La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1918, 20 Juli. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Konsultiert 20 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/2b8v980h4m/
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The Newspaper fér LA MÉTROPOLE ONE PENKY tWJT: OM9 CEHTIHKS •SlUIlII VUV CHI miiinri Biz cHTiHts PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, CKuncer», Lane, W.C.2 — Téléphoné : Helkorc 212. ( 3 moi» 9 *fai Abonnements : 1 6 mois 17 sh, l 1 an 31 «h. 26un ANNEE SAMEDI 20 JUILLET 1918 Registered at the G. P. O■ or\-\ as a Newspaper. XMO. SUI LA GRANDE GUERRE I Les Français devant Soissons I La contre-offensive de Foch n ira faîr/> T .<■* A t> A r\ ? Vendredi midi. Un événement de la plus haute import.in-. et qu'on doit considérer comme le plus msidérable de la campagne de 1918 et peut-rede la guerre tout entière s'est produit jeu-sur le front occidental. Alors que dans les quatre offensives précédés déclanchées par l'Allemagne depuis le 1 mars à la faveur de la supériorité numérise que lui valut temporairement la trahison tb Russie, les Alliés avaient dû se contenter e parer ses coups et de contre-attaquer de içon toute locale dans les secteurs même où s succès ennemis exigeaient impérieusement ne résistance à tout prix, cette fois Focn a 1 combiner et exécuter sur un large front et rec tous les éléments de succès possibles une Sritable contre-offensive stratégique. Les Allemands se sont avancés profondé-lent en une large et profonde poche enfon-ie à l'est de Paris entre Soissons et Reims tdont le sommet est situé un peu au sud de I Marne, vers St-Agnan-la-Chapelle et où ;ur position n'est pas très dûre parce qu'ils ont dans le dos une large rivière, l'A:sne, et n gros ruisseau, la Yesle, et que, du moins rant l'offensive de mai,cette région était pau. re en moyens de communication, routes et urtout chemins de fer. Le général Foch a admirablement profité de itte situation. Il a attaqué sur toute la lon-ueur du flanc gauche de la poche, entre Châ-au-THierry et Soissons, et il a obtenu rout de uite des résultats importants qui doivent ins-iter les plus grandes inquiétudes au ce. iman-ement ennemi. En gros, voici comment les choses se sont assées. Appuyé sur Paris, sur Compagne et îr Meaux, Foch a concentré rapidemen; 'importantes réserves sous les ord~es, dit-on, u général Mangin, le vainqueur de von Huer et de la garde prussienne, un des chefs :s plus habiles et les plus énergiques de Pariée française. Toutes les dispositions furent rises dans le plus grand secret, de façon à onner à l'attaque un caractère complet de urprise. Il n'y eut pas notamment de prépa-ation d'artillerie. Jeudi à 4 heures et dix du aatin une armée de tanks se rua sur les h-;nes allemandes, détruisant les nids ele mi-railleuses ; l'infanterie les suivit immédiatement, les Allemands furent complètement dé-ordés et les Français poussèrent très vite de 'ivant sur le front de 45 kilomètres, situé ente Fontenov (Soissons) et Belleau (Château-•hierrv). Dans l'après-midi ils avaient atteint e Mont de Paris, à un kilomètre et demi_ de ioissons, et la vallée de la Crise sur huit kilomètres à l'est de Buzanev, ils avaient coupé b communications allemandes entre Sois-ons et Château-Thierry, avancé jusqu'au nd-est de Soissons sur une profondeur de rès de 13 kilomètres, capturé (à 3 heures ne 'après-midi) 5.000 prisonniers et 30 canons. En un mot, ils obtenaient en six heures un uccès plus éclatant et plus caractérisé que les lllemands en trois jours ! La bataille se pour-uivait toujours avec violence au début de la oirée ; à ce moment, les Français aidés, au ud par les Américains, avaient reconquis plus le vingt villages, et conquis sur toute la ligne u minimum cinq kilomètres de terrain. II est à peine nécessaire d'insister sur la rande importance de cette victoire. Le retré- jissement diu saillant de la Marne, la forte Penacesur l'aile gauche allemande, l'impossi-lîlité où Ludendorf se trouve d'étendre sa [poche" tant à l'ouest, où Mangin avance, ju'à l'est où Gouraud reste impénétrable, rend le plus en plus précaire toute poussée ennemie [ers le sud. En outre — et ceci est peut-être [Jus important encore—la contre-offensive de foch diminue fortement les possibilités d'une [ouvelle offensive allemande contre Paris, ['ici de longs mois, car elle constitue un indice [e force dont Hindenburg ne peut pas ne pas pir compte. I II n'y a pas eu de contre-offensive alliée [e ce caractère et de cette étendue depuis la [remière grande bataille de la Marne et sous [len des rapports le coup de Foch constitue un Pppel de l'offensive de Manoury sur l'Ourcq lui décida l'échec de la poussée allemande. | H est évidemment trop tôt pour supputer ps conséquences directes que cette victoire percera sur la situation générale. Tout dé-end des intentions de Ludendorf et du point le savoir dans quelles limites il peut utiliser fs réserves fraîches dont il dispose toujours, ï dont l'effectif est considérable. Il ne serait ps impossible qu'il retraversât la Marne, plgré un succès qui lui a donné possession p importantes hauteurs au nord de St-Agnan [de La Chapelle, car il a perdu Prunay.(est r Reims) échec qui doit réagir fatalement sur |s plans relatifs à la Montagne de Reims. Sais le fait essentiel c'est que les Allemands sont menacés dans leurs communications au sud de l'Aisne et que les Français sont de nouveau devant Soissons. Ce fait-là est destiné à compter. Mercredi, les Australiens ont de nouveau avancé de 600 mètres sur un front de 2 kilomètres à l'est de Villers-Bretonneux. L'aviation britannique a bombardé les usines d'Ha-gendingen (nord de Metz) et la gare de Thion-ville.Les Bolchévistes ont refusé aux Allemands de leur permettre d'envoyer un bataillon pour garder l'ambassade de Moscou. On reçoit de nouveaux détails sur les raisons directes qui ont porté les Alliés à débarquer d'importants renforts sur la côte mour-mane.La foule des réfugiés accourus en Mour-manie de tous les points de la Russie, les grandes quantités de matériel de guerre accumulées par les Alliés dans la région, les avaient forcés à maintenir en place les fonctionnaires et les quelques marins et soldats dépêchés au temps de l'ancien régime. Quand il est devenu patent que la Finlande, docile à l'Allemagne, tendait à occuper la côte de l'Océan Arctique, des bureaux militaires se sont formés où les représentants de l'Entente jouissant de toute la bienveillance de la population locale, ont pris des mesures défensives d'accord avec les délégués des Soviets. A cette époque, Trotsky et Tchitchérine eux-mêmes estimaient l'attitude des Alliés tout à fait légitime, vu les intérêts matériels qui leur sont restés du concours que leur valait sur place le concours jadis prêté à la Russie.II a fallu toutes les instances de Berlin pour mettre fin à ces bonnes dispositions ou tout au moins à cette passivité. Les actes hostiles se sont rapidement multipliés. Epuration des Soviets d'une manière hostile à l'Entente. Proclamation de l'état de guerre. Mobilisation de la garde rouge et d'un terrible navire brise-glace. Etablissement d'un barrage de mines dans la mer Blanche. Envoi du général Sa-maïlov à Arkhangel et du commissaire Na-zarenus à Alexandrovsk, avec mission de faire la guerre à l'Entente. Communiant dans les instructions de l'Allemagne, les blancs d'Hel-stngfors et les rouges ele Moscou, séparés, croyait-on, par un ressentiment immortel, se sont unis pour nous interdire l'abord de la côte septentrionale. Il n'est que temps que nous nous liions à une attitude ferme en déclarant publiquement nos desseins. Nous occupons le pourtour de la mer Blanche, parce que nous n'avons pas d'autre moyen d'assurer la liberté do communications maritimes avec la Russie et parce quë nous ne pouvons permettre aux sous-marins ennemis, qui ont déjà fait leur apparition sous ces latitudes, de venir menacer notre navigation transatlantique du sommet de la côte norvégienne. Mais nous arrivons surtout parce que, dans l'intérêt de la Russie et des Etats scandinaves, aussi bien que dans notre intérêt propre, il importe d'arrêter l'extension vers le nord du demi-cercle formé par les armées allemandes, de Kharkof à Viborg. Pour nous, il n'est pas d'autre manière de rester présents à l'heure actuelle en Russie et même d'y conserver des ambassadeurs. Mais l'entreprise de la côte mourmane ne prendra toute sa valeur qu'une fois consolidés, sous un gouvernement russe digne de c? nom, les territoires maintenant occupés par les Tchèques. Si nous devions rester inertes, l'initiative serait plutôt nuisible qu'avantageuse. La Russe est désormais séparée en deux tronçon-. L'unité se refera par le germanisme ou par m-tre alliance. 4 Le dernier raid britannique sur Coblence D'après les nouvelles qui sont parvenues à Bâle, le raid britannique sur Coblence, du 5 juillet a été le plus formidable de la guerre. La partie nord de la gare a été sérieusement endommagée, ainsi que le célèbre pont de fer sur le Rhin ; une bombe est tombée au milieu du pont sur la Moselle; une autre sur le palais royal. Indubitablement, les plus grands dégâts ont été occasionnés à la forteresse de Ehren-Breit-stein, sur l'autre rive du Rhin, qui, depuis le début des hostilités, a toujours été bondée de recrues à l'entraînement. Les journaux sud-allemands déclarent que 12 personnes ont été tuées et 23 blessées à Coblence, mais ils ne parlent pas de la forteresse, où sont tombées la plupart des bombes. Plusieurs prisonniers évadés de Mannheim, arrivés ici, racontent que la terreur augmente dans cette ville. Les habitants tremblent même quand des avions allemands survolent la ville. La Fête Nationale Comment nous la célébrerons Samedi 20 juillet A LONDRES A 11 heures et demie, à la cathédrale de Westminster, Te Deam solennel chanté par S. Em. le cardinal Bourne, archevêque de Westminster. La musique du 9e de ligne se fera entendre durant la bénédiction. A 3 heures, au Central Hall de Westminster, cérémonie commémorative de notre indépendance nationale, présidée par S. Ex. le baron Moncheur, ministre de Belgique. M. Balfour, ministre des Affaires étrangères pour l'Angleterre, et M. Henri Carton de Wiart, ministre de la Justice de Belgique, y prendront la parole. Concert par la musique du 9e régiment de de ligne. A l'union anglo-belge, à 12 heures et demie, assemblée constitutive au Savoy Hôtel, suivie d'un lunch. A BIRMINGHAM A 6 heures et demie, au Central Hall, grande manifestation patriotique. Discours par M. le vicomte Davignon et par M. le porfesseur Denvn. A BOURNEMOUTH A 11 heures, Te Deum en l'église catholique de Bournemouth. Allocution patriotique par l'abbé H. Laurent. A MANCHESTER A 7 heures, au Cercle des militaires et civils belges, grande fête musicale. A WIMBLEDON A 7 heures, au St. Mark's Hall Compton, grand concert patriotique. Dimanche 21 juillet A LONDRES A 3 heures, Première représentation de Be careful Boy, revue patriotique belge, au Royal Court Theatre, Sloane Square. Au camp d'Earl's Court, à 3 h. 15, grand concert par la musique du 9e de ligne. A 4 heures et demie, au Cercle belge de Dulwich, grande fête intime pour les familles belges ; concert. A BRADFORD A 3 heures, à l'Empire Theatre, réunion patriotique présidée par le consul de Belgique à Bradford. A CROYDON A 6 heures et demie, grande fête organisée dans la salle des fêtes du Greyhound Hôtel par le Comité belge de Crovdon. A FULHAM A 6 heures et demie, dans la vaste salle du Red Hall, grande manifestation, organisée par le Belgisch Volkshuis. Première exécution en Angleterre de la cantate De Wereld In, de Peter Benoît. Partie cinématographique.A GLASGOW Sous les auspices de l'Union belge de Glagow, à 4 heures, Te Deum, chanté à l'église St. Alois. Le R. P. Meersdom prononcera une allocution patriotique. Une manifestation patriotique sera organisée le io août. A MANCHESTER A 11 heuros, à l'église St. Chad, Cheet-ham Hill Road, messe, sermon patriotique en français et en flamand et Te Deum. A 7 heures, grand concert gratuit au local du Cercle des militaires et civils belges.A TWICKENHAM A 3 heures, au Town Hall, grande fête organisée par le Cercle des anciens combattants. Discours français et flamand. Remise de distinctions à plusieurs soldats réformés. Partie musicale. A WIMBLEDON A 11 heures, messe solennelle avec sermon de circonstance, suivie de Te Deum en l'église du Sacré-Cœur. Lundi 22 juiHet A CROYDON A 7 heures, au Greyhound Hôtel, grande fête de bienfaisance organisée par la Vul-cano Employées Benevolent Association. A ILKLEY A 8 heures, au King's Hâll, grande séance patriotique. ♦ Le Berliner Tageblatt apprend que les divers candidats au trône de Pologne sont : le price Auguste-Guillaume de Prusse, l'archiduc Charles-Stephane ; le duc Albert-Eugène, deuxième fils du prince Albert de Wurtemberg; le prince Frédéric-Christian, deuxième fils du roi de Saxe, et le prince Cyrille, deuxième fils du roi de Bulgarie. VIVE LA BELGIQUE! Sa Majesté le Roi L est demain la tête nationale. Après quatre ans de guerre, à la veil le même de l'héroïque anniversaire di 4 août, c'est avec une fierté légitime qu> nous notons chez tous nos compatriote la même inflexible volonté de résiste jusqu'à la mort. Et nous ne parlons pas, bien entendu des Belges en exil qui endurent avec ma gnitude les peines de la nostalgie, mai auxquels on pourrait reprocher leur ré sis tance "commode"; nous parlons d' nos indomptables compatriotes en pay occupé, qui subissent avec fortitude 1; présence abhorrée du Barbare et les ava nies de quelques misérables vendus nous parlons surtout de notre admirabli et vaillante petite armée, de nos soldats privés, depuis bientôt quatre ans, d contact avec leurs familles, de nos sol dats terrés dans la boue des Flandres e qui paient sans relâche, chaque jour leur tribut à la Mort- C'est la fête nationale, la fête de 1: communion intime de tous les cœurs bel ges dans le même sentiment d'amour pa trial. Une pensée pieuse évoquera £ ; tous nos yeux des visages aimés et de; paysages familiers. Un immense cou rant d'étroite sympathie unira tous le; Belges par-delà les tranchées, les fils d< fer barbelés et les mers. Plus que jamais, en ce jour, nous remercierons l'ennemi d'avoir, malgré qut cela nous ait coûté, provoqué l'accentuation de notre volonté nationale, d'avoii ! donné une signification à notre dignité civique et d'avoir exalté le sentiment belge au point qu'en dépit de ses multiple* manœuvres de division, de terrorisme el d'exactions, l'ennemi craint pour demair une Belgique hostile. Soyons fiers. Nous avons tout supporté avec une résignation stoïque Nous fûmes des premiers dans la four naise, nous en sortirons grandis et purifiés par l'épreuve qu'il a plu à la Provi-1 dence de nous envoyer. Mais si nous n'avions pas besoin que > l'exemple vint de haut pour nous inspi-r rer, nous avons eu pour exalter notre enthousiasme dans le sacrifice un Chef, , un Roi : incarnation parfaite de l'honneur national. Nous avons eu pour nous j soutenir, dans les heures déprimantes, 1 exhortation muette mais éloquente de ; sa calme et souveraine confiance. 5 Aujourd'hui, surtout, jour de la fête i nationale, nos pensées uniront étroite- - ment la Belgique et son Roi. Il est, ; pour nous, l'etoile de la délivrance, le ; gage certain que nous ne serons pas , abandonnés. Nous 1 avons vu, il y a quelques jours, à Londres. Quand il est apparu, sim-1 pie et grand, dans la loge de l'Albert Hall, il nous a semblé que, plus que jamais, comme notre glorieux drapeau, il t incarnait la Patrie, le Devoir et l'Hon- - , neur. La Belgique, grâce à lui, a suivi des 1 destins dignes d'Elle. Dieu protège toujours la Belgique Et son Roi! ♦ Les "Independence Days,, Les deux fêtes de la Liberté les plus con-: nues se célèbrent le 4 juillet et le 14! Mais il en est d'autres qui sont chères au cœur des peuples de l'Entente : la première étape de l'indépendance serbe date de la signature du traité turco-serbe, le 8 juin 1808. La déclaration d'indépendance belge, qui enleva la Belgique aux Pays-Bas, est du 4 octobre 1830. La délivrance italienne date du jour où Rome fut proclamée capitale et où l'unité fut un fait accompli : 2 juillet 1871. Le 5 octobre 1910, proclamation de la République portugaise... Le 15 juin 1215, enfin, signature à Runnyme-de, de la Grande Charte, véritable monument des libertés anglaises. Mais pour tous ces peuples, fils du droit, le grand jour de la liberté sera celui où la guerre sera gagnée !

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