La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1915, 17 Januar. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Konsultiert 19 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/9c6rx94760/
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LA METROPOLE D'ANVERS, PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES. 22ME ANNÉE. DIMANCHE 17 ET LUNDI 18 JANVIER 1915. Nos. 17 _ 18. COMMUNIQUES OFFICIELS FRANÇAIS. attaque allemande a la boisselle. LES ALLIES CAPTURENT DES TRANCHEES ET UN BOIS. PARIS, 10 janvier.—Communiqué de 15 heures :— Du Belgique, il y a eu des engagements d'artillerie dans la région de Nieuport et d'Ypres. De la Lys à la Somme: à Notre Dame de Lorette, près de Carency, l'ennemi a réoccupé une partie des tranchées qu'il avait perdues le 14. A Biangy, près d'Arras, notre progrès continue. L'ennemi a livré une attaque énergique, précédée d'un violent boifibaruement sur nos positions, a l'ouest de La Boisseue. C-ette attaque fut repoussée.Sur tout le front de. la Somme à la Meuse, il n'y a pas eu d'act.on d'infanterie. Da:.s ia région de Soissons et de Rheims, notre artiuerie a ootenu ces résultats appréciables à différents points. El.e dispersa un régiment qui se rassemblait, occasionnant une explosion dans l'une des batteries ennemies, démolissant de ses travaux. • • Dans l'Argonne, il y eut une action d'artillerie allemande d'une intensité considérable contre Fontaine Madame. De l'Argonne au*. Vosges: Une attaque assez obstinée dirigée contre' nos tranchées à Flirey échoua complètement, et les Allemands furent forcés par notre .artillerie d'évacuer la crête au nord dé C'emery (à l'est de Pont.-à-Mousson). Dans les Vosges, il. y a eu des engagements d'artil.erie tout ie long du front, ainsi qu'un •peu de tir d'infanterie, notamment à la Tête-de-PauEn Haute Alsace, il n'y a pas de changement dans la position. PARIS, 10 janvier.—Communiqué officiel de 23 heures :— 1 Rien d'important n'est signalé si ce n'est que nos troui^es ont capturé une nouvelle tranchée dans le voisinage de Perthes et un bois à deux ou trois cents mètres sur le front de nos lignes au nord de Beauséjour.—Reuter. SUCCES EN FLANDRE. tempetes et neige dans les vosges. PARIS, 17 janvier.—Communiqué officiel de 15 heures ■ Nous avons continué à.progresser dans la ré-.-tou de Nieuport et de Lombaertzyde. Notre ar-ut.crie a obligé les ALèmand¥ a évacuer leurs tranchées sur une distance d'environ 200 mètres sur la Grande Dune et détruisit un redent au i nord de cet endroit. Nous avons bombardé les travaux de l'ennemi • ur cette' partie du front et vers le sud de Saint-Georges.Dans la légion d'Ypres et celles de La Bassée cl de J.ens il y eu des combats d'artillerie. A B.angv, près d'Arras, il y a eu une action très Vive. Les Allemands avaient pris la fonderie de Blangy, que nous reprîmes aussitôt par une contre-attaque énergique,' et nous y maintînmes nos_ positions. Notre art) lerie continue à démolir les tranchées ennemies près de La Baisse lie. Entré Vailly et Craonne l'ennemi a livré une attaque vainc iVès des raffineries de sucre de Trovon et une autre attaque contre nos tranchées ;i Beaulne, qui fut également repoussée. Dans la région de Pe'.thes, et de Beauséjour, notre avance continua en dépit d'une vio'ente tempête. Dans l'Argonne, sur les hauteurs de la Meuse et en Woevre il n'y a rien de neuf. Dans 'e bois Le Prêtre, près de Pont-à-Mousson, une attaque allemande fut repoussée. Dans les Vosges nous avons gagné du terrain à l'ouest d'Orbey. Il a fortement neigé pendant toute la journée.—Reuter. LA BASSEE EVACUEE? une grande avance française. PARIS, 17 janvier.—Le "Matin" publie le télégramme suivant de Saint-Omer:— Suivant des informations sûres les Allemands ont abandonné La Bassée, où leur position était devenue intenabie sous le feu convergent des Alliés. Une nouvelle persistante (l'une autre source dit 'iue les Français ont avancé jusqu'à Seciin, entre f) Lille et La Bassée.—Reuter. Note.—Seclin est à douze kilomètres au sud de Lille. L'avance représenterait une quinzaine de kilomètres. LA BATAILLE DE SOISSONS. opinions françaises. PARIS. 10 janvier.—Tandis que tous 'es critiques militaires sont d'accord pour reconnaître que l'effort fiançais a subi un écnec près ce boissons, aucun n'attribue à l'affaire plus qu'une importance purement locale puisqu'il est. évident que les Al.émanas sont incapab.es de compléter leur succès temporaire en passant l'Aisne. L'ennemi attache évidemment une importance considérable à son effort dans ce district, comme démontre la présence de l'Empereur lui-même. Le critique militaire du "Temps" dit que l'échec, qui s'explique entièrement par la crue de l'Aisne, est sans grande, importance.et n'aura pas d'effet conséquent grâce à l'obstacle formé par le fleuve. Le "Journal des Débats" remarque que l'affaire n'a pas eu de_ réaction sur la position du reste du front. Les Français gardent les ponts sur l'Aisne, et commandant toujours le fleuve. On peut donc envisager l'avenir avec confiance. Le co'onel Rousset dans la " Liberté" dit que, si regrettable que puisse être l'échec, ce n'est là qu'un incident malheureux de la guerre, et n'est dans aucun sens un événement affectant les opérations en général. Eu égard aux chiffres exagérés cités par les Allemands dans leur communiqué Officiel, on peut dire que le nombre des prisonniers français qui sont tombés entre leurs mains ne dépasse pas 1000.—Reuter. UN CADEAU D'ANNIVERSAIRE A GUILLAUME II. AMSTERDAM. 16 janvier.—A Aix-la-Chapelle •es habitants expriment la certitude que le Kaiser recevra Calais, en guise de cadeau d'anniversaire, le 27 janvier prochain.—Central News. LE TREMBLEMENT DE TERRE E ITALIE. scenes d'horreur. ~ ROME, 16 janvier.—Le " Giornale d'Italia dit que le désastre causé par le tremblement c terre à Pescina est terrible. Il ne reste que 15C survivants de 6000 habitants. Le travaux de secours se font dans des conc lions de danger extrême. Le froid est intens Bien que la ville de Sora- soit à peu près cor plètement détruite le nombre des victimes n'e pas aussi grand qu'on ' ne l'avait craint. On trouvé soixante caaavres, et 300 personnes ont é retirées des décombres. La " Tribuna " apprend de Sora que des cr vasses longues de plusieurs mètres ont été déco: vertes au cimetière et qu'il S'en échappe des gj suiphureux et des fontaines d'eau bouillante. Signor Salandra, premier ministre, surveil personnellement des travaux de secours à Rom —Reuter. LES RUINES DE SORA. ROME, 16 janvier.—La situation dans le di trict de Sora est des plus terrib.es, car bien qv des. 17,000 Habitants on ait pu en sauver 10,OC m a.gré ia destruction complète de la ville, c< malheureux, épargnés par le tremblement r terre, meurent de faim et de froid par suite d retard, résultant de la destruction des routes, dar l'arrivée des secours. Une petite fiile, nommée Francesca, âgée c cinq ans, raconte comment elle fut sauvée par tr'emb.ement même. Ede était couchée lorsqu ■ es murs s'ouvrirent, et avec son lit elle fut jete dans la rue sur une charette de foin. Elle n'éta pas blessée. Le directeur de l'observatoire sismologique d que le tremb.ement de terre était deux fois pli grave que celui de Messine en 1908. Tous 1< instruments furent brisés. L'évêque de Sora, qui apprit la catastrophe N a pi es. quitta cette ville ausitôt. A son 'arrivt à Sora il fit ériger un autel sur les ruines et cél bra la messe. Dix mille survivants se rendirei à cet endroit et y écoutèrent la messe. A l'élévation, une nouvelle secousse se pn duisit. L'évêque leva le calice implorant à haui voix la pitié divine. Les assistants répondirei avec des cris d'angoisse. Des témoins déclarent qu'ils n'ont jamais a sisté à une scène aussi tragique.*— Central New UN TELEGRAMME DU ROI ALBERT. PARIS, 16 janvier.—Le roi des Be'ges a tél graphié au roi Victor-Emmanuel pour lui e: nrimer sa sympathie. Il dit qu'il comprend p? les souffrances imméritées de son propre peuph l'étendue de la tristesse du roi et .de la rein d'Italie, et termine en disant: La douleur d l'Italie sera partagée par la nation belge.-Reuter.une lettre du cardina] mercier. Le cardinal Mercier est .un patriote et u apôtre. On communiqué au " XXme Siècle " une ac mirable lettre que le vénéré pré.at a écrite, à 1 date du 14 novembre dernier, et l'autorise en reproduire les passages que voici:— " Ce matin, nous avons chanté, au milieu d'u recucinement profona et d'une très nomb.eus assistance," le "i'e Deum ' pour c.é.ébrer la fête d notre roi. J'ai trouvé une puissance de voi toute juveni.e quano j'ai prononcé le 'Domim saivum fac regem nostrum A.beitum'l Tout . diocèse a été religieusement associé à la fête d jour. " Le samedi, veille de la Toussaint, on a arrêt M. le curé-d'Eppeghem, avec deux paysans de i commiuie, et l'on f.appe ce^e-ci d'une amende d dix miLe francs. Aussitôt, je me suis fait r; mettre, par l'entremise du doyen de Vi.vorcle, u rapport sur les faits et sur les procédés et. j'; a'ors a.Iressé une lettre au gouverneur généra Quelques jours après les trois otages piisonniei étaient remis en liberté. On avait, d'ailleurs, d divers côtés, sollicité leur libération, et il es vraisemb ab e que l'effet heureux est dû à de causes multiples. "Je sollicite pour deux ou trois de nos prêtre belges l'autorisation d'à" 1er exercer leur ministèr auprès de leurs compatriotes, soldats ou civils prisonniers, en Allemagne. L'obtiendra-je ? J l'espère, car ces malheureux sont bien abandor «és, n'ayant pas de prêtre qui parle leur langue. " Comptez sur mon absolu dévouement au chefs de la patrie belge et sur mes humb'e prières. C'est la' seule façon dont je puisse se] vir mon pays." l'impot de guerre a anvers. AMSTERDAM, 16 janvier.—Le " Nieuwe Ro terdamsche Courant" apprend d'Arnhem qu dunpôt de guerre de 50 miiJons qui deva. écho.r vendiedi a été payé par la ville d'Anver: A partir de maintenant toutes .es réquisitions de autorités ai.emandes doivent être payées e argent, et personne ne doit accepter des bons d réquisition. Jeudi dern.er, cependant, des off ciers ont réquiS.tionné des meuoles pour garni leur quartier, et pajèrent en Oons. Les ie.at.ons entre militaires et civils son devenues meilleures. La garnison se compos surtout d'hommes de la Landsturm. De grandes quantités de provisions, sont ai rivées d'Amér.que, et ^es malheureux sont géne reusement secourus par xes comités. Toui.es .e mat.ères brutes ont été saisies par les autorités ce qui fait que toutes les usines et xes ouvrier chôment.—Reuter. UN MINISTRE HOLLANDAIS AU VATICAN " U Secolo " dit apprendre de Rome que, aan un court temps, 4es Pays-Bas enverront ui ministre èxtraorainà.re près du Vatican. La Re.ne a fait exprimer au Pape ses félicita tions pour son élection par ie cardinal vai Rossum. Ce dernier a demandé au Pape s'il agréerai qu'un représentant de son pays fût accrédit auprès de lui. Le Pape a consenti. LES JOURNAUX EN BELGIQUE. Une personnalité arrivée de Belgique assur au " XXe Siècie " que notre .confrère ganto.s, . "Bien Pub.ic," qui avait cru pouvoir reprendr sa publication sous la censure allemande, a enfii compris que c'était là une entreprise impossible pius qu'une gageure. Et, depuis le 1er janvier le " Bien Public " ne paraît pxus. — On annonce de Paris la mort de M. Armant de CaiLavet, le spirituel auteur dramatique au quel le théâtre doit une quarantaine d'étince .antes comédies écrites, pour ia plupart en colla boration avec M. Robert de Fiers. — M. Charles Storms remplace, à'Ja tête di Conseil communal de Saint-Nicolas, l'anciei bourgmestre qui a dû donner sa démission pou motifs de santé. — M. et Mme Louis Barthou, de passage ; Furnes, ont été reçus par le roi Albert 1er, ave< qui l'ancien président du Conseil a eu un lonj entretien. COMMUNIQUES OFFICIELS RUSSES. abus allemand du drapeau blanc. io r ' i BOMBARDEMENT DE TARNOW. r- si PETROCRADE, 16 janvier,—Communiqué of-a ûciel du grand quartier-général :— Dans la nuit du 14 écouié ainsi que hier il y a 3. eu un calme comparatif sur tous les fronts; il J n'y à eu un tir d'infanterie et d'artillerie que sui LZ la rive gauche de ia Vistuie, et surtout sur 1e Sochaczew-Bolimoff. e Sur ce front les Allemands ont continué sans a succès leurs efforts pour reprendre l'offensive. U a été établi qu'à certains endroits les Allemands ont fait usagé du drapeau blanc en vue d'approcher sans encombre nos positions. Le district au nord de la Rawa fut exposé au 5_ feu d'artiLerie lourde. Les Autrichiens bom-e bardèrent également, à l'aide de canons de gros q calibre, notre front de Duyanec; la gare et la ville ,s de Tarnow furent également bombardées le 14 e janvier, mais sans aucun résultat.—Reuter. s QUATRE-VINGTS TRANSPORTS TURCS e COULES. e PARIS, 16 janvier.—Un télégramme de Pétro-e grade dit que les Russes, pomsuivant les^restes e du 10e corps d'armée, ont complètement défait ie it lie corps. On ajoute que l'avance turque à Kara- Urgan a complètement échoué. it Suivant un communiqué de Sébastopol, 1.1 is flotte russe a cou.é quatre-vingts voLiers turcs ss transportant des troupes pour l'armée d'AnatolieJ —Reuter. à ■ ' ■ ■ t manifestations contre la " guerre en autriche. )- ROME, 16 janvier.—Des nouvelles d'Autriche télégraphiées de la frontière décrivent la situation intérieure comme devenant.de pius én plus dan-gereuse par suite du manque de farine. ^ Les ' vivres montent à des prix de famine et le mécontentement est général. Dans tous les grands centres il y a des mani-». festations contre ia guerre, et dans certaines villes e.les prennent le caractère de révoltes, al-,r lant même jusqu'à la construction de barricades. ; 11 y a eu de sérieuses rencontres entre les ré-è voltés, la police et l'armée. Plusieurs personnes c ont été blessées et d'autres ont été arrêtes.— _ Reuter. LES ALLEMANDS EN ITALIE. la guerre en vue ? PARIS, 17 janvier.—Les journaux publient û des té.égrammes de.Rome disant que les ?ujets allemands domiciliés en Italie, et en particulier à 1- Rome, ont été prévenus par ies consulats o'avoir a à se tenir prêts à toutes éventualités. à Us ont reçu la recommandation de garder tout leur or et argent et de se munir de passeports, rj Ceux qu'aucun intérêt particulier ne retient en e* Italie ont reçu ordre de partir au prèmier signal. e Les consuls autrichiens ont fait des recommanda-x tions similaires aux sujets autrichiens.—Reuter. e LA ROUMANIE MOBILISE. J PARIS, 16 janvier.—Le correspondant à Ge- . nève du '"Temps" déclare que les étudiants e roumains des universités suisses ont reçu, par a té.cgramme, ordre de mobiliser.—Central News, e v i SUR LA FRONTIERE AUSTRO-ITALIENNE, i AMSTERDAM, 16 janvier.—On dit que de grandes masses de troupes allemandes de la der-s nière.levée sont concentrées sur la frontière aus-e tro-italienne.—Central News: t 3 les fonctionnaires de ® l'etat et des communes. e Au cours d'une interview qu'il a accordée au • " XXe Siècle," M. Berryer, ministre de l'inté-^ rieur, a fait les déclarations suivantes:— J Les fonctionnaires de l'Etat doivent se con-former aux ordres des administrations dont ils relèvent. Chaque département intéressé a établi et continuera à fixer les règ es qui lui paraissent s'imposer à raison de la durée persistante de l'occupation. En ce qui concerne les employés communaux et provinciaux qui, eux, ne dépendent pas directement de i'Etat, je ne crois pouvoir mieux faire que de vous faire connaître le texte du ». télégramme que j'ai adressé, il v a quelques ^ jours, à un grand nombre d'employés communaux d'Anvers réunis en Ang.eterre. ^ Ces emp.oyés m'ava ent consulté en m'en-1 voyant ie télégramme suivant:— e " Grand nombre employés communaux Anvers ! et faubourgs séjournant en Angleterre, réunis à p ! Londres, sont menacés révocation pour absence. j lis considèrent rentrer les expose à prêter service t I aux envahisseurs et vous prient de ieur faire . savoir si disposition ministérielle relative personnel enseignant é.isant. séjour a l'étranger sans congé ne pourra en aucun cas.entraîner révoca-I tion est étendue aux emp oyés communaux. S'ils " rentrent et révocation maintenue, ils sont privés moyens existence et non autorisés quitter Bel-gique.'.'Je leur ai répondu en ces termes:— "Employés communaux doivent, en principe, se conformer a"ux ordres des administrations eom-^ 1 muna.es dont ils re.èvent. En ie faisant, ils j servent des autorités nationales et non l'occupant. I La loi re.ative à ia stabilité des emplois com-. J munaux permettant recours au Roi en cas de ~ suspension et révocation, le Gouvernement peut avoir à juger en dernier ressort, sur pièces, et ne i oeut en conséquence statuer préventivement par -i une décision générale et absolue sans connaître toutes les circonstances de fait de chaque cas particulier." Ma réponse ne pouvait être différente. U va de soi que si j'impose, en principe, aux ï bourgmestres i'obJgation de demeurer à la tête 3 1 de ,eur commune, sauf des difficultés spécia es i dont je connais des exemples, mais que quelques-i uns seulement peuvent invoquer, la solution ne , ceut être différente pour les fonctionna.res com-t , munaux, leurs auxiliaires indispensables, i Par ailleurs, les administrations communales qui auraient pris des mesures contre des fonctionnaires absents, ne devront pas hésiter à re-L : mettre leurs décisions en question quand elles se trouveront en présence du retour volontaire d'agents désireux d'obéir à leurs ordres de rappel. Tout part; pris de rigueur excessive des administrations communales amènerait fatalement dans 1 l'avenir des révisions de leurs décisions. —^Lo " Berliner Tageblatt " annonce que cinq i officiers anglais, prisonniers de guerre à la forteresse de Magdebourg, ont été envoyés à la pri-; son civile de Magdebourg pour avoir joué au football avec leur ration de pàin noir militaire. LA VIE A ANVERS. une taxe sur les refugies ? DEUX PROTESTATIONS. «T II paraît que, suivant le déplorable exemple de Gand, et à la suite de la querelle des "deux espèces de Belges" fomentée par les agitateurs germaniques, on étudie ;i Anvers .l'imposition ; d'une taxe sur les réfugiés. Il semble que la mesure ne soit pas accueillie avec faveur. Voici, en effet, cc que nous lisons dans le j numéro du 24, décembre de la "Presse" (qui paraît sous la censure allemande), sous le titre ' de " Singulière taxe " :— " Un lecteur nous écrit pour qualifier d'absurde l'idée de frapper d'une taxe quotidienne de cinq francs les chefs do famille ayant quitté leur ville par suite de la guerre, sans préjuûice d'une autre taxe de -Ofr. 50 pour chaque membre de leur famille. " Dans le domaine de la théorie, la qualification d'absurde est, à notre sens, bien indulgente. • "Et- pour ce qui est du domaine des réalisa-\ tions, la. taxe nous paraît essentiellement inapplicable. En effet, ne s'agit-il pas de se procurer des ressources immédiates? Comment donc le fisc communal les croit-il chercher dans la poche... Ides absents ! " Nous n'avons ni à approuver ni à désapprouver ceux qui ont trouvé bon de quitter leur home et continuent à trouver bon d'en rester éloignés. C'est leur droit, et chacun son goût. Mais nous voudrions bien entendre par curiosité les argu-I ments que font valoir les partisans de la taxe spoliatrice ! " Sans doute, il importe que toute la charge des contributions de guerre et des réquisitions ne restp pas exclusivement à ceux qui sont demeurés chez eux. Mais nous ne voyons pas très bien non plus pourquoi elle serait attribuée exclusivement ou en tout cas très supérieurement à ceux qui sont partis. •" Nous considérons la taxe en question comme une iniquité, à moins qu'elle ne soit une utopie, et nous espérons bien qu'elle ne rencontrera aucune faveur au sein des assemblées qui tiennent en main l'administration de notre commune." D'autre part, 1' "Echo Belge," d'Amsterdam, publie cette protestation :— "C'est par un cri de révolte clair, vibrant et cinglant que je voudrais voir accueillir un projet aussi monstrueux. Comment, voilà des Belges qui s'apprêtent à frapper, non pas d'une imposition générale mais bien d'une amende d'exception. toute une catégorie de leurs compatriotes; dont le seûl crime consiste à user d'une liberté que nul ne saurait contester! De quel droit, s'il vous plaît, veut-on me contraindre par la force à 'résider là-bas plutôt qu'ici ou ailleurs, dès lors que je ne lèse personne ? Et, si je ne contreviens à aucune loi de mon pays, de quel droit veut-on me frapper d'une pénalité que^onque? Car, je le répète, il ne s'agit point ici d'une taxeprélevee sur tous, dans l'intérêt de tous,—et, partant, justifiée—mais bien d'une amende, et draconienne encore, arbitrairement et illégalement imposée à cjue'^ues-uns au bénéfice de quelques autres. "Est-ce jusie? " Sans comrter que, de ceux qui se trouvent encore à l'étranger, les tro;s ou arts sont aujourd'hui de ma1 heureux soutenus dans leur détresse par l'Angleterre et par la Hollande avec une générosité admirable, et dont le retour dans 'eur v:lle ne pourrait qu'y augmenter le nombre des affamés se pressant aux abords des soupes gratuites; que, parmi le quart restant, 'a plupart ont, pour ne pas rentrer chez eux, des motifs graves dont ils n'ont de compte à rendre à personne et qui n'en sont, pour cela, pas moins respectables, n'est-ce pas? Quant aux autres, rares, oh ! combien rares sont ceux qui ont pu emporter cle Quoi vivre ici sans de quotidiennes privat'ons! D'une façon générale, on peut dire qu'il n'y en a pas. Et ce sont ces Be'ges-là, n'ayant démérité de personne et dont plusieurs sont dans la p'énurie sinon dans la misère, que d'autres Bc'ges, des Anverspis, des concitoyens, cherchent à frapper? N'est-ce pas monstrueux? "On veut, à l'ipàtigatian des Allemands— dont on fait ici le jeu, à l'appui de leurs protestations hypocrites auprès des nations neutres— forcer tous les Bé'ges" à regagner leur patrie en ruines. Forcer: ah! oue ce mot sent bien cette Germanie, où rien ne se fait que par la contrainte et par la force, où la force prime le droit, comme le proclamait Bismarck! Êst-ce que, par hasard lu contact journalier de l'envahisseur aurait à ce point déteint sur nos compatriotes de la Commission? Déjà!—" LES INCENDIES A MERXEM. PUTTE, 11 janvier.-—Hier soir, vers 5. heures et demie, "Les Huileries Anversoises" (van Gorp et Co) et celles de Martens et Co, de Merxem, furent totalement brûlées. C'est cet incendie qui fit circuler les bruits de " Bruxelles en feu." Les deux usines incendiées sont situées tout près de la fabrique Jurgens. Celle-ci resta intacte. En outre, la briquetterie Anversoise' et 12 maisons avoisinantes devinrent la proie des flammes. UN ARRETE DU "COMMANDANT DU PORT." On commun:que à 1' " Echo belge " d'Amsterdam un ordre signé du " commandant du port," niais notre confrère ne pub ie pas ie nom de ce commandant. Voici l'ordre:— "Il est défendu de .transporter des voyageurs, des lettres, des journaux ou des photographies. Il est interdit de transporter des biens, quels qu'Ls soient, appartenant à des sujets belges, de circuler.avec des pigeons voyageurs. Toute infraction sera sévèrement pun.e et l'équipage entier des bateaux fait prisonnier, si l'on trouve à bord de ceux-ci des voyageurs ou des objets dont le transport est prohibé.—Le commandant du uort." Ce même commandant annonce qu'il frappera d'une amende de 30 à 100 marks ceux qui arboreraient 1e drapeau belge. BANQUIERS BRUXELLOIS DEVALISES. AMSTERDAM, 16 janvier.—Suivant une nou-velle reçue de Bruxelles par le " Teiegraaf " un certain nombre de banquiers bruxèùois ont été arrêtés dans un café où Ls avaient l'habitude u'ef-fectuer des transactions monétaires privées. Tout i'argent en leur possession, soit environ 74,000 marks, fut confisqué par les autorités militaires. Les banquiers furent relâchés plus tard. On dit qu'ils faisaient de bonnes affaires en changeant de la monnaie allemande.—Reuter. LES LETTRES AUX MILITAIRES HOSPITALISES. Les lettres adressées à des militaires hospitalisés en Angleterre et dont les destinataires n'ont du être retrouvés peuvent être.retirées au ûure i.i de la correspondance belge " Wounded ' lli-îs' Relief Committee," Grand Hôtel, Trafalgar-square, S.W. Le bureau se charge également de faire parvenir à destination les lettres adressées aux soldats belges blessés, aux prisonniers en Allemagne ou internés en Hollande et de la correspondance (par carte postale) des soldats pour leur famille. Prière d'adresser les lettres au "Wounded Allies' Relief Committee," Grand Hôtel, Trafalgar-square, S.W., et, si plusieurs lettres doivent être envoyées, de n'en faire qu'un paquet afin de réduire les frais postaux. POUR EMPECHER NOS ENROLEMENTS. la sentence inique de liege. Nous avons annoncé la condamnation aux travaux forcés à perpétuité, par le conseil de Kuerre allemand de Liège, de deux officiers ■elges, le général en retraite Gustave Fivé et le lieutenant Gide. On connaît aujourd'hui les '1 raisons " de cette sentence inique. î Ces officiers belges étaient accusés, d'une part, dfavoir aidé des volontaires belges à franchir la frontière hollandaise pour rejoindre les armées Alliées; d'autre part, d'avoir traoé des cartes représentant les fortifications que. les Allemands •exécutent actuellement dans la vallée de la Meuse. Quand on demanda au général Fivé s'il était vrai qu'il eût aidé 35 volontaires à franchir la frontière, il répondit courageusement: "C'est exact. J'en ai même aidé 350." et il ajouta: "Je demande au conseil de guerre de me condamner'à mort, afin de ne pas être envoyé dans une forteresse allemande." Le général Gustave Fivé a été transporté à Glatz. Quatre civils, poursuivis sous le même chef d'accusation, ont été condamnés à des peines de prison variant de 3 à 5 ans. . Les Allemands déploient les plus grands efforts pour empêcher les enrô.ements de soldats beiges: ils les craignent donc beaucoup? C'est ainsi que la " Gazette de l'Allemagne du Nord " a pub'ié, dans un de ses récents numéros, la dépêche suivante datée de Bruxelles:— " Etant donné les nouvelles tentatives du gouvernement beige pour recruter des Belges et < les incorporer dans son armée, il est bon de ' rappeler une fois encore que par des ordonnances du gouverneur général de Belgique tous les ordres et toutes les dispositions de l'ancien gouvernement belge sont annulés. Ainsi qu'il a été annoncé par voie d'affiches, tout Belge qui essaj'erait de donner suite à une pareille invitation s'expose à un très grave châtiment. S'il réussissait à s'évader, ses proches parents seraient rendus responables de sa conduite." Malgré tout, £'est le devoir imprescriptible de tous les jeunes belges vaiides de rejoindre notre armée et tous les jours nous apportent la preuve que nombreux sont ceux qui le comprennent. Bravo I les belges en angleterre La prochaine réunion des notaires belges aura lieu le mardi 19 janvier à 2 .heures 30, Court of Justice, à Londres. Pour la troisième fois la section anglaise de l'Association de la Presse Belge s'est réunie samedi dernier dans les locaux de l'Institute of Journalists. A côté de questions d'ordre matériel que nos confrères discutent à ces réunions, les journalistes, pius unis encore par l'épreuve commune, trouvent un véritable réconfort à se retrouver dans leur milieu professionnel, à revoir des figures connues, à serrer des mains amies, à faire des projets pour une Be'gique plus grande et plus bel'e oui sera la Patrie de demain. Faut-il dire aussi que la presse anglaise sait ; traiter de façon charmante ceux qui pour ne pas vouloir courber la tête devant l'ennemi commun s'imposèrent un exil pénib1e? C'est ainsi que, ' voici quelques jours, M. Morgan, qui apporte à ! Ta puissante maison Smith and Sons une col ^boration précieuse, groupait au Claridge's Hôte*! les représentants de la Presse Belge et quelques con- , frères anglais. Aux côtés de M. Morgan, qui fut charmant pou- tous les invités, - nous notâmes la présence de: M. le comte de La^ing, ministre de Belcioue î à Londres; M. Fe-bert S.'nue1, ministre à l'Intérieur: M. le ministre d'Etat EmPe VanderveVle, le vicomte Gladstone, M. Edm. Carton de Wiart, j M. Flor Bu"ton, président de la section anglaise ! ''e l'Assoc'ation de la Presse BeTge, MM. Harry ' ; Lawson, Coudurier de Chassaigne, Spender. Sir Claude Macdonald, Herbert Cornish, le dévoué ; secrétaire de l'Institute of Jou.rra7ists. etc., etc. : La fêtre n'ayant aucun caractè-e officiel, il n'y eut pas'de discours, ce nui sut lui donner une • vé'itab'e apparence familiale, et une partie artistique des plus réussies en augmenta le charme. Ce fut une soirée des plus ag-éab'es et, grâce j à M. Morgan, ceux oui y assistèrent parvinrent à ] oublier pour quelnues heures les épreuves d'hier J et les soucis de demain. ] le comite de secours de 1 middelbourg. M. G. Moorrees, président du Comité beige à ] Middelbourg, nous prie d'insérer l'avis suivant:— ' Après la liste par fiches des soldats belges in- ] ternés en Hollande, nous nous occupons de dres- ] ser celle des blessés soignés en Ang'eterre, puis . viendra le tour des prisonniers de guerre en Aile- j ! magne ; nous serons donc bientôt à même de com- j pléter,ces informations d'un si grand intérêt pour < nos compatriotes. Aux demandes de renseigne- É ments on est prié de joindre les timbres néces- < saires pour la réponse, au moins dix centimes 5 par nom, l'excédent alimentera notre caisse de j secours. Nous rappelons que nous nous changeons du transport de lettres en^e la Be'gique, la Hollande, la France, l'Angleterre et vice-versa, sans garanties et mo; eymant. fl 0.75 par lettre pour la Be'gique et fl 0 25 pour 'es autres pays. Nous transportons gratuitement pour les soldats belges, soit internés, soit au front. ' ( la circulaire du gouverneur. ROTTERDAM, 13 janvier.—Voici le texte d'une circulaire que le général baron von B'ssing vient d'adresser à tous les prêtres de l'archevêché de Malines:— Bruxelles, 7 janvier 1915. A tous les religieux de l'évêclié de Malines. Le cardinal Mercier m'a déclaré verbalement et par écrit, à la suite de mes observations relatives à l'influence exc'tatrice et inquiétante de -sa pastorale sur la population, qu'il n'avait pas ^ eu, en l'écrivant, de pareil'e intention et n'avait i ras prévu- de te s effets. Au contraire, il a insisté précisément sur ^a nécessité où se trouve placée la population, d'obéir à 'a puissance qui j occupe le pays, a ors même qu'un patriote be'ge s pourrait se sentir intérieurement en opposition avec le gouvernement al'emand. Toutefois, si je venais à craindre les effets irri- -tants de la pastorale, le cardinal n'insisterait pas auprès des eccléa'astiques de son diocèse pour ue lecture en soit donnée, ainsi qu'il avait été prévu dans 'e dernier paragraphe de la dite pastorale, les dimanches suivants; ni pour que la \ liffusion de cet écrit soit prolongée. Ceci étant, je renouvelle la defense du 2 jan- " ver dernier, au sujet de la lecture et de la -diffusion de la pastorale. Je signale au clergé " nu'il contreviendra aux intentions écrites du car- -dinal, s'il ne se conforme pas à cette interdiction ,r donnée par mois. J: Freiherr von Bissing, r gouverneur de Belgique. ^ Tous les ecclésiastiques du diocèse de Malines r doivent signer cette interdiction pour reconnaître l qu'ils en-ont pris connaissance. I le touring club de belgique et le roi albert M. Séaut, président du Touring Club de Bel-jique, vient "d'envoyer au roi Albert, l'adresse suivante :— • Bruxelles, le 31 décembre 191d. A Sa Majesté le Roi des Belges, Président d'Honneur du Touring Club de Belgique. Sire,—Chaque année à pareille époque, en remettant à son auguste Président d'Honneur sa :arte de "sociétaire," le Touring Club de Belgique Lui exprime les souhaits qu'il fonne à son Igard et à l'égard de la famille Royale. Cette [innée les événements tragiques dont la patrie l>elge est la principale victime donnent à notre manifestation un' caractère particulièrement solennel. Vers ce petit coin de terre, vers ce dernier lambeau du territoire national où Votre Majesté reste héroïquement à la tête de son héroïque armée les voeux vont, en ce moment, tacites ou exprimés, affluer, et cela non seulement des autres parties du pays, non seu.ement des différentes montrées amies où des exilés belges souffrent et attendent, mais encore de tous les pays du monde dû les règles et les actes de l'honneur sont les unes respectées, les seconds admirés. En cette ipproche d'année nouvelle tous voudront affirmer eur attachement profond, manifester leur estime it leur approbation à Celui qui, dès les premièrs instants du danger, a su si nob.ement synthétiser L'esprit belge et solidariser si résolument son sort avec celui de son peuple. Si notre Belgique s'est montrée au monde entier en une attitude ligne de celle qu'on prête aux héros des temps intiques, on peut dire que Votre Majesté, ?ux /eux de tous, par sa- conduite, en a fait Une incarnation vivante. Nous sommes, fiers de voir notre patrie si iiautement personnifiée. La Belgique et son Roi >nt- fait ce qu'ils devaient, en acceptant stoïquement toutes les conséquences de leur action ; ils pnt rejeté avec dédain ce qu'ils ne pouviicnt faire sans forfaire à l'honneur. Jamais aucune /oix, sans s'avilir, n'osera nous reprocher dirent 2-ment ce douloureux accomplissement du levoir. Notre Reine bien aimée a montré qu'elle vou lait être inséparablement associée à la destiaée :1e son Epoux et de son pays d'adoption, :;ban-ionnant sans hésiter les joies si chères du "oyer oour aller, près des champs de bataille, consoler, réconforter, encourager, soigner. Les cœurs i>elges, qui lui étaient déjà acquis de longue date, ni ont vivement ressenti que se nouaient encore pius étroits les liens qui les rattachaient à leur jeune souveraine. Ils concentrent et reportent, l'autre part, une partie de leurs sentiments sur es trois jeunes princes, esnoir de la nation, dont .'enfance aura vu de si dignes exemples. C'est dans ces pensées, Sire, que le Touring 31ub de Belgique exprime par ma voix à VoUe Majesté, a Sa Majesté la Reine, à la famille Royale, ses respectueux souhaits et ses sentiments l'inaltérable attachement. Le Président, E. Se a ut. pour les belges sans travail. Des arrangements ont été pria par le gouvernement brîlar». •iquo poïir >;E»Jiieer l'émploi des Belges dans l'inductrio iritanniriue par l'intermédiaire -J-?s bouiees di travail du 3oard of Trade, et il est essentiel, dans l'intérêt inème do i<« compatriotes, quo les Belges ne l'adressent pa« k d'autres ntermédiaires. Le Board of Trado a entrepris d'obtenir pour les ouvric:-! >u ouvrières belles cui ch renent de l'ouviage, de.- falair s t des conditions de travail, pour lo moins au.->si <ivantaseusc^ lue celles offertes pair de bons patrons aux ouvriers anglai*. Nous avons conclu un acoord avec le Board oi Trado, pr equel nous serons informés à des intervalles réguliérs d-< jranches dans lesquelles il y a des offres d'emploi pourvaut :tre_ acceptées par les Belges. Nous sommes _ en mesure de publier ci-dessous uns HOMMES. our mach. à décolleter. Voor mach à decolleter. our tours à revolver. Voor re.'clrerdiaaibanken. our mach. à rectifier Voor Slypmachienen. our mach. à fraiser. Voor fraiseermachienen. our étaux limeurs. Voor kleinschaa.machieucBi our mach. 'à mortaiser. Voor heekmacmenen. our mach. à raboter. Voor schaafmachienen. our mach. â percer. Voor booimachieueu. our tourneurs. Voor diaaiers. our tôlieio. Voor blikslagers. our monteurs. Voor monteurs. our fondeurs de bronze. Voor kopelgictère. our fo.garons de toutes Voor smeders van aile catégories. poorten. our outillaurs. Voor gerieimakera. our armuriers. Voor Keweemakeiv. our vanniers. Voor mandenmakers. . our vanniers. Voor fyne mandenmakeri our cordiere. Voor touwslagers. our travailleurs en cuirs. Voor lederwoikoi.s. our ajusteurs pour matrices. Vcor matricemàkers. our toutes catégories do tra- Voor wohvcrkcns vau allft railleurs en laines. scoru.n. our la bonneterie. Voor breigoedwerlc. our chausoure§ pr. hommes. Voor schoenmakers Toor manncD. . our la brosserie. Voor borstelmakers. our travailleurs en speltor. Voor spelterwerkers. our d«s instruments scieu- V«oor wetensehappclyke t-inques. apparaatroakoi*. our rcrrcrics. Voor Glaswerk van all« soorien. I'MI.iim, • .outes catégories de travail- VVolwerkstcrs van aile leurs en laines. soorten. a bro serie. Voor borstelmaaksters. 'our la bonneterie, Voor breigoedwerk. Tout Belge qui est en état d'accepter et désire obtenir de ouvrage dans une do ces bianchos peut l'adresser au Labour Cxchange, Catherine-etreet, Strand (1er étage), eu vue d'y ournir tous les détails au sujet de &cs capacités. Les iemmw loivent s'adresser â la bouree de travail à Greal Marlborcuch-treet W. Nous croyons savoir qu« des arrangements spéciaux ont té pris à Earl's Court, à l'AJexandra Palace Skatmg Rink, et u camp d'Edmonton, pour les Belges résidant dans cc« entres, et qu'ils peuvent s'y adresser pour y fournir les enseignements nécessaires au sujet do lours capacités. LE LIVRE D'ADRUSSES DES EXILÉi. . 9 pence a ligne —Joindre ie montant aax ordres, e.r.a [1ASENAVE (Ant.-Const.), Biigadier au 2e ex- L/ 22e Rgt. de Dragons français, bitsoê ie 20 octobre au ombat de Stadonboiç (Belgique), laissé sur le champ do lataille et relové par les Allemands, est recherché par E. de Artior. Belgian Légation, 15,_West_Halk.n^ircet, London. BEZERiE cherche Alphonse Bézerie, I. • Charles Laroche, Alfred Liénart.—Prière écrire Banquo Jongo Belge, 18, Leadenhall-slreet, Londres. RENE, ALICE, bien arrivés bonnes nouvelles —Gaston. ££OULA bien ariivée. VEUVE DONNAY, d'Anvers, rempt. du Kiel 12 désirs nouv. de son 01s Jules, vu en dernier lieu â étende.—Adresso Convent, Launcestou. A VIS AUX REFUGIES.—N'envoyez des corre- 7JL pondances, parquets, sommes d'argent, etc.; ne .aites enir des personnes do BJgii^ue, qui par l'intermédiare 'une maison pouvant voila oîfnr des ré.érences et garanties éellement sérieuses. Ancienne Maison A. Sersti et Cie, E. Kenaux suer., 8, Little St. Andrew-st., London, w.c., cuvent vou le: fournir; so chargent do toutes ces oommis-ions à des prix réellement modérés. Nous avons l'honneur d'aviser notre clientèle que notre rochain dépa:t pour toute la Belgique 6e fera irrérocable-ient le 25 courant. ÏZ ÎNGSWAY THEATRE. Tel., Ger. 4032. 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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres gehört zu der Kategorie Oorlogspers, veröffentlicht in Londres von 1914 bis 1919.

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