La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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s.n. 1915, 14 Januar. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Konsultiert 11 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/zk55d8q53f/
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Jeudi 14 Janvier 1915 N° 89 Jeudi 14 Janvier 1915 LA BELGIQUE ADMINISTRATION ET RÉDACTION U, Huo Mcœtagi»e-tîe=Sioia, K, E2£ûll.j .E3 Bureaux ' de 10 a, 12 et de 15 ci 17 heures JOUKNAL QUOTIDIEN LE NUMÉRO : «O CENTIMES j La petito^gcô. T . V . «• V„.fr. 0.40 AI1 FONDES ] R®cIaxïïét^vant les anr-oûees . ; . 1.00 4 w j Corps, du Journal . . ; . ;• . ? 2.00 | Nécï'ôfôgia , . rr 7 : « i ; 2.00 LA GUERRE 164mo jour de guerre Constantinopic n'a pas dit encore son sentiment concernant les faits de guerre dont les régions de Sarykaniysch et d'Ardakhan ont été récemment théâtre : nous avions d'ailleurs, au sujet de Ces événements, dit qu'il s'imposait de réserver provisoirement soa opinion, étant dorme l'exagération habi- : tuelle des communiqués officiels — les ï^^sses aussi bien que les turcs -— qui ont trait aux hostilités dans le Caucase. La signification loutexoiis commence à se dégager, et à cet égard la depeche de Petrograd que DOS lecteurs trouveront ci-contre intervient fort uti- g lement. Elle résume l'interprétation qu'adonnée, de | la défaite infligée à son armée, le commandant du i r 6" corps d'année, Ischaa Pacha, qui vient d'arriver) ; J, Tiflis en compagnie d'officiers faits comme lui.; prisonniers. _ J — Les calculs de son état-major, a-t-il dit, ont étéf •déjoués par d'effroyables conditions climatériques;; •<jui ont, en entravant leur marche, fourni aux Rus-; ises, appuyés sur 'une artillerie assez nombreuse, lei, «temps d'encercler et de vaincre les divisions turques,:: .'fortes d'environ G,000 hommes. » Ce chiffre de 6,000 hommes étant reproduit par: .'6ne dépêche de l'Agence Reuter, qui est officielle- -ijuent chargée par les Alliés,comme on sait, du servisse de leurs communiqués, il y a lieu de le prendre en v^rieust-considération. Or, tout-aussitôt il appert que.: Si le caractère certain de la défaite des Turcs devant ©arykamysch n'est plus discutable, elle est loin de jpccti-r sut des effectifs aussi considérables qu'on [l'avait supposé tout d'abord : on sait en effet que ' !e chiffre de 30,000 hommes avait été mis en avant (Comme étant celui de l'armée turque mise naguère «a d«'oute. Assurément, en dehors de ces 6,000 hommes il îfaut tenir compte des restes de l'année qui marchait ■sur Sarykarnysch. L'incertitude persiste à leur sujet. i,Ç)ue sont devenus ces «escapés »? Il s'avère qu'ils toit réussi à éviter l'encerclement, mais en tout iffcas, leur position n'en a pas moins été difficile, et ■ s'ils ont pu battre en retraite ce n'a été certainement :_qu'au prix de grosses difficultés. Depuis lors toutefois, il semble certain que leur situation s'est fort améliorée grâce à leur jonction avec des renforts notables : en effet, après avoir 'dit avant-hier que les Turcs venaient de reprendre : vigoureusement l'offensive dans lo. région de Kara Urgan, Pétrograd signale aujourd'hui que lés combats engagés dans cette région continuent avec la même violence, tandis que les opérations sur la iTscharuch et à proximité de 1a frontière persane paraissent se ralentir. C'est dire que malgré le revers qu'elle a Subi, l'année ottomane ne renonce pas à marcher sur Kars et à s'emparer de cette place pour de là . menacer Tiflis, Erivan et Bakou. La conquête de la riche Caucasie, — que dans son discours au maire de Tiflis le Tsar appelait tout récemment la perle 1 de la Russie — constituerait du reste pour les Turcs, qui n'ont pas oublié les événements de 1878, ïine trop belle revanche pour ne pas les décider à tenter l'impossible pour la prendre. Toutefois, en dépit du grand nombre de Musulmans qu'en compte la population et sur le concours desquels les Turcs Ee croient en droit de compter, les événements viennent de démontrer les difficultés dont est hérissée cette entreprise, \ •îi- * * La situation dans l'Est, que les communiqués allemands et austro-hongrois ont représentée hier comme quasi inchangée, e§t tout pareillement représentée par les communiqués de Pétrograd qug nous publions ci-contre. Les Russe.s toutefois n'admettent pas la réalité des progrès annoncés par les Aile- ] -ponds sur la rave gauche de la Vistule; au contraire ils affirment avoir repoussé partout leurs attaques de jour et de nuit dans le secteur de la Bgoura, et 1 enregistrent même quelques succès. Relevons aussi, pour ce qu'elle nous paraît peu eom-préhensibie, une phrase de la dépêche de Pétrograd :du 10 disant d'une part « qu'il n'y a aucun change- 1 , ment notable à signaler sur le front autrichien « et : dautre part affermant que « les Autrichiens se reti- i reru partout ». Les deux assertions sont trop contra- i djctoiiTes pour qu'il ne faille pas les expliquer par 1 une erreur de transmission, d'autant plus que le communiqué du li se contente de dire que les Rus-: ses restent en contact avec l'ennemi en Galicie. En résumé, rien n'est changé sur aucun point du . front de bataille. * # * Du cô.té allemand, ce sont toujours les combats dans l'Atgonnc, et du côté français ceux de la ré- J gion de Perthes qui constituent la pièce de résistan- j ce des communiqués officiels des états-majors des ( armées qui sont en présence dans l'Ouest. En Argonne, Berlin signale la conquête d'un des points d appui des positions françaises, mais sans ' le déterminer géographiquement : «1 regard de cette ' imprécision, il dresse avec une précision impression- j Hante le total des pertes françaises depuis le 8 jan- t vier, qu'il évalue à 3,500 hommes. Comme il est in- , contestable que les assauts répétés des Allemands leur causent à eux aussi des pertes sérieuses, on voit quels terribles sacrifices entraîne la lutte acharnée qui se poursuit en Argonne, encore qu'elle n'abou- J tisse qu'à des progrès dont la lenteur est démontrée >■ par l'imprécision même que nous venons de souîi-.- ; gner dans les communiqués officiel?. Sj dans cette forêt éminemment propice à l'organisation de tous les genres d'ouvrages de défense1 les combats sont particulièrement meurtriers, ils ne le sont pas moins dans les tranchées qui s'éche]oi> ; nent sur tout le front dans l'Ouest, et notammen| dans la région de Perthes, où l'action est très su|- 1 Vie. I) n'est pas de jour «ù les Français 15e sigrvçï 1 lent dans cette région, située au nord-est du camj» 1 de Châlons, des progrès plus ou moins importants ; et qu'ils s'efforcent de consolider. 1 . En effet, toutes les tranchées allemandes de la Région de Perthes sont desservies par le chamin de fer Reims-BazancaurtrApremont, qui longe leurs positions à 8 kilomètres à l'arrière et permet la Concentration rapide de renforts sur les. points me- ' bacés. L'intérêt stratégiaue du front Perthes-Le JZgnil-liesva^o**' *-t ^'ailleurs si évident, que les Allemands se sont efforcés de le renforcer dans la jleine mesure du possible. Il faut donc s'attendre .' 1 ce que, dans cette région tout comme dans l'Ar- j jonne, de nombreux et sanglants combats soient ivrés avant que l'un ou l'autre des belligérants ar-ive à y prendre un avantage décisif. 1 —— — J LE CÂH0H FRANÇAIS DE 75 ' r ^ j Dès l'aimée 1SQ2 on se- préoccupait en tous pays de co M liio devait -être 1'•artillerie à tir rapi-d1©, et le oolon-el 1 tançais Langlois, aloi*s professeur à l'Ecole de guewe, apposant le problème résolu, ejqDosait quel devrait l'emploi eut lo champ de bataille d'un seonblable ( Matériel. On ne peut s'empêcheT de songer à Jules ^ f erno décriront le « Naufcilus » sans pour cela inventer l [o sous-marin. D'ailleui-s, il ne fajut pas oublier (^u a cette époque, on Sitendait par « tir rapide » le tir de cinq à six co-uipo par ] minute, et l'on n'aurait jamais osé rêvetr ce q-ui de- ( puis... mais n'anticipons pas. , Lo Comité d'artillerie définit alors le programme au- ( Xuei devrait ■satisfaire un matériel nouveau. Comme } boute œuvre de estte nature, ce programme ne pouvait taire état que de ce que connaissaient ses auteurs et non pas prévoir ce que seraient lee inventions du lendemain. ( Lo programme ainsi fait ne -devait rien donner et, en ] effet, il ne donna rien.La vérité ee fit jour par une autre ' roie, et il cet piquant de constater qu'elle aurait pu * être connue en Allemagne plus tôt qu'en France. 1 Le général ^Mathieu, directe a r de l'artillerie, reçut un ] jour avis qu un ingénieur d-e la maison Griison avait * quitté cette société à la suite d'essai3 malheureux d'un canon dont l'affût ne reculait pas. Ce fut pour le> géné- -rai une révélation ; il f uit» convaincu que là était la vérité. * Le général chercha d'abord un officier qui voulût bien entreprendre uno étude aussi difficile', et finalement chargea le commandant Déport, aloi'B -di.recteur dé l'ar- J tillerie de lraîeliêr^de Puteaus-, do réaliser un matériel £ dont le canon reculerait «seul sur un frein à. longue coua^se sane eniti^aîner l'affût. Dans le courant dfâ' l'année 1894, < fo commandant Déport réussissait à tirer -devant le mi- / < nistre un semblable canon; certes, ce n'était enGorei' ' qu'un engin d'étude,mais il semblait prouvé que le pro-t 1 blèjne a.urait une solution'. Sur ces entrefaites, le- lieutenant-colonel Déport pre-v nait sa retraite», ayant fourni la -preuve que la voie nou-; -, y elle pouvait 4tre utilement suivie. De ce- -canon d'étude^ J il s'agipait de faille un matériel d'artillerie. Or, à la- ' même époque, le même problème venait d'être résolut ^ pour un matériel de petit calibre par le^cayit^jne. Sainte- ' L Cif^ïï;© Deville^ mais la solution du problème ava^-et-é bzën pïus complète, car l'étude avait été poussée jusqu'à ] 'a réalisation d'e toutes les conditions dfci véritable tir i rapide, culasse automatique, débouohoirs, caisson spé- < slaloment aménagés, etc. • Le successeur cki général Mathieu, le général Deloye, < St alors appvl «aïs capitaine Samt*?-Claire Deville» pour J continuer l'étude du lieutenant-colonel' Déport, et lui donna pour adjoint, au début de l'année 1S$5, im offi-:i©r qui avait déjà proposé desi perfectionnements au matériel d'artiilarie» alors qu'il était lieutenant et venait 1 paiement do passer capi';i34]ç^J_iymai]Jj.o. <■ Inutile de dire- que la tâché était rude et nombreux les ( see'ptiq'iajcs refusant de croire au succès d'une œuvre pa- ® reilî'e. Mais sous la direction de Sainte-Claire Deville, wc-o uro patience et une méthode inlassables, cas- deux i&kàem s'attaquèrent sitccessivament à chaque dlifii- ïulte, pascant tout d^abord des mois et <heo mois à met- il j jre au point le frein idéal celui qui n'aura jamais une h aible^e, qui fonctionnera impeccablement jusqu'au V p-out et dont personne ne connaîtra lie mécanisme secret J1 i-iasqu'au joiïr de la guerre attendue. Mais il ne suffirait fl ?as de réalisea.* un canon; idéal, il fallait aboutir à l'har-îionis d-e l'oEGeenblo complet dont la perfection constitue aujouivi'h'ui le meilleur do cette œuwe, où le canon jrand consommateur de munitions, trouve son caisson * ^éseirvoir à côté de. lui, peut diriger son tir rapide dans < XHiiS les cens, selon le « terrible fauchage » où l'artilleur ,É peut, à volonté, :sans raleintir le feu, déclaneheir le tir ] usant ou le tir percutant, où en^n les servants «sont con-oittablement installés à l'abri do boucliers protecteurs. Ce fut l'œuvre de Sainte-Claire. Deville et Eimailho, ie 1895 à 1897, date d& l'adoption;Dès lors,tous leurs ef- j 'oris fur'ent^dirigés vers l'organisation d'une fabrication lont la rapidité foudroyante permît de saluer l'appari- ] ion des batteries de 75 comme uno révélation. Les constructeurs ne manquèrent pas d'aller, sur le j ïhamp de t|r, indiquer la tactique nouvelle convenant j i l'emploi d'une artillerie si différente de tout oe< que , £ 'on connaissait jusqu'alors. Non contents d'avoir doté j eur arme d'un matériel de campagne hors de pair, ils \ 1 j'inquiétèrent de suite d e le compléter par des canons i le plus gros caUbres,et c'est de ce moment que Himailho ie^fit le'champiou de l'artillerie lourde à tir rapide, en îréanfc dès l'ajinéë 1S>99 le matériel qui porte son nom. { Vinsi se préparait, dans un ensemble harmonieux, tout -, m système d'artillerie dérivant du principe fécond du T 'rein à longue eourse si bien réalisé dans le 75. et dorant aboutir à dote.r la Franco, sans aucune difficulté, | îo matériels d'ajrtillerio mobiles et puissants, aussi -, non pour la guerre de campagne que pour les opéra- \ ion a do siège. j i < LES FAITS DU JOUR .■«wM'htftBra'iwîiWiiiii i a La « Tribune de Genève » reçoit de son coiTespondant ^ ^ Eome l'information suivante : « Le gouvernement vient d: interdire, jusque-fin. jan- der, toutes les Inam?cotation® ou meetings ayant pour ? rat "de pousser ^Italie à intervenir dans la guerre ac- ( uelle. On se demande pourquoi on a fixé un terme à î: jette interdiction. » 1 Le président du Conseil des ministres français, M. Vi-iani, vient de recevoir officiellement la nouvelle de là r nort de son JUstombé, le 22 août, sur le champ le bataille de Cussigny (Meurthe-et-Moselle), à la fron- ^ ■ière même, à quelques mètres des tranchées alieman- 1 les, que la 4° compagnie du 131e de ligne, dont il faisait >artie, avait reçu l'ordre d'attaquer. L'aîné sert à l'armée comme sous-officier. ~ Thann, la petite ville d'Alsace dont il est presque c oumelloment question dans les communiqués officiels, T ^st justement hbve do son église -et aussi de sa mairie. li'église; dédiée à saint Théobald, est une miniature de < a eathedralo de Strasboui'g. Elle a été construite du treizième au quinzième siècle. Quant à la mairies intéressant édifice du dix-hui-ième siècle, son architecte est illustre dans Fhistoire... îoinme général. Cet architecte, -en effet, est Kléfoer ! Oui, Kléber, fils d'un maître maçon de Strasbourg, iva-it débuté dans la carrière paternelle. Il s'y était nênie élevé au rang d'architecte, et Louis XVI, pour ■©connaître ses efforts et son talent, l'avait nomme, en 1783, « inspecteur de9 bâtiments du Roi » à Belfort. 5 3e fut alors que Kléber alla construire à Thann un 1 ïospice <jui est devenu l'hôtel de ville qu'on y voit au- l. ourd'hui. Quelques années plus tard, le petit «inspecr ( >eur des bâtiments du Roi s s'engageait, en 1792, com- 4 ne volontaire, et l'on sait lo reste de son histoire. c Suivait divers^ journaux allemands, 4e nombreux su-ets suisses auraient été expulsés de la Ooehinchine et lu Tonkin pour le seul motif qu'ils étaient intéressés f lans l'exploitation de firmes allemandes ou employés f aar des commerçants allemands. On dit que la Suisse {t lurait protesté auprès du gouvernement français à ce & 3ujot. 1 À! i i i'-iir ■- ..T iirMrtfc,. *•! On dément de Vienne la nouvelle suivant laquelle le ompesiteur Frans Lehar aurait été fait prisonnï«s* paies Russes. Frans Léhar n'a pas quitté Vienne depuis e début de la guerre. » D'après une déclaration de M. Asquith, le premier ninistre anglais, tous les coBunentaires ciès journaux elatifs à l'apparition éventuelle des Japonais sur le héâtre de la'guerne en Europe sont oiseux, l'Angle-erre n'ayant pas besoin du secours des Japonais. ^ ^ ^ \ c. On mande du Havre ^ue le gouveimement polg<^f vient b le créer à Rouen line ecole d officiers en vue a obvior 0 i la pénurie des cadres. — 111 - - P Les journaux londoniens annoncent que le Prince de a ■ralles a repris le commandement d'un régiment terni- t: orial eft l'a condiuit p-ereonnellement dans les tranchées n )our y remplacer les contingents asiatiques. *—ti La situation de l'industrie du coton dans les Indes )ritaimiqueis est asiisea critique. Le gouvernement accor- ^ liera aux planteurs des avances jusqu'à concurrence de t £, qui seront empruntées à la réserve de la banque l'émission. Le gouveameureTut prendii>a au sui'pîus des r< nesures en vue de restreindre la culture du coton. La deuxième expédition antarctique de Sh-akleton a _ fuitté l'Angleterre au début du mois d'aoirt et est re-lartio au mois d'octobre de Buenos-Ayres pour la >uède. Son navir.e principal est l'Endurance, oonistruit p sn vue die la navigation polaire en Norvège. Il doit p ransporter ShaHeton et Ses 14 compagnons dans la mer £ le Weddell d'où ils espèrent pouvoir traverser l'Océan ^ mt arctique. L'Aurora, le navire de Maison, établira à la baie îlac Mur do une seconde station qui sera placée sous le ^ îommandement du lieutenant Mac Intosîi. <J d En ce qui concerne une récente appréciation de M. g Sazono^vv sur la neutralité italienne, ~îe (( CïïcrniaFe d'Iî'a- ia » dit' : ^ o — La gueri'e a éœïvté à la suite d'un dhoe de f orces y itrang'ères à l'Italie-A paient la neutralité italienne itait de pleia^droit/^ous avona fait cependant alors ^ outes nos ré&^Twrsfen prévision d'é ventua-1 itée où no g a ntérêts se trouveraient, par la suite des événements, n îirectement ou indii^ctement menacés. y Cela s'eBt>-il produit jusqu'à présent-? Non. M. Sazoïiow^doit donc nous permettre tde penser que 'Italie afflt bien.' -en se maintenant dans la neutralité u rtr^u'el'Sc""a Té"de -#irs=pirer sr^plemch't î1 le son propre intérêt pour les décisions qui lui seront suggérées par le développement ttîtérieu? dûs > év&ne- 0 ©sot®. L'Italie restera toujours généreuse et libénaîe-, -ière dc^ son droit. Nous ne son.grrone jamais à fermier vildriaux. Yougo -Siav es. _ Nô'iis- ïi e ^udriôàs ^as G î-çn Sus rendre amèrés et 'd^ficii-es nos relations avec r> lés peuples' avec "lesquels nous serions éventuellement '/ ippeléo à collaborer pour le 1d>évdoppcsn-ent économi- ^ lue et les -progrès de la civili-satioiu dans «l'est de l'Eu- Ope. - ^ Des dépêches de Salonique confirment que les Turc.^L je sont îotiï'és d'Andrinople, où ils avaient tr^T^féréi >outo "leur-aFtMîea'i-e de--caïrrpagrbe, peur pouvoii-mi^îix 1 Lssurer la défense de ConstantinopHie. Il' ne reste jpîusl ^ [lis 4,0QÇ> hommes de troupes à Andrinop'l-e, tandis qu'à! g 5an étsfan'ol c'est-à-dire à une dizaine de ki-lomètrœi „ lo la eapitalle, sont concentrés 150,000 scu'5a£fc. _ Unis dans la vie comme -dans la mort, il aura été d;if- 1- icilo -de l'être pilU© que ne- le furent les dieux fils ju- I u-eaux de M* Russe!, de Crewo. Ayant vu ie jour à la e nome he-ure, ils s'étaient enrôlés ensemble dans la narine et servaient tous les deux à l'iriirmerie du t : Formidaible )) lorsque le cuirassé fut torpillé. On re- 1" roufva leurs cadavres enLaoés... . . - . r On man;de de Pétrograd qu'un ukase impérial sera ^ ralbâié prdeisamemont, appelant les jeunes gens de la ■ 'lasse 1915 à> se préseiîi-er devant les conseils de. ravi-ion à ^partir du 15 janvier jusqu'au 15 février. - \ . Le contingent qu'ils fourniront est éva&ué à'- 585,W i^mm.cts. —'—'— ^, S _Echantillon du style pittoresque des lettres de trou-îiers ; on croirait, parole ! qu'ils racontent " une ker-ueese : — Ce soir, il y a grande fête à Y... et ses environ/s. ^'ouverture commencera par des salives d'artillerie tjks lomlbreuses. A. cet instant même, destruction d'un ortin ennemi par trois chambres contenant chacune ,800 kilos de poudre. Presque aussitôt, jeu de mae- q ^a-ere, c'est-à-dire_ attaque à la baïonnette sur tout e front, de ma division. Attractions lumineusee, boues éclairantes, tir sur têtes, rien rue manquera à la u ête. » a M$e Alexin-sky Ludimila, qui vient de mourir près n f Odessa des suites d'un empoisonnement du cang pro- c oqué par de nombreuses blessures, aura eu une glo-ieus>e carrière d'infirmière volontaire : S A la bataille de CumbTnn.en, alorg qu'dlie aidait à n raniaporter hors du lieu de combat un 'homme griè-ement btkeséj elle fut atteinte d'une fballe à la main. Jne fois guérie, eKie fut transférée à l'armée du géné- ! al Rousski, en Galicie, où elle assista à trois batailles. L Rozwadok, le docteur qu'elle aidait fut tué par un ^ »bus, -et son corps fut projeté avec une telle violence C ontre Mlle Alexinsky qu!'elil'e en fut presque ass©m^. é" aée. Après s'être reposée quelques semîaines, elle retour-a au front, où elle apporta des secours à de nombreux lîessés allemands, restamt parfois dix-se.pt heures sous a feu. Elle se rendit ensuite dans le sud de la Pologno, où <£ lie assista à l'assaut de Piotrkoff par les Autrichiens. )omroe ello quittait la ville, elle fut atteinte d'une & aiEe à î'épaule. Elle fut transportée à Moscou et, de • dans lai Russie du Sud, où eîl-e vient d/expirer. ^ q L'ambasaideur d'Espa.gne à Berlin est avisé piar le ^ jînistère des Affaires étrangères allemand que die gou- d iernemenb de l'Empire a concédé^ la franchise de ;ouane aux-envois de tabac à destination des prison- ^ ij>ers français. ""■"""--m m i mm, wmm un- ^ Les destroyer. ottoman « Pedk-I-Ch eiket », sorti ea- t. nedî^ dans la mer Noire, a été ramené le soir même à ^ itenin, sur lo Rospliore, par deux autres bateaux. Sa p oque était percée de coups 'de canon, son canon dJar- J ière étaTT 'd'ftfliUil L pour î'instâait inutilisable.y a On annonce, dans les cercles du 'Vatican, que les >tafes-Unis. imitant l'exemple de la G-ran^do-Breta.^ne, , ont bieartot. déléguer un envoyé extraord'inaire près D u Sainl-Siè^p. Le but ostensibîo de cette amhaœado r< era de^ïeScSer lo pape de son aoceesion au trône pon- : ificiat. Mais le but réel serait de «discuter la possilbi-Lté d'une •proposition du pape on faveur 'de la paix. ^ Une lettre de Constantinoplie dit que persojwie nev, ait depuis plusieurs jours où. oe trouve régH;e|Q"|nt J8& y or paoha. D'après les dterniei'^ 'flSWëJBes (■'e coro'- d ^ant, i-1 f^e^trouvait en Arménie d^où il était pairti'pour é ^onstantinopte. Cependant, il n'est pas encore arrivé ians la capitale. _ i3 Ce retard incoiri prc-fhenisible donne lieni à tiiaints ommentaîres. nmrrrir-i „ tteize aéropàaaie«-«llemnnfÎG ont été aperçus au-dessus l le la mer du Nord. Letf JWrateuTs avaient incontestablement pour but d'effectuer un raid au-dessus de l'Angle-erre. Mais les conditions climatériques ne leur parais-ant probablement pas aeaoz taxables, il & ont viré ' n haute nier et se sont dirigés verc I COMMUNIQUÉS OFFICIELS Commaaîqiïés aiJemansis Vienne, 13 janvier (Officiel d'hier) : Les tentatives faites par l'ennemi en vue de for-;r le passage de la Nida se sont répétées hier. Tan-is qu'un violent combat d'artillerie se déroulait sux >ut le front, le gros de l'ennemi nous a attaqués e nouveau dans le secteur sud, mais son attaque été brisée très rapidement par le feu de notre ar-llerie et il s'est enfui, laissant des centaines de torts et de blessés dans nos .positions. Le combat d'artillerie continue au sud de la Vis-île.Dans les Carpathes, le temps défavorable rend if&cile toute action de grande envergure. Dams .la vallée de l'Ung supérieur, l'ennemi s'est îti'i'é plus près du col d'Uzsok. * * * Constantinople, 10 janvier (Officiel). (Transmis-on retardée) : Contrairement aux informations inexactes de la resse russe sur la défaite turque, le quartier généra] ublie une dépêche du commandant de l'armée du aucase du 9 janvier -sur les opérations militaires es deux dernières semaines. Cette dépêche dit : Sur le front principal nos troupes ont enlevé à ennemi des positions dominantes situées au delà e la frontière. Les opérations près d'Olty et d'Ar-akhan ont été arrêtées par la neige et le froid ri-oureux.Nos divisions avançant autour d'Azerbeidjan sr.tinuent malgré le mauvais temps à poursuivre ennemi, qui se retire après que nous avens occupé jumi (Urmia) et Kotur. Les Russes prétendent voir fait prisonnier un commandant de corps d'ar-îée; cette nouvelle est déclarée fausse. En réalité, ne division russe a attaqué dans un village russe ne colonne de blessés, parmi lesquels se trouvait n commandant de brigade grièvement blessé. Ce-li-ci a été fait prisonnier et les autres tués. Dans l'Irak, deux bataillons d'infanterie anglais nt essayé hier de surprendre, avec deux mitrail-ntses à tir rapide. Je camp de. îiO§ amis arabes ans les enviions de Kurna; ils sont tombés dans un Ttet-apcns. Nous avons perdu 123 morts et blessés, iprès t;n combat de deux heures, les arabes ont ««suivi l'ennemi; bien qu'ils fussent exposés à courte -distance au feu d-es canons, ils n'ont eu que 5 blessés. * * » Constantinople, 13 janvier : D'après désinformations de source sérieuse^ imposte e gardes turcs a tiré à Schiscbesi, à 7 lieues d'jjcaba, ar un hydroplan e qui s'élevait du orokèar anglais Miner va et lJa descendu en détruisant sc^drTtt: 5as et -son hélice. Dans l'appareil a été trouvée im« arte sur laquelle était indiquée» la direction à suivre our atteindre Wadi el Ara.ba^ et diverses intructions. .'observateur Gérald a été fait prisonnier; on recher-be lo pilote qui s'est e-nîui. Le croiseur anglais Doris, qui croise depuis quelque 3inps dans les eaux -syriennes, a détruit des lignes té-îgraphîques. Il a débarqué le 9 janvier des troupes rès de Sariskoi; par suite de la r-écistanco opposée par l garde de la côte, ces troupes ont dû se réembarquer n abandonnant onze caisses de munitions. Le iende-iain, le Doris a effectué un -s,eo«nd débarquement à la ôte, près d'Alexandrette, et a bombardé, contraire-îent aux droits des gens, les localités ouverte®, avec ses anoriis et ses mitrailleuses. D-eux femmes, deux jounes lies et un garçon y ont trouve la mort. CGîîîrminSquis dss années aïUéaa Paris, 11 janvier (Communiqué of ficiel de 15 heu-is) : De la mer à La Lys, il n'y a eu par intermittence u'un duel d'artillerie peu violent. Dans la région de La Boisselle, nous avons pris ne tranchée après un combat acharné. Au nord-est de Soissons, nous avons repoussé une ttaque ennemie au bastion 132 et, ayant attaqué à otre tour, nous avons pris deux kgnes de tran-:iées d'environ 500 mètres, qui forment le prolon-ement oriental des tranchées dont nous nous som-îes emparés le 3 janvier. Au nord de Perthes, nous avons pris une ligne e 200 mètres' de tranchée. Au nord de Beau^Séjour, l'ennemi a mis- tout en ruvre pour reprendre le fortin qu'il avait perdu, es contre-attaques particulièrement violentes ont :é repoussées. II neige abondamment dans les Vosges. * * * Pétrograd, 10 janvier (Communiqué officiel du rand èlat-major général) : Sur la rive gauche de la Vistuk, des combats se )nt livrés. Dans, la nuit du 8 au 9 et durant tout te >ur suivant, les Allemands ont effectué quatre atta-ues consécutives au nord du village de Sucha. Tou-s ces attaques ont été repoussées soit par notre feu 'artillerie, soit par des c«ntre-atta^ues. Près de la ferme Dalowatka, un petit détachement e nos troupes a attaqué subitement Fenneiiii qui était .approché de nos lignes au moyen de tunnels, 'attaque était appuyée par le lancement de gTefta-es à main et nous avons réussi à repousser l'enne-/ îi de ses tranchées. Dans la région de la ferme Mogely, nous avon* vancé, nous avons occupé une partie des tranchéîfî inemics et nous cous y sommes fortifiés. Sur le front autrichien, aucun changement not|-!e à signaler. Nos attaques partielles ont été coi-jnnées- de succès. # * # Pétrograd, 11 janvier (Communiqué officiel d\ rand état-major général) : Sur la rive gauche de la Vistale, les Allemands ! nt essayé, le 10, par des attaques de jour et de nuit, e rompre notre front en différente points. Ils ont :é repoussés. En Galicie nos troupes resfent en Contact avec ennemi.; "" ; '' '7; ; Pétrograd, 11 janvier (Officiel de l'état-major de armée du Caucase) : La bataille dans la région de Kâra Urgan se oursuiit avec la plus grande opiniâtreté. Sur les autres théâtres de la sfiierre il n'y a pas e chanp'errt^f-^ Dégâçiies du/srsas Londres, 10 janvier : | Lord Itoûeberry, dans arme grande réunion politique •* tenue à Dalkëith, a déclaré que l'on -se trouvait devant deux faite d'une importance capitale-. Le premier, ci'est que la nation anglais© devra se courber définitivement sous le joug <si elle ne lutte pas jusqu'à con -dernier ishelling et jusqu'à eon dernier homme. Le second fait, c'est que l'Allemagne, « la plus grande nation militaire dtr monda n, sait qfte ei dlé cet 'battu® elle ne pourra ptos * * Pétrograd, S janvier : Ischan Pacha, le commandant supérieur du 9" corps-dfarmée turc, vient d^arriver à Tiflis, en compagnie de- |y 4 généraux et d'autres officiers faits comme lui prisonniers dan® le Caucase. Il a déclaré que la défaite-Se son armée est due principalement à lia rigueur terrible du climat. La première partie du corps d'armée ;'qui a atteint Sarykamyôdh, avec laquelle se trouvait-Il'état-major, ne comptait que >6,000 'homme». Les Rus-ise6, les ayant encerclés, leur ont rendu impraticable par le feu de leur artillerie le passage des cols. Appuyés .par le feu de 12 canons à tir rapide et !do |12 pièces de montagne, les Turcs ont fait la nuit six [tentatives désespérées pour percer les lignes ennemies. % £ |La plupart de leure artilleurs ont été tué© et leux^..^u-nons mis hors. de combav.-^oîwqtrîseMT'F^cSa sr-est iM, rendu, il^"îuÊfY'tn testait plus que 300 hommes valides. jp \ * " * Beniie, 11 janvier : Le Conseil^ fédéral a prié les représentants de la Suisse à Paris et à Berlin de mettre à la disposition du gouvernement auprès duquel ils sont accrédités les services de la Croix-Kouge -suisse et les trains sanitaires de l'armée, dans l'eyentualité d'un accord relatif au rapatriement des militaires devenus définitivement inaptes au service., l-otoi-i, Turin, 12 janvier : ' •Les ouvriers de Turin ont organisé hier une grande mmiifestation contre la participation de l'Italie à la guorae. ^ ^ ^ ^ Londi'es, 11 janvier : Avant-hier soir, dit le « Daily Chronicle », un aéro- r plane allemand, venant de l'intérieur de la Belgique,.^ par'Furn^TJu^erque, a survolé, en comp%HT^"^S trois 0-alai-s dans la direction de Dou-| à une très grande hauteur. Les canons1 ont été I mis en position près de Calais, mais ils n'ont paa| atteint les aéroplane-s ennemis. Christiania, 9 janvier : L'ambassadeur# d'Ailemagne à Christiania a prié le ministre des aîïair-es étrangères de faire connaître aux. .. intéressés le grand danger que fait courir aux bateaux. L de pêche les mines placées à la côte aliemande de la | mer du Nord. - - • - $ * * * Berne, 9 janvier : Le Conseil fédérai Suisse \ décidé que l'importation, des céréales •serait rés^>*vée désormais exclu?iv-Sînëht aux autorité^"cïé" Ta "Confédération. La mésuï'è''a Un caractère transitoire et n'est piâse que pour la durée de la guerre^ actuelle. Elle a pour but d'aplanir les difn-cultés qui s'opposent à l'exportation des céréales vers la Suisse. * * * Paris, 13 janvier : Le « Temps » annonce que la population do Paris se- | ra incessamment -avertie des msUi^-q^i em4M°fr&"prisies £ en vue d'une diminution évmtoelle de l3éclairago des t rues. Ces mesures ont poUÎMmt ^^afèr au danger ffes i attaques allemandes par zeppelins. * ?" * Piome, 11 janvier : On affirme quo l'incident de Ho'dèidah .est sur le point do recevoir une définitive Solution. I^a. Porté a ; donné l'ordre aux autorités du Yémen de clore cet ;j incident en acceptant toutes les exigeueeis eans excep- | tion du gouyernëfiiént italien, y cornpns le saint au | drapeau ita^ion^ Gi^Mal'e- d'Italia » dit à ce piro- | pos : — Nos cercles dirigaain-ts savent que le© ordres de la Porte ©ont libellés en cé sens et ne laieoent pas subsister le moindre 'doute sur Se© intentions1. » *** Pétrograd1, 11 janvier : A la suite d'un exode en masse dés habitant© die Tiflk?, lie gouverneur rusée à pIMë ttta à^k'dRaSt que la ville n'est directement menacée d'aucun- Ranger. Le rentrorçetméfLt dé la garnri©on ot la mise en lieu sûr hors ville de© ardhives et des propriétés do l'Etat n'ont été que les- précaution© qui g inlpo&ênt eiï temps de guerre. Le gouverneur menace d'une amende dé 3,000 roubles ou d'une peine poitvant aller jusqu'à trois mois de prison, toute personne qui publie do faux bruits sur la situation de la guerre. * * •» Dunkorque, 10 janvier : Douze aéroplanes allemands ont survolé ce matin notre ville et les environs et ont lancé 30 bombes. Les dommages matériels ont été de très peu dimportance. N._ de la R.^— Il s'agit évidemment des taubeê qui faisaient partie de l'escadrille dont parle notre dépêche - de Lofidrofl do mêm© date4 . _ . . * » Paris, 10 janvier : Oinç[ mille per5j^iffisT.j;gunkis hier au TrOéadeFo, ont î Assiste à rinau^iration duTtosie clu vaillant défenseur de- Liège, !<c; géîiéral 'Ijgil'iafï. ^ ..Mf.-' Amsterdam,. lï miméV On mande de.Sluis qu'iifl des aéroplanes paru à la cote a dû atterrir près de Z^eebrugge. Un aviateur français et Un Officier anglais ont été. faits prisonnier®. - T , .*• : Londres, 11 janvier^ Les joUrnatix anglais sont per'sUadés que la réponse \ de sir Gréy à là noté américaine sera accueillie favo- \ rablerntÇTrtrjftTX Ëtâts-Unxs et quê la grande majorité du l p'èUplo américain sera convaincue de ce que les plain- ; tes de son gouvernement ne reposent pas sur des bases i bien sérieuses. Les journaux croient due lâ réponse américàiûe' amè- -nefa une entente complète; * * * I New-York, 11 janvier^ : Las journaux du matin qualifient la réponse de «âr j Edward Grey d'amioaLer et conciliante. Ils disent qvse f sur divers pt5îfft-s> précisés par sir Grey le point do vue J anglais et le point de vue américain ne sont pas du tout inconciliables. -IM ^nnjpiinviHiH.ipn|iiR8innBK8KnnK8M9iQRBniÉn^-'' Paris, 11 janvier : L'agence Bouter annonce officiellement qu'un aviateur allemand a survolé la région de Dunkerque et & jeté des bombes-sur Maio4es-B-aiBs, Cinq hommes ont été tués. Au-dessus d'Amiens, un aéroplane allemand poursuivi par un appareil français est tombé dans les lignes françaises. #% Cettigné, 9 janvier : ^ Un aéroplané autrïchierÉ a été aperçu aurtiessus de Cettigné ce matin; il a lancé deux bombes. L'une d'elles > n'a pas explosé, l'autre a détruit un magasin. D'autres bombes sont tombées dans les environs de l'hôpital ; perc ! ^onnp- Ti'f. pf.fip.in'v.

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie gehört zu der Kategorie Gecensureerde pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1914 bis 1918.

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