"11 e iNHEST no 167 PnMl^^^^mmmm:rCTHTWElJenfli et YBagrefl/lS et:16 jttillet 181S P" Collège N.~D. de la Pain, Namur Bulletin météorologique du 16 juillet 3 •Tarif des annonces fcnn. 2»~page, la Mg. «•» ^notaires, avoués, (8 heures du matin) Vaut, barométrique à 0 , • «742 2 Variât, bar. dep. la veille ..•—47 Tempéraiwr* de Vair * « #15 7 Temper, max. de la veille • , ♦20 i Temper, min. de la nuit • ? •13 8 Direction du vent • * iWSW Vitesse du vent {m.p* sec.) . • »9 8 Vair max.=100 . ».90 Eau tombée en millim. • « ;7 i huissiers, directeur , ét vente, la «g. 6.30 Mnonees finaac. » 0.40 Nécrologie» 1.00 Faits divers fin » 1.25 jr«it» divers corps » 1.50 Chronique locale » 2.00 Réparations judtc.» 2.00 BUREAUX rue de la Croix, 29, Namuë JOURNAL QUOTIDIEN ABONNEMENT ANNUEL* fr. 12.M Des remises sont accordées proportionnellement au nombre des insertions demandées. \ Pour Namur Pour la Belgique • On traite a forfait pouf les annonces périodiques. IGLISE CATHEDRALE DE NAMUR . Clôture de l'Octave Se rimmaenlés Conception Dimanche 18 juillet A 8 h., Messe de communion générale, distribuée par Mgr le Révérendissime Etêque. A 11 h., Messe pontificale, célébrée par Mgr Heyien. L'aj:r63-midi, à 6 h. 1$, aura lieu la traditionnelle procession en l'honneur de la Vierge Immaculée, patronne de la Ville de Namur. En cette année où nous célébrons le centenaire de l'une des prouves les plus éclatantes de la protection spéciale accordée à notre ville par la Sainte Vierge, les Namurois, au milieu des angoisses de l'heure présente, voudront assister nombreux à cette procession pour exprimer à l'auguste Mère de Dieo leor reconnaissance, leor confiance et leor amour. Pour qoe la procession se fasse en ordre, voici les dispositions qui ont été prises et auxquelles on 7ondra bien se conformer. La formation du cortège se fera à .6 heures et sera annonoée par la sonnerie du boord on de la Cathédrale. Les enfants se 'réuniront dans la rue du Chenil : Les dames et les jeunes personnes sur la place du Palais de Justice (côté des P. P. Jésuites). Les hommes sur la môme place (côté doPalais de Jostice).# On voudra bien se placer immédiatement six de front afin d'éviter toot retard dans la mise en marche de la procession. Le clergé seol se réonira à la Cathédrale; il revêtira le surplis et se placera dans la grande nef poor faire escorte à la statue de l'Immaculée et accompagner Monseigneur entouré du chapitre de Saint-Aubain. A 6 h. i{2, one seconde sonnerie du bourdon de la Cathédrale aura lieo et la procession, se mettant en marche,sans bannières ni drapeaox, défilera devant la statoe de la Sainte-Vierge et suivra l'itinéraire ordinaire : Roes du Collège, de la Croix, de l'Ange, St-Jacqoes, de Bruxelles, boolevard de la Vierge, roes B!ondeau, Granga.gnage, de l'Arsenal, do Séminaire, boulevarà\JFrèreOrbao et rue St-Anbain. Suivant le désir de Monseigneur, cette procession sera vraiment une supplication publique. Les fidèles réciteront le rosaire à hante voix. On pourra de temps en temps exécuter un chant en l'honneur de la Sainte Vierge, 'mais en latin seulement. Personne ne pourra suivre le clergé; les fidèles qui prendront part à la procession devront se ranger à la place indiquée plos haot. Le Saint Sacrement ne sera pas porté i la procession, mais, à la rentrée dans la Cathédrale, la cérémonie se terminera par la bénédiction do Saint Sacrement qoi aéra" donnée par Mgr le Révérendissime Evâque. N. B. vheore indiquée pour ces différentes cérémonies est l'heure centrale. Communiqués et Arrêtés DU GOUVERNEMENT, REGLEMENT DES FOURNITURES DE GUERRE Avis du gouverneur général en Belgique e» date du 5 juillet 1915 : Sans vouloir préciser en ce moment la date et le Heu du règlement des Jusqu'au 20 août 1915, tous les portflttrs de bons de réquisition doivent remettre ces bons au bourgmestre de la commune dans laquelle la réquisition a eu lieu. Dans le môme délai, toutes les autres fournitures de guerre pour lesquelles des bons de réquisition n'ont pas été délivrés, doivent être également déclarées au bourgmestre. Les Ne doivent pas être remises aux bourgmestres les « reconnaissances » émanant des Commissions ' de contrôle de la province de Limbourg et les m reconnaissances » délivrées dans l'agglomération bruxelloise par l'intendance de l'année, conformément au modèle précité. Les bourgmestres devront dresser une liste des fournitures déclarées, par ordre d'inscription. Us se serviront à- cette fin des listes qui leur seront envoyées par les chefs d'arrondissement ou d'autres autorités compétentes. Ces listes devront être dressées en deux exemplaires. Les bourgmestres sont responsables des « reconnaissances » et pièces à. l'appui qui leur seront délivrées et ils doivent les conserver soigneusement. Ils devront les revêtir des numéros d'ordre Inscrits dans les listes et les classer 'conformément è ces numéros. Jusqu'au 1er septembre, ils-adresseront un des exem-. pàaires des listes clôturées au chef d'arrondissement où, dans les district%des places fortes d'Anvers, de Liège, de Namur et dans l'agglomération bruxelloise, au gouverneur compétent. L'AVOINE Arrêté du gouverneur général en Belgique ei date du 6 juillet 1915 : il est défendu de faucher l'avoine verte (c'< dire non mûre) et de l'utiliser comme fourrage sans l'autorisation du chef d'arrondissement compétent. Les contrevenants seront passibles d'une amende de 3,000 francs au plus. Droit de chasse. - Location Consultation. — Il y a, dit-on, de par îa guerre, un cas de force majeure qui empêcho la jouissance des chasses louées; d'où la question se pose de savoir sur qui retombe la force majeure, qui doit supporter le dominais que cause cette force majeure : sur le locataire ou sur le propriétaire ? On répond : « Sur le propriétaire, puisque c'est le propriétaire qui a le droit de chasse ». Cela paraît très simple, et c'est très vrai aussi longtemps que le propriétaire use lui-même de son droit de chasse, aussi longtemps qu'il n'a pas aliéné ce droit, qu'il ne l'a pas passé à d'autres. S'il l'a aliéné, il ne l'a plus; il n'est plus propriétaire de la chasse, tout en restant propriétaire de la terre. Celui qui est devenu le vrai propriétaire de la chasse, pour un terme d'années, c'est alors le chasseur locataire. Et il faut en conclure que c'est lui qui doit supporter la force majeure. * On ne peut pas dire, comme pour une maison brûlée, par exemple, que l'objet de la location a disparu; la chasse, le gibier restent et demeurent à la disposition du locataire, qui, chaque jour, pourrait espérer en jouir si la guerre venait è. cesser, ou st simplement l'interdiction du fusil disparaissait, ou «i même, ce qui est arrivé plus d'une fo'ïs, des amateurs ennemis l'invitaient à ckasser avec eux ou le laissaient chasser sans eux. Le chasseur locataire n'aurait pas admis que le propriétaire l'en empêchât alors. LÀ GUERRE MARITIME Christiania, 13. — Le vapeur Mascara, de Glasgow, fut coulé près de l'île Damlow, dans la mer Blanche. Le vapeur avait un tonnage brut de 5000 tonnes et avait 2 ans d'existence. Lorr'ivs, 13. '— LesMer- lin et Emerald sont arrivas à Lowestoft. Ces deux navires ont été détruits par les grenade d'un sous-marin. • Grimsby, 13. - Le vapeur Uo'mlon a été torpillé et coulé dan» la mer du Nord par un eousmarin allemand. L'équipage fut sauvé. Rotterdam, 15. — Non loin de Pembrokshire, un sousmaria arrêta le vapeur anglais Meadowfield ai le bombarda. Un obus touefta la cabine de la télégraphie saas fil et tua un matelot. Apres que l'équipage et les passagers, parmi I trouvaient doux femmes et doux enfante, e ramé dans les canots durant 6 h. 30, Us furent sauvés. Londres, 18. — La barque américaine Normandy a débarqué aujourd'hui à Liverpool. 14 hommes 'de l'équipage do la barque russe Léo^qui avait été torpillée à la côte de Pembrokshire par un sousmarin allemand. Christiania, 12. — Le vapeur allemand Prie Arp fut coulé en territoire norwégien. Le gouvernement norvégien a demandé, par son ambassade à Londres, si le navire allemand avait été coulé par un navire anglais. Si c'est le cas, la Norwège adressera une protestation. ^ Le lougre hollandais 7710, de la Compagnie Kwalkelstein, a été amené à Kirkwall par unvaisseau de guerre anglais. Le lougre hollandais 670 de la Compagnie Kegge, de Vlaardingen, aété relâché. D'autres lougres, amenés récemmentpar dos navires anglais ont pu rentrer en Hollande. Un Genevois, qui vient de rentrer de Philadelphie, annonce que le navire anglais qui l'a ramené sans incident, à Bordeaux, a été escortépendant la majeure partie du voyage par desdestroyers français. Le Laura, bâtiment portugais mixte, à vapeur et à voiles, appartenant en partie a la' firmeallemande Herold, de Lisbonne, a été pris parles Anglais dans le port portugais de Lagos etamené a Gibraltar, en dépit de toutes les protestations du capitaine, sous la prévention d'avoirlivré de la benzine à des sous-marins allemands. Une dépêche d'Oporto annonce que le Laura. a été renvoyé à Lagos, sans explication ni excusede la part des Anglais. Le Daily Mail apprend de Christiania quevingtquatre steamers allemands, qui s'étaient réfugiés .depuis le début de la guerre, dans les portsseptentrionaux de la Norvège, et principalementà Tromsœ, ont levé l'ancre récemment et sontpartis pour une destination inconnue. NAVIRES ITALIENS DEVANT CORFOU Athènes, 13. — Plusieurs torpiMeurs italiens sont entrés au port de Corfou. Leurs commandants déclarèrent aux autorités grecques que leur halte au port ne durera pas plus de 24 heures et ils s'engagèrent a ne pas utiliser leurs appareils de télégraphie sans filfdurant ce temps. S'adr. bur. du journal. bataillons. Noos avons laissé l'ennemi s'apprecher à 200 pas et l'avons dispersé ensuite soos notre f en. MÈ Sor la Zlota Lîpa,oons avons repooisë,le 11 juillet, des attaques aux environs do village d'Haskow, de même que sur le Dniester, aox environs do village de Koporez. Nos patrouilles ont entrepris, supérieur et sor la ZlotaLipa, reconnaissances froctoeoses. La guerre à POees Communiqué allemand sor le Bug âne série de Goerre austro-italienne Communiqué autrichien Vienne, 14. — Front italien. — Dans le territoire do littoral, Ü y a eo hier, à divers endroits, de violents combats d'artillerie. * Près de Redipogiia, aoor avons repoossé l'attaque de plusieurs régiments d'infanterie italienne. Dans la région-frontière de la Gannthie et du Tyrol, la situation ne s'est pas modifiée* 14 juillet, 7 h. soir.'Officiel. — Cette naît, de nouvelles atfaqoes avee des grenades a main ores de la sucrerie de Souchez ont été repoussées. Les Français ont fait sauter quelques mines sans succès dans la contrée de TroyoD(â l'Ouest de Graonne)et de Perthes, dans la Champagne. Notre feo de grenades à main les empêcha de s'établir aux places des mines. L'Interruption de la jouissance n'amène donc pas nécessairement le droit de ne plus payer le loyer, ni la résiliation du contrat. Est-ce que le chasseur, malade pendant six mois, ou même pendant un an, peut alléguer sa maladie pour ne pas payer n'ayant pu jouir ? Est-ce que le voyageur qui a pris un billet de parcours, un abonnement de trois mois, de six mois, d'un an au chemin de fer, peut, alléguer la maladie pour ne pas payer? Le gibier pourrait dispai aître par une épidémie; le cas serait plus difficile 'pour le propriétaire, mais ce n'est pas le cas ici. Dans notre région, au point do vue chasse, il n'y a pas eu dévastation ni des campagnes, ni des bois, rien de ce qu'on peut appeler « les ravages de la guerre » qui, ailleurs, ont fait disparaître le gibier. On comprend qu'une maison détruite par la gueiT© ne puisse être occupée, et, par conséquent, ne doive pas être payée par celui qui l'occupait; la chose louée est détruite, c'est le bien du propriétaire qui est détruit. Ici, c'est le contraire; la chasse, comme nous l'avons dit, reste; l'usage en est empêché par un tiers. C'est le chasseur qui est altteint, privé de lajouissance par l'ennemi; c'est bien lui qui est en cause et qui doit le supporter. Nous ne disons pas qu'il n'a pas droit à l'indemnité de guerre comme pour tant d'autres dommages, loin de là, et, comme il est évident que c'est lui qui doit réclamer cette indemnité, il est évident aussi, et par làmême, que c'est sur lui que ce cas de force majeure retombe; c'est lui qui est atteint, dépossédé, et le propriétaire ne pourrait revendiquer une indemnité de^ guerre que subsidiairemeni La marche des Italiens contre Trente Zorich, 12. — Le lieutenant major Karl Muller écrit dans les journaux soisses : Les Italiens ont le grand avantage qoe leurs forts et points d'observation construits le long de la frontière du Tyrol surplombent presque partout les fortifications aatrichiennes. Lors de la déclaration de guerre, les troupes aatrichiennes étaient occupées en Galioie, en sorte qoe los Italiens purent entrer dans les premières lignes avec des forces numériques très grandes, composées de troupes fraîches, ayant reçu une bonne instruction. Par suite,on avait escompté une t marche en avant très rapide contre. Trente. Mais, depuis la déclaration de goerre, les Italiens se trouvent encore ao même point qu'aux premiers jours de la campagne et occupent les positions de la frontière abandonnées volontairement par les Autrichiens. La oampagtfe dans le Tyrol traîne en longueur. Chaque jour dé retard de la grande offeneive italienne permet aox Autrichiens d'améliorer leur sitoation. La marche en avant des Italiens oontre Trente, entreprise depuis quatre semaines et partant des territoires de la frontière occopés par des faible forces lors de la déclaration de guerre, a été arrêtée. La tentative des Italiens de pénétrer plos au Nord par la vallée de l'Etsch semble avoir été provisoirement suspendue. Ce serait, il est vrai, one tentative risquée. Communiqué italien Rome, 14, — Bulletin de l'état-major do 13 juillet : La situation générale est inchangéesor tout le front. Hier matin, one de nos esaadrilles aériennes a bombardé efficacement,d'unehauteur ds 600 mètres, un important dépôtprès de Görz.(Signé) CADORNA. Dans les Argonnes, l'attaque allemande a été suivie d'un succès complet. An Nord-Est de Viennele-Cbâteao, ne a troupes ont pris d'assaut la position des hauteurs ennemies sur une largeur de 3 km. et une profondeur d'un kilomètre.La hauteur 285 (la Fille Morte) est entre nos mains. Nous avons fait prisonniers 2581 non blessés, parmi lesqaels 51 officiers. En outre, nous soignons 300 à 400 blessés. Nous avons capturé 2 pièces de carapagné,2 ca-nonsrevolver, 6 mitrailleuses et une quantité de matériel. Nos troupes ont poussé jusqu'aux positions de l'artillerie française et ont démonté 8 canons, qui maintenant se^ trouvent entre les deux lignes. Nous avons fait culbuter un aéroplane anglais près de Frezenberg, an *Jord-Est d'Ypres. Communiqué français Paris, 13 juillet, 11 h. du soir. — En Belgique, bombardement des lignes françaises et britanniques pendant la journée du 13. Dans la région auNordd'Arras.la canonnade t été particulièrement violente. On signale de nouveaux dégâts matériels à Arras. Aucune action d'infanterie au cours de la journée du 13. NECROLOGIE ^— On nous prie d'annoncer que la jeunesse de St-Servais fera célébrer, en l'église paroissiale, un service funèbre le lundi 19 juillet 1915, à 9 h. 30 (heure centrale), pour le repos de l'âme de M. Henri THONNART. Les familles Câssart-Boreux ont l'honneurd'informer parents et amis que la messe annsaire de leurs regrettés parents', M. Léonard f' SART et de son épouse Mme Philippine BOREVX, sera célébrée le lundi 19 courant, à 11 heures (mcentrale), en l'église paroissiale de Wierde. La famille Lambert Desponlin-Robert, deWaretla-Chaussée, remercie bien sincèrement le grand nombre de personnes qui lui ont prodigueleurs marques de sympathie à l'occasion de lamort et des funérailles de leur regrettée fille et sœur, Mlle Cèlina DESPONTIN. On nous prie d'annoncer la mort de Monsieur Jules DELALOU, veuf en premières noces de Darne Céline DELIRE, et en secondes noces de Dame Florence MARTIN, né à Bouffioulx le 2-4 mars 1844, décédé à Châtelet le 11 juillet 1915, administré des Sacrements de N. M. la Ste Eglise. . Les funérailles ont eu lieu dans l'intimité; il n'a'-pas été envoyé de lettres de faire -part. On est prié de considérer le présent avis comme en tenant lieu. La messe de quarantaine pour le repos del'âme de M. Léon BAUGNIF/f, époux de MmeLouise ÖGER, sera chantée le lundi 19 juillet, à 11 h. {h. c), en l'église paroissiale de Vilîeen-Waret (Vezin). On annonce d'Anvers la mort, du bontuaire Jean KEIM'KX, professeur à i'Acaddes beauxarts, décédé à l'âge de 62 ans. •L'Association des anciens élèves des deux collèges Saint-Michel, â Bruxelles, a- fait célébrer mardi, à 10 heures, en l'église du nouveau collège, boulevard Saint-Michel, un service solennel pour le repos des âmes des anciens élèves morts sous les drapeaux depuis le début de la guerre. L'assistance était très nombreuse. Après la messe, le P. Paquet a prononcé une émouvante ' allocution, et le P. Emile Thibaut, provincial de la Compagnie de Jésus en Belgique, a donn soute. Voici la liste des anciens élèves à l'intention desquels avait lieu la funèbre cérémonie : Albert de LONEUX, soldat- au 14e régiment de ligne, mort le 6 août 1914, â l'âge de 23 ans. Auguste LERAT, médecin volontaire, mort le 2 août 1914, à l'âge de 23 ans. Charles VAN DAMME, capitaine-commandant des carabiniers cyclistes, mort le 12 août 1914, à l'âge de 41 ans. Comte Wolfang d'URSEL, lieutenant au 2e régiment des guides, mort le 18 août 1914, à l'âge de 32 ans. Max PELGRIMS, soldat au 9e régiment de li mort le 18 août 1914, à l'âge de 24 ans. Adrien de PRELLE de la N1EPPE, maréchal des .logis au 2e régiment des guides, mort le 18 août 1914, à l'âge de 21 ans. Chevalier Guy de WOUTERS d'OPLINTER, soldai au 10e régiment de ligne, mort le 23 août 1914, à l'âge de 20 ans. Baron Frédéric van HAEFTEN, soldat au 10e régiment de ligne, mort le 23 août 1914, à l'âge de 21 ans. Joseph GERMANES, soldat au 10e régimes ligne, mort le 23 août 1914, à l'âge de 21 a Arthur GERARD, capitaine-commandant a régiment de chasseurs à pied, mort le 26 août 19U. à rage de m ans. Constant BRUGGEMAN, volontaire .au bataillon des carabiniers cyclistes, mort le 26 août à l'âge de 25 ans. "Frédéiuc ds HENNIN de VJLLIERS, capitaii 1er régiment des grenadiers, mort le 27 aoùb 1914. à l'Age de 36 ans. Joseph DELHAYE, soldat au 1er régiment des grenadiers, mort le 5 septembre 19.14, à l'âge de 21 ans. Julrs LETELLIER, sous-lieirtenant au 2e régiment de chasseurs à pied, mort le 12 septembre 1914, à l'âge de 21 ans.Franz VERBRUGGEN, mort le 18 septembre%H, à l'âge de 21 ans. André BEUMER, soldat au 10e régiment de ligue, mort le 13 septembre 1914, à l'âge de 22 ans. Maurice DESTREËL, soldat au 3e régiment des carabiniers, mort le 29 septembre 1914. à l'âge de 22 ans. Etienne DE TOLLENAERE, sous-lieutenani a l'école militaire, mort en septembre 19(5 u l'âge de 20 ans. Robert TERLINDEN, sous-lieutenant de cavalerie* mort le 4 octobre 1914, à l'âge de 29 ans Comte Jean de LOOZ-CORSWAREM, soldat au 1er régiment de lanciers, mort le 4 octobre 1914, à l'âge de 20 ans. Armand POELS, soldat au 9é régiment de ligne, mort le 6 octobre 1914, à l'âge de 23 ans. Henri GOEMAERE, soldat au 9e régiment de ligne, mort le 8 octobre 1914, à l'âge de 22 ans. CÉSAiRE db ROISSART, capitaine au 2e régiment des gernadiers, mort le 19 octobre 1914, à l'âge de 35 ans. Georges van der REST, volontaire au 2e régiment des grenadiers, mor) le 22 octobre 1914, â l'âge de 27 ans. Paul db H ALLO Y, capitaine au 14e régiment de ligne, mort le 23 octobre 1914, â !msi Albert VROMANT, volont lire giment des carabinier^-, mort lô U octobie 1914, 4 l'âge de £2 «n* ' LES ANGLAIS A MUDROS Le Temps apprend d'Athènes que les fonctionnaires des postes et des télégraphes de l'île de Mudros ont été remplacés par des fonctionnaires anglais. -■ture, de cessation du bail, a été- faite ? Aucune. Le propriétaire n'a donc pas pu aviser lui-même au gardiennat de conservation de la chasse, ni profiter d'une jouissance quelconque de la chasse pour luimême. Les locataires ont conservé le gardiennat et. se réservaient évidemment de jouir, à la première'occasion, de la chasse. Si l'on entrait dans la voie de mettre sur le dos du propriétaire la force majeure résultant de la guerre, on arriverait directement à lui faire supporter aussi les dégâts de gibier, si considérables parfois, alors qu'il n'a ni la.jouissance du gibier, ni les moyens de le faire disparaître ou diminuer, pour empêcher les dégâts, par la chasse, par les furets, par les lacets ou autrement. Il aurait donc toutes les charge» de la chasse sens en avoir les produit^ les avantages. An Sud-Est. — Point de changement pour les troupes allemandes. Communiqués autrichiens Vienne, 14. — Front russe. — La situation n'a pas changé. Au front de laGaücieetde la Pologne EN ALBANIE Le Rietck du 2 juillet apprend que 32 voiliers, destinés au Montenegro et chargés de maïs et de farine, n'ont pu quitter le port de San Giovanni di Medua par suite de la résistance des Malissores et ont été pillés. Des torpilleurs italiens firent restituer les marchandises aux Monténégrins. De la Tribuna : Les Serbes ont occupé, au NordEst de Durazzo, sept nouvelles localités. Les Monténégrins occupent tout l'intérieur de la région Sud de Scutari. Les Grecs ont marché jusqu'au fleuve Lemini. Assurance contre les avions ennemis Le gouvernement anglais va soumettre, mardi prochain, au Parlement, un projet de loi sur l'assurance contre les accidents et dommages occasionnés par des avions ennemis. Le projet sera accepté, probablement, sans discussion préalable et aura force de loi immédiate. L'ambassade allemande à Constantinople Le prince Hohenlohe-Langerburg a récemment pris en main les affaires de l'ambassade allemande à Constantinople en remplacement do titulaire,M. von Wangenheim, dangereusement malade, qoi vient de prendre congé do gouvernement ottoman et de rentrer en Allemagne. Les négociations turco-bulgares Comme le ministre tore de la guerre, E^er pacha, fait actuellement un court voyage d'inspection, aococe décision n'est iu ter venue au conseil des ministres toros relativement à la réglementation de la frontière turco bulgare. Un message du Tsar au roi Nicolas Berlin, 14. — On. annonce de Sofia que le Tsar aurait envoyé le général Kaolbars «n mission importante auprès du Roi du Montenegro. Il est problable que le Tsar conseille au Roi d'évacuer Scûtari, l'Italie ayant protesté auprès des Duissanses de la Triple-Entente contre l'occupation de cette ville. UNS MISSION JAPONAISE ARRIVE EN FRANCS La Neue Zuficher Zeitv.ng annonce qu'une mîs- sion militaire japonaise, placée sous les ordres du colonel Ogala, vient de débarquer à Marseille. i Si l'on prétend qu'il faut interpréter les contrats dans le sens le plus favorable à ceux qui n'ont pas les dons de la fortune, nous croyons que l'on ferait bien de se défier ici de ce système, car on pourrait faire fausse route. Beaucoup de propriétaires ne sont, pas riches, surtout ceux qui'louent leur chasse; beaucoup de locataires de chasses le sont davantage, car la chasse est un plaisir de luxe qu'ils se donnent bénévolement. Bien plus, si l'on considère combien d'institutions charitables, bureaux de bienfaisance ou hospices, sont propriétaires et trouvent dans la location des chasses une notable partie de leurs ressources, combien de communes sont aussi propriétaires et grands propriétaires et louent leurs chasses, on voit que ce seraient les pauvres et les contribuables qui souffriraient le plus de la suppression du paiement de leurs chasses; ce serait les atteindre dans leurs droits et leurs ressources les plus évidents. Nous ne concluons pas en disant qu'en pratique, il faut exiger le paiement intégral, mais nous disons que le droit des propriétaires, des communes, de l'Etat, des institutions charitables de le demander est entier et ne peut être atteint par le cas de force majeure invoqué. Libre à'chacun de modérer ses revendications d'après la situation des débiteurs ou des locataires, et d'arriver à certaine réduction du loyer. Quartier de la Presse de Guerre, 12. — A part un gain de terrain de l'armée BoehmErmolii, il n'y a pas d'événement important à enregistrer aujourd'hui. Le calme relatif dure sur tout !e front. Les Russes ne peuvent pas encore tenter un nouvel essai de percer le front des alliés. Cette pause permet aux troupes allemandes et austro-hongroises de se remettre des fatigues des durs combats livrés au cours de la semaine dernière. La puissante offensive russe, arrêtée il y a quelques jours au Nord de Krasnik, montre que les Russes commencèrent une offensive , décisive avec d'importants renforts, maïs qu'ils durent bientôt reconnaître que la force de résistance du front austro-hongrois dépassait la force d'attaque das Russes. A la frontière de Roumanie Caornosvitz, 13. — On annonce de source cerUsiüQ que les Russes fortifient rapidement leur frontière de la Roumanie. Plusieurs milliers d'ouvriers russes établissent des tranchées et des obstacles en fil de fer parallèlement à la fronvière roumaine. En différents endroits do la frontière, on travaille jour et nuit. Un calme presque oomplet règne sur notre front de Bessarabie. Les combats au Sud de Lublin LES RECOLTES DANS LE MONDE Il ne se passe pas de jour sans que, sur quelque point de la terre, le fermier ne fauche et ne batte afin de pourvoir à l'alimentation de l'humanité. Dès la fin de décembre et le commencement de janvier, la moisson bat son plein dans îa République Argentine, au Chili et dans l'Australie méridionale. En janvier, on récolte le blé dans la plupart des districts de l'Australie, en Nouvelle-Zélande, au Chili et dans quelques régions de l'Amérique du Sud. En février et en mars, c'est en Egypte et aux Indes 'qu'on procède a la moisson. » En avril, c'est le tour de la Perse, de la Syrie, de l'Asie Mineure, de l'île de Chypre. En mai, celui de l'Asie Centrale, de la Chine, du Japon, de l'Algérie et du Maroc. Juin voit la moisson dans toute l'Europe méridionale, en Portugal, en Espagne, en Italie, en Hongrie, en Roumanie, dans les Balkans, la Russie méridionale et le Midi de la France. En juillet, la moisson en Allemagne, dans la plus grande partie de la France, dans le Sud de l'Angleterre, dans tous les Etats de l'Amériflue du tford, en Autriche, en Siilsse et en Pologne. En août, continuation dans les pays ci-dessus, auxquels II faut ajouter la Belgique, la Hollande et le Danemark. En septembre et en octobre, la moisson se fait en Ecosse et dans* quelques régions septentrionales. Enfin, en novembre, on récolte le blé dans l'Afrique du Sud, au Pérou et dans le Nord de l'Australie. En décembre, comme u est dit plus haut, la récolte m M OuiftiU ei dans i'Arggpune, Vienne, 13. — Suivant les derniers communiqués du frost, uue attaque oontre Lublin a été repoussée et les Russes ont été forcés de se mettre sur la défensive. Ils se retirent du terrain qu'ils avaient gagné et qui a une largeur de quatre kilomètres. Communiqué russe Pétrograd, 13 juillet. — Do grand étatmajor : En quelques secteurs du front do Bobr et du Narev\des choc* violents ont eu lien. Près d'OasowiecE, bombardement réciproque Dana la région d'Edvabno, nous avons fait exploser, avec succès, une galerie de mines allemande. Entre la Pissa et la Rosoza, l'offensive allemande a été repoussée. ET LES DEGATS COMMIS PAR LB GIBIER ? Monsieur le Directeur. Nie seriez-vous pas l'interprète des cultivateurs — qui, la plupart, se lamentent de voir leurs récoltes détruites —- pour soumettre, par la voie de votre journal, à l'autorité compétente la question de savoir a qui incombe la réparation des dégâta causés par les gibiers aux récoltes. Les propriétaires et locataires de certaines chasses étant partis à l'étranger au commencement de la n'ayant jamais reçu aicu» ordre et étant payés de leurs gages, ont continué la surveillance du giblar comme d'habitude. Par ce fait, le gibier, étant devenu très Espérant que M. le Rédacteur voudra bien faire le nécessaire a ee» sujet, nous le prions d'accepter l'hommage de notre vive reconnaissance. Qt$ cuiftùatewê intéressée. Du village d'Eduwoics jusque Prasnyes, fen d'artillerie violent et des combats d'avant-garde. Sur la rive gaoohe de la Vistole, le oalme a Dans le secteur de Loblîo, les combats sont également suspendus. Nos troupes,après*avoir terminé leur contre-offensive, commencée le 5 juillet, et avoir remporté, i cette occasion, des succès importants, occopent actuellement les LES OISEAUX ENNEMIS DBS ABEILLES. La volaille, tés moineaux et bien d'autres oiseaux 6uerpe ^ 16£ JPIr^î sont diffames comme étant les ennemis des abeilles. Les dégâts qu'ils causent ne sauraient toutefois être importants, puisqu'ils ne s'attaquent généralement qu'aux faux-Bourdons el craignent l'aiguillon des abeilles. Une poule & poussins, h qui l'on jetait des abeilles, sonna bien vite, et toute peureuse, le Sftuve-qui-pcul yem ti& &QU$' StOA, f ioaitions (Toi leor ont été indiquons sor les hauears de la rive droite do fleuve Urzendowetz. Dans la région de Kholm, près do village de Irabo-weti. l'ennemi a tenté, en vain, de s'approcher de nos ouvrages défensifs. Sor le Bug supérieur, près de la ville de Bosfr r*»on*mi a entrepris, dans la soirée do iO juillet) one attaque à l'aide de jplo&ieors.

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