La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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s.n. 1917, 21 November. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Konsultiert 04 Juli 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/p26pz53383/
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SWiercpedl 21 Novembre 1917 jwmL ii_1 v -• y i :, : .i j #.rv: FRIX OES ABONNEMENTS 1 mois (décembre), Ir. 3.80. Tes demandes d'abonne?nent sont reçues exclusi-•awwjîtt par les bureaux et les facteurs des postes* « Les réclamations concernant les abonnements doivent Arc adressées exclusivement aux bureaux de poste* ABSimiSTRATlOB ET RËDACTIOH: 81, ESontaqno-aux-Hei-faes-Poiagères, Bruxelles» LA BELGIQUE i-m* LJtLi) M,\J hUlYUËiS Petites annonces, la ligne, Jr. 0.7â. — Réclame» avant les annonces, la ligne, ir. f .76.— Corps dm journal, la ligne, Jr. 7.50.— Faits divers, la ligne, ir. 6.00. — Nécrologie, la ligne, Ir. 3.60. — Coin des Eleveurs, la ligne, ir. i .50» Bureaux do 9 à 17 heure®. Direction et Administration : £■£ i? fe'VnBc-" JOS. MORESSÉE, DIRECTEUR LA GUERRE 1,208" jour do guerre La bataille est toujours très chaudô entre la Brent'i «t le Piave. Le» A ustro-Allemande se sont empares du mont Cornella. qui domine lo Piave au. uorcfc-ouest tlu village de Quero, et de ce village même, si tut; sur le fleuve à 6 kilomètres de La lisière de la piauie de la Vénétie. Siu' lo Piave moyeu et inférieur, pas de modification. * » & En Flandre, le redoublement d'activité de ï'artillerie des Alliés cbms le secteur de Nisaport et à 1 est d'\ près fait présager line reprise de leurs opérations offensives. A la Oiamhre des Communes MM. ASQUITH ei Lloyd GEORGE | Londres, i9 novembre : Il y avait saie comble à la Chambre de» '.Communes pour les débats Boule vos par la création du nouveau Conseil de guerre des Allies et le discours prononcé à Paris par M. Llojyd George. Prenant la parole po incombât tre une proposition d ajouicioiueut, M. Asqiuth a exposé que le gouvoriienieui a le djvoir im-prieuix de prendre 1 entière re^onsabilita de tout ce qu'il tau ou ne fait pas. il a t'ait ressortir qu il est d'une importance vitale que dès échanges de vue» constants existent entre tes chefs politique» et miuiaires des Alliés et ce&x de la Gr aude-lSreta^gne, dont J& collaboration doit être aussi -complète et etroirte que possible : il Cite 1 exempte du conti'ôlo absolu que r AlLemagno exerce sur ses allies et se déclare ' hostile à tout Système ayant, pour conséquence l irresponsabilité des étais-majors vis-a-vis de leur gouvernement, une diminution du prèsuge de l'un quelconque des gouvernements des Aillés ou encore une atténuation dj responsabilité vis-à-vis de son propre peuple. Venant au discours de M. Lloyd George à Paris, M. Asquilh dit que si décidé qu il soit a éviter tout coniiit inutile, il manquerait à son devoir en ne prêtant pas à ce discours une attention spéciale. Tout d'abord il douto fort qu'un conseil réuni à Ver-eailles au mois de mars dernier eut pu in fluoncer la marche des événements en Kuseie. Il demande d autre part s'il n'est pus exact que jusqu'à la veille de l'offensive allemande en Italie, Oadoraa avait la certitude de triompher de toutes les attaques ennemies. Interprétant un autre passage du discours do M. Lloyd George, M. Asquith dit que lo premier ministre a donné à entendre qu'on a gaspillé l'héroïsme et le sang de3 soldats anghiis et qu'en tout cas, au çoint do vue stratégique, on aurait pu en fairo ailleurs un meilleur emploi, mais qu'il doute pour sa part que ce meilleur emploi fût résulté de l'intervention d un conseil de guerre dos Alliés dans les places de l'une ou de i autre des deux grandes offensives tentées dans l'Ouest. En terminant son discours, M. Asquith a insisté, au milieu de l'approbation générale, sur l'importance du rôle joué dans la guorre par la Grande-Bretagne. M. Lloyd George répond au discours de M. Asquith : — La cause des Alliés, dit-Il, souffre d'un défaut d'eEtente des chefs. La critique que j'ai faite des événements passés n'était nullement dirigée contre un état-major ou un commandant on chef quelconque, soit de l'arméo anglaise, soit d'une autre armée. Je me bornais simplement à expliquer de quello manière l'absence d'une collaboration étroite des Alliés venait d'avoir pour conséquence une catastrophe. On cherche à faire voir dans mon intervention la tenta tive d'un civil qui prétend se mêler des affaires des militaires, mais je répondrai que la collaboration que je préconise l'avait déjà été depuis longtemps par lord Kitche-ner, c'est-à-dire en juin de l'année dernière. La décision d'organiser une direction coin m une des armées alliées a été prise lors de la réunion des chefs des états-majors de l'armée anglaise, de l'armée françaiso t-t de l'armée italienne. Je me suis opposé jusqu'au bout à la nomination d'uu généralissime parce que j'estime qu'elle n'aurait aucune utilité et no pourrait provoquer que des froissements. Quant à la question que posait tantôt M. Asquith au sujet du front italien et des espérances du général Cadorna, j'estime qu'il ost difîicile d'y répondre : on peut disserter indéfiniment sur ce que 1e .général Cadorna a dit el sur ce que l'on pense en Angleterre. La vérité est que l'Angleterre n'était pas responsable du front italien. Le gouvernement anglais avait, concernant co iront, su, cru ou soupçonné diverses choses, mais sir William Robertson avait le devoir do ne point intervenir personnellement dans des affaires concernant un front autre que le front anglais. Tout au contraire, s'il avait existé un conseil de guerre commun comme celui qui va siéger à Versailles, sir jftobertson aurait pu y défendre énergique-mont ses idées et, grâce à l'appui des représentants de son gouvernement, s'y faire écouter. Un écroulement s'étant produit sur le front italien, auquel l'intérêt du nôtre esi lié, nous nous sommes empressés d'y courir, en même temps que les Français, pour réparer lo malheur survenu. En considérant l'influence considérable que ce fait exerce sur les plans des opérations sur notre iront, on ost forcé de reconnaître que le syatemo de la liaison assurée par des officiers et des entrevues ordinaires entre ministres et chefs d'états-majors est absolument inefficace et insuffisant pour assurer une collaboration cfteotive. Ce qu'il nous faut, c!est un organisme permanent, qui veille sans relâche, donne des indications et fait rapport aux divers gouvernements, que ce soit notre front ou lo front français, le front italien ou le front russe qui est le premier intéressé. Toute possibilité de conflit doit être écartée : en ei'fet, si des divergences do vues venaient à se produire entre les conseils de notre armée et ceux des autres armées, le nouvel organisme apportera une aide efficace au rétablissement de l'accord sur les questions en litige, puisqu'il les soumettra à l'appréciation non pas d'un seul gouvernement, mais à l'appréciation de tous. M. Asquith a dit que la décision définitive doit appartenir au gouvernement : il en a toujours été ainsi, et je ne vois pas Co que la création du nouvel organisme pourrait y changer. Il est fort possible que je n'entende rien aux questions de stratégie militaire, mais j'ai la prétention de m'y connaître en stratégie politique et de savoir de quelle manière il faut s'y prendre pour gagner l'opinion publique à un projet qui^>la regarde et la convaincre de l'opportunité de ce projet. C'est pour cela que j'ai décidé de dire dans mon discours de Paris des choses désagréables : j'étais sûr que cela ferait parler tout le monde, et tout le monde, en effet, en a parlé dans deux ou trois parties du monde. Le résultat de mon (jiscours ost que l'Italie, l'Amérique, la France et^ l'Angleterre sont au courant et que l'opinion publique est avertie. Or, cela ost de la plus haute importance. Toutes les belles phrases alignées par ceux qui prétendent que notre effort doit ee porter à l'Est ou se^ tenir à l'Ouest ne sont que bavardages. Notre champ de bataille se trouve au ï\ord, au Sud, à l'Est et à l'Ouest à la fois. La tâche à remplir consiste à exer cer une pression contre l'ennemi dans toutes les directions de la rose des vents et de le frapper partout où il nous est possible • l'atteindre. Telle est la véritable raison pour laquelle nous avons besoin d'un conseil de guerre commun, chargé d'exercer sa surveillance sur tout l'ensemble et pas seulement sur des parties de notre champ d'opérations. Nous avons besoin, et nos alliés autant que nous-mêmes de toutes les expe-riences et de tous les concoura, mais pour l'instant nos alliés en ont un besoin plus grand que lo uùtre. Nous souhaitons la victoire et nous la voulons fermement, mais il u'est pas désirable que tpute la charge on retombe 6ur l'Angleterre : c'est pour cela que je suis partisan d'un conseil eom mun interallié qui se partagera le théâtre de la guerre de telle sorte que toutes les ressources des Alliés soient mises en œuvre pour renforcer la pression qu'il faut exercer sur l'ennemi.„ M. Lloyd George en vient aux critiques des journaux qui l'ont pris à partie : — Jamais, dit-il, depuis le début de la guerre, les politiciens ne se sont, dans notre pays, plus complètement et plus effectivement abstenus que pendant celte année de marchander à l'armée ce qu'elle demandait pour le transport des canons, pour des envois par navires ou autrement : je ne tiens naturellement pas compte de quelques méchants discours. Mais il ne nous suifit pas de cotte collaboration entre les civils et les militaires de chez nous; il faut, en ou tre, que la mémo collaboration existe entre les divers pays alliés. Qui voudrait tolérer qu'il existe chez nous des gens qui, dans un intérêt politique ou personnel, sèment dans les cœurs anglais la méfiance ou l'envie à l'égard de la France ? Je dis qu'il faut que cela finisse. Pour ma part, depuis que je fais partie du cabinet de guerre, ce n'est pas seulement une collaboration que j'ai cherché à établir entre lys alliés, mais l'amitié, la bonno volonté et la camaraderie que je me suis efforcé de faire régner entre eux. J'ai fait de mon mieux pour nous faire des nations do l'Entente des amis, et c'est là le secret do ma popularité. J estime qu'il est essentiel de voir régner partout celte bonne volonté. Quelle est la situation de la France V Cette pauvre France si déprimée par la perte de ses provinces les pius riches qui lui ont été arraohées, veut avant tout s'affranchir do la menace quotidienne qui a pesé sur elle pendant cinquante ans. Je fais le vœu, quoi que nous réserve l'avenir, qu'on renonce à semer désormais à coups de langue ou à coups de plume le soupçon et l'envie entre nous et la France. Je ne crains rien de ce qui peut advenir si nous travaillons avec elle do oonimun accord. Je vois des poiuts noirs à l'horizon, et je ne l'ai jamais caché, estimant qu'il faut ' dire au peuple la vérité, mais je n'ai aucun souci assez grave pour modifier ma conviction. Deux choses seulement auraient pu causer notre défaite. La première était la guerre de3 sous-marins : si elle nous avait privés de la liberté des mers, nos espoirs auraient été sérieusement ébranlés, mais dès maintenant toute crainte à cet égard s'est évanouie. La seconde chose qui aurait pu nous fairo baitre, c'est lo manque d'unité, et cest pour cela que je mo suis allié à un projet capable do nous faire avancer dans la voie do la victoire, d'une victoire véritable, d'une victoire écrasante, d'une victoire qui aura pour conséquence d assurer la paix et la prospérité au monde dont le sang coule sur les champs do bataille. JLa guerre na,irale Berlin, 10 novembre x Une dâpê&îiû db Washington à l'Agence Uoaier contenant les déclarations opposé» par M. Hoover à un© informa i,>L parisienne disant que la famine régnait en Belgique, est complétée par une autre <Ju Daily Mail" qui fait dire à M. Hoover : — La pénurie d£s vivres résulte euolusi-vemeiit du manque de tonnage et des retards dans les arrivages causas par les sous-marins allemands. Pendant La période du leir février au 1er octobre, 490i,00i) tonnes de vivres ont ébô débarquées à Rotterdam; 250,000 amres n'ont pu arriver à destination, par eu4e do torpillage ou de 1 impossibilité de traverser la zone de guerre. La Commission n est pas en metsuitsi d empêcher oes pcf.es." L'Agence Wol.'f mande à co tfujefc de source autoriséo : — Aux termes des engagements pris par le Comité de secours belge viss-à-vis du gonvernemerut allemand, il est prévu ex-pceiséanent que les nayires voyageant' au secv-ce du Comité doivent évifcir la zone barreo. Sfils y entrent, ils perdent tous les avantages Stipulés dans l'accord. Pendant les premiers mois de la guerre illimitée des sous-marir.s, malgré cet engageaient, des vapeurs sont entrés dians la zone bOTr'-e et ont .été coulés j plus tard, s'apercevant que nous prenions nos di-*cjarations au sérieux, ils n'y sont plus entrés., mais depuis quelque temps ils ont tendance, sous la pre>-& ion die nos ennemis, et surtout de l'Angleterre, à recommencer à y entrer. Nous possédons diverses informations qui le confirment et le cas du vapeur „Halen" en e t un exemple^ : rencontré dans là zone barrjQ, il avait, par ordre do l'Amirauté anglaise, détruits son logg book, qui aurait très vraisemblablement permis de constatei ses agissements contraires aux conventions intervenues. D'au tre3 informations encore uous prouvent que P Angleterre force les vapeurs du Comité de secours à voyager dans la zone barne. Dans ces conditions, si _ la pénurie de vivres venait h se produire On Belgique, la faute n'en serait pas, comme le prétend M. Hooven, à la guerre des sous-marins, mais bien è'une part à l'excès d'audace, contraire aux accords intervenus, des navire» du Comité de secours, et d'autre part à la pression exercée sur eux par l'Angleterre dans l'intV^t de nos ennemis et dans son propre int'r-t surtout. Ce no sort pas nos sous-marins qui privent de vivras la population b^lgpe : cest 1 arbitraire ci l'égoisme de nos ennemis, qui sacrifient comme d'habitude à leurs propres intérêts cous de la population belge." E!N AMÉRIQUE .Londres, 19 novembre i Le président VVilson a télégraphié ou colonel Hoiuse, chef de la mission américaine en Europe, qu'il considérait comme indispensable 1 unité d'action et uu contrôle réciproque qui permette l'emploi le plus efficace des grandes ressources des Etais-Unis. En conséquence, M. VVilsou" a invité le colonel llouse à délibérer avec les puissances de l'Entente sur Je point de savoir comment une collaboration aussi intime que possible sera réalisée. D'autre» part, le colonel House et le général Bliss, chef de Pétat-major américain, assisteront à la première séance du Conseil de guerre supérieur de* Alliée qui se réunira vraisemblablement, ajoute FAgence ïtouter, vers la fin du mois. »? Londres, 19 novembre j De l'Agence Keuter : — Après avoir conclu un traité relatif à j la Chine, les Etats-Unis et le Japon ont ] engagé des pourparlers pour régler la question d'une vente de 175,000 tonnes d'acier américain au Japon, qui oéderait par Contre aux Etats-Unis &>J,000 tonne* de navires. l.e Japon vient d interrompre ces négociations, car il lui ost impossible d'accep-ier le* conditions que met le gouvernement américain à 1 affrètement des navires. L'ofîanslva aiistro-afleiands on Italie Berlin, 20 novembre : On mande au „Be"Iiner Tagcblatt" que le général Fayolle est parti pour l'Italie, où il va prendre le commandement de 1 armée auxiliaire française. * * * Paris, 19 novembre : On mande de Borne à l',,Echo de Paris'' : — La résistance des Italiens s'afiirme de plus Cn plus efficace et permet d esperer qu ils réussiront à arrêter la marche des Centraux sur le Piave. Par contre, l'Agence Havas télégraphie en date du 18 novembre : — La situation reste grave sur le front italien. Les armées des généraux lirobatin et lietaenuorf o.;t opéré leur jonction entr* la vallée supérieure de la Brenta et celle du Piave el concentrent tous leurs cfioris contre l'aile gauche do 1 armée italienne, qui est la plus vulnérable. D'autre part, M. Bissolati a déclaré au correspondant à Kome du ,,Petit journal"' que l'Italie ne conclura pas une paix s> parée; il a affirme, en ouire, que l'armée italienne n'a pas éto vaincue, mais a été victime d'une propagande dissolvante* » * a Cologne, 20 novembre t M { i De la „Oazette de Cologne5' : Le ,,3ocinlis e Belge" du 10 novembre publie l'information suivante : — Quoique la frontière italienne soit ferme, cûtt-.wnes informations parviennent néanmoins à 1 étranger. C'est ainsi que l'on sait que la population civile de Milan et de Turin est extrêmement sur ex c tée et que des meetings ont été tenus contre la guerre. Des- nK-rés de famille, accompagnées de leurs onîaiitb, réclamant du pair, et du travail." * G » Paris, 19 novembre : D'après les journaux, une partie de la population, ainsi que de nombreuses administrations et un grand nombre de commerçants, ont quirt> Venise. Plusieurs journaux vénitiens ont publié un avis disant qu'ils paraîtront dorénavant à Borne. * ' <i Genève, 19 novembre : Plus de 50,0$) réfugiés de Venise eont déjà arrivés à Rome. Les consulats des pays de l'Entente à Venise ont été transférés depuis mercredi dern'cr à Milan. $ ' «t Paris, 19 novembre ; Le „Temps" apprend do Milan que les tableaux du Titien et de Véronèse, qui ee trouvaient à Venise, ont éfcS transférés à Florence. . Paris, 19 novembre ; Ou mande de Home au „Temivs" : Un nouveau parti politique vient de se constituer sous lo nom „Umon socialiste italienne"; il comprendra des socialistes de tonte nuance. Les événements de Russie Londres, 20 novembre : On maaiie de Pétrograd au „Daily Te-e_raph" : — bolehcvistefi» ont eu 1e dessus â Pélxograd. L'armée des oosaques do KQ-rcaski a conclu uu armistice A Ts i rkoié- Sélo et à Gatchina avec les maximaiistes. * if. « Paris, 19 novembro ; On mande de F tro^rad à l'Agence lia vas : — Le journal socialiste ,,Djoa" dit que Si. Kerenski est ou sûreté. « il * Stookhûlm, 19 novembre : Les derni res nouvelles de Russie indiquant que M. Rercuski a perdu la paitie. Le ,,Stockholms Tidutngeu" annonce que le secrétaire particulier de AL Kerenski est arrivé à Stockholm; il a réussi à s'enfuir do Russie à l'aide d'un faux passeport. Cette personne lté a affirmé que M. Kerenski s'était sauvé et que les maximalistes étaient maîtres cfo la capitale. D'autre part, 'l ne5t pas exact que le général Kcrnilof ait. participé aux combats; par contre, il est vrai que le g-nral Kalédine, hstman des cosaques, e*t maître du bas«iu du Do-netz; son at.itudo attire de plus en- plus l'attention. On ne parle plus de la lutte Lénina-Kereaiski, mais bien de la lutte Lo-ni ,0-K.al nline. L'holanan des cosaques essaie, dit-on, de r nia. io Pétrograd par la famine et c'est «pur cette raison qu'il a occupé le district charbonnier du Douetz, de man'eie à ôtie ou mesure dJinfluencer tout le traf.o par chemin de fer- D'autre part, des troupes S3 sont aussi emparées die Ivharkof et y ont retenu 200 wagons oharg's de vivre« pour Pétrograd, où la pénurie de denrée» îilimensaites devient très grande. $ « » Milan, 20 novembre ; On mande de Pétrograd au „Corriere délia- Bera" en date du 17 : — Les cosaques sont entrés en pourparlers avec ies maximalistes et les socalistes modérs pour obtenir une représentation dans lo nouveau gouvernement de coalition. * ' « Berne, 20 novembre : Du collaborateur à Pétrograd du „Bunc£" : — La ,,Pravda", journal înaodinaListo, a publié uu décret de M. Lénine convoquant i'Assemblée nationale constituante pour le 25 novembre. V * I» Paris, 19 novembre : On mande de Pétrograd à l'Agence Havas : — Les pourparlers entamfe par les cheminots pour constituer un cabinet de coalition ont échoué, les paysans et les minimalises refusant de collaborer avec les maximalistes. » * * Pétrograd, 19 novembre : M. Neratof, ancien ministre deis affaires étrangères, a été arrêté par les maximalistes.* * Pétrograd1, 19 novembre : La machine gouvernementale est complè-iement arrêtée. Les fonctionnaires refuserjt unanimement de travailler pour les rebelles. Une grande- armée approene de Pétrograd; on ignore quelles sont ses intentions. Une autre grande armée marche sur Moscou. Il résulte des dernières informations qu'une scission se serait produite dans le (Jaiijojtet Lénine : cinq ministre» auraient donné létir démission. * « * Paris, 19 novembre : On télégraphie de Pétrograd à l'Agemos Havas ; — Aorès avoir chômé pendant quatre jours, le personnel des télégraphes a repris son servioa. L'i'ciiec de M. Kerenski a eu pour cat^-séquenoe do renforcer la position des ma<xi-malisfces. Kerenski ayant été ioroé d'abandonner ses at.aques contre Pétrograd et d évacuer Tsarkoié-Sélo, les troupe^ de» deux partis sont entrées on négociations. Avant-hier, à la suite d'une dernière délibération, le matelot Dubenkof, un des trois cl muilssaires auxiliaires de la marine a annoncé au Soviet de Pétrograd que le général Kriisnof, commandant les troupes de Kereasxci, ainsi Que son état-major, s'étaient . rendus et qu0 Kerenski avait pris la fuite, déguise en matelot. La capUale présente de nouveau son aspect habituel; toutefois, le* fonctionnaires de l'Etat chôment encore. La réunion de l'Assemble Constituante sera sans chuta retardée, étant donne les circonstances ao-tùotl-S.« «I Paris, 19 novembre : On mande de Pétrograd qu'au cours des. derniers troubles on a volé pour plus de 5 millions de rouble^ de tableaux, d'ancien» meubles et d'objets au Palais d'Hiver. Londres, 19 novembre : On mande de Pétrograd au „Daily Chro-nicle ' : — Les troupe» des bolchevistes, qui ont battu les 15,000 cosaques de Kerenski entre Gatchiua e!> Tsarkoié-Sélo, etaieni au nombre die 16,000. La bataille à Moscou a commencé le 10 novembre : les troupes du gouvernement se comoo-viient de 3,000 soldats, de cadets et d'étudiants, ef disposaient de trois canons, d'un grand nombre de fusils et do quelques mitraillinises. Environ 15,00(> soldats de la garnison, dont i-el'<eo-tir est de 100,000 hommes, se sout rangés du cjté des bolchevistes; les autres sont restés dans leurs casernes, l^e commandant militaire révolutionnaire a bombardé le centre do la \illo sans relacbe à l'aide de 15 c:mons. Imvirou ^,000 personnes, des citoyens paisibles pour la plupart, ont perdu la vie; la piupaît des cadavres sont restas plusieurs jours dans tes rues sans être enterras. Le Kremlin a été détruit et l'église de SainU.B&si.o incendiée. * * * Paris, 19 novembre î De l'Agence Ilavas : On mande de Kiew que la Rada s'est de-cla-r'o seul gouvernement légitime de l'Oiv-kraino et a proclamé l'indépendance de co pays. « c » Londres, 19 novembre t Répondant à une quest'on à la Chambre des Communes, M. Balfôur a déclaré que la situation en Russie resie obscure, niais qu'il semble que les e. r imistes sont complètement m a. très de Pétrograd et de Moscou. Les pourparleis ouve.rts en vue de la con&dhition d'un ministère de coalition n'ont donné jusqu'ici aucun pésui'tafe. Les communications télégraphique avec l'ambassade britannique à Pûtrograd, intrrom-pi es la semaine dernière, sont rétablies : l'ambassadeur est resté à sjn pos,e. DÉPÊCHES DIVERSES Le Havre, 19 novembre : On parie d une moaii'ication au sein du ministère belge. Le baro>n de Broqueville, qui devait prononcer nu important discours dimancne dernier à Paris, a du renoncer u son |*r<jjet; le clief du gouverneme.tt souffre (jj uue vioiente crise ne sciat;que. l'eut-ètro n'est-ce qu'une maladie diplomatique qui em^che en co moment 1 nonoiuoie cnef du Cajinei. de parler, a Paris, de la situation actuelid, éc.iiit" tlonué la sikutuon tiifdciie dans iatpiclle se trouve M. Lloyd Courge. * ' ♦ Paris, 20 novembre : Le ministère Cieniencoau a été comjileté i par la nomination do dix sous-secreUiires d iiXal. Il .compte au total vingt-quatre membres.. * e * Berlin, 20 novembre- : D'après un télégramme dé Pans transes de la frontière suidio au „BerJtner Ta^e-blatt, la s^i'nce do demain à la chamoi e sera lune des manifestations po.ijpies le-s pius importantes de 1 iiistoiro do la guerre on France. M. Ciemcaoaau prépare (bapuis plusieurs jouas une déclaration qiu sortira du 'caùlro des manif.:s>aiions muiistérietles antérieures et consiitucra tout un programme. * «• Paris, 20 novembre : Le „Tem|>s" annonce que le Cabine* Clemenceau a décide de fernnir ies sjndi-cais ouvr ers i>our le res»e de ht guerj-o oimuLanemeiiJi, les préfets Ont été invites à gendre des mesures contre ies réunions et les manifestations pacifistes. V ♦ # Paris, 19 novembre : Un nouveau paru — lo groupe indépendant — s est eon-ttué à la Chambre. Vingt-trois dépui-s y ont adhère jusqu'à pr-sent, parmi les inels MM. Maurice Barrés, Yber- negary et l'amii'al i.ienaimé. ♦ 0 • Borlin, 19 novembre : Ou mande de Genève au „Beruner Lokai Anzeiger' ' : — Un député de l'exlrême-gauehe demandera demain an gouvernement a la Chambre française si M. Nouions, l'aanl>assadieur de l<>ance à Pétrograd, se met'ra en rap-vsort avec las nouveaux dirigeants de la Russie. " On no cro't pas que M. Clemeu-ceau ou M. Piolion résoudra immédliate.ne.it, mais on s'attend à 1 intervention de M. Bar-thou, l'ancien ministre des affaires étrangères-, qui dépendra l'altitude do M. N^nlans. * " <• Zurich, 18 novembre : Une manifestation organisé en faveur de la piiax immédiate a donné lieu la nuit dernière à des troubles et obligé la police à dégainer. Une ÊabrijUo de munitions a été assaillie et des machines y ont été endommagées.Ces troubles se sont renouvelés cette nuit et ont donné lieu à dés scènes de violence au cours desquelles il y a eu cinq tués dont lui agent de police et un gruid nombre de blessés. La police ne suffisant pas pour maintenir l'ordre, l'armée a été réquisitionnée. Les rassemblements dlans les rues ont été interdites. 11 y a lieu de retenir que ces manifestations sont exclusivement l'eouvre d'un petit groupe de pacifistes à tous crins et que la population de la ville s'abstient d'y participer. » * m Zurich^ 18 novem'.re : Ce soir, aux dernières nouvelles, ie nom. ire dies taés s© réduit à trois. A l'hôpital cantonal se trouve une femme qui a reçu une balle dans le ventre* ainsi que cfeux gamins dont l'un, âgé de 13 ans, a reçu une balle dans lo venfcre, ci l'autre, âgé de 19 ans', une balle dons le poumon. Une vingtaine de blessés sont en traitement; il y a eu plus die quatre vingts arrestation®. COMMUNIQUÉS OFFICIELS Communiqués des Puissances Ce&trales. .En- ^bamPaSne. après uno violente préparation d artillerie, 4es patrouilles ennemies ont attaqué r, 0/v , . . - nos positions établies à l'ouest de Tahure ; elles Berlin, 20 novembre. ' Officiel de ce ont été repousscea par notie feu do barrage précia. miîfi. : Au nord-est d'Asiago ainsi qu'entre la B.eat» Théâtre da la gneri-a à l'Oueetf Ita'i8I,s °nt tc"té - PfùGlieaiont i . u I , . , . au moyen d attaques en niasses prononcées par doa A mues du teld- maréchal prmee héritier troupes fraîches, partiellement grâce à une rcsia- Ruppreeht de Bavière : tanco opiniâtre et désespérée — à arrêter à tout En Flandre, lo combat d'artillerie est de- prix la marche en avant des troupes coalisée», venu beaucoup plus violent hier après-midi l'andis que, dans la région d'Asiago, los attaque* depuis le bois drilouthulsi jusque Zand- phisieurs fois réitérées ennemies échétonnées ea voordoj il a aoMÎ oonS'aué »v» la même ?lou"e3 "roIondes « f riS6c8 coutre 103 Vautour. • -u . . , ,, „ . . ^ conquises par nous, échouaient avec de3 pertes ex.- intensité la nuit. La zone de Ooinbat pr.* lraor<iiniiirc3 en tute et on blessés, la rwistanc de Puelcapelle et de Passotemlaele a été plus acharllée des iiaileuB daua d03 9oaUiona <), prise sous un violent feu destructeur. montagne puissamment fortiiitc3, n'a pas été à En Artois, sur les deuix rives de la mcine d'arrêter la marcho en avant irrésistible d* Scarpft, près de Buliecourt et de Quéant, les uo.3 troupes, progressant sans arrêt daua un ter- opérations ont aussi été plus aciaves. Des lula hérissé do difficultés. Après un violent corn- détachements de reconnaissanoo mn&n-is Oat bat; de<J lr0l|Pe3 allemandes et austro^hongroiso# été repoussé» fJar dis cor,.» à Oorno. 3"^™!!'.? ! ™ solulement défendue a • j 1 ■ „ > . ! », 30 dressent sur la rive occidentale du Piave. près Armées du prince horitter allemand ! de Quero, ainsi que le monte Comella; situé Z Au nord de boissons et sur la rive Orien- nord-ouest do cctio dernière localité. Nous avoni ta!e de la Meuse, la canonnade a été beau- encore fait prisonniers plus do î.iuo italiens. cuup plus violente que le-* jours précédents: „ elle a été suivie d'une attaque dirigée par r> un bata.ilion français contre ie bois de *-Oïï3ÊtîUï!ïqUôS ces &rîïîte3 alïiéss Chaume. L'ennemi a été repoussé et a Subi de fortes pe<t;a; en outre, il a Laisse des Paris, 10 novembre. — Oif ici el de 3 h. x prisonniers entre nos mams. Notre feu des- Sur la rive droite de h Meuse, "la lutta tructeur a aispersé l'ennemi, qui s'est plu- d^rtdlerie s est poursuivie activement aa sieur3 fois préparé à renouveler sou atr cours de la mut, notamment sur le front du bois de Chaume. Un coup de nuiin ennemi Nos dotaohemeuta ont oxécutô de fruo- sur un de nos ouvrages au nord-est do la tueuses opérations au nord et A l'est de côte U-i 'est resijé sans succès. Unô autre Verdun. tentative sur nos peti ts postes au sud-est de Théâtre de la guerre à t'Est. Malancourt (rive gauche de la Meuse) a Pas d'opération importante à fd«nalcr. également échoué sous nos feux. Nu-it rela- , tivement calme sur le reste du front. Front macédonien. * Sur la rive occidentale du Vardar, des Paris, 19 novombre. — Officiel de 11 h.j troupes a attaque bulgares ont pénétré dans Fn Champagne, au cours d'une inoarsioa :es tranchées françaises et ont fait des pr«- dans les lignes ennemies au sud-ouest de la sonni&i's. B une-du-MesniL nous avons fait des prison- Iront italien. mers. Do fortes oontrâ-attaques clitigres par les 6ur la riYe droite de la Meuse, nous Italiens contre ies poai.ions sque uous avons avons exécuté ce matin une opération de de- conquises sur le versant septentrional du tail dans la région <du bois de Chaume, monte Tomba ont amené hier des combats i\ous avons roal^sé une avance sensible el acharnas. i_«e feu de notre artilierte et celui infligé des i;>ertes à l'ennemi. La lutte d'ar- (ie nos înitcaîl.euses ont éclairci ies rangs tillerie se maintient vive dans tout le eeo-» ne l ennemi marchant à l assaut en masses tour. Canonnade intermittente sur lo rost» compactes; notre infanterie a rejeté les lia- du front. liens dans leurs positions de départ. La * * * violente canonnade continue dans oe secteur Londres, 19 novembre. — Officiel : de bataille. . ,f . Cette nuit, l'artillerie alîeaiaude a été bur ie^ Piave int'érieiu?, rien de nouveau active sur lo champ de bataille. a signao.er. ^ - Des troupes de l'Ecosse et du Warwich- oa ,.?■ S r\~?- * i *t 11 * f^hire ont exécuté cette nuit d'heureux coupa soj ' ' 7 " îficiel dhier (|e mnin près de Moncliv-leiPreux et sur la En' Flandre, vif combat ffartillerte de. la c0'linc Ver^ Staje au aold " ^ pus le bois d Houthulst 3us<iu'à Zandvoorde. __ ,r ,* * • , Une attaque paitie.le tentée par ies Fran- Rome, U novembre. — Guiciei : çais près du bois de Chaume a éfcô repous- ^ a 1111 ^ dernière, violente G^monnaoe entra se. Dans l'Est, rien de parlieulier. Vio- le monte Crappa et l'Ast-'co. icnts combats dans ies montagnes entre la Sur le haut plateau d'Asiago, 1 ennemi a Brenta et le Piave. " dirigé un violent r'eu concejicrique sur no« * * [>osd,ions établies sur ie monte Fonila-recau Berlin, i9 nouembre. Offioiel ; et sur ie monté Bandtmecchi; aucune atta^ INos sous-marins ont encore coulé 14,000 1u6 d'infanterie n'a succédé à la canonnade. tonnes brut dans la zone barrée tracôo au- ^râce à des offensives locales, nos troupes tour do l'Angleterre. p«rmi les navires 0Rk c^, û°aveau occupé quelques part.e- da coulés se trouvaient doux vapears qui ont tranchces avancées; elles ont fait prison- été torpillés en plein convoi puissamment niers G ofiSciers et 202 soldats. i protégé; l'un d'eux était armé. Un aut<e Au 8lld ^uei^» d importants détache- vapeur armé anglais, torpillé auflsi en plein mGnts ennemis ont attaqué nos lignes ai- convoi, était fortement chargé de prodiiîits dl1 monte F encra et du monta alimentaires destinés à l'Angleterre. iornba. t * t, La rapide intervention do ra)s troupes, no- Borlin, 19 novembre. — Officiel : tamment des bata Bons n. 04, 08 et 69 de§ Un communiqué officiel de F Amirauté an- bersaglieri, qui méritent d'être cités pour glaise prétesad qu'un dï*agueur de mines aile- vaillance dont ils viennent de faire niand aurait été coulé par ietj Anglais pendant preuve, a empûehé l'ennemi de renouveler le combat qui s est livré lo 17 novembre dans !'-? tentatives qu'il a fuites pour franchir lQ les eaux allemandes. Cette affirmation est P»a\e dans la région de Fogare. inexacte. Les Anglais n ont coulé aucun de Aujourd'hui, 1103 aviateurs ont bombardé nos drageurs de mines. Par contre, un cha. ^ diverses reprises des troupes ennemiea luli>er à . vapeur manque a l'appel : c'est dans le bassin de ia Primolano. Au nord* sans doute de ce bateau que parle l'Infor- ouest de Sasegana et près de Tezze di Li- ination anglaise- venza., nos hydroavions ont été actifs la * * » nu't, malgré le vent violent, Viensae, 19 novembre. -— Officiel de ce oa.» midi ; Front italien. Dépêches Diverses Avanl-iiier, dans la région moula gueuse au sud de Feitre, les troupes du général Zurich, 19 novembre • Alfred Krauss ont pr» d'assaut le village aisr irn, te msiemWoateate autour a» te Qi'.ero et le monte Cornella aj.rès une poste m.Untire devenant comeacte, tes sol- luUe vio.ente qui dura, wsqw dws 1a nu't ont t'ait circuler la foule et an- té un» Leuaem, a laissa p us de 1,100 pr o anier. centaine cfc pardonnes. Le commandant d, f!'". hU T'1"8' »«««•«». <h>rM).tdé et !;i lJiace a fa;t placarder un avis iatcviHssuit elarg hier par un nouveau ga,„ o. twin, l0ut rn.i-vMwka ci ûiïteM tout contre! est (Il avant tout a la cRinono du 2e régi- ve;iant uibwiajix militaires. ment d nitantcrie de Bosa e.fferz&torine et i in,,™,,,. ,i„ . , de détachements do choc allemands. Au nord- narlent d'rm as« ^t °î i , ouest de Gall.o, plusieurs àouycUe» atta- S1 ,'î^ f l^ ic», manUe». M.os italiennes se sont CW.Xs avec des S'V àt u ' do i "« « TaTï P^s sanglantes pour les ««m.. ,uiâe. ^ Front do 1 La:, deaient : i ! groupes peu nombreux ont ïîieu de changé. manifesté devant ces deux hôt-Us et aucun Altenie- incident no s'est produit. En Albanie, un â<'t*ahcmcM de choc eom. ,n „ * posé de chasseu-s do 15osr.ie-ll«rzô«oviae a ! " V.nombre : ectculé, contre la teto de pont italienne de «u, Eeiclistag aura Feras, sur la Vojusa inférieure, un coup :i heares de l'apiè». de uiaia pleinement réussi. î,os défenseurs, " ' iC e,Icr i;1'0:lt'ra la parole. numériquement bien sup^r cuis, oo« été chas- Berlin 20 novembre* s a et un butin considérable a été g. M.' PEmpereui esi arriva hiexàEer- *.• * * r\,v ~ i ^ -■ ^ a entendu le rapport de l'état m ijor. V îenne, 20 novembre.— Oifieiel do ce midi : Dans ia montagne, entre la Brenta et le Amsterdam, 19 novembre : Piave, des combats acharnés se livrent sur Un avion français, ayant à bord un sous- les versants septentrioaau« du monte Tomba, lieutenant oui s'était égaré venant du front. Las tentatives faites par les Iba,liens pour a atterri à Berg-op-Zoom. L'aviateur a éè reconquérir par des contre-attaques très saA- interné. glantôs des positions perdues sont rest es * * * vaines; L'ennemi a subi de fortes pertes. Londres, 19 novembre : Pour le reste, rien à signaler. Tous les hommes âgés de 18 à 50 ana * * » sont appelés sous les drapeaux. Les non. So ia, 19 novembre. Ouieiel ; velles recrues seront levées surtout dans les Front macédonien : En quelques endroits industries d'exportation, Que l'on avait mé. seulement, l'artillerie a déployé une activité nagjées jusqu'ici en vue de sauvegarder la qne.que peu intense, mais inu^rmijttente situation éoonomique du royaume dans la Dans la partie occidentale du front, près de mesure du possible. liitolia, un détachement d'éclau-eurs enne- » 9 * mis, essayant d'aborder nos lignes, a été Londres, 19 novembre : repoussé par notre feu. A l'ouest du lac Le bruit court- que le général Smuts rq de Doiran, nos patrouilles ont capturé des serait déclaré prêt à accepter le portefeuille soldats anglais. de l'aviation refusé par lord Northcliffe, A Front de la Dobroudcha : Près d'Isac- condition que le budget de ce département cea, canonnade assez intense. fût majoré de 35 p. o. v Berlin, 19 novembre. — Officieux ï Londres, 19 _ novembre : En Flandre, le 18 novembre, sur lo front rî« ba- ^eS associaticus pacifistes 6e muliAplianl taille principal, la canonnade est devenue plu» vio- sans Cesse, le gouvernement a d£ noaV3tia lento à certains moments. L'après-midi et !• soir, ordJoiiné la fermeture d© cinq locaux da elle a été beaucoup plus intense que les jours pré- réu/aioaiu De grandes quantités de broohuœa cédents ; flans la région de Nieuport. elle a été et de pamphlet® ont. été saisie». accompagnée de violentes attaques d'artillerie et de # * # bombardements destructeurs méthodiques exécutés à Londres, 19 novembre : ^ ^ commantot. en eM Yprea.Routers ainsi qu. prè. d. Dixmud., i» c- ™ oorps e.q>e<ïi6ionnaire anglais Cn Méso, nounade ennemie est aussi restée violente pendant potamie, est mort hier. la nuit ; elle est devenue plus intense encore le ♦ * 19 novembre, au matin, à l'est do Passchendaele. Londres, 19 novembre : Sur la voie ferrée Boesingbo-Staden et au nord de Le major Evelyn de Rotschild, fils (fe foa Passchendaele, des patrouilles ennemies ont pris L-éopokl de ltotsohild, est tombé au coar* l'offensive ; elles ont été repoussées et ont subi do des derniers combats en Palestine fortes pertes, tandis que nos patrouilles faisaient ♦ dea priaonnlere. Londres, 19 novoinbrS : m* m ,0^a,™ m0rta, sur différents points du front. Au nord-est de Sois- M- Primerose, membre libéral dfe la Chambre eon3, la canonnade a été plus intense que les inurs f^eS Communes et fils de lord Posoborry, précédents', lo soir et la nuit. tombé au cha.mp d'honneur en Palestine.

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie gehört zu der Kategorie Gecensureerde pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1914 bis 1918.

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