La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1917, 05 Dezember. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Konsultiert 17 Mai 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/st7dr2qf10/4
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LA MÉTROPOLE IONEiPENNY JJOST : CISQ CENT1HB gOLLAIIDE : VUF CENT MST1NEHT : DIX CEBTIMM PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES lurcaut ! 43. CKtncerv L»n». W r, 9 — T#!»nKnnf. ! HnlKnrn ABONNEMENTS 1 mois 3 sh. ; 3 mois, 9 sb. 24m» ANNEE MERCREDI 5 DECEMBRE 1917 No. 339 LA GRANDE GUERRE 1 Nouvelles attaques à Cambrai ■préparatifs ennemis sur le front italien La "plus grande" Ukraine L'ennemi ne s'est pas tenu pour dit devant Cambrai ! Une première tentative de frapper un grand coup à la ligne britannique en essayant d'effectuer deux grandes brèches au nord et .au sud-est du saillant, n'ayant pas réussi, l'ennemi est revenu à la -charge. Et il semble par l'emploi de troupes de choix, fraîches4 et sélectionnées, parmi les stosstruppen, qu'il soit décidé à obtenir, coûte que coûte, le résultat qu'il cherche. Mais, il a à faire à forte partie, car sur toute la ligne de Gonnelieu à Marcoing, ses plus fortes attaques ont été repoussées. "Toutes les positions ont été maintenues, dit le communiqué officiel britannique, excepté à La Vacquerie — à peu près à mi-chemin de Gonnelieu à Marcoing — et à l'est de la dernière ville où la ligne britannique a été légèrement ramenée en arrière. A un moment donné, il sembla que l'ennemi avait trouvé ce qu'il cherchait, car il avait réussi à se trouer un passage au sud de Marcoing; mais le général Byng veillait au grain et une contre-attaque immédiate rétablit la situation. L'expert militaire français, parlant de la situation au sud de Cambrai, écrit qu'après la bataille d'une obstination inouie qui a • eu lieu devant Cambrai, et qui n'a donné aucun résultat positif pour la deuxième armée allemande, un calme relatif s'était établi dans la soirée de dimanche. Von Mar-witz, épuisé par les dix attaques successives qu'il avait lancées la veille dans cette région, n'a plus attaqué si ce rî'est à un seul point, au sud de Mœuvres, où il fut repoussé. Dans la région de Bourlon, il perdit même des prisonniers et du matériel de guerre. Mais pendant la journée de lundi, les combats reprirent avec une violence redoublée. L'ennemi attaqua avec . des forces considérables les positions britanniques, au sud de Cambrai, entre Marcoing et Gonnelieu. Il fut repoussé dans toute la zone d'attaque, tout en faisant de fortes pertes, Néanmoins, il réussit à prendre pied dans quelques éléments avancés à l'est de Marcoing et à la ferme de La Vacquerie. L'obstination extraordinaire que l'ennemi a montrée dans cette région en vue de regagner le terrain perdu, montre l'importance qu'il y attache. En tout cas, nos alliés britanniques défendent leurs gains, pied à pied, avec leur ténacité habituelle. Sur le front français, il n'y a eu que des opérations de nature secondaire. Sur le front italien, suivant le commu-niqué du grand quartier général, il se fait "ne concentration de forces ennemies sur le plateau d'Asiago à l'extrémité des montagnes dans la direction de la plaine, Mtre la Brenta et la Piave. Sans aucun doute,les Austro-Allemands se préparent i tourner l'aile gauche italienne dans le secteur qui est le pivot de résistance de leur ligne. Mais le mouvement a été prévu depuis trop longtemps pour ne pas «re paré à temps avec l'aide des renforts tançais et britanniques. A juger de la violence de la préparation l'artillerie, l'ennemi semble persister fans son plan de descendre le long des "allées qui, du plateau des Sept-Commu-"w, conduisent à Vicenza, ou de conqué-r|r le crête montagneuse à l'ouest de la Wave, qui descend vers le village de Pe-krobba d'où il pourra attaquer le Mont "frappa par l'arrière, obligeant les Ita-llens à se retirer de là, ce qui signifierait 'ouverture de la route vers Bassano et * Mont Belluna. En cas de réussite de 'un ou de l'autre de ces plans, la ligne k la Piave deviendrait, évidemment, intenable.Des >risonniers autrichiens déclarent j l'ennemi continue à recevoir des ren-°rts considérables du front russe et une Me de ces troupes doit déjà être ar-"'rée dans la plaine, entre le Tagliamen-^ et la Piave; en effet, des points d'ob-trvation dans la ligne italienne, on peut suivre les efforts de l'ennemi pour camoufler les routes à l'aide de couvertures de paille et de claies, dans le but évident de cacher les mouvements de troupes et l'arrivée de renforts. On rapporte d'autre part que l'ennemi a distribué à ses troupes des rations de cinq jours, ce qui fait croire que "l'attaque est imminente. Dans les milieux roumains de Paris, on n'attache aucune créance aux bruits qui ont été répandus au sujet de prétendues négociations par la Roumanie en vue d'une paix séparée, ni au démenti qu'à donné von Kuhlmann. On croit que toute cette légende a été préparée au ministère des Affaires étrangères allemand et qu'elle n'est que la répétition d'une manœuvre similaire dont Berlin a fait usage il y a quelques mois, après la retraite russe en Galicie et en Bukovine. L'éventualité des négociations entre les maximalistes et le gouvernement allemand a été prévue par les Roumains et | ceux-ci se rendent compte que de pareilles négociations doivent mettre en évidence la question de la situation spéciale de l'armée roumaine, mais on prétend que même si ces négociations sont suivies d'un résultat favorable pour l'Allemagne, l'attitude de la Roumanie, qui a été définie par son adhésion au pacte de Londres, ne peut être affectée. Cette situation spéciale, rendue encore plus délicate par l'occupation russe d'une partie du front roumain a fait probablement l'objet des délibérations de la Conférence interalliée de Paris. Nous avons annoncé, il y a quelques jours, que le Rada (ou conseil suprême) de l'Ukraine avait, par un décret, proclamé la république de l'Ukraine et que cette décision devait être ratifiée par l'Assemblée constituante. Au cours d'une séance de la Rada, un membre socialiste-révolutionnaire a fait adopter un vote déclarant que la Rada serait l'autorité suprême dans tous les territoires habités par la majorité ukrainienne. Cela signifie quç même les gouvernements de Kherson, Ekaterinoslav, Kharkov, Tou-ride et Cholm, ainsi que des parties des gouvernements de Varonesh et Kursk, formeront une part de la nouvelle république, qui s'étendra ainsi jusqu'à la mer Noire, Odessa et la Crimée et à l'est jusqu'à la province du Don. Le Comité exécutif de la section maritime du troisième congrès militaire a fait un rapport au sujet de l'ukrainisation de la flotte de la mer Noire et de l'organisation du territoire ukrainien le long de la mer Noire. Tous les soldats ukrainiens ont quitté le front russe et sont rentrés chez eux. Les communiqués officiels allemands signalent que des armistices locaux ont été établis à de nombreux points du front russe. Le prince Léopold de Bavière, généralissime allemand des armées du sud-ouest s'est déclaré prêt à entrer immédiatement en pourparlers. La réunion des plénipotentiaires avait~été fixée au 3 décembre, mais le résultat de ces délibérations n'est pas encore connu. Des journaux de Pétrograde annoncent que Lénine est sur le point de libérer tous les prisonniers de guerre et que des soldats allemands en uniforme se promènent déjà dans les rues de Pétrograde.o—o L'Allemagne doit rétablir ses relations économiques Les Dernières Nouvelles de Munich publient un long article du professeur Foerster en réponse à la conférence faite à Munich par l'amiral von Tirpitz sur la nécessité des annexions. M. Foerster déclare que, même si l'Allemagne, après des années de guerre, finissait par garder la Belgique, même si elle occupait la Russie et toute l'Italie, ces avantages ne serviraient à rien, car l'Allemagne a le besoin urgent de rétablir ses relations économiques. Les Belges en Afrique allemande La part des Belges Londres, 3 décembre.— Communiqué officiel du War Office : Télégraphiant le 1er décembre, le général Vandeventer rapporte que des reconnaissances ont définitivement établi le fait que l'Afrique Orientale allemande a été complètement nettoyée de l'ennemi. Ainsi, la dernière des possessions allemandes d'outre-mer a passé dans son entier entre nos mains et entre celles de nos alliés belges. Seule une petite force allemande continue maintenant à exister. Elle s'est réfugiée dans le territoire portugais voisin, et des mesures sont prises pour en venir à bout là. Les effectifs totaux de l'ennemi qu'on sait définitivement avoir été tués ou capturés pendant le seul mois de novembre s'élèvent à : 1.115 Allemands européens et 3.382 soldats indigènes sans compter les porteurs et les partisans. En outre, le matériel suivant a été, ou capturé par nous ou détruit par l'ennemi. 2 canons navals de 10 cm. 1 obusier de campagne de 10 cm. 1 canon de 70 mm. 1 canon de 60 mm. I canon de 37 mm. Environ 73 mitrailleuses et plusieurs milliers de fusils. II résulte de ce communiqué que le général von Lettow-Verbeck, avec environ deux mille fusils, a traversé la Rovuma et que les patrouilles portugaises n'ont pu l'empêcher de traverser le fleuve. Cette éventualité était toujours à craindre, mais elle n'empêche pas que l'Afrique orientale allemande soit maintenant complètement conquise par les Anglo-Belges. On connaît la part brillante prise par nos compatriotes à cette conquête. A-près plus d'un an, nos admirables troupes coloniales prirent l'offensive au début de 1916, sous les ordres du général Tombeur et, après avoir occupé les rives du Tanganyika jusqu'aux environs de Bismarkburg, ils prenaient Tabora le 19 septembre, réalisant ainsi La conquête de plus de 200.000 kilomètres carrés de territoire ennemi. Enfin, au mois d'août dernier, répondant à un nouvel appel de nos amis britanniques, les Belges prenaient de nouveau l'offensive et, le 9 octobre, sous les ordres du lieutenant-colonel Huyghe, ils enlevaient de haute lutte la place forte de Mahenge qui provoqua le 27 novembre le reddition de plus de la moitié de l'armée coloniale allemande sous les ordres du colonel Tafel. L'Allemagne est ainsi complètement privée de colonies. Sa défaite outre-mer à laquelle les Belges ont si énergique-ment collaboré est l'avanteoureur de sa défaite en Europe. o—o Le ravitaillement de la Belgique Un aveu allemand Les journaux allemands publient "une dépêche de l'Agence Wolff, relative au ravitaillement des territoires occupés de la Belgique et du nord de la France, dans laquelle on tente d'excuser le coulage par les sous-marins allemands, des navires de la Commission for Relief in Belgiuiti. Du 1er février au 1er octobre 1917, le port de Rotterdam a reçu, à destination de la C.R.B. 400.000 tonnes de vivres; mais, en le même laps de temps 250.000 tonnes furent envoyés au fond de l'océan par les pirates de Guillaume il. Le télégramme Wolff ne nie pas le fait ; il se borne à dire que, s'il en fut ainsi, c'est la faute de la C.R.B. dont les vaisseaux se sont aventurés dans la zone bloquée par l'Allemagne. Il est donc établi que dix millions d'habitants des territoires occupés sont affamés par la volonté des Allemands. Pour leur bon plaisir, des milliers de pauvres êtres innocents ont succombé et succomberont à la tuberculose et aux autres affections pour lesquelles leur corps débilité est devenu une proie facile. La destruction des cargos de la C.R.B. est d'autant moins justifiée que ces vaisseaux naviguent sous pavillon spécial et avec des signes distinctifs particuliers et qu'ils ne tentent point de dissimuler leur présence et d'échapper aux investigations des belligérants. o—o Les monarchistes polonais veulent le duc d'Aoste pour roi Dans les feuilles volantes distribuées ces derniers temps à Varsovie, les monarchistes appartenant au club des partis proposent le duc d'Aoste, frère de Victor-Emmanuel, comme candidat au trône du royaume de Pologne. Cette candidature est motivée par les qualités chevaleresques du duc, ainsi que par le9 sympathies traditionnelles polono-italien-nes. L'activisme en Belgique "Petit Wolff, petit Wolff" Les propagandistes "aktivistes" flamingants, stipendiés par le département politique de Berlin, ont tenu récemment, sous la protection des baïonnettes prussiennes et avec le concours d'éléments tlouteux recrutés dans le pays pour la circonstance, une séance publique dans un théâtre de Bruxelles. Au cours de cette assemblée, les "aktivistes" ont poussé l'inconscience jusqu'à proclamer, dans un grotesque ordre du jour, la déchéance du gouvernement belge. Un journal républicain allemand, bihebdomadaire, Die Freie -Zeitung, paraissant à Berne, publie à ce propos (21 novembre 1917) une lettre d'un Flamand, dont voici la traduction : Dans le Bund du 14 courant, l'Agence Wolff annonce que, à Bruxelles, une manifestation de 3.000 Flamands a eu lieu, au cours de laquelle on aurait protesté contre le gouvernement belge; nos Flamands l'ont renversé. Je suis Flamand et fier de l'être. J'interviens au nom de milliers de Flamands qui parlent leur Hangue maternelle avec fierté et qui aiment et en entretiennent pieusement le génie. Nous protestons hautement contre cette manifestation si, en réalité, elle s'est produite, ce qu'avec raison nous mettons en doute. Si nous avons avec élan réclamé les droits flamands (das Flamentum), nous n'avons jamais considéré le gouvernement belge comme un ennemi de notre idéal ; nous avons réclamé et salué son concours. Le Flamand ne peut se faire une idée du vasselage (Knechtschaft) que lorsqu'il vit en Allemagne. Peut-être Wolff ne ressent-il pas ce vasselage, parce qu'il n'a jamais appris à connaître la liberté. Le gouvernement belge est un gouvernement parlementaire et si nous, Belges, nous avions quelque reproche à lui faire, nous devrions alors nous en prendre à notre propre nation. On ne peut en dire autant de l'Allemagne. Nous savons que la plupart des Allemands réclament la paix à n'importe quel prix; mais à quoi cela peut-il servir? À rien ! Et pourquoi ? Parce que le peuple allemand n'a rien, absolument rien à dire. Cela est-il la liberté ! Le gouvernement allemand autoriserait-il une manifestation de la nation belge? Jamais. Qui, dès lors, a commandé la manifestation? Petit Wolff, petit Wolff!... G. G. o—o Le Noël des petits pauvres d'Anvers Physiologiquement, nos enfants se meurent de faim. Dr. SCHUYTEN. Chef du Service pédologique de la ville d'Anvers. Les sommes recueillies seront réparties entre les enfants pauvres d'Anvers, sans aucune distinction de parti ou de religion. Report £ 133 1 3 Fr. 210 M. Osterrieth and Co. ... 500 J. Verstraeten Pasquier, South- port 10 o C. Rabau de Roriff ... ... 30 Mme Vanden Eede ... ... 26 Mlle François ... ... 1 o Mlle Gysbrechts ... ... 10 Un (ancien lino d'Anvers ... 16 Mme O. Deschamps ... 26 Sir Edouard ... ... 26 Total £ 139 4 9 Fr. 210 Une erreur de composition avait indiqué 5 sh. comme souscription de l'Union d'Agence et de commission d'Anvers. Cette société, comme on aura pu le constater par le montant de la liste, nous avait envové un don généreux de £5. —-o—o La prochaine session du Reichstag Le Lokal Anzeiger apprend que la prochaine réunion du Reichstag a encore été différée. Elle est fixée au 2.9 novembre. Les milieux gouvernementaux ont pris cette décision à la suite-des événements d'Italie et de Russie, dont on veut connaître la tournure définitivement avant la session. Le chancelier fera un exposé de la politique \ intérieure et extérieure. Des motions concernant la situation économique de l'après-guerre, contre l'impôt sur le charbon, concernant des modifications de la Constitution seront également discutées. Enfin, une fois de plus, la situation de l'Alsace-Lorraine doit être examinée surtout par rapport aux lois d'exception appliquées au pays d'Empire. En attendant, plusieurs milliers d'Alsaciens-Lorrains internés à Holzminden et Hildes-heim, en raison de leurs sentiments, en subissent impitoyablement les rigueurs. La reconstruction de la Belgique 1 Une série de projets Les Belges vivant en territoire occupé ne se bornent pas à attendre, passivement, l'heure de la délivrance. Ils travaillent, depuis longtemps déjà, dans la mesure où la tyrannie allemande leur en laisse la liberté, au relèvement économique du pays. Impuissants à appeler à la vie de nouvelles entreprises, puisque l'envahisseur s'applique même à détruire les usines anciennes, ils se voient réduits à mettre à l'étude dès projets qu'ils réaliseront dès que l'ennemi aura cédé la place. Une revue belge traitant les questions de technique et d'industrie, La Chronique des Travaux publics de Bruxelles, se faisant l'écho des vœux exprimés par ceux qui prennent intérêt au problème du rééquipement économique de la patrie, énumérait, dans un récent numéro, la liste de quelques travaux d'intérêt public qui, dès à présent, font l'objet des préoccupations des autorités belges compétentes. Voici cette liste, remarquable par_ sa longueur, par l'audace des travaux projetés et par leur importance. D'après la Chronique des Travaux publics, ces travaux se justifient par des nécessités nationales et locales indiscutables : 1) Construction d'une route directe de Bruxelles à Anvers, par Neder-over-Heembeek, Willebroeck et Boom. 2) Le triangle Bruxelles-Louvain-Wavre est mal desservi dans l'orientation de Jodoi-gne-Liége. Nous proposons, pour remédier à cette situation et établir une jonction directe entre Liège et Bruxelles, la construction d'une grande route moderne, depuis les Quatre-Bras de l'avenue Tervueren jusque Hamme-Mille, carrefour important. 3) Suppression des passages à niveau : a) De Laeken, avenue de la Reine, déplacement de la gare et variante contournant l'église; b) de Berchem-Sainte-Agathe et rectification et élargissement de la route de Gand entre Alost et Bruxelles ; de la rue Belliard, abaissement de la voie ferrée entre la gare Rogier et le quartier Léopold, suppression des arrêts de la chaussée de Louvain et de la rue de la Loi. 4) Construction d'un tronçon de grande route de Hannut à Hollogne-sur-Geer, par Abolens. (Variante directe vers Limont.) 5) Prolongement du chemin de fer de Tervueren, depuis Wesembeek jusque Lo-venjoul, en passant à Vossem, Leedael et Héverlé, ligne directe de Liège. 6) Boucle Bruxelles - Louvain -Tirlemont. Waremme - Liège - Seraing - Engis - Hannut - Jodoigne - Homme-Mille - Bruxelles. A cette fin, construction d'un chemin de fer à double voie d'Etterbeek à la Meuse, en pàssànt à Overyssche, Hamme-Mille, Jodoigne, Hannut, Engis et variante de raccordement du rail à Esneux. 7) Raccordement direct de la gare de Bruxelles-Ouest à la ligne de Gand, entre Berchem-Sainte-Agathe et Ternath. 8) Construction d'un chemin de fer direct à quatre voies, de Schaerbeek à Anvers-Sud, rive gauche du canal, passant à Humbeek, Capelle-au-Bois, Willebroeck, Boom. A cette fin, construction d'un pont fixe sur le canal, entre Neder-over-Heembeck et Vil-vorde.9) Rectification du cours du Démer et sa transformation en voie maritime; idem de la Dyle et de la Gethe, au plus loin possible. 10) Eventuellement, dérivation directe de la Meuse vers le Démer rectifié, de manière à faire de Liège un port intérieur important, en liaison directe avec Anvers. Cette hypothèse fait du Démer une grande voie navigable desservant Liège, le bassin houiller du Limbourg et l'intérieur du pays. 11) Rectification de l'Escaut entre Gand et Tamise, dérivation par le Leede Beek et Lokeren. 12) Travaux de reboisement des forêts et de terrains spécialement acquis à cet effet par l'Etat. 13) Création d'une avenue de la Marine, de la place Rogier à Bruxelles, angle de la rue du Progrès, jusqu'au bassin Vergote, établissements Delhaize. 14) Création d'une avenue, de la place Rogier, angle de la rue du Brabant, jusqu'à 1 église Sainte-Marie, place de la Reine. La jeune promotion aux Etats-Unis Trois mille élèves-officiers du camp d'entraînement de Plattsburg ont été reçus comme officiers et nommés aux grades de sous-lieutenants à capitaines. Un oertain nombre d'entre eux seront envoyés immédiatement en France pour y compléter leur instruction. Le département de la Guerre attribue les résultats satisfaisants obtenus aux efforts des officiers français et anglais détachés comme instructeurs au camp. Les habitants d'Aland veulent être réunis à la Suède Le journal suédois Svenska Morgenbladet publie une adresse de la population des îles Aland exprimant le désir qu'après la guerre les îles soient réunies à la Suède.

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres gehört zu der Kategorie Oorlogspers, veröffentlicht in Londres von 1914 bis 1919.

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