La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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s.n. 1915, 13 Januar. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Konsultiert 12 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/707wm1530w/
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Mercredi 13 Janvier 1915 n° m M rcredi i3 Janvier 1915 KSK**X*ki j--'?y^yaiS£-w'.gMTW'. W -gge.W-^'»"p.v * ■"^crooLX»rey~^TJTraggrg>jnr»^y-v- LA BELGIQUE administration et rédaction f$, 'Situe DRUXELUB^I Bureaux : de fO à 13 et de 15 à 17 heures JOURNAL QUOTIDIEN LE NUMÉRO : lO CENTIMES ïa jwtst. îîgn.. ; &. a.*» ANNONCES . : . . . l.c« Oorpi *a jocrxat ^ 9JM »ototegïi slm ^<*.-^. -111, lia ■■IIHIMIIIHI ■!———LMt__nu LA GUERRE 163"* jour d» guerro La médiocre importance — on serait ten-té do < I j'uisigmliance — des événements sagnalés par ■ derniers communiqués relatiis à la guerre d i l'Ouest, nous laisse le loisn d'un examen rétros}. I tii ces laits cie guerre les plus urieressaiits# de I dernières semâmes, i-ar Ions au jour d hui, si vous v | lez bien, de la prise de Saint-Georges. Sans doute la prise de possession de ce village ] les Alliés n'a pas sensiblement modifie la situât unitaire sui l'Vser, inchangée depuis lors, mai; i feécit des efiorts qu'il leur a lallu déployer est as i xémenl suggestif .* au surplus, il est particu 1 îèrcm [ intéressant pour nos lecteurs à raison de la large p I ticipation que les soldats belges ont prise à l'opé Ition. Le village de Saint-Georges n'est à propren* I pailer qu'un hameau, car il ne comprend que qi I ques maisons s'alignan-t entre le canal de l'Yser i la route. L'inondation n'a laissé de praticable, p Imi les voies d'accès, qoi'une chaussée surélevée et ■ digue sud du canal. Partout ailleurs c'est l'eau, I bien c'est une boue très liquide dans laquelle on < I fonce jusqu'aux genoux. Saint-Georges avait été I ganisé en un véritable fortin et la chaussée, qui ét I occupée, était garnie de âls de fer. Les Alliés, par suite, durent progresser vers le i I lage en creusant dans la chaussée même un boy I de sape. De place en place, le boyau s'élargtss; [ formant un abri pour les troupes qua devaient é I chargées de donner l'assaut. Le même travail ét I exécuté sur la digue sud. Le 27 décembre, les assaillants parvenaient air [ gagnant de mètre en mètre, jusqu'à une maison [ passeur située au nord de Saint-Georges. Ce po d'appui étant tombé en leur pouvoir, l'assaut ; [ donné le lendemain. MalgTé un feu violent, quelques fusiliers rnauj I réussirent à charger une pièce de canon sur une pq [ embarcation et à la mettre en batterie sur La digj ! à très petite distance des maisons de Saint-Geoq j qui s'écroulèrent sous les obus. En même temps,y | Sud, les troupes belges s'avamçant dans la bou< Imi détachement de marins venus de Ramscapeî ■ «'installaient dans deux fermes d'où leurs feux p filaient d'enfilade les défenseurs du village. ; Les fusiliers, groupés dans le boyau de la roU livrèrent un assaut à la suite duquel les W dett» \ marins allemands restés dans Saint-Georges se n dirent. On sait que les Alliés s'y maintinrent, bien qu' butte à un très violent bombardement au cours d quel quatre mille obus de tout calibre bouleversèrc leuis tranchées, et réduisirent le village en un me ; ceau de ruuies si lamentable que l'ennemi a renon i à en tenter la reprise. I Outre l'infanterie, une section belge de mitraille | ses s'est particulièrement distinguée dans cette aS. | re. Ce n'est du reste pas seulement à l'occasion de [prise de Saint-Georges que ngs soldats ont fait p; 11er d'eux. Certains de nos détachements — le ra r oort officiel du quartier général français sur les pn Ifcipaux faits de guerre du 25 décembre au 4 janv: [■en fait foi — ont progressé de 100 mètres au sud ■ I Dixmude le 25 décembre et de 40 mètres le 27, m; Igré le leu violent de l'artillerie allemande. Dans I I journées des 30 et 31 décembre et des I" et 2 janvij [ l'armée belge a occupé plusieurs fermes que l'eiïttei ( tenait encore sur la rive gauche de l'Yzer, et 'pous I des reconnaissances sur la route de Pervyse à Sôhoc jback. C'est dire que malgré les rtides ot longues épreiiV i qu'ils ont subies, nos soldats continuent à fairejie; [devoir — tout leur devoir — avec une constat^ i-gne d'admiration. M *** [ Si nous ne poussons pas plus loin aujourd'hui rappel des événements accomplis, ce n'est pas |q Inous trouvions dans le travail qui se fait actuèli unent, sur le front dans l'Ouest, l'occasion de reljhv Un lait saillant ou digne d'un commentaire.L'in^n biiité«partout y triomphe. Il est d'ailleurs très épi | préhensible qu'à la préoccupation de naguère, ^q. [était de combattre immédiatement, ait succédé JQ mentanément chez les belligérants — surtout <|ai les Flandres — le désir le préserver le mieux cS plus: longtemps possible leurs ouvrages défensifsld dégâts que l'eau y occasionne. Les pluies et l'irijp: dation feraient évacuer la plupart des trancM* beaucoup plus vite que le plus meurtrier des fe d artillerie et le plus furieux assaut, si des deux é tes l'on ne s'ingéniait/nous ne dirons pas à les mai tenir a sec, mais à les soustraire aux incessantes v nues d'eau boueuse. Les Alliés y emploient des pou pes a jet continu, et les Allemands des pourçw qu actionne, paraît-il, l'énergie électrique que lei envoie 1 usine centrale de Lille. Ils ont même im ^ine, au moyen de leurs appareils d'exhaure, un no /eau genre de combat : on raconte en effet qu'ils en tente de refouler l'eau de leurs tranchées vers ce) l< «e Jeurs adversaires, et que seul le manque de dér! wté du terrain a empêché leur projet de réussir. * Sur le théâtre de la guerre dans l'Est on piétir également sur place, et depuis le nord de la Pologx Jusqu'au sud de la Galicie occidentale la parole surtout au canon. L'intervention de l'artillerie e Particulièrement active en Galicie, où les Russes o: « plus grajtt! intérêt à ne pas se laisser contenir b défœuncnit par les Autrichiens. Après les eflorts à fructueux qu'ils ont fait il y a huit jours pour acc<s leur contre-offensive sur la Dunajec infciieun S* la BiaJa et dans la région de Gcrliœ, ils pe dissent avoir changé de tactique : des corxespoi «amis de gurre prétendent en effet qo'en vx* ci réduire les fortes positions que l'adversaire y <x f^pe, ils ont amené soit ce front îhw partie à '2 grosse artillerie jusqu'ici braquée ooatre les fort e Przemysl. Cest sans d«Xe à ces canon» lourei lie les Autrichiens s'apprêtent à opposer les faantai * moteur dont on a souvent et tant parlé, la ? i®3 Russes ont repris foffensive s« et essayé à plusieurs endroits — sans aucv d'après Vienne — de traverser cette rivière avons précisément exposé hier la difficulté d ^ opération. A paît ces tentatives, noua n'avons, ea l'absent d'un comiiiunscjubé <ic PétnogracL, n-cu d'intéressaiw signaler dans l'ELst, où les opérations se soa-î no blemenî ralenties. I] en est de eqAiiic daiis les O pathes, chî œpcndanî 9e suocèdaiean jus«ju'ta sa répit d<s combats opiniâtres, et dans la Bukovij ou les engage 11 semblaient à la veille de prcac im plus gTan>d développement-hi>.c » lets * # <I(S Le calme continue à régner du côté serbe. R-nons-nous à soultigner la persistance des indica-tio ^ officieuses qui disent l'activité fébrile avec laque CMi_ 1 Autriche prépare une prochaine et importante c pédition contre son incommode voisin du SjkL L' aar ?cnoe Ha vas répand même la nouvelle, téîé^Taphi [on ^rieste a*u « Giornalc d'Italoa », que de trè> : rieux effectifs allemands y participeront, su- jours-a, dit-elle, de nombreuses troupes « demandes, composées en majeure partie de Ravarr aj_ et provenant des régnons de Salzbourg, Fransc ra- f^ste, Toblach, on-5 été envoyées vers la Hong: orientale, la Bosnie et l'Herzégovine. =nî On dit que jusqu'à présent 50,000 ou 60,000 ho* ^j. mes ont passé, et qrar d'autres sorrt attendus, d ^ vaut porter leur nombre à 100,000 ou 200,000. I sr- continrent allemand est destiné à renforr la ^aTTn^ autrichienne, foite de 200,000 a 300,0 oti hommes, qui s'apprête à faire tr^s prochaineme ^ une nouvelle tentative contre 1a Serbie. » rjr_ Notts laissons bien entend*»! à î'A-çt^nor Ha va? an responsabilité de cette information à tout le moi; inattendue. rii-s 4-4— ' au \ s wk » ^ M Bepooss 1 le boi§ las Eîaîs-Oâls Lre [' I ta- répons© <î? î* An-g^et-P"rr« h i» not<© a/tn-érioaiui© ooi mfsnw par mettre «n rftgaixJ î>e« <iKrffrf« àr export SlJ taon <iee 1p<p p5iw îm,portia»Trts des pa de n&utree, ea noveonlvre 1913 «t novembre 1914. m( NovenVbr© W13 Novembre la :M Suède dollar» 377,000 2,858.000 Lg Norvv^>g« 477,000 ^ISIVIO D£n«nârtt 658,000 7,101.000 Italie 2,971.000 4,781,000 Jgp Pays Ras 4,369.05» 3,960,000 i _ répouoe scmlign© petit noanbro d» navires d*r a eo à ooiTHMi£t.r* le d-fw priw» et neaii^ i=u qu-er que l'es d#*^«ioci8 o« derme** out été fa>vorai>i 1et aUX DittioT® IKîlJtrt». Entre W 4 août 19V4 «-t 3 ja^îvi«r 773 b&' ^ mente am-érioaims ont qxùtsé W FAsd»» Udx A «destin tion df La HoAaixk^ du Dancmark. N^rwv^e_ ei d»- ^'Italie ; 46 d'entre enx ont été d?éfér> te, au trnKuaaJ d*« prW-e ^LxAng]©beirïie ateum cfCf'il'est iir>po«fribl^ dn visût* !>. oonv»em«i>3ear^n4 en p!*"n>e trt«r »♦*<• soupçonro d« cont,r'lband«L; ta. oargaiBoo n'en p^ost èt.re bi«n in pectée qu« dar» «r> poHv ^ Le coton nJ& ja>mai» éLè ooujsidénA cotrane oonferehaw* U- de gT4€srre, <m«i» J'AngO^erre a eu ra-Wjf,&e sjxVu Stt oraindre qu^ du ouivre eort dia^inm^ dan» t dharg^roent d-e coton, pi ePli» a cowVfu-ftnvmr^rt fro ^ cée, dans œrtaijw oas, pourr faire. dé*^barg-«r In» baT> i; ^.e c.0^°n e'- peser, da> faire aanener des navirei» aru ricaime à quai. O- La réponse expose es outre qo'2 ast. dijffkâJa an gn> 5j- vernement anglais <?adme+tre qne ]•<» oaoutrjlKruo ro j'à exporté des oolomiee h7-it^<nimqii."s vtïr» I" ^ caoulehouc étant rn>cîii»periKable axa beJligérsiTjt» eH < grande® quantité c- produit pora'sssaiDt avoir & P- exportée du Arn-érique depuis le idebaut d^« 1a guerme. n- li^u oonclueion, dit Sir Edward qui a : er note, l'Angileterre a Lf phie grand dé*àr rsr p&t et feraverr 1-e oommeroe normaJ des Etate-Uam, pas ptn j que cakn de» autres nations neictpas. es » "Hdrs dss^laupTnTëFè^^ — zfî, Un eoldat français a reçu l'autre jour, à Phôpdtal « P} ^ le^eoig-ne, h. visite d'un joumaffiste à qui i] a k gè l6>çéeït éinou/vant que voied : b.t — Noue avions reçu 'l'ordre d'avancer. On ]Java reçu, je vous juire, aveu pJakir. D'abord, c'est touâovw plus amusant d avancer. Lt& guerrv de taupinière, c'et vraiment tznop •monotori'e^ Oe n'était pat.» fca peine *0 quittwr Paria pour oe retrouver eniizéa daxic àee ^ et deâ teiErattsements. Mais nous étdonis oont-emo cT. ^ vanœr pour autre ahoao encore. Nota» fcnanohée éfca sapée. Ça n'a l'air de ri«n, bien sûr? à raconter oornin ça, m/aie monsieur, si vous entesntiiez oouaj terre, ai sr dassoiis de voua, au diews^oue dru boyau où voue èi»-. >. pour quarante-huit heures, do grands coups soiwdw, d a_ grands ooup» de pioeb^.. vouk vono d-emar.ideriea re qu'il etiL.. Je G&is bien qu'on survtaille et q<To ^ oontr>e~mine. Tout de mêuï-e, on n'est pa» fàohé quaut o~ arrive la redève. Et en inome temps ou a tout do nus** îs de la peine à voir e'iiîfi-taAer les tiopaina La trancéve te efi-t nuinée. A quel moment sauteara^-t-eliet Li^jqueis à nous se trouveront ià au moment <du bauï... Di-oi d'impression; voua savez ! A la guerro, on entend bea.ti v ooup de vilaine muskjue, bien pLua même qu'on n.e voi =5 de viilainea dhosc», et i) y a vraimesat .d'ee mornsnt* o rs op regrette dTavoir é»* oreil^»... Mai» ees coups <J y pioche !... Enfin, passons!... Noua quittons nos tznîu: oh ©es avanS- que la mine ira «oit prêle et non» iu>u :v ietotna en aivant... Le premier jour? noow gagnon» nu bon bout de terrain, mais un jwtet pnu eo zig2Jv#: >_ Noub avions surU/u». h notre droite, coopér»,nâ à nvûr ^ mouvement, dea tôraiilienj.TB qu'on ne pouvait pas aa: ir vre... Iks étaient aJilée .tâ vite qu'ilfi avaieoa, sttemt « petit boia <a,u d<*fà d'n&e espèce d« pauvre ohatesau qai 1 bâillait tout <?eui, ao bord de kt route, de Ha. pawr y- façade où liee obus iuvaien»t lait un grand trou».. Non* jt noufi étions plue prudente, mais non» progrefwioriB t<m 5 même... Ijô soir, I^sr tinailileiHB qui avaient été troj loin rerpH«n«t pousr garder le contact avec nou*... L 'lendemain, baJ'te... On s■*arrête pou>r orgauieer l»-> t*-* rain... Un jour panse encom, piua on àécàih* d*> aoxsm nu«r i« mouvement... M-iœ avant "de noua éfcasttv*r, i faut reconiLaître oe petJt château.. Le» Aia-esrn^si ^ «ont peut-être terré*» d^-js aàUttâteusm... J** e en patrouilles «o pAe-iu* mrit, avec quelques bonwj>f«.. ^ Voua hsjv^7. c>orraiH'iti, ça m patisfi On rampf> dann t ^ boue, oa ee flaque», enfia, c'est tri >t pitt<2ra*=qu-p'1 No».» arrivor» clsÂt^ant... U c*a PnB à" ABemaorfki» d-f*da.T>», . Pour ^ji«n no-12^ çsn gxSu ^ r«er, noua descendons dxn# ]». c&,v^ arm^s d'un sr*-£- -t- àsv doîA jea fîamrae daTuarv.. Ça dcwrâw-- ds î- l*5® d^orrribre* aîsr Noaaa d<iaoesidoi*... ^ epectaote L.. Oia» tsi'aiKe^iin» qçtî boeî defn* 1 furtyrr jour !— Cht W ajx* à ?ai>ri peixiao^ V 1 combat -e<t. on u'z. pu U» rrpiwjdî*^. De oxrt fj-oi^î. Ik-« » otrt ri«cs.„ li j- «a s, rrc> qtxj çé?n.rt «ro« xm#-£ touty* arroeMet Deux ieuca camatTiiKi^M jxxxr\s v n«2»t nr« corn— Es nom «ipecrx.x'-wairA» k* p^v'rvV" _ diabûe* e** ièvexxt, nesa» pr*-,n»*sb* Vc» miitx:, «'aoqL* cbeni, à mma. U» qœ «rait YètyKzl* dértnr<4* f^h * effccfft qm isanrî.Tr*? k» pâjMw. Noos roà£À plfiriiR die» eau3%; i Nou» rv> pojtvao» ]>a« W k^ssaper V001» voy** k j* W bns^aal. ru» q««- p»c«s?" rueiKMiV* Et, f«ji& iK>t» le» avonn vH^sssk ear è>r»t!obee <knxt 1» j ^ avot» pri» ïn-t <Wi ExoepLé i«s wï'iS a laisser... Kl cz»q cent* ciètree es terrraie aéevauver* i n taxro av#xj o^ . Ç» aut» a <ieir««sdé tjssr : d-" fcfsnp* qav U jour uoo» » surpris. J* ans* towïfcx £ cornue çi. à i* oixime «t ea braa, tout ryr^ n<w tranché**— Nou* rc cfu'yec ^TOCti voJez qu'on » étfli tcw*i d? snArwo un. e debrouaiainda «t qu'3 aJj a ri«n de notre faute^. LES FAITS DU JOUR u- , m Ix» j>orréapondant de guerre du « V or*ârûs» > g&oaaî que lea ttoidata ikli»e*EMUido eo ca.a> ; v-emt tous la* jours un ne-txut d»» chauds. ]J» ou tre 'f somm-enl de la vuuide uraich*> qui juntquo maontotuM ^n'a pa*» fait délaut eu Pria** ori^Soldât» «t o® ici-ers |K>rtr>nt wv eiu uiïe natioa <4o ré»wv<^ compMK |d'une boît^ de viande oaDS9rvét\, 7iC grainic^n c ? pain et de 400 gramoM» de bi»otnt« «>#**. Tîette rat»c : no peut être consommée qo'«i coj» (i^ aécossit^ ai*» i lue. «"ï Gomme ration journalière, k» soldat r«ooit 200 gruxt :x mpi8 d« viande oonwrvée ou 375 gratuute* d«e viaiid^ (ra che, 300 granum» lard, gramme» de café ef , grammaè d«fi auxqiM>la ^«.j^ut^nt un décilitre <j . rhum ou de genièvre, deux cigar*r» ou dee ciçB-rtîtt« ^ 7ô g.rammos oe «liudoux, Ai gramin*»» de fromAç:. 3 grammes de tbé, 17 grainm»» d«- siniw, de» fruit* «*-« tL vcnniceiJe, et mêiue du -'«.ir d'epîce le« jour* 0 * fete. La viande conservée eat délivrer «*oits diverwna f» meâ, non «etuiom^nt eai boÎT^-n, ma.is encore sou» forzr de saucisson <'-t d«» jambon. ic Le oorrrepondaui do guerrv du « Vorwàrtar > dit ury goûté à diverses reprise*, à }î*»Htnairfii lill V ^ trouvé tr^-y satisfaisant.. — l\ji sbïïfffTfc,'"îiîl^îl, bî«u dn® bomnvea trouvent à l'a; mée une meilleur*» nourriture que ebm put, et boKoccii Zc auront d?* la peine plus tard d* se oontenter d'un mcea ^ plu« frugal. > j Nous doutons fort que 1»» intéressé* soient de oat *.và ^ * Nottingharo GuardiaB > raconta l'anecdote voici : îa L'officier ch«»f poste d^une aîation. darw flijaJwi ^ land d'une colccde anglaise, le télégramme me vant au début de la guerre: « Gu^rr*» déoAaré<v **** Bfcij-e^B puissancee ennemies» ». Quelque* jour* sspréo» P«é ficier répondit: « «Fai fait arrête*- «e$xt Aîleanan^èa, qaw fcre Itussea, deux Françam, ci'Kj Italiens, deux Rotxzn&ia et un Autrichien. Dite s-moi avec qui noua soioiuri a n /' Le ministère_de Ja guerre- français vient à eoa tour d «- jq uitter Bo rdetvox pour rênfjrér-dans la capitaUv Les d: yt «vers servons gol>v «ruem fu tau x w trouvent doixt, dès présent, à Par» a-u grand oompk^t. ^ Amirauté anglaise aurait acquis,, dit-on, le bwf , | d'invention d1 appareil serval à pr^eorv-sa' loa oe ■ i nonniera ds» naviîv*, dr guwpp dv* niiez*, de tût àr. ji grossfw pièty» d'artillerie, qui provoquent chœ de > r^5'S de surdité et d»» ébiauleinente o*nmjm S Oet appareil, introduit dans l'oieilK la rendrait iu^xe 5l sible au bruit tonitruant du tir toat en lui pests» j. voir la vodx humaine. ji.ni. 11, - j- r—~ -'"i/" Suivant un télégramme d" An)ert*irdaiïi, la « Gesett 2/^ Cl elle > de ^Bavière anrwiky Ia nomiuation duo nr*o ^ Frar^^de Bavière,^ cinquième enfant du prince^^ér-rtifli ^ comme gÊnéraTooromandant la t^riwétne. brig»>4^ d"» ^ fanterin, eo r«e>rnpl^^;p«icnt du major tjénénd Obœfe, taché au commandant du préétû«r dbrps d'armé». i Almanach d* Gotha > «cre^irtre la mort db rap J f prmcav» aîlomand» tué» à U pimrrr-1/ I( redèric ci» Enwia de 8ax*>-Muaniu^<s^ jV / Mai de H esse. ^ / Ru.dA>if et RriT-taf, Li^jp^ W Oibratb de Vi ilcinck-iJyi n«}ni. ^ Hfjory X V de Roiae. ^ L'« Almanach » »ug*tal« égadem^aat la mort à resBEfctas (V. prince Oie-g, ck> La iaoïiLve uupt^iiaM) rusw»; il a» t+J pas lutî*i4»ïou de J'autoe p^iuca ruttse ujtube sur ie de bataille. >- ^ Le fila-^doptif da l'écriv»» rus*» Maxime GoHû» i jeune Piechk-ol, «?«st engage dau« t &.rub$p fr^ry^jgg, ï ^ a été fait caporxL pui« Bergfsnt «t, À la «aèê ' action» d'eciat, il a etô propose pour Isa grade à» *»«n> lieutenant. Le générai à» Mùn»ber, ocwnmaridant k» 5» oorp* &%» ^ n^kj aU*Hnaod, a uvUtsrcLit &tu ooi£iaXK} soua ««e «rttara d acheter (io© ieUrea dite» « de favour oél «ite >. tlV» tr«^s, placée» sur-^irpoiî,rî?wx -e*ctnt «* porteur cie» sortir raîu eî. (ie la g «me m. On ^v&Im j lôO p. o. les» bènéficoe réaliî*ee par t«ujt oxà cxp-k^ityLscec 1^ superstitution ea le» veuiail aux aoiuata. On a-de-vivea crainte® sur ïe sort du grand vapeer <S& ^ holà * Ingolf », qui a quitte Oopenhagtio il y a tinc qsrîa ** zaine À destmabon df> H uU et qui n '««t pas ecoas** &jrri vé. On redoute qu'il n'ait heurté une mme. 5t -> ^ On annonce que M. Boi>r&<«x, barvton du tbéiàfen * Cie la Monnaie, De-las^ i* eantatd~tce, est aos t- M Adolphe Prié de dana !«? oiitv-ca * sP°r^"i^s> ont été tMiéa «ir f roui par l^explotTtoo <£* usé i- cous sur Tauîo ôj.'.ua laquelle ils se trouvaient pour *.&*)■ x enlever ke biesséa '• yCee ion:nia.nx anglais publient le. dépêche eiritante & » ^Copenhague : ". « Pendant son séjour sur le front occidental, dur^ot les deux dorniènea semaines, te encouragearè a»; troupes en leur ■envoyant de a» bièr^. U cau-aait av«c fm \ cuisiniers, goûtait A ia gooiasih «*. à toutes sort» i-Bt plats, exprimant le ^rand piaicir qu'il preisait à * ; nourriture aussi délicieuse. Partout, Guillaume II p?^»,-4 l'usage du nooveao pain de guerre, le disant bien ausy 0 leur qu'aucun autre. » " ^ .-v--/ ----- - - îf" ^ Lee neoettft» du canal de. Panama ont atteint da mad iss lor défII1 bre drt'rtitér chiîïrc die ï.1.%,305.01. An début de ni ai k*a rnagaaine dee chemin* de fez étaient encombré*, de mar<ÀaodSwe & le canaJ do* aes-N vir an transat _ &o okalande remorquée, ëoouJ/^rtt astiss ' r^xxcéa des arrivages. 257 navirv» ont jiaesé par k> cayal pendant la période b f^citée : 227 étaka&t chargés de marchandise» es& 3fi d« ; / . — :Le « Morning Porfi » reçoit de soa correspondant * ^ciîtl à Oope>nhagu» un télégramme di*»«it qu'âme c*s^é-rrenoe ^ tiendra d'ici à quéiqueti jour* À Lond^» esèfcre y l^i pnricipajijt ï^pré^ntani* tUt pwtk sôciali^»* j mocratiquqp xif» ï>ay« belHgérant*, eà que la êàtuâ&^si de la gucmx> y seara (ÏÏRCUtéa. ï 0vd*-envoyer un foaK^l»»,- aée -no-ta d«na la ré^p«2. '<4-, » miw»S£>c d*^îT^u<>iiaî épaves artrKUqi^n \ qu mTJ^uroux ha«nurd oc uîv soUrcitude éveillée k ^ Oîvî'pu sauver ds déeuiuctrt*. Ces» é|>av»^ qui iesnpliii*ai^.i ^ quatre* wagons, ont éfcé e*|>édi6«» »u Havre. H.JXe« reroot dans un© expocitiou cm s'organâe au Mœàn nicipaL Loh objets reouCTUis proviraiîw^f des» villes et viJie^» bomiwfcrdés «t incesndiée : Ypreà, JN Losx, nisse», Alvoring'brîe», Wulv~^nuglu^ot, Viachf^i, ptîlie, etn A Eïiaanud--^ nu^lbeureasemenL ris» échaftpé, U rairv?» .m*}, complète fce saperb» JonU^ < K Adoratkxn do» », a pftri avec lé ju&A dacb» l'^y oendie F égl'i*a Ce« obj^* ooxMÙtt^oA «?■»! tabU%»-fix ancïen^ boi» téa, iv^ïijrea, dix>-sr>d»<i<ms laienoeaK. tapiseerî«ea, bû>e.V{L> divers appartenaat aux carorcu»*nit aua égliew^ ït*> tit» tmujûe* Ibocaax, manuscrits; et monuuhenîifc d'j*r<v&5 ' | L# 2 janvier, t» Rrand tarxnar'crç tîcorç a été cooié ^ar • «a»? kujo» à 1», wxrci» <hi Bœpbom L* &, / p<w\ cooswyé pOT- le «rcssrar tronc Meifjxiseh, a éîé | dane la ner Noiss «rtre Bhuap* et Trébrzoàda. Ls cy«i p «sf^c* protégé K5>^- Mearouria «i U cuxîfcre^torpillr^sr ruesè ) Oniea«i aDtaquère<at k> covcv^'. , le M ^j jdiieh, hiea qs' î*a«t p»*r pk?si«îuwB piojectiW. réi^sit à s'enfuir t Le Med,«feeb «»t un crcr»aew «v». 3.200 tonne* e*. de S3 t no&uria. Uocé e« 1S051. Il porte deux canons de L5â, isaxit de 120 et six d» 4t. COMMUNIQUÉS OFFICIELS & - Câamraalçsâs aâezomstfs ^ ^ B*tî$dl, U janvier f OtfuxH d* et midi) ? ^ Tbéàfcuc <&c ta guerez i FOeest. — Aat isaâ d «, canal cie La Basca^t, U y a ea de* cœahai» pe» à >■ portants «aw éfié paacfu'à pnfescot sans réKiitat. À ^ uurd <ir Cronsj- les français ont anaqué h*ar 9cej i tn-us ont été rcjtfîés avec de fœtca pertes. Aaj&ai 5» <i1saa les oorabats se sont de couvea» rammés^ Us ** aîtaque fïançsoar entreprise hacr aprèsrnj&d) à l'c ^ tir Pertbos s'esa fcffîsée aous iwacn: iea. L'dffiocrâ «'iba de très fortes pertes. « En Argxsnscje, à la route romaine, un point d*appi français a été conquis; ? offeoera et 140 bammes ® sont tcwnb^s entse nos tnaBiSu Dam les combats à r U partie esa dr PArpanœ^, Us Ftas>ças ont pord a depuis le 8 jaavara- (y compws œase ci-dessus i»d quife) i major, 3 capitaines, 15 Uentenanta et i,3£ ~ hommes comme prisonniers^ de sorte <^ue lésas perîs u tj>ta^ÎS. y ouaipns les morts et les bîessé% dans a espace restreint des combats, soœ£ évaluées à 3,5S k- hommes. Les attaciucs françaises près iî'Ailiy, 2 # sud de Saint-Mibsei. owt écbsxtal Théâtre de la g-uerre s l'ïlsî- — Rio» de nouvea ^ en Prci^j" Orv-ntaîe. Des attaques russes dans î h nord de îa Poiogne n'ooî eu aucisa succès», Nck atts z qi>es dajns la région à l'ouest de la Vistole ont fai malgré le noanvais twnps, des progrès ea certain es»djKHts. Rien de change snr La stvc est <ie ht Pilica 1 ••• Vienne, 12 janvier (Officiel tfkitr) : Ea Pologne russe sur la N&da. tnf ériecre, il y à e » hier des comfoa&s opiniâtres. Les Rosses y ont pn ^ loffcuârw; et ont essayé à plîzsieurs eodxaits d passer la rrvèrp avec des fous impoi^uites, roca ils ont été partout sexués a>vac de grandes pertes • T andis que se défoolaacK ces cesnbats d'iafamer* B ii y a e* dam kes sectet&rs voêsiz» u» violent comfca B d artillerie qo: a dœé phasieœrs bernes. Star les sss ties fronts, rie» d'essentsd ne s'eaî predok. ^ d'éciairciHs- a réussi îa nnâ demièae à pe*o=r Les possfctons ennemies, à entre dan» b» locahté située à F amène et à sifbemàrs l * <iemeure cài commandaist du régisnent ww-m |j n patrotalîe est revenue -de cette entreprise arodaciens ayanî fait un offroo- et six boimnes prisoreriers. Il a été de nouveau éfca&fi <^ae <ics soldats russe se s^; vent d uniformes aaistro-borngTOTs poar toniH-e fifur des paltrc*aïleB et de petites coloomes : en agzs i saiyt amst, ils vx4es?t les lois et coutumes <fe li guerre est ne peuvent par conséquent être traités cote mp dés guecreers. BsidsspMîfc, n ferrvkr : Li» joneni*! « As T&& > p5*bî5*< un commumrfsé Ar qœxa i général «a Poings» dxwrfc voicà î» teapwarî * *^r8> Rubs«« rei?inveïtÈ î«« joerg <îe mJWf^aEïsx T«e » for*», dwptrâi om4m» teanp» -«iéfi îfe tnal^r o«a ohhfré» dr» p«îrr®!isvm l«tr nwwiwenwxa* m batrtiauît «xs {fcs o«c»psnt lew posiiwîsa c?u'S > twlfe sorte yaH ex - ** *" œ™e6™' TKKwrofca. Bi«n <so» h> ' r^feBKS 8*rlni!t Bamé"<rïMnneot phB1 jj^ ^ «*o^kïw£«b W (Wtsi, n»i* «waœwa wsr» V»racsrt^ L» réœnissat ç7D.Î5"îi*jras qrxtt e5g3*ïfiïïîiM± il pria^ <4» Varawi-. t» »3i*fe po» prr^yœCrom»:, Mta grands «crifos» qrfejrigaïast tsa œsssasrs eésaérai «fe 1 jiiiniM iiiilnnifF?^r~"~'**^''' , RnucoHe®, ]« B jssricT : t Frew IW» » «te Vtam- pnfejM, ^ jj Wia-» « U<» KajVK»» et Hoœ » nvo était, daos hmae& Jant réùnaa 1<» priocipaja argarooala d» ta thés» i£m /tn«ud© sur La. guerrre aotaeii». ; / — Malgré 1-a nrMitrairté do l'allié rîaJicQ, et 1a r^ista^ c»- héroïque dé®»«péré* dea » appert qi» (k- U guern» s» consacrer» jauia» faifiéaîitiBKsaïïWîai «fe j I Aidenta^o» r^ve p&r l'Aug^sten*®. Le btoo Gaston»-a!3fij ni And oom:f.iÎ4*. on aggiomérat homoeétte œ» lâ) miUitt» ' « guidA»w par ou môii» idéal etàmquw, on giÙ q'-gv f paa 1*î caa pour t»u» le» nowocriAirrss exotaqufts à la 30kit de Lx Franoty ei de l'Arjgirttems qui «0 ba.fcv'.secfc pour U* intérêts d© Leur» conquérons», oc pc-ur tes maases russ^ s&oa muté uw>rsiev, sa cohémuo intejiiçento. Ltffs Ai}«maDïia, €®u, luttait par amour raisonné d'wtM p^-troe oomrnww. Le« AjigleÀs toai éa cotte gvtzzçjrc ' spéculation comcrtwciaie, oaiimys Û» la firent psm? £*<&£■> parer de TEsypie, da Soudan efc da Trancv&ai, stvx» cette foi*4à enoort», do trsTupras colsxaiaieo rmt- ??Q,aipe®- ,°f, tuftr, c/e^t U oœscun«M gênante de 1 Ailemafl^» eur le m&p&hé éoimnmi<|TK> moj^ diai, ce qu'il» orét>«nd»Tajft gardtsr, c'ost Thégémocio dé gfien* dont il« taenn«nt toutos k» ctsfs : Gibralfear, Malte* r)ortr8aid, Adieu, Wdhaiwsi, Yofcokama, Singapour, oto, Certee, la cr^ili&a.tioa aaçlaia» a été plus utile *3 monde que cc*&e de i'Eap^gne o« du Portugal : maia elie a étouffé partout où elle a pa ien cohturtw zivsâaa poj'Hâquemisafc moixia fos^sa, celle des i» Hoûaada «à du la France, par «îxempW Aujourd'hui, l'Ailetcu^çae aewîz est devenue l'obstacle qu'il lui fcœs fcrifior p«ur coa»a^ ver «a suprématie. L'Analeterr« n'a jamais entreprit de guerre pour servir de# prrôiâpft* mai» njviqQttf»t»ttt poar s»» àofcérôîa, £ preuve la guerre de l'opium contre la Chine et tout*# ses expéditma* coloniale*, «s» ajaot toujou» Vajàremx! de ooloror c<xû ambitio* de» prétextes d'bamwit^ oa d* pKeudo-idAahauMk Elle *» déharrau» même de fiscs crtminek oa oouvicta eu le» envoyant* coionisor ia Mo®-veiie-Gaiiesa du Bud-auatnviieœ. S«« hypocri«» <x>v&axs& ciale agita da uiSum» w> de \a Hb^a^kî® de» gms pour arracher n*gx*èrc à S» BeJ^iqî*® ès Ccs?$® qu'elle convoyait. Ce&i w»»pc «wa ini-ér^t exclusif q?» l'a poussé À oew»-promettre i# Relgi^ue <sï Kuncusci i i. or^^gp lix guerre, ce qui ^ .rAJif?uiagraô à <32BTa&bf, po>» l®. prévefwr, le torrivji»> fcr^dge. L'Angleterre apitoyo U nvoïsd» car la dér»«ta^«« ^ Is BeigiqiWi, laqu«U>e eôt sninax fait d'iaooepter t3» arrp^ tic© -h. la paix oa* J'ADeataga» tes offrit ^ «w». Sur Goa ordi-e la Keig-«rr«,- f^scsfcj** maigri lè. citvffc» £v~>ti {ortefasuQji. L'amtén iranioo-otnglaiot* u® pus re^ poar eQe, pjc« même «wrw^r Acve?^ oii, &p(è« eA tulatioa î«s raâxrve pmtéjftar oo^w io iuile d® U aér»w>fcrtt* brjgarfc» anglaise trej^î tard à Wir oenxiara Graijpftar,t. tb- pwdne f«n bon7>e.aret Bonindépeedarag^ qui n'était nu lie meut roe&>icé« pa^p f ADemagn**, la 8^.-gique au li#»» do survr» le aage eaetîDfpie du Lux«;î;l>oR^f^f »e ruiuo <?t ,9« dé/îin«» fnxjN" f air#: 1*?* aflairr* d«?> F A twrre, qui a cro TAilctf^agnc» ^'affaiblir à skmj Lro. Br4gf?« oui oublié qo'Ca «s battent pocr k« wy--chaude jalotu» qm les rejetèrent iom ds Nil» <*:*-»>« 1^. térôt de lexsr cbé>miQ de ita- da Oap asi Cair#: ; qui, «cw# prétexte dlmumnité poiir les noirs, tentèrent de fce«* déposséder du O»xx§o «t, eu atteodasst, lea y expropr^^ reat de leur «ouvearaineté absolu a. Oeo ccmaiftn^ïÈc osent aujourd'hui prét-endre hypocriteroeui qu'As battent pa* désintéressement pour ia neutralité ôa U Re?2>qu^. ak>r^ cp:'ile n'y cnv/r.ieat qa«?. dea. forxra» j» suffisantes qui. par dérwion, arrivent tooioura ta-up sur les champe de bataille. » (N. d. L R. — Ne omettre de relire, dans la pr^-miére phrane de !» note ci-d«3«us, kw m«ta : * re*k» étude dans la-quella sont réunis les principaux arg^ ' »»ments dt ia thÀse allemande sur 1a guerre actnali% » CsraBwnUprê» in (rsén alUCas Ï*«1 6 jawrâr (Commmtdqui officùi de 23 M r ^ Noœj rvons maicteMi msa avances as nord <te Scfi , aoBis. w L'ctmcaai a prooessoé dse oontns-atjtacroe coctBB il „ îraacb&a pesés par nca» entre Ptsthès-lea-lferfe t et la ooUioc SMl s. Paris, 10 janvier (Ctmmsxiqxi officiel dg s a heures) : y De ia. mer à POiae, il n'y a ea qoe des dttcïs d'g; e tjlùne. a Sar l'Aisne, dasis la régiesa de Soissocis. l'cïmisssi »- cfo pa xerpnssxire les qu'il avait perdues. 9 A la Ên de la joaraâe dliaef, l'ea3ïe2Bi i de J3SPÉ s veau ixxnbaidé Soj^css. l En Champagne, d-cpn» Reiia3 jcsii^a'cn Ar^cnna 0 Eotre artallene a bombardé Us taimchécs alleamid^ B <a> dispersant une paitie de leœs tireurs. Les pcssiticsas dâoî coœs cotes éîKns empaT& ! a Pectbes et daœ le voisinage de ce village ont été ce e gamséei. Une cxsaJxe-aitaqae allemande à l'ouest <â »- Perttes a Hé repotjssée. Aaœ alentours de la feesoe de Beasaséjots', oo«s s a voie a.vaacé de desnt côtés ; 21003 aveos és . terram à l'oœst et avons pris une sedetrte aa col de la ferme. En Argcnne, l'ennemi a bombardé la régioo u Fonr de Paris. Noos ïroa népeaido et détruit « s fclockhara allemand. e Les tectatives de l'ennani onï été dktgées vesa S s colline 263, à l'ooest de Bocaetrilles. Tontes nos p» L abons ont été mainteraiea. ^ Entre f Argcnne et la Meaae, il n'y » rien à <5 j gxsaler. h Dans îa ferft d'Apremont, raie afcsque alîexoantS a été arrêtée par nsstre feu d'artillerie. j Dans les Vœja, an nord-ouest de Wathweîhs» r dans les environs de Thaan, noœ avons égaleniQg , ropcmssé noe attaqœ. 1 * * • : Paris, 10 janvier (Commttriqui officiel de 23 kas res) : s La naît dernière, en Champagne, deux cor-fee-âS r taques aJLemandes ont été nepoussées : l'une an ne® t de Perthes, l'autre a» nord de Beàueéiosr. l En Argorme, do jjetites attaques de l'cnntzni saj r Fcutame-Madaœe et s or Saint-Hubert oat étboaé. Dans la dirœticai de k hautnir SS3, à l'ouest & Bometrilks, airs: qce srar le swifsean dœ MeuiissfflBSi il y a en troc vive f oaâllade, aocane attaque éi " nuit Calme complet sor le testant dn frccit. ■ Pétrogxad, 8 janvier : t Sur ia rive g^rache de la Vktuîe essh* te vSîlsàg» t Sorrfcha et la métairie Moghely, les combats œ>èê • ■ tant «a caractère de plus en pics achsnaé. Les AS» ' masas attaquent avec opnuâtoeté 3cs idifféiwisÈ I points de notre frœïL Ea piasieuis endroits, Feras» mi séussit à s'emparer provisoiremaït de certaines ■éa aos tar-ché® avancées, mais nos vigoareuscs ccnlaB atîa^ras ouï forcé res Altanaaicls à lâcher paiss. La% jaavKsr, (tes la région de la métaiie MogJbely, csseS ' avons dékieé l'enaeisa qrri avait fait irruption àsag ' nos tranchées avartoôes. Ea Biœaviiie, aocs avfens occupé le 6 janvier Sis - polunç. Data tes hrnt derniers jonn nos troupe J ayant franchi tout en combattant plus de 120 v=es$> ; tes, pKr/œrrajt à la chaisac des îiïcsitagrtes dfi ÎJ , frcsoSïère séparant la Bubjvrâe de la Hongrie. i Sur tes autres points de notre frontière, riea à aS- - gœalcr. ; m — , Bêpêshsz tHusrsss fi |aaEvfe«r î 1 I«s « Oorrie^o d'Itsira » Pavia 2a ÇK^sonsaiS^ azttorâaiéea, qui ini ont déclaré qu© la réaliaatioii du p?» <f^ch^ss^3 de« pdsonniea» -^eveiru» îssagte© as <ssr&& vioa miisteme ne m* heorteaaifc psnr à âes pc*. troeac. Oû jeûBQirraàt fac^'eraect tevanspopter o&& œ&in dasa drvers paya nontrea, où 1 on procodersiè $ Pédh&Dçî©. Pour è'écûâusg» àae çxpoinÈissa -entr» r Aâto Oib^svî et Se Ftnaaaca, c'<e^; la Su^b© cjds nonrasii c^k«s» &5 préâérznmx), h> Rvmœœi?» poser | Aute$db#> ta Rwfi», ifc Hoâsa»Î9 pesor efc VAa^^s teaana. On a/ntoonce dT&otrd part «pse des négociations été ezziamées en vb& do la déaignatdon d-ea amba?5^/3t««i<§ asipr^» àxx Vaiioias <pâ eera.ie*n<$, ohaj^é» «Pétaijlis- èsa® ^ coida Décez&aârcm pour l'échaaga de* prâ&onniôis. » * • Sofôft, S jaetvi«r * Îî«» <&r^rçraî«*s Sô ra© patasa<gène8 «aitra iec tsî^fe gzvsîipsa forosanè p majorité, eo c« wd &&*- o?«o»» la, isoinroatkaa <&œ tsfesâaà>ge «?.ïe «mî-isièr^s; çgjr. caaAfii. çîsi £a*t e«4ts?«s te <^najî© <aisa iniTiifctiMttSfeb, O© ^«««55/ «s^ octntj«wwvé. I^e ptrésidaat <te Oaïtfîe'â fjsssï. à M» <wtâedi» <fei cabine ®r mwofc o«i ici seanSikaa. rs- pksa ooesy-eaisâ^a. SydiMsjF, d jaawiw : Los Âiie^»aad« ^ HcrrbartsJbôfcô, Noaw^» Fw* 4«» Sa* «ên JPswxéîîs^ n»£foftL $» la pcttff gte» F»tsî»èB*» ?i Wd Botnsm Losfv «it fa cn^yiàtâB^ks» «à» iaS3s« âj ^ 9g*. c&zS- ocaw»fi qs» ia gouvernons* ci tes esvij» poumtaesxt ostoors^ «a ASemagiaa, » " • M^aa, 5 jsŒ-Ffer : !.«. * f«nsev^WB» è ytiftwil qrfœ&mVTb&ia <^îl3 Vatîo®*, <àa« njéâuœoQicsas prawiifs g® pacstersKdvsa» jpsSS? arrîvo? <ss? tankrv Se» povr-rtsmi L« K^rosc&-çvfckrts« »«îa5 «»sa jsjjçsçn*"*» dw car&cftèra o^icéei, osîhis o«fc j<v£2a <&»$â8e3 çw?sa^Pîïri»T*; oatf; «se hwo *?£ MéaaUner daaïS Itas reialàwa «fkw i» QuirisjKi eïjsai éS5»; toixa*. Le C«à^ Kî j«airôr : fis- H<st*s Mjcc 3â>a&asà, W jfejKaSKtoïeasâat^^Sh ïwglaii «k Sgyp^si, ®jm* ési te»a, Piis*», 16 ja^raflw : M P*sd p^-â^rasS 5» CTeasaf^w «iéçratA^, a promwMod sa G2«c«œ.7S «& bzss^aâfc «tâ£o«t« C la» X&2BKKC8» ptnraï%»wïr. ® *« BudaUpoePÈ, 10 î U>3 d» *va6£siei &o à W» fW>r^w> * txjKscîhr-é isstx* «t a <ra*c4>r<* ifew» ^ D-orwiii* L"Apsw-* a T*txs§,>£*ts45i$ pssr pei^a»» anarcR baîhTbamii ia région r^tcaro:<s.

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie gehört zu der Kategorie Gecensureerde pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1914 bis 1918.

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