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JOURNAL
des
METALLURGISTES BELGES
1 1"^ • ^ • Pays de Charleroi. vive Nameurpotôt. de Konmeres et environs
PRÉCIEUX ENCOURAGEMENT
Monseigneur Gibier, l'éminent Evêque de Versailles, qui nous a déjà donné tant de marques de sympathie, vient de nous en donner une nouvelle en nous écrivant la lettre suivante:
Si nous publions cette lettre, ce n'est point certes pour étaler les éloges immérités qu'elle contient mais bien pour montrer à nos compatriotes l'attention bienveillante que nous témoigne Monseigneur de Versailles. A peine remis d'une grave maladie, Monseigneur pense à nous, il daigne nous écrire une
Nos enfants dans la aoxxr de l'éoole.
Evêché de Versailles, le 7 octobre 1917. Versailles. Mon cher Ami, Je viens de recevoir le n° 5 du « Journal des Métallurgistes belges » de Bonnières et environs. Je veux vous remercier et vous féliciter encore une fois du bien que vous faites à vos compatriotes et de l'exemple que vous donnez au clergé et aux catholiques français. Je vous envoie ma très affectueuse bénédiction à vous, à vos Ecoles, à votre Journal, à vos œuvres, à votre chère paroisse belge. Votre séjour à Bonnières sera une semence c'e résurrection pour toute cette région si déshéritée au point de vue religieux. Cordialement vôtre en N. S. y Charles, Évoque de Versailles.
lettre touchante, nous envoyer sa paternelle bénédiction.Nous avions été alarmés du danger qu'a couru la santé de Monseigneur. De tout notre cœur nous avons prié pour sa guérison; aujourd'hui, nous apprenons son rétablissement, nous nous en réjouissons et nous en remercions Dieu. Daigne le Seigneur conserver à Monseigneur cette force et cette santé qu'il dépense sans compter au service de l'Eglise et pour le bien des âmes. Nous sommes loin, hélas, de mériter les louanges que, dans son bon cœur, Monseigneur nous décerne. Pauvres exilés, nous sommes néanmoins sensibles à la confiance que nous témoigne un des plus éminents évêques de France. Puissions-nous nous en montrer dignes; c'est ce que, dans ces lignes, nous voulons demander à nos chers compatriotes.
Publication autorisée par l'autorité militaire.
OCTOBRE 1917.
N° 6
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