La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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s.n. 1916, 08 Oktober. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Konsultiert 22 Juni 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/xd0qr4q989/8
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iiiwraiw v v »>7IW uwuiuiaij — Xjî? J.V LtXULtïJL <J S XKJ \Jf3JJ bUJJ. O Mil Il C©. FR1X DES ABONNEMENTS AnimiiQT*atihisi D^ArxinM rertK* annonces . • • • s t la ligue, fr. 0.50 —————— A0?.îlNlSl RATION El REDACTION I!(k:lame avant l©s a&nor ces , « *-« 1.25 8 mois (oct., nov., die.), fr. 6.93 | 2 mois (oot., nov.), 4.00 11 mois (ost.), 2.30 Si, Montagne-a.ux-IIerbes-F>ota.gèx-G3, JBFiU~^ELLE3 PRIX DES AKNCNCES Corp» da journal — 5.00 Les demande» tf-.boV.ncm.nt .ont reçue» BUREAUX , DE 9 * 1T HEURES ' ' Tait? diver» — 3.78 EXCLUSIVEMENT Nécrologie ........ « »-i 2.50 .u> auleh.t, de» bure.ux d. po.t.. JoS- MORESSEÊ, DIRECTEUR Coin da3 Eleveurs « i.00 Aujourd'hui • HUIT pages. [J GUERRE 7S7° jour do guerre — Dana notre bilan do la 6©aiaine éoouléo, UOdo 11'il vous gUClti (i© IQOCbliCaUOUâ a «11-ivgtu& »uf lo iront cite La fcoimne. Ce n osi [Xls que les attaques» des troupes et françaises aient eue moins énoijgiques, mai», outre que leur effort a été e^U-u^é par le mauvais ternes, U stin-|>le que la résistance (les Allemands soit eio.uiiuw plus up-au* ejit'de à la cî un ruj>i\>iot>Jit>Mi de leur arkliuiio. Au surplus, il ue laudjait pus inférer de la loculiSAtiou des hosiiiat's qui eu est reoultée que l'offensive des Allie© 6oit à la veiLe cic l© ralentir : il est plutôt à prévoir qu'ils poursuivront cutte oflensive avec la iikJuki éu<*rgie. Toutefois, ou la croit do mon« un ciouts susceptible eue provoque* de» ivaml-tafcs l'immédiats. Mùme piiueieura organe© rifiua de la pavs^e d© l'Luteate sont d'avis qu il faudra se dbeLarer satisfait si elle continue — ot ils douent qu'elle continuera — à progresser .luntcmeut mots sûrement Lo général Y eriaux nouuamant d f ml eofete optfiMrëï dans le journal „L/Œuvre' du septembre. Nous uo consi.lieruns pus ses ooiich unions comme pcreuiptoire©, ut-îcudu que son rai^junemeiut ue Ueut nul Compte dii la qutM>ion, essentielle suâvtuit ÉorlW, du nooilire (Le millions d'homme» qu'il faudra 6aorifier pour mener à bout les opérations qu'il prévoit, bon raisonnement toutefois s'appiHe sur diverses attir-I muXi«*ri6- dordre technique qui îtuidend Sou artic4e întcr-etisani et digue assurément cl tire pris en considération : — Il y a trois mois, écrit le général V ere-auix, q,ue dure la bataille dans le retour de la Somme. Mesurons la di-tanee qui swpare les points de dopart de notre offensive de no© aettielles posiUous. Cotte distance est de : entre Anthu'ile et la crdie au nord die Tliiopval, 3 kilomètre; de lxi Boi-oSe à liaucourt, 9 kilomètres, do Var>-uoy à Lestxfiuàt*, 10 kilom, t es ; de JPn-3 court à Oueu<locourt, 12 Kilomètres. Prô nons le ch-miL-r de «^e» ciiiffre*, quj eM le plus fort. Une avance de 12 kilomètres, répartie sur trois mois, ropi-éseute une avance monsy<slle do 4 kilome.tivs. AdUnt-to*is uj'uiiitoiiaxil que cette avujicc va se i»nu&iawo ii.ierruption dans î"axe de l'ait kjuc, c'e^t-a-dne dans la h^ne AlL^rt Combles-Camiîirai-Valeiii'iennes. L'tt^hie «!o cas | rug7*"S futurs repreiieiitérait dam cotte i'inïction jusfu'à la frontière 70 kilomètr e, i'ouir atteindre la fix>iitière lielgw, il faudra àono que notre ai-môe comixiKe eaicoie dix-huit mois. Rien ne vient fortifier l'espoir quo cette progression pourri* ôtre pi us rapide, mais à. t*>ut le moiu9 nous avons Li OGiiàtudle qoie grâce a notre couiuge granuli et aus r<«.iliuts acquis en ce qui concerne la promotion du matéried, elle ne sera pas ralentie. Ccrtniirifl e-irôaçent la possilalité d'un0 mapït>e en avaut plus rapide. Je les en-tondh s*écrits* : „Attendiez que n«>u» ay«.iv^ lincé le résoa.u d«s positions solidisueat t'oi^-ttfioes : nous nous trouverons al.ws ponr aiii^i «lire ea rasa camj>a<;tie ©t la guerre de manoeuvre» connneiueiH l" Je ne dis p:is qw'il est impossible (juts leur prttlicLiini 63 réalisa, mais yi n'oublie pas que la* m.îmcs optimisjes duraient déjà la immo choso lorsque uoias eûmes pris \quati-o pramiei-s kilom^u-es. Or, aujourd'hui, no,«« en sommes au douzième, (lovant Les4ia.nif.s et Morv-al, et les Anglais affirment que <•< s djfi* povsitioiis constituent de véritable» c-iiti >-<ir truvre d organtisa tion d^'ensive. La vérité est qu'une compagnie peut, en une heure, crousâr une position de ti'au-ehées. En trois heuros, elle en fait une }position protégée par des fils de fer liar-helés et apte à l'organivition d'une dé-fo.'>se. Une. iiuif SuiPit poua* ore ser les niches d'un ^Ttwijie d« mitrailleuses et visser los pla/^:e> d'un abri li.ndé. Un blockhang & élève eu doux jour», et des niachim.» eacava.'rices oreu^ont en quelque© instants des t't/.tsés profonds alentour. Que si 1 ou ni»' dit que le bâtonnage et le blindage ca^ pabk-s d'assurer à l'arullerie unie prot.*>- " plu« 3ârio.ise demandent jtJus de tem^s, je rjpuulrai quo ce temp^ est le m iu.) pour 5 1 SirtiUgrie qui re^udo que pour celle qui avajice. ^ i'ans ers conditions, les travaus-des trou- , J°' hksiHUsb o3 mu des irouiœs as!.nillaja- ; s efteaiuant fâuii.âtancancnL il est al>- ( penser que la guerre do manam- t VjCs paisse 'tre soudaiu tt d'un &>,ul otmtp s.d4«'tj'© a la t^i^rro de pt^itiotis. Cette ! âuliKjthi&ion ne s'est mi'nie juls pivwjuiio eui liiws.e, où liis fortifications n'<tt-:ent ni i au««i rappi-ocMcs ni aussi puisscunes. En [an, après la IvituiLe de la Marne, les Al- | leffnaiidb ont rtussi à «Af.er eu une siauaine, c sur les terrains In* plus (iivors, de l (>i-o a lfii Meuse, sur l'Aisne, en Cha-mpn^ne, en Argoreie et en Pkutdrv, une ligii»; Se d»'* i fuwe impi'ûnahle. On dit, à la vérité, que i sur crtte ligne ils usent leurs (Jfe&ifs, m.tit i précisime-it c'est pour eux une raison rie l plus (1- renforcer encore et toujours leur» ouvres de offense." 1, Aljrs T... r — vlors, oomc'.uI le général Verra-ucc, nous 1 sommes dans ceH, alton,;1(]v„, ou rf'e^n,,- « ter I i itervenuon d uu hasard exti\ai>nlii>iii- r remeat heure,,,. ou Wctl ^ nous . •«rmdre .. » tour pour sftt,«faisante notre semelle ,«-o- r' gre-aon, progressron cvtn-„lnm<J,t u m:us d allure qmuu mattiAniatique." I Si les événements confident La manière J ce voir ,}„ g.'n<;ral Verrai,,, nous sonmios ioieore loin de ,«,.voir ,Mwev la fjD dfi8 f, hftrtluAs. Dansant plits lom. dirons-nous | qo 11 faut toujours comoter avec les retours 1 offensifs de l'adversaire. m • 9 • • k Sur le front austro-italien non plus, les t belngériung ne parviennent pas à soitir m a une m^xmmftble guerre de tranchées.mniR le eu jKrsistant <jue 1rs ftaliens entretien- ai cent depu-is cinq jours sur le Kaf«t fait n« erotre quMls 8e disposent H entreprendre, ru pwrr en -ortir, une nouvel'c tentative. 01 e mémo daus l'£6t, 0C1 les débute irré- ç. aBmxm ir—m rai1 it; nni n iii^^BB»a«oy^aBW»aapwi Rittiblas de leur offensive avaient permis am< > liuustses de mener vivemoat pendant quvlque9 ^emciinf* la guerre de maax uvre», on eu £>st revenu depuis un caitain temps (k'ja à la guerre de prêtions, qui s'y l<»c:>l'se à l'e\tréme en dâj>it de la violence et de la fréquence d<s aftaqu«s développées jtu: lea Russes en Voihyiuo et en Galicie. © Dans le sud-est d1© la Transylvanie, la reliée», traite de la deuxième arm*e roumaine s'est ou- accentuée à la suite de coin bais qui ont tourné ù l'avantage de l'armée von Falkecw rou- liayn. A l'est Ai la ligne t-kekely Krm-szUir-oius Kogaras, les lloumajuB ont été rejetés au t a delà de l'Hoinorod, de l'Ait et de la rfinca >uu- <^n s lo G<i.lcfl-waid^ à travei*s lcaqueiis soit l'adversaire les pottrsuit. j un 1-os AuAtro-Alltvraajids doraionnt aûisi la Jus, uatian devais l'ouest de Petrosflfty j i». tiou Mo a,i noi'd-ouest de K.r>)twiailtt vont contr»*-Pos- 'ier HôrieuKôineut la Liberté dt* mouvements be «le rariH-e routafline du noit. q^ii a j<iS-j'ilt, qu'ici omservé l'avaaitage entre le Mart.s <Au<i supérieur et le Grand Kokel, daas les monta , ou Gwrgei^y et au sud de ces monta, «ud- D autre part, la diversion teniée par les Roumains sur la rive droue du Uamilie en-a-vis ,rv^ lînuLschoui». ©t Touti-a#kan a mal fini, elle lîUfl est sans inTjuence 6ur les évé- îera nemenits dans la l'obroudscha, où les atta-«lues rueso-roumainOs parvionnent à peine à f. nd e itiuner les positions du centre et de t'aile •i-e" droite de l'armée von Mackensen. Il en r«^-pu« suite iKiur 1rs lloinmains une situation mi-ut- liuiiie manafesfieunejit peu aafcLsfaisiuire <luns nul 1 ensemble. Evx-uienies d'ailleurs no le coo. r;uit testfân4) uvi^re. Ils eu rejouent Lv fauta sur me» e lKwjle^. orseane:^ do> pla s i âtaaii-x do leur joui etat-major, qui n'avait jamais jw-évu, ainsi nie>- que vient oiioore de le deolaiir à Ixmdxes ltir- le gcuéral Georgescu, que la Roamanin p»H Sou A;re amenée à c<wnl> »iti e s vr (Vmix frr> U dif-ît^it f<Ve: t^. i\tw loctîurs so ra^-e lea* saus «kiute que de sou côté l'anoien chef d'état-major, -rai le général Gardescu, dans l'artiole d<» 1 ,Ad-c verni ' rjpnoduât ici-mtme le 29 août, con>-jico sidérait Li conquête de la Transylvjuiio jtro comme la seule tâcho que pût enta-eprendre cite l'armée roiunaine : la lutte crm<re les A l'erse iiiaM'ls, les Bul^tvros et lea Turf© devait, à l*a son sens, être menée exr.lusivemei:t par les aiv- Jiu^se> et l'armée Sarrail. • n" An si>r}J .e, il senn 1 de bon que les ûo-r'5" oords iie^vM>ns avec M. Bratiauu prévoyaient ce^ttt T-ejxiitiuon des respoit^alkiiitcs. Chi est eu moins tenté de le cioire, à li e lui ar-JIU ticle très aotube que vieut d'adi-est^ar au Ktl~ u-iutcop' i.e „Jouruxil de Genève' le députa ^ rouaiiaia M. p/a<al©sco. [r/eîs^ar à lw rtîc! ê de droit de l'IT^ivereité d» R«oh-* re»t.. -avorr, • en | r3amlrj.ls, ti inné [f1 qu'il esi; un ami convaincu de l'K'atei^e tf ù: ' qu'il a; i_ rouye sans réserve La ix>l u<jue dç .®* M. Bratianu, il rond hommage à La Serbi^ ,. ot f l'i^te la Gr ce d ("tre reste neutre. v. l*~ — C est en restant neutre, dit le déput> l .Basiltisco, eue La Gièce a pu rendre aux ^ M:iés les services qu elle le;tr a déjà ren-ruli ,tu6 fJu e^l'' leur rend encore aujourû hiu, 1 notamment celai de servir de base à leurs ^ armàes d'Orient." i M. Ba«i osco affirme ensuite que M. Bra-tianu ne se décida a faire entrer la Itou-' 1110 m aune en guerre qu'après s'être as»n-6 que 0U~ le m^Hnoat était ofcyiti vement op^at u, et ; lk^ qae t>utes les condition* aircqutùles il avait ! 01> sui! nrkmnt' l'offeîisive roumaine scrniîent >,r rouipl es. Voici, d'après lui, qucaltis étaient rie ces eondi d *ns : ULn — La |)r-MVière, c'est que tous les Alliés, "'fU la Franco, l'Angleterre, la Kwvâe et l lia-l0^ lie, garantissent a la Roumanie, uon sou-'uo leen<«t les notivelles aojjuisitiotis torritc»- rialcs (fu'olle revendique, mais l'intégrité } 'S" s*m territoire. On a voulu éviter 18 risqtuo 11 H couru en IW9, lorsque apr<%s uno guir o :<s glorieuse, la ISoumauie se vit ente^er, peir lce son propre allié, uno partie de 6on terri-toire."ru La socondo condition consiste diana Vaido 11!* militaire que les Alliés ont promise : 1110 — ija K<AMMaiiie stipula, comme seconde 7^" condition essenruile do son entreo en guixie, LO" d'un côté quJmie armée russe puissante do ni" pius>iehM« eontainos de mille hommes pas-«it le Danube, traversât la Dobrou^oiii et ' L:!g alLU croiser lo fer avec lus Cei*iuun>-Turco-BuJg*tres, qui s'étaient masses de-ptiis longteorps à la frontière roumaine, oa faisant de c»3tto guerre une guerre russe, LiV" do ce front do bataille un front ru^se." Or, M. BasrUosco n'e^t piis satinait eai ce qui concerne les événements dama la 11 \ Dobroudscha : !U1 — Uui ignora, dit-il, la contingent do l'armée musse débarquée en Do(>roudscha ; >u~ il fa-ut e?iina-er qu'elle sera assez foito [xnir Ji- contenir les forces ennemies, quoique ju»-b- qu'à présent elle n'ait point trop fait senti- tir son poids." H' Mais c'est surtout de l'armée Sarrail que te le detmté roumain se déclare mecontOiLt : U l — lvl/e reste [/resiue figée sur pliee, ; ai écrit-il le 24 8cs^tj«in re, et j»ourquoi î On; préto;tc l'incertitude dans la<juellc se mo.tr la politique de la Grèce. Mais il faut din-que cette situation ne date pas d aujour^ '' 'ï hui : elle existait au moanetit où les on Aliicvs se sont engagés envers la Itoumâ-1' nie ^ faire marcher ^ebte armeo, prétinlue ne tellemeait puissante qu'à elle sendle elle au-11 • r ,'f à écraser, disa-t-oo, Les Tui'co- i de Bulgares.'» rs ^us don te, los succès reimportés dspuis i lors par l'a il o gauche serbo de l armée" Sar- ' rail et précisés hier ici même, ainsi que les us avantages que les Auglnis se sont l^ssiui-és I,. Stur la $un>t*nai, aurait Ciilrné quel jue pou la ti. fajiCtour de M- Ba^d cs-o. C#ï avants,I1Ç îkwit toutefois pas suffisant» pour le°aatis-o. faire, car il ^lomand<ï que .J'arm^e Sarrail te marche, qu'elle marche viaourau^omont, s:i l on no veut pas se trouver devant des re «Jésas'.res îrréporallies". 3S La (juats*iôme (VKidition stipulé et f<>r-îs formeHeine-;t inramiso pir les Alliés, cel.e s, pi© M. B 'si'esco o^nsidèrO O vnume u^vani «t5 r3 iéieruiiaaîHte fxyur le gourer .©méat roumain^ c'était ,,l'offensive générale, In réalL ■îitîon de la fameuse formule de M. Briand l<1 l'action unique sur un front unique poui s m^oher li^ae manœuvre^ iabériejr^ de l'en-ir uieJii commun/". lK M. Basileaoo dit qu'on en ©p> tmi^krurs à i- attendre cfccié oTIWisive générale. I^e rot/roche 'l non décurie qu'il adres#j ainsi aux Alli a 3, nous paraît peu équitable h fpt 1e moii.s on 02 qui concerne les Français, les An- > gjais et les Busses. Incoaicstablemznu cous-» aj.w.1» hhwi.uji i — if gu .1..il. mi --wi 3 aine - ci persistent depuis plus eurs sfvuaincs -à ■lques de ployer un «f.oit considéiablo et se sacri->n en tiow. sens compter. i ja à Malgré cctbe i^t-jt-rve, los récriminaU'WîS de •*e h • 'Borâlesco confirment ce que nous avons ie la lai.sié entendre dès les débuts de la &un-r les ftagne roum^ino, à savoir quo d<s ciT«*ir8 graves ont été commises. Il s agit j>om-l'Ensuite do les réparer au pluis vite, »i ollo veut empêcher que s'aggiave à 'Bucai'est la rc- l etaX d esprit dangereux qui ressort de Ui s est sévère conclusion formulée j>ar le dbputA UI11, roumain. Loin (le souscrire au conseal quo .Ikcfi» le ,,'I^inps'' donnait le 14 septmiUre aux «tur- Roumains de quitter ou d'affaiblir le front * au ti-ac^-lvain pour se porter contre les liul-.-Unci gares, M. lianilasioo écrit : iqueiîs — La guerre lxalfcatu-que n'est ]sas la gu^re des Houmams; ils l'ont djt aux 51 'a Alliés avant leur ei.trée en grerre, ils le 3 a répètoat encore anjouid'hui : ils dcio>«xîloni mtri»- que chacun res><ct ' la r»flrole dorvi^o, ^iue aient© ^<s Alli s aillent aux Balkans Ixitla© les jus- IMrvKHBulgaro-A llemand» comme iio» t>o fcoat iaros engages à le faire. uonta u faut j>arkT net. Si le» Alliés coniart-tent à l'.'-sard de la Rouniarao la in^»A r les faiOo qu'ils ont commise à 1 «\gaiu1 de li ie en- seri»ie, 6'ils laissent la ftoumards transdi-fini, nu^'ioune st^ns d;feaw32 ptïidant que Jî"uh évé- imni vs vers^kt leur sang en Ti ane- lvanie atta- (jontre les arroéa<î anrto-21 émarges, Irayant, •e à jéWarant e.k ouvrant le chemin aurx années l ^1® insses, l'AUemu^iie aura beau jeu." n ré- A ihi pareil réquisitoire, tout 1e mondfe an" sora d'aeooid jxour dire qu'il no pe.it c-tre duns etCicneeinent répondu que par des actes. i coa. DÉPÊCHES DIVERSES irîres n p»»t Pans 5 octobre : 4rijf. l^a Chambre dos dépjt''s a commencé Li koute du projoc de du gouvenxîma'.t ajor, ok»i.tg«int l'Etat, les défiartements et les , Ad- communes à ré{>arer les dégâts causas on cou»- France ^ar la gueire. 'anio • * Bidre Paris, G octobre : Ape- L® commission exécutiva &i Syndicat na»- jj ^ tionul des uavaul eurs de?» oatrfuins do fer - les a ^ reçwe par M. AriStiite Briand, président, du Conseil, assHttd de M. M;un*» S(im- ( bat, rniniîiy-e dos travaux publics, et) du colonel Ga«souai, c nninandu t d t^iimnior. aitfu i J*»' • i i ( (>fel La d^^auon a, de nouveau, expose la ' ûr râtnation péjuii lo fii.e aux caouuiaos par la mtxii nt) des salaires qui leur s<m?t« alloués k't6 et ^ir surmoaago auquel ils sonA as- :^'V' Délits. ucri l. l-<a dClâgation a insisté pour qu un rel^- " " vemcRt "général de- <ioh*3* du 3vM.1t jkt- ri" soiwiel fut enfin réalisé. ® j' 1x3 présileat du Conseil a fait contna"4*e a-' î à lo gouvernement était L' v décidi à apporter des améliorations -X la si- . . - toati <nn matéiif Ue des em^ioyr's do chemin* aux ^ cifc esfiérait pouvoir résoudre La question très prœbainemcnt. h tij ^ ^ Rome, 0 octobre . eur'3 I-ies autorités mil i-aires ont décidé que cinq coups de canon annonceront & la po-!rl v pulation Fapproolio des dirigeables ennemis. >u" L«»rs^uo tout danger aura disparut, les c.o cl^c cliess du Capitoie et djs églises sonneront. . et » i-ya.it j'g^ris, f> octobre : iïent Qr, mande de Madrid au ,,Journal" que ^ la question de (.k^.Al ar sem disoutfo di-manche prochain dans do multiples meo- r'u* Tdadri^ 7 octobre : ^ I>a Chambre a approuvé un nouveau cré- *ottio cVt et OnvorfLiaairc à; 1 mil-ion do pesetas _ _ pour les Allemands isternés en Espagne. ' " * T*1 r * * >IT^_ Loadios, 7 ootiohire : 1x3 Twinist.Ve de l'agiâcuikinxe a informé . Ie3 fe-rmiers qu'avant In fin d© l'ann*'©, V -sera procédé au roches inent des lii>mmô3 , iuptes au 8°»rvii5e im'i aire travaillant ea- >u 0 core da»s lo^ ûsplntatious agrieoies. Tl^' D'autre jxirfc, .'© Dailj Alail " croit ^ qu'une décision iaitûrviendfa, tinV piN^obaino- i mont au sujet du service obligatoire en 1 l'1 Irlande. do- ^^0 lv p*iï pire bi^r à u»x* 111e !' mpirt^nto conférence qui s'est occupée de .7* fia que-tionr du recnitesmejit. M. DuJcc, Sjcr^inire d'Etat pour l'Irlande, ^ est reparti ix>ur Dubliiu la, * * * Londres, 7 octobre : Jq Au War Ofl'ioe, on est convaincu qu'e^ 1a ; nappelaat sous les drapeaux l«\s hotmm s <mr r>roviei'»'remont lib'rés, 011 dis^ssera do Suf-pi»- samment do réserves fiour l'armie. ton- « * • * IxmdîrOs, 6 octobre : que i 1-e correspondant parxanentaire du „J>ai!y t : f Nows'' arnio 00 qu'aux prochaines s ai«c*-s ice, de la Chaml-re de3 communes l'émi*>ion On: Bons du, Tr'ftir à 6 j*. c., les li uita. io.it' tions récemment aiTHJ-o-. au s,net 'les r au fin- nioçie puC^liqueft, L» cas Glu pr«>fosseiir Bus-rur- ; seH et la mort d un r.'-tfractfii:© pmr miles «one do conscience faont l'objet de vL'® d6-niU bats. 1 lue .*» au- , Londres, 6 octobre : rco- La Commission des Dardïinel'es co tin/ue 'son travail. Ces derniers j<iurs, elle a eu-uis /tKjndu M. Churchill, qui était min s tire de 1 ar- fia marine lorsque les opérations se pour-les suivaient sur la pr«wju'ile de GaiJl[ioli ; t rés : pile entendra encore, entre autres, lord Fis- t la cher, sir lionri Jackson et air Arthur ne Wilson. tis- # # l rail Londres, 6 ootobie : si 1x3 collaborateur parlementaire du .,T>aiîy r des Telograph" annonce que, lorsque 1e Parle- i ment reprendra ses travaiwx, le Kfmker de e 'op- , la Chambre des Communes «ern en me- v al .e Ruro de faire un exposé complot au auj »t u ti > 'les délibérations qui anront liau sur la e ou- [question de la réforme électorale. L© Rpea-ilt ker s'e^t déclaré disposer à présider ces v ind <lé£il «Arasions, airrquftlJes prendront part s -•ni tron'e parlementaire^ dont six membres de | on- la Chambre des Lords. d à Londres, 6 octobre : n îhe ÏS Agence R eu ter annonce aîri chicanent H i s que le ministre des munitions a déoidé qne, u.s dans la meKuro d^i posr^t>le, los falïriqu^e o in- d© munitions 110 tiavaiilcront plus le di- à ix- manchû. c "■ COMMUNIQUÉS OFFICIELS de » — — 1 m© _ . ■ TT -• _ I T „ i . 1 .1 » J n- CcmjQiîtiiqués des Puissances Centrale* r9 n Berlin, 7 ottoLire- — Of«iciel dj 02 nii-li 1,0 Théâtre do la guerre à 1 Ouest. ^ Aroi6o3 du felduiarèchal prince h- ritiv Uuppiwcht do Bavière : JO La grande bataille d'artiUeiie conKdnt 1X sur La somme; elle s'est ega.eaie.t tt»«J nt sur Le froin au nord de 1 Ancre ot a au^ ± meurt# d îutensrtié au sud de 11 fcoaouiey -naicasent d<^ deux. oCrucs de ^'ermancLovi. La lers* Lx Notre feu de barrage a enrayé prcsju sur tous les points lo a<42M)ueS cwa»«#»*i< j>roHOrtO«s ému© l'Ancre et la !>x>muie < 1<4 itut («louer, au pr©aii«jr 1 afc-wju -,s titrigtae, oiitrfc Lesi»«»ii»s et Doac_uivc.nv. t (xwifir© les troupes dus généraux von lM/h. ot voft Garnit» . Des cor[« à oorp© d© cour ^ durée ont t't^ eaagagés au suci-oui-^t d ^ .>nlîy scuioaient avjec do faibles u&OtCàu ^ tusMiti qun avaient pvéo-trô don© uns ligu<c Un© attMpi© fnaai^ii-o, aébnuohant d ^ front 1) eniKKX* «-tr- V »di> v i L«r»L liions ( j0 ibrugéo oooftre 1© sectexr dôfeiidxi par L t troujje» du général von Kathen, a aboir*i ^ des corps a corps acharnés, près de Va maadioviliera ; iL* so sont terminés on f£ Hc \eir de ni>3 vai41ants régiiuieuts y.tb^irt!> ,^vai t Li rési^arœ tenace desquels ton© le efiV«ts dos Français s'^tûen® déjà- brisé dtans la mémo région, pen*iiu4, tout la moi d© juillet. Pour le reste, 1k vagues d'a£ saut ennemies so sont égaiemcnt écroulé t --us ne-ti© feu. TL^rtre d© la gnon© à l'Est, a FV^nt du f-jUaia-réclial prince Léopold' d Bavi re : a lxs nombre dos Busses f Jfcs prisonnid'8 l n ^ octobre {hyss de Trvtkow, sur la hoieiL e t monté à pl » de 300» L©i adtû<jues ru©$©s couttirru/es hwa* ma tin des deuix eût-s d© la Zfc>ta^Lipa on t»- < î-é de nouveau, rapouss^es d'une fa^oa san r ^,l-u»t3. Ktxjs avons aliandonin# une i/oul t- p^ -a.ija avanoce au. sud do Mieczr>«za-j ou r Au s>jxli «ie Bro'zwzan^', uaio ta,.tejr oc a cuj.»fte le &) Ropteni i^re par l'eimeani a ét .. T^m-so d^'aasauC. a Front du général d© cavalerie archida-1 Charles : ^ I*«<s d'événements^ d'un© importance .çpj eiale à signaler. iàvAUro do la gtwrre dans la Transylvanie Sur tout le Iront orientai, les trompa alliées ont fai* ]3reçr.>s j elle? ont Cjk^-c gi jneaneut pi-ets^ l oiv.jcûni, qui se retire • i. u'.t \ iT.s le GotMei'wald. De© arrieco-guid1^ i- ont été réponds ces. 8 En repoufijant d©s af-oaquos roumaine-e ('.e© dfc«u»c oot-s du col do ta four Kou e noa© avosis f.ut pri^onniars 2 officiers «j ïhoirumes. Au si.d do Uotang (Hast/eg), 1© moi t o 'r^ttiàr© tiglon a cLj arraché aux lîou >- mains. l'ros d'Of.sova^ nous avons do nouveif - du terrain. Théâtre de la guerre dans les Ballqano. A irai lies du feldmaréchal von ilackensen : 0 Eflitro le Danube et la mer Noire, 1 en- - nemi a attiqué à piusiours endioite,; il a k- ttj repoussé. Front macédonien. A l exocfn-'on de petites et vaincs i>ous-séj«, une fune attaque om.eanie, priMioaicee s ^ 1 ouor-it œ la voie ferrée Monas'lr-Rorina s est ecromkîô devant les position® bulgare©. l-"etfeïiçr;ii*scli a été Ixtrnbardee do la mer sites îfcsuitats spéciaux. 5 „ ^ y îiiwa, 7 octoliio. — Officiel : j Aujmi'J'hui, à la Coiajjiiwioia îT^^jiplc _ du Beidnatag, le comte von Bootlei^j, s c«-é-taii© d'Etut du Trtsor, a annoncé que le t résultat du cinr^uième emprunt de guerre *r>enaud 6'é.e\»iu à 10 uiillrard© 590 mil- 1 iioas de mark. Dans ceWe somme ne sr«tf f*as encore trWemorit ctnMjyrisos les &iub- , eription© faites venant du front et d© l'ô-î trànger. lx>s s'xksonipf.ions totales aux cinq ein-pruBt© de guerre allentands d-'^passoun ainsi ' la somme do 4G y% inxlia^ds de mark. • » * Vienne, 7 octobre. — Officiel d'hier piidi : FYout de l'Est. •Front roumain : Attaqué dams ses rctroncîiemeïits sur la lisièie ouiost de la forêt „dte© Revenants'', l'eniRfliii a été oonaplè&tmeut battu par les trou(C© ansWo-tuïngrv isi» et. allemandes du . général von Faikeafeavu. Ixï butin tombé '"îtire les mann» de l'assaillant coanprend 2.^ canons de oampagna 2 0.01011 s d© gros calibre ot Kl ranon.s d'intiant^rie. l<-s [>ri-- 'fuiiei-s amenés SKjut deux officiel"» et 220 hommes. Plus au 6ud également, notre offensive gagne du terrain di-uu le secteur de lio-morod et à l'est de. Magjartwi; L\, nous avons fait prisonniers deux officiers et 2ffi hommes. Front des armées du général db la cavalerie archiduc Cnarie» : Cne attaque teutéo par les Ru-sses près ù© Bohorodozamy a été repousse©, l'as a autres événements. Front dos armées du roldmarécbal-général prince Lèojrold de Bavière : Hier, l'ennemi a, do nouveau, tent$ rompre notre ligne de front eatre Nara-jovka et Zlota Lipa. Contre quatre aa^uitA en masse exécutés jsir de gros effectif»? rus-s<i8, nos braves troupes se sont viotorieuse-nt«<n4 maintenues dans toutes leurs posi'înoai© et, ©n outre, ont eapturé 510 prisonniers. Sur le front do l'armés du colond-iréruéral von Bohm-Rrm<*lli également, de nomhreu-K'S at fwjm^s ennemies dirigées contre iv>s (iDSitions an sud-^et de J u si mow ont échoué devant la résistance du défenseur. Un heureux ooup de main exécuté an sud do Mali a jov nous a pei*mis d'enlever la position avancée russn. F.n Volhynie, où, depuis les vilnflent» oomliats des 2 «4 4 octobre, le calme règne ii pou prés partout, nne attaque local is6o a été aisément repouasé© aux environs d© ivififtiia. 1 in ue© prisonniers ev un Liu.ia captures d«u« ces combais est monte ii-li : •* ® otieiers, GJll hojiimes et ti uiiLailieusCii. ^ Front i;alicn. ritier ^ur Poteau du Kar^t, voici déjà le cinqLijmo jour qu© durent ©airs intjfTuptiou ttn.uo ^ vi°leuts fetaï d'artillerie et d© lance P «aie l>tjajj^s dirigés jjar les Italiens contre now au^- P°sltJOWK et les secteurs on arrière. A.; h! • Ooui© d© l après-mivji, l'etMiemi a déclancho " vil- l'^1^1'8 atjëiMjucai d1 kifauiein©, qui, oe^ien- f dsMit, ont partout et totalement échoué sous r* ^ 0 'es fbusx convergents do notre ».til erio. iuiVm ^ur ,roIlt 'l6e ,a vallée do rieon, quel 0 et (1UC^',1;!S d© nos secteurs sont vigouioase-ifciuw "'"S-1"1 P-'"13 saus le l'eu do f'artiiler<c et des , Jr,s lance bombes italiens. « it/hn Li!ie at-taqu© ennemie d^eLanchée dans Lt ,u oure r^1^>u dn Col iBricon a été enrayée, d'^ fr ^ 13 ii mit, |xir notre feu. t? aolie* Pb si rs atuatpjtts d un bacailkxn do chas. ^ ' 6euis allais ont éto rot>o..sso«> sui' lus hau- r' 'J teuirs au uord db la v ailée do Pv^itqgrino. fc 3 et Iront du Sud-Est. I»1 -Auwui actiun à s sur les bords 'ir*i a cèj la Vojusa. i Ver- m * m fa- Sona» 6 octobre. — Officiel da grandi irtis, état-major : s le© Front macédonien. ritsés Entre le lac de Prespa et lo Vardar, pa: 1' fiions dPévénwnonti iaijxM'Utui© à signaler. G d a»^ Une taiiutive tac.t© j*tr los berbes pour alCcs franchir la Czerna, près du viîiag© dt 6kotsobiwic, a «oaoué © ,us notro uui-ce-at-Laque, au oours de laquelle nous avons f.iit JJ ^ 'M ptriitmnicrs fceri^,. s" Une at taque eiwiemie dirigée contre la col- ''' lin© ct-i Lauowo a été repousse© nevr notre aJ » 8 leu< ti îem, Depuis l'est du Vardar jusqu'au lac de Dodrun, faible fou d'arti:l lie i*éci-;royt©. Au sud de la ville de Doiran, la canons q, <** nado n;a pas cessé do la nuit. s K£Ulu Au piocK de la Belasitza et 6ur le front p. cale d© la btiouma, le calme prévaut. m ovv * 9air la c6't© de la mer Egée, des navires h <,c" onittamis 0r0iso.it sans cesse. La (lotte esuuo- e; mie a bombardé Dolea^'; t >i ot la oi<j 1er- d rée ; ce bomba rdemtmt 11'a causé çjue des adhio dégiâts peu importants. Nos hydroavions ont attaqué la flotte ot 5^5. l'ont forcée à se retirer en hanta mer. -r-. ni Front roumain. p, m.ie. loug du Danube, le calmo régne, upc© AprC» 1 -^oheo définitif du passage da ïncT- î]o*ve> entrepris l«ar les Roumains pris de ;e a Puahova, notre ariLcrie a deuuit li jiartio |ll id>es <Ju' P^»t eu© les Roumains avaient raiuo.ifce \ vei'S leurs propres ^^es, tandis qu© nous iin©3 avons roouali les peatoos accolés à la rive u&e, bulgare. Nous nous sommes emparé© de 1 et vingt ohariots de muni lions, de v01 taures, de qn bagages et d autre maté-i ! rie guiTie. " tl; 1011 Dans la Dohroudscha, d s atia/yucs enno- ra liou- n;i-3s 1* it'i © débouchant- de la ligne Kara- [] badBchAi^Ameu4Bcûia*-rer\ eii ont échoué fous fc; ,e.|i notre feu et sous nos" fructueuses contra, attaques. Noue avons fait GO Issues pri-sanraaers.6* Ui.e flotte ennemie croise au large d© la m Gn : mer Noue. '^u l oa- ♦ * t ar 1 a Constrtntinople, 6 octobre. —1 Officiel du "t grand quartier én^ral : IYofit de Fclahiô : Nous avons réduit au silène© le f©u que l'ennemi avait ou»- ^ | O'US- %rer{; fr i'impixAÎ?te contre notre front ti; ln ac-e pélahié, sur le» deux rives du fleuve. Il 1!la' a été constaté qu© la canonnade quo nous ros. avons dirigée le 27 septembre sur l'ennemi, m<5r qui ne s'y attewat^iit pas, lui a causé une d', oerte die .'^00 hcownes. co Fiout de P©i*se : Escarmouches à l'aile trè gauche. 1*)le Front du Caucase : A l'aile droite, nous lis1 avons avancé nos ligne© dans le secteur z© lo cFOjfuuth e# fait quelques prisonniers. Au centre, comjbats. d© paAi'ouiilos, à notre mil- avantage. En plusieurs entrroits, nous avons letpoiwsé los attaques subites de l'eaiucnii. m». A l'aile gaiocho, une attaque ciwkïuio di- e l'ô- rigée contre certaines de nu© positions a (choné, causant de© p?rtes ©ingluitos aux em- assatfiants. Nous avons fait qmiquœ pri- P" iasi sonmers. Rien d'impoitant sur les autres fronts. En Galicie, le 5 octobre, l'en nom i a do -jc< nouveau attaqué très vigouro«is>tHmont aveo . ' 1 : des effectifs de beaucoup supérieurs amx „ji-nôtre . NI» braves troupes ont re|>oussé ^ partout cette attaque, comme celles des ^ . , jnvrs précédents. L'ennemi a subi de^ ^ ^1, (vertos ti*ès élevées. Nous avons fait 300 pri- les SOîmiGr^ do' du ** tioi nh« Communiqués des armée3 ailiée3 ton end Tos Paris, 6 octal r^* •— Officiel de R heiïree s ['rl- Au irord de La Somme, la nuit a ét<* ma®- I 61 quéo par f activité r'ciprôque de l'artiberie. ] Dans le soctMir de Quennevri^TC©, mie Ru ^ve de nos roconnoisc*ijice!9 a poussé jusqu'à *a moi tftœchée d© soutien ennemie et la bom- ma ^us Utrdfee à ooups d© gmiade. din et Dans Li région de Verdwr^ assez grande ges activité de© doux ariilitaies. ont eia^- Bombard©men/t© ennemis sur la côte du Poivre ot lo bois d© la Laufée. r^g En forflt êPApromout, nota© arti'JiAriè a disr'rs^ de« travailleurs ennemis au nord du f<, e a1» , ou le bois Mulot. • Aviation. — Malgré los conditions atmçi i" ral sphoriiuoe pou favoraN1*?, nos avion© ont { oxéomfcé vingt-nouf vols d© chasse, des ro r.e comtaisiamïOuS et réglées do tirs. I ra- ♦ * * C uts Paris, 6 octobre • — Officiel d© 11 heures: ?Uo us- Ixi lutte d'artillerie a été vive sur le© him so- deux ri^es de la Somme. Pas c.'action d'in- MM *ns fanterîe, sauf mie légère avance à l'est d© par s. Bouchavesnes. 1 ral En Woévre, notre artillerie lourd© a dmai ou- eut4 de© tirs efficaces sur 1er? route© et le© dur nos gares militaire*, où l'on remarquait nue nié certaine acti\ ité. au- Un avion ennemi a été abattu. S Ta Rien à signaler sur le resi© du front. * V .on ♦ * . décl Tendres, 6 octobre. — Officiel de l'après- bn nt* midi : 16 ?np Pendant la nuit, au sud de l'Ancre bom- pro 0 a bardement intermittent. oeu d© J Au nord de la redoute Sc'iwaben, un dé- aur taehomeat venant îelayer 1 infanterie enne- » mie a fortement souffert sous lo fou de ) uotre artillerie. —— l>d*is les environs do Viray, un ba'ail'lon ït du territoriaux londoniens a réussi un coup ûoute <ler'n'""- . subêi. «mieini a vainem ut tenté d- f«>nétrer dans nos tranch<cs à l'est œ Saint Moi. * T 1 * * i le Londres, 5 octobre. — Officiel du &oi'r \ i^ttou Sur tout le front, la situation n© s acc©- ps« s^nsib!fimprit modifiée aujourd'hui. 110© f>e secteur de Gueude ourt a^^é lx>m- Au bardé par l'ennemi. Les Allemands oî't, on incli© outre, prononça deux attaques dans la rà- e^ien- gion de Thiepval; elles ont etô tonte© d aux sous repoussées et leur ont coûté de fortes pe.tes. o. * * quel- Pétrograd, 5 octobre. — Officiai du grand easo- étaf-nmjor général : it des ^,ir front de Wl**d!mip-\Voiyj s\-R^Li <chak jixqu'au Dr.i s er, les e ont lut s :a-bar- 3 nés continuent. A jilasieurs endroits." nos des troupes ont conquis dos élêmeiiia do positions ennemie*. chas. la Bystriaa, dans la région de. Bohcv haio- rodezanv, nous avons détroit quelque? p<»8- no. fcs ennemis avaiio s et nous avons fuL des pr'.sonniers. ^ DAMS LES BALKANS Tand EN GRÈCE Milan, 4 octobrè : 0a ma t; d AI'unes à l'i,It;l«a" qw , pas l'état de si'-^e a etâ duclaré dans toute la Gr ce. poar „ ( Rome, 7 octplrre : •o-at- D'après une information d© î',,Agwiata f ljt Nazion.ilo', les troujes gTewiuee e.i L^re so retirent j^sir ordre devant los It.l en© .col- l,ui :ivariW,lL | 1^! ois ont autorisé 1 4 iV'tio au^m'J^3 civiles grecque© à rester un fonctions.de Zurich, 7 octobre : *U1©. Le© ,, Zurioaer Naûarioh'ea0 apjireanent non^- que, d.ms les n.i'ieux ofiici.i-j parisiens, on s est demandé s il 1.0 serait pa» opportun t'ont pour I Entente de j^ecomuiutre le sto tverne-mont révolutionnaire de M. Véni clos et de • ires h tf *.r ai.isi la solution de la crise grecque «lu©» eu fiveur dos Alli&s, mais qu'on a décidé »cr- d'attendre encore quelqu.3 t-amps. d^8 • Paris, t> octobre : 0 et u,'injde d'Atliénes au „Mntirt,J que le roi Consuaritm a re*,ai on amireaiee las mi-ni sires Ritfos, Svouloudi s et Calog^ro»-poulos.Pans, 7 octolure : 5 cb Oni avi iie d'Allumes à l'Agenoo Ilavas irtj3 que le députo Stel'ano, ancien mini t © ot, o.ifte ancien dinrtenr r>j caKuet paiitijuQ du auus ^1' «o*1®11 tuera le nouveau ministre. 11 ve Londres, 0 octobre : de j_e îvT)fliP; Tel ,'ra; h" apjneiKl d'Athènes 3, de que dans les mil,eux politiques do la capitale, on crût ip-e le ror Oonsuiu'i;- ~e nne- rangera diu côté d© la miuorifé du Oabii et. ara- [j aurait l'intention de coniier le poiito pous feaille do la guerre à M. Stratus-lira.pri- Paris, G octobre : On mande d'Athènes au ,,Matin" que les a la ministres de l'Entente et l'amiral Dartig© du Fournet se sont réunis à la lâga.iorï anglaise ai vue do psteuche do=. niefitaro^ du- tr^s énergiques. , . Milan, 5 qp'.ohre : '' On mande d At'aen^s au ,»Reoolo" t,uo I03 Alli *s censureront sous |*su m, nw 1&} letr ^ très o>i[>ôdiées dans l'intérieur du pa^j s. ions Londies, 7 ociobie : îmi. I^is journauix pub.ient drs infarmations une d'Athènes d où il r:'sajte quo los troubles contiuuoui dana> l'île de Crèto et devieuneait 'aile très s'riaiux. I>o „Moroing Post" confirme qu'un roja- ious Iwte a ui-é de© coufis de feu sur M. Véni- leur zelos, qui a été légèrement atteint. Au otre Paris, 7 octobre : .or*is La Commission parlementaire des nffai- ani. res étrangères a décile, dit le Temps", jjj. d envoyer une délégati kîi à M. Briand poux a obtenir de© renseignements sur la situation aux pn ^rèce et sur le© mesures de s» ©aiité ppi, prises dana l'intérêt d© l'armée d'Orient. Conjs t ant. 11 ople, 6 octobre : " , D'après des nouvelles d'Athènes, la po-iice aurait pu, le lendemain même, mettre la main s ir toute* le© pers cuie? qui fe© trou-\-ai« t impli jnée»don© la déraoustn-tion q ia ^ ' ou heu devant l'ambassade français© à Vtlièncs. L'instigateur serait un des intimes ^ 'le Vejù/e!as, les autres part-râpants p-ris^ * que tous des véniz^listes origimiires de l'île de Crète 011 d<» l'Asie-Miueine. Ixi puWiet-non d*1© procè© verbaux des déclarations dee i3 témoins a été intetdite. « : EN ROUMANIE ia,i> Paris, 6 octobre : ne. Los journaux parisiens apj>rennenit de une Buesarcst que lors du dernier b©f.nl>ardi&-ia ment de Bucarest) par les aviateurs alle->m- oL-irids, 1e peintre Alexandre Rotnano. le directeur du ministère de l'intérieur, M. fleoiS □de gescu, et un rédacteur du journal .4Epo«3a,, ont été grièvement blessés. du Londres, 7 oflt >br© : a L'Agence Router apprend de Bucarest ^ qr.e des bruit© de pii\ ont de nouveau ironie tt ont influencé la Bourwo. Los ban* „0 quiers estiment que ces lirait» «ont repaji-^ «lus |N>iir faire tomber le» oours des valeur* ^ de gi srre. Pétro^rad, 6 octobre : On mande de Bucarest ar ,,Russkoje PS: Slovo" qu'il est question de mollir-or le oa-le© binet roumiaia. M. Bratianu a demandé à in- MM. Philtjx'xcn et Take Jonceou de faire d© partie du ministère. I^e Parlement se réunira prochainr«ien^ ■<éw mais sa session ne sera que de courW le© durée. , 1 tne ii EN BULGARIE Sofia, 6 octobre : ' 1 ' M. TVmtehef* ministre de^ finanee», tk déclaré que la session ordinaire do La So-"ès- branié serait vra,isemblab3emont ou verf S le |5 courant. El,e discutera les douzièmes m- provisoires du dentier tiimcstre do 1916 et oeux de l'exercice finan» i'>r. Eji outres elle dé- aura à examiner d'importants projets d'impOi- Dimanche 8 Octobre 1916 JOURNAL QUOTIDIEN — Le Numéro : ÎO Centimes 3e Année. — Na 684

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie gehört zu der Kategorie Gecensureerde pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1914 bis 1918.

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