Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire

2754 0
close

Warum möchten Sie diesen Inhalt melden?

Bemerkungen

senden
s.n. 1914, 13 Februar. Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire. Konsultiert 02 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/g73707xq00/
Text zeigen

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Vendredi 13 Février Franco en Belgique Un an : i » » 6 mois : » » 3 mois : Franco an Hollande Un an : 2 » Union postale » S On s'abonne au bureau du Jol et dans tous les bureaux de pt ADMINISTRATION TÉLÉPHONE 567 JOURNAL DE LIÉGE FEUitLE POLITIQUE LITTERSIBE ET COMMERCIftLE. - FONDEE EN 1764 Annonces. , .j la iigne5 2© c« Réclames. , , 0 » 40 c< Faits divers. „ , . » 1 îrai Réparations judiciaires » 3 frai taiormations financières » 3 frai Avis de sociétés la rçeute ligsfe 30 C( Emissions. „ . , 0 ■ » S frai <£ Salle du | JOURNAL DE LIEG | ExiBSiîii fles (Epi $ de | Mme Marie MOLITOl ® peintre I ET J M. Elis, us bremâeck || sculpteur | A BRUXELLES g Cette exposition sera ouverte t( g les jours cie 10 heures à 1 heure §> de 2 à G heures du soir, jusqu' j| 17 février inclus ENTREE LIBRE ÉTRANGER FRANCE Solîs la. coupole Paris, 12. — Au premier tour de se M. Alfred Capus est élu par 15 voix ■ 13 à M. Léon Bourgeois et deux bu. blancs, au fauteuil de M. Henri Poi: à l A:acîémie Française. M. Pierre de la Gorce, historien, e au deuxième tour -le scrutin au faute M. Thureau-Dangin, par 1G voix cont M. Camille Jullian, 4 an vicomte d'.J et 2 bulletins blancs. M. Henri Bergson, philosophe, es au fauteuil de M. Emile Ollivier p. voix contre 9 à M. Charles de Pomer S bulletins blancs. M. Raymond Poincaré assistait à la ce de l'Académie Française. ALLEMAGNE L'omperour a failli être vicl d'un grave accident d'aut< Berlin, 12. — Un grave accident, l'empereur a failli être victime, s'est duit hier après-midi, à Berlin. L'empereur venait de passer en mobile et ii était suivi par une second» \ ture, dans laquelle se trouvaient deu des de camp. A ce moment-là déboucii chariot automobile, qui prit en tr l'automobile impériale. Le colonel c von der Goltz et le capitaine von Pal le.s deux .aides de ;amp de l'empereur, jetes hors de la voilure, n'ont pas été sés, mais le chauffeur de l'automob été relevé sans connaissance et a dû transporté à l'hôpital. L'empereur, extrêmement contrarié cet .ru:oident. survenant justement le demain du jour où, au Reichstag, oi prêchait à ses automobiles d'aller vite, a décidé qu'à l'avenir les automo impériales devraient aller à une a beaucoup moins rapide. ANGLETERRE Le cabinet victorieux aux Coati mu Londres, 12. — La Chambre des con nés a repris aujourd'hui la discussioi l'amendement de .M. YValter Long, de: dant que le Home rule soit soumis au j ment du peuple, c'est-à-dire que la Chai soit dissoute. Sir John Simon, l'attorney général, < bat l'amendement. Pour lui,*le désir d'à les élections générales en ce moment d mufle :à peine celui de voir rapporte «Parliament Act», ci c'est ce que le , vernement ne permettra- pas. Le grand chef de ce qu'on appelle ic «révolte de l'Ulster», sir E. Carson, pi ensuite la parole. Il estime que le gou nement a corti^lètement échoué dans sa tative pour résoudre la question irlauvla: — Le premier ministre, ajoute-t-il, au dû donner au moins les grandes lignes propositions qu'il entend faire et cher< à gagner l'Ulster au lieu de1 l'opprimer ici ,sir Edward Carson laisse entre une çolutioa possible de la question moyen d'une exclusion temporaire de 1' ter. — Le gouvernement, dit-il, peut tei de gagner l'Ulster au Home rule, en prouvant qu'avec le Home rule un bon <: vernement peut être établi en Irlande, ' M. Lloyd George dit que-la ipontion p par le gouvernement e.st. surtout celle-pller aussi loin que possible pour dissi les j?«ain^es légitimes de la population l'Ulster, sans {parquer au principe sut quel le bill du Home rule est basé. Le dernier dos orateurs est M. Bo Law, leader du parti unioniste, qui dit le temps des excitations est passée, et le devoir du premier ministre est de < à la Chambre ce qu'il se propose de fair On passe au vote et l'amendement L< est repoussé par 383 voix contre 255. gttcçre les suffragettes Londres, lii. - Une bibliothèque fon par M. Carnegie à jforthifteld, banlieue Birmingham, a été détruite ce matin ; un incendie, ôn "attribue cet exploit ; suffragettes. RUSSIE Le président du conseil donne sa dômissi Une cjépèçhe Hayas de Saint-Pétersboi annonce que' M.' 'Kp}-;oytzqw, président conseil, ministre dès'finances de Russie donné sa démission. Il y a deu:'; mois environ, M. Kokovtz avait été battu au Conseil d'empire par i assez forte majoritr-. lorsqu'il avait vol faire ratifier par ce dernier l'entente a due entre le gouvernement et certaines p nicipalités polonaises, touchant la qu tien de la langue polonaise. A ce moment, on avait annoncé que Kokovtzow, ù ja suite de la défaito sut avait demandé à l'empereur la permisgi de donner sa démission. Ce bruit avait démenti. Ces jours derniers cependant, le br circulait à nouveau à Saint-Pétresbou ot que la démission de M. Kokovtzow ét prochaine. .En l'aibsence de toute explication o cieile, il convient peut-être d'attribuer c te démission au désir personnel de M. I-kovtzow, qui, depuis de longues années, assumé la charge écrasante du pouvoir, prendre quelque repos. M. Kokovtzow était ministre des s? depuis 1904, sauf pendant une co g, terruption. Il avait succédé, comn n dent du conseil, à M. Stolypine, Xi $ ce dernier fut assassiné à Kiew, le & lembre 1911. § Parmi les noms qui furent cités ment comme successeurs de M. Kol 'Un & au moment où le bruit courait de 1; yj\ | sioxi du président du conseil russe, $ vient de relever ceiui de M. Kriv ministre de l'agriculture. Par co: j| nouvelles de Saint-Pétersbourg < é nuit annoncent qu'on parle de M. | g kine, secrétaire d'Etat, comme i & § président du conseil, et de M. Bai & seiller d'Etat, adjoint au ministre c jg merce, comme ministre des finance § Ce qu'on pense à St-Féterc 5*9 É SWPétersbourg, 12. — La démissio: un % Kokovtzow n'ayant été communiqu |> tard hier soir, les journaux se hô: ^ enregistrer la nouvelle sans connue Ê> Cependant, leN Deu écrit : La dé de M. Kokovtzow est une victoire ] >us & réaction, un triomphe .pour les force et g tes qui inspirent en réalité la re'ac au ® Den ajoute : Cette démission s ê une fois de plus que, comme par le g ce sont les éléments qui échappent ; & trùle public qui jouent un rôle pr< ^ rant dans notre politique intérieure. Suivant le Retck, c'est dans l'apr Rque .\r. Kokovtzow a reçu au Tsar un autographe conçue en termes graci acceptant sa démission. D'autres joiurnaux disent que le dent du Conseil reçut, en outre, l'on: Saint-André. Entre autres informations dont la rutin se il convient de signaler montré Pai'tide .M. Davidoff, chef de la chant letins particulière de crédit, lequel abandor icaré son I).oste I10l.lr. Prendre la pre'sid'en Conseil d'administration d'un »établi9s 5t élu lancier. Jil de Le général Soukbomlinoff, ministre •e 9 à guerre, démissionnerait et serait rer venel P131'général Gilinsky, chef de l'état-géuéraJ.t élu Cnsso, ministre de l'Instructio ir 19 blique, s'en irait également, mais se jls et P^i't n'aurait aucun rapport avec la actuelle et ne serait dicté oue par de séan- sons de famille. Enfin, M, Goremikine prendrait lî sidence du Conseil sans portefeuille. Les journaux croient que Rukase r< ces différents points ne sera pas j :imo avant (plusieurs jours. 3 Pour la Gazette de. St-Pêtersbourg, ; dont mission de M. Kokovtzow provient de c pro- le président du Conseil ne put. pas à la Douma et au Conseil d'e l'Émoi auto- majorité nécessaire pour un travail : vol- Ce journal considère aussi que le de x ai- emprunt a encore aggravé la situatioi S BALKANS eske, L'accord russc-turc pro- Constantinople, 32. — Voici des -i bles- sions sur les points principaux de l'a ile a ru^vo-tuiiv. être Tous les vilayets de l'Anatolie sont sés, suivant le© né(.ej,;ité3 géogra.ph.i de en inspe^torate généraux. le)' La Porte nonmiei-a. les inspecteurs ; t re- destinés aux vilayets de l'est de l'An; trop seront choisis dans les petits Etats biles péens. Hure Les pouvoirs des inspecteurs seront étendus ; ils pourront révoquer le:; i fanctionnaires nommés nar iradé impi à I exception des va lis. En ce qui concerne les fonctionnaire baltcrncs, môme, ceux de la justice pourront les rév.-quer et les remplacer uinu- app:-., a la. seule condition d'en info i de les ministres 'Compétents et de donneî tiaini- explications sur les motifs de leur ré' uge- tion et de leur remplacement. nbre Au sujet des valis, les inspecteurs ront le droit de demander leur déplace: ;om- ou leur ro;vo:ation au ministre *drt '' voir rieur. Ce dernier soumettra le cas au issi- seil des ministres, qui devra statuer i- le le délai de quatre jours ÎOU- Le dçjrvice militaire eat régional. terups de paix, le gouvernement otto i la cor.derve le droit <le procéder au rc<o ■end - 'à ::ii il le jugera convenable i vcr. a une façon proportionnelle pour ten. f?OAS .d'Assir et du Yémen. L» Su ae. dispositions sont prises en ce qui conc rait la :nanne. des 'angue looale est employée offici :her ment dans tous les vilayets. C1I ? i^^gets des vilayets mentionîtne TOir hl'<„ i"11'" ? destin6s 4 'l'instruction au part revena»t à chaque élér [Ils- ®tlln:que, proportionneLlement à l'itn lance de cet élément. lter ^*e gouvernement raoofanaît totis les < lut î? "nt?"-es personnels faits aux éci ^ «onserve la .haute main sur puyrammaii scolaires. La langue lo risc turque est obligatoire. E ci : I* «oi^ernement procédera dans lo per , d un an à un recensemen't général (le rewrî-mHr* auront lici1 sllr la base'd ]e représentation proportionnelle uarif.ST'C''neme^ accopte '"fintanan nar c t "e" B^Sïs °°"Se des vU»yets de Tt'e kurde est transformée Ure :•» c'fvili».? ,;esel'vo,i en temps de p sauf rn f, e porteront pas les an >ng dation manœuvres ou de con, Motion. Le. recrutement sera volont-! devra acheter smeh! .. lis et prouver qu'il pas, a!e et 'i le i v r nécessaires à leur entre (je <-& *i .e.ii ienouvellement. lar ,0^.^ ^ nùnistres a délibéré LUX réfoni!— 16 proereino» complet i étonnes ot l'a accepté 11 fera dma i-n communication écrite aux SStaïïffi SERBIE trg M. Vennelos à Belgrade s ilu aux aff-a? <s' 'e secrétaire géné !1 f» «t I. etl'anseres, le ministre de G m ils n ! iPr!'?0ni?el lle iil légation grecq es- DOKonnS i e .'u. co'°"ic grecque et ■ , r? c , .""wstère des affaires .étrj o*-ies ae Sertie. ie, L'jmpressior» a vienne s".1! a Uwfîi18, ~ Lc v°V<«e de M. \'enize Sté a .Uoiade, âpres les entretiens que le p Mds...,. du Conseil des ministres de Gn «t a eus deja avec M l'âchitch à Saint-1 rg teibbourg et a Bucharest, éveille quelc îit meiîance a Vienne. c.^a ^0uV(;lle Presse Libre écrit à ce suj * X1 ♦°-1uIleL.ressent' aucun enthousiasme et- Autriche-Hongrie, en Allemagne et en I .0- lie pour imposer par la force les décisic a des puissances relativement à l'attributi de I des îles de la mer Egée, cela provient ce que. malgré tant riv.ccnvon^ „ finances taine obscurité enveloppe encore urte in- seins derniers de la politique gri ie prési- Le journal ajoute : Nous voyons lorsque M. Venizelos se rencontrer à Sair 18 sep- bourg avec M. Pachitdhi dont la était surtout de nature diplomatiqi récem- constations ensuite que les deux :ovtzow, ministres éprouvent le besoin d'à t démis- nouvel entretien à Bucharest au c il con- quel des questions sont discutées Dcheme, résolues puisqu'ils poursuivent leui ître les à Belgrade en commun. te cette La Nouvelle Presse Libre contim Goremi- te amitié si abondamment manif touveau des négociations diplomatiques ■k, con- namment longues ont quelque chc lu com- quiétant. Le simple maintien du t s. Bucharest ne réclame pas tant de i boure tations- L'essentiel pour la situai i no u roPéenne est que les relations ent Îa mi triche-Hongrie et la Russie restent . •npnt? mais ,es nûuvel'es venant de Saint ntnibourg trahissent une certaine ex dans l'opinion publique et prouv< :mscion ies fus tendus à travers les Balka )our la ten't de la Russie. 5 secre- X» ALBANIE passé, Essac: pacha remet ses pe tu con- Durazzo, 12. — Essad pacha a ren >pondé- ses pouvoirs à la commission de ( internationale. Procès-verbal de cet ^s-midi monie a été signé hier soir au c 3 lettre italien. Ce matin Essad pacha a p eux et revue les gendarmes. Environ &X tants de Dibra et de Ivroja sont prési- I)0ur saluer avant leur départ Essad re de °t la délégation chargée d'aller of prince de Wied la couronne d'Alb presse Aziz pacha Vrioni a été nommé { le dé- neur de Durazzo. ollerie ^atin à 9 heures, Essad pach; nierait délégués albanais sont partis à bc ce du vapeur Adriatico pour se rendre à pmpnt dam pour offrir au prince de W couronne d'Albanie. rpïaié MONTËNEGBO major Discours du trône | Cettigné, 12. - - Dans le discours du n I**" le Roi a déclaré : Le feu sacré de 1 n Ç-é- ; orbe nous a procuré la victoire. No crise quêtes sent importantes bien qu'elles s rai- é;é mutilées par le fait qu'on nous a clié Scutari. Celte blessure brûle, il - Pré- ble, dans les cœurs serbes. Ce n'e: une puissance unique qui nous a rav glan„ tari ; ce sc-nt beaucoup de puissa^ic lu'blie i vaut lesquelles nous avons dû eéd '; faveur du maintien de la paix europ a dé- • ct pour assurer cette paix. Les con. e que j accomplies par les armes serbes l'Oû avoir j .avec l'aide de frères nombreux accoui re la ■ t ;ius les pays voisins pour nous so uvile, j dans nos combats. rr.ier Le Roi admc-T>e e'nsuite ses reen i. monta aux missions de la Croix-Rou i! tous les Etats civilisés' qiui sont venue porter leurs secours à l'année. II ajoute : Une- dè nos prôoecups ). .. ; principailes est l'armée. Elle doit être : vord 1 tsnue dans de Ijor.ncs conditions uour j la guerre et, dans ce but disposer ci j. . ! dres permanents. Le maintien de nos i r,v " : sitions et la condition de nos luturs s : nationaux ne dépondrot.t que d'une ,PnY ! 'l>oration di;trablo ave^j 1103 frères sert L'olié ! v!e notr° délité traditionnelle à l'éga niro ' Ia Pl,ss-e' notre puissante protectrice. " j Nos rapports avec les autres Etats trè- ' corrects ct amicaux. t® i Le gouvernement ne cesse de trav ^riai I 0vU maintie:. de la paix. ' | Le discours du trône mentionne en 1 su '5 l'-gret. qu'a causé au Monténégro 3 i à ! cursion d'Albanais annés. Il exprime ' n ! P'ûir que l'Albanie saura se créer un i-mer > '^Vj- d'organisation sérieuse si elle d /i-*. . sincèrement devenir un élément de pa r0Ga_ ! d'ordre dans les Balkans. au- j SUEDE went Manifestations à stockholn inte- Stockholm, 12. -- Lorsque M. Stac con- quitté le Parlement hier après midi, tans .. ic.;ilTs centaines de personnes, des je gens pour la plupart, l'ont accompagné n < vine ohm lui en poussaiit des vivat; man | v0n honneur. Les manifestants se sont ^ . i dus ensuite au domicile du leader s "a^s j liste Branting puis ont parcouru les J^- | on certc/ge en criant : « Vive la Rép nies . que ! » La police a dispersé la foule j empêché une collision entre les man -, ' lants et les étudiants. Ccux-ci ayant , el;e- ( ii des harralis en l'honneur du Hoi, 1 ! adversaires répondirent nar de noun m i a'B de " Vive Ja 'République ! ». imï ' I e scir ur,e folI'e considérahle s'est ™ l r-emljlea devant le palais pour prise P ] ses hommages au Roi et à la Reine. ■ 1 -oi^erains. entourés dias membres de i; j" s , royale, se sont montrés au balco S ' lou!e leur a fait une ovation ent; 'os siaste. salle df MEXIQUE duîs Bombardement de Esmeraida 5 la New-York, 12. — Une dépêche de Guf quil annonce que les canonnières du t : la | vernement ont bombardé Esmeraldas d van ; la journée de mardi, puis les troupes | attaque la ville. en { On croit que les troupes gouverneme; aix, les ont repris la ville. Plusieurs mais les, ont été incendiées par les obus, -.en- Les rebelles du colonel Concha ont rel ire. d'établir une zone neutre pour les non c ival battants et de permettre aux étrangers ede se rendre à bord des navires mouillés d ;ion le port. Les détails manquent, mais on sait au- la ville a dû subir une violente canonn des et l'on craint pour la sécurité des étr une gers et des non combattants. ce tre Pari?,. ~ Le Sénat a continué , ral jourdluu la discussion de l'impôt sur rè_ revenu. ne, t houron combat le projet du gouv le nement et insiste sur l'opposition faite j m_ les commerçants et les industriels à projet d'impôts comportant la déclarat' et supprimant le patrimoine. L'orateur estime que dans la- situât !os financière présente, il serait souverai ré- ment imprudent de renoncer à des imp ice que les contribuables ne demandent q 5é- payer. Nous avons le droit de rechercl ue de nouvelles ressources non seulement de les impôts directs, mais aussi dans les i et: pots indirects. en M. Thouron déclare qu'il accepte la c ta- cussion sur les bases du projet de la co ns mission sénatoriale, dont il relève cepi on dant les imperfections, de M. Thouron expose que les réformes p les des- profonde perturbation dans les bue icque. par.tcmentaux et communaux. Il ter d'abord exprimant la conviction que le Séi t-Péters- dra accepter les réformes possibles maladie tant les exagérations qui pourraie e ^ nous promettre les finances de la Frs premiers peut-être, l'avenir de la République voir un Séance levée. Durs du- -x- et non Juvisy, 12. — Une expérience d ' voyage chute a été effectuee cet après-midi rodrome de Juvisy par l'inventeur ci ie : Cet- pareil, M. Jean Ors. estée et Emmené par l'aviateur. Lemoine, si eton- hauteur d'e- 2C0 mètres, l'inveiUbeu se d in- élancé hors de l'aéroplane ct est d< raité de doucement à terre. nanifes- La chute a duré 30 secondes, ion eu- ^ m l'ûnt Birmingham, 12. — On a. essayé, vit JZ rénssl'', de faire sauter l'ancienne ré ritotiS," de M- Ar£hur Chamberlain, qui est seulement par une rue étroite des nV nnr. dc la rés!aei»ce de M. Joseph Chami ' Le concierge a remai^-ibé, dans tiuée, un tuyau à gaz rempli de po muni d'une mèche qui avait été a mais qui s'était éteinte. avoirs Le concierge a également trouvé . lis hier lieux une carte postale que l'on croi ontrôle été déposée par les suffragettes et qi ,e céré- adressée au ministre de l'intérieur. Dnsulat carte affirme que le parti de l'actic issé en fragiste n'est pas mort. i habi- * arrivés On mande de Berlin au Temps : pacha de la princesse Guillaume de Bade < rir au trêmement grave. On .attend d'un m anie. à l'autre une issue fatale. ;ouver- * Vienne, 12. — Le prince royal de t et 14 est arrivé ici ce matin, venant de Sai rd du tersbourg. Il a déjeuné à la légati* Pots- Serbie et a visité la ville dans le cc ied la de la journée. •& Durazzo, 12. — Une grande affluer personnes attendait Essad Pacha et : légation qui se rendent auprès du \ . . ^ de Wied. 'nVi im' Essad Pacha a prononcé une alloc unioi. dans iaqueue i{ a Signai^ pimportan baie?t ce.i°ur- i Alec 1 arrivée du prince, a-t-il dit, ..'J;'. nience ipoiuir l'Albanie une ère de libe: H?; de i»*. : oz,.*' Il a terminé son allocution en cri: ... ^e" : « Vive notre souverain et vive l'Albanii GrJ ' Ce cri a été répété par la .foule. ! Une compagnie d'honneur, rangée s ru êtes ' ni^^j a rendu les honneurs à la délég. ît été ' 5011 embarquement. ri* I Essad Paolia; arrivera à Rome der 1 à 9 h. 35 du matin. iv^nar , ^ orcie- ^ Le préfet do Stroumif.z Xp dé ; 'égraphie que depuis quelque temps le: 3 an. ! torités serbes persécutent tous les pay b • suspecté d'avoir pri3 part ;ti mouve, ! révolutionnaire bulgare soin le réaime ^aiî-e ; Belgrade 12. — M. Venizelos a. été s • ' ' à la gare par l'aide de uamp du Roi. c(r::i- ! C{r înatin, 11 heures, il a été reçi iic*cè« audience solennelle par le Roi Pierre. :oïla- • ''*■ PacJW- a offert, à midi. 1111 déje es et ' °.n- ''*10**aeur du président du consei d dc 1 Ciè^c. ( us soir, à 8 heures, un grand dine: cont I ga^a sera également donné en son j neur. mII.-.p Venizelos répartira dans la se • er ] pour Athènes. suite i *J0 P^iïlC3 héritier de Grèce arriver, i soir ù Belgrade. Il sera reçu solenn l'es- j mont à la -are- ésirc i Atîlènes' l2- - La Nea Eviera affi ix et savoir, dc bonne source que le gcuve ment hellénique est à la veille d'acqu de puissantes unités navales destinée ; rendre la Grèce très puissante dans la i Egée. 1 i #■ n a i Rome, 12. — Les 9 bureaiu® de la Ch. plu- | hre ont élu ce matin les commissaires cl Laies 1 sés d'examiner le projet de priorité du : jus- nage civil sur le mariage religieux. 7 c ; en uidats ministériels, un membre d^e l'opp rem- i tion et un socialiste ont été! élus. >cia- j —— "ii ù fit" 1 ■ rues j S! LA TRAVERSEE oS: du rsioaî Blanc es Âéronla eurs iaux Ainsi que nous l'avons annoncé hier. ras- traversée du massif du Mont Blamic a nter ! accomplie par l'aviateur Pàrmelin, sur Les i monoplan français. , fa- i Parmalin prit son essor de Genève n et 1 h. 45 de l'après-midi, s'éleva à une t ion- grande hauteur et prit la direction du s est. Dur.s la soirée, la maison Le Rhône, d Parmo.'in pilotait un des moteurs, re vait une dépêche de l'aviateur lui sig s lant son atterrissage -à Aoste, c'est-à-d ;.ya- en territoire italien, de l'autre côté du m fou- sif du mont Blanc. Parmelin télégrapl ans qu'il avait survolé le mont Blanc (dont ont sommet est à l'altitude de 4.810 mètres: o.ov.O .mètres de hauteur. itar Voici quelques détails sur cet exploit ons traondinaire : Parmelin arriva le matin, vers 9 heur usé à l'aérodrome de Genève, accompagné Dm- son mécanicien Mahuet. On ouvrit le h: de gar et le monocoque apparut, prêt à p ans tir. L'aviateur donna un coup d'œil <à 3 lue moteur, pendant que le lieutenant-coloi ide Bo.el préparait le barographe, an- Le temps était radieux. De toutes pa les nouvelles atmosphériques parvenait exe jil en tes, sauf près de Turin, où le broi lard était assez fort. Une légère brume ce vra.it la région jusqu'à Aoste. ^ Parmelin se décida quand même à PJ — tir. Ii n vêtit son costume spécial, coiffa s 7$ casque, serra des mains, signa des car) L postales, puis montant dans le baquet l'appareil, il fixa là sa bouche le tube d'na gène pour la respiration artificielle et dc lu- na l'ordre du départ. le — Je n'irai peut-être pas jusqu'à Tur aujourd'hui, mais je franchirai le mo er- Blanc, avait-il dit. >ar Parmelin partit pendant que le coni un de L;:i:reiizajia, consul général d'Italie on Genève, dans un cri qui trouva son, éci dans toutes les poitrines, clamait : on — Vive l'aviation suisse ! :ie- 3ts L'arrivée à Aoste l'à A son atterrissage près cl'Aoste, Para] 1er nn dedlara : mS . ~ Jc. dois avouer avant tout que je dc ie succès cl aujourd'hui aux qualités de me aéroplane et au fonctionnement réguJi. ^s- du moteur, puisque les conditions dans le m- quelles j'ai effectué mon vol n'ont pas é très favorables. » J'ai quitté l'aérodrome de Genève ià ui 10- heure et demie très mwisn gets de- j ment vers les crêtes du mont Blai mine en j voyais scintiller dans le lointair îat vou- j'arrivai à Bonne ville, à environ en évi- mètres de Genève, le moteur com nt com- avoir des « ratés », et il me donne nce et, souci. Lie commençai à douter du sultat de mon entreprise. Pourtai glai immédiatement la tcarburati lors, mon vol continua régulière] e para- » Décidé à jouer le tout pour le à l'aé- pris immédiatement de la hautei 'un ajp- volai au-dessus de la vallée de VA qu à Sallancihes. J'entrai ensuite à une vallée de Biohnaz. Je rasai là gaucl r s'est du Dôme. «cendu » J'avuis déjà atteint 5.350 mètres teur. Ainsi je pouvais franchir la du mont Flanc. >' Il était deux heures quand j{ sans \ entre la coupole du mont Blanc et 1 sidence Amédce. séparée . » J'atteigriis ainsi 1» versant itali lardms dey^vdii à .1.003 mètres. Je pas ff?1 Couiciaivur et sur le mont Chétil", à a ma- à la hauteur de 3.000 mètres. jdre et Je continuai alors mon voyaffe lumee, dnection du mont Cormet ; puis <ji les flancs de la vallée Buitor. sur les . » Mais à peine éiais-je airivé à . avou de la vallée Nuve, que je vis se 1 r*deV=l!!'- m°i un épais rideau de br< , me cachait les montagnes sur i n sut- eapaco de la vallée. " Je compris alors que le brouill; T,,, . «ouvrait tou-: le versant italien m'er Letat ra;t de reconnaître ma route et que faii le ristJ1lC briser mon apparf ornent tre le ■. montagnes. » P'?ur éviter ce dainger, je me d'à ^ atterrir. Je descendis en spirales seinie cent mètres du soi, cherchant avec i nt-i e- dans la vallée boisée d'Aoste où trou espace libre. Mais au dc-là d'Aoste la niant se resserrait et le terrain était de r plus accidenté. , " Je dus alors remonter vers Aost ce ue troiOTer une plaine un peu plus la a de- prendre terre. innce „ Apès une longue série de vols pla ,. découvris finalement une vaste prai - S» Je Pus descendre sans mal, sauf ui -e ae accident causé par uni fossé sur leqi ?'oues sursautèrent. L'hélice, heurte a>m- terre, se brisa. » ■te et Parmelin déclara eniin <ru'ià 5.300 n . 1° thermomètre était descendu à 32' a int . sous ^0 zéro. ' ■ " Parmelin est Suisse. Il est né à C cn 188>i. Il a diétbuté dans le sport pa: t;,m tomobile. II se mit A l'aviation en 1£ apprit à l'aérodrome de Champagne nin l3rcvet <i-' pilote en sept. "1", 19U. Il devint instructeur et forma à Deperdussin plus de cent élèves. i té- ï. es vol? au-dossue tîes mcrjta. ; au- Il est intéressant de rappeler le ne sans ceuy. qiui n'ont roas craint ri'évoluer a nerit sus des montagnes avant Parmelin turc. Le premier fut le regretté Géo Cl le 53 septembre l:',10, -frar.cbiss. alué j Sraplcm (2.M9 mèirrs) et volait de 13 ■ Domodossola. Hélas! à I'atterrissa i en : capotait. On ie relevait aussitôt ; son | ne semblait pas devoir mettre ses jou tiner : danger, mais le pauvre héros tapirait ! de tlam le 27 septembre. En 1911, dans Paris-Madrid, Jule< .■ de ormes passait le difficile défilé de la lion- darrama, dans les Pyrénées. I! fallait attendre alors 1913 : en irée jours, deux des plus beaux vols de 1' tion étaient réalisés. Le 21 janviei t ce Suisse Oskar Bider traversait les Pyr elle- dans leur plus grande largeur, monta.m <;u a 3.E00 mètres, et survolant le nie sau, le Balaïtous (3.115 mètres) Le Ii rme j B.'elovucic renouvelait l'exploi me- j Cluavez. éi'ir .Brindejonc des Moulinais passait les i à renées et Marc Paurpe, en Indochine mer ohusait la périlleuse et longue chaîn Cai-Khin. Enfin, Bider, le 13 mai, se signala 1111- nouveau par la traversée d'e* Alpes W» do, ,îerne à Sion, par le massi na- Luçerland, se maintenant pendant 80 an- mètres à 3.200 mètres de hauteur. »si- Ces raids furent longuement admirés cuit tour à tour, mais comme ils seml ™ modestes à côté de l'exploit de Parmi Jî/ii cependant, la comparaison e^t la n que lorsqu'on met vis-à-vis la traversé la Manche par Blériot et celle de la A 'Çrramee par Garros. Les prouesse- vm En Belgique rès —«8~6>-Qto- 3nt ^'*ntarpoHation Brunet ce. Le débat sur l'interpellation Brunet la- prendra mardi et le Journal du Congo ire p°nce que le ministre des colonies pren as. la parole au début de la séance, lia Ve premier inscrit est, après M. Ren; *e ^r.0^ Quand ça lui convi à . • , fbbaut. Mais il semble qu'il serait te, légitime, rationnel de donner la âx- e ^ un membre de la gauche, à M F Hymans, par exemple, qui ferait jus es, du discours de M. Van Cauwelaert. ja Leja ses interruptions ont répondu in- ' attaques du député d'Anvers inciimin ir_ odieusement .'{joute la magistrature c< ni aie. on . Mais il est évident que quelques ripo; iej à un discours de trois heures sont insi santés et que le pays serait heureux >ts v°ii' le leader libéral faire justice de nt ^:se anarchiste de M. Van Cauwelaert, il. Qne penser des droitiers qui l'ont m Plnueli ! Que diront-ils, en effet, comm< fait remarquer un confrère, le jour où Lr_ socialistes, cédant a leur vieille habita m accuseront la magistrature Lelge d'C es mie magistrature de classe ? E\t que rép [|e dront-ils si l'on applique à la magistrat ,. de la mère-patrie les mêmes procédés < J" M. Van Cauwelaert applique à la ma; trature de la colonie ? in Des hommes qui ont participé à l'ceu coloniale affiiTnent ejue le eliscours du l>uté clérical d'Anvers produira en Afri< (e plus triste impression et qu'il aura i ^ me un effet démoralisateur. io Ilots bilingues Mardi et mercredi le clan Nobels et clan Delbeke ont donc négocié à la Cha bre pour trouver sur le dos des Wallons des amis de la langue française une f mule d'entente. Ils y sont parvenus et. elle est soum is aux délibérations du gouvernement, •n La langue maternelle restera la lang iv véhiculaire. s- Mais sera-t-elle uniquement détermii té par la région ? Les fkimingants l'exige Llle devrait l'être au contraire par ie milieu familial afin de garantir la libe fc que je ront-ils instruits en flamand ou . Quand çais ? On peut remplacer le non 20 kilo- métropole par celui de n'importe mença à commune flamande. Les flamingant quelque dent affirmativement. lion ré- Mais ils veulent bien concéder e it, je ré- bilingues, l'agglomération bruxel! on. Dès aux confins des frontières linguist: lient. Voilà qqi ne saurait suffire..-, tout, je Que des Liégeois s'installent à' i îr et je les voyez-vous condamnés à voir le rve jus- fants recevoir leurs leçons en flam dans la Ce qu'il faut assurer au second vo ie le pic la liberté du choix des pères de fa Les flamands en pays wallon m de hau- ront-ils en user largement ? Leur r chaîne est simple ; ils n'y tiennent pas. C'és ont des sentiments très différents < nassai ^res- Sur le sol flamand nous ent p r ouis parler notre langue et nous voulo nos enfants soient instruits en fn m et je ^°ur les Wallons toute la question e >ai sur A Tournai 2 h. 35, Au pOll de la fédération libérale d rondissement de Tournai, M. Paul dans la Janson a été proclamé premier ca : suivis effectif, à plus de cent voix de ma Les partisans de M. Roger demt l'entrée que celui-ci figure sur la liste li dresser comme troisième effectif et premiei millard pléant et ils réclament pour lui le m long d'obtenir des votes de préférence. De son côté M. Janson pourrait y. i.rd qui recours. ipêclie- En un mot ils préconisent le vote je couh du nom du candidat favori et non :il con- la case de tête. Rien de plus dang Des erreurs se produiront dont les ridai à eaux seront seuls à tirer profit, usqu'à Pourquoi M. Roger ne se contente mxiéte pas de la première suppléance et 1 ver un troisième place comme effectif. vallée Les poils sont faits pour être resp lus en sinon c'est l'indiscipline, la desaffecti la défaite. ;.i°Uï L0 Sériât ® On affirme que le Sénat sera con nés ie pour le mardi 3 mars et qu'il s occ rie où du P™îet scolaire dont il entend fairi i ifrcrft analyse développée. o1 les On est persuadé qu'il siégera au r nt H pendant deux mois, prouvant, en déç gouvernement et de la Droite, toute so: 1 êtres, Mé. u-des- Le toxto du pro je L sco<a3r< .enAvp Le texte adopté par la Chambre au . rnn mier vote vient d'être distribué. Voici ii .il ticle lo bis relatif aux langues qui où il soumis tout particulièrement aux deli. »m-hrp tl°ns ^ nos honorables : " 4','^ Dans toutes les écoles communales, e iées ou adaptables, la langue mater est la langue véhiculaire aux divers eu îTirses de l'enseignement primaire, m de Des dérogations partielles peuvent i-des- autorisées, notamment dans l'agglon tion bruxelloise et dans ^es commune: .avez, lingues. » lit le Le débat commencera mercredi. EP® Loc recherches relatives êeA 1 au cars r La section centrale du budget du m * 1ère de l'intérieur avait demandé au vernement s'il n'y avait pas lieu el'augr V(s ter le crédit de 25.C00 îrancs pour les ^ua" cherches expérimentales relatives au u cer. dAiiv Voici sa réponse : avK (< ^,est sur la ProPositi°n ele la C . | " mission du cancer qu'un crédit de francs a été inscrit au projet de budge în«! l'exercice 1914, en vue d'encourager études sur le cancer, dans des condit: mdS spécifiées par la Commission précitée ' \ sous le contrôle de celle-ci. ^ A l'heure actuelle, ot alors qu'il n'a p r encore été fait usag,e ele ce crédit, il .1 y" rait prématuré de dire mie le chiffre ] ra^" posé , par la Commission sera insuffn 2 <Ie pour satisfaire aux demandes de sub1 . ^ tions qui seront agréées par elle. p _ La Commission a fait des propositi t501'" pour régler l'octroi de ces subventions. j oe attendant le vote du crédit par les Ch; Kilo- })res, le .Département n'a pui se pronor , à leur égard. » cha- ►lent 'Les denrées alimentaires ilin ! L'inspection de la fabrication et du c< ême merce des denrées alimentaires compn î de un inspecteur général qui a la haute s 'édi- veillance du service et douze inspecte it si dont trois <pour le Brabamt, deux pour mps Hainaut, et un pour chacune des aut léri- provinces. Ils sont secondés, en ce qui concerne vente et le débit des viandes, par les i pecteurs vétérinaires du Gouvernement, < sont au nombre de seize. ^ Ce service est-il suffisant ? ^ La section centrale, d'accord avec le pa a répondu négativement. Pourquoi la province de Liège n'aurî elle pas deux inspecteurs comme le H naut ? Il s'agit de lutter activement o re- tre la falsification des denrées aliment an^ res plus répandue qu'on, ne cron. Lo chemin do fer des Grands La cin, L'administration des chemins de fer t mt, Grands Lacs vient de mettre à l'étude ius- projet qui, s'il se réalise, sera gros de c< pa- séquences pour Kongolo. Il s'agit de rel aul Kindu là Albertville par une seule lig tice ininterrompue de chemin de fer. Le d( xièirne tronçon serait prolongé jusqu'à Ii iux halo, sur la rive gauche du Lualaba ; ant pont serait construit à Kabalo, et les d< no- xième et troisième tronçons n'en forn raient plus qu'un seul. »tes Si ce projet se réalisait, il ferait gagr un- un temps précieux aux voyageurs, et ] ue marchandises ne seraient plus exnosées des retards considérables par suite de l'i terruption du service fluvial. Mais Ko a?ô fLol,° Perdrait beaucoup de son important ■ ie Kabalo, par contre, deviendrait un grai ■les centre commercial d'où rayonneraient to i es voies ierrées. fluviales et terrestr tre dans les différentes directions du Con a conçoit que les populations attè m t At av<x' ime certaine impatience la c ii_0 cisioji à intervenir, le déplacement du ch. >1S- lieu de district à Kabalo devant avoir u: i:re ôl'0sse importance économique, dé- Le tir national [ue Voilà qui va faire plaisir aux tireurs li aê- geois. Après 'être resté muet pendant pi d un an, le Tir National rouvrira ses ne tes le 1er mai. I! pa rai t que. désormais, vu les dispos le tion m prises, les balles ne pourront pli m- aller se promener chez les voisins, les fov et tes de terre avant été remplacées par d buttes. de sable où elles s'enterreront • c.oncour? national aura donc lieu si ise vant le -programme coutumier en juin prochain et il faut espérer que de no veau les tireurs liégeois y remporteront < grands succès. tée at. Le service Ostende-Douvres Je Pondant le mois de janvier dernier, li malles de la liffne Ost.ftnHp-TinnA'roc- n.. m fran- • „ _ : que'ie *-a Propagande Libérale s répon- .federation des jeunes gardes liberales et progr'esfelstes °lse et . de l'Arrondissement de ques. LIEGE }and ^ ^ne r&mionj générale des délégués aura irs en- ,1 : 1 l'- vendredi, lo lévrier, à 7 3, t and. heures-très précises du soir, au local, place te, c'est ou Théâtre, 4 (1er étage, entrée par la mille. porte indépendante). î pour- Ordre .du jour : éponse }• Lecture du procès-verbal de la dernière t qu'ils 5 séance. les nô- i Election du président du Comité fé- mdons [ oeral pour l'exercice 1914. as que j . 3. Examen des rapports. annuels, pro- tnçais. ' jets de budget et demandes., ds* subsides st là 1 oc'S groupes fédérés pour l'exercice 1914. 4. Congrès de Pâques, à Namur. ,, Proposition en vue de faciliter aux mem- Pmtiô Si'oupes l'adhésion au dit con tinue grè3 , 5-n?°2?ri's des Jeunesses 'républicaines, ndent leS^£' ~8 févl"ier ct iler mars- 4 Paris, firnip Délesations. — Inscriptions. G- Organisation et réorganisation de di- ,i, ! i vei's : mesuii-eis à prendre, (Ii oit 7 Divers avoii- l'Importance de cet ordre du jour, la séance sera ouverte exactement à l'heure côté "xoa- daiia Les lI:^ç'5,u^s sont donc instamment priés preux e v<>ul011" bien se trouver au local, à l'heu. cléri- re eMcte- rait-il CANTON DE GPJVEGNEE' le la , ,1>e, Coniité fédéral des associations libéra es d'Angleur, Bressoux, Grivegnée et 3ctés, Japille, est convoqué pour le mardi 17 on et courant, à 8 heures. Local Hôtel de Namur, rue Grétry, S9. Ordre du jour a. Alliance entre les Associations lil>éràles zuquo d arrondissement. Examen de la question, ipera Eventuellement, décision à prendre. ; une y Projet de Fédération d'arrondissement. Exposé de l'état des négociations. loins , Elections législatives. Propagande dans it du ie camion. i uti- Vu l'importanoe exceptionnelle de l'or-poste ^0U'i'' ^°U,S *es légués seront à leuî ) — g-Tp- ^ S Chronique Locale .clopv * l,nD m ^elle LA JOURNEE ®1®s ,.}'Sn.(!-re'di m février, Me jour de Vannée, •St-Juhen. ' être Lever du soleil, 7.00, coucher, eia- Lever de la lune, 21.02, coucher, 8.01. EXPOSITIONS Salle du .<Journal de Liège». — De 10 a i et de 2 à G k.} exposition des œuvres de Marte Molitor, peintre, et de M E. ccr de Breemackcr, sculpteur, visible jusqu'au nis- 17 lévrier inclus. ?ou- A^i Cercle dos Beaux-Arts, boulevard de fien- la. bauvenière. — De 10 à 1 et de 2 à (; h re. exposition des œuvres de M. Lucien Frank, :an_ visible jusqu'au 19 février inclus. CONFERENCES Au Conservatoire. —. A S 112 heures, om- conférence par M. Roaid Amundseh, su-•WU jet .La découper turc du Pôle Sud. i n '/fi , Académique de l'Université — A les 6 1 j heures, conférence par M. A. Hou. ons garay sujet : L'alimentation rationnelle et des classes ouvrières. Ecole moyenne, rue Hazinelle. — A S 112 pas heures, conférence par M. Noël ; sujet : se- Nancy, La Porte d'Or, les Vosges. >r°" THEATRES on- ri®*?*" tiu Oymnase. — A 8 heures, L Anglais tel qu'on le parle et Lè Voleur ons u- ,viIlon do Plore- ~ ^ S h,, Titine est -j;1^ biz bQ,revue. im_ MU8ICS-HALLS ET CINEMAS eue .Cinéma Royal (Régina). — Music-Hall-cinéma. Spectacle permanent. Cinéma Pathé. — Tous les soirs à huit heures, cinématographe-, les jeudi et di->m- manche, matinée à 3 heures. md REUNIONS ET FETES DIVERSES V-I" , P^ais de Glace. — Patinage sur glace te « / » ? de U 4/2 a 18 de so <> ie 23 1/2 heures. r es Ia E phemer1de mi , ^e ?0ic* donc cet homme qui nous vient iUi des glaces éternelles. Il ne sera pas vêtu de fourrures, il n'aura pas ses raquettes de bois aux pieds ni son ' traîneau tiré par des chiens maigres ; et il Lit- nous faudra pousser un peu pour nous ai- ]ma0'incr ce conférencier marchant dans les images qu'il nous montrera. ." Il est toujours décevant de voir hom.-j me qui vécut un drame. qui traversa des pays étranges, et dont rien ne se décou-vrt en lui de tout cela. Nous voudrions les ^au ret°ur d'un beau voyage, au sortir un 7 l.Lne 'Jrande joie, de la gloire, de la vie-m- ?}r.e. ou douleur, quelque chose nous er distinguât parmi la norme de nos contem. ne porains. ;u_ Il est pénible quand on est Gabriele d'An-a- de ?'avoil' Vas une étoile entre les m ourcils et de ressembler à un simple cali- 'u" SJ i î°-lt tre Vénible pour un e tmnclit de Pégomas d'avoir une bonne tète de paysan paisible. er Les artistes romantiques le comprirent. es P11 mYCnl beaucoup de leur art dans à .s cheveux et dans leur barbe ; les relu n gieux aussi, qui mettent leur caractère sa-n_ cre dans leur robe, da?is leur tonsure et :e dans la composition des traits de leur visa-îd 9e.; le parvenu aussi, qui étale ses vingt-u_ mille Panes de rente sur son gilet, avec eg sa grosse chaîne de montre, et sur sa cra-() vate, avec sa grosse épingle. n- Mais il u a bien plus de g cm qui n'ont é- Vf!1 fait vaille et cependant semblent •f. cJ,r'1 quelqu un, des gens qui ont Vair ie ï aV0lr «s$assiné la moitié du monde, ou dc I avoir conquise par leur bravoure • des gens qui devraient être Amundsen 'pane qu ils semblent revenus du pôle et ne sont e- j cependant revenus dc nulle part. |.S ? Compère Guilleri. t v°wdredJ 1 3 r _ Surtout, ne vous le-,s vez pas ! I: ,AVoVs l\$ez votre journal, paresseusement 'b étendu dans votre lit. Eh bien, restez-y ..es pires catastrophes vous attendent de-fç hors. - Si vous sortez, une tuile vous tombera - sur la tôte Si vous entreprenez une affai-le re, e.lc: echouera. Si vous montez dans le tram, il se jettera sur un autre. Restez chez vous à ne rien faire : c'est aujourdhui vendredi treize ! ■s Sans doute, on se défend d'être supersti-

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire gehört zu der Kategorie Liberale pers, veröffentlicht in Anvers von 1832 bis 1940.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Zufügen an Sammlung

Ort

Themen

Zeiträume