La chronique: gazette quotidienne

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s.n. 1914, 26 März. La chronique: gazette quotidienne. Konsultiert 19 September 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/pz51g0nb6w/
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Jeudi 36 1914. — Edition C CINQ CENTIMES LE NUMERO POUR TOUTE LA' BELGIQUE 47» année, - m 83 LA CHRONIQUE BUREAUX f 5 et 7, Galerie do Ror(Passagc Saint-Hubert) SRUXEU.E» GAZETTE QXJ OTIDIENNE TÉLÉPHONES Administration ; N* 7 88I& Rédaction ; N* 14Q§ a ABONNEMENTS : Fauxrli-es : 12 francs par an; — 6 francs pour six mois; 3 francs pour trois mois. }Lk Province : 15 francs par an; — 7 fr. 50 pour six mois; — 3 fr. 75 pour trois mois. Tous pays de l'union postale:, 30 fr. par an. — Hollando et Grand-Duché de Luxembourg, 20 fi\ par an. FONDATEUR : Victor de la HESBAYE RÉDACTEUR EN CHEF : Jean d'ARDEME ANNONCES . 4c page : 30 cent, la petite ligne. — Réclames (après les speetacles), 4 fr, la ligne. — Faits-dirers (corps), 3fr. la ligne et faits-divers (fin), 2 fr. la ligne. — Nécrologies : 2 fr. la ligne. — On ne garantit pas les dates d'insertion. La publicité commerciale est exclusivement reçue à l'Agence-Réclame Godts,2, place de la Bourse, à Bruxelles. Téléph. A. 3299 La publicité financière, les petites annonces et les nécrologies sont reçues aux bureaux du journal, 5 et 7, Galerie du Roi. «HlTiT.jT WWWM i ' - '~niiTIWWT^«nî' A PROPOS DE L'AFFAIRE On- dirait vraiment que nous sommes• .revenus aux ibeaux jours /de l'affaire Dreyfus. Môme-dans notre paisible Belgique,- on juge île cette 'histoire «Caillaux, Monis, Rochelle comme du procès Zola tet idu -procès de Rennes, c'eist-û-dire, non wee /dos raisons, dos ■arguments et des ifaits, rhais avec des senti-anen'ts et des ipassions irraisonnés. Ce drame, ù, tout prendre, ne -devait nous intéfc rester que -pour ison 'pittoresque ou «tes levons qu'il eomporte : nous y prenons parti. La presse c-aiMique attaque MM. Gai'l laux et (Monis avec, violence ; la "pressé socialiste, qui n'ose p'as trop les -défendre — on ne sait pas fbien ce que 'donnera l'enquête, et jusqu'à présent -elle .ne «leur es't pas précisément- £a-tvoraivîe — -fait diversion -en tombant sur •M.M. Briand, Barthouet... Calmette; la presse libérale,- seule, anon-tre quelque réserve. C'est 'la- -sagesse. Noirs la.vons vraiment une propension un peu trop forte à -juger des a-ffai-j ires 'politiques françaises comme si nous y étions directement .intéressés. ♦ ** Je le sais ;bien i il y a entré les deux pays quantité d'idées communes ; nous prenons «eu France, sinon notre doctrine, du moins notre vocabulaire /politique.. L'histoire française a été .mêlée, '-de très près â notre histoire ; nos grands 'partis historiques ont eu des relations fréquentes avec les partis historiques 'français qui, d'ailleurs, on-t à peu près disparu. D'autre part, comme le radicalisme, .en général, bien plu-s qu'une véritable métihorie politique, est 'l'expression d'un tempérament ou, parfois, des appétits du -prolétariat inteMeetuel, nos radicaux res-seinbent par certains 'traits aux radicaux français, à cela près, que, ceux-ci, étant au pouvoir, se sont, pour' leur malheur, enrichis, de tous tes arrivistes pour qui la politique n'est qu'un moyen de'parvenir ; mais lout cela n'est pas une raison pour q-ue -nous-jugions -toujours des affaires françaises selon nos passions politiques ibélges. Pour peu qu'on y regarde d'un peu près,! Ses problèmes qui occupent le Palais-Bourbon n'ont rien de commun, en effet,'avec ceux qu-i nous occupen't, et' la - similitude même du vocabulaire fait que nous nous méprenons souvent sur 'leur nature. 1:1 est vraiment' trop simple; par exemple, de considérer M. Caillaux comme 'le martyr démocratique ide 'l'impôt sur le révemi. Tout le monde, ou à peu près tout le monde, en France, 'est actuellement partisan d'un impôt sur dé revenu: T1 s'agit, uniquement de savoir comment on l'établira, et le .reproche qu'on faisait au projet Càîilàux, c'était de faire dé l'impôt un moyen de pression "élec-•tor'alë aux mains d'une administration beaucoup trop inféodée anx partis politiques do-•minants.Ceux qui combattaient 'le ministre tombé, n'étaient donc pas nécessairement des « suppôts de la réaction » ou des instruments perfides aux mains d'une bourgeoisie opulente qui défend ses coffres-forts. C'étaient peut-être aussi des gens qui voulaient lutter contre la tyrannie croissante des partis et des politiciens. Si l'on enivisage la -question sous . cet -aspect, pouvons-nous 'leur donner tort ? * * * S'il est une leçon, en effet, qui se dégage We ces événements — et si nous devons mettre de lia discrétion à prendre parti dans des querelles étrangères que nous connaissons mal, nous pouvons du moins essayer d'en tirer un enseignement — c'est 'le danger que présente l'intrusion de «la pc/litique dans tous -les rouages de 'l'Etat. J'ai entendu, dans notre monde judiciaire, violemment critiquer Sa conduite du procureur général Fabre. « Qu'est-ce que ce magistrat, qui obéit ù un ordre politique? disait-on. Il n'avait qu'à résister ! » Quais ! Ce procureur, évidemment, n'est pas un héros, ce- n'est pas un Daguesseau, assurément. Mais quoi ! durant toute sa carrière, i'I a dû évoluer au milieu des intrigues politiques', 'il a eu pour chefs toute une série de gardes des sceaux, ennemis les uns' des autres. I'I sait 'que, s'il résisté, il sera brisé, c'en sera fait de ses ambitions, de ses intérêts de famille. On évoqué le sa-l-ut de l'Etat : il se doute bien qu'il s'agit des intérêts d'un parti, ou d'un homme de parti; mais, somme toute, tout le monde ne comprend-il pas les intérêts de l'Etat et les intérêts du parti qu'il représente ? Il cède parce qu'il n'est pas un héros, et parce qu'il obéit aux suggestions du milieu. . * * * 'La confusion des intérêts «de l'Etat et des intérêts d'un parti, voilà le vice, voilà le 'malheur d'un régime ^parlementaire sans contrepoids. -Il ne faut pas faire les politiciens plus mauvais qu'ils ne le sont. Il y a parmi eux, tant en France qu'en Belgique, ou dan-s d'autres-pays, des -hommes très sincères, très soucieux du bien public. Mais enrégimentés, généralement depuis leur jeunesse, dans un parti, 'nourris de son programme, de sa doctrine, oserais-je dire de sa philosophie ? l'ayant considéré, au moins dans leur jeunesse, comme l'expression parfaite ou pncs-que parfaite de la. Vérité, de la Justice sociale; comment votflezjvous, qu'une fois ce..parti au pouvoir, Ils. ne confondent 'pas son intérêt -avec l'intérêt de l'Etat? Ce parti n'a-t-rl pas ila meilleure conception de l'Etat ? Ne lui sutfi-ra-t-il pas de se développer pour réaliser l'Etat parfait? .Ses enne-• rois sont donc nécessairement les ennemis de l'Etat. De lk\ à conclure que, pour des empêcher de nuire, tous les moyens sont ibon£, il -n'y a pas loin. Les politiciens très sincères sont -souvent les plus dangereux des tyrans.Cette tendance est commune à tous lés partis, sauf, peut-être, au libéralisme historique. Aussi, si l'on veut conserver à une nation sa santé, si l'on veut que les rouages de l'Etat fonctionnent normalement, sans heurts, sans a-coups, sans injustice criante ]il faut les protégerrle- plus 'soigneusernen possible contre, la politique des partis. Ui gouvernement devrait ignorer les bip in ion: de ses -fonctionnaires, et surtout de ses ma gistrats. 11 serait de son intérêt véritable de son intérêt durable, de mettre les administrations au-dessus des partis. C'est malheureusement ques depuis cent ans, aucun gouvernement n'a su faire en France — car, devant les vices du régime républicain1, il ne faut tout de même pas oublier ceux du régime impérial. — Oserions-nous dire que le gouvernement belge a toujours su Je faire ? Il aurait bien à méditer sur la crise que traverse, actuellement, le gouvernement français... L. DUMQNT-WILDEN MENUS FAITS, PROPOS MUS LA CONFIDENTE J'ai connu une dame anglaise qui offrait, vers les cinq .heures,- (La tlië à ses amies, dans une maison de la banlieue de Londres, toute tapissée d'ampélopsis. On n'y ■ voyait guère -d'hommes, fparce que, à cette heure-là, ils étaient ailleurs pour causé de business. On n'y voyait jamais le maître de la maison, jamais. Le sexe fort et laid était représenté, quelquefois seulement, par un étranger, un de ces désœuvrés que la dame avait connus à Nice ou à Paris, et disposés, toujours et partout, à bavarder sur tout et le reste, comme si, vraiment, les Londoniens avaient du temps à perdre... El oh pavbait ce jour-là de tout, sans négliger le resle, quand l'étranger posa une ques lion saugrenue. Il demanda ce que c'étaient au juste que les affaires dont s'oc-cupait le mari de la dame. Celle-ci ?i'en savait rien, mais là rien du tout. Les affaires de soii mari, c'étaient des affaires. N'était-ce pas suffisant ! Des affaires honorables puisque son mari était un parfait gentleman. Il avait dans la Cité, où il se rendait tous les jours, fort ponctuellement, un office, c'est-à-dire deux pièces se commandant, parmi les W0 offices d'un immeuble « ad hoc n. 'Ledit office ''recelait une machine à -dicter, une machine à écrire et une dactylographe. Grâce à ces trois outils, monsieur rapportait, 'hebdomadairement, de jolies sommes à une épousé aimante, aimée, jolie, èlgunle, mais à qui il n'avait jamais ■jugé nécessaire de faire des confidences d'affaires...Elt bien! f estime que si certain homme polilujue français avait tenu celle conduite vis-à-vis de sa femme, cèlle-ci n'aurait, jamais pris un revolver pour tuer un journaliste. Mais, hélas ! ledit homme politique croyait devoir faire des confidences jusqu'à \ dévoiler ses arrière-pensées politiques. | Est-ce beau ? est-ce bête ? J'estime la conduite du Français plus humaine; celle de l'Anglais plus fière ! Un homme doit se suffire, et, fût-il Louis XI, ne pas même se confiet- à son bonnet. Le rôle du confident, quand ce confident est un être; sensible, ês<t ait s si' énervant que celui, du passager dans un aéroplane qui boucle la boucle. Il ressent toutes les émotions et ne peut rien. Si, dans un' moment d'émoi, il met la main à la manœuvre, il casse tout. On vient de le voir. BOB. -VhbAO-C. L Au jour le jour LA POLITIQUE iRien ne fait plus de mal qu'un' dis-JÉTl cours rentré,, sinon peut-être un par-tefeuitle raté... Au moins, contre le premier bobO existe4-il un remède : publier son discours: M. Ttbbaut s'est décidé pour ce dernier procédé, qui adoucira au moins la moitié de sa peine... Cette brochure s'appelle : Les missionnaires ont droit à la vérité. Espérons que lia niaiserie prudhom-mesque dé ce titre ne veut pas dire que ce droit leur soit réservé,comtrie tant d'autres qu'ils prennent ou qu'on leur idonne... Ceci entendu, négligeons les racontars (parfois très significatifs pourtant, pour nous montrer.les tendances des congrégations), et notons, aussitôt, les savoureuses réflexions que le factum du bon M. Tibbaut inspire à la cléricale Métropole, d'Anvers- Il y a là de bien piquantes révélations, vous verrez ! « Un petit groupe de personnages agissant pour des motifs très personnels, et par conséquent fort peu nobles, ont « utilisé », au profit de leurs haines et de leurs rancunes, les quelques réclamations justifiées que les missionnaires présentaient contre les excès d'un régime trop bureaucratique, — pour employer le mot de M. Tibbaut lui-même. Ce sont eu:* qui, par un savant battage, les ont gonflées, amplifiées, exacerbées, et qui ont greffé là-dessus le spectre de tout un système de persécution absolument inexistant, mais destiné à exciter la passion des catholiques belges. A ce système appartenait notamment la fameuse «conspiration maçonnique », le noii « complot » dont M. Tibbaut se garde bien de parler encore, mais qui n'en a pas moins servi à ravaler les efforts les plus sains et les plu:-loyaux à nous ne savons quelles louches compromissions ? Serait-ce que l'honorable député de Ter-monde ait reconnu l'inexistence do ce cheva de bataille ou qu'il refuse de se solidariser sui ce point avec les peu intéressants personnages qui sont les véritables auteurs d'une campagn< où les passions ont fait oublier trop souven les faits ? Nous ne trancherons pas ce point délicat. Nous voulons simplement, ici, prendre acte de son attitude en attendant que le recul di temps nous permette de considérer cette cam pagne sous un jour plus précis encore. » Voilà qui est bien inattendu... Ainsi, qi avoue que le « complot maçonnique » don: non seulement le négligeable Patriote, mai' la Presse, le Bien public, voire le XX0 Siècle firent leurs ohoux gras, est un simple « bat tage », destiné à « exciter la passion »... De « peu intéressants personnages ♦) on , ainsi dupé le parti clérical et voulu trompe t le pays... i Ce -ne sont pas les missionnaires... Mai: ; quels sont-ils ? Il y a là un X. à chercher - aussi passionnant que celui de France, e plus'proche de nous... PETITE CHRONIQUE Regards en arrière 20 mars 1832. — Le choléra éclate 'à Paris o't y fait, jusqu'au 30 septembre, 18,402 morts. <5=^9 La revanche inattendue. Que ide vieux souvenirs remués .par cette affaire iCaMaïux ! «Comme des noms que -l'on croyait disparus de ,1a mémoire s'y implantent à nouveau, y reviennent en rayon lunii-Jieux ou en éclaboussure de boue! Rochette, F.laclion, Marix, combien d'autres ! iLa plupart ont défilé dans là déposition si -nette, si imprfôsionnante de M. -Briand. Qu'on ait pour celui-ci ipeu, beaucoup ou pas du tout de sympathie^ on doit reconnaître que, de tous les témoins entendus, il est le seul qui paraisse sortir absolument intact de cette aventure, au point de vue, non pas seulement de «l'honnêteté pure, mais de la délicatesse et de la correction. « Ainsi que la vertu le «crime a ses degrés.» Et, «dans tout ce tumulte de scandales, dans ces ohocs d'influfonces, dans ces .rivalités de compromissions, M. Briand, rappelant, de son passage aux affaires, ce qu'on savait, révélant ce qu'on ne savait pas, allant au-devant des «questions qui pouvaient lui être posées, a donné d'impression de l'homme qui parle avec la certitude de ne pouvoir être démenti. Sa déclaration fut écrasante pour .les deux -ministres démissionnaires, peut-être vaudrait-il mieux écrire : démissionnes. Or, il est-piquant d'avoir vu le nom de Fla-chon revenir plusieurs fois dans l'enquête. On se souvient ldu scandale que provoquèrent l'arrestation, puis le procès du directeur de la « Lanterne ». Il n'était un secret pour personne que M. Briand était en relations avec Flaçliôn, — ni qu'en visant ce dernier, c'était M. Briand, adversaire dangereux, que AI. Caillaux, alors «président du conseil, comptait atteindre. Ce plan échoua. M. Briand ne fut même pas compromis, et M. Caillaux réussit simplement à priver le" parti radical d'un de ses plus ardents défenseurs. Il se fait aujourd'hui que, par une déclaration, dont ile ton modéré n'est pas la force la moins redoutable, M. Briand contribue à consommer la chute de l'ex-président du conseil. Certes, ni l'un, ni l'autre, bien que faits aux ■aléas de 3a vie politique, ne devaient s'attendre, 'il y a quelques mois, à une pareille revanche ! <5^:9 Le droit et ic fait. Petit mouvement de curiosité, hier, au palais de justice. (Dans le courant ide la matinée, on apercevait, à plusieurs reprises, dans le couloir :de première instance et dans quelques salles id'audience, un avovat suivi par un groupe de «jeunes gens d'al-lure généralement exotique. S'agissaiUl -de réunir -la famille d'un Péruvien 'décédé ? Les créanciers d'un Bulgare ayant vu s'ajouter aux malheurs de'sa patrie sa déconfiture personnelle formaient-ils nn consortium destiné 'à réaliser l'actif de .leur débiteur? Cet Epirote, ce Grec et ce Russe venaient-ils fonder une société financière placée sous l'égide bénévole du lion belgique? Non! La réalité était plus simple — et pi lis Ingénieuse. L'avocat était un jeune professeur de l'Université nouvelle. Et, ayant à enseigner à ses élèves les subtilités de la procédure civile, iil avait voulu, au .lieu de leur inculquer des notions théoriques, leur montrer le droit pratique, le droit agissant : leur faire touchér du doigt un exploit', leur montrer des avoués réglant leur rôle devant un président docile, leur faire entendre un bredouillement intitulé «lecture de conclusions». Il leur avait fait comprendre sur le vif le mécanisme de la distraction des dépens et de la jonction des causes. C'est une initiative extrêmement juste, et qu'il nous a paru .intéressant de signaler. (Remarquons pourtant que si de jeunes avocats, entrant au barreau, connaissent quelque chose à la .procédure, ils détruisent une des traditions les plus anciennes et les plus respectées. Et nul ne sait où ça peut nous mener. Chez les Belges. Quelques lecteurs se rappelleront que M. Paul Fort dut le titre de « Prince des Poètes i» à un scrutin comme pour un simple président de république. Le prince, maintenant en Russie, -raconte comment il fut dans « ce train qui dérailla chez les Belges, aux environs de Pe-pinster, tuant trois voyageurs et en blessant huit autres !... » Paul Fort dut attendre neuf 'heures sous un tunnel ! « Episodes, épisodes !» -ajoute-il, avec modes-tie crâne. «Nous protestons de tout cœur. Un jour que Louis XIV « faillit attendre » ce fut de l'Histoire. Que Paul Fort ait attendu, tout de bon, et encore « sous un tunnel » et « chez les Belges nous semble de l'histoire aussi..., à toui le moins, de l'histoire littéraire. Pour identifier les tableaux. Un 15on savant allemand, de ceux qui son: sympathiques, et que les « Fliegende Blâtter > nous montrent rentrant trempés de pluie,parce qu'ils ont « oublié qu'ils avaient leur para pluie », vient de nous engager à employer le.-rayons X. pour authentiquer les tableaux. 1 prétend que ce-la permettrait de connaître tous les détails «de la facture, les « repentirs » les signatures vraies ou fausses... Bref, toute la vie intime, la structure secrète de l'œuvre Ce serait l'identification presque certaine. Le procédé paraît séduisant. Ne saurait-on Tap pliquer aux femmes, ces autres chefs-d'œuvri (nous n'osons ajouter de peinturé); et, moyen des rayons X^deviner la pensée secrète le soupçon cac-hé, te projet d'abandon, de rup ture, la trahison que l'on prépare?... S'il pou vaiifc découvrir une telle application de soi procédé, le bon Allemand... Mais qui oserai ■ lui (demander d'inventorier ainsi l'âme de 1; plus fidèle des femmes ou de la plus tendr des maîtresses ?... (5===^> Les prisons de Wagner. 1 Si « Loliengrin » et « Tristan », « Parsifal ; ' et « Afllberich », "avaie«nt laissé quelques loisir 5 à leur illustre père, peut-être eut-il, — tel 1 ^ larmoyant Silvio Pellico, — chanté « ses pr - sons » ? Par deux fois, en effet, Richard Wa gner put se former une opinion, documentée t sur la fameuse « paille humide des cachots,». ■ L'immortel musicien n'était pas novateur qtu dans son. art... Compromis dans la tourmentc ; révolutionnaire de 48, il fut incarcéré, en m'a: i 1849, relâché, et bientôt appréhendé à nouveau, A l'époque, le « Bulletin général de la politique allemande » reproduisit le texte du second mandat d'arrêt, Wagner y était qualifié de « dangereux politicien », et l'on ne se privait guère d'y flétrir' ce « kappelmeister de Dresde, .l'un des plus ardents fauteurs de troubles du parti de la révolte » ! Heureusement, 'l'aimable influence et les relations précieuses de Frans Listz veillaient; et les portes de la geôle ne tardèrent point à 's'ouvrir devant le chantre inspiré de la tendre Yseult, et de Kun-dry, l'ardente... Par Ja -suite, Wagner répétait volontiiers : « Que l'on m'ait emprisonné, soit ! Mais ce que je ne puis admettre, c'est que le mandat d'arrêt m'ait" attribué 38 ans, me vieillissant ainsi de 24 mois!... Cela, c'est 'une indignité! » Et, — disant, cela, — le grand Richard ne souriait qu'à demi; tant i-1 est vrai que, — même chez ile génie ! — la coquetterie ne perd jamais ses droits... Le vieux-neuf. Toute une vieille réputation semblait devoir préserver l'aspect si émouvant du port de la Rochelle, encore paré de monuments séculaires. Pourtant les «restaurateurs» ont sévi et se préparent à opérer sur un dernier vestige ancien, intact, un des plus émouvants. Il s'agit de là tour Saint-Nicolas, élevée au XIV° sièc-le, réparée au XVIIe. Les bons « restaurateurs ». comptent refaire une tour gothique, d'autant plus authentique qu'elle sera toute neuve... Mais -aujourd'hui, en France du moins, on commence à « trouver cela bête ». On déclare que faire du « vieux-neuf » est absolument inutile ; que ces sortes de travaux ne sont plus des objets anciens et ne sont pas non plus des œuvres nouvelles. On comprend seulement aujourd'hui toute la vertu d'un mot de notre grand artiste Khnopff : lorsque le campanile de Venise se fut écroulé,on demanda, aux principaux peintres du monde entier, s'il fallait | le rééidifler. -Consulté, Khnopff répondit qu'il j ne pouvait s'agir que d'en édifier un nouveau, j l'ancien étant ,à jamais disparu... Qui nous dé-! livrera des vieux-neufs fabriqués par les saint- ! lucquistes ? Moavelles à la main A l'école. — Qu'y a-t-il de plus lourd, un litre d'eau ou un- litre de vin ? — Un litre d'eau, «M'sieu, car le litre de vin; i.'est jamais plein ! A LÂ COMMISSION DES XXXI Nouvelle réunion des XXXI mercredi matin, j sous la présidence,du comte 't Kint de Rooden- ; ;beke. .\I. Henri Francotte s!est attaché- tout d'à» ! bord à montrer qu'il y a en Belgique un pro-1 blême des petites communes. Leur grand noni-j bre soulève une difficulté aux réformes pro-j posées. Ce point n'a pas encore été envisagé; par ,1a commission. Cela veut-il dire que la: question n'a pas d'importance ? L'autonomie des petites communes, qui fait partie de nosi traditions nationales, doit être sauvegardée et mise à l'abri des atteintes du pouvoir central. A Ce point de vue, il y a'lieu de signaler que dans beaucoup d'arrondissements cette question intéresse non seulement la majorité des communes, mais aussi la majorité des habitants.Parmi les questions administratives relatives aux petites communes, M. Francotte examine spécialement la nomination des bourgmestres, les fonctions de ;l'éçhevinat, celles des receveurs et des secrétaires communaux. La gestion financière des petites communes soulève de gr.wes questions d'imposition et, d'une façon générale, on peut remarquer que toute mauvaise gestion financière atteint toute la propriété foncière. Tout cela montre que le S. U. ne peut pai?, par lui seul, assurer la gestion convenable des petites communes. Il importe de rechercher des garanties. M. Francotte continuera à quinzaine. Après discussion entre MiM.Vander.velde, Dell ace, Dest-rée-et Woeste, -l'ordre des travaux proposé par la sous-commission est adopté. Voici ce programme : Chapitre I. — Organisation de Ta gestion communale : § 1. Rôle des commissions spéciales (extension de l'article 92 de la loi communale). § 2. Organisation de l'information publique e.t professionnelle. (Article 75 de la loi communale.)§ 3. Mode d'intervention des contribuables dans la gestion financière. § 4. Referendum communal. § 5. Recrutement du personnel adjmin'istra-«tif.§ G. Régime des régies communales. § 7. Union des communes au point de vue de certains services publics. § 8. Régime spécial à appliquer aux agglomérés de communes (Bruxelles, Anvers, etc.). § 9. Organisation de contentieux administratif.§ 10. Organisation de la police' administrative.§ il. Nomination des bourgmestres et éche-vins.§ 12. Tutelle administrative. Chapitre II. — Organisation des conditions du droit de suffrage •. § 1. Nationalité. , § 2. Sexe. § 3. Age. (A réserver pour l'examen des gâ-. ranties.) § 4. Résidence. 1 § 5". Causes d'exclusion. Chapitre III. — Organisation des garantie: 1 du régime électoral : § 1. Procédure : la R. P. et son organisa tion. § 2. Eligibilité : a) Choix préalable; b) Ca j tégoi'ie ; c) Conditions d'élimination. 5 § 3. Corps électoral : a) Représentation de; î intérêts et représentation professionnelle. b) Conseillers communaux supplémentaire: - (art. 4 de .la loi du 11 avril 1895). 'C) Suffrage égalitaire. Suffrage plural. Nouvelle séance à quinzaine. Les promotions et îiontiis TRIMESTRIELLES dans l'armée belge Le « Moniteur. » de jeudi matin publie les promotions et nominations militaires suivantes : Bans l'état-major général ■Lieutenants généraux. — Les génoraux-ma-jours : Ruwet, eomm. la div. d'arm. et la ôc cire. anilv et D-ufour, gouv. de la pos. fort. d'An- Dans le cadre des officiers supérieurs de toutes armes Colonels. — Les lieutenants-colonels : Henne-bert, du rég. d'art, de siège, eu stage au o° rég. de lig.; Tliirv, du corps d'état-maj., adj. au corn.m. de l'éeole des pup., à Aloçt; Orth. du 6° rég. d'art., adj. d'étai-unij.; Berger, du 3e id.; Govaerts, du rég. d'art, de côte; vDossi.ii, du 4° rég. d'art.; Vermeulen, du rég. d'art, de place; «Eckstein, du id. de siège; Jaussen, (la serv. de a fort. d'Anvers, coram. du génie d'Anvers-ville; 'MilLard, ,d«u> ici:., adj. d'état-maj., comin. du gén. du -1° sect., et Deisser, de l'art, de fort, de 'Naonur, à l'insp. de l'art. Lieutenants-colonels. —Les majors : Arnould, de l'art, à cliev. de la div. do cav.; Becquevort, du 6e rég. d'art.; Antoine, de l'art, de la 5e br«ig. mixte; iDe Vleeschouwer, de id. 16e id.; De-chesne, du 2e rég. d'art., adj. d'état-maj., dét. à l'éc. de tir de l'art.; De ÎR.ddder, du lor id.; De iMey, du rég. du génie, a«u serv. de la"fort. d'Anvers ; Cauvin, du 2e id. de lanc. ; Marchant, ad j. d'état-maj, au. serv. de la colonie; Gauthier, du 3e .rég. de chas, à pied, et Lambert, du 14e id. de lig., adj. d'état-maj. Majors.,— Les capitaines commandants : Denis, coniim. l'art, de la 20° brig. mixte, adj. d'état-maj.; Dubreucq, du -rég. des gren., ad'j. d'état-maj.; Stacquêt, à l'état-ma.j. de la 4° brig. mixte, id.; Lefèvre, d«u 6e rég. d'art-., à l'insp. gén. de-l'art.; Molitor, adj. d'état-maj., au serv. de la col.; baron de Œtennette de Villers-Penvin, adj. d'état-maj., ad'j. ma-j. au 2e rég. de guides. I! est déch. de .son emp.: Merchie, du 3e rég. ,de lig.. adj. d'état-maj.; du 'Roy de Blicquy, du 1er id. de guides, id., Of«fi. d'ord1. du Hoi, comm. lo. dé,p. du gr. 'Ec.; iDeisser, du rég. des gren., id.; Tack, du o° id. d'art.; Chevalier, adj. d'état-niaj., adj. maij. au 3e id. de chas, à -pied. Il est déch. do son emp.; de Grerlaclie de G orner y (éc.), du 1er id. de car., adj. d'état-maj.; Gateau. du 1er id. de car.; Mertens, adlj. d'état-maj., adj.-maj. au 7° dd. de lig. Il est déch. de son emp.; Pontus. id., id. au 6e id. d'art, id.; Geeroms, du Se id. de lig., adj. d'étai-nia-j., à. l'école d'ap-1)1. et de pei'if. pour l'inf.; de Posch, du rég. des gren.. adj. d'état-maj.; -lonklieere, des sect. de déf. de la ]>os. fort. d'Anvers, prov. à l'insp. gén. de î'.iîif., id.; P.iette, de Part. à,chev. de la div. de cav.; Talion, du :iég. des gren.; Sweerts, du 3e id. de chas. à. pied; Thonard, adj. d'état-maj.. adj.-ma-j. au 141° rég. de lig. Il est déch. de son emp.; ŒioiLmann, du 1er id. de car., adj. d'état-maj., prpf. supp. à l'éc. de guerre; Del-Cosse, du. 6® ici. de lig.; Viidrequin. du ]jOe id.; Gillet, du 5e id., et SVIallego, du 6° id. Dans le corps d'état-major Capitaines-com mandants. — I>es capitaines en second : Mory, adj. à l'ét.-maj. de la 2e div. d'arm. ; Génard, id. id. de la pos. fort. d'Anvers ; Massart, id. id> de la 4e div. d'arm.; De-lannoy, ici. id. de ta 3e div. d'arm.; et Barthje-lem'i, id., id. .de la ïre id. Dans les secrétaires d'état-major Capitaines en premier. — Les capitaines en second : Gatliy, à l'ét.-major, de la div. de cav.; Michel, id. de la place du camp de Bev., et Wal-tou, à l'audit, gen. Capitaines en second. — Les lieutenants : Praet, du 2e reg. de lig., prov: fais, fonct. de sec. d'état-maj. de l'ami. ; Steenkiste, à l'ét.-maj. de la 6« div. d'arm.; Paris, id. du com. de la prov. de Pland. or. ; Loguoul, id. d'Anvers, ét Massait, id. du Hainaut. Sons-lieutenants. — Les sous-officiers : Noël, adj. sec. d'ét.-maj. à l'ét.-maj. d« l'arra., et Ra-mon, id. au cabinet mil. du minist. de la guerre. jliaiis i îmanterie Capitaines commandants. Les capitaines en second : Du Pont, du rég. des gren.; Dei-bauve, du 2e chas.; Oambrelin, du 3e de lig.; Dobbelaere, du 4e id. ; Hanneuse, du 3e chas. ; Dungèihoetf, du 8e de lig. ; Gauthier, du 5° id. ; Deprez, adj. d'ét.-maj. à l'ét.-maj. de la lro dn. d'arm. ; Dewinter,. ici. de la lre, brig. mixte; Rolle, id. de la 19e brig. mixte; AVibier, id. au sec. de déf. de la pos. fort. d'Anvers, à la disp. du Roi; Van Sintjan, id., aux id., au minist. de la guer. ; Sinitsmans, id. du 3e rég. de lig. ; fais, fonct. de cap. com. adj. maj. ; Dansard, id. à l'ét.-maj. de la 5° brig. mixte; Bouvier, du 8° rég.de lig. ; Billeniont, du 1er chas. ; Straetmans, du 9e de lig. ; Bredael, du 7° id. ; Snoeck, du 3e id. ; Jacques, du 10e id. ; Gérard, du 9e id. ; Men-ten, du 2° chas. ; Hamer, du 6e de lig. ; Castai-gne, du 11« id. ; Saroléa, au serv. de la colonie; Hubrecht, du lor rég. de carab. ; Olivier, du rég. des gren. ; Bouhon, du 2e de lig. ; Gilles, du 2° de carab.; Gillain, du 11e rég. de lig.; Bataille, du 1er id. ; Lemoine, du 1er rég. de chas. ; Peel-laert, du 3e rég. de lig.; Hallart, du 7e id. ; Coucke, du 4^ id.; Bourg, du 8° id. ; Louis, du 8e id. ; chevalier de Hontheim, du 8e id. ; Burek, du lct" iég. de chas.; Gallendyn, du 14° rég. do lig., à l'inst. cartog. milit. ; Willame, du 2° rég. de chas. ; Béart, adj. d'ét.-maj. aux sect. de déi. de la pos. fort. d'Anvers, au minist. de la guer. ; De Roo, du 11° rég. de lig., dét. à l'éc. des cad. ; Letellier, du 4° rég. de lig.; Vanzeunc, du 2° rég. de carab. ; Leerique, du 6e rég. de lig. ; Roland, du 14° id. ; Swarth, du 4e id. ; Busine, du 2° id. ; Laloyaux, du 1er rég. de cai ab. ; Déome, du 2e id. ; \\ ittenberg, du 6e rég. de lig. ; Levar-let, du 14e id. ; Delbrassine, du rég. des gren. ; Waliis,(éc.),. adj. d'ét.-maj. à la comp. d'aviat. ; Devillers, du reg. des gren. ; Liégeois, du 8° rég. de lig. ; Uijttenhove, du 11e id. ; Vandromme, du 5e id. ; Stréa, du 2e id. Capitaines en second. — Les lieutenants : Buisset, adj. d'état-maj., à l'état-maj. de la 3e div. d'arm.; Hemy, du 13e rég. de ligne; M;i-gotteaux. du 9e id.; Claser, du 8° id.. à l'éc. dos pup. de il'aran.; Evrard, du 9e id.- Dothey, adj. d'état-maj.. à l'état-maj. de la 20° brig. înix'.è; Vancler Vc;ken, du 1er ré^ç. de lig., adj'. d'état-maj., à l'éc. des cad.; Houttekier, du lor id., sec. prof, à l'éc. mil.; iMasuy, du 13e id.; Va:i E Islande, du 1er id.. de car., adj. d'ét.-maj., en stage à l'art, dé la 19*? brig. mixte; Flamand, du ôp rég. de lig.; «Soyer, du 2e id. de car., prov. instr. adj. à l'éc. mil.; De Grox, du rég. des gren., adj. d'état-m-aj., prov. rép. à l'éc. mil.: Rousseau, du 12e id. de lig., au min. de la guer.. Labeau du 12e id.; Thirifay, dn 1er id. de car : Van Gestel; du 5e id. de iig.; Beilefroid, du 5" id., adj. d'état-maj., en stage à l'art, de la o" brig. .mixte; Toussaint, du 11e id., fais, fonct d'instr. ad.i. h l'éc. d'appl. et de perf. poai , l'inf.; Hardy, du 12" id.; De Buescher, du 2e id Lebbe, adj. d'état-maj., à l'état-maj. de la g1 div. d'arm.; Frandkx, du 1er rég. de lig.; Stn. va y, du 9e id.;^ Coen, du 9e id.; van. Yperseele c Stiihou.. du.rég. des gren.; Poncelet, du 13e id ■ de lig., prov. à l'inst. car t. mil.; Gabriel, du id.; Houba, du lor id.. à l'éc. des cacL; Delvauy . du 3e id.; Lange, du 12® id.; 'Mia-ssa-rt, du 1er id ' de chas., au min. de la guer.; Simons, du 1er id cle car., id.; Beiière. du id. de lig.; Habrauc'i > du 3° id. de ohas.; Fran-kard, du 3® id. de n'a prov., au corps de cor. et au corps spéc.; Bis queret du 2e id. de car.; Vanden Bosch, du 2 id.; Gils, du 8e id. de lig.; Rcorijck, du 4e id. Dorpe, du 1er id. de chasseurs; Benaets, au 6erv de la col.; Dordu. du 10e id.-de liig.: ERolet, du! rég. des gren.; Gilly, au serv. de la col.;_lere, du 4e rég. de lig.; Devleschoudere, du 5e id., dét. 'à l'éc. d'ajjpT. et de perf. pour l'inf.; comte' Cornet de Ways-Ruart, du rég. des gren.; Bruy-ninckx du 7e id. de lig.; Devos, du 5e id.: Van-dezande. du bat. cycl.: Vandenbussciie, du o° rég. de lig.; Marichal. du 2e id.; De Becker diB 5e id.; Radelet, du 6° id.; Dupont, du -8e id.. det. à l'éc. d'appl. et de perf. pour l'inf.: Léonard, du 8e id.; Meynaerts, du 2e id. de chas., fais.' ionct. d'admi. d'hab. et d'arm. au clép. de Ist div. de cav.; Danvoye, du 2e id., ad. d'état-maj., en stage à l'état-maj. de la -5e div. d'arm.: Gross-jnann, du 12e rég. de lig.; ïïayen, du 14° ad.; Vancampenhout, du 13e id.; Van «Dam, du 12® id.; Leclerc, du 6e id.; de Coen, du 2e -id..; Men-ten, d-u 5° id.. au corps décor, et au corps spéc.; Doms, adj. d'état-maj., à l'état-maj. de la 5e div. d'arm.; Bogaerts, du rég. des gren., adj.-d'état-maj., en stage à l'état-ma.j. de- la pe^-fort, de Namur; Pirot, au serv. de la col.; Mi-gnolet, ad'j. d'état-maj., à l'état-maj. de la- 14° brig. mixte; Witry, du 2e -rég. de car., adj.-d'état.-maj., à l'éc. des c-ad.; Panquin, adj. d'état-maj. du bat. cycl.; Latteur, adj. d'état-maj. à l'état-maj. de la div. d'arm.; Van Cau-laert, adj. d'état-maj., à l'état-maj. de la brig^ des troup. teehn. de la j>os. fort. d'Anvers* Décrit eue, du 12? rég. de lig.; baron deiHeusch, du ■12e;id.: Clemens, du 2e id. de car., ad-j. d'état-maj.. en stage à i'état-maj. de l'arm.; -M-'asuy, du 5e id. de lig.; Ginion, adj. d'état-maj., à l'état-maj. de la 16e br«i.g. mixte; Huyghe, an serv. de la col.; Martin, du 1er rég. de lig.; Abel, du 9° id., dét. à l'éc. d>a,ppl. et de perf. pour l'inf.; Grasset, du l01' id. de clias., adjj. d'état-maj., en stage à l'ait, de la 10e brig. mixte: de 'Hennin de Villiers, du rég. des gren.; Deecamps, du 1er id. de car., adj. d'état-maj., en stage au 1er guides, à l'éc. d'équit.; Poureau, ad. d'état-maj., au, sect. de déf. cle la pos. fort. d'Anvers, au min. de la guer.; Linard, du -rég. des gren.; Pire, ad. d'état-maj., à l'état-maj. cle la 3° brig.. mixte; Borlée, du 2e rég. de Clias.i Noterman, ad. d'état-ma.j., du !9C id. de lig.: au min. de la guer.; Berguet, du 14° rég. de lig.: Thonet, du, 12» id.; Bastin, au serv. cle la col.; Lambert, du 7e rég. de lig.: Jobé, du 12e id.; Léonard, du-7l! id.; Deudon (éc.)', du 2e de chas.; Marquette, du 2° id.; Ronveaux, du 1er id.: iLekeux, du 4° id. de lig.; Martin, du 7e id., à l'éc. dés cad.; Colpin, du 4e id., adj. d'état-maj., en- stage au 4e lanc:. à l'éc. d'équit.; Masuy, du rég. dee gren.; Henroye, du 2e id. de lig., à l'éc. des pup. cle l'arm.; Tasnier, du 2e id. de chas.; Robyns, du 9° .id. de lig.; Vansteenkiste, du 3e id. dtf chas.; Bisschop, du 5° id. de lig.; Débandé, du 1.1e ici.; Rennoir, du 12e id.; Si-usé, du 10e id., à l'éc.. des cad.; Laforêt, du T3° id. de l'ig.; Spil-laert, du IIe id.. prov. à l'éc. des cad.; Janssens, du 4° id., adj. d'état-maj., en stage à l'état-maj. de l'arm.; Vandergote, du 4e id.; iDubreucq, dui 9e ici.; Six, du ôLh id.; Denecker, du 3e id.: Bo-cart. du 14e ici.; 'Pierson, du 8e id.: Œteul, du 1er id. de car.,, adj. d'état-maj., prov. irépét. à l'éc. mil.; Ebinger, du 8e id. de lig., adj. d'état-maj., au min. de la guer.; Brixy. ad. d'état-maj.. à l'état.-maj. de la lrè div. d'arm.; Honorez, id., à l'id. cle la 10° brig. mixte; Vergeyn&t, id., au serv. de la coi.; Martin, du Ier rég. de car.; Van» Loo, du 14e id. de lig.; Lozet, du 3e id. de chas., a- l'éc. de guer.: Polet, du 3e id., instr. ad-j. à l'éc. mil.; Tvoget, du lu® id. de lig.: Guvaux, du/ 11e ici., au min. de la guer.; Toussaèct, du 2e .id.; !De Bruyu, du 3e id.; Francot. du 0e id.. à l'éc. des cad.; de Hennin de Boussu Walcourt, dui rég. des gren.r «Mostaert, du 2e id. cle lig.; 'De-guent, ad. d'état-maj., à l'état-maj. de la 7° brig. mixte; Smal, du 9e rég. de lig., à l'inst.-car t. mil.; Mayat, du 9° id.: Ronflette, du 9e id.; 'Résibois. du 10e id.; W-illaert, du 4e id.: PiMoy, du 5e id.; Dancloy, au serv. de la col.; Kùck, du' rég. de lig.; Burton, du 13° id.; comte d'Iiem-ricourfc du 2° id. de cav.; André, au serv. de la col.- Demart, du 2e rég. de chas.; De -Muele-naere, du 7e ici. de lig.; Leclef, du' 13e id.: Ver-hamme, du 2e id., à l'inst. cart. mil.: F.rancus, du '6° id.; 'Hen'quin, du ôe id., à l'inst. cart. mil.; Smeyers, du 5e id.. à l'éc. des pup. de l'arm.; Coucke;. du 4°id.; Delincé, du 1<JÛ id'.; OPonc-hau, du 10° id., à l'éc. des pup. de l'arm.; Odes, du 9e ici., au min. cle la guer.; Brouvère. du 9e dd., au ici.; Derenne, clu bat. cycl.; Van iMeUaert, du 8e i-ég. de lig.; Monnet, du 3e id. de chas.; De-foin, d-u 10° ici. de lig.; Molliront, du 3° -id., au' corps de cor. et au corps spéc.; Vankauberg, du 3e de clias.; De Brouwer, au serv. de la col.; Decot, du 1er rég. de chas.; Masy, du 1er id.: Monfront., clu 6e ici. de lig.; Smets, du 2e id.. à l'éc. des pup. de l'arm.; Marichal. du 1& id.; Cales, du 7e id.; Goclefroid. du 1er id. de car., à l'école d'av. mil.; Lutaster, du 12e id. de lig., à l'éc. des pup. cle i'arm.; Verspreet, du 3e id., à id.; Ghevy, au serr. de la col.; Dothée, du 4° rég. de lig.; Petit, du 10e id.; M-ichem, du 2e dd., adj d'état-maj., en stage à l'état-maj de l'arm.; Leclercq, du 2e id. do car., adj. d'état-maj., en stage au 1er lanc:, à l'éc. d'équit.; Vanholsbeek, du 10e id.; V.ertommen, du 7e id.. adj. d'état- • maj., en stage à l'art, de la 15° brig. mixte; Deffontaine, adj. d'état-maj., à l'état-maj. de la 11" brig. mixte; Geno, du 13e rég. de lig.; prov. à l'éc. mil.; iRequètte, du 13e id.', adj.'d'état-ma^., en stage à l'état-maj. de l'arm.; Duthov, du 2° id., ici. cle la pos. -fort. d'Anvers; De Poor-ter, du 3e id. de chas.; id. id., et de Roissart, du reg. des gren., à l'éc. de guer. Lieutenants. — Les sous-lieut. : De Saint-Hubert, du rég. des gren. ; Stas, du 3e rég. de lig. ; Dossin, du 3° id.; de Heusch, du 3° id., à la suite du 4e lanc. ; Deboeck, du 10° id. à l'éc. cl'éq.; Jacques, du 2e id.; Hemeleers, du 6e id., a la, suite du 5° lanc:, à l'éc. d'éq. ; Duez, du 9° ici. ; Demart, du 2e ré. de carab. : Pigano, du 3° rég. de lig., prov. à l'art, de la 3e brig. mixte; Donv, de la comp. d'aviat. ; Debraconier, du rég. des gren.j Liedel, de la comp. d'aviat.; De-clercq, dû rég. des gren. Dans la cavalerie Capitaines commandants. — Les capitaines en second . Chevalier de Mélotte, du 1er rég. de lanc.; Willems, clu 4e de chas.; Rosseels, du 1er lanc. ; Delrée, du 2e de chas. Capitaines en second. — Les lieutenants : Van Waefelghem, du 1<* rég. de clias., fais, fonct. de capit. ; Coupez, adi. d'ét.-maj. à l'ét.-maj. de la div. de cavalerie; comte de Liedekerke-Bea'u-fort, du 2e rég. de guid. ; Rotherniel, du 2° rég. cle chas. ; Peteau, adj. d'état-maj. à l'ét.-mai. de la 2e brig. de cav. ; Offergeld, du 2e rég.de chas. ; et Fontaine, du 1er rég. de guid. Sous-lieutenants. — Les sous-officiers : Ter-linden, mai*, cle slog. dé cav. au serv. de la colonie; Marneffe, mar. des log.-chef monit. gén. du 2- rég. de chas.; Haas, mar. des log., du 4e id. ; Cleinge, adi. du 2e rég. de lanc. : Smits,iuar des log. du 2e rég. de chas., et Vanden Elschen, id. du 2e rég. de guid. Dans l'artillerie Capitaines commandants. — Les. capitaines en second : Weyns, clu rég. d'art, de pl.; Lebrun, du 2e rég. ; Davreux, adj. d'ét.-maj. de l'art, de la 20e brig. mixte, of. d'ord. du Roi ; Lefèvre, du 6° rég. ; Vinçotte, adj. d'ét.-maj. à l'ét.-maj. de la 3e div. d'arm. ; .Denis, id. de la 18° brig. mixte ; François, id. de l'art, de la 7e id. ; De Jonghe, id. du 12° id. ; Nyssens, du 6e id. ; Ma-thias, id. du 2° id. ; Nondonfaz, du rég. d'art, de sièg. ; Rousseau, de Part, de fort, de Namur ; Aerts, adj. d'ét.-maj. de l'art, de la 12° brig. mixte, prov. inspect. des ét. à l'éco. milit. ;" Gillet, id. aux sect. de dét'. de la pos. fort. d'Anvers. prov. à l'iuspect. gén. de l'art. : Theyskens, du rég. d'art, de place: Fias, adj. d'ét.-maj. de l'art, de la lrc brig. ; Sobry, clu rég. d'art, cle siège: Gerrebôs, au serv. de la colon.; Sansen, de l'art, delà 3e brig. mixte; Despa, du 1er rég. ; Demuenynck, au serv. cle la colon.; Borin, du 3° rég. : Xicod, du o° id. ; Cuisinier, de l'art, de fort, de Liège ; baron de Béthune, du 6e rég., sec. profes. à l'éc. milit. ; de Vinck de Winne-zeele, de l'art, de la 7e brig. mixte, à l'éc. de tir de l'art. ; Bavay, du rég. d'art, de siège, profes. à id. ; Mascart, du rég. d'art, de siège; Van Maldeghem, de l'art, de la 19° ferig. mixte, (A suivre.)

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