation d'une disposition hostile à l'égard des Etats-Unis. » Cet énoncé de principes fut très bien accueilli par 1 opinion publique. A la vérité, elle n y attacha peut-être pas tout de suite la grande significaton attribuée plus tard à la << doctrine de Monroe » et le Congrès ne prit aucune mesure, ne vota aucune loi pou-r donner une valeur politique à la déclaration présidentielle.En fait cependant, c'était tout un programme de politique extérieure que James Monroe venait de tracer à son pays. Les Etats-Unis en-: traient dans une phase nouvelle. Ils avaient I pansé leurs plaies, restauré leurs finances, or-j ganisé leur administration, mesuré leurs for-[ ces, et déjà ils s'estimaient non sans raison les ÉCHOS Un volontaire féminin Près de le Save, une patrouille rencontra un fort jeune soldat, qu'elle ramena. Il se fit bientôt énormément d'amis, mais un de ces jours le malheur voulut qu'a reconnût en lui... une jeune fille. Elle avait pris le nom d'un soldat tombé, Kador Elemer, et s'était procuré un uniforme. Elle était fille du marchand Obecs. Malgré ses prières, elle ne put prendre service que dans la Croix Rouge. Chevaux teints Les chevaux blancs sont, à présent, sévèrement exclus de l'armée française, comme étant visibles de trop loin : leur couleur leur vaut d'être bien tranquilles et de jouer le rôle de tire-au-flanc (ou plutôt au bat-flanc). ^Plusieurs fois, depuis le début de la guerre, on a fait des essais de teinture, mais un seul produit donna des résultats, un seul résistait à la pluie. On peignit donc vingt-quatre chevaux blancs d'artillerie, et la batterie à laquelle on les affecta manœuvra par monts et par vaux. Hélas ! quand elle rentra au quartier, les chevaux, sous l'effet de la sueur, étaient devenus vert pomme ! Une lettre de nouvelle année • Les blessés belges et français soignés à l'hôpital de Verdun ont, dit le « VorwSrts » adressé une lettre de nouvelle année aux médecins et sœurs qui les soignent. « Nous ne nous sommes à rien attendu d'autre, disent-ils, de la part de la grande nation ■ allemande, qui en hygiène et en médecine jouit d'une grande renommée.. Nous regrettons, que la guerre qui existe entre nos pays nous astreigne à une réserve que vous comprendrez. » Plus loin ils disent aux sœurs : « Pensez qu'il y a aussi des femmes belges et françaises heureuses de soigner vos compatriotes qui sont dans une situation analogue à la nôtre. Ainsi le bien que vous faites ici vous est compensé là-bas. Puisse l'année qui commence voir rapidement la fin de la guerre qui entredéchire les peuples civilisés de l'Europe ! Puisse celte lutte violente des armes libérer les peuples de la susceptibilité qui en fait des ennemis ! Puisse une paix prochaine et honorable pour tous mettre fin à la guerre, afin que les peuples, qui se connaîtront mieux alors, se respectent mieux et, dans l'avenir, travaillent ensemble au bonheur et à la prospérité de la grande famille à laquelle nous appartenons tous : l'humanité! Si ce dernier vœu est accompli, les sacrifices faits 1 ne seront pas vains ». Le Vorwcirts se rallie à ce vœu de prisonniers Faisons comme lui ! LÀ GUERRE t Sur le M occidental ' c Bulletin allemand affiché à Gand Grand quar.tie rgénéral. 19 janv. — Sur ce front, à part les escarmouches sans importance, des combats d'artillerie. t Communiqué officiel allemand. j Grand quarf&r gênerai. 18 janv. — Dr.ii les environs de Nieuport. des combats d'artil- t lerie. Des préparatifs pour une attaque n'ont r pas été remarqués. 1 Plusieurs mines anglaises :>nt été jetées sur la côte par une forte mer. Près de La Boiselle, not-. -est d'Albert, nos troupes ont rejeté à la baïonnette les Français qui s'étaient installés de nouveau, dans le Cimetière et dans le hameau au sud-ouest de celui-ci; 3 officiers et 100 si !dats furent faits prisonniers. Dans la Forêt de l'Argon' e, nous avons pris plusieurs tranchées ennemi ■>: les Français furent presque tous tués. Une attaque française contre nos positions au sud-ouest de Pont-à-Mousson, parvint sur une hauteur, deux kilomètres au sud de Vil-cey, et jusque dans notre position. Le conib.at dure encore. Dans les Vosges et dans la Haute-Alsace, de la neifje e; un épais brouillard, qui diminuent la facilité des opérations. Communiqué officiel français Paris, 17 janvier, midi (Reuter). — Nous avons continué nos progrès dans le voisinage de Lombartzijde et de Nieuport. Notre artillerie a bombardé des travaux ennemis au sud de St-Qeorges, Des combats d'artillerie sont livrés à Ypres, La Bassée et Lans. Près de Blangy nous avons repris une fonderie de fer et y avons fortifié nos positions. Nous avons repoussé une attaque près de Beaulne. Nous progressons dans le région de Perthes et de Beauséjour. Dans les Vosges nous avons gagné quelque terrain à l'ouest d'Orbey. La journée entière il a neigé abondamment. Le combat à Soissons Paris, 17 janv.— La presse française déclare en générai que la retraite des Français derrière l'Aisne près de Soissons n'a pas d'importance spéciale, aussi longtemps que les Allemands n'auront pas passé le fleuve. Peu de journaux avoue que c'est une avance importante. Le lieutenant colonel français Rousset écrit" dans la Liberté : A cause de la violente attaque allemande les Français ont dû évacuer le Plateau de Vregny, cë qui entraîna une retraite générale en cette contrée. La retraite amena le front français sur la rive gauche de l'Aisne, à cause de l'eau, qui croissait continuellement et avait déjà détruit une partie du pont, et- avait donc coupé les communications. L'état-major doit prendre des mesures pour empêcher que la défaite que nous avons eue ait des conséquences importantes. Le Petit Journal écrit : La retraite, causée par la crue d'eau, est un échec de noire offensive à cet endroit du front. Le Progrès de Lyon écrit : L'ennemi ne saura pas utiliser son succès stratégique, mais notre offensive est en tout-cas arrêtée par l'attaque de l'armée du général von Kluck. Incendie de l'Arsenal de Brest Paris, 17 janv. (Reuter). — La nuit passée un incendie a éclaté dans l'arsenal de Brest. Il a :ommencé dans les bureaux des travaux hydrauliques et se communiqua à la salle de dessin pour constructions de marine. Le feu fut violent, nais en deux heures on en vint à bout. Les iégâts ne sont pas importants. Pas de vies l'homme à regretter. Pour les prisonniers de guerre Paris, 17 janv. (Reuter). — Gaétan de Ayala :st arrivé à Berlin sur la demande de l'ambassa-ieur espagnol, afin de se charger de l'œuvre elative aux prisonniers. Le personnel de l'ambassade n'était pas assez îombreux, pour se charge de la tâche, mainte-îant que celle-ci s'occupe des intérêts francs, belges et russes. Sur le front oriental Bulletin allemand affiché à Gand Grand quartier général. 19 janv. — A l'est le la Vistule, les Russes ont été repoussés à îadzan'ow, Biezun et Sierpo. A part cela la situation ne changea pas. Communiqué officiel allemand Grand quartier général. 18 janvier. — : 'russe orientale la situation n'a pas changé. Dans le nord de la Pologne, les Russes ont enté d'avancer dans la contré de la Wkra, près le Radzanow. mais furent repoussés. En Pologne, à l'ouest de la Vistule, rien 'important. Communiqué officiel autrichien Vienne, 18 janv. — Au nord de la Vistule ien de nouveau. Sur les hauteurs à l'est de 'akliczyn, notre artillerie a obligé l'ennemi à vacner ses tranchées les plus avancées. Sur toute une partie du front, à peu près i klm., les Russes ont ainsi évacué leur pr. lière ligne, et ce sont retirés en désordre sur îs hauteurs, en laissant plusieurs fusils et beaucoup de munitions aux mains des Autrichiens.En Galicie des combats d'artillerie. Dans les Carpathes des escarmouches sans importance.La situation Tout est calme en Pologne; il n'y a que des déplacements de troupes. On s'attend à un nouveau combat dans la contrée des rivières Bzura et Rawka. Le communiqué allemand de ce jour parle d'une attaque russe dans la contrée de la Wkra. Cette attaque fut repoussée, et n'a aucune importance. Elle n'avait d'autre but que d'obliger les Allemands à retirer des troupes sur d'autres parties du front. Cette manœuvre échoua. La Wkra est une rivière qui a sa source en Prusse où elle s'appelle Soldau. Elle coule dans la direction sud-est et se jette dans la rivière formée par la réunion du Bug et du Narew, peu avant Nowo Georgiewsk. Radzanow, qui fut citée aussi dans le communiqué allemand, se trouve au sud-ouest de Mlawa, à une distance de 27 km., sur la chaussée de Bieschun-Serpetz-Lipno vers Wlot-zlawee.Au sud de la Vistule tout est calme. Quant à la situation dans les Carpathes, elle doit être restée relativement la même, vu qu'on ne nous a pas communiqué de changements. Nouveau combat Bàle. 18 janv. iWolff). — D'après le « Na-tionalzeitung » le correspondant militaire du « Nowje Wremja » à St-Pétersbourg écrit que les déplacements des troupes derrière le front allemand en Pologne ne prédisent pas la retraite allemande. On peut au contraire s'attendre dans peu c. jours à un nouveau combat sur toute la ligne. En Belgique L'Incident Mercier L' « Echo de Paris » apprend de Rome que l'ambassadeur prussien près du Vatican a remis au Pape en donné relatif à l'incident Mercier. Il donne la version allemande des faits : elle atteste que le prince de l'église n'a pas été fait prisonnier, mais qu'il avait été averti par le Gouverneur général au sujet de sa letlre pastorale. En France L'assassin de Jean Jaurès La « Kolnische Zeitung » apprend que l'examen mental de l'assasin de Jaurès est terminé. Le médecin a déclaré qu'il n'est pas entièrement responsable. L'enquête va donc reprendre, sous la direction du juge Drioux. En Hollande Les Mines La Haye, 18 janv. — De la « Kolnische Zeitung » : Le département de la Marine a fait savoir qu'entre les îlës et même dans le Zuider-zee, des mines flottantes ont été remarquées. On a pris les mesures nécessaires pour écarter le danger. Hier on annonçait qu'une mine flottante anglaise avait été jetée sur la côte de l'île de Wie-ringen ; elle était donc entiée dans le Zuiderzee par le canal du Helder. ; En Mer Les secours pour la Belgique Londres, 18 janv. — Une dépêche du Lloyd annonce ici que la navire « Camino », ayant à bord des vivres pour la Belgique, parti de San Francisco pour Rotterdam, a eu de l'avarie au gouvernail à 180 milles au sud-est de Sable Island. Le Coton pour l'Allemagne De la Frontière hollandaise, 18 janv. — La « Kolnische Zeitung » écrit que le navire « Pathfinder » parti de Galveston avec du coton pour Brème, est arrivé lundi matin à Ymuiden. Sur le front russo-turc Communiqué officiel turc Constantinople, 18 janv. (Woiff). — Nos troupes défendent avec opiniâtreté leurs positions contre les Russes qui attaquent avec des forces plus nombreuses. Une tentative ennemie de contourner l'aile d'un de nos corps, a échoué ; après un combat entre la cavalerie russe et la cavalerie turque à l'ouest de Choi, l'ennemi s'est enfui, en laissant sur le champ de bataille les morts et les blessés. Au Mexique La Révolution Le général Roque Gonzalès Garza a été élu président provisoire par la Convention. Il reslera en fonction jusqu'au moment où un nouveau président sera élu. Gutierrez — le président provisoire antérieur — a quitté la ville de Mexico avec trois membres de son cabinet. Garza a promulgué la loi martiale dans la ville, et la Convention s'est donnée à elle-même le pouvoir suprême législatif, judiciaire el exécutif. Au Japon Mikado et Pape L'Osservatore Romano publie une lettre du Mikado au Pape. Le premier y exprime le désir de voir le plus possible adoucir les souffrances de la guerre. L'empereur y dit aussi que pour le moment aucun soldat japonais n'est prisonnier à l'étranger. Tous les prisonniers allemands au Japon sont traités avec bienveillance; tous sont en bonne bonne santé. LE TREMBLEMENT DE TERRE EN ITALIE La iiste des victimes augmente toujoa Des localités, qui restaient sans aucune communication avec Rome, annoncent aujourd'hui de grands dommages et de nombreuses victimes. Le nombre des localités éprouvées par le tremblement de terre s'élève à 85 déjà. On compte que le nombre des tués peut être évalué approximativement à 26.000, celui des blessés à S.000. L'organisation officielle des secours a les meilleurs résultats. On con. à percevoir des secousses sismiques légères. L.es instruments sismiques de l'observatoij a Rome ont enregistré, en 22 heures, jusqu'hier midi, 49 trépidations, d'accord avec l'observatoire du Mont Cassino, celui de Bénévent et celui d'Ischia. Le «< Berlincr Tageblatt >> dit que jusque vendredi soir il y eut 156 secousses. La petite ville d'Avezzano est située 107 kilomètres à l'est de Rome, à une altitude de 698 mètres. Ses maisons riantes étaient tou tes très modernes De jolies promenades s'entrecroisaient dans la ville et entouraient celle-ci. Avezzano avait un joli parc avec un palais superbe des princes Torlonia, issus de Barberini. Le vieux château-fort appartenait également aux Barberini; il fut reconstruit en 1490 par les comtes Orfini. L'Avezzano moderne contrastait étrangement avec ces vieux témoins d'un passé glorieux. A l'est, au nord et au sud-ouest de la ville s'élève la majestueuse chaîne des Abruzzes dont les crêtes apparaissent blanches de neige, d'octobre à avril, sur le fond bleu du ciel d'Italie. Juste au nord d'Avczanqp se dresse le Mont Bellino. qui a une altitude de 2500 mètres; au non!-, est, et un peu moins élevé, le Mont Sirente. au sud-ouest, dans la chaîne de Sabine, le Mont Biglio, dont ia crête s'élève aussi à 2000 i; . Le « Journal de Gand » est en œnle dans 1rs localités suivantes : A Gand A Anvers A Audenanle A Bruges A Ht •ux elles A Lessines A Mouseron A Ostende A Tournai

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire gehört zu der Kategorie Liberale pers, veröffentlicht in Gand von 1856 bis 1923.

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