La libre Belgique: bulletin de propagande patriotique

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s.n. 1917, 01 Januar. La libre Belgique: bulletin de propagande patriotique. Konsultiert 01 Juli 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/k93125rh51/
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NUMÉRO 106 DEUXIÈME ANNÉE JANVIER 1917 PRIX DU NUMÉRO — Élastique, de zéro à l'infini (prière aux revendeurs de ne pas dépasser cette limite) LA LIBRE BELGIQUE J'ai foi dans nos destinées ; un Pays qui se défend s'impose au respect de tous: ce pays ne périt pas! Dieu sera avec nous dans cette cause juste. ALBERT, ROI DES BELGES (4 août 1914). Acceptons provisoirement les sacrifices qui nous sont imposés... et attendons patiemment l'heure de la réparation. A. Max. FONDÉE LE lor FÉVRIER 191; Envers les personnes qui dominent par la force militaire notre pays, ayons les égards que commande l'intérêt général. Respectons les règlements qu'elles nous imposent aussi longtemps qu'ils ne portent atteinte ni à la liberté de nos consciences chrétiennes ni à notre Dignité Patriotique. Mgr. Mercier. iflimiiuiim 1—i—il'wamïMBmTTMgaBncHr.iirrini' — BULLETIN DE PROPAGANDE PATRIOTIQUE — RÉGULIÈREMENT IRRÉGULIER NE SE SOUMETTANT A AUCUNE CENSURE Aux broyeurs de noir. De notre envoyé spécial au Congo : Mon cher Directeur, Les Boches gardant sur la perte de leurs colonies un silence de carpe, certains de nos compatriotes, atteints d'un pessimisme maladif, se demandèrent si réellement les possessions allemandes et leurs richesses avaient été ravies à ceux qui ont la prétention de vouloir mettre le grappin sur le monde entier. Et le doute s'empara de ces broyeurs de noir. C'est alors que vous m'avez demandé si j'osais m'aventu-rer dans un voyage en Afrique. Je n'allais pas tn'effrayer pour si peu et je suis parti, vous donnant ma parole de vous envoyer, malgré tous les impedimenta, un document qui desille-rait les yeux les plus fermés à la lumière. Ce document je vous l'adresse aujourd'hui, vous le trouverez sur l'enveloppe de 1? h lettre que je vous écris : il s'agit du timbre. :i sssfflb fcteSB si ; ^gattOISCHE BtZMTIIMaB Comme vous pouvez le constater, c'est le timbre du Congo Belge, portant comme surcharge ces mots : Est Africain Allemand, Occupation Belge — Duitsch Oost-Afrika, Belgische Bezetting. Voilà notre petit pays vengé. Si nous devons en Belgique nous servir du timbre teuton, les Allemands se voient contraints i<-i d'employer le timbre belge, et je vous prie de croire que leur orgueil en souffre kolossalement. J'ai vu plus d'une manifestation de cette terrible souffrance, mais je vous conterai cela à mon retour. Entre parenthèses, je souhaite de rencontrer moins de fils de fer barbelés sur la route du retour que je n'en ai trouvé sur celle de l'aller. Mais, bast! j'ai bonne confiance, aussi je vous dis à bientôt. Croyez, mon cher Directeur, à mes sentiments les plus cordiaux. CALAMO. C'est pour rasséréner les esprits qui se laissent quelquefois assombrir que notre audacieux autant que dévoué collaborateur a affronté les mille et une difficultés d'un voyage périlleux, aussi nous etnpressons-nous de reproduire ici, à cette intention, l'éloquente vignette. Nous pensons au reste que tous nos lecteurs nous en sauront gré, chaque Belge augmentant volontiers sa collection de souvenirs glorieux. Nous aussi, nous en avons assez! De quoi? de la guerre tout simplement, comme un vulgaire « correspondant » du Bruxellois. Mais, voilà, nous doutons fort, si « libre » que soit la tribune de cet excellent journal, qu'il nous y laisse exprimer les idées que nous allons exposer. Oui, nous en avons assez de la guerre (et des boches, donc!) et c'est précisément parce que nous en avons assez, que nous voulons que cette guerre continue jusqu'à ce que le but des Alliés soit atteint. Ce but n'est pas, comme feint de le croire Le Bruxellois, l'extermination d'un peuple, mais — répétons-le une fois de plus — la libération de l'Europe, y compris l'Allemagne, du joug du militarisme prussien. A la différence des Eliane, Neufcour et autres pacifistes à pseudonymes variés, nous ne sommes pas des égoïstes, nous ne voulons pas seulement la paix pour nous, ne voyant que le », présent, noue- pensons à ceux qui viendront après nous. Pour eux aussi nous voulons la Paix. Comme le disait je ne sais plus quel journal anglais, il faut désarmer l'Allemagne au nom de la sécurité mondiale, comme on désarme un insensé au nom de la sécurité publique. Nul ne songe à ôter à l'Allemagne sa liberté intérieure, mais, entre ses mains, les armes sont dangereuses. Que nous importerait à nous, qu'elle recommence à se ruiner en armements, qu'elle dirige perpétuellement les efforts de ses ingénieurs et le travail de ses savants vers le perfectionnement des engins de destruction au lieu de les diriger uniquement vers le progrès; que nous importerait qu'elle rende improductifs les bras de millions de ses ouvriers pendant des années en les enfermant dans ses casernes, si, en réalité, elle n'avait en vue que de se « défendre » comme elle le dit. On prétend que les Anglais sont jaloux de la prospérité de l'Allemagne; le militarisme prussien leur serait alors un allié précieux et ils devraient donc encourager leur concurrente à se ruiner en dépenses inutiles ! Mais l'expérience est là qui prouve que la façon dont l'Allemagne entend se défendre en attaquant « préventivement » ses voisins est extrêmement dangereuse. Ce petit jeu ne peut plus recommencer. L'Allemagne a beau affirmer par la bouche de ses menteurs attitrés « qu'en juillet 1914, immédiatement avant l'explosion » de la guerre, l'armée française comptait 90,000 soldats ins-» fruits, armés et irréprochablement équipés de plus que » l'armée allemande, que l'armée anglaise n'atteignait pas un » tiers de l'armée allemande » (je te crois, que 180,000 ne font pas le tiers de plusieurs millions !) « mais que la marine » anglaise, deux fois aussi forte que la flotte allemande, avait » été mobilisée trente jours avant que l'Autriche n'envoyât un » ultimatum à la Serbie! » Chacun sait que ce sont là purs mensonges. Chacun sait aussi que jusqu'à la dernière minute les diplomates anglais, français et russes ont cherché à éviter le conflit par la réunion d'une conférence où, avec un peu de bonne volonté, on eût pu s'entendre. Mais en fait de volonté,

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La libre Belgique: bulletin de propagande patriotique gehört zu der Kategorie Clandestiene pers, veröffentlicht in S.l. von 1915 bis 1918.

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