La Métropole

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s.n. 1914, 23 Juni. La Métropole. Konsultiert 30 Juni 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/m901z42w57/
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LA MÉTROPOLE AJBOIV1V1T. TVnTiTVTTa Ut #&.*••••#•••••••&. 15 — Six malt a ••••••••• &> & —■ 21e Année * trou moi». & *w y Ou ('abonna 4 tooJ le» boreanx de potte e( aux lacteur». No 173 ETRANGER, le port en sus: iy.ri ition J=S poui 1a HOLLàNDE. s'abonner de préférence aux bureaux de poste, plutôt qu'au îournal même. Le numéro Journal quotidien du matin le numéro ^ Tous les jours 59.ruedes Peignes, Anvers Le dimanche ^ ds 4 à 10 Administration: » 3519 de 10 à 16 CENTIMES pages Rédaction : Téléphone 617 | pages CENTIMES Annonces : la petite Chronique sportive la ligne ligne fr. 0 30 fr. 3 00 Annonces financ.lcL » I 00 Faits divers fin lcL » 2 00 Réclames la ligne, » I 50 La Ville id. » 5 00 Faits divers corps id. » 3 00 Emissions Prix à convenir jVlûru! Pour toute la publicité, sauf celle de la province d'Anvers, s'adresser à VAGENCE IiAVAS : 11 lOli à BRUXELLES : 8, place des Martyrs. lô JUin lyI4 & PARIS : 8, place de la Bourse. à LONDRES : ti3 Cheapside E. C. Causerie littérair Les plus beaux livres parus ce m< semblent accuser un réel souci religieu Félicitons-nous-en. Ils en prennent u plus haute dignité avec une plus gran portée. Déjà M. Victor Giraud dans s « Maîtres de l'heure » nous signalait cet renaissance du catholicisme dans la 1 té rature d'aujourd'hui. Les événemer viennent lui donner encore raison, c'est pas la première fois. Parlons d'abord de la critique, pai qu'elle est maîtresse en littérature, au à cause de l'importance de l'œuvre qu'e nous offre aujourd'hui. En tête de la belle préface où il p ©ente le dernier livre de M. Eugène G bert « France et Belgique », M. René I lin écrit: TJn des signes du temps prient, o'< l'abaissement des diverses magistratures, le plioment devant l'insolence ou la mode. Ml ont peu de caractère. Il en faut pouir et le serviteur d'un principe ou d une règle pour s'effaoer devant eux. Chacun prétfè juger selon son humeur et son goût, s'en i mettre au sentiment du soin dje décider ' •procès et ne pas se souvenir qu'il y a des 1 lorsqu'elles gênent la puissance ou la can raderie.. Voilà pourquoi nous avons si p de critiques et tant de fabricants de réaLaa et d'articles perfides et tant de variatk musicales sur des thèmes littéraires... foût tout seul ne suffit pas. Il a besoin a.ppud de belles idées claires qu'on découd derrière lui et qui lui donnent leur nobles Je viens de dire ainsi pourquoi l'œin d'Eugène Gilbert m'apparaît comme,/ u ceuvre supérieure et durable... Et, ayant montré la rare puissancpl téraire et morale de cette œuvre, et aya Constaté, après M. Georges Virrès, q eans doute l'auteur de « France et Belj que » a des ennemis et des envieux, 1' lustre écrivain conclut: Que peuvent-ils contre une œuvre d'ar Et vos livres en sont une. Vous verrez ( jalousies et ces inimitiés disparaître, ou taire, ou se rallier. Cependant vous vivn vous durerez. Votre œuvre continuera faire justice, de faire du bien, d'enseigner, montrer la route aux jeunes, d'être aim chez vous et chez nous. Comment rtiieux dire? Et sous une tel plume que de tels éloges prennent ■ poids ! En ce deuxième volume d'essais de critique, M. Eugène Gilbert a réu les meilleurs de ses articles, qui sont ég le-ment lus en France et en Belgique, où, presque chaque semaine il juge 1 hommes et les œuvres de son temps. ( y voit peints, en pleine vie et en pie Art, les romanciers traditionnsuidâtes fra. mis: Paul Acker, Paul Bourget, Barré î(wié Bazin, Henry Bordeaux; les romai ûiers régionalisas belges: MM. Carton ( Wiart, Henri Davignon, Georges Virrè Albert Mockel; les poètes Adolphe Hard Pierre Nothomb; les essayistes, le prin de Lignie, Firmin Van den Bosch, la cor tesse van den Steen de Jehay, etc. Ch cun dj oes chapitres est une étude ou ui monographie qui paraît définitive. Apr l'avoir lu, on connaît l'auteur étudié, < on connaît son œuvre. On admire enfin ioritique qui pour les faire connaître bu allier tant d'art et une si granc ecienoe à une si parfaite simplicité. * * * Voici un charmant petit livre né sur h bords sinueux de l'Ourthe.« qui roule s< eaux d'argent mat sous la lumière tam sée du soleil ». M. J. Bierné a écrit se livre « En cheminant ». Il a vu beaucou de choses et de gens dans son chemin « il nous fait profiter de ce qu'il a vu, < il nous présente ceux qu'il a rencontre Quelques-uns de ces contes « La carrièi d'Hippolyte Plumedoie», « Ma Chaise sont amusants, ou frappants comme 1< « Mimes d'Hirondas ». C'est de la v; prise sur le fait et contée très. simpl* ment, c'est-à-dire de la meilleure manièr qu'il y ait de conter. « En cheminant est un ourieux petit livre et qui fera so ohemin. * * * J'ai écrit ici même et parlant du pr< mier volume de la «Vie de Mgr d'Hulst: par Mgr Baudrillart, voioi deux ans: A travers La vie d'un homme — et de l'u des plus éminents de l'époque contempi raine, — c'est toute l'histoire du monde « tholique pendant l'une de ses périodes 1* Çlus troublées que ce livre nous présent* outes les plus importantes questions qui s sont posées, les plus graves problèmes qui s ©ont présentés, y sont examinés, étudiés rendus clairs, passionnants. Tout ce livre ee composé avec un art gui atteint à cette rar perfection où il se fait ignorer lui-même, se lit comme un roman, instruit mieux qu'u traité de philosophie et attache plus qu'u volume d'histoire. Car si l'on y sent bien qu l'auteur qui l'a écrit est un philosophe p< ttétrant et un historien érudit, on conmaî surtout que c'est un homme qui l'a vécu peu fiant, qu'il l'écrivait. Et tout ce que je disais alors du pr« mier livre, je voudrais le redire aujour d'hui et de l'œuvre achevée. Ce deuxièm-volume traite de toutes les questions qu ont intéressé les catholiques de France e souvent de Belgique, de 1875 à 1900: le diverses orientations de La pensée fran paise, les origines et les débuts du moder nisme, la séparation de l'Eglise et d-l'Etat, le boulangisme, Panama, et su: chacune de oes questions, sur chacun d< ses événements, ce sont défe aperçus nou reaux en même temps que plus accusés &vec oeb « on ne sait quoi de définitif > lue la vérité, dit-on, porte toujours er soi. Dans toutes ces pages enfin, passe >e détache, l'admirable figure de l'homme 3'apostolat qui a fondé l'une des pluf >elles œuvres d'enseignement et de foi d* îotre époque et qui reste le modèle de« lirecbeurs d'âmes et, sans doute, de par-iis.* * * Et voici maintenant trois romans où la «aidance que je signalais au début se n que avec des qualités diverses et à des legrés différents. En tête de ceux-ci nous riettrons la Croisade des Enfants, de il. Henry Bordeaux. Philibert est un héros merveilleux né Lans le cerveau d'une des charmantes pe-ites marionnettes que M. H. Bordeaux ait si bien tourner et puis s'en aller ans sa préface. Philibert est poète. Il st aussi apôtre. Et, lorsqu'à l'école du >auvre village de Maurienne qu'il habite, [ entend le récit de 'la croisade des en-fonts, partis au treizième siècle à La suite, du berger Etienne pour délivrer le Sa Sépulcre, il se sent appelé par Dieu pc faire, lui aussi, un miracle. Bientôt qi rante petits croisés se réunissent qui s: vont à Rome pour délivrer le Pape p esonnier en son palais. Ils n'y arriverc pas EGU3. Pa-rtis quarante, ils n'arri ront que deux et au prix de quelles av< tu-res 1 Enfin, présentés au Pape, ils • çoi\^nt la communion de la main 1S Saint Père et « croient que c'est Noël x" Ce conte pour les enfants charmera grandes personnes. Car M. Henry B< deaux y a mis tout son talent avec charme nouveau. Ai-je besoin d'en d plus? On &e rappelle l'intérêt et le succès î8 (c Luis », le premier roman de M. Piei ^ Lhande. En son nouveau volume, « îentchu », peinture d'une chaste idy ^ traversée par un vilain et terrible drai I?1 d'intérêt, le même art se retrouve avec même vérité de description et le mêi „ / grand souffle religieux qui animait de •?" ses premières pages. 1 Ce souffle religieux, on le sent enco: a" ce avec autant de force dans le demi roman de M. G. Hudault, le « P avili UT :aix livres » : Roman d'une observât! es précise, sans être ni amère, ni dép re niante, d'une description alerte, d'u et peinture très vive et souvent poignai: re enfin d'une fort belle tenue littéraire. ^ Et je veux dire un mot, en terminai ^ du dernier ouvrage de M. Em. F agi: ,a_ cEn lisant Molière ». 0,u Nul écrivain parmi nos contemporai ne n'est assurément plus fécond que 1 ns Emile Faguet. Tout ce qu'il touche, il If L^nouyeslle. Et il touche à tout et « qi . busdam aliis ». Que) que soit son état ïf s-untë', son espri^reète .toujours libre, v Tê gai, accueillant^! vQijis attend pouT cc ne verser avec vous. Et il prend presque a , tant de plaisir à parler poiix vous q it- vous en trouvez -à'I'eji tenclre. nt II conicinue aujourd'hui la publioati ue de ses livres « En lisant » si magistra çi- ment commencée avec « Corneille ». C'< il- « en llsanit Molière » que ses délioie souvenirs se précisent, que ses remarqi t? ingénieuses abondeent, que ses digressic pleines d'aperçus nouveaux se succède: sc s'enchaînent. A le lire, vous croyez entx dre un fin lettré, et singulièrement -éi je dit, discourir, converser plutôt, sur ée sujet qu'il semble avoir passé toute sa 1 à étudier, tant il le connaît bien, le chaque nouveau livre de M. Faguet vo le donne la même impression et vous lai et sous le même charme. G. Lechartier. a- î L'actualité le s, y* L'Italie et l'Alban. 2e i- ^ A propos, uw> uiiormation^ seni x- )U|^ tionneuits et généralement pessim ie 4£fJL tes iancees par la presse italien js .îxbuation eu Albanie, nous ayons ù ^ ce& i/ajjies constatations, montrant l'attitu [e de i"ital)ie dans la question alban^aise sous jour assez singulier. ii»n groupant et en co{ ,a parant les indications des 11 ailles îuuiem sur les événements de Durazzo, on est aane a conclure à une action plutôt isolée de l'Il lie. action hostile au prince autant qu'à politique autrichienne. Un dira sans doii , que le gouvernement de Rome et plus spéc: :s xement la Consulta, n'est pas resp^a.va.bie d Lnformaitions de la presse iltalienine, mais 1 n organes officieux eux-niomes, sur lesquels c p pendant le marquis di San Giuliano, exer ît une influence incontestable, se laissent e >t traîner par le courant général hostile à s politique a ustro-hongroise en Albanie. Il y .e deux jours encore,^ l'agence o Havas » coi muniquait une déx>êohe de Rome qui lui ava " été très certainement transmise par l'ager, officieuse italienne et dans laquelle elle 1; £ sait entrevoir une neutralisation des por albanais. On se demande à quoi peut rim e pareille information, alors que personne ju » L,i a présent n'a soulevé la question des côt q et. des ports de l'Adriatique, Cette dépeoh -n apparence insignifiante, pourrait bien do ner la oLef de l'énigme et révéler les caus , profondes de la politique hostOe au princ suivie manifestement par l'Italie. 11 faut e pérer encore que sur ce point des erreu sont possibles,paixje que si 1 on devait adme 11 A'e les indications de cette information oor >- me définitivement acquiise®, la situation e i- Europe, ne tarderait pas à prendre de no s v'eau un aspect des plus grave et cela mên '• dans un avenir assez prochain. e Si l'on veut se rappeler les paroles d e comte Berchtold sur les conditions dans le • quelles a été créée l'Albanie indépendant t pn se convaincra que cet Etat sur les côt e do l'Adriatique^ doit son existence précis 1 ment à l'impérieux besoin des grandes pui n sanoes d'une paix solidement établie. L'A n banie a été créée pour éviter une guerre eur e péenne dans laqueWe les deux puissances c - la Tnplice, l'Italie et l'Autriclie-Hongri t auraient bien pu ne pas se trouver du mên - côté. Pour maintenir la paix_ entre les den alliés, l'existence d'une Albanie indépendanl - est donc nécessaire. Comme M. Vénizelos Y - dit de son côté, l'existence de ce pays ind< î >r-ndant doit garantir d'ùn autre côté h i intérêts de la Grèce et de la Serbie oontre 1 h Turquie et le premier ministre grec a affinr , au parlement d'Athènes que si l'Alban: 3 n'existait pas, il faudrait la créer encoi maintenant dans l'intérêt de la Grece. Oes indications suffisent pour montrer yei î quelles catastrophes on serait entraîné ; • l'Albanie disparaissait. Comment pai":ei » drait-on à mettre d'accord l'Itai'^ et l'Autr c-he sur un partage éventuel de l'Albanie On aurait beau faire, ce partage serait prec 1 que impossible. L'Autriche, en effet, ne oor ' sentirait jamais à l'établissement de la de mi nation italienne sur les côtes méridionale de l'Albanie et sur la ville de Valona pa : exemple. Elle se sentirait menacée dans se intérêts vitaux par une situation de ce genr t les p,'«... itions un peu simplistes tendan "> faire partager l'Albanie entre l'Autriche Hongrie et l'Italie de telle façon que l'Autri nhe conserverait le Nord, tandis que l'Itali s'attriibuerait le Sud de l'Albanie, parai prévoir la pire des solutions du problème. Or, les intrigues italiennes contre le princ-Guillaume de Wied ont manifestement pou but de détruire l'influence, autrichienne e allemande en Albanie. Si le prince de Wie< doit s'en aller, on le remplacera par ui prince italien ou français, et ce n'est pas ur hasard que le nom d'un prince de la famillh les Napoléon ait été mis en avant pour lï succession éventuelle du prince Guillaume Tl ne faut pas remonter bien loin dans l'histoire contemporaine pour voir que oes préoccupations de l'Italie sé sont manifestées déjà lors de la discussion des candidatures des divers princes briguant la couronne albanaise. La candidature du duc des Abruzzes & été sérieusement mise en avant à ce moment et les journaux dm mais d'&vril de l'année de-r ut nière présentent sous ce rapport une lecture u.r les i>lus intoressantes. Si le duc des Abruzzes ia- devenait paunce d'Albanie, l'influence ita-en Liiennie dominerait manifestement à Duirazzo, • ville située dans la sphère d'influence politi-, que d'Essad Pacha, dont les relations avec les 'n Italiens do Durazzo ont été fort remarquées. Les rivalités entre Autrichiens et Italiens en 'n- Albanie ne sont d'ailleurs nullement l'effet re- du hasard, aussi peu que l'annonce d'une indu tervein/tion possible de l'Autriche-Hongrie en ». faveur du prince de Wied et oontre les re-[€S belles. )r_ On se pose natui-ellement la question (Quelles sont, dans oes conditions, les relations 1111 entre l'Italie et les puissances de la Triple re Entente en Albanie? L'intervention del'am:-al anglais contre l'action de 1' « Herzégo-de vina » paraît très suspecte à ce sujet et l'on re fera bien de surveiller les événements alba-[i- nais en les considérant au point de vue des lie intérêts que peuvent avoir les différentes n puissances à compliquer lia situation ou béen , i lui tix>uvei* une solution pacifique. — ia !. Joerg. ne Échos ne LA VILLE it, Programme de la journée COURS US Berlitz School, 8, Melx. — Langues vivantes. d. le AVIS L1~ Les personnes qui prennent uu de abonnement à la « IMetropole » à if, partir du fi" juillet» reçoivent le n- journal gratultcement à partir tiu u- jour de beur souscription Jusqu'à ue fin juin. on A la mémoire du capitaine Scott le- La colonie anglaise de notre viuie a oélé-;st bié, k.v.r matin, en une cérémonie simpk ux mais inipressionante, la mémoire du oapi-ies Laine Robert F. .Scott, commanclan.t uu ns <l Terra-Nova », dont on connaît la triste miais" glorieuse odyssée au pôle toud. Un vi-' t-rail artistique a été inauguré à l'église anglicane de Saint-Boniface, rue Grétry, en u" . auvenir du capitaine Soott et de ses quatre un compagnons. ''ie A midi s'étaient réunies dans le chœur de Et l'église plusieurs personnalités, parmi les-us quelles on reconnaissait MM. le gouverneur le la provinoe d'Anvers et Mme la baronne van de Werve et de Schilde; le consul général de Grande-Bretagne et Ladv Hertslet; le commandant Evans, commandant en second du « Terra-Nova » ; le lie u benant-géné- — ral Heimburger, commandant la 2e circonscription militaire ; Dubois, directeur de l'Institut supérieur de commerce ; Sheiman, ' \rice-consul des Etats-Unis j Maolot ; les membres du comité de la Société de géograplxit' d'An/vers, etc... Au milieu du chant des liyannes, un oortège ie rendait processionnel!emen-t devant Le vitrail en forme de tryptique caché par le drapeaux anglais. Le commandant Evans le dé-[q voila et en fit La remise à l'église Saint-Boni-fa,oe. En même temps il donna lecture de je- l'inscription anglaise, que porte le vitrail du is- milieu: « En souvenir i-econnaissant devant n€ Dieu Tout Puissant, à la-vie et la mort de ut Kobei-t Falcon Scott, Edward Adrian Wilson de Lawrence Edward Grâce Oates, Hem-y Ro-m bei*tson Bowere et Edgaixl Evans, qui plantè-ii- "ent le di^apeau anglais au pôle Sud le 18 jan-vier 1912 et périrent ohevaleresquement dans Qc '.-es nedges de l'Antarctique au coure de leur a,, voyage de retour. » la Le vitrail, très réussi, porte au milieu l'ef-t(_ figie de saint Nicolas, j>atron des marins, a- tenant entre les mtains le « Terra Nova > ; à -cl gauche est repi-ésenté saint Etienne, premier es martyr de l'Eglise, et à droite saint Alban, pa-emier martyr d'Angleterre. ce a- Nouveiie rue k* Le bureau de Bienfaisance, ayant fait con-a naita-e son intention de reconstruire des mai-li" sons ouvrières lui appartenant et situées au 1 Sud, les services ooinpétents ont étudié, à cette occasion, la question de relier la longue-rue Achterom à la longue rue de la Batterie. Ge projet se réaliserait, par la création ^ d'une rue, tracée partiellement sur les ter-s" rains appartenant à la Ville et partiellement 26 sur une parcelle bâtie, appartenant au bu-e' reau de Bienfaisance. a~ Le Collège, d'accord avec le bureau de 55 bienfaisance, propose une rue de 10 mètres 95 de Largeur, dont les travaux de voirie sont 5" évalués à 3700 francs avec cession de 165 m2 de terrain par la Ville et 125 m2 par le bu-reau de Bienfaisance. Aucune réclamation n'a été présentée lors n de l'enquête publique à laquelle il a été pro-cédé en vue de l'ouverture de la nouvelle L€ voie de communication. En conséquence, le Conseil communal a " adopté hier le projet qui lui était présenté. f Le nouveau service de passage devant Anvers ] L'administration de la Marine vient de y_ stipuler le règlement pour le service de pas- j c sage^ entre le ponton du OanaL-au-Sucre et ^ la Tête de Flandre. j e Comme nous l'avons annoncé, il sera établi, x dans les premiers joui-s de juillet prochain, e ^ entre Auvei-s et la rive gauche de l'Escaut, a un service auxiliaire de passage d'eau au c moyen de bateaux-mouches (overzetters) ex- 1 ;s cl usivement rései-vé au transport des per 1 n sonnes. é Le prix de la traversée simple, par ces 1 £ steamers, est fixé à 10 centimes, sans distinc-e tion entre les points de départ. 1 Le débit ''es coupons sera effectué aux gui 1 ^ chets des bureaux de recettes de6 deux rives. Les coupons délivrés pour les bateaux- 1 " mouches (overzetters) seront égaleanent va- n Labiés à bord des grands bateaux de passage, c 0 mais la réciproque ne sera pas adanise. I*e premier voyage de la jouimée sera effectué à 5 heures, le dernier a 21 heures. Les T: départs auront lieu à intervalles très rappro- 1 ohés. s Le nouveau service fonctionnera jusqu'au c 30 serptenibre. t A l'Entrepôt Royal Le Collège demande donc au Conseil d'ap- n - prouver les cahiers des charges, d'autoriser ° ? le Collège à procéder à l'adjudication des s; t deux entreprises, et de voter en vue de 1a p liquidation de la dépense, un crédit oxtraor- 01 ? dinaire de 115,000 rrancs, dont La régularisation sera faite à la clôture de la ooniptabi- 11 t lité de 1914, au moyen d'un prélèvement sur 0< ! la caisse des capitaux. 1 II convient de remarquer que les crédits &î i prévus au budget de 1913 pour l'acquisition î 'e vc.tures automobiles et d'une auto-pompe i. s > cc accessoires, laissent un solde disponible de fr. 98,567.43, qui sera porté en économie i la reddition du compte de 1913. qi Le Conseil a eu à se prononcer hier soir éc à ce sujet. p, G'onfonnéinent aux conclusions du rapport cl :les Commissions des Travaux publics et du p< Commerce, en date du 20 janvier dernier, tT approinées par le Conseil communal en tr séanoe dii 2 février suivant, ie Collège s mis la en adjudication publique les travaux de r construction des magasins c El Saladero » Buenos Ayree » à l'Entrepôt royal: En vue de cette entreprise, évaluée 180,000 fianos, différentes offres ont été r mises ; les prix varient de 159,900 à 197,6! francs. Seulement,^ la plupart des soumissioj doivent être écartées, ces soumissions n'étai pas accompagnées du bordereau de prix doi la communication était imposée par l'artiole du cahier des charges. Les prix stipulés son du reste, trop élevés pour être pris en oo: sidération. Deux offres restent donc en présence. C pendant, l'une de ces offres ne répond p absolument aux conditions exigées, et le so missionnaire avait demandé à pouvoir le m lifier sans augmentation de prix, mais Commission des Travaux miblics est d'av qu'on ne peut admettre des îvodificatioi après l'adjudication. En conséquence, la Commission des Tr vaux pub>?s, par 9 voix et une abstentio propose au Conseil communal d'approuver soumission, au montant de f'r. 160,664-50, r iiiise par MM. Grondel fu i-eSj d'Anvera, pr position sur laquelle le Ccaiseil s'est pronon hier. Matériel d'incendie Si, avec uu matériel perfectionné, il e encore parfois difficile d. avoir raison d't incendie quelque peu sérieux, il est tout fait certain que, sans matériel, les meilleu pompiers du monde et les plus monumental cas ornes n'auraient aucune raison d'ôtr C'est oe que, dans sa très haut* sagesse,. Conseil communal a dû se dire lorsqu'il d cida, le 14 juillet 1913 de compléter l'outi lage du nouveau poste de pompiers de la ri d'Au tanche, par l'acquisition d'une aut pompe devant être utilisée comme voiture c premier secours, d'un châssis automobile de tiné à recevoir une échelle mécanique tou nante et d'une échelle mécanique tournan de vingt-qautre mètres de "hauteur. Depuis lors, il a été reconnu nécessaire c faire encore l'acquisition d'une autc-pomi pour la caserne de la rue du Palais ainsi qi d'une auto-pompe de réserve destinée a poste de la rue d'Autriche, et à la casen du Kipdorp. La fourniture de l'échelle mécanique fi adjugée le 26 novembre dernier, au prix c 19,000 francs. En ses séances des 5 et 11 courant, la cor mission spéciale pour la réception du mat riel du corps des pompiers a arrêté les terni' des d'eux cahiers des charges rellatifs: a) à la fourniture d'un châssis auitomobi pour l'échelle mécanique tournante ; b) à la fourniture de trois auto-pompee. Ti© délai de fourniture du châssis à l'ess de réception, ne pourra pas excéder tro mois. La fourni tu re est évaluée à 25,000 f Ives pompes auront un débit moyen de 10( litres à la minute à une pression de 7 atmo obères. Le délai de fourniture de ces tro auto-pompes, formant un seul lot, ne pou ri >as excéder cinq mois. Leur ooût est évalué à 90,000 francs. Les affaires albanaise -)o(— Des négociations avec les rebelles La situation militaire Durazzo, 20 juin. — Le bruit court que 1< insurgés sont disposés à conclure la paix ma ils exigent qu'on leur laisse leurs armes < qu'on leur accorde une amnistie complète.I refusent de donner des otages. A leur poix de vue un essai de réconciliation serait d nouveau voué à un échec. La situation générale est très indécise. Le prince Bib Doda so trouve toujours ave ses hommes à environ 4 lieues en arrière d Durazzo. Il semble hésiter- à marcher e avai- ^ pour attaquer Les insurgés à Scbial; On ne sait pas au juste quelle est l'attitud d'Achmed Bey Matis qui devait resserrer pa Tirana le cercle autour des rebeLles. On n' pas non plus de nouvelles favorables au su je d'Azziz Pacha Vrioni qui devait dans le mê me but s'av;mcer du sud en passant par Fien Durazzo, 21 juin. — Ce soir est parti 1 vapeur « Lloyd Gisela » affrété par le gou vernement albanais avec des artilleurs volon taires. Il se dirige vers le nord pour protège les positions du prince Bib Doda et lui fair ressortir la nécessité de marcher en avant. En même temps on effectuerait de Durazzo une mamreuvre contre le.camp des rebelles. Démentis à la presse italienne Durazzo, 21 juin. — Les journaux italieni >nt répandu la nouvelle que deux canons se -aient tombé aux mains des rebelles et qin leux autres auraient été mis hors de combat 3ette nouvelle est une pure invention. TJn< ■,eule pièce d'artillerie amende dans la ville s îté réparée dans le courant de la journée. Est également fausse la nouvelle de la mor le plusieurs officiers hollandais. En dehor: lu major Thomson, aucun officier hollandaû l'a eu de mal. LA LUTTE CONTRE LES INSURGES Jne nouvelle défaite des troupes du prince: Durazzo, 21 juin, 10 heures uu sou-. — )'après une dépêche transmise ivi' 1111 oorpe le troupes commandé par un on.c.&v lioila-niais, les détachements qui étaient partis hiei oir du Sud en vue d'une narche en avant :n tout 1000 hommes, dont i'aiie droite étaii ous la conduite du major Bessim-Bey et dt 'officier hollandais Dejongi, Le centre souf telle de MuiiTe<lin-Bey et d Hischanid-Toska. 'aile gauche sous celle de B*cktasoh-Bey, ont ngagé un violent oombat près de Carbonara t d'inskina avec environ 600 rebelles qui ocupaient les hauteurs de cette région. Ce aatin, les troupes du Gouvernement ont été epoussées et refoulées veis Fieri sur le leuve Semoni où elles se trouvent, actuelle tient. Sur l'ordre du major Kioonf ces troupes oivent ô^re transportées demain à Durazzo bord d'un vapeur du Llojd. Durazzo, 21 juin, 10 heur-ts du soir. — Les ertes subies par les troup» restées fidèles u prinoe, au cours de la dernièie marche ontre les rebelles, seraient d'environ 80 tuée t 120 blessés. Un poste de gendarmerie fort de 20 hom-les, établi près de la porta Rotmana, a eu hommes tués. Les autres ont été faits pri-mniers. Deux seulement se sont échappés. L'ENQUETE CONTRE LES ITALIENS A DURAZZ) Rien de compromettant n'est trouvé Durazzo, 22 juin. — Turkhan Pacha a re-us hier soir au ministre d'Italie une lettre mstatant que dans les caisses qui ont été lisies chez le colonel Murbehio et chez le rofesseur Chindgo, on n'a rien trouvé tV *m promettant. La lettre dit que le Gouvernement aiba-a-is déplore cet incident regrettable, qui a >oasionné une violation des capitulations. Le ministre d'Italie croit qu'on peut oon-déiier l'incident comme des h la satisfac-on de l'Italie. Les négociations avec Us insurgés continuent? Durazzo, 22 juin, 22 heures 80. — Bien te^ oe matin le terme fixé soit arrivé à héanoe, le Gouvernement a envoyé deu* i/rlementaires, Hodja-Baba-Andi et "Mortu^i ez les_ insurgés. Ces parlementaires avaient ur mission de demander aux insurgés une kve de trois jours afin de onolure une en-evue qui a été fixée au 23 juin au pont de Laffun«> 5 EXTÉRIEUR f, Frani L'impôt sur le revenu ^ Paris, 22 juin. — La Commission séna riale de l'impôt sur 1e revenu a voté par ' voix contre 2, l'incorporation dans la loi finance de 1914 de l'impôt sur le revenu. ^ _ Angleteri ÎJ Des distinctions 3_ Londres, 21 juin. — Lord Kitehener [*a créé comté. L'explorateur au Pôle Sud js Mawson, est créé chevalier. 18 Russ ît- Un port pour le commerce de bois t, Saint-Pétersbourg, 21 juin. — La comn la sion parlementaire des budgets a adopté 5- crédits proposés en vue de la construct d'un port destiné au commerce des bois. >é port sera situé sur la Vistule à peu de dist ce de la frontière allemande. Ital 3t Encore quelques élections ji Rome, 21 juin. — Les partis constituti à nels ont triomphé dans les élections admii rs tratives à Modène, Rodigo et Fienne. je Rome, 21 juin. — Aujourd'hui ont eu 1 3. des élections politiques supplémentaires d [e le 4e collège de Turin pour remplacer le dé é- té socialiste décédé. Deux candidats consti ]_ tionnels et un socialiste étalent en prése-r Le ballotage a été proclamé entre le na 3_ naliste Revione et le socialiste Bonetto. [e Dans les élections municipales de Bresois liiste constitutionnelle a été éhie. r_ Encore les élections >e Ronie, 22 juin. — Hier, dans les électi administratives, qui -Ont eu Lieu au suffi-; [e universel, les listes fusionnées des consti ,o tior.nels et des catholiques ont battu les e cialistes à Padoue et à Pavie. ,u A Foligno la liste démocratique a ba. ,e les socialistes. On prévoit que le« consti tionnels triompheront à Ferrare, Foggia it les socialistes à Crémône. Turqu J" Les vapeurs grecs continuent leurs voya Constantinople, 22 juin. — Lee vape ^ grecs, qui avaient interrompu leurs voya. dans la crainte de coanplioatiens, ont rej l€ La traversée du P^sphore et à destination en provenance de la mer Noire. Ils aecept . 'q nouveau des affrètements pour les pc le oette mer. I bspagr Pour et contre Maura Valence, 21 juin. — Ce soir au moment ,a mettre en vente le journal hebdomads « Maura Non » des groupes de oonservate et de radicaux ont échangé des invectives coups de revolver ont été tirés blessant gi vement deux conservateurs et légèrement passant. La police est intervenue. Santander, 21 juin. —1 A la fin d'un m Sting de partisans de M. Maura, des cris « Maura oui j, « Maura non », ont am< une collision .dans ira café. Chir Les missions catholiques françaises en Ch et leur rôle politique Paris, 20 juin. — Le catholicisme a h is n ces dernières années, des progrès consi ;t rables en Chine et, d'après une statistic s dressée dernièrement par les missionnair t >n compte actuellement plus d'un million e demi de catholiques dans la nouvelle ré] bLique. < Ce qui retient particulièrement l'att» c tion, c'est le rôle prépondérant que jou< e en Chine les missionnaires français. Ils s< q es vrais évangélisateurs du pays et malj . 'e peu de sympathie que leur témoigne e Gouvernement, _ on en compte actuellemc r plus de sept mille. i Cette influence des mission,naires franc t ne pouvait passer inaperçue de l'Allemagi - qui actuellement encore ne possède en Chi . qu'une seule mission catholique. Aussi a-t ? té décidé par les autorités allemandes d'e - treprendre un grand effort de ce côte. Mexiqu ? LA MEDIATION La réponse du général Carranza 1 El Paso, 22 juin. — Le général Carran a envoyé sa réponse à la note des médiateui Dans sa réponse, le général déclare qu'il € 5 '>rêt à prendre part à la conférence de rr • diation, mais il cite parmi les Questions qu considère impossible a discuter la question l'armistice, la question agraire et le oho 'u président provisoire. 1 II croit que les médiateurs ont fait erre .*n essayant de résoudre des questions a l'ont qu'une importance relative pour I ; 'dexicams. Les constitutionnalistes eux-m 1 mes doivent décider oe qu'ils oonsidèrent mieux dans l'intérêt de leur pays. Le génér pense que la conférence n'aura pas le rési Sat attendu par les médiateurs. BRUXELLES La jonction Nord-Midi. Le département des Chemins de fer viej de terminer le projet relatif aux travaux c déblai à exécuter dans la zone comprise ent ws rues du Saint-Esprit et des lirigittine Ces travaux seront bientôt mis en adjudic tion. Nos écrivains. Ivo prince régnant de Hohenzollern, av< la haute approbation de l'empereur d'Ail magne, vient d'adresser la médaille d'< a Bene Merenti » à notre confrère, Mlle M i*ia Biermé, pour son livre consacré à la con tesse de Flandre. A propos de ia garde-civique. « La revue d'hier, dit le a Soir » de lund donne de l'actualité à la question de savo ce que deviendra la garde civique. » Nous étonnerons peut-être nœ lecteu: en disant que oette question intéresse bie plus un petit groupe cle fonctionnaires que ! public et 1a nation. » La disparition à peu près complète de ! garde civique, conséquence du service génén dans l'année, priverait, en effet, le ministèi de l'Intérieur d'une direction d)e la garde c vique, dont La défense et la conservation int-ressent énormément, cela se oonçoit, que ques importantes « manches de lustrine» i C'est dans Le but de maintenir oette directio que ces fonctionnairee ont élaboré, il y quelque temps, le projet abracadabrant ô verser « l'armée territoriale ». qui est à oi ganiser, dans la garde civique 1 Le simple bo sens, non moins que le sens des nécessité militaires, indique que c'est La garde civiqu qui devrait être versée dans Farinée terr: toriale, le tout sous la direction du ministèr de la Guerre. Mais il faut conserver la situn tion du ministère de l'Intérieur, et alors o est prêt à faire bon marché de la logique e même des nécessités de la défense nationale. La semaine anglaise au gouvernemen provincial du Brabant. La t Semaine anglaise ® tend de plus ei plus à s'introduire en Belgique. Du reste l'exemple vient de haut. En effet, c'est à partir d'aujourd'hui qu< La semaine anglaise sera appliquée au Gou vernement provincial du BrabaoW INTÉRIEUR Le travail de distillation. A la demande de l'Association des distil teurs de Belgique, le ministère clés Finan vient de décider que, par dérogation aux c positions de la loi du 15 avril 1896 sur La ^ brioation des alcools, et en vertu des pouvo jq qui lui sont concédés, il sera permis de p ,ip céder à des travaux de distillation pencu La nuit. Pour obtenir cette faveur, les distilla-tei *£ devront adresser une requête au iniiiisti des Finances par l'intermédiaire du cont . leur divisionnaire des accises et justifier, même temps, à la satisfaction de l'admir tration, de la nécessité de se livrer à -travaux entre 8 heures du soir et 8 heu du matin. D'une manière générale, les autorisatic de l'espèce seront subordonnées à la oonditi lis- expresse que les industriels se oonfornu les aux mesures spéciales arrêtées par le fisc ion vue d'assurer le contrôle des travaux de c Ce tillation. De plus, ces assujettis seront tei a,u- d'acquitter une taxe supplémentaire et m -uelle de 150 francs par employé, si le po • io permanence des commis des accises ie vait être renforcé en suite de ces travaux nuit. °.n" Le congrès international des UB~ sciences administratives Le Comité organisateur do la participait: ieu belge au 2e Congrès international des soi' ces administratives qui aura Lieu en mai li à Madrid s'est réuni récemment sous la p sidlence de MM. Cooreman, ministre d'Et 5e' et Sauveur, secrétaire général au ministi jl°" de l'intérieur. -. Plusdeui-s notabilités ont accepté die rédb< ' des rapports. Toutes les administrations î ges sont invitées à souscrire aux publicatic de ce Congrès et à y désigner dies délégu Les souecidptions doivent être envoyées (a* J®® l'e chèque correspondant de 25 fr). par leit " reco-mmandée à M. Francisco de P. Espelii ^ chef de division de la présidence du Cône ,, d'es ministi-es, Palais de la Présidence, jV fu dirid. ~ On j>eut se procurer des programmes s'ad're6sant au secrétariat généial belge, ! avenue des Germains, à Bruxellles. Toui jg autres demandes de renseignements doive ôtire adressées à M. le comte de Torre VeL ges secrétaire général du Congrès, 104, Alica urs Madrid. Tes ,ris Pour les instituteurs communaux ou Certaines dispositions de la loi sur l'< îjit geignement primaire prévoient de nouvel ■rts bases pour la détermination des traiteane] miinima aUlkmés aux membres du pei-son: enseignant des écoles primaires communal ie Les dispositions projetées ayant un ef rétroactif au 1er janvier 1914, il ne sera ] ^ possible d'établir dès à présent, d'une fax, jre oeirtaâne et définitive, lies éléments consti ^ tifs dies revenus de participation des me 7 bras d'udiit pereonnel à la Caisse des veu^ &L> orphelins des professeurs et institutei UI1 oommunaux. Dans ces conditions, il a été décidé, au < Qe_ partemeait des sciences et des arts, de ret der cette année, à titre exceptionnel, l'en ^ dies états nominatifs visés p:ir les statuts Fa Caisse d'es veuves, jusqu'au moment l'on sera fixé sur le taux dies traitemei ie 'pour 1914. Toutefois oette mesure n'entra' ra pas le prélèvement régulier des retenu ine M. Ile ministre dies sciences et des arts vie d'adresser une circulaire aux admiinistnat-io ?cammunailes, leur rappelant que Les red'eve ces, au profit de la O.iàsse des veuves et i ut phelins, doivent être perçues au fur et à n °®> suire du payement des traitements pour 1 61 queLs elles sont dues et qu'elles doivent ê1 m" ooi-tées aussiitô't à l'avoir dé l'institution do il s'agit . :n" En attendant La réception des états non natifs, d'it la ciirouilfaire ministériellle, les a ^ miniàtrations communales établiront d'offi "î"e et provisoirement Les retenues dues par 3 ^ membres do leur personnel enseignant. Lors de la réception cles relevés neniim . tiifs, les agents conuptablies des communes ét iIS bliiront le décompte pour chaque affilié et < l0' fectueront, s'il y a laeu, les versements coi n.^ plémentaires ; par con/tre, les sommes perçu vndûment seront restituées. e Les Vertus des plante ^ La lavande st La lavande, appelée également aspic, fai é- nard, est une Labiée dont le nom dérive c 'il Latin a lavare » laver, parce que les aucie: le employaient cette plante pour parfumer leu ix bains. On la cultive dans tous les jardins on la rencontre à l'état sauvage dans iiir Roussi lion, la Provence, le Languedoc, < ui Corse, en Espagne, en Italie, en Suisse. C'e es une fleur aux tiges grêles, de trente à qui ê- rante centimètres de hauteur, supportant t le juin et en juillet des fleurs bleues formai Ei] des espèces d'épis interrompus. 1- Dans toutes les régions, la fleur de la 1-vande est utilisée pour parfumer le linj _ dans les armoires ; mais on ignore presq i partout qu'une botte de tiges fleuries de oeti plante suspendue au plaiond d'un appart ment, en éloigne les mouches et, dans l'a moire les teignes, les mites et a m très insecte it La teinture de lavande est utilisée en fri le tion avec l'ammoniaque sur la région sourc ■e iière pour 1a guéri son de la paralysie et c s. l'a.trophie du nerf optique dans la cécité c a~ faiblesse de la vue désignée sous le noi d'amaurose; on l'emploie également eu ga garisanes oontre le bégaiement et la parai: sie de la langue. » On retire une huile essentielle des u a- meaux et des racines de lavande qui, prise ît La dose de cinq ou six gouttes, guérit la m i- graine et les vertiges. i- La lavande est tonique, calmante, stimi lante. On la prescrit en infusion do cinq o six grammes par litre d'eau dans la chlores et les affections scrofuleuses, dans les spa i, mes, les vapeurs, les troubles nerveux, n< ir tamnient dans les dyspepsies flatulente contre les faiblesses d'estomac et dans le s digestions difficiles. n L'essenoe de lavande mélangée à l'hui] e de millepertuis et de camomille est en ployée en frictions contre La paralysie et le a rhumatismes. Seide et en friction, elle coi d stitue un bon topique contre La teigne et eJl e débarrasse Les animaux de leurs vermines, i- Le vinaigre blanc clans Lequel on a laiss v- macérer 100 grammes de sommités fleurie I- de lavande par litre, constitue une eau d 1 • toilette hygiénique et parfumée qui a toute n les propriétés du vinaigre de Bully. a La lavande entre dam la préparation d e l'eau de Cologne, du baume tranquille, dr '- vinaigre antiseptique. a L'huile de lavande, plus connue sous 1 s nom d'huile d'aspic est utilisée en thérapeu e tique et en parfumerie. Les pêcheurs ron ^ macérer leurs appâts dans oette huile, pou e prendre beaucoup de poissons. - 1 Les bains aromatiques de Penné font en 3 trer dans leur composition des essenoes d t thym et d:e lavande. » L'eau distillée de lavande constitue, ave une addition d'alcool, une eau de toilett t utilisée en lotions pour fiacres disparaître les boutons d'acné et la oouperose. i L'eau-de-vie dans laquelle on a fait macé , rer des sommités fleuries de lavande, form* un excellent vulnéraire. Enfin la poudre d< > fleurs de lavande est utilisée comme sternu - tatoir*, DavrH. Au Conseil e Communal fa- irs —)o( 10- nfc Séance du lundi 22 juin irs Le Conseil communal s'est réuni hier soir ^ à huit heures, sous la présidence de M. De-en vos, bourgmestre. is- Après approbation du procès-verbal de la 568 séanoe précédente, le bourgmestre donne leo-65 ture des Communications on •nt La Ligue Sociale d'Acheteurs envoie le ?n compte-rendu de son exposition du trtf> ail à 1S" domioile et retourne à La Ville fr. 2,140 sur LUS le subside accordé. Des sociétés flamandes demandent l'éga-lité des deux langues dans la participation j de la Ville à l'exposition de Lyon. "e La Fédération Maritime demande d«s améliorations dans l'emploi des appareils de déchargement au port. I^e Congrès d'hygiène scolaire demande un subside, de même que le Beerschot, pour cou-on vrir les frais de sa journée sportive du lundi jît de Pentecôte. Le Comité des Eperons d'or demande qu# le carillon joue, que le drapeau flotte à la * 3 cathédrale, que le gros bourdon soit sonn4 les 11 et 12 juillet, à l'occasion de l'exéoa» tion de la Rubenscanta/te de Benoit. îea' Le mouvement maritime uns 126• M. Bongers demande pourquoi on ne V® 00 pas autorisé à poser en séance publique une jVe question concernant la commission du mou-^2 renient mai-itime. Il n'est pas question d$ ^ personnes ici. ^ M. Devos. — Bon alors, à la fin de la séanoe. en J2, Les Soeurs hospitalières tes frt M. Terwagne dément la nouvelle que Î4 a Nieuwe Gazet » avait lancée, suivant la-quelle lé conseiller socialiste aurait l'intention d'interpeller au sujet du contrat renouvelé entre les Hospices et les religieuses. J'attends toujours les renseignements que ■n" j'ai demandés. ^ M. Desguin. — Je suis étonné de oe qu« Lts vous n'ayez pas reçu oes renseignement#, îel Vous les aurez dès demain. P* M. Terwagne. — Je resterai encore juge alors de l'opportunité d'une interpellation. ►as on L'ORDRE DU JOUR >u- m- La taxe sur la plus-value res irs M. Cools communique la décision de la Députa tion permanente concernant la taxe lé- sur La plus-value. Il déclare que le premier ir- bureau a été chargé de faire des proposi-,'oi t-ions on vue de faire des économies pour uu de montant de 800,000 francs, produit probahîrtt . où de la taxe refusée. its Le ministre de l'Intérieur a dit que son e- département chercherait à donner avant le îs. 15 octobre prochain une solution à la ques-nt tion, que le Gouvernement et la Ville oon-ns tinuent à examiner de concert. n- D'ici une quinzaine de jours, les propoai-xr- tions du premier bureau me seront soumise*, ue- \ ous les communiauerai en temps voulu, -s- Le Conseil approuve un règlement relatif ,re a l'institution d une caisse oouimunale de pro-^t voyance et au placement des fonds en habi-. tations à bon marché à l'intention de« ^ ouvriers communaux. lC'" Ce règlement, dit l'exposé du Collège, d«>- 00 vait entrer en vigueui' aussitôt après l'ap-08 probation du budget de 1914 par la Députa- tion parinanente. a" Le Conseil renouvelle poui* un terme de deux ans les conventions contractées en 1910 avec les institutions charitables concernant n" le dépôt à la Banque nationale de titres rente 65 belge, pour un montant de fr. 3 millione par les Hospices civils et de fr. 1,800,000 par le - Bureau de Bienfaisance, le dit dépôt servant !e garantie au compte-courant ouvert à la Ville par la Banque Nationale. Concernant la reconstruction des magasin* g j El Saiadeio » et « Buenos-Ayres », M. Bon-gers fait des observations au sujet de l'ad-.judica tion. r II dit que le premier soumissionnaire, qui a lu proposé le prix le plus bas, s'est mieux eon-,u formé aux prescriptions du cahier des char- * Ses. Le conseiller catholique demande que la Commission des Travaux publics s'occupe à ^ nouveau de oette affaire. u M. Strauss. — D'après Le. service techni-que, c'est précisément le premier soumission-j) naire qui n'a pas suivi les prescriptions du it cahier des charges. M. Bongers maintient son affirmation et sa demande -e M. Jonckheere s'attache à démontrer à son [q tour que ie second soumissionnaire, d'aprèi x- e rapport du service technique, est d'accord aveo ie cahier des charges. Prf. Terwagne. — Depuis quand discute-t. i, -n ces choses en séance publique avec nome ». à l'appui? i_ M. Devos. — Il n'y a à cela aucun incon-e vénient. L'adjudication est approuvée à u l'unanimité moins une voix. n Le Collège est autorisé à mettre en adjti > dication publique la construction d'un égout r_ °ntre la courte' rue des Aulnes et la rue de Bosschaert. Ces travaux, estimés fr. 51,210, u devront être te-rminés en huit semainies. à Le compte de 1912 du Mimée des Beaux-i- Arts, dont la balance s'établit: dépendes, fr. 104,934.61 ; recettes, fr. 93,272.20 ; maa, i- ir. ll,fiG2.41, est approuvé. u Le découvert sora régulai-isé au moyen e d'un virement de l'exercice 1913 sur le pré« >- sent compte. h- Les comptes de 1913 des fabriques d'église •, catholiques, anglicane, protestantes et israé-s lites sont approuvés. L'église Saint-Jacques est autoi'sée à aa. e cepter un legs de 5000 francs de Mlle M. - Vran der Auweauieulen, à charge de célébrer s annuellement et à perpétuité quatre mess** - pour Le repos de l'âme de® personnes qu'elle e désigne. En vue de réaliser l'extension des installa-é tions pétrolifères au Sud et de pouvoir don-s ner suite à de nouvelles demandes on kx*a# e tion de terrain, le Collège propose de faire s exhausser cles terrains a'une superficie de hectares 7500, dont 8 hectares 7500 pour-e ront être donnés en location, la partie ree- 1 tante étant réservée aux voies de communication, aux voies ferrées et aux installation# ? pour le pompage et l'épuration des eaux dea - égouts du KieL Ce travail exigera un rean-t blai de quelque 155,000 mètres cubes de pro-!" duits dragués de l'Escaut. M. G. Cousin, entrepreneur des travaux de - dragages de l'Escaut, s'est engagé à faire 1# î remblai à raison de ir. 1.28 par mètre cube. L'entreprise doit être terminée en dix moi# ï et la dépense est évaluée à fr. 204,800. M. Steger s'oppose au projet parce au'il ; rend impossible le creusement éventuel d'un bassin aux allègee au Sud. Un crédit de nr. 2,624 est accorde l'éoolf profeesionnellie pour jeunes filles pour corn" ■ bler son déficit de 1913. M. Degueldre se fait déclarer c absent i. étant membr# du Conseôll administra tac» m Féooh.

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel La Métropole gehört zu der Kategorie Oorlogspers, veröffentlicht in - von 1914 bis 1918.

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