La libre Belgique: bulletin de propagande patriotique

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s.n. 1916, 01 April. La libre Belgique: bulletin de propagande patriotique. Konsultiert 06 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/cz3222s985/
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LA LIBRE BELGIQUE J'ai foi dans ncm destinées ; un Pays qui se défend s'impose au respect j OlN DÉE Envers les personnes qui dominent par la orce militaire notre-pay», de tous : ce pays ne périt pas 1 Dieu sera avec nous dans cette cause x ayons le* égards que commande l'intérêt général. Respectons let j tus te. ALBERT, Roi dbs Bblgbs (4 août 1914). , / c règlements qu'elles nous imposent aussi longtemps qu'ils ne portent Acceptons provisoirement les sacrifices qui nous sont imposés . .. LE Ier FEVRIER IÇl5 atteinte ni à la liberté de nos consciences chrétiennes ni à noir* et attendons patiemment 1 heure de la réparation. A11AX Dignité Patriotique. M" MERCIER. BULLETIN DE PROPAGANDE PATRIOTIQUE — RÉGULIÈREMENT IRRÉGULIER ADRESSE TÉLÉGRAPHIQUE : KOMMANDANTUR-BRUXELLES BUREAUX ET ADMINISTRATION ne pouvant être un emplacement de tout repos, ils sont installés dans une cave automobile ANNONCES : Les affaires étant nu5iî« sous la domination allemande, nous avons supprimé la page d'annonces et conseillons à nos clients de réserver leur argent pour des temps meilleurs. Devant Dieu et devant l'Histoire, ma conscience est pure. Je n'ai pas voulu cette guerre. E11 même temps qu'il fait distribuer aux familles des soldats tués la ■carte postale dont ci des ous la leproduction, Guillaume 11 préside lui-même au massacre de milliers de ses soldais sur le front Ouest, sur les bords de la Meuse ei de la Woevre, dans le but d'obtei ir à tout prix une victoire oui réconforte le moral chancelant de son peuple. Je n'ai pas voulu cette guerre ! Quelle piteuse défaite à côté des pro e 1 a mations hautaines des i, S, 7 et 8 août 1914, où il se disait l'inspiré de Dieu comme chef de la nation élue. Sans doute, il n'a pas voulu une guerre de vingt mois et n'a pas rêvé la ruine de l'Allemagne. Mais sa responsabilité est-elle moindre parce que son Etat-Major et lui aussi, rlicf KTinrêmA l/uvi ou j» 1 uuut de cet Etat Major, se -ont trompés dans leurs calculs en déchaînant sur l'Europe l'immense catastrophe que les puissances de la Triple-Entente ont tout fait pour éviter; n'est-Il pas revenu précipitamment de voyage, en juillet 1914, après l'attentat ontre le couple impéria! d'Autriche, pour attiser le feu qui di vait s'étendre sur le continent et p»ur rendre vains tous les efforts pseifiq es; n'a-t il pa présidé successivement sur tous les fronts d'Est, d'Ouest et da Sud aux opérations de ses armées ? Est-ce malgré lui que ses gouverneurs et ses généraux rançonnent et pressurent la Belgique et le Nord de la France, après y avoir commis des atrocités qu'il a couvertes publiquement de son autorité impériale? Nous comprenons ses regrets ; Cutis. Il a pu jug t par lui-même des énormes sacrifices de vies humaines occasionnés par la résistance de la Belgique, par la défaite des armées allemandes sur la Marne et sur I'Yser, par la résistance opiniâtre des Russes et des Serbes, par la retraite même des Russes et plus récemment par l'attaque de Verdun. Les listes des pertes allemandes et autrichiennes n'ont pu lui être cachées. Les formidables totaux ont passé sous ses yeux. A moins de supposer qu'il ait perdu tout sentiment de la responsabilité qui lui incombe sinon comme auteur unique et principal, du moins comme complice de l'attentat qu'il avait certainement le pouvoir et le devoir d empêcher, il doit être aujourd'hui dévoré de remords à la pensée des maux qu'il a déchaînés sur l'Allemagne et plus particulièrement sur la Prusse, sur son trône impérial et royal. Ces maux ne feront que grandir si l'on en juge par ce qu ont coûté les efforts jusqu'ici impuis-taiit- pour prendre Verdun et par les dépenses toujours croissantes d'hommesetde munitions nécessitées par la guerre moderne.Les chiffres des pertes subies par les armées germano-turques, dès avant les attaques de Champagne, étaient tellement formidables, que nous avions hésité à les accepter comme sérieux, bien qu'ils fussent donnés par la Croix-Rouge de Genève. Mais ils deviennent plus admissibles quand on les met en parallèle avec les statistiques de la guerre de 1870 : Cette guerre de 70 n'a guère mis en face que 7 à 800,000 hommes et n'a duré que neuf mois. Or la guerre européenne a fait lever 24 à 27 millions de soldats et elle est dans son vingtième mois. Le total des eff clifs sous les armes est donc de trente fois supérieur à celui de 4870 et la durée de la guerre est déjà plus que double. Il n'y a donc rien de surprenant que le chiffre des pertes soit soixante fois plus fort qu'en 70. On peut même dire que ceux qui ont déchaîné le cataclysme, c'est-à-dire Guillaume II et son :-llié François-Joseph, devaient s'y attendre, lorsqu'au mois d'août 1914 ils ont signé les déclarations de guerre et surtout lorsqu'ils ont persisté dans leur crimiuelle agression contre la Belgique et amené l'Angleterre à se mettre immédiatement à côté de la France et de la Russie. En agissant ainsi, ils allaient à l'encontre des conseils de Bismarck et du grand de Moltke, mais l'orgueil leur avait fait perJre, avec la conscience, la vue claire des réalités. Ils s'estimaient capables de vaincre les Alliés sur mer comme sur terre, grâce à la supériorité de leurs artilleurs, de leurs canons, de leurs Zeppelins, de leurs explosifs, de leurs gaz asphyxiants; grâce, enfin, à leur mépris Prière de faire circuler ce bulletin PRIX DU NUMÉRO — élastique, de zéro à l'infini (prière aux revendeurs de ne pas dépasser cette limite) NUMÉRO 71 DEUXIÈME ANNÉE AVRIL 1916

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La libre Belgique: bulletin de propagande patriotique gehört zu der Kategorie Clandestiene pers, veröffentlicht in S.l. von 1915 bis 1918.

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