La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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s.n. 1918, 26 Februar. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Konsultiert 16 Juni 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/h98z893t1q/
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Methuen, qui en dit long sur le méoontentemeut croissant que suscite en Angleterre la funeste politique impérialiste de M. Lloyd George : En 1901, écrit -sir Methuen, lorsqu'on réclamait impétueusement la soumission sans conditions des i. Boers, quelques timides voix s'élevèrent pour plai der en faveur de la fin de la guerre par négociations.Nous finîmes par conclure une paix de conciliation et, grâce à l'habileté de notre diplomatie, nous transformâmes nos ennemis en amis et sauvâmes l'Afrique du Sud. Le même problème se présente dans la plupart des guerres. Le temps vient où nous nous demandons : « A quel moment sera-t-il inutile de continuer à se battre ? Quand terminerons-nous la guerre ? Sommes-nous arrivés actuellement à ce point ? Quelle eet notre situation actuelle ? Parlant des propositions de paix formulées par l'Allemagne, M. Methuen déclare : Les écarter comme un piège, quand elles peu vent renfermer un élément de sincérité, serait condamner le monde à la prolongation infinie d'une guerre qui consume les jeunes gens par millions et l'argent par milliers de millions. Deux considérations troublent l'esprit public. On nous met en garde contre une paix qui ne cqn-cluerait rien. Soyons sans crainte. La paix qui terminera cette guerre sera aus?i concluante qu'une paix peut l'être, car ce sera une paix d'épuisement où le mot même de guerre, où la eoule pensée de la guerre donneront des nausées au monde jjendant plus d'un siècle. S'adreesant h ceux qui se refusent à envisager la possibilité do négocier avec l'Allemagne, l'auteur affirme que leurs objections ne tiennent pas debout : Car, dit-il, tôt ou tard cette guerre devra se terminer, et une paix quelconque devra se négocier avec nos ennemis. Si les Alliés cependant sont résolus à supporter les frais et les souffrances et les myriades d'incertitudes d'une guerre prolongée, nous pourrons probablement vaincre l'Allemagne. Mais ^nous ne pouvons espérer atteindre oe résultat avant deux ans, à partir du printemps prochain, quand la pleine force de l'Amérique aura pu intervenir. Dans ce cas, qu'est-ce qui nous attend ? Il est bon do regarder les choses en face. Les morts, qui se comptent par millions, augementeront encore par millions. La famine menace ; le mécontentement empirera avec les oevn-taines de maux qu'amènera encore une guern prolongée et dont le pire sera la ruine financière Sir Methuen démontre par des chiffres que la guerre entraîne pour l'Angleterre des dépenses tellement exagérées, que le gouvernement se verra finalement forcé de recourir aux pires mesures fiscales pour faire face K aux charges de l'intérêt et do l'amortisse ment .des dettes formidables qui s'accumulent. Et il demande : Y a-t-il un lltramo raisonnable, sachant ce qu£ ftjgnifù» l'augmentation d&s iniiJÔts, de quoi poids il pèsera sur le pauvre, combien il fera bais-er les salaires et de quelle manière il appauvrira tout l'Etat, y a-t-il quelqu'un qui puisse considérer une telLe perspective sans frémir ? Si tel est l'état de J'empire britannique, la plus riche, la: plus solide des nations du monde, qu'en sera-t-il de l'Italie, de la France ? Il est temps de parler ouvertement. Nous eemblons avoir des ministres incapables de conduire une guerre, comme de conclure une paitf. Une espèce de cauchemar fataliste les oppresse. Le bateau s'en va à la dérive, sans rames, sans pilote, vers des mers inconnues et dangereuses. Où allons-noua ?... Les buts de guerre dûs Alliés devraient être clairement définis et ouvertement publiéa; ils de vraient ê.re modérés, autant que possible dépourvus d'égoiame; ils devraient finalement ne laisser subsister aucune possibilité d'une nouvelle guerre, jft' Ils devraient par-dessus tout frayer la route du désarmement général et stipuler des méthodes rationnelles pour régler les conflits par l'arbitrage. L'horreur mondiale dont nous sommes les témoins dépasse toute conception. La jeunesse de l'Europe sP détruit rapidement. On a constaté que la millions d'hommes ont péri en conséquence do blessures, de maladies ou de faim; encore deux années de guerre et ce nombre atteindra le chiffre effrayant de 20 millions. Nous sommes devenus indifférents à la signification de tels chiffres, mais nous devrions nous secouer pour en saisir l'épouvantable teneur Si les Puissances Centrales sont, oOmme elles le déclarent, désireuses de discuter les conditions de la paix> ne devrions-nous pas, bien que méfiants, aller â la rencontre de ce désir, voir si nos principaux buts pourraient être atteints et nous, affranchir de la responsabilité écrasante de • prolonger par une seule parole cette horrible tragédie ? Le gros bon sens le réclame ; un monde agonisant le demande à grands cris. Négociations de paix Berlin, 25 février : Le chancelier de l'Empire a déclaré au Reichsfcug : — Nous avons appris hier que le gouvernement do Pétrograd accepte nos conditions do paix et a envoyé des déléguts à Biest-Litovsk pour négocier. En conséquence, 110s déléguas sont partis hier soir pour les y rencontrer. Peut-être taudra-t-il discuter encore certains points do détail, mais on sut des maintenant que les Ruscos sont r-:®0ius iaire la paix aux conditions que nous leur avons dictées, et qu'ils signeront lo traite sans retard. *** • * Bucarest, 24 février : M. von Kiiklmami et le com 0 Czernin sout arrivés lii.'r soir à Bucarest. • % Vienne, 24 février : I 0 général-inajjor Cis:ar von PIranilovio-Cze\etaesia a été chargé de représenter les int rets du haut commandement do l'ami* 0 tastro-ho -vjije aux négociations do paix en ltoumau j. H awiit occupé les m» mes fonctions lors dés négociations do l'armis-tfte à i'< c.sani. Le lieutenant-colonoi Félix von FçcŒStcr-SfcreuffleB et le major Joau Uievalier von limpel, touls les deux du corps de l'état-major, lui ont ét9 adjoints. £>ofia, 24 février : rf«iU'-le ^^atiori bulgare est partie aujour-uu pour Bucarest afin de participer aux ogociations de pais avec la Roumanie. La, l-'gation est- puésidée par M. Tontachew, "îuistre des finances, qui a représenté la i.iijgurjo à la Conférence do Buojiregt do oncoro partie: M. Montscho-tol' T^'P^wdont de la Sohranié: M. Kos-- ( le général Tantilow et> le pro-1 ^e«r Miîetitsch. Paris 24 février :*** (lue la'V^p8 oônfltat6 quelque dépit 1 p cîusion prochaine de la paix aveo < d'prmUmi?nn,i° 086 de nature à renverser le 1 ŒJ-STï-.de rEnten,e à rE8t- *** 1 so m,, f SuCiaiistos et radicaux-socialistes ] nialisteg1 tr^s *8ur0xC*té* contre les ma&L- ,,Le Paya'' écrit que les événements qui Berlin so déroulent en Boeaie et en Roumanie sont On ti d'une portée considérable: il conviendrait. Lokal . do solliciter du Japon qu il engage une ac- annonça tion contre la Russie orientale. été retii Seul le ,,Journal du Peuple" prend la ténour. défense des maximabetea. L'alliance aveo portes la Russie, obtenue à coups do milliards, cosaque* doit aujourd'hui se payer avec du sang. Il n'est pas possible d'abandonner la Russie Berne , à son soi-t. Il est do toute nécessité do lui Les venir eu aide dans sa lutte contre le milita- Pétrogr risme. la _ « où elles JLa guerre navale «j Londres, 21 février : °omniixi Le „Daily Grapliio" craint que la flotte ■. ' > russe do la Baltique tombe entre les mains ca .^ale 1 des Allemands: il estime qu'elle comprend centuan quatre navires de combat, plusieurs croi- v'pîs seurs et une quarantaine do contre-torpilleurs. 7, Lo ,,DaU,y Mail" dit que les dreûdnoughts russes dans la Baltûjue sont au nombre de p cinq. Il ajoute qu'il n'est pas impossible «'/f-f quo la flotte de la mer Noire partage le Lntent 1 sort do la flotte de. la Baltique. pour si t Offristiania, 24 février : New-\ o j Le steamer allemand ,,Biarritz" do la Compaçnie Argo do Bn^me, a été capturé P011». le 22 février par un vaisseau do guerre an- envois ■ glais près du pliare Buholmen, dans le voi- îrD^ Binage immédiat de la c6te. Le> pilotes de- e I clareut que le steamer so trouvait iaconte»- ^poïiaij tablement dans les etux territoriales norvé- or'c e ° gietmcs. Le steamer allemand „Dusieldorf'\ llPIls' ( 9 [>arti do Narwick aveo un chargement de vl^cs a , gravier, a été capturé au môme endroit- et ?Jlfc 1(^ ^ dans les mfmes conditions et, le même jour, a ^ par im croiseur auxiliaire anglais. Le gou- ic vernemeat norvégien a fait ouvrir imme- Stock [x diatement une enquête sur ces fûts et en- ^o v a voya un navire au phare de Buholmen, Ie3 ilai! i>our interroger les gardiens. Vu les décla- ron' l,r rations des j>ilotes suédois se trouvant japonais u bord des navires capturés, il n'y a pas le dijlmi'i l. moindre doute que l'Angleterre ne se sait h°hn le >. rendue coupable do violation, flagrant® de la flon 1111 souveraineté norvégienne. r_ Stock ;r New-Yorlc, 24 février : • _ Le c it Los gouvernements anglais et américain ^<as i £ et ont autorisé le départ pour la Norvègo du télA^ran i- vapeur norvégien ,, Alfred Nobel", chargé de Garde 3 vivres. le sud ■<* >s Saint Jean (Terre-Neuve), 25 février . Wasa 0 Lo vapeur ,,Floricol", de Li Croiiv-llouc/s D'api II qiai se rendait do S''int-Jean à Netw-Yoï-k, Russes a s'est échoué à proximité du cap Race. Los pnr 001 quarante passagers et les soixante îiommes soldats n. d'é<iuipage ont péri. Pétrogi re — eux so EN AWlÉRlGiUE S ^ —«-— leuSes 0- Paris, 2»! février : °!* a^n ir On mande do New-York au ,,Matin" que rIe. lo ministre dos finances ' a annoncé l'émis- tn,is C: 3" sion en avril prochain d'un troisième cm- ront P; prunt de guerre 4 % %. core. s foimati Washington, 24 février : Un accord économique a été conclu1 entre Sfoc! ^ les Ebats-Unis et La Norvège, intéres^nt la Troi* le Grande-Bretagne et les autres alli >3- Le herg & toxto n'en a pas été publié jusqu'ici. offices lS ! vile fin Z EN STALSE transpo 1- —_ dition ^ Berlin, 24 février : La ^ é- * Le ,,Berliner Tngeblatt" apprend de Lu- quelle n. gano que la dernière séance d^ la Chambre quitte italienne a été particulièrement orageuse- re L'ax-ministre Bonomi s'est plaint que tes Chrt e- alliés de l'Italio so refusent toujours à re- Lo c r- connaître quo lo but de guerre de l'Italie d-0nV0^ er exige le démembrement dte l'Autriehe-Hon^ dinair^ e- grie' véei-rS lu Le socialiste Maffj a (Sxposé la situation 1- désospétréo de la population ouvrière, qui ;• est littéralement affamée et envi© lo sort du ° ^ bétail. Il nest jxis possible que la situa- p (€ tion actuelle perdure. I^s préfets refusent J^'3 1 do faire connaître ce qui so passe dans les Utl ,.r x provinces éloignées. On a prétendu que si ~~~ a la catastropho diu Karst a été posa ble, ^0"verr . c'est parce que l'ennemi n'a trouvé devivnt n.ai .r° 3 lui que des soldats socialistes fatigués de 6 r . la guerre. Ceci prouve que la guerre a été - décharnée contre la volonté du j>ouple. (La i censure a biffé le restant du discours- de o s M. Maffi.) u Le géineral Pisfcoja a pris alors, au mi- i lieu de olameurs assouixtissantea, la dé- Paris t fense du général Cadormi, devenu l'homme ^ P J le plus impopulaire do l'Italie- On a re- à dire proohé à Cadorna son macque d élan et on traies s * no lui pordonne pas do ne pas avoir pris engage Tri este et Larbaon, comme l'occasion s'es: et ©oui présentée à lui. On oublie que lo Ocrrain fluienoer . d'opérations de l'armée italienne était le cet-fo of plus difficile de tous et que si Cadorna a -l^e »> pu créer une armée, il s'est trouvé dons confiât* l'impossibilité de lui insuffler une âme. l'arrière C'est une tâche qui dépasse les forces d'un son dev généralissime. le front . *** — ^ Rome, 24 février : dit-il, i Après les discours de MM. Soninno et raconter Orlando, la Chambre a exprimé sa con- dè oati fiance au gouvernement par 344 voix con- pertes '< *r® 4^. dinaires *** traies 0 Rom3, 24 février : devra C L'Agence Stefani annonce que le d^lai ce céré." souscription au cinquième emprunt de guerre I^e «, italion*—-délai qui avait déjà été reporté du attendre 3 au 24 février — vient d Ctro prolongé do que l'oi nouveau. ^ l'autj Rome, 24 février : Paris, On mande de Lugano qu'une explosion M. P s'est produite dans uno fabrique de munitiocfc Cliambri p?èa do la Porte du Peuple, à Rome. Les de mou membres du personnel, qui so Composo près- contre A quo ^ exclusivement de femmes, voulurent so il* est précipiter au dehors, mais ma escalier Se d'ébranl rompit' sous leur poids. Soixante-seize femmes ont disparu; le nombre des morts esf Paris, inconmiti L'Age • ont été Les événements de Russie Milan, 25 février : - nul!"611 On mando de P6trograd au „Piccolo'' luo la situation s'aggr&vû. Lo gou\ orn®- Paris, ment vianit dV'tro avis.' que des traupes aile- One i mandes avancent rapidomon't sur tout la vain M. front. goiiœ a-• ** • Berlin, 25 février : Paris, On mande do Çtookliolm au ,,Ber-iner Lo- On an kal Anzeiger" qu'uno grande surexcitation ceteau, riXgno parmi les équipages do la ffc>tfe de la inculpé Baltique, Uoqu'o par les glaces dans les clientèle, ports do Sheaborg et d'Helsingfors. Cette flotte comprend quatre dreGdnougiiOa, deujx M uni cl eroiseurs de combat-, quatorze torpilleurs et Les m le yacht impérial russe „Standard". Hel- wils, mi singfors eat puissamment fortifié du "oôté de oouséquo la terre; Bjorneborg est évacué par leg von Sel Russes. uégociati' , 25 février : •ansmot de Stockholm au „Berliner Lnzeigcr'^ une d^pêohe de Pétrograd si it que des troupes bolchevistes ont b- égs 4® différents points du front ia- c Les gardes rouges arrives aux d de Novotcharkask, la capitale âes i, ont subitement évacué le terrain. •** 24 février : n ;ournaucc parisiens apprennent de ni id que les forces dont dispose en- k Russie sont concentrée^ à Vite1^, a espèront pouvoir entraver la mar- p avant des armées allemandes. Le cl Brseohevitch a pris en maias le il dément supérieur de l'armâe. D''sutre Ci 1 mando do Pétrograd au ,, Progrès s< l", qu une orise politique menace la v les socialistes révolutionnaires ac- ri , leur opposition aux entreprises des li r i 24 février : v. ès une information de KolxS au Marseillais", les gouvernements de e auraieut pris prétexte des troubles éclaté à Kharbine et à Vladivostok, spendre les envois do munitions do rie à Vladivostok. .instructions ont été soumises au Ja- . i est chargé d intercepter tous les de munitions. Déjà environ 4,000 \ de munitions ont été déchargées c t dans l'ilo Bejuma. Trois steamers i Se trouvant daus lo port do New j1 ; affrétés pour le transport do muni- 11 levront retourner sur* lest. Dix na-méricaina ea route pour la Russie, n 1 ordre de gagner Wakumutsu, et a harger leur cargaison. j îolm, 24 février : Stockholm Tidriingen" confirmo que Ktssadours alliés à Pétrogi-ad quitte- ^ ochainemeat la capitale. L'ambassade 0 est déjà partie via Kharbine. Ces t'.'s ont l'intention d'observer à Stock- 1 développement que prendra La situa- g ,'rieuro en Russie. '{1 *•* a liolm, 24 février : . t; hef do la station télégraphiée u , été a r côté pour aycîir détourné de? c îmes du • gouvernement bourbe is. la l Blanche continue à progresser daua c de la Finlande. e ♦ V c , 24 février : 'às un télégramme de Wasa, la- ! ont évacué partiellement IIjoerniborg; Î! iti*e, dos renforts russes, c >mposés de a appartenant à plusieurs- régiments de v acl, sont arrivés à Viborg. Parmi trouvent aussi un certain nombre de de la Garde Rouge- Il est encore r à Viborg de l'artillerie, <ios mitraii- j et des autos blind es. D autre part, once quo l'organisation de la cava'e- andaise eit avancée au point que 0 joadrons de 125 hommes chacun pour- „ irtir pour le front cette semaine en- L l^; autres escadrons sont eu voie d,-1 0 on. ^ holm, 21 février : ; par'nr.-t -Tr-rnii j«. MM", jrrî'or, Th?r- L Lindhagem, qui ont offert leurs bons n c>mme arbitres dans la guerre ci- \ landaise, se sont embarqués h bord ,, vires „Ileimda>" et „Vineta'., qui r rtent en Finlande la troisième expé- f suédoise. C es navires sont aceouipo- n 'uu br'se glaces et d'une canonnière- J troisième ambulance suédoise à la-* c s'e>t jointe la comtesse Bornadotto, a | Stockholm au.iouri'hui. n «% i] tiania, 24 février : i ouvernemo.'it norvégien a l'intention r er en Finlande une mission ûxtraor- s ohargéo de veiller aux intérêts nor- d On sait que de nombreux capitaux r ans sont, investis dans l'industrie du s l'exploitation forestièio en Finlande , 24 février : lande do Madrid au ^Matin'* : Garcia Prieto a d'*clnré quo le j emont os^>agîiol a décidé de r non- f 0 nouveau gouvernement finlandais r ©prendre les relations aveo lui. f f ÉPÊCHES DIVERSES — t , 24 février : * rosse française, généralement d'accord " qu'uno offensive des Puissances cen- c ur le frontù 1 Ouest est imminente, e la population à garder sa résolution ;l jang-froid et à no pas se laisser iu- 0 ou abattre par un succès inituil de Pensive. q Journal' dit qu'on peut avoir pleine d 0 dans l'armée, mais qu'il faut) qu'à T du front, la population fasse tout d oir aussi bien que les troupes sur ti g rtout où les Allemands attaqueront, n Ls nous trouveront prêts. Quiconque r a des histoires à 1 arrière, parlera c istrophes qu'on tient cachée®, de P 'normes, d'engins de combat e^traor- inventés par les Puissances CCn- n u de l'évacuation do certaines lignes, n tro immédia ion ont signalé et incar- 1 ! f Journal des Débats'' dit qu'il faut ' les événements de sang-froid, mais n •ago peut se déchaîner d'un moment ,a ■0. L 24 février :* * V{ ainlové a violemment prote^ti à la J ) contre la campagne qu'on màue'eu Q| ient, dar.s le pays et dans la presse- C! I. Ribot et lui. Cette campagne, dit- n maladroite, inopportune et menac© ;r la confiance du pays. *** 24 février : nce Havas dit) que des perquisitions faites au domicile do M. Letellier, du „Journal", au domioilo d'uu do cte*urs, M. Mouton, à Paris et à et chez diverses autres personna- ^ *** 1€ 24 février : J" nstruction est ouverte contra l'écri- ^ Henri Guilboaux du chef d'Lntelli- "ec l'ennemi» q •** O 24 février : noncg l'arrestation du baniquier Prin- ^ L'éditeur des ,,Annales financières", de d'abus de oonftanco viâ-k-vis sa ai m . •% ni 1, 24 février x n\ édeoius ont interdit- au comte PocTe- C' nistre dJ Ltat, d® so surmener. En d\ ico, le conseiller de légation secret m oen représentera la Bavière aux U >110 de paix. pr •% M écrit que les événements qui Berlin, 25 février : I Russie et eu Roumanie sont On transmet de Stockholm au „Berliner considérable: il conviendrait Lokal Anzeigerune d^pêohe de Pétrograd si ii Japon qu il engage une ac- annonçant que des troupes bolchevistes ont bc Russie orientale. été retirées cJo différents points du front in- c rnraal du Peuple" prend la ténewr. Le^ gardes rouges arrives aux d aximaliêtes. L'alliance aveo portes de Novotcharkask, la capitale âes >tonue à oouj»s de milliards, cosaques, ont subitement évacué le terrain, ui so payer avec du sang. Il sible d'abandonner la Russie Rome. 24 février : m est de toute nécessite do lui Les .ournamx parisiens apprennent de 111 dans sa lutte contre le milita- Pétrograd que les forces dont dispose en- lo core la Russie sont concentrée^ à Vitebsk, aj « où elles espèront pouvoir entraver la mar- pi ttût»r»p 7-7 n tto 7p oho en avant des armées allemandes. Lo cl . Brseohevitch a pris en mains h fl -, - # commandement supérieur de l'armée. D^utre c< evr er s part, on mando do Pétrograd au „Progr«5 se GrapU.0 ' cnu.it que la flotte ^ £ „ ig0 ^Utiqu0 menaCe la v altujue tombe entre les marna ita^ ^ 80oialist63 révolutionnaire» ao- ri Sbat 5 plusteiire ciroU c6"uftnt ^ 0PP^ili™ aux entrepiisea des I lu quarantaine de oontxe-torpil- S0ViCjS' „ ^ [ail" dit que les dreadnouglits îl?"19, ^ ^'^vrier : ^ ! Baltique sont au nombre de . information de KolxS an 0 qu'il n'est pas impossible ,''Po " Marseillais' ', les gouvernements ce de la mer Noire parta^o le ' Entente auraient pris prùtexte, dM trouble» tto do la Baltique. ou ® Kharbine et à Vladivostok. * 1 pour suspendre les envois de munitions do 24 février • New-Yorlc à Vladivostok. allemand Biarritz" do la 0c3 ùistruotiong ont été soumises au Ja- , rc-o do Br«me a été oaptnré P™' qiLi ^ oharSà «'mtarcepter tous k« e MT un vaisseau de guerre an- envoia ® m<mfo°ns. Déjà environ 4,000 tjiare Buholmen, dans le voi= tonuCâ L0 a»u>'ùons oat été oécharg«.es k . at de la cite. Lo< pilotes de- !tobû ,et tlans 1 Uo Bejuma. Trois steamers " Bteiainer so trouvait incontes- japo'iais so trouvant dans lo port do New- s les eaux territoriales norvô- iors- eî [>our le transport do muni- aamar allemand „Uus.-eldorf", tl?lls' de';™'t retourner sur-lest. Dix na- wiok avec un chargement d" Vlrv'a anu'-ricainî en route pour la Kussie, capturé au m&me endroit et ulLt 1 orlil'e "6 KW® Wakumutsu, et » conditions et, le mémo jour, a ^ -décharger leur cargaison. « ur auxiliaire anglais. Lo gour , d. rvégiien a fait ouvrir imme- Stockholm, 24 février : j enquête sur ces fûts et, en- Le „ Stock holm Tidriingen" confirme que " vire au phare do Buholmen, le3 ambassadiours alliés à Pétrograd quitte- yr les gardiens. Vu les décla- ront prochainement la capitile. L ambass de ilotes suédois so trouvant japonaaso est dé.,.i partie via Kharbine. Les ires captures, il n'y a pas le (iii1 >m,'lt'-s ont l'intention d'observer à, Stock- > que l'Angleterre ne ^e s ût holm le développement que prendra la situa- g jio do violation flagrante de la ^on int rieuro en Russie. norvégienne. . *** n" Stockholm, 24 f \rier : . t. 24 février : • Le chef do la station trlégrap£ii'_(ae f.-:- u nements anglais et américain ^asa a été orco-té pour avtfir détourné de- c» le départ pour la Norvège du télftgîrammes du gouvernement bourbe is. La l ,'ien „Alfred Nobel", chargé de Garde Blanche continue à progressa: dans c, le sud da la Finlande. e; *** c, (Terre-Neuve), 25 février . Wasa, 24 février : 'i ,,Floricol", do 1a Crov > Itou tr/*-. D'après un télégramme de Wasa, le- 1' it do S'iint-Jean à New-York, Russes ont évacué'partiellement-II joerniborg; à proximité du cap Race. I^es par contre, dos renforts russes, composés de !ï agers et les soixante honmies soldats appartenant à plus»ieurs régiments de v it péri. Pétrograd, sont arrivés à Viborg. Parmi «t eux so trouvent aussi un certain nombrode « narni ai .n. soldats de la Garde Rouge. Il est encore r, A^È.RlQUc» arrivé à Viîjorg de l'ar iler'e, des mitraii- [ —— leu«es et des autos blind es. D autre part, février : oa an,K)DOe (l"o l'organisation de la cava'e- ,, de New-York au ,.Matin" que rie finlan,'ais0 est avancée au point que ,, les finances a annoncé l'émis- tn,IS escadrons de 125 hommes chaounpo.:r- 1 prochain d'un troisième em- t'°"t l'ai'hr l""lT 'e front œ'te semaine en- „ >rro 4 '/, °/ core. Six autres escadrons sont en voie de 1*1 ' formation. l, 24 février : économique a été conclu entra Stockholm, 21 février : ;> s et la Norvège, iueéreennt la Trois per'ani nraiu», M!\r. ]\r« V- r. Thsr o ?ne et les autres alli<>s. Le herg et Lindhageni, qui ont offert leurs bons pas été publié jusqu'ici. offices c>mme arbitres dans la guerre ci- \ vile finlandaise, se sont embarqués bord n . « « «p. r des navires „IIeimda^" et ,, Vineta' , qui , • . N 8 il  LIE transportent en Finlande la troisième expé- | „ dition suédoise. Ces navires sont accointa- n , gnés d'un br"se glaces et d'une canomiièro. Cu evr er : La troisième ambulance suédoise à la-' n rV,.„iA 1°" apprend de X-u- quelle s'en jointe la comtesse Bornadotto, a p deroneie snance de la Chambre quitw Stockholm auiouri'hui. ,, été partioulièrement orageuse. '* Bonomi s'est plaint que ,« chr-stiaol», U février : 1 ^ L h„f r!^,^J<rS1.Lna" U gouvernement norvégien a l'Intention n .embranent de l'Autriehe-Hon! dSr^^aT^f^^i! f1"6 a™®-T" ( u maire oliarg* o «o veiller aux înkT-'ts nor- d. n Afaffi a Ôvnosft Ii «nnnti/v,, ^gien-s. On sait que de nombreux capitau n la romilàtoonvr^r^ "«rvégiens sont, investis dans l'industrie du * nt affamée et envie le sort du 1)018 Ct 1 esljloilauon forestièio en Finlande st pas possible que la situa- _ . . * * perdure. Les préfets refusent î™' février : lître ce qui so passe dans ics On mand-3 do Madrid au „Matin" : gnéos. On a prétendu que si Garcia Prieto a d cl r** que le j, 0 du Karst a été possible gouvernement ospagnol a décidé de r.eon- q e l'ennemi n'a trouvé devient naîtr° Io Q0u>veiui gouvernement finlandais n oldats socialistes Litiguits de eb reprendre les relations aveo lui. n eû prouve que la giierro a été • — f( re la volonté du peuple. (La _ - t. _ ^ fé le restant" du discours- de DÉPÊCHES DIVERSES L Pistoja a pris alors, au mi- ^ (urs assourdissantes, la dé- Paris, 24 février : ral Cadorna, devenu l'homme ^ presse française, g-înéraloment d'accord n 3ulair3 do l'Italie. On a re- a dire qu'uno offensive des Puissances cen- ^ )rna son macque d élaj» et on traies sur le front-à 1 Ouest est imminente, e| ne pas do ne pas avoir pris engage ' la population ù. garder sa rw'iution ;l rbaoh, comme l'ooeasdon s'est el i*hi sang-fi-oid et à 110 pas se laisser in- '0- i. On oublie que lo terrain fltuenoer ou almttre par un succès inituil de le l'armée, italienne était le cette offensive- q de tous et que si Cadorna a ^e ,,Journal' dit qu'on peut avoir pleine <1 armée, il s'est trouvé dons confiante dans l'armée, mais qu'il fa/ut) qu'à T de lui insuffler une âme. l'arriére du front, la population fasse tout d e qui dépasse les forées d'un son devoir aussi bien que les troupes sur ti le front. g *** — Partout où les Allemands attaqueront, rr !vrïer : dit-il, ils nous trouveront prêts. Quiconque r< discours de MM. Soninno et racontera des histoires à 1 arrière, parlera et Chambre a exprimé sa con- dè catastrophes qu'on tient cachées, de I* vernement par 344 voix con- pertes 'énormes, d'engins de combat e^traor- *m dinaires inventés par les Puissance^ CCn- n *** traies ou do l'évacuation de certaines lignes. m ivrier : devra être immédiatement signalé et incar- Cl cfani annonce que le délais céré." 1 cinquième emprunt de gu©rro I^e „Journal des Débats" dit qu'il faut r,: qui avait déjà, été reporté du attendre les événements de sang-froid, mais n, er — vient d (tro prolongé de que l'orago pOut se déchaîner d'un moment ,a à l'autre. ;Vrier : paris, 24 février * * ^ de Lugano qu'une explosion M. Painlové a violemment protesta à la , ims uno fabrique de munition* Ciiambre contre la campagne qu'on môue'eu rte du Peuple, h Rome. Les do moment, dans fe pays et dans la presse ^ jrsonnel, qui se composo près- oontro M. Ribot et lui. Cette campagne, dit- 1 îent do femmes, voului-ent se il, est maladroite, inopportune et menace dehors, mais tua escalier se d'ébranler la coufiance du pays. ^ur poids. Soixante-seize fera- ru; le nombre des morts est Paris, 24 février : L'Agence Havas dib t^ue dos perquisitions —- ont été faites au domioilo do M. Letellier, AmAnfe JA ïî___dii-ecteux du „Journal", au domioile d'un: d t\?lSSI6 ses nédficteturs, M. Mouton, à Paris et à d Ei.gliien, et chez diverses autres personna- Pc vner : litos. le do Pétrograd au ^ecolo'' l€- n s'aggrave. Lo gou^erne- Paris, 24 février : f" tre avisé que des troupes aile- Uno instruction Ost ouverte contre l'écri- >nt rapidement sur tout lo vain M. Henri Guilboaux du chef cl'lntelli- ^ gonce avec l'ennemi* ce . . *** • *** Or frrier : paris, 24 février : ^ 1 Çtockholm au ,,Ber-lner Le- On annonce l'arrestation du baniquier IMn- co qu'uno grande surexcitation ceteau, l'éditeur des „AjmaIes financières", > équipages de la flotfe de la inculpé d'abus de oonftanco vis-k-vis âo ,\< 0 par les glaces dans les clientèle. m< >org et d'Helsingfors. Cette ^ quatre dreadmoug-hto, deuix Munich, 24 février : av mbat-, quatorze torpilleurs et Les médeoius ont interdit- au comte PocTe- C'< pal russe „Standard". Hel- wils, ministre clJLtat, d0 se surmener. En d'I îssammsnt fortifié du. oôté de oonséquonce, le conseiller de légation secret m* îeborg est évacué par les von Solioen représentera la Bavière aux H ■ négociations de paix. pr: i% »% écrit que les événements qui Berlin, 25 février : Neu^Strelitz, 24 février : l Russie et en Roumanie sont On transmet de Stockholm au „Berliner La grand-duo Adolphe-Fr'd^ri» VI est mor considérable: il conviendrait. Lokal Anzeiger'J une dépêohe de Pétrograd subitement. Le grand-duohé do Mecklem 1 Japon qu il engage une a»> annonçant que des troupes bolchevistes on' bourg-Strelitz passe maintenant au grand Russie orientale. été retirées 4e différents points du front in- eue d0' Meoklembourg-Sohwerin sous fonm urnal du Peuple" prend la ténewr. Les gardes rouges arrives a-u-x d'union personnelle. aximalistes. L'alliance aveo portes de Novotcharkask, la capitale des • »** 'tenue à cou|»s do milliards, cosaques, ont subitement évacué le terrain. Nea-Strelitz, 24 février : ni se payer avec du sang. Il * Le grand-duo avait quitté le château sa- sible d'abandonner la I^usfiie Berne*. 24 février : niedi après-midi, vers 1 heure, pour *e pro est de toute nécossibé de lui Le3 .ournauix parisiens apprennent de niener aveo son chien. Des passants l'ont vi dans sa lutte contre le milita- Pétrograd que les forces dont dispose en- longer le canal de Kn m mer. Lorequ' on s es core la Russie sont concentrée^ à Vitebsk, aperçu dimanche matin de sa disparition, L « où elles espèront pouvoir entraver la mar- piqueur s'est immédiatement mis à sa re lierre navale °^° m avant arm^es allemandes. Le cherche et a trouve lo corps du grand-du< , général Brsoohevitch a pris en mains L' flottant sur l'eau près d'un sentier, uni -, . ^ commandement supérieur de l'armée. D-'a^uVre centaine #e mètres du pont du canal. I^j ivrier^: part, on mando do Pétrograd au ,,Progr<5fi soldats, acoourus en hâ^e, ont retiré le cada urapnio craint que la tiotte ^ Lyort", qu une crise politique menace la vro. Le grand-duc de Mecklembourg-^chwe a îque tomt)e entre les mains ca,pitale, les socialistes révolutionnaires ac- rin, venant de Gnimindûn, est attend 1 ic 'tte ^Mt.9nluXuTPe^ oentuant leur opposition aux entreprises des lundi maiia. quarantaine de contxe-torpil- S0Tle'JS■ ^ ail" dit que lesdreadnouglits Eame 24 février : . OPINIONS ET COMMENTAIRES Baltique sont au nombre de »n,o . information de koM an 0 qu'il n'est pas impossible Marseillais ', les gonyernemeats ce ies éyéacmcnU en Russle. de la mer Noire partago le 1 IlIl,eI'te auxai®ut J™ prùtextei des — .te de. la Baltique. Sta ont éclaté à Kliarbme et àVtadivostok, chroni,ueur n.ilitaii-e du NW « pour suspendre les envois de munitions do « t-uronijucur nuiitaare uu ,,iNieuw 34 KvriJ. . New-Vork à Vladivostok. Courant-■écrit ' allemand Bianitz" dn la I:)c3 instructions ont été soumises au Ja- . . ' qu une manière de causer ave L-„o do Brënie a .té cantnré P°n' ^ caargé d intercepter tous lt« bo^o.ievietes, cest cello qui cousisto i >ar un vaisseau de on erre an- envois de munitions. Déjà, environ 4,000 ^ur Par^r les armes à la main et à mar iiliaro Buholincu dans lii voiï tonnes de munitions ont été déchargées A citer de 1 avant. 11 y a encoro sullVauimen •u d« la côte l'e< iiilotes de" KoW et dans l'île Bejuma. Trois eteamen ^ troupes à 1 Lst et les amiaes allemanda at^ ^Luvait i^itZ" japonais se trouvant dans lo port de New- f™' ,«» toutes concentrées derrière 1 ; les eiux territoriales mue- ^01',,£ et aJfrétés pour le transport do muni- Lh'est-, comm0 les Alliés so 1 îaiagi &a,iiier allemand Uus.eldorf" tions' devront retouiaer sur-lest. Dix na- "aie"' dans leurs appels alarmants oantei vick avw un char^eme-it d'i vires américains ea route pour la Russie, | otfo.,.-i.e allemande qui ics menace, ti canturé au même endroit et out IO?u 1 ordre (le gagner Wakumutsu, et admettant que les meilleures troupe» aient ét » te nZTtatr d'y 4échargci- leur cSrpison. envoyées à l'Ouest, ,1 y a suffisammee s conoiuoiis et, le munofmr, ^ » » u àoaimas à l'Est pour pouvoir enlroprai C Stockholm, 24 février : ,la„ maroho e» avaat- a'°™ <1» enquête sur ens futs et en- Le „8tockholm 'l'idningen" eonfimo que 1 1 al,us fusses^ encore d'ispombleSiie son ■ iro au phare do Buholmen, las ambasudours alliés i pétrograd quitte. £ eu mcsur® d opposer une grandie résie r les gardiens. Vu les décL-w ront prochainement la capitale. L ambass do ilotes suédois so trouvant î\ japonais© est dé.;.i partie vià Kharbine. Ces Du „Tidens Tegn" do Stockholm : ires capturts, il n'y a pas le '-M ^ >mates ont l'intention d'observer à. Stock- — Il n'o-Jt pas possible dG juger les n^ <iue l'Angleterre ne ^e s »it hoLm le développement que prendra La situa- gociations entaméi s par les bolchevistes a >lo do violition flagrante de la rio11 intérieure en Iiissie. 'point do vue logique. 11 appert, on erfd norvégienne. a-sso-3 clairement que leur appel & la résig Stockholm, 24 f'vrier : . tanc0 n'est pas diiigé tant contre !es Aile 24 février: • chef do la station t/légrapiii' pc f,- manda — les bolchevistes eux-mîmes itm nements anglais et américain ^asa a orceté pour aycTir détourné de- convaincus do Sun inanité — que oontr Lo départ pour la Norvègo du télogirammes du gouvernement bourge is. l.a l'aggravation do la guerre civile. Cel!e-c ;ien „Alfred Nobel", chargé de Garde Blauche c ontinue à progresser dans commence à dégénérer dans une cbaae le sud da la Finlande. efir-'née à tous les éléments bourgeois t *»* conduira inévitablement & des pogroms cen Terre-Neuve), 25 février . Wasa, 24 février : tro ceux qui résistent atrx bolchevistes*, don ,,Floricol", do La Croi^llouf^. D'après im télégramme de Wasa, le- les actes trahissent déjà le désespoir dan t do S'iiat-Jean à New-York, Russes ont évacué partiellement H joerniborg ; succ's final de leur cause. Ceci peu \ proximité du cap Race. Les par contre, dos renforts russes, composés de mener très loin si les Allemands no poi agers et les soixante hommes soldats appartenant à plusieurs' régiments de viennent pas à endigjuer le flot. ' P^ri" Pétrograd, sont; arrivés i Yihorg. Parmi Do la ..Gaaeito do l'Allemagne du Nord ' * e^, f° luTÎ.Tr !;om''T°<!o —J M. Trotzki estime que 1 Allemagne, a IP ®° ,8 . ,r? Garde Bouro. Il t»t etutm reprenant les hostilités, a fait échouer 1 At/ILKIUUL arrivé a Vioorg de 1arMler.e, des mitraii- ,| 1110' il isntioii qu'il avait décrH'e. Ceci n'e< leuSes et des au os Iflmd.es. H antre port, iC, eatiérement conforme à la vérité, v: 'évrier : °n annonce> <iue 1 organisation de 1 a tava e- ,(U0 ,a démobilisation russe n'a pas et do New-York au „Matin" que L •/1"^n,^1Sec V l0^", e au point quo ordonnée par M. Trotzki, mais a corameno les finances a annoncé l'émis- cso'lprons de 125 hommes chacun po,:r- iuôm0 co lr6 lô (]^air ct ]a volonté des diri prochain d'un troisième em- 'ont P;u'hr ll<1Ui' t™ilt 00,10 semaine eu- genn(8 russes. M. Trotzki n'a envoyé ci ne i <A %. TZJ™ eS6adcOU8 60E' 01 V016 d" »M«> Que ppur repréeenter lo démembramen 1 ' „ 1» l'armée comme la conséquence ilj lapai ' " ''-vr|er ! c. i i i * * nroelamée par lui. Il n'a jamais été d économique a été conclu «lire Stockholm, _! I mer : bonne f... quand il a parlé do termina 1 1 et la Norvège, lut-reeMjrt la Trois |v:r i a,,.-. Mif. JP . • r. Th-r La d'mo délisation avait diftji com ;ne et les antres alli h. Le berg et Lindliagera, qui ont orj'crt leurs bons moncé VirtneUement depuis de ion» mois pas été publié jusqu'ici. offices o m,me arbitre; dans la guerre ci- No, délésaiis à la Conférence lo savais-'. • Ylle ^landaise, se sont emterrjufe S bord parfaitement, comme d'ailloufs ils n'i™o M i-ir-AI ir des naviros „Ile,n,dey> et V.ne.a' , qui rnient pas non plus que U» tranchées" a, • IN I I AUfc. transportât en Finlande la troisième expé- front étaiont évaouées 'par les Russe. diton suédoise. Ces navires sont accompo, .ninsi qU6 noua avona pll^nous 0[l février- gnés d un br^glac® et d'une canonnière, dans notre marche en avant. Nos (Mégu, çr Tageblatt" apprend de Lu- quclî0 s^^teT «m^Bo^tte^' Trrttu d ' ^^rSeitn^ora^ ™3T p^oo"-!a™ f"^ Bonomi s'esn plaint que ies r<ii :«.■« ■„ o< ix * ■* î, travo,fitlfc. uno fois de plus la vérité quani t.lie s3 refusent toujours à ra- r st î' février : i\ veut faire accroire au -monde que la d/ le but de «uerro de l'Italie d'n^-o"^^ FSniî ?or,''Sg'ien. "l 1 în<«nU°a mobilisation n'a été quo la conséquence (1 embrement de l'Autnehe-Hon- ,1,^1™-,, ,°''^°!' totraor- sa déolaralion qui annonçait lu fin de l'éta vZi 6. n ° V !,ler aux, m,~-T 18 ,nor' éa Z"etr<>- « 08' nécessaire do ,-é[V-ter en 0 Maffi a (Sxposé la situation " S, i <'™°c'0 ,nt>In,'r?u^ °a;.iUu core une fois ces .faits pour pouvoir jugs la population ouvrière, nui ^ g,^f ^ , "V ]S df"s 1 lnd^rle dl1 sainement, la situation en Russie. at affamée et envie le sort du 1)013 Ct l 0ipl°'taU0tl f0'®tièiû en Finlande 't possible que la situa- t-, - 0. -, . * * Les raids d'aviateurs anglais. perdure. [.«, préfets refusent fé,Vl'iï = „ - iîu-e co qui so passe dans les f arL^ p^aÏ a" V , ^ ! . Dais son numéro du 10 [évrier, l'Algemeen gïiées. On a prétendu que si (T/V v i Pneto a ^ cLn* que le Ilandclsblad regretle la désinvolture avec la- 9 du Karst a été possible, gouvernement espagnol a dtc.do de r.eon quelle les aviateurs anglais viennent périodique e l'ennemi n'a trouvé devant n^lwr° 1° nouveau gouvernement finlandais ment lancer des bombes sur des villes belges oldats socialistes fatiguas de 6 ^ rePreudre lQâ relayons aveo lui. avec ce pitoyable résultat que presque chaqu< à prouve quo Li giieri^ a été ♦ — *a;s donnent la mort à des habitants du pays ro la volonté du j^euple. (I>a ^ _ Voici 06 cIu'il écrit enlre autres ù ce sujet : 'é le re«tan;t" du discours- de S ^ÏV doute qu'on sach« par expérience er Uui LiC5ILi!J iJX V Bu5\u£iiJ Angleterre, qu'en exécutant ces raids on risque Pistoja a pris alors, au mi- ■" ^|en p*us d'atte4ndre la population civile qu< urs assourdi&santea, la dé- Paris, 24 février : * éteindre son but : de nombreux Belges, fem- *al Cadorun, devenu l'homme ^xl presse française, généralement d'accord nics en^ants' en ont été victimes déjà. Nouf )ulaira do l'Italie. On a ro- » dire qu'uno offensive des Puissances cen- on légèrement sur rna son macque d éLaa et on traies sur le front à 1 Ouest est imminente, *nnpmi° °2?4U iSi8i?.:l du terrltoir€ □e pas do ne pas avoir pris engage ' la ]>opulation à garder sa résolution -uî^ ,i« .1 mniv. ^ ^ d line F>°pn la tion rhaon, comme l'ooeasdon s'est ot^eon san^id ot à ne pas se lai-^er iu- on tt r^S ^ 'Ti6 ?• pU0 l0^rai,n ?rD0Sf aba,tr® par 1111 8a00ifl initlal de mettra en balance la f^bleThanw Ifi était lo cette offensive. . qu'il y a d'obtenir quelque résultat militaire par le tous et que si Cadorna a i^ô >,Journal dit qu on peut avoir pleine des raids aériens sur Zeebrugge Ostende Gand armée, il s est trouvé dons confiance dans l armée, mais qu'il faut) qu'à Tournai, Anvers, etc.. et la chance quasi ôertaino de lui insuffler une ârnie. 1 arrière du front, la population fasse tout de semer la mort et le malheur parmi la popula- e qui dépasse les forces d'un son devoir aussi bien que les troupes sur tion civile? L'année dexnière, on a examiné lon- le front. guement en Angleterre si l'on avait le droit *** — Partout où les Allemands attaqueront, moral de répondre aux raids allemands par des Jfier : dit-il, ils nous trouveront prêts. Quiconque raids sur les villes allemandes ; nombreux étaient discours de MM. Soninno et racontera des histoires 1 arrière, parlera ceux qui estimaient que ces actes de guerre ne Chambre a exprimé sa con- dé oatastrophes qu'on tient cachées, de pouvaient donner, lieu ô des représailles. Or, oom- vernement par 344 voix con- pertes'énormes, d'engins de combat e^traor- nient peut-on admettre que ces sentiments huma- dinaires inventés par les Puissance^ CCn- nitnires étalent sincères, lorsqu'on volt qu'en *** traies ou do l'évacuation de certaines ligues, même temps des bombes sont lancées «ans au- •vrier : devra être immédiatement signalé et incar- cune hésitation sur des contrées habitées de Rel- efani annonce que le d/>!ai ce céré." P'"!110 ou dans leur voisinage immédiat, là où le 1 cinquième omprunt do guerre I^e ,,Journal des Débats" dit qu'il faut f1nnt>rer de faire des victime» parmi la f>opulallon qui avait déjà, été reporté du attendre les événements do sang-froid, mais n'r'1 certes pas moindre tfue lorsque les avions îr —vient d (tro prolongé do que l'orago pOut eo déchaîner d un moment ralle^aTVi!s exéGulcni leur tAche au-dessus de à l'autre. Londres t * — Seigneur, préservez-nous de nos amis 1 » vrier : Paris 24 février * * la Priôre (Il,e' dfU germanophile, on a de Lugano qu'une explosion M. Painlové a violemment protêt à la d,éj? prêlé fllIS,TS fî?s aux Belgefi' qui aiirflient srcMSrîtefft ffSzœcxrjSMx: HFrvrawS8??® ««•açrs ratm? îû&rpsk »&-Tja^JsgSfAt dehors, mais uin escalier &e d'ébranler la confiance du pays. ur poids. Soixante-soizo fem- M, Lloyd George et a sa v presse. n; le nombre des morts est Paris, 24 février : — L'Agence Havae dib que dos perquisitions ^eslminster Gazelle ; •— — ont été faites au domioilo do M. Letellier, ~ ^ premier ministre se tromperait étrange- Amonf. J_ «liiecteur du „Jourual", au domioile d'un: ck njent s il écoutait les flatteurs qui le félicitent emefUg ae ClIlSSie ses rédacteurs, M. Mouton, à Paris et à d avoIr remPorté *ne nouvelle victoire. Il ne peut . Er.ghien, et chez diverses autreg personna- Pas ne pas comprendre à quel point est profond vriçr : - 'a méoonlentement du Parlement. Presque tous do Pétrograd au Piccolo'' ' * i€s oratcurs qui y ont parlé mardi ont blâmé ses a B'aggravc. Lo gouxerne- Paris, 24 février T * méthodes et oslles de ses hommss ^de conllanc». re avisé que des Iroupes aile- Duo instruction est ouverte contra l'écri- .T ** nt rapidement sur tout lo vain M. Henri Guilbeaiu du chef dmtelli- fJiï. ^ b vec 1 ennemi» ^ s critiques «ont le reflet de l'opinion publique. vrier* * # Paris 24 f/v * * se£l surtout tndignô de la campagne de o , n i4r. t rvl ' é r er : presse dont on a pris soin de faire précéder, 1 w! " du banquier Prin- coimne d.ordinalre, la révocation ou la retraite én- irwnrr q \ ° CC^U' 1 éditeur des ,,Annales financières , des personnages revêtus des plus hautes charges. • éq p; ^es co la f^>t o c la inculpé d abus de oonftanco vi^-à^-vis <*q sa Ainsi que l'a dit M. Chamberlain, le gouverne-o par les glaces dans les clientèle. mô:it ne pourra regagner la confiance de i'opi-•org et u llelsLngfore. Cet/to ... , *** nion qn'à la condition de rompre toute attache qu tre urerulinouglitts doux Munich, 24 février : avec les joorciaux qui ont mené cette campagne, mbat-, quatorze torpilleurs et Les médooius ont interdit' au comte Potfe- C'est peine perdue de sa part de faire aujour- nal russe ,,Standard". Hel- wils, ministre d'Etat, de se gurnieuçjr. En d'hui l'éloge du général Robertson si, le jour issamment fortifié da oôté de conséquence, le conseiller de légation secret môme où celui-ci est forcé de prendre sa retraite, teborg est évacué par fc-s ■ von Sclioen représentera là Bavière auix il honore de sa confiance les directeurs et les pro- uégociationp de paix. priétalres des Journaux qui ont attaqué le gé- .nteal. t COMMUNIQUÉS OFFICIELS Communiqués des Puitsances Centrales. H re Berlin, 25 février. — Officiel de co midi : jo Théâtre de la guerre à l'Ouest. L' Nombreux duels d'artillerie et de lance- pc minos. Sur divers points du front, engagements entro détachements de reconnaissance, éti qui nous ont valu dos prisonniers et des <ic mitrailleuses, à l'est d'Aripentières. tu Théâtre do la guerre â l'Est. Armées du feld-maréchal von Eichhorn : P1 Nos troupes ont occupé Pernau. Dans ^ cette ville, un bataillon do soldats estho-niens s'est placé sous commandement aile- PJ mand. Devançant leurs divisions, la compagnie d'assaut n° 18 et le 1er escadron du Rc lGe régiment de hussards se sont emparés v< hier matin do la ville do Dorpad ; en mar- *l chant sur cette localité, ils ont fait 3,000 ri prisonniers et capturé de nombreuses cen- t0 taines do véhicules. Ce détaohemsnt volant a ainsi avancé de plus de 210 kilomètres on cinq jours et*demi. m' Armées du général von Linsingon : Vi A Rovno, l'etat-major tout entier do l'ar- (U méo russe u spéciale B ost tombé entre nos mains ; son commandant en chef avait pris (l la fuite. Nos troupes d'avant-gardo ont at- rl teint Schitomir et s'y sont reliées aux troupes ©ukrainiennes. Rien do particûlier â signaler des autres théâtres de guerre. •** Berlin, 25 février. — Officiel d hier soir : ^ A l'Est, les iBouvemeuts continuent mé- . thodiquement. Des autres théâtres de la rj guerre, rien do nouveau à signaler. Berlin, 25 février. — Officiel : m Sur Jo théâtre *de la guerre soptentrional, m nos sous-marins ont encore coulé 19,000 ton- nés brut. Parmi les navires coulés se trou- ^ vait lo vapeur do transport de troupes an- ^ glais tt Tuseania „ (14,348 tonnes brut), qui avait des troupes américaines à bord ; il a a] été torpillé peu avant son entrée dans la |0 mer d'Irlande, par uno habile contre-attaque q: et malgré uno très vive défense ennemie, ' dans un convoi en tête duquel il voyageait. ^ *** Vienne, 24 février. — Officiel : A l'est de la Bronta, une attaque italienne exéoutée par surprise a échoué. Auprès dos armées du général von Lin- m singeu, les opérations engagées pour ap- C1 puyer l'Oukramo se déroulent systématique- . incnt. *** Vienne, 25 février. — Officiel Qo co midi : Sur lo Piave, violente canonnade. • Auprès dos armées du général von Lin- „ singen, des' avant-gardes allemandes ont opéré leur jonction avec les troupes oukrai- g, niennes à Schitomir. 0 Sofia, 22 février. — Officiel : Sur plusieurs points du front macédonien, fusillades et duels d'artillerie. Dans lo ter- In rain qui s'étend devant nos positions de la C( Strouma inférieure, nos détachements do re- n; connaissance ont exécuté d'heureuse3 opéra-tions. Sur lo Seres, grando activité aérienne. Sur le front de la Dobroudscha, armistice, j * * * L'( Constantinople, 23 février. — Officiel : Sur lo front en Palestine, les opérations j, ont été minimes par suite d'une vlolento ,h tempête accompagnée do pluie et de grêlo. \\ Près do Koschan, une de nos batteries a ta descendu un avion onnemi. Les aviateurs ont été faits prisonniers et nous les avons empêchés de détruire leur appareil. — m Berlin, 22 février. — Officieux t h Lo " Petit Journal „ du 2 février écrit : " Les ai Allemands ont survolé Paria comme les Français S( •ont survolé des villes de la Sarre, de la Moselle di et du Rhin : cola, c'est la guerre aérienne Do d< son côté, lo député socialiste Cachin a déclaré au cl Palai3 Bourbon quo les raids des Allemands n'é- oc taiont qu'une réponse aux raids des Français et a qu il fallait se garder de parler do représailles. u] Ces aifcrniatio^ns ne satisfont! pas l'opinion fa française, qui réclame avec Intransigeance des re- p' préeailles. C'est bien français. Les Français Bout m blessés au vif dans leur vanité. A quoi rimunt, ol on offet, les attaques dirigées contre ^arrobruek, c< Mannhoim, Carlsruhe et d'autres villes alleman- d< des, môme en admettant l'ox^agéralion avec la- b quelle on a, au delà des Vosges et outre-Manche, parlé do leur succès ? Ce ne sont que de3 villages au regard do Paris. On perdrait son temps â répéter aux Français quo ce sont nos ennemis qui ont la gloire douteuse d'avoir les premiers botinbardlé des villoe C ouvertes allemandes, ainsi quo l'a constaté elle-môme, le 10 octobro dernier, la revue anglaise < u Aéropiano „. Nous avons bombardé Pari9 i>arcc ? quo dos aviateurs ennemis avaient bombardé dos -l\' villes ouvertes allcanandes. Le 17 octobro 1917, n* nous avions lancé lo radiotélôgrammo suivant re- B produit par la presse : " Nous écrivons lo Mane- (X Teosl-Pharès qui doit servir d'avertissement à la i* Franco. Paris n'est qu'à 100 kilomètres de notre front ct des maux a'freux menacent ceux qui ha- ,j. bitent avec le3 excitateurs dans les mura do la forteresse do la Seine. La France est avertie. „ De la menace rfous avons passé aux actes et nous continuerons é le faire. A l'attaque française du 5 février contre Sarre a répondu notre attaque ^ du 13 février sur Nancy. A voleur, voleufr et dcmll oh qu Berlin, 24 février; — Officieux : [j0 Les Allemands, au cours do cette guerre, ont j»c fait leur entrée dans dos villes où la population les accueillit avec des grincements de dents et les poings serrés ; dans d'aùtres, ils furent regus '1D aveo des acclamations et on leur, offrit dos fleurs, ^ on embrassa les soldats. En co moment, leur toi marche en avant en Oukralne offre un tableau la quelque peu différent. I^cs habitants assistent cal- un mes, stoïques à leur entrée, confiants dans leur sort. Seuls, les bolchevistes, qui se sont livrés à trop d'exactions, so sont empressés de prendre la fuite et il no ro6to plus quo des Oukrainlons, des , Grand-Russes, dos Polonais et des Juifs. Les Ou-kralniens et les Grand-Russions, appartenant pour la plupart aux classes dirigeantes, volent dans mi les* Allemands des sauveurs qui les protégeront pic contre les bandes d'assasBlns et de pillards. Cepon-dant, ils ne montront guère d'enthousiasme. Lo pays a trop souffert durant ces trois années do guerre, suivlro d'une année de Tévolution ; le . sort dos territoires enlre le Styr et le Stochod, V1(; qui déjà avalent en 1915 et 1916 vu la retraito vi*J autrichienne, avait vlvemont préoccupé le peuple, on Aujourd'hui, grAco à Dieu ! les Allemands sont l'e arrivés. On respire à nouveau plus librement, car la présenoe des Allemands signifie : lo retour do l'ordre st de la tranquillité publique. Les éléments de la population qui avaient des penchants anarchistes so sont rangés, se tionnent cois et com- 01 prennent que la situation a changé. Et alors, on 1° assiste à des scènes peu ordinaires, comme celles iftf qui se déroulèrent à Luclt, où les Allomands fu- fra rent leur eirtréo dans la ville, qui était encoro sie remplie do troupes russes. Les Allomands ont im- nie médiatoment. au cours do la nuit, pris des me- ^ro sures d'ordre. Les postes devant les quartiers ont été doublée et aux croisements do rues des mi- j < traillcuses ont été placées. Le lendemain mailn, les Russes commencèrent à livrer leurs armes e\ so Constituèrent volontalraaisnt prisonniers. Les Oukralniena s'enrôlent dans les nouvelles divisions < oukrainlennes ou prennent du service dans les Re rangs allemands où Ils rendent de grands services oomme chauffeurs, télégraphistes, interprètes. etc. Seuls les prisonniers grand russiens ont l'au-torisaUon de circuler librement dans le3 districts qui leur sont assignés. On a autorisé les offi- 611 ciers b. conserver leurs armes et ils ont passé sans réserves du côté allemand. Ils ont tellement ^ souffert sous la révolution qu'il ne leur est pas l possible do ne pas considérer les Allomands rali comme des sauveurs et des libérateurs. Parmi eux aoc se trouvent des colonels et des généraux qui com [q battirent les Allemands daus les Carpathes, au Sam, dans la baie de Stocki et devant Tarnopol. Le3 Allemands les ont délivrés de la prison, où \ chaque instant ils s'attendaient à être assassinés, dre <ru que les bolchevistes avaient l'intention de pas-icr par les armes tous les officiers russes se trou- oab nt en Oukraine. Plus d'un d'entre eux avait i larmes aux yeux quand les Allemands leur n dirent leui; sabre et leurs épaulettes. Deux Lirs a peine après l'arrivée des Allemands à îck, la ville présentait déjà un tout autre as-ct.Si, hier encore, les rue3 et les places publiques dent encombrées par la lie ouriouso d une sol* tesque oisive, si les civilfe s'affublaient do cos-mes et d'usages militaires pour assurer de la rte leur sécurité personnelle, au.ourd'hui la vio ibllque a repris tous ses droits. Il a suffi aux llemands de prôter quelque appui aui organismes la Rada oukrainienne, pour quo l'exercice du luvolr leur fût rendue. Aujourd'hui, le port uu costume convenatle n'exposé plus aux dan» ts et aux Insultes. Qn voit apparat'ro à nou» au dans los rues des dames en habits élégants des officiers en uniforme brillant. Les soldais sses recommencent à saluer leurs supérieurs ct ut lo mondo se réveille comme d'un affreux uchemar, d'une orgie de sang et d'anarchie, ,ns laquelle la jeune liberté allait irrémisslblc-)nt à sa perte. Tel un symbtdo des temps non. aux, les patrouilles allemandes circulent la nuit ,us les rues désertes de la ville, où les habilite gofltent enfin unj-epos paisible, sans crainte attentats ou d'extorsions sous l'égide du milita-, >mo allemand. Communiqués des armées alliées Paris, 24 février. — Officiel de 3 heures n Assez grande activité d'artillerie dans les gions de Vauxaillon et de Chaviguon, dans socteur de la Butte-du-Mesnil et sur la vo gaucho .de la Meuse. Des- coups da ain ennemis sur nos petits postes, au sud i Corbeny, sônt restés sans succès. En aute-Alsace, nos détachements ont hardi-fcnt pénétré dans Pont-d'Aspach et dans la îartier nord-ouest d'Aspach-le-Bas, où nous 'ons détruit les organisations ennemies et cendié do nombreux abris. Un ballon captif a été abattu par notre tillerie. Nos troupiers sont rentrés dans urs tranchées de départ après avoir in-gé dos pertes à l'ennemi et ramenant uno • linzaine de prisonniers et une mitrailleuse, uit calme sur le reste du front. Paris, 24 février. — Officiel de 11 heures i Actions d'artillerie assez vives dans la îrion dos Chnmbrettes, en forêt d'Apre-ont et sur quelques points des Vosges et i Haute-Alsace. Journée calme partout ail-urs.. Paris, 23 février. — Officiel de l'armée Orient : Journée calme ; néanmoins l'artillerie bul-ire n déployé une certaine activité dans la «ion do la Strouma, à l'ouest du Vardar. ir Je front - serbe, un détachement bulgare été repoussé. _ _ *•** Rome, 23 février. — Officiel : Tout le long du front, duels d'artillerie odérés et activité des détachements de re-innuissauco. Des détachements do recon-lissanco britanniques ont fait quelques pri-•nniers. Dans la vallée de la Bronta, un îtachemênt ennemi qui tentait do s'emparer un do nos petits postes do garde, a été ipoussé après un violent combat. Près do Cismon, un do nos aviateurs a îscendu un avion ennemi ; deux autres ap-iroils ennemis ont été forcés atterrir h ïst de Salgarado, par des aviateurs bri-uniques.*** Pétrograd, 24 février. — Officiel : L'état major russe apprend que les Alle-ands avancent en groupes de 100 à 200 >mme8 de régiments différents. Dans une «semblée, tenue par la garnison de Pskow, • composant d'euviron 2,DUO hommes, l'appel i commissaire du peuple pour la défense > la révolution a été chaleureusement ac-arné. Les Allemands avancent avec beau-up do circonspection. La ville do Rogisha été occupée par l'ennemi; d'abord par io division d'automobiles, ensuite par 11 n^ nterie. Mln'sk a été occupé lo 21 février ir les Allemands. La garde blanche alle-ande, divisée eu troi3 groupes, dirige sou fensivo vers \\ al, vers Regisha et entre s deux points. Au front méridional, rien • nouveau à signaler. Depécaea Diverse» Paris, 24 février : Les journaux annoncent que le nouveau ftbinet roumain a été constitué comme suit: \8ident du Conseil, le général Averesou; taire» étrangt;r«s, M. Misku, ancien mi. être a Sofia cl à Londrœ; giieire, le go. Mil Jaiibor&j.iu, qui fit [xurue (lu Cainneli rauajiu; travuux publics, lo général Cul-r; un-irieiir ct police, M. Grc^or Fili. scu; instruction piiblicjiifi, M.Cantincuzène: snoe, M. barfttzeanu, membre do la Cour cassation. Sofia, 24 lévrier : A ta Sobranié, au cours clo la dissuasion 9 nouveaux crc-ltts do gueire, M. l'ontg. ow a annoncé qu'il était sur le [oint i iiter Sona |;our participer aux u6gocia-us do paix aveo la lîoumanie. il a ftoiia spou- qu ollœ donneraient lo résulfcit qu oa endent les Bulgares, lj.1 nation bulgare, i ayu/fre encore d&3 ampuiVWions qui'caia subioa on 1^78 et 11)13 à ,ia froulièro sftr> itriouale, a la? yottx fixt* aujoiffd Uni sur l'obroudcha- qu'o'.lo considère coinmo étant a partie essentielle do la bulgmric. Lonurefl, 25 févrior : A.u cours d'un bnmiuet, M. Henderson a îlaro qu il existait trois voies pour abou-» à la pnix ; lii première, c'wt larl eisiott litsiro; la deuxième, l'épuisement ccm-:t cK>s ^ belligérajits, et lu, troisième, la • onciliatiou. Il croit que c'o^t cotlo (1er-re voie qui sei-a choisie en fin do oompita r tous les partis. Toutefois, il n0 com-nt pis de s'imaginer qu8 la classe out-ère des pays de l'Entente désire nôgooietr tenant le rameau d'olivier, tandlts qu« inemi continuerait à brandir son glaive, (Vmetordam, 24 février : Le comité directeur die la Chambre de nmerce et de l'industrie vient do saisir minigtve des finances d une requête dan« [uelle il suggère l'i^-'o de créer d?s porfci nos à Amsterdam, ù Rotterdam et plu-ura. autres villes, afin de mettre lo com-rco et 1 Industrie hollandais en état d'en-prendre avec le maximum do chances d* :oè* la lutte économique qui semble être vitable après la tin de cette guerre. •** -ondres, 26 février : )n mando do Washington à l'Agencé vt or : -i Les Etats-Unis et l'Espagne ont eon,. im accord, eu vertu duquel l'Espagne oit des EUita-Unis du coton ot du péjroW échange d'importants produits. ^ékin, 24 février : . a. publication do la nouvelle loi élocfcoK j a provoqué une crise ministérielle et A en tué encore le désaccord régnant entre Nord et le Sud. Le président da mini»-i Wang-Tse-Gen est parti en congé. Oni sidère que so. rotr^fr; ne fait pas lo moia« doute. Lo ministre de 1 intérieur a as*u-intérim;iiroment les fonctions de chef clo in et

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie gehört zu der Kategorie Gecensureerde pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1914 bis 1918.

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