Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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s.n. 1918, 22 Juli. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Konsultiert 29 Juni 2024, https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/de/pid/1j9765c03p/
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« lundi 22 Juillet 1913, - R® ÎS®9 . ABONNEMENT \ Bruxelles - Province - Etranger > Les abonnements sont reçus exclusivement par tous les bureaux de postes, ' v . Les réclamations concernant les aborlneinents doivent £tre «Cessées ; exclusivement an bureau de poste qui a jlélivrt f abonnement. , "l, PRIX DES ABONNEMENTS : >. ; t! 3 mois: -2 mois ■ Imols: fr. 0.00 Fr. 6.09 Fr. 3,00 [TIRAGE.: 12»,©Û© p&r Jour JOUfiNAïy ïHDËPESrBAKrT . Lundi 22 «Puiifèt 1§IY§.~ .~fa° tggg r h■ i i^-w»t^.v^.ju^<»mpgg1o^r4.(|,,p , | « • * i il— in» « m '■ îANNôMCESf; P ' y" ' Faits divers et Hcfios". '.' . . ', Liilgnet fr. SCO Nécrologie ... 3GO Annonces commerciales j.m Annonces financières 7 ;, . - [ [ t 2!oC PETITES ANNONCES . . La grande ligne. 2.(X . ._ -Vj- ' Rédacteur en chef : René ARMAND '\i - Rédaction, Administration, Publiât#, Vécte : ; BRUXELLES, 33-35, rue de ia Caserne '•...TIRAGE : 125,000 par joaï 1 i^Ttflaa—BBaeaaBW L.» CîfIRRRR LR GOERRE Communiqués Officiels à, ALLEMANDS j BERLIN, il iaillcl {Officiel, miciij: Théâtre ds iaeuorre à l'Ouest Croupe ti'errnéas du prince bit Hier Rtipprech k De violents duels d'artillerie à l'Ancre ont t suivis entre Bcaumonl et llamel d'attaques d ganterie anglaise^ Qui furent repoussées sous a ZLçrtes tlévées pour l'ennemi. De même, le soir, à tattaques anglaises ont échoué au Sud et au Si '£st d'Hébuterne. L'action généralement modérée pendant la ioi fiée s'est ranimée dans la soirée. Croups d'arméos du Kronprinz allemand * Au nord de l'Aisne, l'ennemi a prononcé des i j laques locales entre Nouvron et Fontercoy, q nous avons repoussées en contre-action. Entre l'A ne et la Marne, l'ennemi a tenté hier, en eng $cant de nouvelles divisions, de remporter une i cision de la bataille. L'ennemi a été repoussé, a subi de grandes perles. Les peuples auxiliair !des Français, Algériens, Marocains et Nègres i \nigalais supportaient aux centres principaux Icharge principale du combat. Des bataillons hSénégalais, répartis comme béliers d'assaut pi |tni les divisions françaises, prenaient i'assaut d; trière les autos blindées en tile dès Français. D 'Américains — également des Nègres américains '{les Anglais cl des Italiens combattaient parmi l 'Français. Après deux âpres fournies de combat, la for combattive de nos troupes se {il de nouveau p's inement valoir au cours d'agressions. Elle s'e ','aclaplée à la méthode d'attaque de l'adversaii [fondée sur l'engagement en masse d'autos blindé [sans préparation d'artillerie, ce qui, au début, ave 'surpris. La journée de bataille d'hier, par les c \ploVs du commandement cl des troupes, cl son i 'suc victorieuse, se Tanne à régal des succès de b taille remportés'précédemment dans ce terrain t combat. Aux hauteurs au sud-ouest de S ois son s, les c ■laques ennemies dirigées contre la ville après ■plus vigoureux feu roulant, se sont écroulées.Sot la conduite d'autos blindés, l'artillerie ennemie [lança à l'attaque jusqu'à sept reprises contre route Sotssons-Château Thierry au nord t l'Ourcq. Au nord-ouest d'Haftennes, l'assaut e. '.nemi s'écroula généralement déjà devant nos i ■jgftes. Au sud-ouest d'H arienne s, nous avons r poussé en contre-attaque l'ennemi assaillant. L troupes d'infanterie refluant ici en masses se •ries, furent couvertes avec efficacité par le ft \destructeur de noire artillerie, de notre infanter ■et de nos mitrailleuses et écrasées. De même, c sud de l'Ourcq, notre contre-attaque brisa l'a saut ennemi. Au nord-ouest de Château-Thierr les régiments attaqués sans cesse à nouveau va totement pendant ces dernières semaines, se se, ■maintenus hier encore victorieusement contre c multiples vigoureuses attaques américaines. L< Américains onUsubi ici des perles parUculjèremc, élevées. /3/i« • /<.■'.. ;. u •'> ) Des aviateurs- de combat sont intervenus a combat à diverses reprises avec succès au moyt \<le mitrailleuses cl de bombes contre t'infanlcr 'assaillante et des rassemblements d'autos blr, dés et de colonnes. Nous avons abattu Mer avions ennemis trois ballons captifs. Le capitaine Berthold ren ■porta sa S9e, le -premier lieutenant Loerzer sa 23, ■et le lieutenant Willig sa "4e victoire aérienne. En Champagne, des engagements d'infanteri locaux se sont déroulés -bar moments. VER UN, 30 juillet.: Au cours de l'attaque anglaise le 10 juillet, di deux côtés de Meteren. entre T.e Waton et l'extri mité nord-est de Merrie, ainsi que simultané-mer, entre Vieux-Berquin et Vierhoek, les Anglais oi 'subi des pertes graves. Leurs attaques qu'ils renouvelèrent plusieat !'/ois. échouèrent dans le feu et en contre-actior Nous avons fait un grand nombre de prisot tiiers et capturé un grand nombre de mitrailleuse. De même, sur le restant du front anglais, l'ai 'tion s'est ranimée. Une poussée ennemie exercé au nord de Triest, le 10 juillet au matin, par pli sieurs compagnies a été rejetée en contre-attaqui Le même sort sanglant fut réservé à d'autres di 'lachements de reconnaissance ennemis tâtant l terrain d'ici jusqu'à l'Oise. BERLIN, 30 fuillcl. — Le transfert opéré pendar, 'la nuit du IV au 20 juillet de la ligne au sud d la Marne sur la rive nord, les Allemands transpo: 'tant au-delà de la rivière loul le matériel d-e, con bat, s'accomplit complètement à l'insu de ladcei Isaire. Les nombreuses batteries prises d'assaut il a quelque temps par nous ont été abandonnées l'ennemi dans un état complètement bouleversé. L traversée opérée sans être observée, à travers ; large rivière, constitue un témoignage brillant de ;exploits de nos troupes et de notre commandement BERLIN, 20 juillet. — Officiel du soir: • 'Après une défense couronnée de succès, de non veaux combats battent leur plein sur le champ d bataille entre Aisne et Marne. Au sud-ouest d Reims, des attaaues de l'ennemi ont échoué, . BERLIN, 30 juillet. — Officiel: La guerre sous-marins. Dans la Méditerranée nos sous-marins ont cotil trois vapeurs d'environ Ult000 tonnes de jauge bru AUTEIOHIEH ! VIENNE, 20 juillet. — Officiel: Sur le front tyrolien occidental l'activité com \atlive s'est ravivée hier considérablement. Dans la région de l'Adamello plusieurs alla jiu.es italiennes ont été repoussées. Sur le Monte Pavento, vous avons dû abandon ntr à l'ennemi un point d'appui avancé. En Albanie de nouveaux combats se sont de chaînés au nord de Berat ce matin de bonne heur< et durent encore. BULGARE SOFIA, 18 juillet. — Officiel: • , En plusieurs -points du front en Macédoine, ca ttonnades réciproques, plus violentes à certain, ]moments. Entre le Vardar et le lac de Doiran rencontres entre patrouilles. Dans la vallée de h Strouma, nous avons dispersé plusieurs compa gui es grecques qui tentaient d'approcher de no. ■postes. TUEO j 'CONST AN TIN 0 P LE, 1S juillet. — Officiel: Sur le front en Palestine, opérations limitées 'Dans le secteur /éricho-Jourdain-Audsche, importants mouvements chez l'ennemi. Sur les autres fronts,rien de nouveau à signaler français PARIS, 20 juillet. — Oficiel, 3 h., p. m.: Hier en fin de journée et dans la nuit les trou fes franco-américaines ont poursuivi leur avance sur la plus grande partie du fror.t entre l'Aisne ei la Marne. Nous avons atteint Viersy, dépassé h bois de Maidoy à l'est de Villers-Hélon, conquis Neuilly-Saint-Front et Licy-Clignon. Au sud dt la Marne nos troupes refoulant l'ennemi entrt Fossoy et Œuilly, ont gagné du terrain vers le Marne. '• PARIS, 20 juillet. — Officiel^ Il h., p. m.. (_ Le résultat de notre contre-offensive ne s'est pas "fait attendre. L'ennemi, violemment attaqué sui son flanc droit et au sud de la Marne a été con-traint de battre en retraite et de repasser la rivière. Nous tenons toute la rive sud de la Marne, Entre Aisne et Marne les trou-pes franco-améri-caines continuent à progresser et ont refoulé l'ennemi qui se défend avec opiniâtreté. Nous avons atteint Ploisy et Parcy-Tigr.y, dépassé Saint-Re my-Blanzy et II ose t-Saint-Albin. Plus au sud nos troupes tiennent la ligne générale Prin-plaleau nord-est de Cov.r champ s. Entre la Marne et Reims de violents combats sont en cours. Les troupes franco-britanniqurs attaquant avec vigueur, se iont hturtées à àes forces importantes. En dépit de la résistance acharnée de l'ennemi, nous avons gagné du terrain dans le bois Courton, dans la vallés de l'Ardre et vers Saint-Euphrasie. 3 Le chiffre des .Prisonniers que nous avons faits depuis le 1H dépasse W^OO. Plus de iOO canons sont tombés entre noTmaïïfs'. ITALIEN ROME, 19 juillet. — Officiel: 11 Dans le secteur du Tonale, au nord du monte di été Valbella et sur l'Asolons, nos patrouilles ont ra-'i>l~ mené un mortier de 105 mm., un mortier de 200 acs mm. et quatre mortiers de tranchée de 1^0 mm.. ainsi que plusieurs mitrailleuses et un important ud- matériel de guerre abandonné par l'ennemi. Sur le haut plateau d'Asiago, un détachement ur~ britannique a hardiment -pénétré dans les lignes autrichiennes, fait 19 prisonniers et pris 3 mitrailleuses.at- Dans la vallée de la Brenta, 'nous avons reine poussé des attaques partielles exécutées par l'en-lj,5- ne mi sur les versants occidentaux du col Caprile. ga- Quatre appareils ennemis ont été descendus au ai- cours de combats aériens. rll ANGLAIS Se- LONDRES, 19 juillet. — Officiel: ta Nous avons repoussé l'ennemi dans les secteurs de de Villers-Bretcnncux et de Morlancourt et exécu-ar- té des attaques fructueuses près de Bucquoy et de 'cr- Locre; des prisonniers sont restés entre nos mains. Nous avons conquis le village de Meterenat-— teint tous nos objectifs, fait SOO ■ùrisonntêfs et pris les un certain nombre de mitrailleuses. Les Australiens ont légèrement avancé leur li-ree gr.e au sud de Meteren, fait 80 -prisonniers et pris 'ei- 10 mitrailleuses. net s t I DERNIERES DÉPÊCHÉS c- ?- La contre effoissiva frsnçaîss ï- Bei'lin, 19 juillet^— Le succès de l'attaefui 'é ailèmàndô des "clèux côEss de Reims a obliRi l'adversaire à cnjrag-cr non-seulement au sud d t- la Marne, mais en d'autres points entre l'Aism e ei Château-Thierry, les foites réserves qu'il car 's dait, en vue de -dégager le front menacé de 1< e Marne. Cette attaque entreprise avec les force: a les plus considérables et avec toutes les ressour e ces de combat possibles, n'avait pas de but moiu 1- dre_ Que la percée de nos positions en cet en i- droit, afin de pouvoir annoncer aux population: ?- françaises, un succès dans le stvle des victoi 's res réitérées remportées par les Allemands de-puis le 21 mars. Les projets et plans de l'état u major français échouèrent après un minime suc e ces de début, devant l'héroïque résistance de; u Allemands, qui soutinrent l'important choc en f- nemi et l'arrêtèrent. L'attaque onéreuse de l'en nemi entreprise sous la pression de la situatior n'a servi avec son succès minime, à autre chos( it qu'à affaiblir davantage les forces combattive; e de l'Entente et à augmenter d'une façon inouû s les pertes que l'ennemi a eu à enregistrer de il puis le 21 mars d'Ypres à Massives et depui; le début de l'offensive allemande il a sacrifit u eti vain division sur division de tous les con n tingents. Le morcellement et la destruction dt e la force et des ressources combattives ennemie; t- ont considérablement progressé à la suite de; contre-attaques ennemies forcées, dues à l'ini-■t tiative allemande. Berlin, 20 juillet. — Le 19 juillet, second joui de la contre-offensive qui "vjilut tant de pertes au général Foch, a encore rapporté un vaste e succès aux troupes allemandes. L'ennemi, avant mis en jeu toutes ses forces, s'acharnait à vouloir pratiquer ia -pcicé-e qui, la veille, n'a.ni; s abouti qu'à un écnec compliqué de lourdes per- - tes sanglantes. Déjà, à cinq neutes après midi, t un violent feu roulant annonçait une répétition t de la tentative de percée. C'est en contingents profonds, avec des troupes fraîches et de nom-s br-euses équipes de tanks, que l'adversaire se . précipita de nouveau contre les lignes alleman- - des entre l'Aisne et le nord-ouest de Château-Thierry. Avec une folle dépense de matériel de - guerre comparable à celles d'autrefois par je j grand-duc Nicolas et le général Brussilow, le - général Foch recommençait toujours à lancer des troupes d-'assaut dans ila zone meurtrière du - tir allemand ; pour lui, il s'agissait, pour des ? motifs personnels et des raisons de politiqu-e intérieure, de' sauver le prestige en s'assurant l coûte que coûte un succès de grand stvle. Seulement, le feu concentré de l'artillerie allemande causait de terrible ravages dans les rangs des Français assaillants, qui, fréquemment, étaient pris de flanc avec beaucoup d'ef-ficacitc. De toutes les routes d'arrière, Foch faisait constamment affluer de nouvelles réserves, mais elles aussi étaient exterminées par le feu de barrage bien pointé des Allemands ; les aviateurs de ces derniers exerçaient en même temps des ravages et des vides dans les rassemblements de troupes, positions retranchées et colonnes de l'ennemi, qui, à cette occasion, eut de nombreux tanks mis hors de combat par ' équipes entières. L'assaut opéré le matin par ■ l'ennemi échouait vers midi devant les lignes allemandes, partie par le feu de celles-ci, partie après une lutte plus rapprochée ; bref, de nombreux tanks détruits par le tir gisent pêle-mêle ; sur le champ de bataille. Au cours des pr#niè-res heures de l'après-midi, l'action fut suivie d'une nouvelle attaque opérée avec des troupes fraîches, puis complètement effondrée devant les lignes allemandes. A 6 h. 30 du soir, répétition du feu roulant sur les lignes allemandes situées au sud de l'Aisoe. L'attaque, reconnue à temps par les Allemands, s'écroula comme les précédentes, avec les pertes les plus lourdes. Le> efforts ennemis dans le but de percer le front allemand se répétèrent encore l'après-midi plus au sud, et jusquau nord-ouest de Château-Thierry; dans cette zone, une pression maintenue vigoureusement par l'ennemi agissait contre les lignes allemandes au sud de Viilemontoire. Mais une contre-attaque énergique des Allemands le refoula jusqu'au delà de ses positions de clé-part. Même inutilité des efforts ennemis au sud de l'Ourcq ainsi qu'au sud du ruisseau de Cli-gnon. Comme résultat des combats d'hier, auxquels l'ennemi ajoutait constamment des troupes fraîches pour attaquer et tenter la percée sur un front d'environ 40 kilomètres, il n'aboutit qu'à des pertes en hommes et en matériel sans se rapprocher le moins du monde de son objectif, le percement du front. L'ampleur dj? ce but a pu être constatée, car Foch tenait prêtes de fortes troupes de cavalerie montée. En somme, le 19 juillet, une des journées les plus sanglantes de cette année si féconde en pertes pour l'Entente, venait tromper toutes Jes espérances de l'ennemi et priver son généralissime du succès auquel il aspirait si ardemment. Berlin, 20 juillet. — En Champagne, tentatives françaises de reconquérir les positions perdues. L'aband-on, par les Français, de leurs premières positions, a résulté de la pression de l'attaque allemande,_ ce qui est prouvé en ce sens que, depuis le matin du 17, les Français se livraient à des efforts acharnés dans le but de reprendre les hauteurs et les points d'appui perdus; et il est bien compréhensible qu'ils v tenaient, puisqu'ils v ont sacrifié pendant près de quatre semaines de combats sanglants, lors de la bataille de Champagne en automne 1915, utie quantité fantastique en hommes et en matériel, pour conquérir des positions qu'ils viennent de perdre en quelques heures; ainsi, par exemple, le plateau élevé situé à proximité de Ripont, au nord de Massiges. avec ses ravins profondément découpés, avec son réseati inextricable rie tunnels, galeries, installations industrielles, puis la hauteur de Givet et celle de Saint-Spuplet. C'est contre ces positions que les Français dirigèrent le tir concentré de leur artillerie lourde. Les troupes du plateau élevé s'y sont parti eu1 iè-renvent distinguées, car elles v ont refoulé les assauts d'infanterie en force d'à peu près un régiment entier. Les Français parvinrent ensuite à passer dans un tunnel inconnu des Allemands, et, en contournant la montagne, allaiejit prendre ceux-ci t-..-'./ -j *. TIRAGE : 125,000 par Join echos et nouvelles bo«II!sJ^!e!V"d¥Ss AmTÏf.?; allies ~"!i' letBÏ9fseS artuRéaiH^'Vj^rs/anKlais' le 7 juil à l'armée bcU'- b) 'blessas- rVh-'p Gp anS' 3 fl! in* t *'■ ii! Dlessts. r cire, i< rançois, (j£ 35 V frÀ 1 a™Cu Pe're, Alexandre ï? f,,T\ *rere et 1 beau-frere a l'armée heî^o Croes, 39 ans ; Boyaene, Camille 4<6 ans Caura, Urbaine, 23 ans. «o ans L'ALIMENTATION DES GRANDS CENTRES Les œufs, les pommes de terre, la viande h vre1^» 'riteiPC-nt des P»s inconnus. Cett'j 'fié-de renchérissement s aggrave Les prjd;iif< rabordhaeblSesCOmrfCent ? " vendre à d£ m'h inabordables. _ La population saignée ■> blanr pousse un cri d'alarme, auquel elle n'esoé-ait lcb\°\ V°dà que les administrations com-muna.es d Anderlecht et de Molenb°ek dont i ><= nî?"fhC!'S- occupent le territoir" ruraX como-?, n c?s derniers, on discute, on parlement- et 0.15 pièce; oignons. 0.75 la botte^carot'es^O^f) a botte; échalotes, 1.00 la ; endives le k.; choux-fleurs, 0.75, 1 oo 1 25Tt ? pi^ce; pois en cosses, i.io ct'l.20 le"k. r'pois mange-tout, 1.05 1e k. ; fèves d- ma4 r !» k ; choux verts, 0.75 le k. ; rhubarbe,' 0 35 le k. • estragon o.4o le k. ; cresson, 4.00 le k. • persil' 2 40 le k. ; pourpier, 2.40 le k. ; cerfeuil <i on 0 25^ piè'ce °'75 lG k'; SaIadc' C„es Prix s'entendent pour les légumes d» cros seur moyenne. Les maraîchers s'engagent à ÇfcSSEfi ioSs? et au bCSOin modi{iés 'ous lcf fi ou lS iTAÎ Sr ffiTa ' wL^rqU01 ™ detnandl ^rir «Sosn t, , a mglenesex rendant la semaine du 29 juillet au T jmlt ;i era distribué, à chaque habitant un bleuit m kS™,?,0" ?° "ntime|- Pédant la même pl" ' '"s cartes bleues des Magasins communa'ix aSage m S de nouvea'ax S | i-r/!r du 5, ao^t, les Magasins commanart te débiteront plus aucune marchandise Sip uoouction du nouveau carnet de ménage.* THAQUONS LES FALSIFICATEURS ils» ÉdSrfe à»™"'*™ d™°- « loute personne ayant des doute's sur la qua-ue g un produit alimentaire acheté sur le t»r 1 swf ît ÛO S? Sv-PSV't Un l'analyse" i sufat ae déposer un échantillon du produit à onfso hygiène, rue du Marché-au-Char-- I1liPS,far„v1"SSairl .d';ndic>uer en même ternes S * 3» ï.f&Lt.iS'.t'aS «ihfJv.œfc««sa Que le public use largement de cette faculté. T . LA PETITE EOURGEGiSfH innUà 7 h01I4oà 8 5l' ^./horloges publiques), et comme I ont annoncé toutes les -10ns s Noceurs de l'affaire, s'est oiini, en séance publique, à la Brasserie du v- 5;/,(Ârain J?ce-'„ k comité provisoire de ia lociété de ravitaillement pour la petite bour-eoisie.S.cgent au bureau : M. J. Sprcti^ers oui nir> ide en remplacement de M. Éavreux,'maiadl-La. Laurent et Fr. Vandervin, et bien que rio-•e c®fl,^ l'« Echo », M. Giiislain, ne siège au bureau, il n est cependant pas étran-;ei a la combinaison à en juger par les ler-aes dont il s est servi dans son discours t nTVlVÏ'- une fcentaine d'auditeurs a «ine. Lest maigre et ce premier résultat ssez peu encourageant, prouve que la guerre la hausse fantastique des denrées les plus ndi.,pensables 11 ont rien appris et que la pe-ite bourgeoisie et l'employé notamment (ii y n a lu,Oi)U a Bruxelles), restent aussi indiî-îrents et aussi apathiques qu'autrefois. Le président expose le but : vendre au meii--xn marche possible des denrées irréprocha-a lûalité et au poids et pe-rmet-intL wU? d exercer un contrôle sérieux sur ^ transactions de l'entreprise, bref, exP'oitation directe ni indirecte de i'ache- Après la lecture de i'avant-projet des sta-jis ,une discussion assez confuse s'engage au-3ur de la question de l'apport : les uns veu-înt le fixer a 10 francs. les autres à 25 traiics, n autre encore, M. Giiislain, à 50 francs.-jifm, l'on_ tombe d'accord sur le chiffre de 3 francs libérables connue suit : 10 francs la souscription et trois versements mensuels snsécutifs de 5 francs. A la fin de la séance, la plupart des m«m-res présents se font inscrire. Une seconde réunion est fixée au ltmdï i courant. Plus do précision au sujet de heure s'impose, Messieurs; ne loubiiez pas! .Conipretiez-vous pourquoi les M. C. sont une .stitution modèle... pour les comitards et pour-UOi 'j3;/16,63! chère? Pourquoi nous devons dus defendre? les agents des (chemins de fer vâc-snalsx endront une réunion .lundi 22 courant, à 9 h u ma,m, a la Brasserie du Lion Belge, Grand'-lacc, à Bruxelles. THEATRE DU FILM On nous annonce pour le 24 et le 27 juillet ;ux représentations appelées à faire sensation : ictor isternon, dans « Morphinomanes », la fa-euse piece de René Maillard, oui combat si tgoureusement les « paradis artificiels ». 11 ra curieux de voir l'excellent Sternon dans le ie de 1 intoxique, qui fut interprété successive-lent par Wiliy et Mylo. Mlle Meg, Daiguy êt ermaipe Kaysen reprendront leur rôle rcspec- le vallon du vuylbeek Par la drève du Comte — tram d'IxeUes à Boits 't jusque-là — on aboutit bientôt au premier étang :s Enfan s-Noyés^ qu'un pont faussement rustique vise en deux. Sans passer ce pont, prendre un -u plus à gauche la drève des Tumuîi jusqu'à la r.contre de la drève des Deux-Montagnes que sii-nne un petit chemin de fer servant à l'exploita-on de la forêt. Cette ligne étroite se raccorde au îssage à niveau du chemin de fer du Luxembourg.' ne faut pas aller dans celle direction, mais pren-e le soutier, qu'une inscription désigne, vers le uylbeek et les é'.angs que le ruisseau forme. Le •entier de ces étangs porte le nom d'étang de l'Kr-ile parce que, dit-on, au XVîIIe siècle, un ermite était retiré à cet endroit. Avant de descendre la pente, remarquons, au soirr et du coteau, une sorte d'épaulement de terrain environ 4 mètres de longueur. 11 en existe de sem-ables en arrière, sur le plateau qui sépare le val-n des Enfanis-Noyés de celui du Vuylfceek. Ce sont s restes d'anciens retranchements. Comme du côté î Bsitsfort on a trouvé une station néolithique ren- sil- firme par 3G6 voix contre la proposition Mayi ne La Chambre passe ensuite à l'interpelle ,'é relative à la direction défectueuse du se1; re- automobile, interpellation motivée par le dé ils Poncet, qui se plaint -de ce qu'on laisse les ie- hicules se détériorer de plus en plus, et q-ix- les exploite irrationaellement. Ces derr ar- mois, dit-il, on aurait ainsi gaspillé plus d( t'e millions, et 1-e service automobile s'est forter re, empiré depuis qu'on l'a subordonné au 1 jrt commandement de l'armée. sa Paris, 20 juillet. — Abrami a déposé, i st- Chambre un projet de loi coocernarit i'exa ci. des recrues de la classe 1520. •ut MOiî du H','3 de Roosawolt ^a" Ecrlin, 20 juillet. — C'est lors d'une tenta opérée par 'âne escadrille américaine dans le ae forcer le passage du blocus aérien des À îûands à la Marne que Quentin Roosevelt fut I -1" Un groupe d'avions allemands qui croisaient dessus de la rivière avait signalé dans la rég de Dorman un groupe de douze avions amérîcj de poursuite et l'avait aussitôt attaqué. Lors re combat acharné on voyait un des Américains 1 la ticuiièrement tenace dans ses etforts. I a lutte rs généra en duel aérien entre lui et le pous-otiii 30 allemand Greper qui finit par triompher de n" rdversaire, brave mais encore inexpérimenté os fait de guerre aérienne; bientôt l'avion amène s- dérivait par suite de la mort de son pilote, et Lij_ lait tomber au village de Chambry, à environ ^rS kilomètres au nord de la Marne; Quentin Roc -s.' velt avait la tête traversée de deux coups de ,/ et était mort. Son portefeuille révéla son iden et sa qualité d'aviateur militaire des Etats-Ui Les objets laissés par le défunt sont aux mains 1 • : Allemands pour être transmis ensuite à l'autori 'a Ses restes mortels ont étré inhumés avec les h ut neurs militaires par les aviateurs allemands _r" Chambry, à l'endroit où son appareil s'est aba' s Les événements en Russie et en Siôério Amsterdam, 20 juillet. — On mande de To à l'Ag. Reuter; Le Japon.-a décidé d'intei st nir en Sibérie et a déjà pris les mettes 10 cessantes. v le New-York, 20 juillet. — On mande de \ shington à l'«Associated Press8 : Les r.égociati* s- entre la France, l'Angleterre et le Japon. :.s lativeme-nt au genre d'intervention en Russie '• poursuivent; jusqu'à présent, l'accord n'est 1 >" eacora fixé. '■ / Berlin, 20 juillet. — Une information de M ' cou rapporte r;ue l'-ex-tsar aurait été fusillé !V 16. à Ekaterinembourg, en suite à la p'ogi u sion des bandes tchéco-slovaques auxquelles gouvernement de l'Oural ne voulait pas lais :c livrer le tsar vivant. -• Kelsingfors, M juillet. — Le geuvernerrr 1_ finlandais a déclaré infectés du _ choléra Pét grad et 1rs environ1; ; il n transmis des presc: tions médicales et des mesures poi'r parer à t -- propag'ation du fléau. Les frontières sont co fe plètement fermées. ;c Kiew, 20 jjiiilet. — Le choléra s'étant décl; a à Péfrograd et à Moscou, le gouvernement d'C j. kraine a ordonné la fermeture de la frontii russo-o ukrainienne. Shanghaï (sans date) (Reuter). — Alexei r_ aurait constitué un nouveau gouvernement 1 tre Tomsk, Kijni et Udinsk, afin de coopé 3t avec Horvat. Moscou, 20 juillet. — Les journaux annt cent la prise de Birsk par les Tchèques et retraite des troupes des Sowjets. _La commissi ii- des peuples mahométans instituée pour coir j- quer le Congrès constitutionnel de la Répul: > que tartaro-baschkire a choisi Uta comme siè ;. du congrès. Abo, 20 -'"'''"t. — L»s r .présentants diplor: s. tiotres de i'Entente ont fait déclarer au comm 1. saira pour les affaires étrangères par l'amb; <, sadeur américain qu'ils renoncent à émig; vers Moscou ; comme motif ils donnent qu'ils sent en sfireié à Wologda, et il semble que Me cou soit menacé par les Allemands. Kiew, 20 juillet. — L'état-maior des Co; dues du Don annonce la continuation de la m; che progressive des cosaques du Dc»i dans J district septentrional de ce fleuve ; ils ajoute à que les attaques dirigées sur Urjupinsk : é raient demeurées infructueuses : que la gar rouge aurait occupé la zone Phoher, Stanit; e Te'.vtninkaja, Lasanowskaja, Skurmianska Ardinskaja et Nepenskaia. : Décîaratio;: janonsisa concornant !a Russie Moscou, 20 juillet. — Le consul du Japon Moscou vient de déclarer au commissaire pc n les affaires étrangères que son pays n'avait r c cuji intérêt à se mêler des affaires intcrieui s de la Russie. e <■*/> ■ ETRANGER e AUTRICHE. — Fir:3:îC3S et épsrgrîO. — I n guerre mondiale et ses formidables charges su à tout entraîneront des conséquences incalcuiabl :, encore à l'heure présente sur la vie et l'activi x économique de l'Europe centrale et occidental Dès à présent, un fait est indéniable : la gra .i de industrie et la finance ont une tendance ! se fusionner, à se syndiçiuer, à former d'il s posants organismes disposant de capitaux fc midabies, tandis ctue dans l'autre sens se m r nifesté un courant favorable à l'exploitation ( régie de plusieurs grandes branches de l'indu it trie par l'Etat ou les communes. s Parmi les industries que menacent la nati e nalisation et la régie se rangent en tout pr e mier rang les mines, les chemins de fer, l'e - ploitation de l'énergie électrique; parmi les m r nopoies se placent le gaz, le tabac, les ; s cools, les allumettes, etc. En certains pays, on est déjà passé de théorie à la pratique, en Autriche, notai-amer La «Dzieditzer 'Kohlengewerkschaft», Vne : : liale de la aAlgem'eine Depositenbanks dont concession représente, estime-t-on, 750 millio " de tonnes de houille, sera prochainement céd< à une société anonyme, annonce-t-on de Vie ne, constituée au capital de 22 millions de co ? ronnes. L'influence des conceptions économiques noi t velles se manifeste dans le fait de voir la ville c Vienne s'intéresser pour G3 p. c. dans la consi , tution du capital social dont les 40 p. c. q g restent demeurent acquis à !a «Depositenbank . La municipalité de Vienne qui veut se libéri ;• des intermédiaires pour la fourniture de si 5 approvisionnements de coke trouve néanmoit a que le prix d'achat de la part qu'elle dési: i* s'attribuer dans l'entreprise est trop élevé exige une réduction sur le prix du charbc I destiné à son propre usage. Par ces accords, la production de la mit concédée passera ainsi de 200,000 tonnes qu'el e fournit à l'heure présente à deux millions < tonnes d'ici à 6 ou 7 ans. Durant le mois de novembre, il a été fait la caisse d'épargne postale de l'Empire auti 1 chien 194,572 dépôts représentant un capital ( ; 14,845,955 couronnes (période de Janvier-N' ' vembre 1,923,<322 dépôts représentant 142,134,1: ® couronnes), et il a été opéré 92,704 rembou l sements d'une valeur totale de 9,S33,341 co r ronnes (période janvier-novembre 1,13S,742 r traits représentant 93,319,004 couronnes). L' voir des 2,493,363 déposants est passé ainsi 3 la somme de 274,9^4,210 couronnes. " En novembre, le mouvement des chèques po • taux accuse 3,949,330 . entrées rep.ésenta 3 4,472,292,19'S couronnes (janvier - novemb e 43,556,207 entrées représentant 40,354,988,4: - couronnes), 1,753,9)1 sorties d'une valeur gl J baie de 4,280,981,11S couronnes (janvier-nover - bre î 9.221,930 ojiérations s'élevant ™ 45,693,498,938 couronnes). L'encaisse di " 149,277 titulaires d un compte de chèques po - taux représente 2,040,895,180 couronnes. t Quant aux livrets de rentes, le capital imm 1 bilisé en rentes sur l'Etat s'est augmenté < - 13,541,409 et ils représentent un total < - 1,648,053.505 couronnes. Ces chiffres ne témoignent-ils pas une circ lation monétaire intense clans un pays engaj depuis plus de trois ans dans le plus épouva - table cataclysme qui ait affligé l'humanité? (F de dos pour les encer-Jer. La capture des v. lants défenseurs paraissait inévitable; mais, tardant pas à reconnaître la situation, ils : lancèrent contre les Français à coups de g r.ades à main; aprèsrun combat acharne, déjouaient la tentative , d'encerclement des en! mis et faisaient prisonniers une partie de cei ci. Le même échec fut|réservé aux attaques p tielles des Français contre le Fritzberg; ce hauteur, située au sud de la butte de Tahu constitue le contre-poids stratégique par rappi à l'angle détenu par les Allemands, aussi perte, par les Français, la matinée du 15, e elle particulièrement douloureuse pour ceux-Un feu d'artillerie d'une ex:trême violence i déchargé sur ces hauteurs, aux heures de la n tinée et de midi,, ainsi qu'à une grande p fondeur dans le hinterlànd ; en conséquence, : attaques d'infanterie dicla.nchées après ces < nonnades échouèrent, grâce à la résistance én gique des défenseurs. \ La passage: en rrcal de !a Marne par les AïïêTssnds Berlin, 20 Juillet. — lia transposition de nol ligne du sud de la Marne & la rive méridionale de îiviôre opérée durant ta nqjt du 19 au 30 et au cou de laquelle les Allemands ont rebroussé chemin av tout leur matériel au deiàïde la rivière, s'est accoi plie complètement inaperçue de l'adversaire. L nombreuses batteries que nous avions prises' d'à saut, de son côlé, furent-abandonnée® à l'ennei complètement mises en pièces. Le gassage înaperî du large fleuve constitue une des performances t plus brillantes pour nos troupes et leurs chers. i Les forées engagdas psr les Français Londres, 20 juillet. —'- Du «Morning Post Le 1/6 de l'armée française est engagé dans bataille de Reims. Il e-'t clair qu'on 11e ve tolérer une situation qui, une fois créée, pc mettrait à l'ennemi de percer les lignes fra çaises en cet endroit. LSs combats :n Fiacre Berlin. 20 juillet. — Les Anglais éprouvère. de lourdes pertes lors de leurs attaques du juillet, de part et d'autre de Meteren, entre Watou et l'angle nord-otiest de Ivlerris, ain qu'entre Vieux-Berquin et Vierhoek. Leurs a sauts répétés à plusieurs reprises é: houèrent soi le feu et les contre-attaques des Allemands qi outre un grand nombre de prisonniers, capt rèrent encore une grande quantité de mitraï leuses. Aux autres partie.- du front anglais, c ■notait également une rcrudescence d'activit Une poussée prononcée ie matin du 19 au noi de Tricot, par plusieurs comprgnies anglaise fut refoulée en contre-attaque. Même éclu sanglant pour plusieurs autres poussées d? r connaissance opérées par les Anglais de cet e; droit jusqu'à l'Oise. La rtuerre sous-marins. Amsterdam, 20 juillet (Reuter). — Le navir transport anglais « Barigan » a été coulé 15 juillet. Pas de pertes en vks humaines. Ui chaloupe anglaise a été torpillée la 16, elle coulé également. 12 seulement des occupants pi rent être sauvés. Washington, 20 juillet (Reuter). — Le mini tère de la marine annonce que le navire «We tover», jaugeant brut 5,000 tonnes, a été to pillé le 11 juillet dans les eaux européennes a sombré ; 82 personnes auraient été sauvée^ dix, dont 2 officiers, sont portées manquantes, Le vapeur «Carpathia», de la Cunard-Lim i nageant brut 13,603 tonnes, et faisant route pdi l'étranger, a été torpillé le 17 juillet dans P céan Atlantique. Les survivants débarqueront di main. Le.navire ne portait ni cargaison ni pa: =agers. Ci no hori-res de : /-u irKVT • ci» t é tu< par l'explosim dvns la chambre des machin;: Le restant de l'équipage, soit environ 50 hon mçs, a pris place dans les canots et a pu êti recueilli deux heures plus tard. M, vsn Hintze r,:,nrité sscréîaire d'Etat aux affatres étrangères Berlin, 20 juillet. — Le «Moniteur da l'Eir pire» publie le relèvement de ses fonctions a! tuelles de M. von Kiihlmann et la nominatio de M. von Hintz-s, ci-devant ambassadeur Christiania, aux mêmes fonctions et en qualit de ff. de chancelier. Uns opinion hoHanda'so s'.ir les bats de gtisrr augfais Amsterdam, 20 juillet. — Du «Stancîaard» L'Angleterre ne cesse d'affirmer son désintére.' seme.at, mais son plan est suffisamment tran: parent; ce sont les colonies et les dominions e Afrique et en Australie qui tiennent à ce qu le drapeau allemand disparaisse pour toujou: 1 de toutes les parties du monde. A l'occasion d la dernière conférence de guerre à Londres, d vers ministres coloniaux ont particulièrement it sisté sur ce point. Il y existe au moins, une bas de négociations, notamment en ce qui conccrn les colonies qui relèveraient . d'une commissio internationale qui ferait ensuite le commerce sa guise, pour le plus grand bien du mondi niais même ceci ne peut trouver grâce aux yeu des magnats coloniaux anglais, non ; la posse: sion allemande «loyalement» conquise doit bc et bien passer sous administration anglaise Peu importe que cette exigence entre dans le vues du gouvernement anglais, celui-ci peut d; ficilement faire autre chose que de se déclare d'accord avec la décision des colonies. Même cette solution du droit d'autonomie do être écartée, encore fût-ce à contre-cœur, dan cet ordre d'idées ; et alors, on prononce d grands mots à Londres, lorsque l'Allemagne s refuse à restituer immédiatement tous les te: ritoi-res occupés et qu'elle veuille même garde la Belgique comme gage, parce qu'elle n'a pa confiance dans la paix honorable de l'Entente. Consolidation de la ligue anglo-saxonne Berne, 20 juillet. — Du «Weekly Dispatch» Des négociations sont pendantes entre les Etat; Unis et la Grande-Bretagne, en vue de la con stitution d'une alliance offensive et défens ve. Séance orageuse à la Chambre française Berne, 20 juillet. — D'après les journau lyonnais, la séance du 17 aurait donné lieu des échanges de vues et incidents extrêmemeu acerbes. Le député Joubert interpelle le gouver nement au sujet de la retenue d'une partie d l'indemnité de front pour les soldats, afin d'êtr portée au livret de caisse d'épargne de ceux-ci Clemenceau, dit-il, a viole les décisions du Par lement aux termes desquelles le montant .tôt," de l'indemnité aurait été.versé en numerair aux soldats ; or, il eût mieux fait de prépare convenablement la défense du Chemin des Da mas '(tonnerre d'applaudissements à 1 extrem gauche, protestations aux autres bancs). Le sous-secrétaire d'Etat Abrami répond .qu-ie gouvernement agit exclusivement dans l'intt rêt des soldats ; que la proposition de reteni une partie de l'indemnité résulte de considéra tions de nature patriotique; abordant ensuite 1 question des pénalités appliquées au front, i dit que les prisons n'y ont pas été abolies; qu' est indispensable d'agir sévèrement envers _ le coupables et de^maintenir les clauses arrêtées que le moral de l'armée est excellent, à cett heure, alors qu'en 1917 le général Petai-n l'avai trouvée en lamentable situation. Le député socialiste Teanbon proteste contr Ps assertions d'Abrami; il ^'en^uit un échana de propos aigres-doux entre la droite et la gau che. Un violent tumulte se prolorge durant un minute et interrompt la séance. Abrami s'effo-c ensuite d'exposer qu'il v a une notable diffe rence entre les dispositions de l'armée en 191 et 191S. Mais le député Mayeras lui crie: « C'es en juillet 1913 que Clemenceau laisse prendr le Chemin -des Dames»; le tumulte reprend cl plus belle. Raffin Dugens v intervient en dé clarant que la responsabilité du gouvernement c du haut commandement est mise en jeu par 1 défaite au Chemin de-s Dames ; Mayeras, ap puyé par de nombreux socialistes, dépose un 01 dre du jour suivant lequel le gouvernement re tirerait le décret de pénalité contre les soldats Le vote se fait au milieu d'une vive agitation. Les socialistes s'abstiennent et le résultat s'a! DIX CENTIMES

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Dieses Dokument ist eine Ausgabe mit dem Titel Le bruxellois: journal quotidien indépendant gehört zu der Kategorie Gecensureerde pers, veröffentlicht in Bruxelles von 1914 bis 1918.

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