L'étoile belge

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s.n. 1914, 13 April. L'étoile belge. Konsultiert 23 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/8c9r20t524/
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Lundi 13 et mardi 14 avril 1914 aioiee, TW 103-104 Baromètre du 14 avril 5 hearea PRIX DE L'ABONNEMENT : POÜR BRÜXELLES : Un an : 1» fr.; 6 mois, fr. «.5©; 3 mois, fr. 3.5© POUR LA PROVINCE : Un an : flO fr.; 6 mois, fr. 8.5©; 3 mois, 5 fr, BUREAUX : rue des Sables, 13, ouverts de 9 a 16 h. Kn province ilsuffitde remettre leprUode l'abonnemeni au facteur Edition Cl France,A ngleterre, Allemagne et l ef„ ] par trimestre tous pays de l'Union postale, l3irM payable d'avanee mandat-poste Hoilande, 7 fr, —- Grand-Duché. Q numero ANNONCES j 45 c»» la ligne; minimum 4 fignes, fr. 1.60, Les annonces remises avant 2 he a res a i'Office de Publicity 36, rue Nenve. parais3eau Ie soir inèuie. norm»* le 13.7*5 vei'lle,17 »3 nuit,7«9 a 8 b., 765 om4 prles24k., 0»«0 de midi 19«7 7340U&9 hum.absol.l. n9 'faible, varia lS^öJ'tJ pour-Ie 14 avril Lune: lever, ^»h, * coucher, 6 li. 24 Temper, may» Maximum de la Minimum clela Baromèt., !e 13, Qaantité d'eau de 8 a 8 h"s, Observations Temperature^ Baroiaècre, H-umid;té(L0O= Vent dominan Déelin. magn. Ephémérides Soleil: lever, 4 h. 58 coucher, 18 h.:j4 Previsions de l'Insticut météorolog.: Vent S.-E. a S. faible; beau. Service des nialles Ostende-Doavreg Etat de la mer, le 14, a 4 heures : calme. ANQLETERR6 Un congres des P. T. T. La première conférence annuelle des associations des commas des postes et télégraphes s'est ouverte lundi a Londres. 310 délêg-ués représentant environ 20,000 employés assistent a la conférence, dont les travaux se termineront jeudó. Le congres du parti travailliste La conférence du parti indépendant travailliste, qui s'est tenue lundi a Bradford, a decide d'imposer une contribution d'ur: shelling. a' chaque membre du parti. Le parti, -déclare-t-on, n'a pas d'argent pour üne election générale qui pourrait avoir lieu en juillet. La contribution-d'un shelling produira une somme totale de 1,500 livres sterling. La conférence a recu de l'étranger plusieurs télégrammes de sympathie. AUTRICHE-HONGRIE Une nouvelle entrevue entre Guillaume II et Frangois-Joseph LeNeues Tageblatt apprend de source diplomatique qu'il est fortement question d'une nouvelle entrevue entre les empereurs Guillaume et Francois-Joseph. II est probable que Guillaume II, après son séjoiur a Corfou, partira pour B.ucarest et de la se rendra a Budapest oü se trouvera Francois-Joseph a l'occasion de la reunion des delegations. L'archiduchéritier Francois-Ferdinand assisterait a" l'entirevue. Le journal relève la haute importance politique de la rencontre des souverains après les entretiens de Guillaume II avec les mis d'Italie, de Grèce et de Roumanie. Le mini&tre des affaires étrangères de Grèce, M. .Streit, apporterait dans une visite a Bucarest une clarté definitive dans* les rapports futurs de la Roumanie et de la Triplice. L'entrevue de MM. Berchtold et di San Giuliano Au sujet de l'entrevue de MM. Berchtold et di San Giuliano a Abbazia, le Deutsches Volkblatt croit savoir que ces ministres s'oocuperont surtout de l'accord austro-italien concerniant la Méditerranée car l'ltalie,, a la guite du déyeloppement de la puissance hellénique, a besoin de se' protéger davantage. ! La question albanaise sera aussi discutée en ce sens que, si on desire voir le jeune Etat maïtre de ses destinees, il s'agit également de le sous/traire a l'inflüence d'une tierce puissance. L'AuMeheHongrie exprimera aüs- i si le désir d'obtendr en Asie-Mineure une zone d'influence ooimmerciale au moment oü l'ltalie et l'Allemagne. négocaeront le. partage des ditjes zones* Il sera, enfin, question de l'irrédentisnie italien dans la monarchie, qui cepeudant a perdu de son acui'te- et qui ne'trotiblera pas "certaine- j ment l'iintimité toujours plus grande des ra.ppot de la Colombie britannique qui jusqu'ici ne pouvaient se déveloipper que tres lenternent, étant donné 1'absence de moyens de communication. L'ouvertuire du canal de Panama, en rap'prochant sensibiementla cóte est de l'Ajnérique par voie de nier, contribuera d'ailleurs non moins puissamment a leur essor óconomique. INDES ANGLABSES Trois officiers tués, deujpautres blessés A Peshawar, le ngmmé Ralisud, ordonnance du commandant Dedd, agent politique du Waziristan,- a blessê dimanche a coups de revolver le commandant Dodd ainsi qu'un autre officier. Il a tué ensuite trois autres officiers dont un appartenant' a 1'artillerie. Rahsud a été tué par la police. Encore un incendie On annonce de Bombay"' qu'un nouvel incendie a éclaté dans les déböts de ootons lundi aprèsmidi. Les compagnies d'assurances examinent la^tuatron. JAPON j Le nouveau président du conseil M. Okuma a accepte le poste de premier ministre. Voir plus Boin nos Dernières Nouvelles de la nuit. ^wvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvvw^vvvv^^ Les traeioits tattaünu Après les événements de Koritza (Corrcspondance particuliere de Z'Etoile BelgeI Les propos de M. Doumergue M. Venizelos, président dü conseil de Grèce, a -téaégraphié-.ati directeur-du journal Adeveral, a Bucarest, pour lui exprimer rimpression douloureusê qui a été causéeen Grèce par le. nuassacre des Roumains de Koritza. Il qualifie ees meurtres de folie ciriminelle de -la part d'individus irresp onsables. Arrangement gréco-serbe De notre correspondent de- Salonique : J'apprends de source grecque-' que le gouvernement hellénique a accordé a la Serbie les concessions suivantes dans le port de Salonique ; 1° La Grèce a cédé §an<? réserves dans la question de la convention des chemins de fer, conclue le U octobré 1890 entre l'Allem-agnie, l'Autriche, la :Framcei, la Belgique, la Hoilande, la Snéde, la Bulgarie, la Turquie et la Serbie; 2° Au. commerce serbe sont accordées toutes les facilités dont il jouissait dans le port de Salonique, en vertu de la convention signée le 10 octobre 1883 entre l'Autriche, ia Bulgarie, la Serbie et la Turquie, convention qui a été dénoncée deux ans avant la guerre turco-balkanique■; 3° Cession d'une pai-tfe du port qui sera affectée, aux besoins dé commerce d'importation et d'exportation serbes; 4° Exemption pour lè transit serbe de Quelle bourrasque, grands dieux! Et quelle joie pour quatre ou cinq papiers de se pouvoir donner la satisfaction d'un démenti k YEtoile beige. J'ai déja subi, au cours d'une carrière assez accidentée, quelques dementis officiels, düment officiels. Je n'en ressens aucune amertume, sachant jouer a l'oecasion le röle du parapluie de M. Thiers, du parapluie sur lequel il a beaucoup plu. Et je m'amuse infiniment, de ce fait : de louches potentats de p'resse, voulant posseder Paris, l'opinion frangaise, et poussant les hauts cris dès' qu'on les avertit obligeamment de leur impudssancë réeJilé: Un imbecile de- Montpellier et un rastadu faubourg Montmartre injurient.le correspondant de YEtoile.^ Que le démenti deDoumergue les satisfasse! Quel métier,terriblement dur quand la vérité doit êtredite 1Louis 'Maurice. {CoTrespondance particuliere de Z'Etoile BelgbJ Longwy, 13 avriL Pour les Belges de la frontière II y a tout lieu d'espérer que le resultat des démarches faites a Paris par la legation de Belgique — a la suite des articles de VEtoile beige et de la question posée au ministre des affaires étrangères par MM. Lorand et Ozeray — sera favorable aux cultivateurs et marchands beiges de la fronttere, appeJés en France par leurs interets. Dans certaines communes francaises lesautorités prétendaient obliger a |accomplir les formaLités, exigées par la loi du 16 juillet 1912, faite surtout contre les nomades, non seulement les Belges auxqueJs s'appliquaient les cas signalés par YEtoile, mais même des cultivateurs et détaiilanits francais. Le maire de Longwy, ému de la situation faite a certains de ses administrés, en a saisi le ministère de l'intérieur, lequel vient de donner son avis en ces termos : « Les cultivateurs qui se rendent dans les foires et marches pour écouler le produit de leurs exploitations ou leurs récoltes (chevaux, bestiaux, velailles, oeufs, fromages, beurres, grains, fruits, legumes, etc.) ne font pas, en la circonstance, « aote de commerce » dans le sens de 1'article 632 du code de commerce. Par suite, ils ne rentrent pas dans la categorie des marchands ambulants vises par Tarti-del de la loi du 16 juillet 1912. » Les bouchers, boulangers, charcutiers, laitters. épiciers, etc. qui vont journellemenit, dians les localités voi&ines de leur residence, livrer leurs denrées a leurs clients, ne doivent pas non plus être considérés comme marchands ambulants. » Voila qui est net. Les cultivateurs beiges rentrent exactemént dans la categorie citée au premier paragraphe. Et comone la loi du 16 juillet 1912 n'a nullement eu pour objectif la defense du commerce, de 1'industrie ou de la culture f rancais, mais siimplement la protection des campagnes contre 1'invasion des nomades, la plupart du temps gens de moralité suspecte, il devient évident que les Beiges dont il s'agit se verront appliquer cette loi comme les Francais. ALLEMAGNE (Correspondente particuliere de Z'Etoile BelgeJ Berlin," samedi. ROTES 6ERLINOISES Richard Strauss, danseur Cétait' Tautre jour, a une repetition privée, secrète, de la nouvelle ceuvre de Richard Strauss. Il y avait la quelques personnes, tres .peu, seulement celles dont la presence était nécessaire. Le maïtre est au piano et joue sur sa partition manus-orite, sa Légende de Joseph. Autour de lui, son 'ibrettiste, son éditeur, quelques danseurs russes pales et interessants, vautrés sur des fauteuils. Arrive le (passage essentiel, 1'entrée de Joseph dans la salie du banquet de Puti-phar. Joseph, c'est M. Miasine, le Nijins-ki de domain, qui doit créër ce role a Paris au mois de mai. Mais M. Strauss ne sait pas le russe, et Miasine n'entend pas la langue aüemande. Le compositeur explique ses intentions, que sa musique d'ailleurs rend claires. Mais M. Miasine n'entend pas non plus la musique allemande et celle de Richard Strauss n'est pas tres facile a comprendre. On s'énerve. Des tentatives sont faites pour traduire la pensee du musieien dans la langue de Tcftsftoï. Miasine demeure stupide et rêve a autre chose. Point d'orgue. Aloirs on vit ceci. Richard Strauss, long, maigre, interminable corps surmon-té id'une tête fiévreuise et comme en feu, se dresse violemment de devant le piano, et rapède comme Mademoiselle Cerny elle-même, gagne le milieu de la scène. D'un geste bref, il öte sa jaquettè" et la. lance dédaigneusement sur un fauteuil. Le voile, en bras de chemise. Oscar Fried se met au piano ; il rejoue le passage. Et Strauss le danse. Il le darise a ravir, non que ses pas soient irréprochablement ciliassiques, non qu'il pusse faire sur des chaussures américaines des pointes di-gnes de Vestris, mais il danse exactemént ce qu'il a voulu. Et c'est tres bien. Nous n'avons plus devant nous le grand compositeur qu'on a appelé injustement, mais drólement, le «musicien de Saver-ne » ; nous avons devant nous, a peu de chose pres, le Joseph de la légende, le pur, le oaime, le chaste Joseph, beau-frère, par le cceur, de Parsifal... ... Les danseurs russes se sont reveilles, lis avaient trouvé leur maïtre. Et lorsque Strauss se rassit, fatigué et s'é-pongeant, on applaudit avec rage. Il dit, modeste : « C'est mon début. » C'en est un qui nromet. Trois mille mark qui tombent Avez-vous envie de gagner trois mille mark. Si oui, mettez-vous a .l'ouvrage. •L'Association des comédiens aHemands vient, en effet, de fonder un prix de trois mille mark qui sera payé a qui éerira dans un temps donné un roman peignant la vie de theatre en Allemagne sous ses couleürs épouvantaMes. Pourquoi, direz-vous, pourquoi fairece roman? Parce qu'il faut déoöurager la jeunesse qui se rue — l'insensée! — vers lacarrière dramatique. Il y a trop d'acteurset trop de comédiennes. On ne sait plusoü les mettre, et ils se mettent d'eux-mê-mes et d'edles-mêmes sur le pavé. L,a situation de l'industrie theatrale en ce moment, est navrante dans tout l'empire. Cesont è. chaque instant des faillites, desbanqueroutes, des krachs. ImpossiWe,souvent, de payer même les salaires de famine que 1 on aceorde a presque toiisles emplois. Et cependant, les conservatoires regorgent d'étoiles futures ; les profeste urs de diction et de declamation font fortune a force d'enseigner a Sea jeunes gens comment on déclame les adieux de la Pucelle d'Orleans ou le monologue des Piccolomini. Ce sont pour lai plupart des candidate a la misère ou a la prostitution. L'Association des acteurs allemands trouve eet état de choses alar-mant et veut au moyen d'un rqman «vrai» dégoüter la jeunesse, du theatre.. Ce livre qu'elle appelle de ses vceux sera publié a un prix populaire, de facon a ce qu'il fasse bien office de propagande. Et plus il dégoütera de gens mieux célas vaudra. Seulement, qui esft-ce qui lira un roman de theatre qui, contrairement a la' oroyance populaire, montrera que le m§-' tier d'acteur est un enfer ? Personne sans doute. Mads cela n'empeche pas Foffra d"être interessante. Voulez-vous gagner trois mille mark? Décidez-vous! Impöts Nous commencons p6t de guerre — l'impöt sur la fortune—* va coulter aux grands millionnaires aüè<< mands. Plutöt cher. Mme Krupp, la proprietaire et la direct trice des ateliers d'Essen, et j qui pass? pour la personne la plus riche d'Alleman gne, payera 10 millions d'impöt de guerre, sans prejudice du reste qu'elle paye tou^ les ans. Le prince Hemekel von Don(ners< marck payera 5 milI lions, le grand-due-d« Mecklembourg-Strelitz, trois millions, et le prince de Tour et Taxis pres de deux. L'empereur, lui, payera exactemént cinq millions de francs... II esit vrai que pour Mme Krupp, il n$s'agit ici que d'une sortie de fonds men mentanée, puisque l'impót de guerre. ser«'vira en partie a acheter des canons dhe^Krupp même. Mais c'est égal, dix mil*lions, c'est dur...X* - ■««» ITALIË ifiorrespondance particuliere de TEtoile Bklgej Rome, 10 avril. Les « ferrovieri » et la erise sociale qu'ils ont déchainéQ Depuis une quinzadne de jours, Torga* nisme social traverse une crise grave, eij Italië. Toutes les corporations fédéréej ou syndiquees sont en ' fermen.'tation. Le< ferrovieri ou agents des chemins ;de for onj donné le branie. L'agitation-de-, ces den niers n'est pas nouvelle. Elle remonte, éiiu tant dire, a 'l'épöquè même oü l'Etat ra< cheta les chemins de fer, soit a l'ann;éi 1905. Dès cette époque, les ferrovieri afti. chèrent la volonté de s'org'aniser pour ol> tenir de l'Etat patron des 'amelioration* matérielles et morales auxquelles ils esti< me^t avoir droit. M. Alexandre Fortis, alors j* président du conseil, - crut avoi? trouvé le moyen de dompter ces' velléjAéj d'i-njdépendance. en -faisant. voter une loj qua assimilait les ferrovieri a des fonctión^ naires publics, qualité qui'les privait dtt droit d'associationet de grèwe, du moinst théoriquement. Les- ferrovieri n'en poursuivirent pai moins leur organisation. Avec le temps, celie-ci paraït être devenue puissante. Ella comprenxi trois groupements. Le premie» est le Synddcat des ferrovieri, dont le comité central reside a Ancöne; il compte-rait plus de 60,000 adherents, acq.uis au?i principes révolutionnaires du syndicalisme. Le second groupement est la Fédé% ration des ferrovieri, dont le comité cenv tral est a .Milan; ses adherents sont au. nombre de 30,000; son programme est iden-tique a celui du syndicat, avec cette diffé-rence essentielle què la Federation, affi-liée au parti socialiste réformiste, próhï l'emploi de moyens légiaux, tandis que le Syndicat est pour Taction directe. Le trol-* sième groupement, sans importance numé. rique, est la Federation eatholique des /#/--rovieri; son comité central est a Padona et les quelques centaines d'adhérents qu'il représente n'ont évidemment pas voix au chapitre dans le conflit actuel. L'origine lointaine de ce conflit est la vote ;de la loi Fortis contre laquelle les ferrovieri ont toujours protesté et qu'ils m sent a faire abolir. Les causes plus dilutes sont les griefs accumulós au couïts des dernières années; les ferrovieri en oht dressé un mémoire qu'ils présentaierit, l'an dernier, a M. Sacclii, minfetrè radical des travaux publics dans Ie cabinet Giolitti. On s'étonnera peut-êfcre qu'un ministry ait consenti a recevoir -pareil documonU émanant d'organisations illégales — puisque les fonctionnaires que sont les ferro-vieri ne peuvent s'associer de f agon- vala-ble. Cet étonnement cessera quand j'aurai dit que le document fut remis a M. SaöchU, non pas au nom de la Federation et du Syndicat, qui l'avaient rédigé en commuh, mais par des délégués de ces deux groupements se présentant comme délégués des différentes categories du personnel admi-nistrativement reconnues. VoüLa -un exeaaa-ple de plus de ces ingénieuses combinazioni a l'aide desquelles les Itaiiens saven-J; si Lien tourner les-difficultés, én politique italienne comime en politique étr'angère... Quoi qu'il en soit, M. Sacchi promit aux délégués du personnel d'examiner attentt- ' vement leurs desiderata et il leur demand»-un délai d'un an, délaique la Federation et le Syndicat décidèrent d'accorder. Ge délai expire le 15 du courant. Dans l'inter-valle, M. Sacchi a quitte le pouvoir avec M. Giolitti, comme on sait. C'est done au cabinet Salandra et, plus particuliere-ment, ó, M. Ciuffelli, successeur de M. Sac--cihi-, que les ferrovieri s'adressent aujout-d'hui pour réclamer la réponse promise. ■ Cette reclamation a été foraiulée officiellemen- — toujours sous le couvert de la combinazione signalée plus haut — par les délégués de la Federation. M. Ciuffelli les a recus comme représentants des categories. Il leur a répété les declarations f aütes publiquement a la cliaimbre, la semaine dernière, par M.. Salandra : a savoir que le gouvernement ne pouvadt disposer, vu l'état actuel des finances, de plus de 15 millions par an en leur faveur. Or, lea

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